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SME-ETI

LE COURTIER GÉNÉREUX est un cabinet de courtage indépendant et 100% digital dont le but est simple : vous faire économiser de l’argent sur vos assurances professionnelles et personnelles avec un concept réellement disruptif.
Cédric Coudert et Valérie Gagnant, respectivement Président et Directrice générale, nous présentent une approche innovante et bienveillante de l’assurance et nous prouvent que, pour eux, la générosité n’est pas un vain mot.

Dirigeants de PME et ETI, vous consacrez vos efforts et ceux de vos équipes à votre activité… et c’est bien normal. Cependant, vous n’avez pas toujours le temps, l’expertise ou l’énergie de vous pencher sur un enjeux crucial pour votre entreprise : la maîtrise de vos coûts de fonctionnements.
COSMA EXPERTS et ses spécialistes sectoriels sont là pour vous apporter un accompagnement sur mesure grâce à une approche et une méthode qualitative qui vous permettra de déceler des gisements d’économies substanciels.
Gérald Le Teurs, Directeur Associé, nous présente les axes d’intervention de COSMA EXPERTS et nous amène en ballade chez SOFINOR pour un témoignage client bien concret.

Lors de ce webinar, Antoine Thoral, Directeur Communication Interne et Marque Employeur chez U Enseigne, reviendra sur le projet « À l’Unisson » déployé en interne pour accompagner les 2 400 collaborateurs dans la transformation de l’entreprise.

Dans ce contexte, comment la suite digitale Zest a-t-elle contribué à accompagner managers et collaborateurs dans la définition du projet managérial de U Enseigne ?

Vous découvrirez notamment :

🤔 L’impact des plans d’actions initiés dans le cadre de cette démarche.

🏆 La méthodologie déployée pour évaluer l’eNPS.

📅 Le bilan à date et les prochaines étapes.

Antoine Thoral répondra en direct à toutes vos questions !

Inscrivez-vous ici

NP : Si ce sujet vous intéresse mais que vous n’êtes pas disponible, inscrivez-vous quand même et nous vous enverrons le replay par email.

L’investissement dans les PME peut s’interpréter comme un acte citoyen puisqu’il s’agit d’un investissement dans l’économie réelle mais c’est aussi et surtout un excellent moyen de diversifier son patrimoine. En effet, les PME ont une volatilité souvent moins importante que celle des grands groupes cotés qui sont plus corrélés aux fluctuations des marchés financiers. L’investissement dans les PME comporte des risques non négligeables mais peut offrir des rendements intéressants, auxquels peut s’ajouter une réduction d’impôt : le fameux IR PME. Voici tous les détails sur les avantages fiscaux relatifs à l’investissement dans les PME en 2022.

Par Franck Boccara

L’investissement au capital de PME non cotées de moins de 7 ans ayant leur siège social dans l’Union Européenne ou dans un État membre de l’Espace Économique Européen permet un avantage fiscal. Pour cela, l’investissement doit avoir lieu au moment de la constitution du capital ou au moment d’une augmentation de capital. Cette réduction d’impôts s’applique à l’investissement en direct ainsi qu’à l’investissement via certains fonds qui permettent d’investir dans des PME non cotées. tels que les FIP (Fonds d’Investissement de Proximité) et les FCPI (Fonds Communs de Placements dans l’Innovation).

L’investissement dans les PME offre donc une réduction de son impôt sur le revenu à hauteur en général de 18 % du montant investi. Cette réduction peut monter jusqu’à 38 % pour les investissements dans les FIP Corse et Outre-mer si l’actif du fonds est totalement investi en titres éligibles, ces avantages fiscaux sont soumis à des plafonds (voir ci-dessous).

Cette année encore, comme l’année dernière, l’avantage fiscal pour l’investissement dans les PME n’est pas juste une réduction de 18 % mais de 25 % pour les investissements effectués entre le 18 mars 2022 et le 31 décembre 2022 (pour ceux réalisés entre le 31 décembre 2021 et le 17 mars 2022, ils ne donneront droit qu’à 18 % seulement de réduction d’impôt).

Les plafonds

Pour les investissements en direct dans les PME, la réduction d’impôt s’applique jusqu’à 50 000€ d’investissement pour une personne seule (c’est à dire 9000€ de réduction d’impôt de si le taux est de 18 % et 12 500€ si le taux est de 25 %) et jusqu’à 100 000€ d’investissement pour un couple marié ou pacsé (autrement dit 18 000€ d’investissement si le taux est de 18 % et de 25 000€ si le taux est de 25 %).

Pour l’investissement dans les PME à travers des FIP et FCPI, l’avantage fiscal s’applique dans la limite de 12 000 euros pour une personne seule (soit une réduction d’impôt de 2 160 euros si le taux de réduction d’impôt est de 18 % et de 3 000 euros si le taux est porté à 25 %) et 24 000 euros pour un couple marié ou pacsé (soit une réduction d’impôt de 4 320 euros si le taux de réduction d’impôt est de 18 % et de 6 000 euros si le taux est porté à 25 %).

Précisons également que la réduction d’impôt relative à l’investissement dans les PME s’intègre dans le plafond global des niches fiscales de 10 000 euros. Cependant, le plafond global des avantages fiscaux est pour le moment passé de 10 000 euros à 13 000 euros, une disposition réservée aux contribuables qui ont investi via le mécanisme IR-PME au capital d’entreprises d’utilité sociale et solidaire (Esus) pour les investissements ayant eu lieu entre le 9 mai 2021 et le 31 décembre 2021.

Les conditions

Afin de déterminer le montant de la réduction d’impôt (18 % ou 25 %), il faudra se référer à la date à laquelle s’est fait l’investissement. Celle-ci est généralement de 18 % mais peut être exceptionnellement relevée à 25 % si le gouvernement en fait la demande auprès de la Commission Européenne et que celle-ci la valide.

Il sera nécessaire de conserver les parts (en direct ou via des fonds) au minimum 5 ans pour bénéficier de la réduction d’impôt. Si les parts sont revendues avant le 31 décembre de la 5ème année suivant celle de la souscription, la réduction d’impôt sera reprise, sauf rares exceptions.

La Côte d’Ivoire reste, pour les entreprises françaises, la porte d’entrée à un marché ouest africain en expansion permanente. Le pays ouvre ses portes aux PME et ETI pour une mission d’entreprises à Abidjan dans laquelle elles pourront avoir accès à tous les outils et contacts nécessaires pour un développement commercial cohérent.

Avec 16 Milliards de dollar d’aide publique au développement brute en 2019 (selon l’OCDE), les pays de la CEDEAO (Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest) bénéficient de nombreux programmes de financement de la part de leurs principaux partenaires bilatéraux et multilatéraux : Banque mondiale, institutions européennes, Banque africaine de développement (BAD), Banque ouest-africaine de développement (BOAD), Banque d’investissement et de développement de la CEDEAO (BIDC), etc. Dans le cadre de leurs instruments financiers tels que le financement d’études, prêts, prises de participation, lignes de crédit et garantiesces institutions participent activement au déploiement et financement de projets (infrastructures, services, développement rural) dans la région.

Cette mission d’entreprises à Abidjan, sur le thème des « Financements en Afrique de l’Ouest » comprendra notamment une participation au Forum UE-CEDEAO et sera également l’occasion de : 

  • présenter les donneurs d’ordre et projets en cours dans les pays de la CEDEAO :  Bénin, Burkina Faso, Cap-Vert, Côte d’Ivoire, Gambie, Ghana, Guinée, Guinée-Bissau, Libéria, Mali, Niger, Nigéria, Sénégal, Sierra Leone et Togo ; 
  • connaître les modalités d’intervention, priorités sectorielles (énergie, transport, développement urbain, eau et assainissement, etc.) et procédures de passation de marchés des institutions financières multilatérales et africaines ; 
  • faire valoir l’expertise et les solutions portées par les entreprises françaises en Afrique de l’Ouest ; 
  • participer à diverses conférences et tables rondes sur des thématiques transverses (villes durables en Côte d’Ivoire, chaînes de valeur agroalimentaire, etc.)
  • partager les bonnes pratiques et retours d’expérience terrain en matière de préparation, structuration et financement de projets. 

MEDEF International étant agréé pour l’«Assurance Prospection Accompagnement» de Bpifrance. Les entreprises réalisant un chiffre d’affaires export inférieur à 1 M EUR peuvent bénéficier d’une avance de trésorerie permettant de couvrir tout ou une partie des frais de déplacement et de participation. Pour plus d’informations, cliquez ICI

Par ailleurs, les entreprises intéressées (et réalisant un chiffre d’affaires supérieur à 30 M EUR) peuvent également s’inscrire à l’AFRICA CEO FORUM qui se déroulera à Abidjan les 13 et 14 juin 2022.

Vous pouvez utiliser le code promo «MEDEF-22-20» pour vous inscrire à la mission d’entreprises à Abidjan en cliquant ICI  

Pour tout complément d’information, nous vous invitons à contacter

  • Mme Alice FERAY, chargée de projet IFIs de Medef International :  aferay@medef.fr / Tél : +33 01 53 59 16 09
  • M. Gauthier VASSAS, Chargé de projet (Afrique de l’Ouest et centrale) de MEDEF International :
    gvassas@medef.fr  / Tél : +33 01 53 59 16 31

INSCRIVEZ-VOUS!

(Date limite d’inscription : 3 Juin 2022)

Air France poursuit sa politique de montée en gamme en misant sur un confort optimal pour les voyageurs. La compagnie aérienne française vise toujours plus haut avec un renouvellement de sa flotte, une rénovation de ses salons, une offre de restauration plus durable signée par des chefs étoilés en cabines Business et La Première. Air France est bien décidée à incarner l’image du « French Touch » et à se faire une place parmi le top des compagnies d’aviation mondiales.

Par Lætitia Conti

Air France vient d’annoncer ces derniers jours que ses tout derniers sièges allaient être installés, à bord de douze B777-300, en classe Affaires (48 fauteuils) ainsi qu’en Premium Economy (48) et Economy (273) à partir de ce mois de septembre, le premier à destination de New York-JFK.

Son offre La Première, qui est proposée sur certains B777-300 (ses A350 sont configurés tri-classe Business-Premium-Economie), va aussi être optimisée. Créées en 2014, les suites La Première d’Air France sont disponibles cet été pour des destinations « emblématiques » en Amérique du Nord, Amérique du Sud, Afrique et au Moyen-Orient, selon la demande. Pour l’Asie, la compagnie francaise attendra que la situation sanitaire et ses restrictions soient plus claires. “Même au plus fort de la crise Covid, nous avons pu observer l’attractivité d’une telle offre pour nos clients, particulièrement sur l’axe nord-atlantique, sur lequel le taux d’occupation en cabine La Première est aujourd’hui plus élevé qu’en 2019 » explique Benjamin Smith, le directeur général d’Air France-KLM en précisant qu’il a hâte de dévoiler la nouvelle cabine équipée aux plus hauts standards mondiaux.

Air France se réjouit de travailler en ce moment à la conception d’une cabine de voyage, La Première totalement inédite. Actuellement en phase de design, ce nouveau concept sera dévoilé durant la saison hiver 2023/2024, avec de premières mises en service dans les mois suivants. Cette nouvelle cabine se veut être “la plus longue” du marché en offrant jusqu’à trois espaces de vie modulables et complètement privatifs : un siège, une méridienne et un lit entièrement plat. Air France promet que la cabine nouvelle génération sera proposée sur un plus nombre d’appareils qu’aujourd’hui.

Les crypto-monnaies, pour n’évoquer que ces dernières dans le monde des actifs numériques, sont en train de devenir une classe d’actifs quasi à part entière qui occupe les discussions dans les dîners en ville tout en se faisant une part belle sur les réseaux sociaux. Sa démocratisation n’est plus un secret compte tenu de son écho dans les médias et ce malgré une nouvelle chute de près de 50 % du Bitcoin sur les 6 derniers mois. Voyons quelle est la fiscalité qui s’y applique.

Par Frédéric Poilpré – Membre du cercle des Fiscalistes
Directeur de l’ingénierie patrimoniale – Le 29H – Société Général Private Banking

Marché financier non régulé, les font, en outre, progressivement l’objet d’une réglementation spécifique en droit français notamment à l’issue de la loi Pacte du 22 mai 2019 qui modifie le code monétaire et financier. D’un point de vue fiscal, le cadre de taxation a évolué depuis la mise à jour de la base documentaire de l’administration fiscale le 11 juillet 2014. Signe que le sujet suscite l’intérêt, le cadre fiscal actuel, en vigueur depuis la loi de finances pour 2019, a fait l’objet d’aménagements et d’éclaircissements par la loi de finances pour 2022.

Avant de développer la fiscalité applicable aux éventuels gains réalisés par les investisseurs, il est primordial de répondre à cette première question : quand est-on imposable en cas de cession de crypto-monnaies ?

Il faut en premier lieu définir les cas dans lesquels un impôt serait effectivement dû en cas de gain. Pour faire simple, tant que l’investisseur reste dans le monde des crypto-monnaies et réalise des arbitrages entre Bitcoin et Ethereum par exemple, il n’y a aucune imposition.

Les faits générateurs d’imposition sont les suivants :

  • La conversion de crypto-monnaies en « monnaie fiat » (euro, dollar ou autre monnaie ayant cours légal),
  • L’utilisation de crypto-monnaies pour acheter un bien de consommation ou en l’échange d’un service,
  • La cession de crypto-monnaies avec la perception d’une soulte c’est-à-dire un paiement à la fois en crypto-monnaies et en monnaie ayant cours légal.

Si le montant global des cessions réalisées sur une année, par un contribuable considéré comme « non professionnel », n’excède pas 305 € par an, il n’y a pas de taxation. Si ce seuil est dépassé, il est possible de compenser les plus et moins-values de cession de crypto-monnaies réalisées au cours de la même année. En cas de perte globale annuelle, celle-ci ne pourra pas s’imputer sur les autres revenus et ne sera pas reportable les années suivantes.

Concrètement, une solution simple pour ne pas matérialiser un fait générateur d’imposition, tout en se prémunissant de la volatilité attachée aux crypto-monnaies, est de réaliser un arbitrage contre des « stable coin » comme l’USDT par exemple. Une telle opération permet de différer l’imposition dans la mesure où les « stable coin » restent des crypto-monnaies mais dont le cours ne varie en principe pas et se rapproche de celui de monnaies ayant cours légal.

La deuxième question fondamentale pour connaître le régime d’imposition des gains consiste à déterminer si l’investisseur est qualifié de professionnel ou non professionnel. 

Pour le moment, cette appréciation est faite au cas par cas par l’administration et seuls la fréquence et le caractère habituel des opérations sont retenus pour qualifier un investisseur de professionnel. Force est de constater que ces critères ne sont pas adaptés à la volatilité de ces marchés qui imposent d’être à la fois actif et réactif. Cette appréciation subjective sera cependant terminée grâce aux apports de la loi de finances pour 2022 qui produira ses effets pour les opérations réalisées à compter du 1er janvier 2023.

Après cette date, le législateur renverra à des notions qu’il connaît bien puisqu’il définira les gains des professionnels en alignant sa position « sur les opérations de bourse ». Pour être qualifié de professionnel, l’investisseur devra donc réaliser ses opérations sur les marchés dans des conditions similaires à celles d’un professionnel : opérations nombreuses, sophistiquées, utilisation des mêmes outils et techniques que des professionnels du trading…A contrario, l’investisseur sera non professionnel. 

Quel sera le régime de taxation appliqué aux gains selon que l’investisseur sera qualifié de professionnel ou de non professionnel ?

Actuellement taxables dans la catégorie des BIC, les gains réalisés par des investisseurs qualifiés de professionnel relèveront du régime des BNC pour les opérations imposables réalisées à partir du 1er janvier 2023.

Concrètement, les gains seront toujours taxés à l’Impôt sur le Revenu (IR), majorés des prélèvements sociaux de 9,7% dont 6,8% déductibles l’année de perception des revenus, mais dans une catégorie de revenu différente. Ainsi, suivant le montant des revenus tirés de leur activité le régime fiscal sera différent. Il sera possible soit de bénéficier du régime du micro-BNC ou sur option du régime du réel soit, au-delà d’un certain seuil, le régime du réel s’appliquera obligatoirement. Il faut avoir en tête que le régime du micro-BNC permet l’application d’un abattement forfaitaire de 34 % sur les revenus de l’activité et le régime du réel ouvre droit à la déduction des frais réels engagés pour la réalisation de l’activité. Lorsque l’option entre ces deux régimes est possible une étude fine devra être réalisée.

A titre illustratif, les gains relevant du régime des micro-BNC taxés à la Tranche Marginale d’Imposition (TMI) de l’IR à 45% entraînerait une taxation globale de 36,3% en tenant compte des prélèvements sociaux.

Pour les investisseurs non professionnels, les gains seront taxés à un l’IR au taux de 12,8% majoré des prélèvements sociaux de 17,2%, soit une imposition globale de 30%. Toutefois, pour les gains réalisés à partir du 1er janvier 2023, le contribuable aura la possibilité d’opter pour une imposition des gains au barème de l’IR de manière à favoriser les investisseurs ayant une TMI inférieure à 12,8%, ce qui peut souvent être le cas pour les revenus les plus « modestes » comme ceux des étudiants ou des jeunes actifs par exemple.

Les investisseurs dont la TMI à l’IR ne dépasserait pas 11% auront donc intérêt à opter pour une taxation au barème. Le taux global d’imposition pourrait ainsi être au maximum de 28,2% pour les gains taxés dans cette tranche, sans compter la possibilité de déduire une quote-part de CSG l’année suivante de 6,8%, ce qui donnerait, in fine, une imposition de l’ordre de 27,5%.

Quelle que soit la qualification retenue pour les investisseurs, ces gains sont pris en compte dans le calcul du revenu fiscal de référence et pourraient donc entraîner un complément d’imposition de 3 ou 4 % au titre de la Contribution Exceptionnelle sur les Hauts Revenus.

Bien que le régime de taxation soit dorénavant clair, la détermination des gains taxables tous les ans n’est pas un exercice simple et nécessite un suivi très rigoureux de l’ensemble des opérations réalisées dans le temps ! Il existe, à ce titre, des outils sur le marché pour faciliter ce suivi car l’erreur peut vite être commise dans la détermination de la plus-value taxable surtout si l’investisseur est actif sur ce marché.

Enfin, la réglementation autour des crypto-monnaies évolue constamment et tend à assurer de plus en plus de transparence pour les comptes détenus sur des plateformes basées hors de France. Aussi, il est primordial de rappeler que tout investisseur doit déclarer chaque année dans sa déclaration d’IR ses comptes de crypto-monnaies détenus, ouverts, utilisés ou clos à l’étranger. A défaut de déclaration, l’administration pourrait appliquer des pénalités comprises entre 125 € et 10 000 € suivant le montant de la valeur des comptes d’actifs numériques non déclarés ou dont les données sont incomplètes ou inexactes.

Les startups industrielles françaises, reconnues comme le nouveau levier d’innovation et d’emplois, sont au centre de toutes les attentions. Bpifrance est évidemment à la manœuvre avec un plan Startups et PME industrielles à 2,3 milliards d’euros et un guichet unique. Ces mesures de soutien s’intègrent dans le cadre de France 2030.

« Notre objectif est de créer 100 sites industriels par an à l’horizon 2025. Une grande majorité viendra des startups » – a clairement annoncé Paul-François Fournier, directeur innovation de Bpifrance. Le plan Startups et PME industrielles comprend quatre dispositifs dédiés à l’accompagnement des entreprises du secteur de l’industrie proposant des solutions innovantes. Ces dispositifs viennent compléter le panel de solutions déjà proposées par la banque publique d’investissement.

Le plan d’investissement France 2030 dévoilé le 12 octobre dernier a pour ambition de révéler « les champions de demain » en encourageant la force d’innovation des entreprises industrielles. Le gouvernement a défini 10 objectifs pour « mieux comprendre, mieux vivre et mieux produire » en France et a décidé d’y consacrer 30 milliards d’euros.
Le Plan Startups et PME Industrielles de Bpifrance sera doté de 2,3 milliards d’euros pour mettre en œuvre une volonté bien définie : créer 100 nouveaux sites industriels par an d’ici 2025. Pour cela, le plan s’articule autour de deux axes centraux que sont l’industrialisation des innovations portées par les startups et le soutien des PME-ETI industrielles dans le déploiement de projets innovants. Les entreprises industrielles pourront ainsi bénéficier de 5 types de dispositifs :

  • Aides
  • Prêts et garantie
  • Fonds propres
  • Fonds de fonds
  • Accompagnement.

Parmi ceux-ci, 4 nouvelles initiatives ont été dévoilées :

L’appel à projets 1re usine

Lancé le 19 janvier, l’appel à projets France 2030 première usine s’adresse aux entreprises ayant des projets qui impliquent l’implantation de sites pilotes et/ou de production industrielle, ainsi qu’aux initiatives consistant à mutualiser des capacités préindustrielles au profit de startups. L’appel à projets première usine se verra doté de 550 millions d’euros sur 5 ans.

Le Prêt Nouvelle Industrie

Avec 150 millions d’euros pour l’année 2022, le Prêt Nouvelle Industrie est destiné au financement de démonstrateurs industriels ou de petites usines pilotes.

Le Fonds société de projets industriels 2

Il remplace le fonds SPI lancé en 2015 et poursuivra son action d’investissement direct dédié à la création de nouvelles activités industrielles en France. Il accompagnera le passage à l’échelle industrielle et commerciale d’innovations développées par des entreprises de toutes tailles. Ce fonds bénéficiera d’un milliard d’euros.

Le Fonds national de venture industriel

Ce fonds de fonds aura pour but de favoriser l’émergence et la structuration du marché des fonds de capital-risque à vocation industrielle pouvant accompagner en fonds propres et quasi fonds propres des entreprises françaises dans leurs projets industriels. Ce fonds sera doté de 350 millions d’euros

C’est visiblement l’heure du décollage pour les startups industrielles françaises !

Un cocktail networking franco-finlandais sur le thème de l’Intelligence artificielle (IA) dans l’industrie se tiendra le 17 mai 2022 de 18h à 21h30. Bpifrance vous convie à y participer afin de mesurer le potentiel du marché finlandais dans ce domaine et de vous appuyer sur les relais de l’écosystème économique français. 

Vous avez un projet et vous recherchez un partenaire ou vous êtes tout simplement intéressé par les possibilités du marché finlandais, ce cocktail networking franco-finlandais est une occasion pour vous de venir rencontrer une délégation d’entreprises innovantes et prometteuses et de connaitre les acteurs qui font rayonner l’écosystème français. 

La Finlande en ligne de mire

En plus d’avoir été élu « pays le plus heureux » par Le World Happiness Report qui la place encore pour cette année encore à la tête de son classement, la Finlande est un pionnier en matière d’adaptation de l’intelligence artificielle aux processus industriels. Le pays compte plus de 400 startups d’Intellingence Artificielle et a décidé de se placer comme l’un des leaders européens dans ce domaine.

Ce cocktail networking franco-finlandais vous permettra de vous renseigner sur l’ouverture d’un appel à projets pour financer des projets de R&D collaboratifs entre entreprises françaises et finlandaises (clôture des candidatures le 26 septembre 2022).

Cette initiative de collaboration à travers des projets d’innovation a été lancée par Bpifrance et Business Finland en s’appuyant sur le réseau Eureka. Elle a pour but de permettre aux entreprises d’établir des alliances stratégiques de long terme et d’atteindre de meilleurs résultats R&D et business.

Le Programme 

18h00 : Arrivée des participants
18h30 : Introduction 
18h50 : Lancement de l’appel à projets de R&D collaborative entre entreprises innovantes françaises et finlandaises de l’Intelligence Artificielle
19h00 : Pitching session 
19h20 : Cocktail networking

Informations Pratiques

Date et heures : le 17 mai 2022 de 18h à 21h30 

Inscription : inscription obligatoire, participation gratuite

INSCRIVEZ-VOUS!

Les notes de frais sont généralement une tâche particulièrement chronophage pour les entreprises. En plus du temps passé par les salariés pour les créer, il faut ajouter, du côté de l’entreprise, le temps de validation interne, le processus de contrôle, puis celui de remboursement, avant que tout puisse être archivé correctement.

Si l’on ne peut pas éviter les notes de frais, on peut toutefois limiter leur impact sur la structure organisationnelle et éviter les pertes trop importantes de productivité. Dans cet objectif, la modernisation des entreprises et des process passe inévitablement par la digitalisation des notes des frais.

La dématérialisation des notes de frais pour gagner en simplicité et en efficacité

Un sondage réalisé par SAP Concur en 2019 a confirmé ce que beaucoup d’entreprises pressentaient depuis longtemps : les notes de frais prennent du temps et de l’énergie et, en moyenne, chaque salarié passe 30 minutes par mois pour gérer une note de frais. Avec leur dématérialisation, il suffit au salarié de photographier le reçu papier avec son smartphone pour enclencher un processus de traitement automatisé. Cette copie digitale ayant valeur probante, elle rend obsolète, la conservation des reçus papier. Il n’y plus de tableaux Excel à remplir à la main, plus de reçus à conserver, à agrafer et à transmettre. Le salarié gagne en temps, en sérénité et en productivité.

Pour les entreprises, la dématérialisation facilite également les choses : moins de gestion papier, aucun risque de perte d’informations, temps de traitement diminué (saisie, vérification, transmission, suivi) et plus besoin d’espace de stockage ou de manipuler les archives poussiéreuses. Au final, un vrai gain de temps, de place et d’argent. L’information circule de manière fluide. Le digital optimise l’efficacité du traitement des opérations de A à Z.

Reprendre la main et faire la lumière sur les coûts cachés

En cette période d’incertitude économique, les entreprises sont plus que jamais attentives à leurs dépenses. Toutes cherchent à améliorer leur efficacité et leur trésorerie. À ce titre, la gestion des notes de frais constitue un important levier de performance.

Pour maîtriser les dépenses, les entreprises se concentrent essentiellement sur les coûts directs, en nouant des partenariats avec des voyagistes, des loueurs de voitures, des chaînes d’hôtels, etc. et imposent aux collaborateurs d’émettre une demande de déplacement préalable. C’est, certes, un premier pas vers un meilleur contrôle mais la démarche reste insuffisante. Par ailleurs, ces partenariats, s’ils assurent la réservation et le règlement direct des vols et des hôtels, ne règlent pas le problème des coûts cachés, c’est-à-dire des dépenses réalisées durant le déplacement des collaborateurs et qui feront l’objet de demandes de remboursement. Ces frais – repas payants à bord d’un avion, surclassement de dernière minute, bagages supplémentaires – présentent souvent des anomalies : justificatifs non conformes à la législation, dépense non autorisée par la politique de l’entreprise… En passant au numérique, l’entreprise garde en permanence le contrôle de ses dépenses tout en réduisant drastiquement les risques de fraude.

À l’image d’autres outils digitaux comme le CRM, les solutions de gestion automatique des notes de frais participent à la transformation globale de l’entreprise. La dématérialisation de ce processus est la première brique de la transformation digitale de l’entreprise.

A propos de SAP Concur

SAP® Concur® est la référence mondiale en matière de solutions intégrées de gestion des frais et déplacements professionnels. Elle est animée par une volonté constante de simplifier et d’automatiser ces processus quotidiens. Son application mobile, largement plébiscitée, guide les employés dans tous leurs déplacements, les dépenses sont intégrées directement dans les notes de frais et l’approbation de celles-ci est automatisée. En intégrant des données en temps quasi réel et en utilisant l’IA pour vérifier 100 % des transactions, les entreprises peuvent voir exactement ce qu’elles dépensent sans se soucier de potentielles zones d’ombres dans leur budget. Les solutions SAP Concur éliminent les tâches fastidieuses d’hier, facilitent le travail d’aujourd’hui et aident les entreprises à fonctionner au mieux de leurs capacités chaque jour. Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site concur.fr ou sur le blog SAP Concur.

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