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SME-ETI

En dépit de la crise sanitaire, une partie des français songe encore à l’expatriation sans nécessairement savoir quel est le pays qui conviendrait le plus à leurs exigences. Voyons donc le classement des meilleurs pays où s’expatrier selon le site William Russel, et ce ne sont pas forcément ceux auxquels on aurait pensé.

Par Lætitia Conti

Ce classement est en effet surprenant mais il résume bien la nouvelle répartition des richesses et du bien-vivre au niveau international, notamment vers certains pays d’Europe centrale et orientale. Afin d’aider les candidats à l’expatriation à choisir la meilleure destination, ce classement du site internet spécialiste des assurances pour expatriés prend en compte plusieurs critères : le niveau de bonheur et le bien-être, la santé, les opportunités d’emploi et la qualité de vie. Après avoir mesurer tous ces paramètre, le classement établit une moyenne par pays et lui accorde finalement une note sur 40.

Le premier élément à retenir de ce classement est que les 15 premiers pays sont tous européens. La première place est occupée par la Finlande qui est par ailleurs classée comme le quatrième pays au monde où l’on est le plus heureux, et le pays avec la meilleure qualité de vie. A la deuxième place on trouve l’Autriche qui doit son classement au niveau de bonheur et de bien-être, à la santé ainsi qu’à la qualité de vie, en revanche les opportunités d’emploi lui font défaut.
La surprise de ce podium est la Lituanie qui remporte la médaille de bronze (troisième place). Ce pays balte a été retenu à ce niveau grâce à la santé, aux opportunités d’emploi et la qualité de vie tandis que son score de bonheur (6.21 sur 10) lui fait perdre des points.

Le premier pays non européen à figurer dans cette liste apparait à la 16e place et c’est la Nouvelle-Zélande. Ce pays d’Océanie doit son attractivité à sa qualité de vie et son « niveau de bonheur ». Quant à la France, elle occupe une modeste 18e position seulement grâce à son système de santé… à méditer !

Voici les 10 meilleurs pays pour une expatriation :

1. Finlande (score global sur 40 : 31.27)

2. Autriche (30.95)

3. Lituanie (30.78)

4. Slovénie (30.49)

5. Pays-Bas (30.05)

6. Danemark (29.69)

7. Lettonie (29.68)

8. Estonie (29.66)

9. République Tchèque (29.66)

10. Suède (29.46)

Impact PME 2021 donne rendez-vous aux dirigeants de TPE et PME le mercredi 15 décembre au Carreau du Temple à Paris pour son salon annuel. L’évènement de la CPME marque la reprise et se veut être une journée d’échanges, d’inspiration et de conseils qui sera retransmise en TV/radio/digital.

L’heure est à la relance pour les TPE et PME qui ne ménagent pas leurs efforts pour relever les défis de la reprise économique, et ceux-ci sont nombreux :
– Pénuries de main d’œuvre et enjeux de recrutement
– Augmentation des coût et difficultés d’approvisionnement de matières premières
– Accélération de la transformation digitale et énergétique ainsi que de la RSE
– Adaptation aux nouvelles tendances de consommation et aux nouveaux circuits de distribution crées par les confinements successifs
– Reprise du paiement des charges sociales et remboursement des PGE
– Choix des nouveaux modèles de travail : retour physique des équipes, télétravail ou solutions « hybrides »
– Changements des pratiques managériales pour s’adapter aux nouvelles attentes des collaborateurs

Pour la troisième édition du salon, Impact PME 2021 met les TPE et PME en rapport avec des experts qui leur présenteront les meilleurs outils et solutions du moment pour affronter les défis de la reprise.

Impact PME 2021 fera également intervenir des entrepreneurs grâce aux équipes de la rédaction de BFM Business délocalisées sur le plateau TV du salon.

Le programme

PLENIERE : quelles mutations viennent impacter les entreprises ?

Autour de François Asselin, président de la CPME, des personnalités mèneront une réflexion passionnante sur les perspectives des PME dans un contexte marqué par de multiples mutations.
Mutations du travail à l’œuvre avec le développement du télétravail et la pénurie de main d’œuvre ; nouveaux modes de consommation ; accélération de la digitalisation, poussée de la RSE et de la transition écologique dans les PME, mais également la relocalisation et les difficultés d’approvisionnement. 

CONFERENCES

Face aux défis de la reprise, 6 conférences donneront des solutions concrètes aux entrepreneurs

Happy Boulot le mag avec Laure Closier
Comment gérer la RH pour les PME qui ont besoin de conseil mais n’ont pas les moyens de consulter les cabinets spécialisés ? Comment donner l’envie, la motivation aux employés de revenir au travail ? Quelle nouvelle approche audacieuse pour demain ? 

BFM Business avec vous avec Lorraine Goumot
Pénurie de matières premières/composants, inflation, risque cyber, données personnelles RGPD, Lorraine et ses experts vous répondent !

La France a tout pour réussir avec Jérôme Tichit
Une présentation des plus belles réussites de PME pour l’année 2021, comment ont-elles vécu cette année de transition ? 

Objectif raison d’être avec Cyrielle Hariel
Climat : comment initier sa transition écologique et énergétique lorsqu’on est une entreprise industrielle ?

BFM Stratégie avec Frédéric Simottel et Xavier Fontanet
Le cours de Xavier piloté par Fred, en interaction avec le public !

Tech & Co avec François Sorel et Frédéric Simottel
Comment accélérer la mise sur le marché des innovations technologiques des PME : cyber sécurité, logiciels finance et comptabilité, e-commerce enfin le boom !

ATELIERS

Sur le stand CPME, 5 ateliers seront animés par des experts et des dirigeants de TPE-PME qui partageront leur expérience.

D’une durée de 45mn chaque, ils permettront de faire le plein de bonnes pratiques orientées PME en termes d’accès aux financement, de RH et fidélisation des salariés, d’initiation à l’export, de protection face au risque cyber ou encore d’outils de relance au service de la transition écologique des PME. 

En dépit de l’inflation, des difficultés d’approvisionnement et de la pénurie de main d’œuvre, la reprise du commerce international est bien là. L’assureur-crédit Coface confirme cette tendance en améliorant ses notes de risques pays pour 26 états et en effectuant 30 reclassements positifs d’évaluation sectorielles. Voici quelques précisions ainsi qu’un accès à l’étude Coface.

Par Franck Boccara

La crise sanitaire avait contraint Coface à déclasser 78 évaluations de risque pays en 2020. Pour cette année, le retour à la normale se confirme avec 16 reclassements au premier semestre et 26 pour le dernier trimestre. Cette amélioration est clairement ressentie en Europe avec des risques d’impayés qui diminue en France (A2), en Italie (A4), en Allemagne (A2), Belgique (A2), en Espagne (A2) et en Suisse (A1).

La vitalité de l’export de produits manufacturés en direction des marchés avancés a permis de revoir à la hausse les évaluations des économies exportatrices d’Europe centrale et orientale (Pologne, Hongrie, republique tcheque), d’Asie (Corée du Sud, Singapour, Hong Kong) ainsi que celle de la Turquie (B).

Pour Coface, ces chiffres encourageants pour les risques pays sont en partie dus aux campagnes de vaccination qui ont eu lieu cet été, notamment dans les économies développées, et qui auraient entraîné avec elles une forte augmentation de la consommation de services. Pour les économies émergentes, ce rebond profiterait aux pays exportateurs alors que celles basées sur les services peineraient à bénéficier de la reprise.

La prudence reste de mise

Malgré cette tendance positive, les analystes de Coface gardent certaines réserves sur les perspectives des risques pays. Tout d’abord, l’incertitude qui plane toujours sur l’évolution de la situation sanitaire vient s’ajouter aux effets de la crise sur les chaînes d’approvisionnement qui ont crée des perturbations sur l’offre et une pression sur les prix. On peut egalement ajouter à ces facteurs la pénurie de main d’œuvre dont souffre toujours l’économie mondiale.

L’autre élément qui vient tempérer l’optimisme vient de la Chine et des turbulences de son économie. Le rôle central de la Chine dans le commerce international et dans les chaînes d’approvisionnement régionales fait peser la menace de risques importants sur les échanges économique en Asie, mais également sur d’autres marchés émergents tels que l’Amérique latine, le Moyen-Orient et encore l’Afrique.

Cette relative reprise a cependant joué en la faveur des services à fort contact tels que le commerce de détail, l’hôtellerie et les loisirs. Ces secteurs qui ont souffert en premier lieu des restrictions sanitaires ont connu une embellie formidable dans les pays les plus vaccinés. Pour le tourisme, on espère que la tendance va se confirmer à la hausse car ce n’est manifestement pas le cas à l’heure où nous écrivons ces lignes.

Consulter l’étude Coface

La reprise économique post-Covid est bien là et les mesures d’aide aux entreprises que le gouvernement a mis en place pendant cette crise sanitaire y ont joué un rôle primordial. Cependant certains secteurs subissent encore des effets indirects et ne parviennent pas à surmonter les difficultés de recrutement que cette crise a généré. Le gouvernement a réagi en présentant un plan de réduction des tensions de recrutement dont voici les détails.

Par Eric Orsini

Le Gouvernement a annoncé fin septembre la création et la mise en œuvre d’un plan de réduction des tensions de recrutement. Ce plan compte profiter de la reprise économique post-Covid pour solutionner les enjeux de recrutement dans certains secteurs d’activité : BTP, industrie, santé et grand âge, transport et logistique, hôtellerie -café-restaurant, commerce, etc.

Ce plan se divise en 3 axes distincts comprenant chacun différentes mesures :

  • l’axe 1 : renforcement de la montée en compétence et de la reconversion des salariés
  • l’axe 2 : amplification de l’effort de formation des demandeurs d’emploi afin de répondre aux besoins des entreprises
  • l’axe 3 : déploiement d’un plan spécifique et massif pour les demandeurs d’emploi de longue durée.

Voici les mesures phares de ce plan :

  • abondement de l’aide à la formation du Fonds national de l’emploi (FNE-formation) afin de permettre le financement de formations plus qualitatives et plus longues permettant au salariés de développer et de mettre à jour leurs compétences ;
  • simplification de la validation des acquis de l’expérience (VAE) afin de faciliter la mobilité des actifs ;
  • expérimentation de parcours VAE dérogatoires dans les métiers d’autonomie et du grand âge ;
  • simplification du dispositif « transitions collectifs », permettant aux employeurs de proposer à des salariés volontaires de se former afin de se reconvertir sur un métier porteur localement, dans le but de favoriser les reconversions professionnelles vers des secteurs qui recrutent
  • ○ en les rendant plus accessibles aux petites et moyennes entreprises ;
  • ○ en créant un réseau local de délégués à l’accompagnement des reconversions professionnelles et en renforçant l’actions des plateformes territoriales d’appui à ces transitions ;
  • augmentation du nombre de formations associées à une promesse d’embauche, sous la forme d’une formation préalable au recrutement (AFPR) ou encore d’une préparation opérationnelle à l’emploi individuelle (POEI) ;
  • amplification des pactes régionaux d’investissements dans les compétences, pour répondre aux besoins de recrutement dans les métiers en tension et pour coconstruire des actions de formation sur mesure ;
  • remobilisation des demandeurs d’emploi de longue durée, notamment :
  • ○ avec le recours à un diagnostic personnalisé et un plan d’action prenant en compte l’ensemble des difficultés de la personne (sociale, de santé et professionnelles) ;
  • ○ avec la mobilisation de pôle emploi s’engageant à contacter tous les demandeurs d’emploi de longue durée pour les orienter vers les mesures de ce plan
  • aide de 8 000 € pour chaque employeur recrutant un demandeur d’emploi de longue durée en contrat de professionnalisation.

Le contrat d’assurance-vie luxembourgeois (ou de capitalisation) séduit de plus en plus les épargnants. Ce qui a incité les compagnies d’assurance à réduire les tickets d’entrée à des montants plus faibles (en général 250K€). Vous l’aurez compris avec cette introduction, ces contrats sont plus accessibles mais demeurent destinés à des épargnants assez fortunés. Pourquoi séduisent-ils autant ? La réponse est triple : triangle de sécurité, possibilités d’investissement infinies, accès aux devises dans le contrat.

Par Géraldine Métifeux, associée fondatrice d’ALTER EGALE

Le triangle de sécurité :

En 2008, lors de la crise des subprimes, une partie des épargnants français a souhaité une plus grande protection de ses investissements, c’est-à-dire supérieure aux 70K€ et 100K€, respectivement pour les contrats d’assurance et les dépôts bancaires. Ce besoin s’est encore accentué au moment de la crise de la zone Euro en 2011.

C’est alors que le triangle de sécurité du contrat d’assurance-vie luxembourgeois est apparu comme la solution pour nombre de professionnels et d’investisseurs.

C’est tout d’abord l’intervention protectrice du régulateur dans les livres de la banque dépositaire en cas de difficulté de l’assureur.

C’est ensuite le « super privilège » qui donne une supériorité absolue aux créances d’assurance sur toute autre créance dont la compagnie serait débitrice (Etat, salariés, sécurité sociale, etc.).

Et enfin, c’est la ségrégation des actifs, c’est-à-dire que contrairement à ce qui se passe avec les contrats français, les actifs couvrant les contrats constituent un patrimoine distinct des fonds propres de l’assureur.

En clair, votre protection en cas de défaillance de l’assureur est plus importante dans ces contrats. Sachant, que la loi Sapin 2, notamment la partie sur l’indisponibilité du contrat sur 3 mois renouvelable une fois, ne trouverait sans doute pas à s’appliquer.


Géraldine Métifeux, associée fondatrice d’ALTER EGALE

Possibilités d’investissements infinies ou presque :

Même si désormais, les contrats français classiques offrent de très nombreuses allocations possibles, il n’en demeure pas moins que les possibilités sont plus importantes dans le cadre du contrat d’assurance-vie luxembourgeois.

En effet, dans le contrat luxembourgeois, vous pouvez naturellement être investi en gestion libre mais aussi dans un ou plusieurs FID (Fonds Interne Dédié – une sorte de mandat de gestion confié à une Société de gestion de notre choix) ou encore dans des FAS (Fonds d’Assurance Spécialisé – qui sont plus comme un mandat confié directement à votre Conseil en Gestion de Patrimoine).

Vous pouvez combiner toutes ces possibilités de gestion sous réserve de respecter les minimums par type de gestion qui parfois sont de 125K€ pour les FAS par exemple.

Piloter son exposition aux devises :

Le cas classique est celui où vous êtes expatrié mais que vous rentrez en France. Vous avez donc souvent des liquidités en Dollar USD que vous ne souhaitez pas nécessairement changer pour de l’Euro.

Vous souhaitez conserver cette double exposition aux devises mais quand même investir. Le contrat luxembourgeois permet cela.

Toutes les devises ne sont pas admissibles mais la plupart des « grandes » devises le sont. Et bien sûr aucune devise non transférable ne l’est.

Cela peut être utile aussi si on souhaite investir sur des fonds actions US en étant réellement exposé à la devise.

Cela peut être utile également quand on ne veut pas changer ses devises à une période qui ne serait pas favorable.

En conclusion, le contrat d’assurance-vie luxembourgeois est un outil sophistiqué de gestion de son patrimoine qui en plus des avantages évoqués ici, permet également d’assurer la neutralité fiscale et donc est encore plus pertinent quand le souscripteur connaît ou pourrait connaître une mobilité internationale.

Pour comprendre les attentes de vos collaborateurs et adapter votre stratégie RH, il est indispensable de suivre quelques indicateurs RH clés. Ne manquez pas ce Webinaire le 23 novembre à 11h30.

Le baromètre social vous permet notamment de mesurer les taux d’évolution de l’engagementet du bien-être des collaborateurs pour faire le lien avec l’absentéisme et le turn-over.

💡Lors de ce webinar, notre spécialiste en psychologie du travail vous montrera comment utiliser le baromètre social pour identifier les axes d’amélioration et mettre en place des actions concrètes.

Nous présenterons également des cas d’utilisation de cette pratique pour :

  • fidéliser les collaborateurs
  • renforcer le lien d’appartenance
  • booster l’engagement
  • réduire le nombre de départs volontaires

Et nous répondrons également à toutes vos questions en direct.

Au plaisir de vous y retrouver !

👉 REGARDEZ LE REPLAY

NB : Si vous n’êtes pas disponible mais que ce sujet vous intéresse, n’hésitez pas à vous inscrire quand même et ZEST vous enverra le replay du webinar par mail.

C’est parti ! Top départ pour le Deeptech Tour qui commence le 8 novembre 20211 et se poursuit jusqu’au 11 mars 2022. Cette tournée des doctorants, chercheurs et étudiants va sillonner la France dans le but d’initier de nouveaux projets entrepreneuriaux.

Après la réussite de sa première édition, le Deeptech Tour revient pour aller à la rencontre des chercheurs, doctorants, étudiants dans les campus universitaire et les inciter à se lancer !
Organisé par Bpifrance et l’Etat, le Deeptech Tour est une tournée vivante, inspirante et interactive des campus universitaires visant à mettre les projecteurs sur la Deeptech et aller chercher les entrepreneurs et innovateurs de demain.

Deeptech : des startups hautement technologiques qui façonnent le monde de demain. Derrières ces startups, il y a avant tout des individus : des chercheurs, doctorants, entrepreneurs, qui innovent pour changer notre société, nos modes de vie, de consommation, d’alimentation et ainsi transformer notre quotidien, nos industries et notre impact environnemental. 

C’est donc au plus près des laboratoires que le Deeptech Tour se rend pour répondre aux questions des étudants, doctorants et chercheurs au travers de conférences, ateliers et rencontres leur apportant des solutions pragmatiques : 

  • Qu’est-ce que la deeptech ? 
  • Comment identifier le potentiel de mes idées et publications, de mes technologies, de mes innovations ? 
  • Comment s’y sont pris ceux qui se sont lancés ? 
  • Qui aller voir pour démarrer ? 
  • Avec qui ? Avec quels moyens ? 
  • Qui peut m’accompagner ? A quel prix ? 
  • Comment faire pour réussir mon projet entrepreneurial et déployer une startup en France voire à l’international ? 
  • Comment trouver des clients ? Comment collaborer avec le monde socio-économique ? 

Et bien d’autres encore ! 

Pour celles et ceux qui ne peuvent pas se déplacer, le Deeptech Tour peut être suivi en intégralité du Deeptech Tour en direct et en replay. 

Les étapes du Deeptech Tour 

Bordeaux8 novembre 2021
Nice25 novembre 2021
Clermont Ferrand29 novembre 2021
Lyon2 décembre 2021
Grenoble6 décembre 2021
Nantesmars 2022
Nancymars 2022
Lilleavril 2022
Strasbourg12 avril 2022
Rennesdate à venir
Aix Marseille4 février 2022
Saclaydate à venir
Dijondate à venir
Montpellierdate à venir
Toulousedate à venir
PSLdate à venir
Université de Paris date à venir
Sorbonne Universitédate à venir
Orléans / Toursdate à venir

Charte de coopération entre les pôles universitaires et Bpifrance

Cette charte de coopération a été rédigée pour rapprocher les écosystèmes académiques et Bpifrance. Elle se décline sous forme de cinq piliers engageants venant renforcer l’impact notamment sur les projets Deeptech :

  • Sensibiliser
  • Donner de la visibilité
  • Accompagner financièrement
  • Accompagner les entrepreneurs
  • Renforcer la dynamique de partage

Charte de coopération entre pôle universitaires et Bpifrance de Bpifrance

Télécharger la charte

Nicolas Dufourcq, Directeur Général de Bpifrance, nous reçoit dans ses bureaux pour présenter le VTE (Volontariat Territorial en Entreprise) et lancer un appel aux adhérents et visiteurs de PME-ETI.fr.
Le programme VTE, initié par le gouvernement et porté par Bpifrance, est là pour répondre à l’enjeu capital que représente le recrutement des talents pour nos PME et ETI en région. Une belle initiative que nous sommes fiers d’accompagner !

Dubaï restera dans l’histoire comme le premier pays du Moyen-Orient à accueillir l’exposition universelle. L’évènement Expo 2020 Dubaï, pour lequel un budget pharaonique de sept milliards de dollars a été débloqué par le pays, se tient du 1ᵉʳ octobre 2021 au 31 mars 2022 et marque le retour de l’évènementiel à l’échelle planétaire depuis le début de la crise santaire. La France n’a pas manqué ce rendez-vous avec un pavillon à la hauteur des ses ambitions.

Par Franck Boccara

« Le monde entier se réunit aux Émirats arabes unis tandis que nous inaugurons ensemble {…} l’Expo 2020 Dubaï », a déclaré avec fierté le cheikh Hamdane, prince héritier de Dubaï, durant la grandiose cérémonie d’ouverture.

Un pavillon français écoresponsable

Chacun des 190 pays participant à l’Expo 2020 Dubaï disposera de son propre pavillon, une première pour une exposition universelle. La France a su marquer son originalité et se démarquer grâce à un superbe bâtiment écoresponsable pensé par les cabinets d’architectes L’Atelier Perez Prado et Celnikier & Grabli Architectes. L’ouvrage est totalement démontable et constitué de 2500 m² de tuiles solaires photovoltaïques. « Le Pavillon de la France cherche à repenser le progrès, à créer des émotions et des connexions, et à libérer de nouvelles idées afin de réinventer notre monde.« , précise le site internet de l’Expo 2020 Dubaï.

Le Pavillon France Expo 2020 Dubaï

L’inspiration à la vitesse de la lumière

La France a réussi à se servir de cet évènement mondial pour affirmer sa place de leader et son engagement pour une planète plus verte avec un pavillon clairement engagé vers les Objectifs de Développement Durable (ODD) définis par l’ONU. L’Expo 2020 Dubaï va donc permettre à la France de promouvoir et d’affirmer sa vision nouvelle d’un progrès responsable et de porter haut ses valeurs ainsi que son image dans les secteurs économique, culturel et touristique. Pour cela, nous avons sur place deux ambassadeurs de choix : Jessica Préalpato, Meilleure Chef pâtissier du monde 2019, et Thomas Pesquet, astronaute français de l’ESA.

Le Pavillon France avec son slogan « L’inspiration à la vitesse de la lumière » offre au visiteur un parcours plaisant dans lequel il pourra découvrir les innovations et créations françaises. L’exposition permanente est dédiée au concept du Progrès et propose trois espaces scénographiés.

Des expositions temporaires se succéderont tous les mois avec une expertise artistique dédiée à chacune d’entre elles : l’art digital (Histovery x L’Oréal sur Notre-Dame), les arts de la table (Groupe Chalhoub), l’art cinétique (Atelier Cruz-Diez), l’architecture (Société du Grand Paris x Dominique Perrault) et la mode (Jean Paul Gaultier).

Flying Whales, le plus grand dirigeable du monde

En plus de ces expositions et manifestations quotidiennes, la France est présente à Dubaï avec la start-up Flying Whales pour promouvoir le LCA60T (large capacity airship 60 tons), le plus grand aéronef au monde dont le vol inaugural est prévu en 2024.


Le LCA60T de FLYING WHALES

Ce dirigeable de 200 mètres de long et de 50 mètres de diamètre avec une capacité de transport pouvant aller jusqu’à 60 tonnes s’affirme comme la vision novatrice et écologique du cargo aérien. « Au travers du traitement moderne d’un objet iconique des Expositions universelles du siècle dernier, FLYING WHALES proposera aux visiteurs une expérience physique et digitale donnant à voir l’un des modes de transport phare de demain. », précise le site du Pavillon France.


Bpifrance et l’ADEME annoncent le lancement de la première promotion de l’Accélérateur Décarbonation, programme qui va permettre d’accompagner la décarbonation des PME et ETI françaises. En effet, 15 entreprises selectionnées sur l’ensemble du territoire vont participer pendant 24 mois à ce programme ciblé et personnalisé qui leur permettra d’ajuster leur business model aux enjeux climatiques et d’accélérer leur transition écologique.

Par Serge de Cluny

Crée par Bpifrance et l’ADEME, l’Accélérateur Décarbonation vient accompagner les entreprises désirant opter pour une démarche bas carbone en définissant avec elles une stratégie de décarbonation et une mise en place des premières étapes. L’Accélérateur Décarbonation est destiné aux PME et ETI industrielles françaises ayant déjà effectué un bilan GES afin de fournir des réponses à leurs besoins réels et opérationnels tout en fédérant un collectif de chefs d’entreprises.

Durant les deux prochaines années, les dirigeants bénéficieront collectivement et individuellement d’un programme intensif sur-mesure d’accélération de leur transition écologique qui consiste à :

  • Assister ces entreprises pour une meilleure appréciation des enjeux de décarbonation dans leur stratégie 
  • Identifier les leviers de réduction de leurs émissions de carbone et capitaliser sur leurs efforts dans une démarche bas carbone pour sécuriser leur développement
  • Susciter un partage des bons usages entre les participants grâce à l’effet de promotion des synergies

De plus, ces 15 dirigeants se verront attribuer 30 jours de conseil individuel issus de la démarche ACT Pas à Pas de l’ADEME qui comprend une première phase de cadrage/ diagnostic de la transition bas carbone de l’entreprise en se basant sur le diag 360° de Bpifrance, enrichi des outils de cette démarche et d’éléments B-Corp Impact Assessment. Les dirigeants suivront par la suite la méthode ACT Pas à Pas à travers l’utilisation d’un module d’élaboration de la stratégie de décarbonation et du plan d’action associé, suivi d’un module plus opérationnel pour appuyer le déploiement du plan d’action.

Les Mines Paris Tech, également partenaires de ce programme, offriront à ces dirigeants huit sessions collectives d’une journée de formation associant présentiel et distanciel ainsi qu’un parcours de e-learning sur mesure via la plateforme Bpifrance Université. Cette formation va permettre de transmettre à ces dirigeants de PME-ETI et à leur comité de direction une vision et des solutions concrètes sur les bonnes pratiques pour des sujets clés, tels que le financement de la décarbonation, les leviers marketing pour capitaliser sur celle-ci, la décarbonation de l’environnement de production (mobilité, efficacité énergétique, économie circulaire) ou encore les méga-trends.
De plus, les accès aux réseaux de Bpifrance et de l’ADEME leur seront facilités et les mises en relation entre accélérés de la promotion seront encouragées, de même qu’avec les 1 600 Accélérés Bpifrance, la communauté du Coq Vert, et la communauté Excellence (5 000 entreprises sélectionnées par Bpifrance pour leur fort potentiel de croissance).
 
« 80% des dirigeants sont convaincus que le changement climatique appelle une réaction immédiate selon la dernière étude « Les PME-ETI face à l’urgence climatique » de Bpifrance Le Lab. Pourtant, seuls 13 % déclarent être en capacité de réduire fortement leur empreinte carbone dans les 5 ans à venir. Durant 24 mois, notre Accélérateur les accompagnera dans la mise en place d’une stratégie ambitieuse de décarbonation viable et de long terme, véritable vecteur de performance pour leur entreprise. Bravo à tous les dirigeants qui ont rejoint ce programme ! » déclare Guillaume Mortelier, Directeur exécutif en charge de l’Accompagnement chez Bpifrance.
 
« En conjuguant les approches de Bpifrance et de l’ADEME, l’accélérateur « décarbonation » vous permettra d’identifier les leviers afin d’inscrire votre stratégie de transition bas carbone sur une trajectoire compatible avec la SNBC (ou l’Accord de Paris) et de contribuer à l’atteinte de la neutralité carbone de la France, tout en améliorant votre performance économique. » ajoute David Marchal, Directeur exécutif adjoint de l’expertise et des programmes de l’ADEME.

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