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SME-ETI

Nombre de PME et ETI industrielles françaises ont été impactées par la crise sanitaire et le gouvernement a répondu à cette situation par des mesures d’aides conjoncturelles fortes. Cependant il existe un moyen supplémentaire pour ces entreprises de renforcer leur trésorerie… celui de demander le remboursement partiel des taxes énergétiques supportées.

Par Franck Boccara

Le principe est simple ; une entreprise qui paie sa consommation d’énergie (gaz ou électricité) s’acquitte par la même occasion de taxes énergétiques qui atteignent environ 1/3 de la facture. La loi offre la possibilité aux entreprises ayant une activité « énergivore » de bénéficier de tarifs réduits et quelquefois d’exonérations.

Pour obtenir ces allègements, les entreprises concernées doivent bien sur effectuer des formalités administratives mais la bonne nouvelle est que ces démarches ont un aspect rétroactif et peuvent donc s’appliquer au remboursement des taxes supportées par le passé.

Comment fonctionnent les taxes énergétiques ?

Les taxes énergétiques sont facturées par les fournisseurs d’énergie auprès des consommateurs (particuliers, entreprises et collectivités) pour être ensuite reversées à l’administration des douanes en charge de cette taxation.

Lorsqu’une entreprise paye sa consommation d’électricité, elle règle en même temps la TICFE (Taxe Intérieure sur la Consommation Finale d’Electricité) avec un tarif de 22,50 € par mégawattheure. Cette taxe équivaut à 25 % du prix vente.

Pour le gaz, il s’agit de la TICGN (Taxe Intérieure de Consommation sur le Gaz Naturel) qui est tarifée à 5,23€ par mégawattheure lorsque le gaz est utilisé comme carburant et de 8,43€ par mégawattheure lorsqu’il est consommé comme combustible.

Ces taxes restent une source de revenus considérable pour l’Etat car elle représentent aujourd’hui sa quatrième recette fiscale.

Heureusement, le législateur a prévu des mesures d’optimisation fiscale par le biais de nombreux taux réduits et exonérations permettant de soutenir la compétitivité des secteurs les plus énergivores. Cependant la plupart des PME et ETI industrielles sont éligibles, notamment celles dont l’activité est considérée comme exposée à un risque de fuite de carbone (et donc en proie à la concurrence internationale).

Pour bénéficier de ces aides, l’entreprise devra fournir à l’administration des douanes et à son fournisseur d’énergie une attestation prouvant qu’elle répond aux critères d’éligibilité. Cette attestation sera valable pour toute la durée du contrat de fourniture.

Le remboursement des taxes énergétiques

Si les démarches administratives n’ont pas été effectuées, les fournisseurs d’énergie se réfèrent par défaut au taux plein des taxes énergétiques dans leur facturation.

Pour pallier au manque d’information ou à la négligence de certaines entreprises, la règlementation leur donne la possibilité d’obtenir un remboursement des montants payés au cours des deux dernières années ainsi que pour l’année en cours (2019, 2020 et 2021).

Les entreprises concernées devront soumettre un dossier de demande de remboursement à l’administration des douanes témoignant du fait que leur activité est considérée comme industrielle selon le droit douanier et qu’elle est l’énergo-intensive. Ce dossier de demande est composé de l’ensemble des factures énergétiques, d’un état récapitulatif des consommations, d’un formulaire de détermination de la valeur ajoutée et du RIB de l’entreprise. L’administration douanière s’engage à traiter ces dossier dans un délai maximum de quatre mois.



L’activité de la plateforme d’hébergement Airbnb a vu son activité augmenter très fortement pendant le deuxième trimestre. L’assouplissement de certaines restrictions liées à la crise du Covid-19 et la reprise des voyages d’affaires expliquent en grande partie ce redemarrage en trombe.

Par Eric Orsini

Les résultats d’Airbnb au deuxième trimestre ont déjoué toutes les prévisions des spécialistes qui annoncaient le prolongement de la morosité pour la plateforme de réservation en ligne.

Entre les mois d’avril et de juin 2021, le chiffre d’affaire d’Airbnb a atteint 1,34 milliard de dollars et ainsi multiplié par quatre les résultats de la même période en 2020. Cette activité inattendue a même dépassé de 10 % celle d’avril à juin 2019, avant le Covid-19.
Ce deuxième trimestre 2020 a permis à Airbnb de dégager un Ebitda ajusté de 217 millions de dollars et de limiter ainsi sa perte nette à 68 millions de dollars alors que le marché et les spécialistes annoncaient une perte quatre fois plus importante.

On parle de 83,1 millions de nuitées et expériences réservées pendant cette période, ce qui équivaut à une hausse de 200 % par rapport à 2020 et à une baisse d’1% par rapport à 2019, avant la crise sanitaire. Les investisseurs, de leur côté, n’ont pas accompagné cette envolée de l’activité puisque le titre Airbnb a connu une chute d’envoiron 5 % dans les échanges après-Bourse du jeudi 12 aout.

Concernant le troisième trimestre, tout dépendra évidemment des variants du Covid-19 et de la façon dont les pays vont réagir avec la probable mise en place de nouvelles politiques de restrictions sanitaires. « Nous commençons à sentir un impact sur les annulations et l’évolution des réservations », a déclaré Airbnb à ses actionnaires. 

Par contre, dans son communiqué, le leader de l’hébergement entre particuliers se montre bien plus optimiste : « Alors que la pandémie de Covid-19 crée une incertitude continue pour nos résultats futurs, nous prévoyons que le chiffre d’affaires du troisième trimestre 2021 sera notre chiffre d’affaires trimestriel le plus élevé jamais enregistré et qu’il fournira les dollars d’Ebitda ajusté et la marge les plus élevés jamais enregistrés »…. qui vivra verra !

Le gouvernement continue sa politique de soutien à destination des entreprises impactées par la crise du Covid-19. Dans le cadre de la loi du 31 mai 2021, un dispositif de redressement judiciaire simplifié sous forme de procédure collective vient d’être crée pour accompagner les PME en cessation de paiements.

Par Franck Boccara

Grâce à cette mesure, les entreprises en état de cessation de paiements auront droit à une « procédure de traitement de sortie de crise » qui leur permettra de bénéficier d’un plan d’apurement du passif à l’issue d’une brève période d’observation.

Une forme de redressement judiciaire simplifié

A l’instar du redressement judiciaire, cette nouvelle mesure a été mise en place afin de permettre aux PME qui connaissent des difficultés de remboursement de leurs dettes de présenter, sous l’égide du Tribunal, un plan d’apurement du passif.

Accompagnée par un spécialiste des procédures collectives, la PME en question pourra, après une courte période d’observation de 3 mois maximum, prétendre à un étalement de son passif sur une durée pouvant atteindre 10 ans. Ainsi, ce redressement judiciaire simplifié permet au dirigeant de ne pas s’exposer au dépôt d’une offre de reprise par un tiers.

Créer un plan de continuation par l’apurement du passif

La PME, à la condition qu’elle ait une comptabilité fiable et à jour, pourra inclure l’ensemble de ses dettes (fiscales, sociales, bancaires, fournisseurs) dans son plan d’apurement. Cette solution va ainsi lui permettre de mettre en place un plan de remboursement précisément adaptés à ces besoins.

La loi prévoit le remboursement de 8 % du passif au minimum dans les trois années suivant la procédure et les créanciers se verront donc proposer plusieurs modèles de remboursement du passif. Le plan va permettre d’étaler le paiement du passif sur un maximum de 10 ans, mais également d’opter pour d’autres possibilités comme par exemple l’abandon partiel de créances ou la conversion de créances en capital.

Cette procédure simplifiée et souple semble pouvoir convenir aux entreprises qui recherchent une solution maîtrisée à leurs difficultés mais il n’est pas certain que les dirigeants fortement endettés par la crise sanitaire opteront pour ce dispositif qui remet en question le mode traditionnel de gestion de passifs.

Le Dubai World Trade Centre vous attend du 17 au 21 octobre pour l’édition du GITEX 2021, le plus grand évènement Tech & Startups de la zone Moyen-Orient, Afrique & Asie Sud-Est. Un rendez-vous à ne pas manquer pour les start-ups innovantes de la French Tech.

Dirigeants de PME et ETI innovantes, voici quelques raisons pour ne pas hésiter à confirmer votre présence au GITEX 2021

  • GITEX est le plus grand salon technologique de la région MEASA (Moyen-Orient, Afrique et Asie du Sud). Vous aurez donc l’occasion d’y rencontrer les principaux acteurs de toutes ces régions du monde.
  • Dubaï se positionne comme « LE HUB » des TIC au Moyen-Orient
  • La 39ème édition du GITEX en 2019 a reçu pas moins de 150.000 visiteurs en provenance de 140 pays et 4500 exposants issus de 97 pays différents
  • L’édition 2020 a, dans le contexte sanitaire Covid19, eu lieu sous forme hybride, live et virtuel. Bien qu’ayant accueilli moins d’exposants et de visiteurs, cet évènement, le premier à avoir été organisé « Live » après le début de la pandémie, a rencontré un succès inespéré
  • Cette année, GITEX est organisé pendant l’Exposition Universelle Dubaï 2020
  • Vous y rencontrerez tous les grands joueurs du secteur: Microsoft, LG, Amazon, Dell, SAP, HP, Intel, Panasonic…
  • Beaucoup de stands nationaux y sont également présents, notamment Israël (depuis 2020) ainsi que l’Inde, la Chine, la France, la Roumanie, le Nigéria, la Suisse, les pays du Golfe, l’Allemagne, le Royaume-Uni et la Russie.
  • GITEX, de par sa dimension régionale et internationale et la multiplicité des secteurs représentés, reste le salon incontournable pour toute entreprise des TIC qui désire se développer dans la zone MEASA.
Benefices-Gitex

Voici les 19 secteurs mis en avant au GITEX 2021 :

  • Agro-Tech
  • Artificial Intelligence
  • Blockchain
  • Creative Economy
  • Consumer Tech
  • Digital & Social Media
  • Software
  • Tourism & Hospitality
  • Women in Tech
  • Education
  • Mobility
  • Fintech & E-commerce
  • Healthcare
  • Immersive AR / VR
  • Environmental & Social Impact
  • Robotics
  • Smart Cities & IoT
  • Space Tech
  • Sports Tech

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Ryanair, la compagnie aérienne irlandaise spécialiste des vols low cost a exposé ce vendredi 30 juillet 2021 à l’aéroport Paris-Beauvais son programme de reprise dans lequel elle propose 58 destinations parmi lesquelles 16 nouvelles villes dans l’hexagone ainsi qu’au Maroc, en Europe et au Proche-Orient.

Par Eric Orsini

Ryanair a donc annoncé son programme de reprise 2021 à partir de Beauvais-Tillé où elle a inauguré une base en décembre 2020. La compagnie aérienne va assurer jusqu’à 211 vols par semaine vers 58 destinations, dont 16 nouvelles. « Heureuse de restaurer la connectivité de sa nouvelle base ainsi que de contribuer à celle du trafic aérien français, alors que les campagnes de vaccination se poursuivent à travers l’Europe à temps pour la haute saison estivale » s’est réjouie Ryanair.

Durant cet été, la low cost propose une feuille de route comprenant 45 lignes pour 174 vols hebdomadaires avec de nouvelles destinations desservies : Ibiza, Marseille, Naples, Zadar, Zagreb ou encore Corfou.

Le programme de vols de la compagnie prépare la reprise des voyages d’affaires pour la saison hiver 2021-2022 avec 211 vols par semaine vers 53 destinations dont plusieurs nouvelles villes desservies à raison de 2 ou 3 liaisons hebdomadaires : Malaga, Riga, Santander, Amman, Helsinki, Liverpool, Agadir, Tallin, Turin et Gdansk.

Aéroport Paris-Beauvais

«En tant que plus grande compagnie aérienne d’Europe, nous sommes ravis de mener la reprise et la croissance de notre nouvelle base de Paris Beauvais malgré les difficultés liées à la pandémie de Covid-19. Grâce aux efficaces programmes de vaccination, le trafic aérien français devrait continuer de se redresser fortement cet été et au-delà », a déclaré Dara Brady, directeur marketing de Ryanair.

« L’ouverture de ces nouvelles lignes par la compagnie Ryanair augmente le champ des horizons accessibles à nos passagers au départ de l’aéroport de Paris-Beauvais. Nous sommes à la fois heureux de pouvoir permettre des voyages à bas prix et de démonter une nouvelle fois tout l’intérêt que présente notre infrastructure publique pour le dynamisme local et régional », a ajouté Michel PEIFFER, Président du Directoire SAGEB – Aéroport de Paris Beauvais.

Le marché africain vous intéresse ? N’hésitez pas à participer à cette mission pour comprendre la Côte d’Ivoire, son marché, ses enjeux et saisir les opportunités d’affaires dans un pays francophone avec une économie qui s’affirme comme la locomotive de l’Afrique de l’ouest.

La Côte d’Ivoire a de loin le meilleur taux de croissance du PIB d’Afrique Subsaharienne et son économie a largement prouvé sa résilience. Le pays se positionne comme la première économie de l’Afrique de L’Ouest Francophone (UEMOA) et souhaite devenir un pays émergent.

Cette croissance a certes été ralentie par les impacts de la pandémie de Covid-19 (le FMI a réduit sa prévision de croissance du PIB en 2020 de 7,3 % à 2,7 %). Cependant un très fort rebond de + 8,7 % est anticipé par le FMI pour 2021, ce qui représenterait la plus forte progression du continent.

Ce dynamisme économique, conjugué à des infrastructures de qualité et un environnement des affaires favorables, offre à la Côte d’Ivoire une position de hub régional qui en fait une destination idéale pour toutes les PME et ETI françaises voulant se développer en Afrique de l’Ouest. 
Les secteurs principalement concernés par la mission : BTP Infrastructure et mines / agriculture et industrie agro / santé / transports et mobilités / télécoms et TIC / traitement de l’eau / énergies renouvelables / environnement « traitement des déchets » / distribution / cosmétique / biens de consommation…

La présence au pouvoir du Président Ouattara donne au pays une stabilité politique et une nouvelle impulsion de développement économique avec la mise en place de nouveaux programmes d’investissement. La mission va offrir aux entreprises des opportunités de contact direct avec le milieu d’affaires ivoirien dans le but d’initier de futurs partenariats commerciaux ou d’implantation.

Objectifs de la mission 

  • comprendre le marché ivoirien et ses enjeux, 
  • détecter les opportunités d’affaires, 
  • trouver vos futures partenaires en les rencontrant en face à face,
  • présenter votre activité, vos produits et vos marques à un public de professionnels et aux consommateurs ivoiriens,
  • renforcer votre présence sur ce marché dont l’objectif à terme est de devenir un hub dans la région,
  • bénéficier de l’effet réseau et échanger avec la communauté d’affaires franco-ivoirienne.

Optimiser votre projet et votre prospection

– un entretien préparatoire avec le conseiller en charge de votre programme individuel sur place 
– une réunion préparatoire avec les entreprises franciliennes participant à la mission 
– un programme de rendez-vous B to B personnalisé et individuel réalisé au regard de votre cahier des changes
– des événements de networking sur place 
– une réunion et un entretien de suivi (après un premier bilan sur place) 
– une adhésion au Comité d’Echanges Afrique-France (CEAF

Cette mission, organisée avec la TFE et Business France inscrite au programme France export et peut bénéficier du dispositif : chèque relance export et l’assurance prospection BPI

Contact : Zouvir RABIA 

E-mail : zrabia@cci-paris-idf.fr

INFORMATIONS ET QUESTIONS

Depuis plusieurs années, le Portage Salarial ne cesse de voir son intérêt se développer auprès des entreprises et des professionnels. Pour autant, même si son concept est simple, il est souvent confondu avec d’autres statuts ! Voici donc un rapide tour d’horizon du Portage Salarial… mais pas seulement … bonne lecture !

Par Arnaud Ribon – Fondateur de Golden Portage

PORTAGE SALARIAL VS SALARIAT

Le Portage Salarial est un statut permettant aux professionnels souhaitant devenir indépendants, d’y parvenir en s’évitant les contraintes administratives et la précarité de la micro-entreprise par exemple.

Il pose d’emblée une relation entre la personne portée, ses clients et l’entreprise de portage. Le consultant est salarié de la société de portage et bénéficie de ce fait de la protection sociale et des prérogatives liées au salariat… prévoyance, sécurité sociale, retraite, assurance chômage… pour ne citer qu’elles !

Arnaud Ribon
Fondateur de Golden Porta
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En revanche, il reste autonome. Il s’occupe de son propre démarchage, il maitrise sa rémunération, reliée directement au chiffre d’affaires réalisé auprès de ses clients. Il arrive d’ailleurs à obtenir plus de 50% du chiffre d’affaires en salaire net ! Et il est souvent payé en fin de mois indépendamment du paiement client.

PORTAGE SALARIAL VS CREATION D’ENTREPRISE

L’entrepreneur est soumis à des obligations juridiques, comptables, fiscales, sociales et administratives qu’il est obligé de prendre en charge personnellement ou en ayant recours à un expert-comptable ou à un avocat.

Différence notable… l’ensemble des obligations juridiques, comptables et administratives sont prises en charge par la société de portage !

Elle signe ensuite un contrat de prestation de services pour toutes les missions réalisées par ses portés, et s’occupe également de la facturation et du paiement du salaire en fin de mois.

La société de Portage Salarial rétrocède enfin les honoraires desquels sont déduits sa commission (entre 5 et 10% la plupart du temps).

PORTAGE SALARIAL ET INTERIM

Alors que la rémunération de l’intérimaire est déterminée par l’entreprise cliente, le porté choisit lui-même sa rémunération, en fonction de sa facturation et de son chiffre d’affaires.

L’intérimaire est un employé mis à disposition par la société d’intérim pour ses clients à plein temps ou à temps partiel, en fonction de la demande.

Les deux modèles s’opposent. Alors que la société de portage représente au final ses portés, défendant leurs intérêts auprès des clients, la société d’intérim est quant à elle au service du client final.

PORTAGE SALARIAL ET MICRO-ENTREPRISE

Les deux statuts sont, l’un comme l’autre, simples à mettre en place.

En revanche une différence majeure concerne le plafonnement du chiffre d’affaires pour la micro-entreprise. En effet, cette dernière ne peut excéder 70 000 euros pour les prestataires de services. Il s’agit donc généralement d’un complément de salaires, ou alors d’une première expérience réalisée en sortie d’études.

Le porté n’a de son côté aucune limitation concernant son chiffre d’affaires.

Deuxième différence majeure… la protection sociale. Celle de la micro-entreprise est quasi-inexistante. Le porté en revanche, étant salarié de la société de portage, bénéficie d’une protection notable et de l’assurance chômage, ce qui n’est pas le cas du micro-entrepreneur. Idem pour les cotisations retraites.

Autre point, l’entreprise de portage salarial prend à sa charge la responsabilité civile professionnelle des prestations du porté. Le micro-entrepreneur lui, doit assumer pleinement sa responsabilité pour son patrimoine personnel et les risques potentiels générés par sa microentreprise.

Dernier point, les frais professionnels ! Le portage salarial permet de rembourser les frais professionnels conformément aux règles Urssaf (transport, repas, invitation, achats informatiques …), ce qui n’est pas le cas de la micro-entreprise.

Grâce à une connaissance parfaite des enjeux énergétiques des PME et ETI, ENGIE Entreprises et Collectivités s’est imposé au fil des années comme une référence en matière d’électricité, de gaz et d’énergie verte.
La mise à disposition d’un binôme « commercial et conseiller clientèle » spécialement dédié aux PME et ETI en plus d’une disponibilité et une proximité maximale rendent l’approche d’ENGIE Entreprises et Collectivités unique sur le marché.
Patrick Andrieu, Directeur entreprises et Carole Cappaï, Responsable PME et ETI nous parlent d’une offre complète d’accompagnement vers une transition énergétique réussie.

Fort d’un réseau de plus de 40 spécialistes, COSMA Experts propose aux entreprises des solutions sur mesure pour rationaliser leurs coûts indirects et ainsi booster leur performance financière.

Par Gérald Le Teurs – Directeur Associé COSMA Experts

Depuis près de 15 ans, les spécialistes de notre cabinet de conseil en optimisations interviennent auprès de nos clients sur leurs 45 catégories d’achats indirects (logistique, frais généraux, production, finance…).

Notre crédo : mettre en place les améliorations de processus et de rationalisation de leurs coûts sur l’ensemble des dépenses opérationnelles afin de leur permettre de dépenser mieux. En outre, l’expérience récente démontre qu’une mission menée par COSMA Experts permet aussi de maintenir leur marge.

Pourquoi ? Alors que de nombreuses entreprises ne peuvent que subir la hausse significative des prix des matières premières, nos clients quant à eux disposent encore de marges de manœuvre suite à la mise en place de nos solutions.


Gérald Le Teurs – Directeur Associé COSMA Expert
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Le contexte actuel inflationniste révèle les limites du modèle de la mondialisation, et nous anticipons des impacts sur d’autres maillons de la chaîne de valeur. Nous appelons cela « l’effet cliquet », chaque perturbation va engendrer un « serrage » en réaction, comme actuellement sur le prix des matières premières.

Chez COSMA Experts, une opération d’optimisation vise à améliorer la structure du coût. C’est-à-dire que nous travaillons non seulement sur le prix mais aussi sur ses composantes : organisation, positionnement, processus.

Cette analyse menée sous l’angle de l’optimisation entraîne une économie de vos achats indirects (réduction des surcoûts) et permet également de neutraliser en partie les coûts cachés.

Nos missions en cours révèlent que nos clients, malgré les hausses actuelles, préservent tout ou partie de leur marge sur les catégories de coûts optimisées grâce entre autres à notre régulation tarifaire.

Leurs grilles tarifaires restent compétitives face à la concurrence, ce qui se révèle précieux en cette période. Un angle de réflexion intéressant face à ce fameux « effet cliquet ».

Nous répondrons dans un prochain article à la question souvent posée : Pour cette sortie de crise dois-je privilégier une stratégie de réduction ou d’optimisation ?

Nous contacter : www.cosma-experts.fr ou par téléphone : +33 (0)1 85 08 45 80

On craint toujours, du fait des faibles volumes d’échange, que l’été soit une période à risque. Il est vrai que le manque de volume va généralement amplifier les tendances et le fait que peu d’acteurs interviennent aura pour effet d’augmenter le poids relatif de chacun. Donc quelles conclusion tirer des périodes estivales de ces dernieres années et vers quelle allocation d’actifs se tourner cet été ? Voici quelques réponses bien concrètes.

Par Géraldine Métifeux, associée fondatrice d’ALTER EGALE

Si on analyse les trois derniers étés, on se rend compte qu’ils n’ont finalement affiché que peu de variation sur le CAC 40 :

  • Août 2020 aura été assez calme : variation entre 4889 et 4938 points. Soit approximativement 1% de baisse.
  • La variation en août 2019 a été comprise entre 5359 et 5 480 points. Soit un gain de 2.25%.
  • Et en août 2018, la variation du CAC a été comprise entre 5 460 et 5 406 points. Soit une baisse d’environ 1%.

La question légitime est : cet été 2021 sera-t-il haussier ou baissier ? D’autant que le contexte cette année peut sembler plus stressant du fait des niveaux très hauts des marchés actions.

Quelle allocation d’actifs pour quel profil d’épargnant ?

En réalité, tout dépend du type d’épargnant que vous êtes (prudent ou pas trop) et si votre portefeuille d’investissement est déjà constitué ou en voie de l’être.

Clairement, pour nos clients qui vont commencer à investir au début de l’été, nous resterons assez prudents avec une proportion plus importante que classiquement en cash et en fonds Euro selon les enveloppes où sont logés les fonds. Cette part peut atteindre 40%.

Pour la partie « active », il faut distinguer 3 catégories de fonds et d’investisseurs. Nous en tirerons une allocation type.

1/ Les fonds d’opportuniste :

C’est l’investisseur qui veut profiter de l’été pour s’investir.


Géraldine Métifeux, associée fondatrice d’ALTER EGALE

Nous conseillerons nettement des fonds actions et des fonds plutôt orientés croissance adaptés à celui qui croit en l’avenir. Pour saisir les grandes tendances, restons sur des fonds actions internationales tels que Carmignac Investissement ou JPM Global Focus.

Pour faire le choix des gagnants du Covid en termes de zones géographiques, faisons encore le pari de fonds actions US tels que OFI US Equity ou Richelieu America ; et des actions chinoises, les fonds JPM Greater China ou JPM Share Opportunities sont les fonds que nos préférons.

Ces fonds sont pour les optimistes/opportunistes et qui ont conscience du risque qu’ils prennent.

2/ Les fonds de fond de portefeuille :

Nous allons rechercher des fonds DICI 4 (sur une échelle de 1 à 7, par comparaison les fonds précédemment cités sont plutôt classés 6 sur 7).

Le but est de trouver des fonds avec un espoir de rendement et forcément un peu de risque mais où normalement quand on rentre de vacances, la perte n’est pas de -30% sur 1 mois. Parmi nos fonds préférés et que vous pouvez retrouver facilement :

  • Carmignac Patrimoine
  • Carmignac Flexible Bonds
  • Eleva Europe Absolut Return
  • Lazard patrimoine
  • JPM Global Macro Opportunities
  • La gamme Varenne – Varenne Global et Varenne Valeur.

3/ Les fonds pour les angoissés des étés perturbés :

Dans cette catégorie, il semble difficile de sortir des fonds Euro ou monétaires.

Pour ce type d’investisseurs, nous proposons de ne pas investir à cette période ou alors sur un produit structuré dédié type Phoenix sur indice avec une grosse protection des coupons (-25%) et accepter un rendement de l’ordre de 3% par an bruts des frais du contrat ou compte-titres.

L’allocation d’actifs type pour l’été serait donc :

En résumé et pour trouver une allocation d’actifs tout terrain avec un horizon de temps de 5 ans idéalement, nous proposerions les fonds suivants :

  • 30% sur des fonds Euro ou monétaires
  • 40% sur des fonds flexibles prudents et des produits dédiés structurés tels que
  • Carmignac Patrimoine
  • Eleva Europe Absolut Return
  • JPM Global Macro Opp.
  • Un produit structuré type Phoenix sur indice,
  • 10% fonds actions flexibles européens ou internationaux :
  • Varenne Global – version actions internationales
  • Varenne Valeur – version actions européennes.
  • 20% sur des fonds actions internationales :
  • Carmignac Investissement
  • JPM Greater China
  • OFI US Equity

Voilà une allocation d’actifs qui certes comporte un certain risque mais qui reste admissible pour un horizon de 5 ans et qui vous permettra de ne pas trop stresser sur la plage.

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