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SME-ETI

Les risques d’accidents cardiaques représentent un réel enjeu aussi bien pour la santé des salariés au travail qu’au niveau réglementaire. La présence d’un défibrillateur et de personnels formés au secourisme (SST) deviennent indispensables pour beaucoup de PME et ETI. Devant la complexité du choix dans ce domaine, les entreprises doivent faire appel à de vrais experts.
MATECIR DEFIBRIL, premier réseau d’accès publique français à la défibrillation cardiaque externe, offre des solutions complètes d’équipement en défibrillateur, de maintenance et de formation aux gestes de premiers secours.
Nicolas D’Agostino, DGA de DEFIBRIL et Sarah Ramas, commerciale, nous éclairent sur ces dispositifs médicaux qui révèlent leur véritable importance lorsque la vie humaine est en jeu.

La loi ASAP (d’Accélération et de Simplification de l’Action Publique) a pour but d’encourager l’épargne salariale et l’épargne interentreprises à travers plusieurs mesures favorisant et sécurisant le développement de ces dispositifs. Petit tout d’horizon…

Par Eric Orsini

Les branches professionnelles obligées de négocier

Les branches professionnelles bénéficient d’un délai supplémentaire d’une année afin de négocier des accords types de branche qui touchent à l’intéressement, la participation ou l’épargne salariale.

Au jour d’aujourd’hui, de tels accords ont été initié uniquement par une douzaine de branche appartenant aux secteurs du BTP, de la banque, des commerces et services de l’audiovisuel, de l’électronique et de l’équipement ménager. Ce délai supplémentaire va donc permettre d’intégrer davantage de secteurs et donc d’encourager la mise en place de l’intéressement pour plus d’entreprises, notamment des PME et ETI.

Ces accords de branche vont servir de base aux entreprises pour mettre en œuvre plus simplement un régime d’intéressement du fait qu’elles auront la possibilité d’appliquer ou de s’inspirer d’un accord qui sera adapté à leur domaine d’activité. Par contre, les entreprises ne pourront adhérer à un de ces accords de branche qu’après agrément préalable selon la procédure instituée par la loi ASAP. Cette mesure garantit la conformité des termes de l’accord de branche aux dispositions légales en vigueur et par là même évite la remise en cause des exonérations accordées aux entreprises adhérentes.

Cet agrément vient renforcer la sécurité juridique des régimes qui seront établis puisqu’ils sont calqués sur les accords de branche. Cependant, cette mesure ne va pas forcément simplifier les choses car, en plus des accords de branches déjà négociés (étendus et non étendus) va se creer la catégorie d’accord agréé. En fonction du secteur d’activité, l’entreprise qui remplit les conditions va devoir établir un régime d’intéressement en cas d’extension de l’accord ou si elle est membre du syndicat patronal signataire.

Les différents accords de branche existants (étendus/non étendus/agréés) soulève la question de leur articulation. A partir du moment où l’agrément préalable est une condition nécessaire à l’application d’un accord de branche, sera-t-il possible pour les entreprises de continuer à appliquer des accords étendus non agréés ? Les branches seront-elles tenues de faire agréer les accord étendus ou non étendus ? Comment l’absence d’agrément sur les accords déjà négociés et appliqués va -t-elle impacter les entreprises ?

Les conditions d’adhésion

L’accord institué par la branche est ouvert à toutes les entreprises mais il existe une distinction dans les modalités d’adhésion selon la taille. Les entreprises ayant au moins 50 salariés sont tenues à un accord selon les modalités propres à l’épargne salariale tandis que les entreprises de moins de 50 salariés peuvent choisir une application directe de l’accord de branche par le simple dépot d’un document unilateral sur la plateforme Téléaccords.

Pour cela, les entreprises devront s’assurer que l’accord de branche prévoit cette possibilité d’adhésion unilatérale et offre un accord type qui indique les différents choix proposés à l’employeur. L’accord type de branche doit aussi contenir des mesures spécifiques pour ces entreprises.

Il n’est toutefois pas sûr que toutes les entreprises vont bénéficier de cette facilité de mise en place d’un régime d’épargne salariale puisque cette possibilité n’est pas accessible aux entreprises de moins de 50 salariés à défaut pour l’accord de branche d’autoriser une application directe des dispositions relatives à l’épargne salariale ou de proposer un accord type. Ces cas là ne sont donc en rien faciliter par la loi Asap.

Des modification à compter du 1er septembre 2021

A partir du 1er septembre 2021, ce sera une nouvelle procédure de contrôle qui sera appliquée pour les accords d’intéressement déposés après cette date. Le contrôle va donc être partagé entre la Direccte pour les modalités de dépôt, de négociation, de dénonciation et de révision et l’Urssaf pour ce qui concerne le fond.

Le contrôle des règlements de PEE déposés à partir de cette même date du 1er septembre 2021 sera partagé entre la Direccte et l’organisme de recouvrement de l’entreprise (Urssaf, la CGSS ou MSA). La Direccte sera toujours en charge du contrôle des formalités de dépôt de l’accord et des modalités de négociation, dénonciation et révision. Le fond sera quant à lui contrôler par les organisme de recouvrement (Urssaf, CGSS ou MSA). Un prochain décret viendra bientot fixer les délais de cette nouvelle procédure qui ne devrait pas dépasser 4 mois.

L’Urssaf voit, de son côté, sa capacité de controle renforcée par la loi ASAP puisque jusqu’à présent elle était simplement consultée sur les accords par la Direccte. Le contrôle de la conformité et de légalité des accords ne ressort pas vraiment chamboulé par les modifications de la loi ASAP mais les conséquences positives de ce changement ne sont pas encore véritablement mesurables aujourd’hui…l’avenir nous le dira.

Nicolas Dufourcq, Directeur Général de Bpifrance, nous reçoit dans ses bureaux pour présenter le VTE (Volontariat Territorial en Entreprise) et lancer un appel aux adhérents et visiteurs de PME-ETI.fr.
Le programme VTE, initié par le gouvernement et porté par Bpifrance, est là pour répondre à l’enjeu capital que représente le recrutement des talents pour nos PME et ETI en région. Une belle initiative que nous sommes fiers d’accompagner !

La Défense, le plus grand quartier d’affaires d’Europe, se refait une beauté en se lançant dans des travaux pour verdir et moderniser sa dalle. Bientôt mieux desservie depuis Paris, La défense va également profiter de l’ouverture du Cnit Forest l’année prochaine pour renforcer son attractivité sur le segment du tourisme d’affaire et du MICE.

Par Eric Orsini

La crise du Covid a bouleversé les usages des entreprises en matière de bureaux. L’explosion du télétravail, l’utilisation de nouveaux espaces et de nouvelles technologies ont stoppé net la dynamique de l’hyper-concentration à Paris comme dans tous les pôles économiques au monde. Le quartier de la Défense n’a évidemment pas été épargné par le phénomène et la crainte de se retrouver avec un stock de bureaux vides se fait sentir encore plus fortement après la livraison de nouvelles tours (Trinity et Alto) et avant l’inauguration prévue en 2022 d’Hekla, la deuxième plus haute de France.

Comme tous les quartier d’affaires, La Défense doit se remettre en question et s’adapter aux nouvelles réalités pour conserver sa place. Ses dirigeants l’ont bien compris en s’engageant en ce début mars 2021 dans une véritable transformation des 20 000 mètres carrés de la place de La Défense (le cœur du quartier) qui se verront modernisés et végétalisés, avec arbres et pelouses. A cela viendra s’ajouter la réouverture à l’été 2022 des espaces consacrés au tourisme d’affaires situés sous le Cnit, fermés en 2015 afin de construire la nouvelle gare qui reliera dès 2023 La Défense à la gare Saint-Lazare et à la gare Nord grâce au futur RER Eole.

Viparis, la société qui gère les lieux est le leader européen de l’accueil de salons et congrès. Filiale à 50% d’Unibail-Rodamco-Westfield (le propriétaire du Cnit), Viparis a demandé au dessinateur de bandes dessinées François Schuiten de reinventer les 20 000 m² d’espaces modulables situés dans les sous-sols, rebaptisés Cnit Forest. En partenariat avec l’architecte Nicolas Adam, il aura ainsi crée un site étonnant dans un des bâtiments les plus célèbres du quartier, construit en 1958 et connu pour sa vaste voute triangulaire en béton basée sur trois points d’appui.

Cependant la tour de bureaux ne répond plus aux stantards écologiques et sanitaires actuels, tout comme les quartiers 100% affaires. C’est ainsi que va naitre une nouvelle « Défense » plus verte et moins verticale avec plus de logements d’habitation, portée par le Grand Paris express et la nouvelle ligne 15 du métro. En expansion du côté de Nanterre, l’avenir de La Défense devrait ainsi s’orienter doucement entre les gares de La Défense et de Nanterre-La Folie.



La Team France Export, le Comité Stratégique de filière « Mode & Luxe » et leurs partenaires unissent leurs efforts en organisant le Relance Export Tour destiné à la filière mode & luxe. Dans ce cadre, un webinaire aura lieu jeudi 18 mars 2021 de 9h30 à 12h… inscrivez-vous ci-dessous

L’événement digital de relance « Mode & Luxe » de la Team Export France vise à :
• Présenter le plan de relance export aux entreprises de la filière ainsi que ses enjeux.
• Décrypter la nouvelle donne des marchés prioritaires ainsi que les opportunités d’affaires notamment grâce à des acteurs étrangers et aux experts sectoriels de Business France qui partageront leurs observations, recommandations, analyses et datas relatives à la construction de ce nouveau monde de l’Art de Vivre post Covid-19.
• Faire témoigner des entreprises aguerries à l’export pour un retour d’expérience

Le programme s’articule autour de 3 tables-rondes :

9h30 – 10h00 : Présentation du Plan de Relance et des dispositifs d’accompagnement export

Christophe Lecourtier, Directeur Général de Business France

Franck Riester, Ministre délégué auprès du ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, chargé du Commerce extérieur et de l’Attractivité

Guillaume De Seynes, Président du CSF Mode & Luxe

10h00 – 10h40 : Quels sont les nouveaux modes de consommation ?

10h40 – 11h20 : Comment se réinvente la distribution à l’étranger ?

11h20 – 12h00 : Comment communiquer auprès de sa cible BtoB et BtoC à l’international ?

L’événement se poursuit l’après-midi du jeudi 18 et la journée du vendredi 19 mars avec des sessions de Speed-meetings organisés entre entreprises de la filière et les experts sectoriels des bureaux Business France à l’étranger.

INSCRIVEZ-VOUS !

La Team France Export est pleinement opérationnelle à vos côtés durant la crise. Elle offre un service de monitoring en temps réel pour les exportateurs décrivant l’activité économique et la pratique des affaires dans 70 pays grâce à une carte interactive pour suivre la situation.

Pour aller plus dans le détail, secteur par secteur et pays par pays, un programme de plus de 170 webinaires gratuits est en cours, accessible depuis le site Teamfrance-export.fr

L’apparition du Covid a considérablement accéleré la transition des modes de consommation vers des parcours clients digitaux et omnicanaux. C’est précisement pour répondre à ces nouveaux enjeux que DALENYS propose sa plateforme de paiement unifiée.
Guillaume Djourabtchi, Directeur Marketing et Paul Hajjar, Directeur Commercial nous expliquent les contours de ces solutions de paiement qui permettent d’optimiser l’expérience achat et de renforcer la relation client.

Est-il possible de reprocher à une entreprise de commercialiser ses produits ou services à des prix trop bas ? Apparemment, cette question parait un peu étrange mais il faut savoir que cette pratique est bien souvent très mal perçue par le droit de la concurrence qui a légiféré sur le sujet en mettant en place des sanctions…le point là-dessus.

Par Franck Boccara

Le principe qui régit la vente à prix trop bas peut sembler paradoxal mais il est en fait logique et simple : une entreprise qui pratique des prix anormalement bas provoque, volontairement ou pas, une exclusion artificielle de la concurrence. De ce fait, à partir du moment ou la concurrence a été exclue, il devient fort probable que les prix remontent par la suite à l’avantage de l’entreprise et au préjudice des clients, en BtoC autant qu’en BtoB. C’est donc la raison pour laquelle le droit de la concurrence empêche parfois les clients de faire de bonnes affaires !

Il existe plusieurs nuances juridiques dans ce domaine puisque les entreprises peuvent être sanctionnées pour 3 chefs d’accusation : revendre des produits à perte, pratiquer des prix abusivement bas à l’égard des consommateurs ou adopter une politique de prix prédatrice. Chacune de ces interdictions entraine des conséquences juridiques différentes.

La vente à perte est interdite

C’est ce que précise le législateur à travers l’article L. 442-5 du Code de commerce qui interdit explicitement à toute entreprise de revendre un produit en-dessous du prix auquel elle l’a acheté. La transgression de cet article peut entrainer une amende maximum de 75 000 euros pour une personne et 375 000 euros pour une personne morale.

Le principe et l’esprit de la loi sont que la vente à perte n’est pas rationnelle car une entreprise est censée être régie par le profit et n’a donc pas pour finalité de perdre de l’argent. Il en découle qu’elle récupérera probablement sa marge sur d’autres produits, ce qui revient à dire que le client n’aura pas été gagnant.

Le législateur a cependant prévu des exceptions comme par exemple pour la cessation ou le changement d’une activité commerciale, pour des produits saisonniers à la fin de la saison des ventes ou entre deux saisons de vente, pour des produits démodés ou dépassés techniquement etc…

Il est important de bien comprendre que l’interdiction de revente à perte ne s’applique pas aux services mais uniquement aux produits revendus en l’état à des professionnels ou à des consommateurs et mais pas aux produits qui ont été fabriqués ou transformés par la même entreprise pour être ensuite vendus.

La Banque Publique d’investissement (Bpifrance) a annoncé ce vendredi 19 février le lancement de deux prêts d’honneur ; le prêt création-reprise et le prêt renfort. Cette initaitive de financement pour venir en aide aux créateurs et repreneurs d’entreprise est également porté par Initiative France, France Active, Réseau Entreprendre et l’Adie.

Par Serge de Cluny

« 2020 a été une année de profond changement », a déclaré Nicolas Dufourcq, Directeur Général de Bpifrance dans l’éditorial du plan stratégique de Bpifrance. En effet, la banque assure pleinement son rôle en cette période particulière en étendant son soutien à l’ensemble des acteurs économiques français. Historiquement orientée vers les PME et ETI, elle compte relever de nouveaux défis en s’adressant aux TPE et aux créateurs d’entreprise. En une année, Bpifrance est devenu la première banque en Europe en mesure de digitaliser des petits crédits à la création et à l’investissement pour les TPE.

Des prêts d’honneur aux conditions adaptées à la situation

Le prêt d’honneur Création-reprise a été crée pour renforcer les moyens des entrepreneurs des différents réseaux partenaires. Le montant des fonds versés ira de 1000 à 80000 euros pour une durée allant de 1 à 7 ans avec un taux zéro et un différé de 18 mois.

Quant au prêt d’honneur Renfort, il vise à consolider les fonds propres des jeunes entreprises de moins de 5 ans, préalablement accompagnés par les réseaux associés. La fonds distribués iront de 1000 à 30 000 euros avec une durée maximale de 7 ans, un taux zéro et un différé de 24 mois.

Bpifrance va donc consacrer un budget de 150 millions d’euros en 2021 pour le prêt d’honneur Création-Renfort et 85 millions pour le prêt d’honneur Renfort. Ces deux dispositifs viennent s’ajouter au prêt Solidaire à destination des publics fragiles, crée en juillet 2020. La Banque Publique d’Investissement s’est donné pour objectif d’accorder 50 000 prêts d’honneur en 2021, en mobilisant un total d’environ 500 millions d’euros d’ici deux ans afin de sécuriser l’activité des TPE et PME durant la crise sanitaire.

Mettre en place une stratégie de communication efficace demande du temps, une certaine expertise et un coût financier non négligeable pour les annonceurs. Beaucoup de dirigeants de TPE et PME rencontrent ces obstacles et ne parviennent pas à se démarquer de la concurrence. Chaque étape est importante pour parvenir à augmenter votre notoriété, transformer vos prospects en clients fidèles et rester présent dans leur esprit. De la mise en œuvre des outils digitaux à l’organisation d’un événement, découvrez ci-dessous des conseils pour élaborer une stratégie de communication pertinente et booster vos ventes.

Par Walaa Slaoui – Fondatrice de RUBIKOM

Les réseaux sociaux pour gagner en visibilité

L’activité de l’entreprise sur les réseaux est le fondement de son e-réputation. Pour améliorer votre image tout en mettant en avant vos expertises, il est nécessaire d’élaborer une stratégie digitale créative. Inutile d’être visible sur tous les réseaux sociaux, ce qui est essentiel c’est d’être actif sur ceux qui sont le plus adaptés à votre activité et à votre cible.

Le développement de votre stratégie social media passe par l’élaboration d’une stratégie de Community Management. Que ce soit sur Facebook, Instagram ou Twitter, il est primordial de créer un planning éditorial et de définir une fréquence de publication. Pour créer de l’engagement auprès des communautés, il est vivement conseillé de créer du contenu pertinent afin d’être crédible en apportant des conseils et de l’actualité à votre communauté.

Un blog pour asseoir votre expertise

La création d’un blog et la rédaction d’articles pour l’alimenter, permettent à l’entreprise de se placer comme un expert dans son domaine. De plus, un blog est une source de notoriété pour l’entreprise car cela lui permet de gagner en visibilité. En effet, les articles qui bénéficient d’un référencement naturel optimisé, grâce à une sélection de mots-clés, permettront d’améliorer le référencement SEO de l’entreprise. Il faut tout de même prendre en compte que l’animation d’un blog demande un certain investissement en matière de temps. Effectivement, la fréquence de diffusion des articles doit être régulière. Il est également très important de faire un suivi des performances et d’analyser les statistiques pour définir les sujets les plus pertinents pour vos clients. Tous les articles doivent être relayés sur les réseaux sociaux pour générer un maximum de visites sur le site internet. Petite astuce, offrez aux lecteurs la possibilité de commenter l’article pour engager une discussion et créer un lien avec les prospects.

Des vidéos pour créer de l’engagement

La vidéo est un outil incontournable pour générer de l’engagement. Attractive et divertissante, la vidéo est très appréciée des internautes. D’ailleurs, 37% du trafic mondial sur mobile se fait sur YouTube. La vidéo s’utilise de différentes manières : pour mettre en avant un témoignage, mettre en scène son savoir-faire, mettre en valeur un évènement, mettre en lumière votre marque employer ou encore pour faire une interview. Quel que soit la forme que prend votre vidéo, la créativité doit être au cœur de vos réalisations pour susciter de l’intérêt auprès de votre cible et ainsi booster vos ventes.

Des newsletters pour apporter de la valeur

La newsletter apporte de la valeur ajoutée à l’entreprise et à son site e-commerce. En communiquant régulièrement, votre clientèle s’attachera à votre marque. Cet outil permet d’apporter des conseils à vos clients et prospects, de les tenir informés de l’actualité de l’entreprise et de présenter les nouveaux produits et services. Accompagnée d’une création graphique pertinente, votre newsletter obtiendra un taux de conversion élevé. Pour augmenter votre base de données de prospects, il suffit d’ajouter la possibilité de s’inscrire à la newsletter sur votre site internet.

Les évènements pour créer un lien de confiance

La mise en place d’événements est indispensable pour faire du relationnel avec les prospects et la clientèle. De l’organisation à la communication, il y a plusieurs étapes à respecter pour qu’une action événementielle se déroule comme souhaité. La réservation de la salle, la création d’invitations, la gestion des réservations, les publications pré et post évènementielles, la diffusion d’une vidéo de l’événement, et la mise en œuvre et l’organisation le jour J, sont des étapes primordiales pour que votre événement soit un réel succès qui contribuera à booster vos ventes.

Les supports papier pour se distinguer de la concurrence

Les supports de communication print ne sont pas à négliger, ils sont toujours utiles pour se démarquer de la concurrence. Ils se déclinent en de multiples formes, de la carte de visite originale, au catalogue pour faire découvrir vos produits, en passant par la plaquette qui présente votre offre. N’oubliez pas, lors d’une participation à un salon, il est essentiel de prévoir la création et l’impression d’un kakémono et/ou d’un roll-up pour présenter votre entreprise. Le petit plus, pensez à offrir des blocs-notes personnalisés à vos clients, un goodies toujours pratique pour garder votre marque en tête !

Vous avez désormais toutes les clés en main pour booster vos ventes et développer votre chiffre d’affaires. Comme vous l’avez constaté, le digital n’est pas la seule option, bien qu’il soit très important. Pour vous aider à mettre en place ces différents outils de communication, vous pouvez profiter de conseils en communication en collaborant avec notre agence de communication. Rubikom vous offre l’expertise d’une agence au prix d’un freelance ! Les packs de communication prposes par www.rubikom.fr vous permettent d’activer ces divers leviers de communication au meilleur moment et en fonction de votre besoin.

L’APA (Assurance Prospection Accompagnement) vient d’être lancée par Bpifrance afin de répondre à la volonté de Bruno Le Maire d’encourager les PME qui souhaitent se lancer dans l’export. Grâce à un accompagnement dédié, l’APA leur permettra de structurer leurs premières démarches à l’international et d’identifier les marchés et pays les mieux adaptés à leur activité.

Par Serge de Cluny

Bruno Lemaire, ministre de l’Économie, des Finances et de la Relance et Franck Riester, ministre délégué auprès du ministre de l’Europe et des affaires Etrangères ont annoncé conjointement en début de mois lors du rendez-vous annuel d’échanges sur les enjeux de l’export (Bercy France Export) que les PME primo exportatrices ont désormais accès au plan de relance Export gouvernemental afin de booster leur ouverture à l’international.

La banque publique d’investissement française (Bpifrance) n’a pas tarder à réagir dans ce sens en lancant quelques jours plus tard l’APA, à travers sa filiale Bpifrance export et en partenariat avec la Team France Export. Ce programme structure parfaitement la volonté exprimée par les deux ministres en garantissant une sécurité supplémentaire pour les premières initiatives d’export.

L’APA est en fait une déclinaison de l’AP (Assurance Prospection). Elle prend en charge une partie des frais générés par les démarches de prospection à l’international d’une PME comme par exemple les études de marché, les coûts de déplacement, les séjours à l’étranger, les participations peuvent être multiples. De plus, l’APA les assure contre le risque d’échec à l’export
Le budget total est compris entre 10 000 et 40 000 euros et l’avance de trésorerie est de 65% du montant des frais. Cependant, ces sommes seront à rembourser au cas où les démarches initiées par l’entreprise aboutissent avec succès, ce qui permettrait de ce fait aux sociétés primo exportatrices de bénéficier d’une trésorerie immédiate.

Les bénéficiaires seront les PME françaises de tous secteurs (hors négoce international) qui ont publié un bilan de 12 mois au minimum et dont les produits et/ou services sont déjà commercialisés.

Tous les détails en cliquant ICI


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