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Notes de frais et digitalisation des process :   un passage obligé pour l’entreprise du futur
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Anticipation de crise : un levier stratégique indispensable
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SME-ETI

SERVICES
Le prêt subventionné en période de crise du logement représente une bouffée d’oxygène pour tous
Mardi 17 octobre, sur le plateau de BFM Business, le ministre de l’Économie a annoncé se donner 6 mois pour parvenir à un prêt à taux bonifié qui a du sens, rappelant au passage que les taux atteignent près de 4 %. Un signal positif qui confirme qu’il est temps de passer à l’action. De plus, un dispositif novateur de prêt subventionné sera financé par les entreprises sur une base de volontariat pour favoriser l’acquisition par les ménages de leur résidence principale. Ce dispositif est censé permettre de libérer les difficultés que rencontrent certaines entreprises à recruter notamment dans les zones tendues et plus largement l’accès au logement des français. Dans un contexte inflationniste, l’accès à la propriété reste une valeur refuge qui permet de se constituer un début de capital et de préparer ses vieux jours. Pas étonnant que 90 % des Français aspirent à devenir propriétaires de leur résidence principale. Encore faut-il leur en donner les moyens. Les taux d’intérêts qui s’envolent et la frilosité des banques à l’heure de débloquer les crédits plombent les projets immobiliers de nos concitoyens et renvoient l’accession à la propriété aux calendes grecques.
Laurent Permasse, Président du directoire de SOFIAP
Pouvoir d’achat Résultat : moins de pouvoir d’achat et une crise du logement qui impacte dangereusement le marché de l’emploi. Mardi 17 octobre, Bruno Le Maire a opportunément rappelé combien l’emploi et le logement étaient liés. Le plein emploi restera de l’ordre du mirage si l’on est incapable de loger les salariés. Une étude récente de la plateforme de recrutement HelloWork révèle que, faute de logement, les Français sont chaque jour plus nombreux à refuser un poste dans une autre région. Fuite des talents Les entreprises ont de plus en plus de mal à recruter, mais aussi à fidéliser les talents. Or, 78 % des salariés déclarent qu’ils rejoindraient plus facilement un employeur qui leur proposerait de les aider à accéder à la propriété (étude OpinionWay pour SOFIAP, juin 2022). Et 74 % des jeunes actifs estiment que leur employeur devrait les aider à devenir propriétaire. Dans ces conditions-là, on peut envisager que le prêt immobilier subventionné représente un fort levier d’attractivité pour l’entreprise auprès de ses collaborateurs et futurs collaborateurs. Mode d’emploi Le prêt subventionné, comment ça marche ? C’est très simple : l’employeur prend en charge tout ou partie des intérêts d’un crédit pour la construction ou l’achat d’un logement neuf ou ancien, d’une durée allant habituellement de cinq à vingt-cinq ans. Cela représente généralement des dizaines de milliers d’euros d’économies pour les salariés, ce qui augmente d’autant leur capacité d’achat. Solution innovante Comment tenir les cordons de la bourse tout en luttant contre la crise immobilière ? C’est peu dire que la situation de nos amis politiques est inconfortable. Mais, dans le contexte actuel, le prêt subventionné par les entreprises apparaît comme une solution pleine de bon sens, une solution qui arrive à point nommé pour résoudre cette difficile équation. Le prêt subventionné touche un public beaucoup plus vaste que le PTZ, même réformé et étendu. Il est sans conditions de ressources ou de zone géographique, et couvre un éventail plus large de projets immobiliers. Choix politique Ce dispositif reste pourtant méconnu. Des échanges ont eu lieu avec Matignon, des parlementaires et des sénateurs afin d’inciter davantage d’entreprises à proposer cette solution. Mais nous avons besoin, d’un coup de pouce des pouvoirs publics. Il faudrait que la prise en charge des intérêts d’un prêt immobilier par l’employeur soit exonérée de charges sociales et fiscales. Ce n’est pas un cadeau. C’est un investissement. Nous avons présenté ce dispositif à Matignon lors d’un échange le 13 septembre 2023. Nous avons proposé de l’inscrire dans un amendement au projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2024. C’est du concret : une mesure dédiée à l’achat de la résidence principale, sans plafond de ressources, complémentaire des dispositifs existants, qui permettrait à 80 000 ménages d’accéder à la propriété tout en renforçant les liens entre les entreprises et leurs salariés. Une réponse efficace et innovante aux crises du logement et de l’emploi, en somme.

Laurent Permasse, Président du directoire de SOFIAP

A propos de SOFIAP – www.sofiap.fr Nous pensons que devenir propriétaire est un élément d’inclusion, de société et de préparation à la retraite. SOFIAP répond au «S» de RSE autour de l’engagement social et sociétal des employeurs et permet une innovation autour de la propriété immobilière et plus largement du financement. Nous concevons des prêts subventionnés (crédit immobilier, crédit consommation…) par les entreprises pour permettre aux salariés de financer leurs projets. Créée par la SNCF pour aider les cheminots à accéder à la propriété, nous sommes le fruit d’une histoire de plus de 100 ans. Nous sommes la réponse actuelle aux besoins des entreprises de recruter et de fidéliser en permettant aux collaborateurs de vivre plus confortablement, plus responsable, et de se créer un patrimoine.
FINANCE
La Chine, un marché incontournable pour les investisseurs en 2023?

Les marchés financiers chinois ont subi récemment une forte volatilité imputable à un durcissement de la réglementation, aux tensions géopolitiques et au ralentissement économique causé par une politique « zéro Covid » draconienne. Toutefois, 2023 – l’année du Lapin d’Eau, symbole de paix et de retour à la normale, entre autres – pourrait ouvrir un nouveau chapitre pour les actions chinoises et offrir de nombreuses opportunités, en particulier dans les secteurs liés à la consommation.

Carmignac

Les actions chinoises avaient enregistré de solides performances en 2020, avant de s’effondrer en 2021–2022 sous l’effet de plusieurs décisions politiques et d’autres événements qui ont accru la nervosité des investisseurs étrangers. Citons ainsi un durcissement de la réglementation dans certains secteurs, les déboires financiers du géant immobilier Evergrande et les exigences de transparence plus strictes imposées aux sociétés chinoises cotées aux États-Unis – sans oublier la très stricte politique « zéro Covid » de Pékin, ou les craintes d’invasion de Taïwan dans le sillage de l’offensive russe en Ukraine.

Toutefois, 2023 devrait être une année de normalisation pour l’économie et les marchés financiers du pays, ce qui pourrait inciter les investisseurs à s’intéresser aux actions chinoises. Voici les raisons pour lesquelles nous estimons que les investisseurs internationaux devraient envisager de faire une place à la Chine dans leurs portefeuilles.

Un horizon qui s’éclaircit

Les actifs chinois ont fait l’objet de ventes massives ces deux dernières années, sous l’effet de cinq facteurs de risque : le durcissement de la réglementation, en particulier pour les grands acteurs d’internet, la crise de l’immobilier, la politique zéro Covid, des considérations politiques locales et les tensions entre la Chine et les États-Unis.

Concernant les quatre premiers points, les voyants sont tous repassés au vert. Non seulement le pays a mis un terme à cette phase de durcissement de la réglementation, mais il a en outre pris des mesures de soutien au secteur privé, aux géants d’internet et au monde de l’immobilier. Ajoutons que le gouvernement a mis en œuvre des changements concrets depuis le Congrès du parti, en octobre dernier. La politique zéro Covid a été levée et la Chine a rouvert ses frontières le 8 janvier – certes un peu brusquement, mais ce revirement était nécessaire et il constitue une bonne nouvelle pour le pays comme pour le reste du monde.

S’agissant des tensions géopolitiques avec les États-Unis, les risques n’ont pas disparu sachant que les deux pays resteront de grands rivaux. Les tensions entre les États-Unis et la Chine, qui si elles sont remontées après l’incident du « ballon espion » chinois, ne devraient pas s’intensifier selon nous. Nous pensons que la reprise économique post-covid sera le principal moteur des actions chinoises en 2023.

Dans le même temps, l’organisme chargé de contrôler la procédure d’audit des sociétés cotées aux États-Unis, le PCAOB (Public Company Accounting Oversight Board), a annoncé avoir terminé sans incident l’examen d’un premier ensemble de sociétés chinoises et il a obtenu le droit d’inspecter certaines entreprises chinoises. Si ces avancées repoussent à 2025 le risque de voir les groupes chinois rayés de la cote aux États-Unis, les dernières déclarations des autorités américaines laissent de plus en plus espérer que de telles radiations pourront être évitées. Ces nouvelles sont arrivées juste au moment où les principaux décideurs chinois, réunis lors de la Conférence centrale sur le travail économique (le principal événement économique du pays) annonçaient vouloir faire de l’encouragement de la demande intérieure une priorité pour 2023.

Compte tenu de la réouverture plus précoce que prévu de l’économie chinoise, de la poursuite de l’assouplissement des mesures de l’État et du revirement manifeste du gouvernement en faveur de la croissance, nous pouvons nous attendre à ce que l’activité redémarre en 2023 ; même si la rapidité de la levée des restrictions peut induire quelques difficultés à court terme.

Nous estimons désormais que la croissance du PIB chinois devrait commencer à remonter au deuxième trimestre, pour atteindre environ 5.0% sur l’année pleine, ce qui ferait de la Chine la seule grande économie du monde à connaître une accélération de la croissance de son PIB.CarmignacDes perspectives de croissance optimistes, alimentées par la demande intérieure

Certes, une hausse des infections au Covid risque de peser sur les dépenses des ménages en première partie d’année, mais la situation devrait s’améliorer dès le deuxième trimestre, avec la mise en œuvre par Pékin de sa politique d’encouragement de la croissance et de la consommation. En outre, les dépenses des ménages seront sans doute également tirées à la hausse par :

  • la consommation de l’épargne excédentaire qu’ils ont accumulée. Les ménages chinois détiennent à ce jour une épargne excédentaire de presque 18 000 milliards de renminbi (2 500 milliards d’euros), dont 4 000 milliards de renminbi thésaurisés depuis 2020, principalement en raison des confinements.
  • la reprise du marché du travail. En Chine, presque un emploi sur cinq suppose un contact physique et se trouve, à ce titre, susceptible d’être affecté par la situation sanitaire. Il s’ensuit que la suppression de la politique zéro Covid et la réouverture totale de l’économie pourraient stimuler à la fois l’offre (emplois) et la demande (dépenses des ménages), ce qui devrait encourager un rebond de la consommation.
D’autres moteurs de croissance structurels favorables à la demande intérieure chinoise existent : une population de 1,4 milliard d’habitants, un PIB par habitant de plus de 12 500 dollars, une augmentation de la part du revenu des ménages consacrée à la consommation et une multiplication par cinq de la consommation totale des ménages entre 2005 et 2020. Si, en outre, nous examinons la consommation des ménages en pourcentage du PIB, nous constatons que les dépenses des consommateurs chinois, en particulier dans les zones rurales, recèlent encore une marge de croissance substantielle. Aujourd’hui, la consommation des ménages représente 54,3 % du PIB de la Chine, un pourcentage relativement faible par rapport aux autres grands pays émergents et aux économies développées (il atteint 82,6 % aux États-Unis1 par exemple) ; ce qui illustre bien cette marge de progression considérable. Tous ces facteurs laissent donc prévoir une hausse soutenue des dépenses de consommation chinoises, ce qui devrait alimenter la croissance du chiffre d’affaires des entreprises du pays positionnées sur les secteurs concernés au cours des prochaines années.CarmignacTrois autres raisons de s’intéresser aux actions chinoises Le marché a beau être immense, il reste sous-représenté et sous-investi Le marché chinois des actions – à savoir les actions A, les actions H, les ADR et les actions S – affiche une capitalisation boursière cumulée de plus de 19 000 milliards de dollars2, ce qui en fait la deuxième place mondiale derrière les États-Unis, et compte plus de 6 000 sociétés cotées. Il est donc tout simplement impossible pour les investisseurs de ne pas s’y intéresser aujourd’hui. Pourtant, malgré sa taille et sa dynamique, le marché d’actions chinois reste sous-représenté dans les allocations d’actifs et dans les indices d’actions mondiaux. Les sociétés chinoises ne pèsent ainsi qu’environ 3.6% de l’indice MSCI All Country World, contre 60.4% pour les sociétés américaines et 5.6% pour les japonaises. Les portefeuilles des investisseurs étrangers sont sous-pondérés à hauteur 4% sur les actions cotées en Chine. Des valorisations attractives pour les sociétés chinoises Bien que l’indice MSCI China ait déjà progressé de 35 % par rapport à son plus-bas d’octobre3, stimulé par les perspectives de réouverture du pays, nous restons convaincus du potentiel de hausse du marché chinois, dont les valorisations restent attrayantes. L’indice MSCI China affiche en effet un PER d’environ 11x, à peine inférieur à sa moyenne sur dix ans, tandis que les actions mondiales se négocient sur la base d’un PER d’environ 15x. Nous distinguons en outre une dynamique positive pour les résultats des entreprises chinoises. Contrairement aux États-Unis, où les résultats vont sans doute marquer le pas, les bénéfices des entreprises chinoises vont probablement se redresser. La plupart d’entre elles ayant réduit les coûts ces trois dernières années, on peut s’attendre à ce que la croissance de leur chiffre d’affaires débouche sur une remontée des bénéfices en 2023. La Chine comme facteur de diversification d’un portefeuille Les actions chinoises peuvent représenter un vecteur efficace de diversification géographique d’un portefeuille en raison de leur faible corrélation avec les autres marchés boursiers (en particulier dans le cas des actions A de Chine continentale).CarmignacEn outre, la société chinoise est en train de devenir très vite plus connectée, plus urbaine, plus innovante et plus soucieuse de développement durable, autant de mutations structurelles dont les investisseurs en actions peuvent tirer le meilleur parti par le biais de placements thématiques. Nous distinguons un potentiel particulièrement significatif dans quatre domaines clés de cette nouvelle économie : 1) l’innovation technologique et industrielle, 2) la santé, 3) la transition écologique et 4) la montée en gamme de la consommation. Ce dernier thème, en particulier, devrait se traduire par de bonnes performances en 2023 compte tenu du taux d’épargne record des ménages chinois.CarmignacAprès 20 mois difficiles, 2023 pourrait marquer un nouveau départ pour les marchés financiers chinois et le fait que la Chine devienne une catégorie d’actifs stratégique pour les investisseurs internationaux n’est plus qu’une question de temps. S’il convient toutefois de ne pas perdre de vue certains risques (comme une flambée des contaminations au Covid ou certains événements géopolitiques), nous pensons qu’il est possible d’en atténuer un grand nombre au moyen d’une gestion active du portefeuille. Chez Carmignac, nous sommes convaincus qu’une approche sélective, indépendante de la structure des grands indices boursiers, est essentielle pour identifier les opportunités de placement les plus attrayantes, en particulier sur le vaste marché d’actions chinois. C’est pourquoi nos investissements en Chine restent ciblés sur nos convictions phares, qui tendent à s’écarter de la composition des principaux indices d’actions du pays. 1Source : Banque mondiale, dépenses de consommation finale en %  (https://data.worldbank.org/indicator/NE.CON.TOTL.ZS?locations=CN) 2Sources : Bloomberg, CICC Research, 2022 3Source : Bloomberg, rendement de l’indice MSCI China en USD entre le 31/10/2022 et le 30/12/2022
NATION ETI
AUDENCIA – Recrutez en alternance les talents qu’il vous faut !

Recruter en alternance des profils de candidats validés par une grande école de management, c’est réunir toutes les conditions de réussite d’un recrutement qui peut être ponctuel ou graduel.

Séverine Douard, Directice Carrière, Formation et Services aux entreprises nous explique simplement tout ce qu’AUDENCIA met à la disposition des PME et ETI pour recruter les talents qui assureront leur développement et leur pérennité.

DIGITAL
CES 2024 – l’évènement de la tech mondiale du 9 au 12 janvier

Le CES 2024, ou Consumer Electronics Show, le plus grand évènement de la tech mondiale, se tiendra du 9 au 12 janvier à Las Vegas dans le Nevada comme chaque année. Le pavillon français représente la plus grande délégation étrangère au CES 2024 avec notamment l’Eureka Park, zone dédiée aux jeunes startups innovantes. Originaire de toutes les régions de France, le pavillon français réunira plus de 150 entreprises en 2024 et exposant des solutions pour des industries aussi diverses que le secteur automobile, l’IoT, le tourisme ou la santé et le bien-être, la délégation présentera de nombreuses innovations. 

Les organisateurs du CES 2024 promettent déjà une édition fleuve.

La grand-messe de la tech américaine et mondiale fait son retour ! Le salon, qui a retrouvé des couleurs en 2023 après les remous de la crise sanitaire du COVID-19, prépare activement le prochain rendez-vous. La Consumer Technology Association (CTA), qui chapeaute l’événement, a dévoilé les chiffres attendus pour le salon, ainsi que les tendances et noms des principales marques ayant déjà confirmé leur participation.

130 000 participants attendus au CES 2024

Après avoir attiré plus de 115 000 personnes pour l’édition 2023, le CES 2024 pourrait franchir la barre des 130 000 participants, et ainsi surpasser la cuvée précédente, dans un contexte où l’événementiel en général peine à retrouver de l’élan depuis la pandémie.

Les organisateurs se préparent à recevoir plus de 1 000 start-up et quelque 3 500 exposants, avec un Las Vegas Convention Center West Hall annoncé à guichet fermé. En 2023, 3 100 exposants avaient fait le déplacement.

« Le CES 2024 est en pleine croissance ! Le salon est en passe de dépasser la surface d’exposition du CES 2023, avec des entreprises internationales présentant des innovations qui résoudront les défis les plus urgents de notre monde », a déclaré le président-directeur général de la CTA, Gary Shapiro.

IA, mobilité, Google et Amazon au programme

Plusieurs grandes marques ont déjà confirmé leur participation au CES 2024 parmi lesquelles Amazon, Samsung, Sony, Google, BWM, L’Oréal, Qualcomm, Panasonic, Mercedez-Benz, Hyundai, Bosch, Caterpillar, Honda, Intel, John Deere, Stellantis et Vizio. D’autres grandes enseignes du digital devraient suivre dans les prochaines semaines.

Les grandes tendances du CES 2024 devrait faire la part belle à l’IA et à la robotique, au développement durable, à la mobilité et aux transports, à la santé numérique et à l’univers des start-up.

Des démonstrations de conduite autonome devraient aussi amuser les visiteurs, tout comme les expositions de petits et plus gros aéronefs à décollage et atterrissage verticaux électriques (eVTOL), dont on se demande tout de même s’ils voleront (partout) un jour. Nous donnons donc rendez-vous aux PME et ETI en janvier prochain, pour vivre avec nous le CES 2024.

Informations et inscription

STRATÉGIES
Raison d’être – PME et ETI, montrez-vous telles que vous êtes !

On n’entend plus parler que de ça : la fameuse « raison d’être »… Encore du marketing me direz-vous ! Mais concrètement, ça sert à quoi ? La raison d’être permet simplement à vos clients, prospects, partenaires de savoir qui vous êtes, ce que vous produisez, comment et pourquoi. Et donc d’arriver jusqu’à vous. Indispensable pour générer du chiffre d’affaires, non ?

Par Isabelle de Goüyon Matignon

Avez-vous déjà fait le test sur un salon de demander à un visiteur de votre stand ce que faisait votre entreprise ?

Si c’est le cas, vous avez souvent eu la mauvaise surprise d’une réponse incomplète qui ne représentait pas du tout l’étendue de vos produits et services, de ce qui vous anime, vous et vos équipes. D’où l’intérêt d’être visible, de communiquer sur son activité, sa raison d’être et de mettre en avant vos collaborateurs, valeur 1ère de votre entreprise. Vous avez des produits à montrer, des services à présenter dont vous êtes fier : faites-le !

Le client a besoin de vous connaître pour vous faire confiance, vous voir comme un partenaire et pas seulement comme un prestataire, un fournisseur. Pour créer un lien plus humain, de l’engagement sincère avec vos clients. Pensez à « Michel et Augustin » !

Franchement, c’est juste des biscuits…D’excellents biscuits, bien sûr, c’est un préalable .Et pourtant, on a l’impression d’acheter tellement plus : de l’humour, de la bonne humeur, une aventure humaine que les dirigeants ont partagée avec nous, étape par étape.

Un autre avantage à vous faire connaître pour ce que vous êtes et ce que vous faites : cela permet d’attirer vers vous les clients que vous pouvez réellement accompagner… et qui vous ressemblent.

Pas d’incompréhension sur ce que vous proposez et la façon dont vous le faites… Pas de temps perdu ! Cela peut également être l’occasion pour vous de prendre du recul pour poser et structurer votre stratégie, vos objectifs, et les partager avec vos équipes.

Vos collaborateurs seront d’autant plus investis dans leur mission, s’ils savent pour quoi ils se lèvent le matin, sans être juste les maillons quelconques de la chaîne. Et, fiers de leur entreprise, ils pourront se faire ses ambassadeurs auprès de leur(s) réseau(x) !

Et pour communiquer, les canaux digitaux sont in-dis-pensables (et moins onéreux que du phoning, un mailing ou un stand…) ! Savez-vous que les acheteurs B2B effectuent 57 % de leur processus d’achat en ligne avant d’entrer en contact avec une personne réelle* ? (source OroCommerce)

Allez-y simplement, selon votre temps et vos moyens humains et financiers :

  • Un site internet lisible, mettant en avant votre savoir-faire et vos équipes, bien à jour, avec possibilité de vous contacter facilement
  • Une présence du dirigeant et des collaborateurs sur les réseaux sociaux (LinkedIn) pour prendre et garder contact, et montrer votre expertise à vos prospects
  • Et pourquoi pas une Newsletter d’information pour apporter de la valeur ajoutée à votre cible sur vos marchés, votre actualité…Contenu qui peut être réexploité sur votre site et vos réseaux sociaux .
  • Ou des vidéos pour montrer vos produits, leur technicité, leur fabrication, présenter vos équipes, vos locaux…

Alors…Montrez-vous digitalement, simplement comme vous êtes : votre activité, vos collaborateurs et vos clients vous diront merci !

 

ÉVÈNEMENTS
Salon de l’investissement au Portugal & des collectivités Locales
Approcher les collectivités locales portugaises afin de mieux investir et se développer sur le marché ! Le 14 novembre 2023, le Salon de l’Investissement au Portugal & des Collectivités Locales vise de rapprocher les entreprises françaises des collectivités locales en proposant divers ateliers afin de favoriser les échanges, et favoriser l’implantation et le développement des investisseurs français sur le territoire. le Portugal s’est construit une réputation internationale favorable et ses bonnes performances économiques mêlées à une certaine douceur de vivre contribuent à faire du pays une des destination business les plus attractives en Europe. Avec en plus des ressources humaines qui ont toujours été de qualité et appréciées par les entreprises, il existe des opportunités réelles pour les PME et ETI françaises auprès des collectivités locales. La France est le 1er pays d’investissement au Portugal. Avec la pandémie, l’attractivité du pays n’a fait que se renforcer, en raison d’un bouquet d’avantages unique : proximité géographique, fiscalité avantageuse, capital humain de qualité à des coûts très intéressant, etc. Le Portugal est donc aujourd’hui l’un des principaux pays d’implantation des entreprises industrielles françaises à la recherche d’alternatives de production, mais aussi des centres de services partagés qui y trouvent un écosystème propice à leur bon développement. Il n’en demeure pas moins que le Portugal propose une réponse très hétérogène en matière d’appui à l’investissement, puisque chaque ville dispose de ses propres instruments d’aide. Ce Salon vise donc à rapprocher les entreprises françaises des collectivités locales en proposant divers ateliers permettant les interactions. Si proche de nous au niveau géographique et culturel, il est certain que l’évènement vaut le déplacement. Venez au Salon de l’Investissement au Portugal & des Collectivités Locales faire le point sur les opportunités de ce pays et en pleine expansion et découvrir les nouvelles perspectives offertes aux PME et ETI.

JE M’INSCRIS

Contact

CCI France Portugal Géraldine DUSSAUBAT dussaubatg(@)ccilf.pt www.ccilf.pt

Lieu : Hotel Sheraton Porto Rua do Tenente Valadim 146 4100-476   Porto Portugal
FINANCE
Cession d’entreprise – Que se cache-t-il derrière les chiffres ?

La cession d’entreprise représente un potentiel et un défi économique conséquent pour la France, notamment dans un avenir proche. En effet, ce sont de plus en plus d’entreprises qui se trouvent concernées par cet enjeu du fait de l’âge moyen des dirigeants qui augmente et du fait que les chefs d’entreprise témoignent d’une envie de céder et reprendre plusieurs fois dans leur vie entrepreneuriale. Chaque année, environ 50 000 PME et ETI changent de mains…mais voyons ce qui se cache derrière ce chiffre et surtout quelles sont les vraies motivations des repreneurs.

Par Franck Boccara

Commençons par préciser qu’au delà de l’aspect micro-économique, la cession d’entreprise représente un véritable enjeu au niveau national puisque, selon le gouvernement, ce sont 750 000 emplois à sauvegarder et 150 000 autres à créer dans les années à venir. C’est donc vers les TPE, PME et ETI qui représentent 99.8% du nombre total d’entreprises que les yeux se tournent naturellement.

En effet, le vieillissement des dirigeants de PME s’accentue : si 17,4 % d’entre eux étaient âgés de 60 ans et plus en 2010, cette proportion est passée à 20,5 % en 2016 et devrait dépasser 23 % en 2023 ! Pour les ETI, ce sont 60% des dirigeants qui ont plus de 55 ans. Si l’on prend en compte le fait que 50% des cessions de PME et ETI ont lieu avant les 55 ans du dirigeant, on mesure alors mieux l’ampleur du défi.

Il est tout de même rassurant de noter que malgré quelques disparités au niveau national au bénéfice des régions les plus dynamiques, la reprise d’entreprise connait des taux d’investissement, de rentabilité et de survie nettement supérieurs à ceux des entreprises nouvellement créées dont seulement 50% sont encore actives cinq ans après leur création. Ce n’est donc pas un hasard si de nombreux entrepreneurs choisissent la reprise d’entreprise plutot que la création.

Quelles sont les motivations des repreneurs ?

Parmis les critères économiques qui motivent la décision des repreneurs, on trouve en tout premier plan le potentiel de croissance de l’entreprise pour 55% des chefs d’entreprise et repreneurs questionnés lors d’une étude menée sur la cession d’entreprise en 2019. Viennent ensuite la rentabilité avec 37% des réponses ou encore la valeur de l’entreprise qui comptabilise 25% des réponses. « Les chiffres montrent que, grâce aux investissements et à l’élan du nouveau dirigeant, une reprise permet bien souvent d’améliorer la croissance et l’emploi » précise Laurent Benoudiz, Président de l’Ordre des Experts-Comptables de Paris Île-de-France.

Parmi les critères d’attractivité d’une entreprise pour un repreneur, l’aspect humain et les talents internes tiennent toujours un rôle central dans les décisions de reprise. « La principale richesse de l’entreprise est celle des collaborateurs qui la composent. C’est un lien de confiance qui entraîne le dynamisme entrepreneurial entre cédant, repreneur et collaborateurs » explique Dominique Restino, Président de la CCI Paris Ile-de-France.

L’autre critère qui reste un élément primordial lors de la prise de décision est l’attractivité territoriale (accessibilité, bassin d’emplois, incitations fiscales…), bien plus que l’attachement au territoire où se trouve le siège de l’entreprise ou ses succursales. Les repreneurs seraient donc aujourd’hui plus mobiles qu’avant et tout à fait disposés à faire jouer la concurrence entre les différents territoires.

Enfin, le plaisir ne doit pas être sous-estimé, surtout pour les « primo-repreneurs » pour qui l’achat d’une entreprise a un gout d’aventure ainsi que pour les « serial-repreneurs » pour lesquels on pourrait presque parler de passion !

 

 

 

FINANCE
La Rentrée Carmignac 2023 : Conférence digitale

La Rentrée Carmignac 2023 a eu lieu le jeudi 21 septembre et nous souhaitons vous partager la présentation de l’évènement, ainsi que les messages clés à retenir. Nous vous invitons également à visionner le replay de la conférence pour (re)découvrir nos vues macroéconomiques, nos stratégies d’investissement et nos convictions.

Bilan et stratégie

  • Maxime Carmignac, Directeur Général Carmignac UK
  • Kevin Thozet, Portfolio Advisor & Membre du Comité d’Investissement
 

Notre scénario macroéconomique

  • Raphael Gallardo, Chef Économiste
  • Frédéric Leroux, Responsable Équipe Cross Asset, Gérant

Notre stratégie d’investissement

  • Jacques Hirsch, Gérant
  • Guillaume Rigeade, Co-Responsable Équipe Obligataire, Gérant
  • David Older, Responsable Équipe Actions, Gérant

Table ronde « Investir au-delà du mur des inquiétudes »

  • Marie-Anne Allier, Gérante
  • Pierre Verlé, Responsable Équipe Crédit, co-Responsable Équipe Obligataire, Gérant
  • Mark Denham, Responsable Actions Européennes, Gérant

Échanges avec Édouard Carmignac

Édouard Carmignac, Président, CIO

Intervenant(s)

  • Edouard Carmignac
  • Maxime Carmignac
  • Kevin Thozet
  • Raphaël Gallardo
  • Frédéric LerouxGérant
  • Jacques Hirsch
  • Guillaume Rigeade Gérant
  • David Older Gérant
  • Marie-Anne Allier
  • Pierre Verlé Gérant
  • Mark Denham Gérant

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La décision d’investir dans le(s) fonds promu(s) devrait tenir compte de toutes ses caractéristiques et de tous ses objectifs, tels que décrits dans son prospectus. Les risques et frais relatifs aux Fonds sont décrits dans le KID (Document d’informations clés). Le KID doit être tenu à disposition du souscripteur préalablement à la souscription. Le souscripteur doit prendre connaissance du KID. Les investisseurs peuvent perdre tout ou partie de leur capital, attendu que les Fonds n’offrent pas de garantie de capital. Tout investissement dans les Fonds comporte un risque de perte de capital.

Carmignac Portfolio désigne les compartiments de la SICAV Carmignac Portfolio, société d’investissement de droit luxembourgeois conforme à la directive OPCVM.​ Les Fonds sont des fonds communs de placement de droit français conformes à la directive OPCVM ou AIFM.​ La société de gestion peut décider à tout moment de cesser la commercialisation dans votre pays.

  • En Suisse : Le prospectus, KID, et les rapports annuels des Fonds sont disponibles sur le site www.carmignac.ch et auprès de notre représentant en Suisse (Switzerland) S.A., Route de Signy 35, P.O. Box 2259, CH-1260 Nyon. Le Service de Paiement est CACEIS Bank, Montrouge, succursale de Nyon / Suisse Route de Signy 35, 1260 Nyon.​ Les investisseurs peuvent avoir accès à un résumé de leurs droits en français sur le lien suivant à la section 6 intitulée « Résumé des droits des investisseurs ».

  • En France : Le prospectus, les KID, la VL et les rapports annuels des Fonds sont disponibles sur www.carmignac.fr, ou sur demande auprès de la Société de gestion. Les investisseurs peuvent avoir accès à un résumé de leurs droits en français sur le lien suivant à la section 6 intitulée « Résumé des droits des investisseurs »

  • Au Luxembourg : Le prospectus, les KID, la VL et les rapports annuels des Fonds sont disponibles sur www.carmignac.lu, ou sur demande auprès de la Société de gestion. Les investisseurs peuvent avoir accès à un résumé de leurs droits en français sur le lien suivant à la section 6 intitulée « Résumé des droits des investisseurs »

DIGITAL
Bpifrance Le Hub : le rendez-vous de la digitalisation des PME et ETI grâce aux startups le 26 septembre 2023
L’équipe Bpifrance – Le Hub organise la 3e édition du rendez-vous des PME & ETI dédié à la digitalisation des PME et ETI grâce aux startups. Venez découvrir les insights des acteurs du e-commerce et rencontrez-les le Mardi 26 Septembre au Hub de Bpifrance. 

Quand startups et marques réinventent l’expérience client

L’expérience client sera au cœur de la table ronde, afin de mettre en exergue le rôle crucial qu’elle joue aujourd’hui chez les marques et les consommateurs, et présenter des exemples concrets de solutions simples à mettre en place. – La FEVAD (Fédération du e-commerce et de la vente à distance) apportera sa vision marché, – Les entreprises ManoMano et iDealWine leurs problématiques clients, – et les startups Ringover et Brevo leurs solutions opérationnelles. Au programme : cocktail de networking, table ronde et retours d’expérience autour de la fiabilité des solutions et de la facilité de leur implémentation. Un rendez-vous à ne pas manquer pour trouver en externe les ressources nécessaires à une transformation digitale réussie. Date : Mardi 26 septembre – de 18h00 à 20h30 Lieu : Bpifrance – Le Hub – 6-8 boulevard Haussmann – Paris 9e Ou en distanciel Thème : Quand startups et marques réinventent l’expérience client

Informations et Inscription (gratuite)

FINANCE
Vive les mois d’août ! Carmignac’s Note
La plus grande surprise des trimestres passés aura certainement été la résilience de l’économie américaine. Comment a-t-elle pu résister si fermement au choc de 500 points de base de hausse des taux directeurs administrés par la Banque centrale américaine en seulement dix-sept mois? Par Frédéric Leroux – Responsable Équipe Cross Asset, Gérant chez Carmignac Nous avions bien identifié les facteurs essentiels de sa possible résistance : l’épargne excédentaire considérable constituée pendant le Covid qui devait apporter un large soutien à la consommation, un effet richesse renforcé par la bonne tenue des actifs financiers et immobiliers, des augmentations salariales permettant progressivement aux ménages de résister face à l’inflation… Mais quand même ! À l’instar de beaucoup d’autres, nous avons eu à repousser trimestre après trimestre la date présumée d’entrée en ralentissement de l’économie américaine, que nous attendons toujours. Ce ralentissement qui ne vient pas s’est traduit par une remontée des taux obligataires américains et européens sur les plus hauts du cycle entamé en mars 2020 alors que l’inflation américaine globale passait paradoxalement de 9% à 3,2% de juin 2022 à juillet dernier. Cette tension sur les taux longs a fini par affaiblir les marchés d’actions : alors qu’ils clôturaient le mois de juillet sur leurs plus hauts annuels, ils ont abandonné entre 5 et 9% au cours du mois d’août.

Faut-il craindre que ce ralentissement prévisible s’accompagne de taux d’intérêt élevés ?

Ne faut-il pas plutôt pour les mois qui viennent espérer de ce ralentissement une « désinflation immaculée », c’est-à-dire une désinflation permise par des hausses de taux n’engendrant pas de récession ?

Pour répondre à cette question, il convient d’abord de savoir si la divergence observée entre inflation et taux d’intérêt est anormale. Nos recherches montrent sans ambiguïté que lors de la dernière longue période d’inflation (1965-1980) les taux d’intérêt se retournaient à la baisse après l’inflation, avec un retard de six à dix-huit mois, alors que les retournements de l’inflation à la hausse étaient systématiquement précédés par ceux des taux. Sur cette longue période d’inflation qui progressait par vagues, les marchés de taux anticipaient correctement que l’inflation durerait. C’est pour cela qu’ils montaient plus longtemps que l’inflation et baissaient moins longtemps qu’elle.

Carmignac

La relation observée ces derniers trimestres entre les prix et les taux obligataires qui suivent avec retard le retournement de l’inflation à la baisse est donc « normale » dès l’instant où l’on veut bien reconnaître la possibilité de pressions inflationnistes persistantes.

Elle n’interdit pas pour autant la possibilité d’une baisse des taux obligataires imminente dès lors que la crédibilité des banques centrales dans leur lutte contre l’inflation n’est pas remise en cause.

Cela étant posé, il convient ensuite d’écouter ce que disent les bons économistes. Leur message est clair : les tensions sur le marché du travail et la possibilité d’un proche rebond – déjà ! – de l’activité manufacturière aux États-Unis inciteront la Fed à maintenir aussi longtemps que possible des taux d’intérêt directeurs élevés, qui finiront par produire le ralentissement attendu. En effet, l’épargne excédentaire fond comme neige au soleil. Elle offre un coussin de sécurité de moins en moins épais au consommateur, qui a largement soutenu l’économie. De même, les effets du resserrement monétaire se font toujours sentir avec retard sur l’économie. En l’occurrence, ce resserrement a été si concentré dans le temps qu’une bonne partie des effets va probablement seulement commencer à se matérialiser.

À l’heure où nous écrivons, il est donc envisageable que le mois d’août soit celui qui aura vu les taux d’intérêt excéder l’inflation sous-jacente (hors alimentation et énergie) pour la première fois depuis mars 2021. Par ailleurs, comme la saisonnalité reste favorable à la poursuite de la réduction de la hausse des prix, nous pouvons espérer un retour progressif des taux à 10 ans américains vers 3,5% contre 4,36% au plus haut d’août.

Dans cette hypothèse, il n’y a pas de raison particulière d’anticiper un creusement de la correction récente des marchés d’actions mais, au contraire, bien des raisons de penser que les placements obligataires contribueront au bon comportement de nos portefeuilles. Les valeurs de croissance à bonne visibilité et à la qualité chèrement valorisée par les marchés, favorisées par la baisse des taux à long terme, poursuivront alors leur avancée.

Les marchés ont, comme beaucoup d’entre nous, fait une pause en août. Ils semblent désireux de montrer leur énergie retrouvée à l’occasion de cette rentrée. Gardons cependant un degré élevé de vigilance : les taux d’intérêt nous montreront peut-être que l’hydre inflationniste n’a pas été terrassée. Il nous appartiendra alors de promptement réorienter une partie de nos investissements sur les actifs qui s’en accommoderont le mieux. Le retour du cycle économique exige de l’agilité.

Bonne rentrée !

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