...

SME-ETI

La Rentrée Carmignac 2023 a eu lieu le jeudi 21 septembre et nous souhaitons vous partager la présentation de l’évènement, ainsi que les messages clés à retenir. Nous vous invitons également à visionner le replay de la conférence pour (re)découvrir nos vues macroéconomiques, nos stratégies d’investissement et nos convictions.

Bilan et stratégie

  • Maxime Carmignac, Directeur Général Carmignac UK
  • Kevin Thozet, Portfolio Advisor & Membre du Comité d’Investissement
 

Notre scénario macroéconomique

  • Raphael Gallardo, Chef Économiste
  • Frédéric Leroux, Responsable Équipe Cross Asset, Gérant

Notre stratégie d’investissement

  • Jacques Hirsch, Gérant
  • Guillaume Rigeade, Co-Responsable Équipe Obligataire, Gérant
  • David Older, Responsable Équipe Actions, Gérant

Table ronde « Investir au-delà du mur des inquiétudes »

  • Marie-Anne Allier, Gérante
  • Pierre Verlé, Responsable Équipe Crédit, co-Responsable Équipe Obligataire, Gérant
  • Mark Denham, Responsable Actions Européennes, Gérant

Échanges avec Édouard Carmignac

Édouard Carmignac, Président, CIO

Intervenant(s)

Communication publicitaire. Veuillez vous référer au KID/prospectus avant de prendre toute décision finale d’investissement.​ Ce document est destiné à des clients professionnels.

Le présent document ne peut être reproduit en tout ou partie, sans autorisation préalable de la Société de gestion. Il ne constitue ni une offre de souscription ni un conseil en investissement. Ce document n’est pas destiné à fournir, et ne devrait pas être utilisé pour des conseils comptables, juridiques ou fiscaux. Il vous est fourni uniquement à titre d’information et ne peut être utilisé par vous comme base pour évaluer les avantages d’un investissement dans des titres ou participations décrits dans ce document ni à aucune autre fin. Les informations contenues dans ce document peuvent être partielles et sont susceptibles d’être modifiées sans préavis. Elles se rapportent à la situation à la date de rédaction et proviennent de sources internes et externes considérées comme fiables par Carmignac, ne sont pas nécessairement exhaustives et ne sont pas garanties quant à leur exactitude. À ce titre, aucune garantie d’exactitude ou de fiabilité n’est donnée et aucune responsabilité découlant de quelque autre façon pour des erreurs et omissions (y compris la responsabilité envers toute personne pour cause de négligence) n’est acceptée par Carmignac, ses dirigeants, employés ou agents.​

Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. Elles sont nettes de frais (hors éventuels frais d’entrée appliqués par le distributeur).​Le rendement peut évoluer à la hausse comme à la baisse en raison des fluctuations des devises, pour les actions qui ne sont pas couvertes contre le risque de change.​

La référence à certaines valeurs ou instruments financiers est donnée à titre d’illustration pour mettre en avant certaines valeurs présentes ou qui ont été présentes dans les portefeuilles des Fonds de la gamme Carmignac. Elle n’a pas pour objectif de promouvoir l’investissement en direct dans ces instruments, et ne constitue pas un conseil en investissement. La Société de Gestion n’est pas soumise à l’interdiction d’effectuer des transactions sur ces instruments avant la diffusion de la communication. Les portefeuilles des Fonds Carmignac sont susceptibles de modification à tout moment.​

La référence à un classement ou à un prix ne préjuge pas des classements ou des prix futurs de ces OPC ou de la société de gestion.​La durée minimum de placement recommandée équivaut à une durée minimale et ne constitue pas une recommandation de vente à la fin de ladite période.​

​Morningstar Rating™ : © Morningstar, Inc. Tous droits réservés. Les informations du présent document : -appartiennent à Morningstar et / ou ses fournisseurs de contenu ; ne peuvent être reproduites ou diffusées ; ne sont assorties d’aucune garantie de fiabilité, d’exhaustivité ou de pertinence. Ni Morningstar ni ses fournisseurs de contenu ne sont responsables des préjudices ou des pertes découlant de l’utilisation desdites informations.​

L’accès au Fonds peut faire l’objet de restriction à l’égard de certaines personnes ou de certains pays. Le présent document ne s’adresse pas aux personnes relevant d’une quelconque juridiction où (en raison de la nationalité ou du domicile de la personne ou pour toute autre raison) ce document ou sa mise à disposition est interdit(e). Les personnes auxquelles s’appliquent de telles restrictions ne doivent pas accéder à ce document. La fiscalité dépend de la situation de chaque personne. Les fonds ne sont pas enregistrés à des fins de distribution en Asie, au Japon, en Amérique du Nord et ne sont pas non plus enregistrés en Amérique du Sud. Les Fonds Carmignac sont immatriculés à Singapour sous la forme d’un fonds de placement de droit étranger réservé aux seuls clients professionnels. Les Fonds ne font l’objet d’aucune immatriculation en vertu du US Securities Act de 1933. Le fonds ne peut être proposé ou vendu, directement ou indirectement, au bénéfice ou pour le compte d’une « US person » au sens de la réglementation S américaine et du FATCA.

La décision d’investir dans le(s) fonds promu(s) devrait tenir compte de toutes ses caractéristiques et de tous ses objectifs, tels que décrits dans son prospectus. Les risques et frais relatifs aux Fonds sont décrits dans le KID (Document d’informations clés). Le KID doit être tenu à disposition du souscripteur préalablement à la souscription. Le souscripteur doit prendre connaissance du KID. Les investisseurs peuvent perdre tout ou partie de leur capital, attendu que les Fonds n’offrent pas de garantie de capital. Tout investissement dans les Fonds comporte un risque de perte de capital.

Carmignac Portfolio désigne les compartiments de la SICAV Carmignac Portfolio, société d’investissement de droit luxembourgeois conforme à la directive OPCVM.​ Les Fonds sont des fonds communs de placement de droit français conformes à la directive OPCVM ou AIFM.​ La société de gestion peut décider à tout moment de cesser la commercialisation dans votre pays.

L’équipe Bpifrance – Le Hub organise la 3e édition du rendez-vous des PME & ETI dédié à la digitalisation des PME et ETI grâce aux startups. Venez découvrir les insights des acteurs du e-commerce et rencontrez-les le Mardi 26 Septembre au Hub de Bpifrance. 

Quand startups et marques réinventent l’expérience client

L’expérience client sera au cœur de la table ronde, afin de mettre en exergue le rôle crucial qu’elle joue aujourd’hui chez les marques et les consommateurs, et présenter des exemples concrets de solutions simples à mettre en place. – La FEVAD (Fédération du e-commerce et de la vente à distance) apportera sa vision marché, – Les entreprises ManoMano et iDealWine leurs problématiques clients, – et les startups Ringover et Brevo leurs solutions opérationnelles. Au programme : cocktail de networking, table ronde et retours d’expérience autour de la fiabilité des solutions et de la facilité de leur implémentation. Un rendez-vous à ne pas manquer pour trouver en externe les ressources nécessaires à une transformation digitale réussie. Date : Mardi 26 septembre – de 18h00 à 20h30 Lieu : Bpifrance – Le Hub – 6-8 boulevard Haussmann – Paris 9e Ou en distanciel Thème : Quand startups et marques réinventent l’expérience client

Informations et Inscription (gratuite)

La plus grande surprise des trimestres passés aura certainement été la résilience de l’économie américaine. Comment a-t-elle pu résister si fermement au choc de 500 points de base de hausse des taux directeurs administrés par la Banque centrale américaine en seulement dix-sept mois? Par Frédéric Leroux – Responsable Équipe Cross AssetGérant chez Carmignac Nous avions bien identifié les facteurs essentiels de sa possible résistance : l’épargne excédentaire considérable constituée pendant le Covid qui devait apporter un large soutien à la consommation, un effet richesse renforcé par la bonne tenue des actifs financiers et immobiliers, des augmentations salariales permettant progressivement aux ménages de résister face à l’inflation… Mais quand même ! À l’instar de beaucoup d’autres, nous avons eu à repousser trimestre après trimestre la date présumée d’entrée en ralentissement de l’économie américaine, que nous attendons toujours. Ce ralentissement qui ne vient pas s’est traduit par une remontée des taux obligataires américains et européens sur les plus hauts du cycle entamé en mars 2020 alors que l’inflation américaine globale passait paradoxalement de 9% à 3,2% de juin 2022 à juillet dernier. Cette tension sur les taux longs a fini par affaiblir les marchés d’actions : alors qu’ils clôturaient le mois de juillet sur leurs plus hauts annuels, ils ont abandonné entre 5 et 9% au cours du mois d’août.

Faut-il craindre que ce ralentissement prévisible s’accompagne de taux d’intérêt élevés ?

Ne faut-il pas plutôt pour les mois qui viennent espérer de ce ralentissement une « désinflation immaculée », c’est-à-dire une désinflation permise par des hausses de taux n’engendrant pas de récession ?

Pour répondre à cette question, il convient d’abord de savoir si la divergence observée entre inflation et taux d’intérêt est anormale. Nos recherches montrent sans ambiguïté que lors de la dernière longue période d’inflation (1965-1980) les taux d’intérêt se retournaient à la baisse après l’inflation, avec un retard de six à dix-huit mois, alors que les retournements de l’inflation à la hausse étaient systématiquement précédés par ceux des taux. Sur cette longue période d’inflation qui progressait par vagues, les marchés de taux anticipaient correctement que l’inflation durerait. C’est pour cela qu’ils montaient plus longtemps que l’inflation et baissaient moins longtemps qu’elle.

Carmignac

La relation observée ces derniers trimestres entre les prix et les taux obligataires qui suivent avec retard le retournement de l’inflation à la baisse est donc « normale » dès l’instant où l’on veut bien reconnaître la possibilité de pressions inflationnistes persistantes.

Elle n’interdit pas pour autant la possibilité d’une baisse des taux obligataires imminente dès lors que la crédibilité des banques centrales dans leur lutte contre l’inflation n’est pas remise en cause.

Cela étant posé, il convient ensuite d’écouter ce que disent les bons économistes. Leur message est clair : les tensions sur le marché du travail et la possibilité d’un proche rebond – déjà ! – de l’activité manufacturière aux États-Unis inciteront la Fed à maintenir aussi longtemps que possible des taux d’intérêt directeurs élevés, qui finiront par produire le ralentissement attendu. En effet, l’épargne excédentaire fond comme neige au soleil. Elle offre un coussin de sécurité de moins en moins épais au consommateur, qui a largement soutenu l’économie. De même, les effets du resserrement monétaire se font toujours sentir avec retard sur l’économie. En l’occurrence, ce resserrement a été si concentré dans le temps qu’une bonne partie des effets va probablement seulement commencer à se matérialiser.

À l’heure où nous écrivons, il est donc envisageable que le mois d’août soit celui qui aura vu les taux d’intérêt excéder l’inflation sous-jacente (hors alimentation et énergie) pour la première fois depuis mars 2021. Par ailleurs, comme la saisonnalité reste favorable à la poursuite de la réduction de la hausse des prix, nous pouvons espérer un retour progressif des taux à 10 ans américains vers 3,5% contre 4,36% au plus haut d’août.

Dans cette hypothèse, il n’y a pas de raison particulière d’anticiper un creusement de la correction récente des marchés d’actions mais, au contraire, bien des raisons de penser que les placements obligataires contribueront au bon comportement de nos portefeuilles. Les valeurs de croissance à bonne visibilité et à la qualité chèrement valorisée par les marchés, favorisées par la baisse des taux à long terme, poursuivront alors leur avancée.

Les marchés ont, comme beaucoup d’entre nous, fait une pause en août. Ils semblent désireux de montrer leur énergie retrouvée à l’occasion de cette rentrée. Gardons cependant un degré élevé de vigilance : les taux d’intérêt nous montreront peut-être que l’hydre inflationniste n’a pas été terrassée. Il nous appartiendra alors de promptement réorienter une partie de nos investissements sur les actifs qui s’en accommoderont le mieux. Le retour du cycle économique exige de l’agilité.

Bonne rentrée !

Contactez les experts Carmignac

En tant que société de gestion et garants des actifs de nos clients, nous avons un rôle essentiel à jouer pour aider les entreprises dans lesquelles nous investissons à améliorer leur profil ESG au bénéfice de leurs nombreuses parties prenantes, qu’il s’agisse des actionnaires, des employés, des clients et de la société elle-même. C’est pourquoi nous privilégions une approche d’investissement dynamique ainsi qu’une démarche d’actionnariat actif en dialoguant avec les entreprises et en votant lors de leurs assemblées générales annuelles. L’éventail des sujets ESG est très large et ne cesse d’évoluer. Nous avons donc choisi d’axer notre approche ESG sur trois thèmes essentiels à notre activité et sur lesquels nous pensons pouvoir contribuer de manière tangible : le Climat, l’Émancipation et le Leadership. Maxime Carmignacdirectrice générale de Carmignac UK, Lloyd McAllister, responsable de l’Investissement durable, et Marion Plouhinec, analyste ESG senior, présentent nos attentes sur les enjeux climatiques, sociaux et de gouvernance. Communication Publicitaire. La décision d’investir dans les fonds devrait tenir compte de toutes les caractéristiques et de tous les objectifs, tels que décrits dans le prospectus. Communication publiée par Carmignac Gestion S.A., société de gestion de portefeuille agréée par l’Autorité des Marchés Financiers (AMF) en France, et sa filiale luxembourgeoise, Carmignac Gestion Luxembourg, S.A., société de gestion de fonds d’investissement agréée par la Commission de Surveillance du Secteur Financier (CSSF). «Carmignac» est une marque déposée. «Investing in your Interest» est un slogan associé à la marque Carmignac. La présente vidéo ne peut être reproduite en tout ou partie, sans autorisation préalable de la Société de gestion. Elle ne constitue ni une offre de souscription ni un conseil en investissement. Cette vidéo n’est pas destinée à fournir, et ne devrait pas être utilisée pour des conseils comptables, juridiques ou fiscaux. Elle vous est fournie uniquement à titre d’information et ne peut être utilisée comme base pour évaluer les avantages d’un investissement dans des titres ou participations décrits dans cette vidéo ni à aucune autre fin. Les informations contenues dans cette vidéo peuvent être partielles et sont susceptibles d’être modifiées sans préavis. Elles se rapportent à la situation à la date de rédaction et proviennent de sources internes et externes considérées comme fiables par Carmignac, ne sont pas nécessairement exhaustives et ne sont pas garanties quant à leur exactitude. CARMIGNAC GESTION 24, place Vendôme – F – 75001 Paris Tél : (+33) 01 42 86 53 35 Société de gestion de portefeuille agréée par l’AMF. SA au capital de 15,000,000 € – RCS Paris B 349 501 676 CARMIGNAC GESTION Luxembourg City Link – 7, rue de la Chapelle – L-1325 Luxembourg Tel : (+352) 46 70 60 1 – Filiale de Carmignac Gestion. Société de gestion de fonds d’investissement agréée par la CSSF. SA au capital de 23 000 000 € – RC Luxembourg B67549  
Tournée aujourd’hui vers la transition énergétique, les entreprises ne doivent pas occulter la question du vieillissement de la population, et doivent agir pour préparer « cette transition démographique ». Bien vieillir et chez soi, tel est le souhait de la majorité des Français pour lesquels il est difficile d’imaginer finir ses jours dans des établissements spécialisés. C’est dans ce contexte que Laurent Permasse, président du directoire de SOFIAP (Société Financière pour l’Accession à la Propriété), filiale de La Banque Postale et de la SNCF, a dirigé le livre « Manifeste pour la liberté de vieillir chez soi », qui paraîtra le 28 septembre 2023 aux éditions Le Cherche Midi. Créateur du ticket social devenu le CESU préfinancé, le chèque emploi service universel, il a consacré l’essentiel de sa carrière à l’innovation sociale. La sortie de ce livre est l’occasion de se pencher sur ce sujet de société central du bien vieillir qui touche l’ensemble des Français et sur le rôle que les entreprises doivent jouer auprès des salariés aidants. Un enjeu qui s’inscrit pleinement dans la responsabilité sociale des entreprises (RSE) et correspond à l’objectif de SOFIAP de favoriser l’accession à la propriété des collaborateurs d’entreprises engagées. Bien vieillir chez soi, c’est possible et les entreprises doivent s’en saisir
Laurent Permasse, président du directoire de SOFIAP et auteur du « Manifeste pour la liberté de vieillir chez soi »
Le « Manifeste pour la liberté de vieillir chez soi » parle de la difficulté des familles à évoquer le vieillissement et la nécessité des entreprises de se saisir de la problématique.
Dans nos sociétés en quête de jeunesse éternelle où les injonctions à rester jeune font de la vieillesse une tare, il n’est pas étonnant que vieillir soit un sujet tabou.
Cependant, d’ici 2030 en France, il y aura plus de seniors que de personnes de moins de 20 ans. Se posent alors les questions de la santé publique et de ladépendance. Cette dernière amène le sujet de la difficulté à vieillir dignement. Pourtant, il existe une alternative qui a fait ses preuves dans de nombreux pays : vieillir chez soi pour maintenir les personnes âgées dans un cadre de vie familier, conserver leur qualité de vie et le lien social [1]. Tout ceci est possible si l’aidant est aidé. Ce manifeste balaye tous les préjugés (coûteux, pas assez sécuritaire, etc.) et présente les solutions existantes (sans être exhaustif): santé, aide à la personne, aménagement de l’habitat, financement. Briser le tabou et en discuter en famille est central mais le foyer n’est pas le seul lieu où les enjeux du bien vieillir se dessinent. Plus de 20% des aidants en emploi ont été obligés de s’absenter de leur travail pour s’occuper d’un proche. Aussi, le livre a pour objectif d’ouvrir le débat au sein des entreprises qui, plutôt que de subir, doivent devenir des actrices du changement. Il propose ainsi des solutions concrètes à travers notamment la mise en place de dispositifs financiers de type prêt subventionné. Cette mesure permet aux employeurs de participer activement à des initiatives citoyennes pour une entreprise plus responsable et inclusive. « SOFIAP, filiale de La Banque Postale et de la SNCF, acteur public et citoyen, place au cœur de sa mission la responsabilité sociétale des entreprises. Elle met au service de cellesci son expertise acquise, depuis plus d’un siècle, du prêt subventionné par l’employeur pour favoriser le logement. Nous sommes convaincus que l’amélioration du bienêtre des salariés et leur accompagnement dans des moments clés de leur vie sont des piliers essentiels d’une politique d’entreprise responsable et citoyenne. Elle ouvre un nouvel avantage social pour les
entreprises en proposant le prêt senior hypothécaire, approche novatrice qui soulage les salariés aidants tout en contribuant à améliorer leur pouvoir d’achat. Les collaborateurs aidants pourront ainsi concilier plus sereinement leurs responsabilités professionnelles et leur rôle auprès de leur famille. », explique Laurent Permasse, président du directoire de SOFIAP.
Ces solutions ont un véritable impact social et s’inscrivent dans une démarche de responsabilité sociétale forte. Les entreprises améliorent ainsi leur position d’employeur responsable, engagé et attentif aux enjeux sociaux et économiques qui traversent notre époque. Ces initiatives s’inscrivent dans la continuité des solutions développées par le groupe La Poste, qui accompagne au quotidien les seniors à travers ses services de proximité mais aussi ses salariés aidants avec des mesures spécifiques. Accompagner au bien vieillir : un bénéfice pour tous Selon l’Etude Viavoice x OCIRP [2], l’âge moyen de l’entrée dans l’aidance est de 36 ans. C’est très jeune et révèle à quel point cela touche tous les salariés indépendamment de leur âge. Toujours selon la même étude, 62% des sondés ne s’estiment pas suffisamment informés sur le sujet des salariés aidants et 42% des aidants n’ont pas informé leur employeur de leur situation et ne souhaitent pas le faire. Cette vision où seul le rendement et la productivité sont importants aux yeux de l’employeur est un frein au progrès social et peut même être contre
productive. Cela prouve que le rôle de l’entreprise dans la prise en charge des aidants est aujourd’hui fondamental.
« Avec le vieillissement de la population, le nombre d’aidants en entreprise ne cesse de croître, et notre rôle en tant qu’acteur citoyen dans le secteur de l’immobilier prend une nouvelle dimension. SOFIAP se positionne en tant qu’acteur engagé dans les mesures sociales inclusives. Nous sommes pionniers sur le marché des prêts subventionnés par l’employeur et ainsi un facilitateur pour l’accession à la propriété. Soucieux de répondre aux enjeux sociaux favorisant l’inclusion, nous continuons de développer nos offres pour aller encore plus loin. Nous sommes convaincus que notre rôle ne se limite pas à fournir des produits financiers, mais à créer un impact positif dans la vie de nos clients. », explique Laurent Permasse. « Nos solutions sont le prêt immobilier subventionné par l’entreprise avec une prise en charge des intérêts afin de financer l’accession à la propriété ou la pièce de plus pour héberger un proche, le financement des travaux pour aménager le logement avec une prise en charge partielle des intérêts du prêt, mais aussi le prêt subventionné senior hypothécaire pour percevoir un capital jusqu’à 60% de la valeur du bien tout en restant propriétaire. » Par ricochet, cette réalité croissante de la population vieillissante entraîne un nombre exponentiel d’aidants salariés et, par voie de conséquence, de plus en plus d’entreprises sont confrontées à des problématiques d’absentéisme, de baisse de la productivité et de stress des salariés, dues à la prise en charge de leurs proches. Ils sont de plus en plus nombreux à mettre leur carrière entre parenthèses et seulement 2% des aidants affirment être accompagnés par leur entreprise. Tout cela influe défavorablement sur la performance globale et c’est la raison pour laquelle il est temps de prendre en compte cette situation et de trouver des solutions adaptées. Que chaque entreprise puisse soutenir ses salariés aidants renforcera leur engagement envers elle mais participera aussi à une politique RH de qualité qui aura un impact tant sur le recrutement que sur la fidélisation des salariés, autre enjeu de taille aujourd’hui. Audelà des pistes de réflexion et solutions concrètes évoquées, le livre donne la parole aux personnes âgées, à leur entourage mais aussi à ceux qui agissent, qu’ils soient aidants, DRH ou dirigeants d’entreprises. Par ce manifeste intergénérationnel, l’objectif est de sensibiliser les entreprises à ce rôle, d’ouvrir le débat et que les politiques RSE de chacune d’elles intègrent l’aide aux aidants, au même titre que la diversité et le développement durable. [1] D’après une étude OpinionWay x Les Maisons de Marianne, le maintien d’une vie sociale apparaît comme le premier critère de bienêtre, étude menée auprès de Français de plus de 50 ans, novembre 2022. [2] Etude Viavoice x OCIRP, Observatoire des salariés proches aidants, septembre 2022 A propos de SOFIAP 
Nous pensons que devenir propriétaire est un élément d’inclusion, de société et de préparation à la retraite. SOFIAP répond au «S» de RSE autour de l’engagement social et sociétal des employeurs et permet une innovation autour de la propriété immobilière et plus largement du financement. Nous concevons des prêts subventionnés (achat immobilier, crédit consommation…) par les entreprises pour permettre aux salariés de financer leurs projets de vie. Créée par la SNCF pour aider les cheminots à accéder à la propriété, nous sommes le fruit d’une histoire de plus de 100 ans. Nous sommes la réponse actuelle aux besoins des entreprises de recruter et de fidéliser en permettant aux collaborateurs de vivre plus confortablement, plus responsable, et de se créer un patrimoine.
Contacts presse :
– AnneLise Villet

06 28 47 30 01

annelise.villet.rp@gmail.com

– Pauline SaintMartin

06 83 00 57 40

pauline.saintmartin.rp@gmail.com
La rentrée 2023 est l’occasion parfaite pour les PME et ETI de revoir leur stratégie informatique afin de rester compétitifs dans un monde en constante évolution numérique. Avec de nouvelles avancées technologiques et des besoins changeants, il est crucial de mettre en place une infrastructure digitale solide et adaptable. Voici quelques conseils pour vous aider à optimiser l’informatique de votre entreprise et à vous préparer au succès. Par Nina Oussadi – Chargée de développement chez Izencia
  1. Évaluez vos besoins actuels et futurs
Avant d’apporter des changements majeurs à votre infrastructure informatique, prenez le temps d’évaluer vos besoins actuels et futurs. Analysez la croissance prévue de votre entreprise, les nouveaux marchés que vous pourriez explorer et les innovations technologiques susceptibles de perturber votre industrie. Cela vous aidera à déterminer les ressources informatiques nécessaires pour soutenir vos objectifs à long terme.
Nina Oussadi – Chargée de développement chez Izencia
  1. Optez pour le Cloud
Le Cloud computing continue de révolutionner la manière dont les entreprises gèrent leurs données et leurs applications. Migration vers le Cloud offre une flexibilité accrue, une échelle plus facile et une meilleure résilience en cas de sinistre. Explorez les options de Cloud public, privé ou hybride en fonction de vos besoins en matière de sécurité, de performances et de contrôle.
  1. Sécurité renforcée
Avec l’augmentation des cyberattaques sophistiquées, la sécurité informatique doit être une priorité absolue. Mettez en place des mesures de sécurité avancées telles que l’authentification à deux facteurs, la surveillance en temps réel des menaces et la formation continue de vos employés sur les meilleures pratiques en matière de cybersécurité.
  1. Intégration de l’IA et de l’automatisation
L’intelligence artificielle (IA) et l’automatisation peuvent considérablement améliorer l’efficacité opérationnelle de votre entreprise. Explorez les applications de l’IA dans l’analyse de données, le service client, la gestion de la chaîne d’approvisionnement et bien plus encore. L’automatisation peut réduire les tâches manuelles répétitives, permettant à vos employés de se concentrer sur des tâches à plus forte valeur ajoutée.
  1. Modernisation des logiciels et des applications
Assurez-vous que vos logiciels et applications sont à jour pour bénéficier des dernières fonctionnalités, de la compatibilité avec les nouvelles plates-formes et des correctifs de sécurité essentiels. La modernisation régulière garantit que votre entreprise reste agile et peut s’adapter rapidement aux changements du marché.
  1. Collaboration améliorée
Facilitez la collaboration entre les membres de votre équipe en mettant en place des outils de communication et de partage de fichiers efficaces. Les plateformes de visioconférence, les intranets d’entreprise et les applications de gestion de projet peuvent favoriser un flux de travail fluide, même avec des équipes dispersées géographiquement.
  1. Écologie et durabilité
Lors de la mise à jour de votre infrastructure informatique, prenez en considération les aspects écologiques et durables. Optez pour des solutions écoénergétiques et réduisez la consommation d’énergie de vos centres de données. Cela peut non seulement réduire vos coûts opérationnels, mais aussi renforcer votre image en tant qu’entreprise socialement responsable. En cette rentrée 2023, la transformation numérique continue de redéfinir la manière dont les entreprises opèrent. En adoptant ces conseils pour optimiser votre infrastructure informatique, vous pouvez positionner votre entreprise pour une croissance durable et une compétitivité accrue dans le monde numérique en constante évolution.
La rupture conventionnelle est un mécanisme qui permet à un employeur et à un salarié en CDI de s’accorder mutuellement sur la fin de leur relation professionnelle. Jusqu’au 31 août, le forfait social était de 20% du montant du salaire pour un salarié n’ayant pas atteint l’âge légal de départ à la retraite. À partir du 1ᵉʳ septembre 2023, des modifications majeures ont été mises en application et désormais, il ne sera pas plus avantageux de se séparer à l’amiable d’un employé ne pouvant pas partir à la retraite, que d’un autre ayant cotisé tous ses trimestres. Par Serge de Cluny

Ce dispositif de rupture conventionnelle a été mis en place en 2008 comme alternative au licenciement ou à la démission. Les modifications apportées depuis le 1ᵉʳ septembre 2023 sont certes techniques mais elles mettent fin à une spécificité juridique assez illogique du droit du travail français.

Dorénavant, la fiscalité sera identique pour toutes les formes de ruptures conventionnelles alors qu’elle avantageait jusqu’à présent les séparations à l’amiable pour les salariés n’ayant pas encore cotisé tous leurs trimestres pour partir à la retraite. Jusqu’alors, le forfait social à la charge de l’employeur était de 20 % lorsque le salarié n’avait pas encore atteint l’âge légal de départ à la retraite, dorénavant celui-ci va passer à 30 % du salaire de l’employé quel que soit son âge. A travers cette modification, le gouvernement veut favoriser l’emploi des seniors jusqu’à leurs 70 ans, l’âge de la mise à la retraite d’office.

«Le but de cette évolution est de remédier à une aberration du système qui favorise les ruptures conventionnelles avant la retraite», explique Bertrand Martinot, économiste membre de l’Institut Montaigne et spécialiste du travail. «On constate qu’il y a un pic deux-trois ans avant l’âge légal de départ», ajoute-t-il, soit la durée maximale durant laquelle les séniors peuvent toucher une allocation-chômage.

Le dispositif était donc à la fois coûteux pour Pôle emploi dont le nombre d’allocataires gonflait, pour l’emploi des séniors et forcément pour les finances publiques qui se voyaient privées de cotisations. L’entreprise était imposée sur les indemnités de ruptures conventionnelles à hauteur de 20% pour les employés ne pouvant pas partir à la retraite contre 50% pour ceux ayant assez cotisé. A présent, un taux de 30% est imposé à tous.

Le patronat en colère

Tout le monde comprend la nécessité d’uniformiser les pratiques mais cette réforme est «très mal accueillie» par le patronat, souligne Éric Chevée, vice-président de la CPME (Confédération des Petites et Moyennes Entreprises). «Il y avait deux moyens d’aligner : par le bas et le haut. C’est la seconde option qui a été choisie», déplore-t-il. «Cela va renchérir le coût de la rupture conventionnelle alors qu’il s’agit d’un outil de paix sociale». Pour lui, le sujet aurait dû être traité directement par les partenaires sociaux plutôt que par l’État. D’autres voix relativise l’impact financier de cette réforme comme Maître Sabrina Kemel, avocat chez FTMS, «cette hausse du plafond ne devrait pas changer grand-chose pour les employeurs à l’exception des salariés étant en âge de partir en retraite. Au moment de la mise en place des 20%, des voix s’étaient faites entendre, mais finalement ça n’a pas arrêté l’appétence pour ces solutions du moins pour les grandes entreprises», tempère-t-elle. Pour Bertrand Martinot, cette mesure ne peut, à elle-seule, impacter notablement l’emploi des séniors. «La durée d’indemnisation des séniors au chômage reste le vrai point important» souligne-t-il en rappelant ce qui a déjà été fait pour favoriser leur recherche d’emploi. «Sur les 15 dernières années il y a une continuité des politiques publiques sur le sujet. Depuis 2009 et l’obligation faite aux plus de 55 ans au chômage de chercher activement un emploi. En passant aux reports successifs de l’âge auquel les demandeurs d’emploi séniors peuvent profiter d’une durée maximale d’indemnisation de trois ans et jusqu’à la réduction de cette durée de 36 à 27 mois cette année».
La Rencontre des entrepreneurs de France (REF), organisée par le Medef s’est ouverte ce lundi 28 août à l’hippodrome de Lonchamp à Paris. Emmanuel Macron est intervenu à travers une allocution vidéo dans laquelle il a enjoint les chefs d’entreprise à «l’unité». Élisabeth Borne, elle, s’est rendu à l’évènement où elle était attendue par des patrons très remontés contre la volonté du gouvernement de différer une baisse d’impôts des entreprises. L’ouverture de la Rencontre des entrepreneurs de France a été marquée par allocation vidéo du chef de l’état dans laquelle il a expliqué avoir «besoin» du patronat français pour relever les défis auxquels l’économie française va devoir faire face, notamment le plein-emploi et la croissance. Après avoir vanté les résulats de son bilan, Emmanuel Macron a adressé un «message d’unité» aux patrons français, revenant plusieurs fois sur le terme. Patrick Martin, le nouveau président du Medef a immédiatement appuyer les propos du président de la république. «Dans le moment où nous vivons», caractérisé par de nombreuses «incertitudes géopolitiques» ainsi que par «l’accélération technologique» et le «changement climatique», Emmanuel Macron s’est déclaré «absolument convaincu que l’unité doit prévaloir». «J’ai besoin de vous», a-t-il poursuivi dans cette intervention. Des propos qui rappellent certaines de ses déclarations précédentes, comme celles aux maires de France en 2019 ou aux adhérents du parti présidentiel pendant sa campagne de réélection en 2022.

Le Chef de l’état n’a pas manqué de défendre sa politique des six dernières années. «Nous avons transformé le pays et nous avons des résultats», a-t-il jugé, s’appuyant par exemple sur le taux de chômage qui a «perdu deux points» depuis 2017.

Au niveau fiscal, Emmanuel Macron a également défendu son bilan mais n’a pas cité nommément la CVAE, l’impôt de production qui préoccupe tant le patronat. Le gouvernement a récemment annoncé que sa suppression serait reportée à 2027 au lieu de 2024. «Vous savez que vous avez un président et un gouvernement qui, quand il s’engage sur des choses, le fait», a toutefois conclu le président de la république.

Elisabeth Borne venue rassurer le patronat

La première ministre, Elisabeth Borne, présente à la Rencontre des entrepreneurs de France a promis devant les patrons qu’« il n’y aura pas de hausse d’impôts », y compris pour les entreprises. Elle a cependant bel et bien confirmé le report de la suppression totale de la CVAE (cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises) à 2027, plutôt que 2024, ce que irrite fortement le Medef.

« Certains craignent que les entreprises soient davantage taxées », mais « il n’en est pas question », a déclaré la première ministre, avant de préciser : « Ce que je vous confirme, c’est que la totalité de la CVAE sera supprimée avant la fin du quinquennat, et qu’on le fera au rythme le plus rapide possible, en tenant compte d’un autre objectif que je pense on partage : la nécessité de tenir notre trajectoire de maîtrise de nos finances publiques. »

Juste avant son intervention, le président du Medef Patrick Martin, a une nouvelle fois dénoncé depuis la tribune la décision du gouvernement de décaler la suppression de cet impôt de production. « Outre qu’il altérerait la confiance des entrepreneurs dans la parole de l’Etat – car, oui, l’Etat s’y était engagé, la loi a été votée – un nouvel étalement de la suppression de la CVAE serait un très mauvais signal », déclare-t-il.

« Nos entreprises, singulièrement nos entreprises industrielles, ont un impérieux besoin de cette suppression immédiate, au moment où la concurrence internationale s’intensifie et où nous devons investir massivement sur la décarbonation », a-t-il ajouté en expliquant que cette suppression avait été annoncée pour 2024 et qu’elle a été, de ce fait, intégrée par les entreprises notamment « en termes de décisions d’investissement et d’embauche », et qu’« elle doit intervenir en temps et en heure ».

Elisabeth Borne a mis l’accent, elle, sur l’importance de maintenir l’effort d’assainissement des finances publiques, dans un contexte macroéconomique plus tendu. « Si on ne le faisait pas, je pense que tous les chefs d’entreprise le savent, ça aurait un impact immédiat sur les taux d’intérêt et donc sur notre activité économique », a-t-elle indiqué en parlant même de la « politique probusiness » du gouvernement depuis 2017.

Elisabeth Borne a par ailleurs abordé le sujet des arrêts maladie, assurant qu’« il n’y aura pas une décision unilatérale qui tomberait sur les entreprises », alors que Patrick Martin craignait que soient mis à la charge des entreprises « certains arrêts maladie dont elles ne sont essentiellement pas responsables ».
Que l’on soit mère ou père, l’arrivée d’un nouvel enfant vient forcément bousculer le quotidien personnel et professionnel. Certaines entreprises ont d’ores et déjà compris que, mettre en place une politique parentale était simple, mais surtout positive pour tout le monde. Des actions gagnantes/gagnantes qui répondent à des enjeux RH actuels comme la marque employeur, la qualité de vie et conditions de travail, l’inclusion, la responsabilité sociétale des entreprises, le management innovant…Cependant, certaines fausses idées reçues peuvent stopper les entreprises dans cette démarche. Par Anaïs HUBERT – Fondatrice de Humaine Ressource La charge de travail Un des freins à la mise en place d’une politique parentale est l’idée que cela ajouterait une charge de travail supplémentaire aux équipes déjà débordées. Pourtant de nombreuses entreprises, ont déjà naturellement mis en place des actions, sans qu’elles soient distinctement inscrites dans une politique spécifique. Commencez par réaliser un diagnostic des pratiques internes en matière de conciliation vie personnelle, vie professionnelle. Ce diagnostic permettra de faire ressortir d’éventuelles actions déjà existantes qui pourront être facilement mises en avant, par la suite. L’investissement financier L’autre idée reçue pouvant décourager la mise en place d’une politique parentale est le coût des actions menées, vues comme un investissement supplémentaire dans un contexte de crise. Avant toute prise de décision, il est indispensable de considérer la démographie de votre entreprise (taux de natalité, pyramide des âges, pourcentage de parents…) Par exemple, tous vos collaborateurs ne seront pas concernés par l’arrivée d’un enfant la même année. Les éventuels investissements à prévoir, pourraient ne concerner qu’une petite partie des équipes, restant ainsi raisonnables. La pression sociale La parentalité est bien souvent considérée comme un obstacle à la performance professionnelle. En effet, la croyance qu’il est nécessaire de faire un choix entre vie professionnelle et vie personnelle est ancrée dans la culture travail. Mettre en place une telle politique c’est aller à l’encontre de l’idée encore bien présente, que le succès au travail requiert un dévouement exclusif. Pourtant les tendances actuelles prouvent le contraire… Les collaborateurs les plus engagés et investis sont ceux qui évoluent dans un environnement qui favorise un équilibre des vies, créant ainsi un cercle vertueux renforçant la loyauté et la productivité. En mettant en place une telle politique, vous contribuez à faire baisser cette pression sociale injustifiée, réduisez le stress et augmentez la performance de vos collaborateurs. La flexibilité Lorsque l’on évoque la politique parentale, beaucoup d’entreprises imaginent devoir proposer plus de flexibilité, télétravail, congés supplémentaires parfois incompatibles avec leurs activités. Or ce n’est pas un passage obligatoire. L’organisation du travail n’est pas le seul sujet concerné. Parcours de réintégration, développement des compétences personnelles, mentoring et bien d’autres actions peuvent être mises en œuvre pour créer un environnement de travail sensible à la parentalité. La taille de l’entreprise Trop souvent on imagine que ce type de politique est réservée aux grandes entreprises, qui auraient plus de ressources pour mettre en place des actions adaptées. Or, la politique parentale est avant tout une politique humaine et elle n’est pas conditionnée par la taille de l’entreprise. Au contraire, les TPE et PME ont un environnement très favorable à la mise en place d’une telle stratégie : communication de proximité, structure plus flexible, prise de décision rapide… Que vous soyez une grande entreprise ou une petite structure, vous pouvez instaurer une politique parentale adaptée à votre contexte. Les inégalités Il est légitime de se demander, si une telle politique n’est pas perçue comme inéquitable par les collaborateurs sans enfant. En réalité, une telle politique aura un effet positif bien au-delà du groupe directement concerné en renforçant la dimension inclusive de votre entreprise. En effet, une culture qui encourage le soutien et la solidarité (peu importe le sujet) impactera positivement le climat de votre entreprise. Pour susciter l’adhésion de tous, mettre en place une stratégie qui fonctionne est conditionnée par le fait qu’elle doit être adaptée au contexte de votre entreprise. De plus, les actions menées doivent être concrètes et connues de tous. Cela implique donc une communication ouverte et régulière sur le sujet afin d’engager les salariés qu’ils soient parents ou non. Cette transition vers un management inclusif répond aux « nouvelles » attentes de vos collaborateurs en quête de sens. Car aujourd’hui, pour se démarquer, les entreprises doivent défendre des valeurs fortes et humaines. Les talents ne sont plus à la recherche d’un simple emploi, mais d’une véritable expérience collaborateur, leur permettant de s’épanouir professionnellement et personnellement.   Le sujet de la parentalité devient donc un moyen pour votre entreprise de se distinguer tout en soutenant vos employés dans leur quête de sens et d’équilibre.  

Les PME et ETI prennent aujourd’hui clairement conscience de l’urgence de battir une politique RSE cohérente en phase avec les nouvelles contraintes énergétiques, climatiques et sociales. Cependant, pour mettre en œuvre les transformations nécessaires, il est fondamental d’être bien accompagné et bien formé à la conduite de ce changement.

José Maillet, Professeur & Responsable de Gaïa, l’école de la transition écologique et sociale d’AUDENCIA nous parle de l’importance de la formation continue pour définir une approche stratégique et opérationnelle gagnante.

INSCRIVEZ-VOUS À NOTRE NEWSLETTER
AUX DERNIÈRES NOUVELLES
×

Vous êtes dirigeant ou cadre ?
Vous avez une question ou besoin d'une information ?

Le respect de votre vie privée est notre priorité

L’accès au site implique l’utilisation de cookies mais celle-ci est subordonnée à votre consentement.