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Vieillir en 2023, un sujet tabou que les entreprises peuvent soutenir efficacement au sein de leur démarche RSE

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Tournée aujourd’hui vers la transition énergétique, les entreprises ne doivent pas occulter la question du vieillissement de la population, et doivent agir pour préparer « cette transition démographique ». Bien vieillir et chez soi, tel est le souhait de la majorité des Français pour lesquels il est difficile d’imaginer finir ses jours dans des établissements spécialisés. C’est dans ce contexte que Laurent Permasse, président du directoire de SOFIAP (Société Financière pour l’Accession à la Propriété), filiale de La Banque Postale et de la SNCF, a dirigé le livre « Manifeste pour la liberté de vieillir chez soi », qui paraîtra le 28 septembre 2023 aux éditions Le Cherche Midi.

Créateur du ticket social devenu le CESU préfinancé, le chèque emploi service universel, il a consacré l’essentiel de sa carrière à l’innovation sociale. La sortie de ce livre est l’occasion de se pencher sur ce sujet de société central du bien vieillir qui touche l’ensemble des Français et sur le rôle que les entreprises doivent jouer auprès des salariés aidants. Un enjeu qui s’inscrit pleinement dans la responsabilité sociale des entreprises (RSE) et correspond à l’objectif de SOFIAP de favoriser l’accession à la propriété des collaborateurs d’entreprises engagées.

Bien vieillir chez soi, c’est possible et les entreprises doivent s’en saisir

Laurent Permasse, président du directoire de SOFIAP et auteur du « Manifeste pour la liberté de vieillir chez soi »

Le « Manifeste pour la liberté de vieillir chez soi » parle de la difficulté des familles à évoquer le vieillissement et la nécessité des entreprises de se saisir de la problématique.
Dans nos sociétés en quête de jeunesse éternelle où les injonctions à rester jeune font de la vieillesse une tare, il n’est pas étonnant que vieillir soit un sujet tabou.
Cependant, d’ici 2030 en France, il y aura plus de seniors que de personnes de moins de 20 ans. Se posent alors les questions de la santé publique et de ladépendance. Cette dernière amène le sujet de la difficulté à vieillir dignement. Pourtant, il existe une alternative qui a fait ses preuves dans de nombreux pays : vieillir chez soi pour maintenir les personnes âgées dans un cadre de vie familier, conserver leur qualité de vie et le lien social [1]. Tout ceci est possible si l’aidant est aidé.

Ce manifeste balaye tous les préjugés (coûteux, pas assez sécuritaire, etc.) et présente les solutions existantes (sans être exhaustif): santé, aide à la personne, aménagement de l’habitat, financement. Briser le tabou et en discuter en famille est central mais le foyer n’est pas le seul lieu où les enjeux du bien vieillir se dessinent. Plus de 20% des aidants en emploi ont été obligés de s’absenter de leur travail pour s’occuper d’un proche. Aussi, le livre a pour objectif d’ouvrir le débat au sein des entreprises qui, plutôt que de subir, doivent devenir des actrices du changement. Il propose ainsi des solutions concrètes à travers notamment la mise en place de dispositifs financiers de type prêt subventionné. Cette mesure permet aux employeurs de participer activement à des initiatives citoyennes pour une entreprise plus responsable et inclusive.

« SOFIAP, filiale de La Banque Postale et de la SNCF, acteur public et citoyen, place au cœur de sa mission la responsabilité sociétale des entreprises. Elle met au service de cellesci son expertise acquise, depuis plus d’un siècle, du prêt subventionné par l’employeur pour favoriser le logement. Nous sommes convaincus que l’amélioration du bienêtre des salariés et leur accompagnement dans des moments clés de leur vie sont des piliers essentiels d’une politique d’entreprise responsable et citoyenne. Elle ouvre un nouvel avantage social pour les
entreprises en proposant le prêt senior hypothécaire, approche novatrice qui soulage les salariés aidants tout en contribuant à améliorer leur pouvoir d’achat. Les collaborateurs aidants pourront ainsi concilier plus sereinement leurs responsabilités professionnelles et leur rôle auprès de leur famille. », explique Laurent Permasse, président du directoire de SOFIAP.

Ces solutions ont un véritable impact social et s’inscrivent dans une démarche de responsabilité sociétale forte. Les entreprises améliorent ainsi leur position d’employeur responsable, engagé et attentif aux enjeux sociaux et économiques qui traversent notre époque. Ces initiatives s’inscrivent dans la continuité des solutions développées par le groupe La Poste, qui accompagne au quotidien les seniors à travers ses services de proximité mais aussi ses salariés aidants avec des mesures spécifiques.

Accompagner au bien vieillir : un bénéfice pour tous

Selon l’Etude Viavoice x OCIRP [2], l’âge moyen de l’entrée dans l’aidance est de 36 ans. C’est très jeune et révèle à quel point cela touche tous les salariés indépendamment de leur âge. Toujours selon la même étude, 62% des sondés ne s’estiment pas suffisamment informés sur le sujet des salariés aidants et 42% des aidants n’ont pas informé leur employeur de leur situation et ne souhaitent pas le faire. Cette vision où seul le rendement et la productivité sont importants aux yeux de l’employeur est un frein au progrès social et peut même être contre
productive. Cela prouve que le rôle de l’entreprise dans la prise en charge des aidants est aujourd’hui fondamental.

« Avec le vieillissement de la population, le nombre d’aidants en entreprise ne cesse de croître, et notre rôle en tant qu’acteur citoyen dans le secteur de l’immobilier prend une nouvelle dimension. SOFIAP se positionne en tant qu’acteur engagé dans les mesures sociales inclusives. Nous sommes pionniers sur le marché des prêts subventionnés par l’employeur et ainsi un facilitateur pour l’accession à la propriété. Soucieux de répondre aux enjeux sociaux favorisant l’inclusion, nous continuons de développer nos offres pour aller encore plus loin. Nous sommes convaincus que notre rôle ne se limite pas à fournir des produits financiers, mais à créer un impact positif dans la vie de nos clients. », explique Laurent Permasse. « Nos solutions sont le prêt immobilier subventionné par l’entreprise avec une prise en charge des intérêts afin de financer l’accession à la propriété ou la pièce de plus pour héberger un proche, le financement des travaux pour aménager le logement avec une prise en charge partielle des intérêts du prêt, mais aussi le prêt subventionné senior hypothécaire pour percevoir un capital jusqu’à 60% de la valeur du bien tout en restant propriétaire. »

Par ricochet, cette réalité croissante de la population vieillissante entraîne un nombre exponentiel d’aidants salariés et, par voie de conséquence, de plus en plus d’entreprises sont confrontées à des problématiques d’absentéisme, de baisse de la productivité et de stress des salariés, dues à la prise en charge de leurs proches. Ils sont de plus en plus nombreux à mettre leur carrière entre parenthèses et seulement 2% des aidants affirment être accompagnés par leur entreprise. Tout cela influe défavorablement sur la performance globale et c’est la raison pour laquelle il est temps de prendre en compte cette situation et de trouver des solutions adaptées. Que chaque entreprise puisse soutenir ses salariés aidants renforcera leur engagement envers elle mais participera aussi à une politique RH de qualité qui aura un impact tant sur le recrutement que sur la fidélisation des salariés, autre enjeu de taille aujourd’hui.

Audelà des pistes de réflexion et solutions concrètes évoquées, le livre donne la parole aux personnes âgées, à leur entourage mais aussi à ceux qui agissent, qu’ils soient aidants, DRH ou dirigeants d’entreprises. Par ce manifeste intergénérationnel, l’objectif est de sensibiliser les entreprises à ce rôle, d’ouvrir le débat et que les politiques RSE de chacune d’elles intègrent l’aide aux aidants, au même titre que la diversité et le développement durable.

[1] D’après une étude OpinionWay x Les Maisons de Marianne, le maintien d’une vie sociale apparaît comme le premier critère de bienêtre, étude menée auprès de Français de plus de 50 ans, novembre 2022.

[2] Etude Viavoice x OCIRP, Observatoire des salariés proches aidants, septembre 2022

A propos de SOFIAP 
Nous pensons que devenir propriétaire est un élément d’inclusion, de société et de préparation à la retraite. SOFIAP répond au «S» de RSE autour de l’engagement social et sociétal des employeurs et permet une innovation autour de la propriété immobilière et plus largement du financement. Nous concevons des prêts subventionnés (achat immobilier, crédit consommation…) par les entreprises pour permettre aux salariés de financer leurs projets de vie. Créée par la SNCF pour aider les cheminots à accéder à la propriété, nous sommes le fruit d’une histoire de plus de 100 ans. Nous sommes la réponse actuelle aux besoins des entreprises de recruter et de fidéliser en permettant aux collaborateurs de vivre plus confortablement, plus responsable, et de se créer un patrimoine.

Contacts presse :
– AnneLise Villet

06 28 47 30 01

annelise.villet.rp@gmail.com

– Pauline SaintMartin

06 83 00 57 40

pauline.saintmartin.rp@gmail.com

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Crise cyber : les ETI doirvent anticiper et communiquer
La cybersécurité est aujourd’hui un enjeu majeur pour toutes les entreprises, quelle que soit leur taille. Mais pour les Entreprises de Taille Intermédiaire (ETI), la réalité est encore plus complexe. En effet, les ETI sont souvent suffisamment grandes pour être des cibles de choix pour les cybercriminels, mais pas toujours assez préparées pour résister efficacement aux cyberattaques. Une crise cyber ne se limite pas à une question technique, c’est également une crise de communication. Et c’est là que se joue la différence : être prêt, c’est limiter les dégâts non seulement pour l’entreprise, mais aussi pour sa réputation et ses relations avec ses parties prenantes. Par Christel Bertrand – consultante indépendante en communication de crise La réalité des attaques cyber pour les ETI françaises une étude récente de l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI), environ 54 % des ETI françaises ont été victimes d’une tentative de cyberattaque au cours des deux dernières années. Et parmi celles qui ont été attaquées, près de 30 % ont souffert de pertes financières significatives, et parfois même de paralysies temporaires de leurs activités. Les cybercriminels ne ciblent pas uniquement les grandes multinationales. Au contraire, les ETI présentent souvent une combinaison attrayante de moyens financiers et une sécurité parfois moins robuste. C’est précisément cette vulnérabilité qui fait des ETI des cibles privilégiées. Dans ce contexte, la question n’est plus de savoir si et quand une entreprise va être attaquée, mais plutôt si elle va se relever d’une crise cyber. Crise d’origine cyber : la préparation à la communication est essentielle Lorsqu’une cyberattaque survient, les premières heures sont critiques. Il ne s’agit pas seulement de résoudre le problème technique, mais aussi de gérer la manière dont cette crise sera perçue par vos employés, vos clients, vos partenaires et le grand public. La mauvaise gestion de la communication lors d’une attaque peut engendrer une perte de confiance, qui est parfois plus dommageable que les conséquences financières immédiates. Prenons l’exemple d’une ETI spécialisée dans l’industrie manufacturière qui subit une attaque par rançongiciel. Outre les effets sur sa production, la réaction publique de l’entreprise joue un rôle crucial dans la préservation de ses relations avec ses clients. Une communication confuse ou tardive, laissant entendre un manque de transparence, pourrait éroder la confiance acquise auprès des partenaires commerciaux, voire conduire à la perte de contrats importants. Les bénéfices concrets de l’anticipation Préparer une stratégie de communication de crise en amont permet de :
  • Réagir rapidement : Lorsqu’une cyberattaque survient, chaque minute compte. Un plan de communication bien rodé permet de répondre rapidement, limitant ainsi les spéculations et les rumeurs tant en interne qu’en externe. Les responsables de la communication sont alors confrontés à deux questions : quoi dire ? et comment le dire ? Plus que dans tous les autres types de crise, une crise cyber, comporte des enjeux de « traduction » des termes spécifiques à l’informatique. L’objectif est d’expliquer la nature, les actions engagées et les impacts de la crise dans un langage compréhensible pour tout son écosystème.
  • Maintenir la confiance : Selon une étude de l’Institut national de la consommation, près de 60 % des consommateurs déclarent qu’ils seraient moins enclins à travailler avec une entreprise qui ne gère pas correctement une violation de données. Une communication efficace permet de démontrer que vous avez la situation sous contrôle et que vous prenez la sécurité de vos clients et partenaires au sérieux.
  • Protéger la marque : Une crise bien gérée peut transformer une situation négative en une occasion de prouver la résilience et la transparence de l’entreprise. Des messages clairs, accompagnés de preuves d’actions concrètes, contribuent à protéger, voire renforcer, l’image de marque.
  • Se préparer aux aspects juridiques : La réglementation européenne, et en particulier le RGPD, impose des obligations strictes en matière de communication lors de la violation de données. L’anticipation permet de respecter ces exigences sans précipitation ni erreurs coûteuses.
Un plan de communication de crise : une nécessité, pas un luxe Il peut être tentant pour une ETI de se dire qu’elle pourra improviser une réponse le moment venu. Cependant, l’improvisation, dans un contexte de crise, conduit souvent à des erreurs coûteuses. Un plan de communication de crise bien pensé inclut :
  • Des messages pré-rédigés pour les différents scénarios possibles : qu’il s’agisse d’une attaque par rançongiciel, d’une fuite de données ou d’une interruption de service.
  • Une définition claire des rôles au sein de l’équipe dirigeante : Qui s’exprime publiquement? Qui est en contact avec les partenaires ? Qui s’occupe des médias ?
  • Une liste de contacts clés qui doivent être informés en priorité : clients, partenaires, employés, élus…Informer ses parties-prenantes que l’entreprise est victime d’une cyber attaque c’est avant tout les protéger.
L’idée est de pouvoir communiquer rapidement, calmement et avec précision. Avoir un plan de communication, c’est avoir un gilet de sauvetage prêt à être utilisé. C’est beaucoup plus difficile d’affronter une tempête sans cet outil précieux ! La gestion des émotions : éviter d’ajouter une crise à la crise Lorsqu’une crise cyber frappe une ETI, la gestion des émotions devient un facteur clé, souvent sous-estimé, mais crucial pour la réussite de la réponse globale. Les équipes de communication, généralement restreintes en termes d’effectifs, se retrouvent sous une pression immense pour gérer simultanément la communication interne et externe, tout en maintenant une clarté et une transparence dans leurs messages. Le stress, la peur de mal faire ou de ne pas réagir assez rapidement peuvent exacerber les erreurs et conduire à des prises de décision précipitées. En l’absence d’un soutien organisationnel et de processus établis, ces petites équipes peuvent rapidement se sentir submergées. C’est pourquoi il est essentiel de préparer non seulement un plan de communication, mais aussi de renforcer la résilience émotionnelle des équipes. Des formations régulières, des exercices de simulation, et la mise en place d’une cellule de crise dédiée permettent de mieux anticiper ces moments de tension, en répartissant les responsabilités et en offrant un cadre rassurant aux équipes. De cette manière, elles peuvent mieux gérer leurs émotions, rester concentrées sur l’essentiel et éviter que la panique ne prenne le dessus. La place du dirigeant dans la gestion de crise Il est essentiel de noter que le rôle du dirigeant est primordial lors d’une crise. Une communication efficace passe souvent par une prise de parole du ou des dirigeants, apportant une dimension humaine à la gestion de la crise. Être visible, rassurant et transparent est un atout de taille. C’est pourquoi l’anticipation comprend également des exercices de simulation, permettant aux dirigeants de se préparer à prendre la parole dans des conditions difficiles. La différence entre subir et maîtriser La préparation à la communication d’une crise cyber peut faire la différence entre subir une crise qui dévaste votre entreprise ou maîtriser une situation délicate avec assurance et transparence. Pour une ETI, l’anticipation est la clé de la résilience face aux cybermenaces. N’attendez pas que la crise vous force à agir. En prenant le temps aujourd’hui de préparer une stratégie de communication adaptée, vous vous assurez de protéger non seulement votre entreprise, mais aussi la confiance de ceux qui comptent sur vous.
Big (Bpifrance Inno Génération), le plus grand rassemblement business d’Europe, célèbrera ses 10 ans autour du thème du « Progrès » le jeudi 10 octobre 2024 à l’Accor Arena Paris
Big (Bpifrance Inno Génération), le plus grand rassemblement business d’Europe, célèbrera ses 10 ans autour du thème du « Progrès » ce jeudi 10 octobre 2024 à l’Accor Arena Paris, avec notamment l’intervention d’ANTOINE ARMAND, Ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, de CLARA CHAPPAZ, Secrétaire d’État chargée de l’Intelligence artificielle et du Numérique, et de SOPHIE PRIMAS, Ministre déléguée auprès du ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, chargée du Commerce extérieur et des Français de l’étranger. Réunissant, en physique et en digital, tous ceux qui participent à la dynamique entrepreneuriale – étudiants, créateurs, chercheurs, dirigeants de PME, ETI et grands groupes, le plus grand rassemblement business d’Europe invite tous les entrepreneurs de France à venir s’inspirer, se rencontrer et découvrir les grandes tendances du monde de demain.
Présence ministérielle prévisionnelle
• ANTOINE ARMAND, Ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, est attendu à Big de 11h30 à 12h45.Et il interviendra sur la scène du Bang vers 12h30 • CLARA CHAPPAZ, Secrétaire d’État chargée de l’Intelligence artificielle et du Numérique, est attendue à Big de 12h à 15h. • SOPHIE PRIMAS, Ministre déléguée auprès du ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, chargée du Commerce extérieur et des Français de l’étranger, est attendue à Big de 10h à 12h15.
Des intervenants inspirants
Pour cette nouvelle édition, 1 000 intervenants et personnalités inspirantes – dont 150 top speakers – se succèderont sur les différents scènes de l’Accor Arena Paris pour s’exprimer sur ce que leur inspire le thème du Progrès et pour répondre aux enjeux business concrets des entrepreneurs. Ils prendront la parole sur le Bang, scène principale de Big, où se succèdent 70 top speakers inspirants tout au long de la journée, pour faire rayonner les valeurs de Bpifrance autour du thème du progrès. Des Top Speakers aux profils aussi variés et inspirants que : Audrey AZOULAY, DG, UNESCO ; Alain WEILL, Président de l’Express, Président de NextNow, Fondateur de BFMTV ; Professeur Antoine TESNIÈRE, DG, PariSanté Campus, Président des Acteurs de la French Care ; Bruno MARTY, maire de la commune de La Réole (Gironde) ; Kelly MASSOL, PDG & Fondatrice, Les Secrets de Loly ; Arthur MENSCH, Cofondateur et PDG, Mistral AI ; Moussa CAMARA, Fondateur, Les Déterminés ; Maurice LÉVY, PDG, Solocal ; Nicolas HIERONIMUS, DG, Groupe L’Oréal ; AGORIA, Producteur compositeur DJ et artiste digital ; Gaël RIVIERE, Athlète paralympique … et bien d’autres.
Découvrez les intervenants du Bang avec les horaires prévisionnels :
De 9h00 à 10h30 Nicolas DUFOURCQ, Directeur général, Bpifrance
Xavier NIEL, Fondateur, Groupe iliadFree

Audrey AZOULAY, DG, UNESCO

Olivier GINON, Président, GL events

Axel DUMAS, Gérant, Hermès International

Yasmine BELKAID, DG, Institut Pasteur

Christophe JURCZAK
, Managing partner, Quantonation
Marc TAIEB
, PDG, Wifirst
Alain WEILL, Président de l’Express, Président de NextNow,
Fondateur de BFMTV

Sabrina SOUSSAN, PDG, Suez

Denis LADEGAILLERIE, Fondateur et PDG, Believe
De 10h30 à 12h00 Marcus WALLENBERG, Chair, SEB
PierreAntoine DUSOULIER, PDG et Fondateur, iBanFirst

Pierre BROSSOLLET, Fondateur et PDG, Arverne Group

Yann LE CUN, VicePrésident et Chief AI Scientist, Meta &
Professeur, NYU

Sophie BRAC DE LA PERRIERE, Présidente et Cofondatrice,
Healshape

Yann VINCENT
, PDG, Automotive Cells Company (ACC)
Maud VINET, Cofondatrice et PDG, QUOBLY

JeanLoup CHRETIEN, VicePrésident R&D, TIETRONIX
SOFTWARE, Houston et PDG Tietronix Europe, France

Sandrine MEUNIER
, DG, GRTgaz
Gwenola CHAMBON
, PDG & Founding Partner, Vauban
Infrastructure Partners

Charles BEIGBEDER
, Président, Audacia & Founding partner,
Expansion

Kevin ALESSANDRI, Cofondateur, VP US et CTO, TreeFrog
Therapeutics

Caroline POISSONNIER, DG, Groupe Baudelet
De 14H00 à 17H00 Matthieu ROUIF, Cofondateur et PDG, Photoroom
JacquesAntoine GRANJON, PDG et Fondateur, Veepee

Julie GIRARD, Écrivain et Philosophe

Antoine TESNIERE, DG, PariSanté Campus, Président des
Acteurs de la French Care

Thibaud HUG DE LARAUZE, Cofondateur et PDG, BackMarket

Emmanuelle MERIC, DG, Loft Orbital

Frédéric MICHELLAND, PDG, Groupe Poclain

Véronique TORNER, Présidente, Numeum

Bruno MARTY, Maire de La Réole

Kelly MASSOL, PDG & Fondatrice, Les Secrets de Loly

Benoît DAGEVILLE
, Cofondateur & President of Products,
Snowflake

Pauline CLAVIERE, Journaliste et romancière

Stéphane BANCEL, PDG, Moderna

Etienne GHYS, Secrétaire perpétuel, Académie des sciences

Thierry GADOU, PDG, VusionGroup

Ombeline ALLAMEL, Chargée de mission RSE, Pépinières
Naudet

Benoît BAUME, Cofondateur et Président, Fisheye

Javier SANTISO, Écrivain chez Gallimard & PDG, Mundi
Ventures

Eléonore CRESPO, Cofondatrice et PDG, Pigment

Arthur MENSCH, Cofondateur et PDG, Mistral AI

Constance GRUY, Directrice générale, Groupe MAÏA

Matthieu GUFFLET, Président Fondateur, EPSA

Moussa CAMARA, Fondateur, Les Déterminés

Nicolas SANTI WEIL, PDG, AMI Paris

Alexandra MATHIOLON, PDG, Serfim

PierreEtienne BINDSCHEDLER, PDG, SOPREMA

Claire BRETTON, Cofondatrice et PDG, Underdog

Hugues GALAMBRUN, PDG, Groupe Septeo

Blanche DE RICHEMONT, Écrivaine voyageuse, conférencière,
philosophe

Cécile RAPVEBER, DG Gérante, Sacem

Manuel CARCASSONNE, DG, Éditions Stock

Delphine ANDRE, PDG, Groupes Charles André

Owen SIMONIN
, PDG, Meria
Christian COURTIN
, DG, Famille C
Brigitte MACCIONI, PDG, UGC

JeanChristophe LAMBERT, Cofondateur & PDG, Ascendance

Miria RICCHETTI, Directeur de Recherche et Chef d’Unité (Lab
Head)

Alain FISCHER, Professeur émérite au Collège de France,
Président de l’Académie des sciences
De 17h00 à 19h Johan PALLUD
Rachel PICARD, Fondatrice, Proxima

Armand THIBERGE, Fondateur et PDG, Brevo

Maurice LEVY, PDG, Solocal

Christophe SALOMON, Directeur de recherches émérite au
CNRS, Membre de l’Académie des sciences

Nicolas HIERONIMUS
, DG, Groupe L’OréalVanessa GRELLET, Group Managing Director and Chief
Executive Director, Enterprise Eutherium Alliance

James MWANGI
, Group managing director and CEO, Equity
group

AGORIA, Producteur compositeur DJ et artiste digital

Anne MEAUX, Présidente fondatrice Image Sept

Blick BASSY, Artiste pluridisciplinaire, écrivain, réalisateur et
sciençeur

Etienne KLEIN, Directeur de recherche au CEA, Membre de
l’académie des technologies

Karine SAFA, Docteure en philosophie, conférencière auteure

Gaël RIVIERE, Athlète paralympique

Nicolas DUFOURCQ, Directeur général, Bpifrance
De nouveaux espaces et concepts feront leur apparition lors de cette dixième édition :
Big Connexion : un espace pour participer à une session rapide de networking aléatoire et rencontrer des entrepreneurs de tous les horizons – Lancement de la Big Expérience : à l’occasion de sa 10ème édition de Big, une immersion 3D inédite au cœur. Big en ligne sera proposée permettant de parcourir les espaces, de découvrir les contenus de s’inscrire ou de suivre les conférences, accessible via ce lien : https://bigexperience.bpifrance.fr/Salon Photon : un espace au format conférence pour approfondir plusieurs thématiques entrepreneuriales – Bulle Le Coq Créa : un espace de conférences dédié aux créateurs d’entreprises et porteurs de projets – Big Connexion : une zone pour participer à une session rapide de networking aléatoire pour rencontrer des entrepreneurs de tous les horizons – Le Globe : un ensemble de formats de prises de parole pour mettre en lumière les grands enjeux liés à l’international : tables rondes, décryptages, échanges en duo, pitchs inspirants, etc. – Agora Horizon : es ateliers courts permettant d’éclairer et/ou d’approfondir ses connaissances sur un pays, une région, un secteur ou un projet, à travers l’intervention d’experts, d’entrepreneurs ou de témoins – Agora Projection : Des ateliers partageant les bonnes pratiques pour les exportateurs ou futurs exportateurs, comme les types d’accompagnements, de financements et d’acteurs qui existent pour grandir à l’international. – La Place des partenaires : Une plateforme dédiée aux partenaires de l’événement, avec des solutions utiles pour développer son business. Des conférences associées seront accessibles depuis la scène L’Estrade – Et d’autres surprises à l’occasion des 10 ans… « Oui nous avons choisi le thème du Progrès. Car nous y croyons, comme des Robinsons sur leur île. Nous aimons le présent, mais nous aimons encore plus le futur. Nous croyons aux nouvelles frontières de l’émancipation. Nous croyons que les entrepreneurs sont une des grandes solutions aux problèmes de notre société, car ils mettent chaque jour leur existence en jeu au service du Progrès. Comme eux, nous aimons rêver et voir de grandes perspectives. Je répète : nous aimons rêver. Nous pensons notamment que la technologie va nous surprendre en changeant radicalement notre mode d’être au monde. Et qu’il ne tiendra qu’à nous de canaliser cette énergie vers la construction d’un monde meilleur, moins violent, plus équitable, ouvert, cultivé, tolérant, aimant la nuance. Nous savons que pour soutenir une telle croyance il faut deux valeurs : la volonté, et l’optimisme. Nous les avons. » Nicolas DUFOURCQ, directeur général de Bpifrance
Epargne salariale et retraite : des encours en hausse en 2024
L’épargne salariale et retraite continue de croître en France, témoignant d’un regain de confiance dans ces dispositifs d’épargne collectifs. Selon les derniers chiffres publiés par l’Association Française de la Gestion Financière (AFG), les encours des plans d’épargne salariale et d’épargne retraite ont atteint un record de 198 milliards d’euros au cours des six premiers mois de l’année 2024. Cette augmentation de 10,3% par rapport à la même période en 2023 confirme une dynamique positive autour de ces produits d’épargne, qu’il s’agisse de la participation, de l’intéressement ou de l’abondement de l’employeur. Par Serge de Cluny
Une progression continue et soutenue
Selon l’AFG, cette hausse reflète « la solidité et la confiance accrue » des épargnants et des entreprises dans les dispositifs collectifs d’épargne salariale et retraite. Ces dispositifs permettent aux salariés de se constituer une épargne à long terme, tout en bénéficiant d’avantages fiscaux et sociaux. Cette forme d’épargne intéresse de plus en plus de travailleurs, en particulier dans un contexte économique marqué par l’incertitude, où la préparation à la retraite et la sécurisation de l’épargne apparaissent comme des priorités. Durant le premier semestre 2024, plus de 15 milliards d’euros ont été versés dans les différents dispositifs d’épargne salariale et d’épargne retraite. Ces montants proviennent en grande partie de trois sources principales : l’intéressement, qui a progressé de 5,5% pour atteindre 5,7 milliards d’euros ; la participation, en hausse de 3,6% à 5 milliards d’euros ; et enfin, l’abondement, qui a enregistré une augmentation notable de 9,9%, atteignant ainsi 2,6 milliards d’euros. Ces contributions, bien que variables selon les entreprises et les secteurs, témoignent d’une volonté croissante des employeurs de soutenir l’épargne de leurs salariés.
Des dispositifs adaptés aux besoins des épargnants
L’épargne salariale est constituée principalement de sommes issues de la participation, de l’intéressement, de l’abondement de l’employeur, mais aussi des versements volontaires des salariés. Ces fonds sont ensuite placés dans deux types de dispositifs principaux. D’une part, le Plan d’Épargne Entreprise (PEE), où l’argent est bloqué pendant une durée de cinq ans. D’autre part, le Plan d’Épargne Retraite Collectif (PERCO ou PER), où les fonds restent bloqués jusqu’à la retraite, avec cependant des possibilités de déblocage anticipé dans certaines situations spécifiques (achat de la résidence principale, cessation d’activité, etc.). Ces dispositifs offrent ainsi une flexibilité intéressante pour les épargnants, qui peuvent choisir entre une épargne à moyen terme ou une épargne de long terme destinée à leur retraite.
Des rachats également en hausse
Parallèlement à la hausse des encours, les rachats effectués par les épargnants sont eux aussi en progression. Sur le premier semestre 2024, ces derniers ont atteint 10,5 milliards d’euros, contre 9,2 milliards d’euros un an plus tôt. Plus de 50% de l’épargne salariale est désormais disponible et peut être mobilisée par les épargnants à tout moment. Cette tendance montre que de nombreux salariés ont profité du bon niveau de valorisation de leur épargne, notamment en raison de la performance positive des marchés financiers. L’indice paneuropéen Stoxx 600, regroupant les 600 plus grosses capitalisations boursières européennes, a ainsi progressé de plus de 7% entre le 2 janvier et le 28 juin 2024. Cette situation favorable a incité de nombreux épargnants à récupérer une partie de leurs gains, notamment pour financer des projets personnels ou en vue d’investissements futurs.
Un nombre croissant d’entreprises impliquées
L’augmentation des encours va de pair avec une hausse du nombre d’entreprises ayant mis en place des dispositifs d’épargne salariale ou d’épargne retraite. En France, 407 000 entreprises sont désormais concernées par ces dispositifs, soit une progression de 2,5% par rapport à 2023. Cette tendance s’explique par la volonté des entreprises de proposer des avantages attractifs pour fidéliser leurs salariés et encourager une culture d’épargne à long terme. De plus, la généralisation de ces dispositifs permet aux entreprises de bénéficier d’avantages fiscaux et d’améliorer leur image en tant qu’employeurs responsables. Les produits d’épargne retraite collective connaissent également un succès croissant, avec une augmentation des encours de 16% sur un an au premier semestre 2024, pour atteindre un total de 32,5 milliards d’euros. Ces produits bénéficient aujourd’hui à plus de 4 millions de salariés en France, illustrant leur rôle clé dans la préparation de la retraite des travailleurs. L’engagement des entreprises et des salariés dans ces dispositifs devrait continuer à se renforcer, au regard des perspectives économiques et de la nécessité croissante de sécuriser l’avenir financier des actifs. En résumé, les dispositifs d’épargne salariale et d’épargne retraite collective affichent une santé florissante en 2024. Avec des encours en hausse, un nombre croissant d’entreprises impliquées, et des épargnants de plus en plus confiants, ces mécanismes apparaissent comme des leviers essentiels pour préparer l’avenir financier des salariés en France. Le contexte de valorisation positive des marchés financiers renforce encore l’attractivité de ces dispositifs, qui devraient continuer à jouer un rôle central dans la gestion de l’épargne des Français.
 
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