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Patek Philippe lance la Cubitus après 25 ans d'attente
Patek Philippe lance la Cubitus après 25 ans d’attente ! La marque horlogère genevoise, l’une des maisons les plus prestigieuses du secteur, a fait un grand pas en avant en dévoilant, pour la première fois depuis un quart de siècle, une toute nouvelle collection. Thierry Stern, président de la manufacture familiale, a dirigé ce projet ambitieux, en s’inspirant de l’une des créations les plus iconiques de la marque : la Nautilus. Cette dernière, qui a marqué l’histoire de l’horlogerie, a inspiré le design de la nouvelle montre, mais avec une taille et une approche bien différentes. Par Eric Orsini

Le modèle phare de cette nouvelle collection, baptisé Cubitus, se distingue par un boîtier de 45 millimètres. Ce choix de taille peut surprendre à une époque où les montres plus petites, souvent d’une trentaine de millimètres, dominent les tendances. Lorsque la question fut posée à Thierry Stern sur cette dimension plus imposante, il répondit sans détour : « Je ne suis pas la tendance ». Cette déclaration reflète l’indépendance de la maison, qui privilégie sa propre vision esthétique et son héritage plutôt que de suivre les diktats du marché. Cette position est d’autant plus marquée dans un contexte où les grandes marques horlogères se voient souvent contraintes d’adapter leurs créations aux goûts actuels, au détriment de la tradition et de l’innovation propre à chaque maison.

Une famille à la tête de la marque : une continuité de quatre générations

Patek Philippe présente une nouvelle collection après 25 ans d'attente : le lancement de la Cubitus, inspirée de la Nautilus

Patek Philippe lance la Cubitus dans l’esprit d’une longue tradition familiale, celle de la famille Stern, propriétaire de Patek Philippe depuis plus de quatre générations. Contrairement à de nombreuses marques de luxe aujourd’hui, Patek Philippe reste une entreprise indépendante, un véritable joyau de l’horlogerie familiale. Thierry Stern, à la tête de l’entreprise depuis plusieurs années, est le visage de cette continuation. Pour la présentation de la Cubitus, une occasion historique, son fils Adrien Stern a fait une apparition publique pour la première fois. Cette présence symbolise l’entrée de la quatrième génération dans l’univers de la haute horlogerie, un moment marquant dans l’histoire de la maison. Par ailleurs, son frère Tristan Stern est également actif au sein de l’entreprise, assurant la transition entre les générations et la pérennité de la maison.

Cette dimension familiale est un aspect fondamental de l’identité de Patek Philippe. Contrairement à d’autres géants du secteur, la marque est animée par une vision à long terme, où chaque décision est prise avec un respect profond des valeurs qui ont fait son succès, à savoir l’excellence artisanale, l’innovation technologique et l’élégance intemporelle.

Des matériaux nobles pour une montre d’exception

La nouvelle collection Cubitus se décline en trois modèles, chacun ayant ses particularités, mais tous incarnant les standards de qualité de la maison. Le premier modèle présente un boîtier en acier inoxydable, avec un cadran d’un vert olive sobre et élégant. Ce modèle, l’entrée de gamme de la collection, est proposé à 35 000 francs. Une version plus sophistiquée, bicolore, associe l’or rose et l’acier, avec un cadran bleu profond et lumineux. Ce modèle est proposé à 52 000 francs, offrant un bel équilibre entre luxe et sportivité. Enfin, la montre en platine, la pièce la plus prestigieuse de cette nouvelle collection, arbore un cadran bleu nuit et intègre un affichage de la date ainsi que des phases de Lune. Cette version est la plus onéreuse, avec un prix de 75 000 francs. Elle incarne le lifestyle horloger de Patek Philippe et se distingue par ses complications techniques, notamment l’affichage de la grande date, un mécanisme révolutionnaire dans le monde de l’horlogerie. Ce dernier se distingue par sa rapidité, avec un changement instantané de la date en 18 millisecondes, un procédé très complexe qui garantit une précision et une qualité de mouvement exceptionnelles. Contrairement à d’autres montres où la date change lentement, créant parfois une transition visible, celle-ci se fait dans un éclair, ajoutant ainsi à la magie de cette montre.

Un design unique inspiré de la Nautilus

Thierry Stern, fidèle à la tradition d’innovation de Patek Philippe, a exprimé une volonté claire : créer une montre carrée qui complémente parfaitement la collection sportive et élégante de la marque. Ce design carré fait référence à la forme iconique de la Nautilus, tout en offrant une esthétique résolument moderne et différente des courbes habituelles de la maison. La Cubitus représente ainsi un équilibre parfait entre tradition et modernité, avec une taille généreuse qui permet de conserver une lisibilité optimale tout en affichant une certaine robustesse.

Patek Philippe présente une nouvelle collection après 25 ans d'attente : le lancement de la Cubitus, inspirée de la Nautilus

Il est intéressant de noter que Patek Philippe lance la Cubitus et que cela représente une première depuis 1999, année où la marque avait introduit la ligne féminine Twenty~4. Cette collection avait été un véritable succès, mais la maison n’avait plus lancé de nouvelle gamme depuis lors. Le retour d’une nouvelle collection sous la forme de la Cubitus marque donc un renouveau pour la marque, un moment charnière dans son histoire. Cette collection offre non seulement un nouveau design, mais aussi une nouvelle approche, celle d’une montre qui conjugue élégance et sportivité, à l’image de l’ADN de la maison.

Patek Philippe : dans le cercle des grandes marques horlogères

Avec une histoire qui remonte à 1839, Patek Philippe fait partie des marques d’horlogerie les plus prestigieuses et les plus reconnues dans le monde entier. L’entreprise se classe parmi les maisons de luxe qui génèrent un chiffre d’affaires dépassant le milliard de dollars, aux côtés de géants tels que Rolex, Omega, Cartier, Richard Mille et Audemars Piguet. Ces marques, selon les analyses de Morgan Stanley et LuxeConsult, font partie du cercle très fermé des milliardaires horlogers, celles qui ont su allier savoir-faire artisanal et innovations de pointe.

La Nautilus, modèle phare de Patek Philippe, continue de battre des records. La vente aux enchères d’un modèle particulier, marqué par l’inscription Tiffany sur son cadran bleu, s’est élevée à 6,5 millions de dollars en décembre 2021. Ce modèle, l’un des plus convoités au monde, a fait l’objet d’une décision importante : Patek Philippe a arrêté la production de son modèle le plus célèbre, le 5711/1A, en acier, pour se concentrer sur de nouvelles créations. Néanmoins, la Cubitus pourrait bien être vue comme le « petit frère » de cette légende, alliant les codes de la Nautilus avec une approche plus contemporaine et audacieuse.

Un lancement symbolique et audacieux

Le fait que Patek Philippe lance la Cubitus représente bien plus qu’une simple nouvelle collection. Il marque un tournant dans l’histoire de la marque, qui conserve son héritage tout en se projetant dans l’avenir. Avec des modèles alliant sophistication, matériaux d’exception et complications techniques, cette nouvelle ligne est appelée à devenir un classique de l’horlogerie moderne, tout en s’inscrivant dans la grande tradition de la maison genevoise.

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L’Île-de-France renforce son soutien aux entreprises de la région en leur offrant 100 abonnements à lexportateur.com. Cette initiative vise à accompagner les TPE et PME franciliennes dans leur développement à l’international en leur fournissant des ressources précieuses. Grâce à cette plateforme spécialisée, elles peuvent accéder à des informations stratégiques, des conseils pratiques et des analyses de marché. Découvrez les détails de cette opération et soumettez votre demande à la région Ile-de-France au bas cet article pour bénéficier d’un des 100 abonnements à lexportateur.com. Conditions d’éligibilité :  – Etre une TPE ou PME avec un établissement en Île-de-France – Commercialiser des produits manufacturés – Effectuer la fabrication ou une étape de transformation de produits en Île-de-France – Souscrire pour la première fois

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Crise cyber : les ETI doirvent anticiper et communiquer
La cybersécurité est aujourd’hui un enjeu majeur pour toutes les entreprises, quelle que soit leur taille. Mais pour les Entreprises de Taille Intermédiaire (ETI), la réalité est encore plus complexe. En effet, les ETI sont souvent suffisamment grandes pour être des cibles de choix pour les cybercriminels, mais pas toujours assez préparées pour résister efficacement aux cyberattaques. Une crise cyber ne se limite pas à une question technique, c’est également une crise de communication. Et c’est là que se joue la différence : être prêt, c’est limiter les dégâts non seulement pour l’entreprise, mais aussi pour sa réputation et ses relations avec ses parties prenantes. Par Christel Bertrand – consultante indépendante en communication de crise La réalité des attaques cyber pour les ETI françaises une étude récente de l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI), environ 54 % des ETI françaises ont été victimes d’une tentative de cyberattaque au cours des deux dernières années. Et parmi celles qui ont été attaquées, près de 30 % ont souffert de pertes financières significatives, et parfois même de paralysies temporaires de leurs activités. Les cybercriminels ne ciblent pas uniquement les grandes multinationales. Au contraire, les ETI présentent souvent une combinaison attrayante de moyens financiers et une sécurité parfois moins robuste. C’est précisément cette vulnérabilité qui fait des ETI des cibles privilégiées. Dans ce contexte, la question n’est plus de savoir si et quand une entreprise va être attaquée, mais plutôt si elle va se relever d’une crise cyber. Crise d’origine cyber : la préparation à la communication est essentielle Lorsqu’une cyberattaque survient, les premières heures sont critiques. Il ne s’agit pas seulement de résoudre le problème technique, mais aussi de gérer la manière dont cette crise sera perçue par vos employés, vos clients, vos partenaires et le grand public. La mauvaise gestion de la communication lors d’une attaque peut engendrer une perte de confiance, qui est parfois plus dommageable que les conséquences financières immédiates. Prenons l’exemple d’une ETI spécialisée dans l’industrie manufacturière qui subit une attaque par rançongiciel. Outre les effets sur sa production, la réaction publique de l’entreprise joue un rôle crucial dans la préservation de ses relations avec ses clients. Une communication confuse ou tardive, laissant entendre un manque de transparence, pourrait éroder la confiance acquise auprès des partenaires commerciaux, voire conduire à la perte de contrats importants. Les bénéfices concrets de l’anticipation Préparer une stratégie de communication de crise en amont permet de :
  • Réagir rapidement : Lorsqu’une cyberattaque survient, chaque minute compte. Un plan de communication bien rodé permet de répondre rapidement, limitant ainsi les spéculations et les rumeurs tant en interne qu’en externe. Les responsables de la communication sont alors confrontés à deux questions : quoi dire ? et comment le dire ? Plus que dans tous les autres types de crise, une crise cyber, comporte des enjeux de « traduction » des termes spécifiques à l’informatique. L’objectif est d’expliquer la nature, les actions engagées et les impacts de la crise dans un langage compréhensible pour tout son écosystème.
  • Maintenir la confiance : Selon une étude de l’Institut national de la consommation, près de 60 % des consommateurs déclarent qu’ils seraient moins enclins à travailler avec une entreprise qui ne gère pas correctement une violation de données. Une communication efficace permet de démontrer que vous avez la situation sous contrôle et que vous prenez la sécurité de vos clients et partenaires au sérieux.
  • Protéger la marque : Une crise bien gérée peut transformer une situation négative en une occasion de prouver la résilience et la transparence de l’entreprise. Des messages clairs, accompagnés de preuves d’actions concrètes, contribuent à protéger, voire renforcer, l’image de marque.
  • Se préparer aux aspects juridiques : La réglementation européenne, et en particulier le RGPD, impose des obligations strictes en matière de communication lors de la violation de données. L’anticipation permet de respecter ces exigences sans précipitation ni erreurs coûteuses.
Un plan de communication de crise : une nécessité, pas un luxe Il peut être tentant pour une ETI de se dire qu’elle pourra improviser une réponse le moment venu. Cependant, l’improvisation, dans un contexte de crise, conduit souvent à des erreurs coûteuses. Un plan de communication de crise bien pensé inclut :
  • Des messages pré-rédigés pour les différents scénarios possibles : qu’il s’agisse d’une attaque par rançongiciel, d’une fuite de données ou d’une interruption de service.
  • Une définition claire des rôles au sein de l’équipe dirigeante : Qui s’exprime publiquement? Qui est en contact avec les partenaires ? Qui s’occupe des médias ?
  • Une liste de contacts clés qui doivent être informés en priorité : clients, partenaires, employés, élus…Informer ses parties-prenantes que l’entreprise est victime d’une cyber attaque c’est avant tout les protéger.
L’idée est de pouvoir communiquer rapidement, calmement et avec précision. Avoir un plan de communication, c’est avoir un gilet de sauvetage prêt à être utilisé. C’est beaucoup plus difficile d’affronter une tempête sans cet outil précieux ! La gestion des émotions : éviter d’ajouter une crise à la crise Lorsqu’une crise cyber frappe une ETI, la gestion des émotions devient un facteur clé, souvent sous-estimé, mais crucial pour la réussite de la réponse globale. Les équipes de communication, généralement restreintes en termes d’effectifs, se retrouvent sous une pression immense pour gérer simultanément la communication interne et externe, tout en maintenant une clarté et une transparence dans leurs messages. Le stress, la peur de mal faire ou de ne pas réagir assez rapidement peuvent exacerber les erreurs et conduire à des prises de décision précipitées. En l’absence d’un soutien organisationnel et de processus établis, ces petites équipes peuvent rapidement se sentir submergées. C’est pourquoi il est essentiel de préparer non seulement un plan de communication, mais aussi de renforcer la résilience émotionnelle des équipes. Des formations régulières, des exercices de simulation, et la mise en place d’une cellule de crise dédiée permettent de mieux anticiper ces moments de tension, en répartissant les responsabilités et en offrant un cadre rassurant aux équipes. De cette manière, elles peuvent mieux gérer leurs émotions, rester concentrées sur l’essentiel et éviter que la panique ne prenne le dessus. La place du dirigeant dans la gestion de crise Il est essentiel de noter que le rôle du dirigeant est primordial lors d’une crise. Une communication efficace passe souvent par une prise de parole du ou des dirigeants, apportant une dimension humaine à la gestion de la crise. Être visible, rassurant et transparent est un atout de taille. C’est pourquoi l’anticipation comprend également des exercices de simulation, permettant aux dirigeants de se préparer à prendre la parole dans des conditions difficiles. La différence entre subir et maîtriser La préparation à la communication d’une crise cyber peut faire la différence entre subir une crise qui dévaste votre entreprise ou maîtriser une situation délicate avec assurance et transparence. Pour une ETI, l’anticipation est la clé de la résilience face aux cybermenaces. N’attendez pas que la crise vous force à agir. En prenant le temps aujourd’hui de préparer une stratégie de communication adaptée, vous vous assurez de protéger non seulement votre entreprise, mais aussi la confiance de ceux qui comptent sur vous.
Atelier interculturel & networking “Japon” avec le World Trade Center le 20 mars 2025
Le CEFJ et le WTC proposent de réunir ses membres autour d’un atelier interculturel & networking “Japon” le 20 mars 2025 entre 8h30 et 10h. L’atelier, qui portera sur les spécificités du marché japonais, sera animé par Pierre Tuvi, membre du CEFJ et expert interculturel de la société Syvision.  Le World Trade Center est un réseau animé par la CCI Paris IDF, s’adressant à tous les acteurs de l’international en région Ile-de-France : groupes, PME franciliennes, entreprises étrangères, experts ou prestataires de l’international souhaitant échanger sur leurs bonnes pratiques et faciliter la mise en œuvre de leurs projets à l’international.

INTERVENANT

Pierre TUVI, fondateur de Syvision

D’origine franco-japonaise, Pierre Tuvi est le dirigeant fondateur d’un cabinet d’accompagnement à l’international basé à Paris « Syvision« , spécialisé dans l’approche et le développement de marchés culturellement complexes, entre autres le Japon et une majorité de pays asiatiques, l’Europe et le Maghreb. Il dispense également des formations interculturelles auprès de groupes internationaux. CCI Paris IDF, 22 rue Georges Picquart 75017 Paris  Tous les détails sur l’Atelier interculturel & networking “Japon” seront prochainement disponibles En savoir plus : www.entreprises.cci-paris-idf.fr
Intervenants
Pierre TUVI, Fondateur de Syvision

Partenaires de l’événement

La gestion privée directe d’AXA offre aux chefs d’entreprises et aux cadres dirigeants un accès sans intermédiaires à des solutions globales et personnalisées que seul un leader mondial de l’assurance peut apporter. Nous sommes allés à leur rencontre afin de mieux comprendre pourquoi cette réelle proximité avec les dirigeants de PME et ETI fait partie intégrante de leur ADN.
Isabelle Chayia-Bonnin, Yann Jaffrézou et Henry de Lambilly vous présentent une approche à 360° qui comprend et répond parfaitement à tous les enjeux patrimoniaux du chef d’entreprise.

Amir Reza-Tofighi, président de la CPME : La CPME est prête à discuter de l'âge de départ à la retraite

Le président de la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME), Amir Reza-Tofighi, a exprimé sa volonté de contribuer à sortir du blocage actuel concernant la réforme des retraites. Dans une interview qu’il a donnée aux Échos, il a souligné que la CPME est prête à discuter de l’âge légal de départ à la retraite, actuellement fixé à 64 ans. Cependant, cette ouverture à la discussion est conditionnée par l’instauration d’un mécanisme d’indexation de cet âge sur l’espérance de vie. Selon Reza-Tofighi, cela permettrait d’éviter que le débat sur l’âge de départ à la retraite ne devienne un point de tension politique à chaque nouvelle augmentation de l’espérance de vie.

Cette position se situe dans le cadre des négociations à venir entre les partenaires sociaux, qui doivent commencer à la fin du mois de février, concernant une révision de la réforme des retraites de 2023. Reza-Tofighi, bien qu’il ait toujours affiché une posture pragmatique, a précisé qu’il ne souhaitait pas entrer dans un débat idéologique ou partisan. Il a insisté sur le fait que, du côté de la CPME, il n’était pas question de défendre une position figée, mais de répondre aux besoins et préoccupations actuels de manière constructive. Il a ajouté que cette question de l’âge de départ à la retraite doit être discutée ouvertement avec les syndicats, en mettant de côté les postures politiques et en cherchant des solutions équilibrées.

L’idée d’indexer l’âge de départ à la retraite sur l’espérance de vie repose sur le principe qu’une population qui vit plus longtemps et en meilleure santé devrait pouvoir travailler plus longtemps. Ce mécanisme, selon Reza-Tofighi, permettrait de maintenir un équilibre dans le système de retraite en l’adaptant de manière automatique aux évolutions démographiques. L’indexation de l’âge de départ sur l’espérance de vie pourrait ainsi être perçue comme une manière de stabiliser les finances du système de retraite, tout en évitant de réouvrir ce débat de manière régulière chaque fois que l’espérance de vie augmente, ce qui crée souvent des tensions politiques.

Amir Reza-Tofighi a également précisé que la CPME est prête à discuter de l’âge de départ à la retraite et à étudier d’autres solutions pour garantir l’équilibre financier du système de retraites. À cet égard, il a proposé que la Contribution Sociale Généralisée (CSG) appliquée aux retraités soit alignée sur celle des actifs. Cette mesure permettrait de faire contribuer les retraités de manière plus équitable au financement du système, en apportant une source de revenus supplémentaires sans augmenter la pression fiscale sur les actifs. Il a souligné que les retraités d’aujourd’hui ont bénéficié de conditions de départ plus avantageuses que celles dont bénéficieront les générations futures. Selon lui, il s’agit donc d’une question de « justice générationnelle », afin que les jeunes générations ne soient pas trop pénalisées par les coûts liés à l’allongement de l’espérance de vie.

Cette proposition de réforme s’inscrit dans un contexte où les syndicats et les organisations patronales vont engager une série de négociations à partir de la fin du mois de février. Ces négociations devront être menées sans « tabou », selon les instructions du Premier ministre François Bayrou, qui a annoncé qu’il était prêt à soumettre un éventuel accord au Parlement, même si celui-ci n’était que partiel. Le gouvernement a insisté sur le fait que l’équilibre financier du système de retraite ne doit pas être compromis, ce qui ajoute un niveau de complexité aux négociations, car chaque mesure envisagée aura un impact direct sur les finances publiques.

La CPME, qui représente principalement les petites et moyennes entreprises, plaide donc pour des solutions équilibrées et pérennes, qui ne viennent pas mettre en péril la compétitivité des entreprises ni la capacité de financement du système de retraite. Une telle réforme devrait permettre à la fois de répondre aux défis démographiques tout en préservant les intérêts des entreprises et des retraités. En plus de l’indexation de l’âge de départ à la retraite et de la réforme de la CSG, Reza-Tofighi a également suggéré plusieurs pistes pour renforcer la capitalisation dans le système de retraite, notamment en encourageant les salariés à épargner davantage pour leur retraite. Il a ainsi proposé l’idée d’un mécanisme où les travailleurs pourraient choisir de travailler trois jours fériés par an, en mettant le salaire correspondant sur un compte dédié à leur retraite. Cette proposition s’inscrit dans une volonté de développer une forme d’épargne retraite individuelle, en complément du système de retraites par répartition.

Une autre proposition de Reza-Tofighi consiste à augmenter le temps de travail hebdomadaire d’une heure, ce qui permettrait d’accroître les cotisations sociales tout en maintenant un équilibre financier pour le système de retraites. Cette idée est plus controversée, car elle impose aux salariés une charge de travail supplémentaire. Cependant, elle pourrait être vue comme un compromis pour soutenir le financement du système sans toucher directement à l’âge de départ à la retraite.

Ainsi, le président de la CPME se positionne comme un acteur clé dans la réforme des retraites en France, appelant à un dialogue ouvert et constructif pour trouver des solutions viables et durables face aux défis démographiques actuels. Les négociations qui débuteront à la fin de février seront cruciales pour déterminer les modalités de la réforme des retraites et la manière dont elle sera adaptée aux réalités économiques et sociales de demain.

Savoir-Faire en Lumières, c’est l’évènement dont le thème sera « l’Art-de-Vivre à la française : entre tradition et influence sur le marché chinois ». L’Art de Vivre à la française s’impose comme un modèle d’excellence et d’élégance reconnu à l’international. A ce tire, le Comité d’Echanges Franco-Chinois de la CCI Paris Ile-de-France a l’honneur de vous convier à la seconde édition de l’évènement.

Savoir-Faire en Lumières L’excellence française à la portée des consommateurs chinois

le jeudi 06 mars 2025, à partir de 9h00 au siège de la CCI Paris Ile-de-France 27 avenue de Friedland, 75008 Paris

S’inscrivant dans la continuité de sa première édition, « Savoir-faire en Lumières » mettra en avant des marques françaises de prestige, qui viendront exposer leurs produits le temps d’une journée au siège de la CCI Paris Ile-de-France. Différents bloggeurs, influenceurs et célébrités, à la fois français comme chinois, feront le déplacement afin de partager l’étendue du pouvoir du marketing d’influence et de l’e-commerce en Chine.

Retrouvez les marques françaises exposantes

Une dizaine de marques françaises d’exception exposeront leurs savoir-faire uniques dans l’Hôtel Potocki.

Une conférence inédite

Cette rencontre réunira des personnalités éminentes du monde économique, politique et digital afin d’explorer les opportunités de coopération et de valorisation du savoir-faire français en Chine. Gastronomie, mode, design et savoir-faire seront mis à l’honneur, illustrant ainsi l’héritage et l’innovation qui façonnent l’Art de Vivre à la français. 9h00 – 9h30 : Arrivée des participants 9h30 – 11h30 : Conférence sur le marché de l’Art de Vivre en Chine
  • Ouverture de M. Dominique RESTINO, Président de la CCI Paris Ile-de-France
  • Allocution de M. Sylvain MAILLARD, Président du groupe d’amitié France-Chine de l’Assemblée nationale, Député de Paris (en attente de validation)
  • Keynote speech : Signification de savoir-faire pour un consommateur chinois M. Jonathan SIBONI, CEO de Luxurynsight
  • Keynote speech : L’expertise française sur le marché chinois M. Cyril CAMUS, CEO groupe CAMUS
  • Table ronde : Ancrage, tradition et soutien territorial M. Francis CAMMAL, Maire de Gien M. Benoit DIGEON, Maire de Montargis
  • Clôture par JIN Xing, Danseuse, Influenceuse et égérie de DIOR

Un déjeuner d’envergure

La province du Yunnan, via son bureau de représentation en France, nous fera voyager et découvrir les spécialités de la région à travers des réalisations culinaires à base de truffes des chefs de la maison Escoffier et la dégustation de « vin glacé » des montagnes de Shangri-La. Située au Sud-Ouest de la Chine, la province du Yunnan présente une faune et une flore riche. Celle-ci est connue pour ses cultures de thé, ses rizières, mais aussi pour sa diversité de champignons.

Un atelier e-commerce dédié aux PME exportatrices

La plateforme d’e-commerce transfrontalier Tmall Global présentera lors d’un atelier exclusif les solutions pour les sociétés françaises souhaitant vendre en Chine sans avoir à s’implanter sur le territoire chinois.

Vous aussi, découvrez comment vous positionner sur le marché de l’Art-de-Vivre en Chine !

Pour en savoir plus, nous vous attendons le 06 mars 2025 dès 9h, au siège de la CCI Paris Ile-de-France 27 avenue Friedland 75008 Paris pour un événement dédié !
Les 10 et 11 février 2025, Paris a accueilli un rendez-vous majeur, le sommet pour l’action sur l’IA (Intelligence Artificielle), réunissant des leaders politiques, des experts en technologie, des entreprises et des acteurs institutionnels pour débattre de l’avenir de l’IA. L’évènement a été marqué par l’annonce du président Emmanuel Macron de l’octroi de 9 milliards d’euros pour soutenir le développement de l’IA à l’échelle européenne. Cette initiative ambitieuse promet de transformer profondément les perspectives économiques mondiales dans ce domaine et, en particulier, celles de la France. Cet article explore les principales annonces du sommet et les conséquences positives que ces engagements pourraient avoir pour les entreprises, et en particulier pour les PME et ETI françaises. Par Franck Boccara Un engagement clair pour le développement de l’IA Lors de son discours d’ouverture, Emmanuel Macron a souligné l’importance stratégique de l’IA pour l’Europe, tant pour la compétitivité des entreprises que pour la souveraineté technologique du continent. Le président a précisé que l’UE doit non seulement devenir un leader mondial dans le domaine de l’IA, mais aussi s’assurer que ses entreprises, en particulier les PME et ETI, bénéficient des technologies les plus avancées. L’annonce phare de ce sommet fut l’engagement de l’UE à investir 9 milliards d’euros dans la recherche, le développement et l’adoption de l’intelligence artificielle d’ici 2030. Cet investissement vise à soutenir les entreprises européennes dans la création de solutions d’IA, à encourager l’exportation de technologies innovantes et à renforcer la position géopolitique de l’Europe face aux géants technologiques comme les États-Unis et la Chine. Le financement sera destiné à plusieurs initiatives, notamment la formation, l’infrastructure numérique, la recherche, ainsi qu’à des projets d’IA appliqués dans des secteurs clés comme la santé, l’agriculture, la mobilité, et bien sûr, l’industrie. Le sommet a également permis de dévoiler un plan de coopération entre les entreprises privées et publiques afin de déployer des projets d’IA à grande échelle, en garantissant un cadre éthique et des régulations adaptées. En somme, ce sommet pour l’action sur l’IA cherche à instaurer un environnement favorable où l’innovation en IA peut s’épanouir tout en préservant la protection des droits des citoyens. Sommet pour l'action sur l'IA à Paris les 10 et 11 février 2025 L’IA au service des PME et ETI L’un des aspects les plus importants de cet investissement est son impact direct sur les PME et ETI européennes. Ces entreprises, qui représentent la colonne vertébrale de l’économie de l’UE, sont souvent en retard par rapport aux grandes multinationales en matière d’adoption des nouvelles technologies. Elles se retrouvent confrontées à des défis spécifiques : coût élevé des technologies, manque de compétences internes, et parfois des incertitudes concernant la réglementation en matière d’IA. Les 9 milliards d’euros alloués ont été partiellement destinés à combler cette lacune. L’objectif est d’aider les PME à adopter des solutions d’IA qui peuvent les rendre plus compétitives, innovantes et productives. Parmi les mesures envisagées, on trouve des subventions pour l’achat d’outils d’IA adaptés, des programmes de formation pour les salariés, ainsi que des plateformes collaboratives permettant aux PME de partager des ressources et des connaissances en matière d’IA. Les entreprises pourront bénéficier de l’accompagnement des grandes entreprises technologiques partenaires du projet, qui offriront des outils d’IA préconfigurés, faciles à intégrer dans des systèmes existants. Par exemple, une PME dans le secteur du commerce de détail pourra accéder à des solutions d’IA pour optimiser la gestion de son stock, personnaliser les offres à ses clients, ou améliorer la logistique de livraison, le tout à des coûts bien inférieurs à ceux habituellement pratiqués sur le marché. L’impact sur l’économie française Pour la France, l’annonce phare de ce sommet pour l’action sur l’IA est d’autant plus importante qu’elle intervient à un moment où le pays cherche à renforcer sa position en tant que leader technologique en Europe. L’Hexagone est déjà reconnu pour ses initiatives en matière de transformation numérique, mais l’introduction d’un financement aussi important va permettre de consolider cette dynamique, en particulier pour les PME et ETI françaises. Les entreprises françaises, notamment dans les secteurs de la santé, de l’agriculture et de l’industrie, pourront profiter de l’IA pour améliorer leur productivité, réduire leurs coûts et gagner en efficacité. Par exemple, les entreprises agricoles françaises pourront tirer parti des technologies d’IA pour anticiper les conditions météorologiques, optimiser les récoltes et améliorer la gestion de l’eau. De même, les PME industrielles pourront utiliser des solutions d’IA pour améliorer la maintenance prédictive, optimiser la production, et mieux gérer la chaîne d’approvisionnement. Cette révolution technologique profitera également aux entreprises françaises à l’international. L’IA étant désormais une technologie clé dans de nombreux secteurs, les entreprises qui l’adoptent seront en mesure de se différencier sur le marché mondial. À l’heure où la concurrence mondiale s’intensifie, l’adoption de l’IA permettra aux entreprises françaises de rester compétitives et de se faire une place de choix dans l’économie numérique de demain. Des opportunités de création d’emplois ? L’IA suscite également des inquiétudes quant à son impact sur l’emploi. Il est souvent craint que l’automatisation par l’IA ne conduise à la suppression de nombreux postes. Cependant, l’approche de l’UE et de la France se concentre sur l’idée que l’IA pourra aussi créer des opportunités d’emplois. En effet, le développement et le déploiement des solutions d’IA nécessitent des compétences spécialisées, notamment dans les domaines du développement logiciel, de la data science, de la gestion de l’IA, mais aussi dans des secteurs comme l’éthique de l’intelligence artificielle et la régulation. Ainsi, l’investissement dans l’IA sera également orienté vers la formation des travailleurs pour répondre à la demande croissante de compétences dans ce domaine. De nouveaux métiers verront le jour, et les acteurs de la formation professionnelle devront s’adapter pour préparer les jeunes générations et les travailleurs existants à ces nouveaux défis. Renforcer la compétitivité face à la concurrence mondiale La France et l’UE ont bien compris que l’IA n’est pas seulement un levier pour la croissance interne, mais aussi un élément clé pour affronter la concurrence mondiale. Les États-Unis et la Chine ont déjà pris de l’avance en matière de technologies avancées, et les entreprises européennes se retrouvent parfois à la traîne. L’engagement d’investir massivement dans l’IA permet à l’Europe de se positionner comme un acteur incontournable dans le paysage mondial de l’intelligence artificielle. Au-delà des bénéfices économiques directs, cet investissement vise aussi à renforcer l’indépendance technologique de l’Europe, un enjeu majeur face à la domination des grandes entreprises américaines et chinoises. En devenant un leader dans l’IA, l’Europe pourra non seulement créer de la valeur pour ses citoyens, mais aussi défendre ses intérêts géopolitiques et économiques. Le sommet pour l’action sur l’IA qui s’est tenu à Paris les 10 et 11 février 2025 marque un tournant dans l’histoire de la France en matière de technologie. Avec un investissement de 9 milliards d’euros, la France a posé les bases d’une stratégie ambitieuse pour faire de l’intelligence artificielle un moteur de croissance, d’innovation et de compétitivité pour ses entreprises, en particulier ses PME et ETI. Cette initiative offre des opportunités immenses pour les entreprises françaises, qui pourront bénéficier de technologies avancées et d’un accompagnement renforcé pour se moderniser, croître et se développer sur la scène internationale. L’IA, loin d’être une menace, est donc une chance pour l’économie européenne. Les entreprises, petites ou grandes, pourront s’appuyer sur ce soutien pour bâtir un avenir plus compétitif, plus innovant et plus durable.
PME-ETI.fr est partenaire du Practice, le nouveau salon destiné aux TPE et PME en Ile-de-France.
PME-ETI.fr est partenaire du Practice, le nouveau salon destiné aux indépendants et dirigeants de TPE et PME en Ile-de-France, organisé par des entrepreneurs, à Issy-les-Moulineaux. L’objectif du salon est clair : répondre rapidement aux besoins des dirigeants grâce à une programmation orientée sur l’efficacité et le résultat. En une journée, le Practice cible 4 objectifs essentiels : monter en compétences, networker, s’inspirer et vendre. Le Practice se différencie grâce à : une approche innovante pour rendre les sessions de networking productives avec des facilitateurs, la présence d’un seul exposant par profession afin de privilégier les opportunités d’affaires, des séances de co-développement pour s’appuyer sur l’intelligence collective… Vous aurez aussi l’opportunité de participer à un Fishbowl. Voici un aperçu des ateliers et conférences animés par des chefs d’entreprise : Comment répondre à un appel d’offre public — Vendre en boutique (wholesale) : comment faire ? — Loi partage : c’est quoi ? — Premier recrutement : quelles sont les démarches ? — SEO : tutoriel Wordpress en live — Les clés pour investir la Marketplace Amazon — Contrôle fiscal : comment s’organiser ? En quelques chiffres : ● 2 000 dirigeants sont attendus cette année ● 2 500 m2 divisés en 3 salles d’ateliers, une scène principale, 2 bulles de co-dev, une mezzanine pour le networking, un espace de coworking… ● 30 h d’ateliers et tables rondes cumulées sur la journée Cela se passe le jeudi 13 février 2025, de (8 h 30 : accueil café) 9 h à 19h au Palais des Sports, 6 Bd des Frères Voisins, 92130 Issy-les-Moulineaux. Vous pouvez y accéder via le métro 12 ou le RER C. Pour cette première édition, PME-ETI.fr est partenaire du Practice. L’inscription est gratuite (valeur réelle de 45 €), événement réservé aux sociétés en cours d’activité (dirigeants et cadres), un SIREN vous sera demandé à l’inscription. Préparez vos objectifs et vos cartes de visites, la journée promet d’être dense ! Café et thé sont servis à volonté.

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SOFIAP, filiale de la Banque Postale et de la SNCF, ouvre son expertise au secteur privé ! L’idée est de concevoir des prêts bonifiés avec les entreprises afin de faciliter aux salariés l’accès à la propriété immobilière en prenant en charge une partie ou la totalité des taux d’intérêt. Plus qu’un simple avantage financier, ces prêts subventionnés représentent pour l’entreprise un véritable outil de renforcement de la marque employeur, de la RSE et de l’engagement des collaborateurs. Laurent Permasse, Président du Directoire SOFIAP, nous présente les nombreux avantages de ce dispositif gagnant-gagnant.
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