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Formation

L’IFAG, avec ses 27 campus en France et à l’étranger, se démarque en tant qu’école de management qui parvient à allier avec succès une pertinence globale et un solide ancrage dans les territoires où elle est implantée. Forte d’un savoir-faire reconnu dans la formation au management à destination des entreprises de retail, l’IFAG a établi des partenariats stratégiques avec les entreprises de la région nord, à l’instar de Norauto, un acteur économique qui rayonne fortement dans la région. Emmanuelle Godfrin, Responsable des formations Alternance & Relations Ecoles pour Norauto France et Secrétaire Générale de l’AFMD, répond à nos questions et nous livre sa vision de ce partenariat en décrivant de façon précise les avantages uniques qu’offre l’IFAG en matière d’apprentissage et d’alternance.

Les PME et ETI prennent aujourd’hui clairement conscience de l’urgence de battir une politique RSE cohérente en phase avec les nouvelles contraintes énergétiques, climatiques et sociales. Cependant, pour mettre en œuvre les transformations nécessaires, il est fondamental d’être bien accompagné et bien formé à la conduite de ce changement.

José Maillet, Professeur & Responsable de Gaïa, l’école de la transition écologique et sociale d’AUDENCIA nous parle de l’importance de la formation continue pour définir une approche stratégique et opérationnelle gagnante.

Classée parmi les meilleures grandes écoles de Management françaises, AUDENCIA a fait le choix stratégique de se placer comme un acteur de référence dans la formation continue des dirigeants et cadres de PME et ETI.
Dr Makram Chemangui, Directeur Général Adjoint de l’école, répond à nos questions sur la spécificité de l’offre d’AUDENCIA et nous apporte une analyse lucide sur les enjeux de transformation digitale, énergétique et sociale des PME et ETI.

Les grandes écoles françaises intensifient leur développement en Afrique pour bénéficier de ce marché en pleine expansion. A l’image de l’ESSEC, HEC ou Centrale, ces écoles s’implantent dans les pays francophones au fort potentiel économique tels que La Côte d’ivoire, le Maroc ou le Sénégal et créent de la sorte un partenariat gagnant-gagnant puisqu’elles représentent une alternative pour les étudiants africains qui n’ont pas les moyens de faire leurs études en France.

Par Franck Boccara

Les grandes écoles françaises ont pour coutume d’accueillir les étudiants africains dans l’Hexagone mais à présent elles vont à leur rencontre en s’implantant directement sur le sol africain pour profiter de ce marché exponentiel et rayonner à l’international. en effet, Le nombre d’étudiants devrait passer de 8 à 30 millions en Afrique d’ici à 2030 alors que de nombreux pays de ce continent souffrent d’un déficit de formations supérieures.Il ne se passe pas un mois sans qu’une école publique française ou privée (l’Ecole supérieure de gestion ou l’Ecole supérieure de génie informatique) n’annonce l’ouverture d’un campus ou d’un bureau de représentation en Afrique.

Le Maroc en tête

Il faut compter une bonne dizaine de grandes écoles françaises qui ont ouvert leurs portes au Maroc en douze ans, parmis lesquelles l’Ecole des Mines, Centrale, l’Insa, l’Essec, l’université Paris-Dauphine ou encore l’école de management Toulouse Business School qui a inauguré son nouveau campus à Casablanca en mai 2017.La capacité d’accueil des universités marocaines arrivant à saturation, le pays compte sur ces prestigieuses grandes écoles françaises pour former les très nombreux ingénieurs et entrepreneurs dont il a besoin. De plus, Le Maroc joue intelligement la fonction de trait d’union entre l’Europe et l’Afrique, et attire de nombreux étudiants subsahariens dans ses universités.Avec l’arrivée de ces grands établissements français, le royaume chérifien va chercher à se positionner comme le hub de la formation universitaire en Afrique en s’appuyant sur sa proximité et son accessibilité pour les étudiants africains et représenter ainsi un parfait compromis puisque le diplôme français reste un titre prestigieux et monnayable pour ces derniers.La formation des futurs cadres africains s’inscrit dans la stratégie marocaine d’influence en Afrique. L’Agence marocaine de coopération internationale (AMCI) vient justement d’annoncer une augmentation du nombre de bourses destinées aux étudiants subsahariens. A l’Ecole Centrale de Casablanca, plus de 30% des étudiants viennent d’Afrique subsaharienne.

Sénégal et Côte d’Ivoire

Le Sénégal et la Côte d’Ivoire ne sont pas en reste. Ils accueillent également  les grandes écoles françaises ainsi que de nombreux d’étudiants venant des pays d’Afrique de L’Ouest.
HEC, par exemple, qui forme depuis des années des cadres africains (en formation continue) en Afrique du Sud, au Kenya à Madagascar et au Maroc, vient d’ouvrir un bureau à Abidjan.

Autre exemple: une école de cybersécurité à vocation régionale a été inaugurée le 6 novembre 2018 à Dakar avec, pour vocation, d’accompagner la montée en puissance de l’internet africain. Cet établissement a pour projet également de lutter contre le piratage informatiquequi très actif en Afrique.

Bien que La francophonie permette de créer un lien fort, les pays anglophones comme l’Afrique du Sud, le Ghana, ou le Kenya, ne sont pas oubliés. En effet, Sciences-Po a annoncé l’inauguration de son premier bureau de représentation à Nairobi, au Kenya tandis que L’ESIEE, école d’ingénieurs française, possède deux campus en Afrique du Sud, au Cap et à Pretoria.

Erasmus+

Devancée de très loin par New York, Londres ou Hong Kong, l’Afrique arrive cependant à attirer les étudiants français par le biais du programme européen Erasmus +.
De plus en plus d’étudiants européens décident d’effectuer leurs stages internationaux sur le continent africain qui émerge et où convergent tous enjeux contemporains.
Bien sur, la concurrence n’est pas en reste puisque les universités américaines ou chinoises renforcent elles aussi leur présence pour former la nouvelle jeunesse africaine, et repérer les meilleurs talents.

La sécurité routière dans l’entreprise représente un enjeux majeur dans la gestion des risques de nos PME et ETI. Au-delà de sa vocation première de sauvegarde de la vie humaine et de la santé, l’accidentologie permet aussi de réduire les coûts. Entre réglementation, prévention et formation, voici les pistes pour optimiser la sécurité du personnel sur la route. Par Franck Boccara Les accidents de la route occupent toujours la première place des risques mortels au travail et la réglementation s’adapte en imposant aux chefs d’entreprises une obligation de résultat dans la prévention des risques liés à l’utilisation d’un véhicule dans le cadre professionnel. Ce risque est d’ailleurs encadré au niveau réglementaire par le Code de la route, le Code du travail, le Code pénal et le Code civil. cette responsabilité incombe au DRH qui est tenu de créer un document unique qui analyse les risques routiers et de mettre en place les solutions nécessaires. Ces mesures sont accompagnées d’une obligation de résultat pour les entreprises qui doivent prouver la mise en oeuvre de tous les moyens de prévention et de formation. Le coût des accidents Les sinistres coutent à l’entreprise à peu près autant que le carburant, les loyers des véhicules ou les coûts d’acquisition. C’est dire le budget que les PME et ETI consacrent aux accidents, car ceux-ci engagent des coûts directs et indirects: En effet, il faut inclure les coûts directs que sont les cotisations accidents du travail, les cotisations d’assurance et les coûts matériels ou corporels ainsi que les coûts indirects comme l’immobilisation des véhicules accidentés, la franchise d’assurance, le remplacement ou la réparation des véhicules accidentés, les heures perdues par le chauffeur, les amendes, les frais de contentieux, la gestion des sinistres… L’Observatoire du Véhicule d’Entreprise précise que le conducteur peut influencer de 40 % le TCO (coût global de possession) de son véhicule (carburant, entretien, pneumatiques…). La prévention Le déplacement est évidemment l’unique cause des accidents. Il faut donc analyser toutes les composantes du déplacement ainsi que l’organisation et le management de l’entreprise, le but étant de recueillir un maximum d’informations sur l’entreprise (fonctionnement, déplacement) et sur sa sinistralité, puis de les synthétiser dans un document de travail permettant d’identifier précisément les éventuels dysfonctionnements et points d’améliorations et de mettre en place un plan d’actions cohérent, simple et basé sur des constatations objectives. Plusieurs éléments doivent être épluchés pour réaliser cette analyse comme par exemple les constats amiables et les statistiques des assureurs, les informations transmises lors des entretiens post accident et surtout les données transmises par les boîtiers télématiques installés dans les véhicules qui s’avèrent être particulièrement utiles pour la sécurité routière et l’optimisation des coûts car ils offrent un aperçu sur le style de conduite des différents utilisateurs.
Former et communiquer sur la sécurité routière Les entreprises ont à leur disposition plusieurs outils à cet effet. La communication pourra se faire par l’intermédiaire de messages transmis régulièrement sur des thèmes comme la saisonnalité, les contraintes métiers, les problématiques particulières ou les rappels de procédure. Ces messages peuvent circuler par différents circuits tels que les fiches pratiques, le journal interne de l’entreprise ou le livret du conducteur. Toutes ces informations devront être validées par le comité de pilotage de l’action de prévention des risques routiers. La formation à la sécurité routière et à l’écoconduite dispose, quant à elle, de nombreuses solutions souvent dispensés par des spécialistes en la matière et même directement par les fournisseur LLD. Ces formations, sous forme présentielle ou e-learning, permettent de mieux identifier les situations à risque, de mieux analyser leur environnement et d’assimiler les bonnes pratiques à mettre en place au quotidien. Pour être efficaces, ces séances doivent s’inscrire dans le durée et être organisées régulièrement, notamment pour les conducteurs les plus à risque. L’idéal est forcement d’agrémenter tous ces efforts par des challenges pour favoriser l’écoconduite. Les loueurs offrent des solutions ludiques, grace à la télématique, qui délivrent des « scores ecoconduite » basés sur les habitudes des collaborateurs au volant en prennant en compte l’ensemble des paramètres de la sécurité routière. Ces challenges permettent de récompenser les meilleurs conducteurs et par ailleurs de faire baisser la sinistralité et les coûts qu’elle engendre.    

Vous êtes dirigeant ou cadre d’une PME francilienne, vous vous sentez à l’aise avec les pratiques digitales et vous avez un projet de développement de visibilité sur le net ? Si oui, cette formation en ligne organisée par la CCI Paris-Ile-de-France et « les digiteurs » peut vous convenir pour connaitre les clés d’une stratégie marketing gagnante sur des réseaux sociaux tels que Facebook, Instagram ou LinkedIn. Voici les dates et un lien pour l’inscription.

Prochaines sessions

Décembre 2021

  • JOUR 1 : Lundi 20 Décembre | 10h30-12h30
  • JOUR 2 : Mardi 21 Décembre | 09h30-12h00
  • JOUR 3 : Mercredi 22 Décembre | 09h30-12h00

Objectifs de la formation

  • Organisez votre présence sur les réseaux sociaux au travers une stratégie pensée
  • Créez du contenu intéressant qui créé de l’engagement avec votre communauté
  • Boostez votre visibilité grâce à la publicité en ligne

Programme de la formation

JOUR 1 : Définition d’une stratégie de communication pensée et organisée

  • Définition des objectifs de l’entreprise
  • Quel est ou quelles sont les cibles déterminées (persona)
  • Ressources internes/externes
  • Charte et ligne éditoriale de l’entreprise
  • Les différents types de publications et leurs impacts
  • Planning éditorial et programmation des publications

JOUR 2 : Créer du contenu professionnel et engageant

  • Défendre des valeurs de l’entreprise, ses produits et services (Le Storytelling)
  • Comment publier sur Facebook
  • Comment publier sur Instagram
  • Comment publier sur Linkedin
  • Les différentes applications de création de contenus
  • Les jeux concours
  • Social selling : boutique facebook et Instagram Shopping

JOUR 3 : Booster sa visibilité grâce à la publicité en ligne 

  • Pourquoi faire de la publicité en ligne
  • Définition de la cible / Audience
  • Le Pixel Facebook
  • Facebook Business : la plateforme publicitaire des réseaux sociaux
  • Créer une campagne publicitaire : Une méthode … des tests Indicateurs de performances et analyse de campagnes

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Animateur de la formation

Jérôme Pradel , Conseiller numérique

Cette formation est réservée aux sociétés immatriculées en Île-de-France (Kbis à fournir)

Nicolas Dufourcq, Directeur Général de Bpifrance, nous reçoit dans ses bureaux pour présenter le VTE (Volontariat Territorial en Entreprise) et lancer un appel aux adhérents et visiteurs de PME-ETI.fr.
Le programme VTE, initié par le gouvernement et porté par Bpifrance, est là pour répondre à l’enjeu capital que représente le recrutement des talents pour nos PME et ETI en région. Une belle initiative que nous sommes fiers d’accompagner !

Avec la sortie de crise qui se profile, tous les dirigeants redoutent le calendrier de réduction et/ou fin des mesures gouvernementales de soutien financier aux entreprises. Beaucoup d’entre elles ont tout fait pour rester debout au cours des 13 derniers mois, au prix d’efforts et de sacrifices importants. Surtout après la publication des comptes 2020, nombre de dirigeants de PME et ETI vont avoir à faire face à un véritable challenge financier avec quelques gros nuages gris à l’horizon. Ce cycle de webinaires vient y apporter un précieux éclairage.

Organisé par Lugh & Co en partenariat avec Ambre Associés

Malgré le contexte difficile, les défaillances des entreprises ont été en nette diminution en 2020, résultat bénéfique des actions des pouvoirs publics. Pourtant, l’accentuation des difficultés financières des entreprises pourraient être la nouvelle forme de « variant du virus » dans les mois à venir. Aussi tabou puisse être le sujet, pour chaque dirigeant, il s’agit de faire son maximum pour se préparer et anticiper les choses avant d’être pris dans une mauvaise spirale.

Avec ce cycle de webinaires, il nous a semblé opportun, voire essentiel, de passer en revue en mode très opérationnel et pragmatique, à travers le prisme du dirigeant, les enjeux, les marges de manœuvre voire dans une certaine mesure « les opportunités » face aux difficultés financières.

Comme souvent, il s’agit d’adapter le bon remède avec le bon timing, donc autant faire en sorte de connaître les traitements potentiellement disponibles, leurs indications d’usage comme leurs possibles effets secondaires….

NB : ce cycle de webinaires se compose de 3 rendez-vous de 45 minutes comprenant chacun 20 à 25 minutes de présentation et le reste du temps consacré à l’échange et aux questions/réponses.

Intervenants

Session 1 : Le jeudi 3 juin 2021 de 12h45 à 13h30
Procédures amiables et de sauvegarde : des traitements « homéopathiques » aux véritables vertus

Cette première session va passer en revue les procédures dites « amiables » (Mandat ad’hoc et Conciliation) et la « sauvegarde », à disposition des dirigeants et de leur entreprise. L’objectif sera de les dédiaboliser pour donner une vision pratique des enjeux, contraintes et bénéfices pour le dirigeant.

A travers le prisme notamment des risques et leviers à actionner, chacune de ces procédures sera visitée sous un angle très concret.

Comme pour tout traitement face à la douleur, tout est aussi une question de timing. La revue sera ainsi ancrée avec les enjeux du calendrier notamment pour donner, au dirigeant comme à l’entreprise, le maximum de potentiel de rebond que chaque procédure peut permettre, prise seule ou de manière combinée.

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Session 2 – Le jeudi 10 juin 2021 de 12h45 à 13h30
Reconnaître les symptômes et aller au bout du diagnostic…

Dans la mesure où, en termes de difficultés financières des entreprises, il existe un marqueur essentiel qu’est la « date de cessation des paiements », cette session va se concentrer autour des paramètres à intégrer autour de ce moment clé.

L’effet « couperet » propre à cette date dans la dynamique de gestion des difficultés renforce le besoin de faire une revue pratique des éléments déclencheurs (les vrais) et par conséquent les signaux d’alerte (les symptômes avant-coureur) sur lesquels le dirigeant doit être attentif et comment les faire remonter du terrain.

Avec l’urgence du quotidien, le dirigeant, la tête dans le guidon et souvent esseulé, peine à trouver les bons leviers à activer pour analyser dynamiquement et efficacement la situation. Le binôme avocat spécialisé et business coach peuvent se révéler deux véritables alliés du dirigeant par la neutralité de leur position dans l’écosystème de l’entreprise.

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Session 3 – Le jeudi 17 juin 2021 de 12h45 à 13h30
Prévention et guérison, avec une équipe soignante bienveillante

Alors que les deux premiers webinaires auront permis d’identifier les éléments clés de développement comme de diagnostic de la « maladie » à prendre compte par le dirigeant, la revue des différents signaux (plus ou moins faibles) à appréhender pour anticiper va permettre de se concentrer sur les stratégies et actions à entreprendre pour que cette « maladie » serve de leçon.

Afin de dédiaboliser les difficultés financières et les procédures associées, il s’agit de pouvoir se donner tous les moyens pour que cette expérience soit la moins douloureuse possible et surtout laisse le moins de séquelles possibles.

Aller chercher les causes racines des difficultés pour les traiter sans compromis, tout faire pour éviter la rechute en allant jusqu’au bout de la remise en cause voire même profiter de cette période particulière pour redonner à l’entreprise de la force pour repartir, autant d’enjeux majeurs pour le dirigeant.

Pour atteindre ces objectifs, nous regarderons en détail également le rôle de l’équipe « soignante » pour permettre au dirigeant de se sentir à tout moment supporté de la meilleure façon.

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Nicolas Dufourcq, Directeur Général de Bpifrance, nous reçoit dans ses bureaux pour présenter le VTE (Volontariat Territorial en Entreprise) et lancer un appel aux adhérents et visiteurs de PME-ETI.fr.
Le programme VTE, initié par le gouvernement et porté par Bpifrance, est là pour répondre à l’enjeu capital que représente le recrutement des talents pour nos PME et ETI en région. Une belle initiative que nous sommes fiers d’accompagner !

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