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SME-ETI

L’accès presque illimité à l’information permet aux candidats de comparer très précisément les différentes opportunités qui s’offrent à eux avant de répondre à un recruteur. Quelle société obtient les meilleurs avis collaborateurs ? Qui propose des conditions de travail optimales ? Dans quelle société le parcours collaborateur est-il adapté à chacun ? Même si les candidats se montrent satisfaits par votre marque employeur, une fois devenu collaborateurs, ils n’hésiteront pas à aller voir si l’herbe est plus verte ailleurs au moindre écart. Dans ce contexte, comment se démarquer de la concurrence ? Par Céline Cherqui – Fondatrice de OneWay En réalité, mille et une façons pour vous de le faire. Bonne compréhension des attentes, mise en place d’une expérience collaborateur inédite, d’une marque employeur mémorable… Découvrez quelques astuces pour sortir à coup sûr votre épingle du jeu et enclencher les bons leviers pour y parvenir : En priorisant la vision « people centric », vous comprendrez ce que recherchent vraiment vos collaborateurs. Pour cela vous pouvez vous inspirer de l’expérience passée de vos candidats et de vos collaborateurs, et bien sûr, des pratiques de vos concurrents.
Céline Cherqui –Fondatrice de OneWay
Restez en permanence à l’écoute du marché grâce à une veille régulière faite par vos recruteurs. Demandez-leur, par exemple, d’examiner le contenu et les posts de vos concurrents sur les réseaux sociaux, de recueillir les retours d’expérience de leurs candidats et les suggestions d’amélioration de vos collaborateurs. Ils pourront ensuite déterminer les problématiques que rencontrent leurs candidats et vos collaborateurs, leurs comportements face à certaines situations, leurs axes prioritaires de développement. En récoltant un maximum de feedback, vous identifierez précisément les forces et faiblesses (les vôtres et celles de vos concurrents), décrypterez les attentes de chacun et déterminerez comment vous démarquer positivement. Adaptez ensuite votre stratégie de différenciation, optez pour une stratégie de fidélisation, mettez en avant l’avantage concurrentiel de votre marque employeur. Ajustez votre image pour vous inscrire durablement dans la mémoire des candidats et rendre fiers vos collaborateurs. Définissez tous les leviers qui leur permettront de vivre des moments inédits. Cette expérience candidat et le parcours collaborateur qui en découlera seront une réussite si :
  • vous suscitez la confiance et tenez vos promesses,
  • vous vous mettez vraiment à leur place et comprenez leurs envies dans le but d’y répondre de manière adaptée,
  • vous êtes capable d’anticiper leurs attentes.
Utilisez les bons codes lors de vos actions de communication, créez une histoire autour de votre entreprise pour susciter des émotions positives et encourager la proximité avec vos collaborateurs, faites refléter votre ADN et vos valeurs en restant cohérent et unique. Pensez différemment et prenez le temps de créer une relation sincère avec eux. Innovez pour vous différencier, allez là où les autres ne sont pas encore et créez une rupture avec les usages de vos concurrents. Pensez « out of the box » au lieu de vous calquer sur ce que font déjà les autres et sur les pratiques en vigueur. Restez à l’écoute de vos collaborateurs, comprenez vos candidats, décryptez les pratiques de vos concurrents et construisez une stratégie de fidélisation qui vous ressemble et qui vous démarque positivement. Ces actions vous permettront de transformer tous vos échanges en réussite pour attirer de nouveaux talents, proposer des parcours collaborateur adaptés et, vous feront sans aucun doute, prendre une longueur d’avance sur vos concurrents. Vous l’aurez compris : il va falloir être présent, se démarquer passe par une analyse précise des attentes de vos collaborateurs et des pratiques de vos concurrents. Cette approche vous permettra d’avoir une vision claire et de proposer une offre 100% adaptée. Ainsi, vous vous différencierez en répondant mieux aux attentes de vos collaborateurs que ne le font vos concurrents, vous les fidéliserez et attirerez de nouveaux talents qui vous ressemblent. 📞 Si cet article vous a donné des idées pour construire une stratégie de fidélisation mais que tout reste encore un peu flou…Pas de panique, je vous accompagne pas à pas sur toutes les problématiques recrutement que vous pourrez rencontrer. Céline Cherqui – Directrice Recrutement – OneWay

La station de ski de La Plagne offre aux PME et ETI un cadre hors-normes pour tous leurs évènements. Les équipements les plus complets répondront parfaitement aux besoins des séminaires, conférences et congrès.
Pour la partie incentive et team building, La Plagne a les moyens de vous épater avec un panel d’activités qui va du bobsleigh aux attelages de chiens de traineaux en passant par la moto-neige et l’escalade sur glace.
Rémy Goupil, Directeur Général de l’office du tourisme Grande Plagne, nous en parle….pour le plaisir des yeux !

Quelques changements fiscaux entreront en vigueur dans ce projet de loi de finances 2024 sans cependant représenter un grand chamboulement fiscal. Indexation du barème de l’impôt sur le revenu sur l’inflation, hausse de la taxe foncière… voici un tour d’horizon des mesures fiscales plus ou moins avantageurses qui entrent en vigueur en ce début d’année.

Par Franck Boccara Comme pour chaque début d’année, les contribuables ont tout intérêt à se pencher sur les mesures fiscales qui entrent en application, ou sont conservées par le législateur dans ce projet de loi de finances 2024. PME-ETI.fr vous dresse la liste des mesures les plus significatives pour votre porte-monnaie.

Nouvelle augmentation de la taxe foncière

Ce n’est pas la meilleure nouvelle pour les propriétaires immobiliers puisque le projet de loi de finances 2024 prévoit une revalorisation d’au moins 3.9% des impôts locaux, au premier rang desquels la taxe foncière. Cette hausse mécanique, avant même le vote des budgets par les conseils municipaux au printemps, est calquée sur l’inflation et va venir rehausser les valeurs locatives cadastrales des logements. Celles-ci servent directement au calcul de la taxe foncière.

Davantage de taxes d’habitation sur les résidences secondaires majorées

Ces dernières années, plusieurs milliers de propriétaires de résidences secondaires en ont déjà fait les frais… Dans certaines communes, ils paient une taxe d’habitation majorée, parfois jusqu’à 60%, sur leur résidence secondaire. Certains propriétaires avaient échappé, jusqu’à présent, à cette majoration mais ils ont quelques soucis à se faire pour cette année puisque plus de 2 200 nouvelles communes vont pouvoir adopter l’application de cette majoration – comprise entre 5% et 60% – du montant de la taxe d’habitation. Cette adoption doit néanmoins faire l’objet d’une décision qui doit être votée en conseil municipal.

Le barème de l’impôt sur le revenu reste indexé sur l’inflation

Cette mesure est régulièrement reconduite chaque année et c’est encore le cas en 2024 pour le projet de loi de finances 2024. Le barème de l’impôt sur le revenu a donc été revalorisé de 4,8% le 1er janvier. Cette revalorisation du barème sera logiquemement supérieure in fine à l’inflation annuelle constatée en 2023 en France. C’est une bonne nouvelle pour les salariés dont le revenu aura progressé de moins de 4,8% l’année dernière car ils bénéficierons d’une baisse de leur imposition au printemps.

Dons aux associations : maintien du taux de réduction d’impôts à 75%

Le projet de loi de finances 2024 conserve un taux très attractif pour les contribuables en cas de dons à des associations d’aide aux plus démunis. Le gouvernement d’Elisabeth Borne a décider de maintenir le taux boosté de 75% de réduction d’impôt sur le revenu, dans la limite d’un plafond de dépenses de 1 000 euros par an. Ce qui veut dire que pour 1 000 euros donnés à une association, il sera donc possible de profiter de 750 euros de réduction d’impôt. Cette mesure fiscale incitative restera en vigueur jusqu’au 31 décembre 2026

Les pourboires restent défiscalisés

Les salariés de l’hôtellerie-restauration continueront de bénéficier de l’exonération d’impôt sur le revenu et de prélèvements sociaux sur les pourboires qu’ils perçoivent des clients. Cette mesure, qui est régulièrement reconduite depuis le 1er janvier 2022, permet d’éviter que les pourboires, notamment centralisés par l’employeur, ne se substituent à une partie du salaire de l’employé. La défiscalisation en question est plafonnée à 20% du salaire annuel brut de l’employé. Un rapport évaluant l’efficacité de cette mesure fiscale doit cependant être remis par le gouvernement au Parlement avant le 1er octobre 2024 afin de décider de la reconduction, ou non, de la mesure en 2025.

Le dispositif d’avance immédiate de crédit d’impôt reste le même

Des documents annexés au projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) prévoyaient cet automne la modification du mécanisme d’avance immédiate de crédit d’impôt concernant le secteur de l’emploi à domicile, notamment par l’abaissement de son plafond de 6 000 euros. Finalement, «le gouvernement ne modifiera pas le plafond de l’avance immédiate qui demeurera à 6 000 euros», a indiqué Bercy dans un communiqué publié en décembre. Cette continuité représente un vrai soulagement pour près d’un million de ménages qui perçoit chaque mois depuis 2022 le crédit d’impôt services à la personne (soutien scolaire, aide à domicile, entretien de la maison, etc.).
La génération no bulshit, sans conservateur, sans gluten et sans sucres ajoutés est-elle prête à entendre les propositions de valeur des entreprises qui souhaitent les recruter ? Faire le buzz des ventes grâce au marketing du « sans » est une tendance qui se généralise depuis quelques années dans l’agroalimentaire. Est-ce une bonne idée d’appliquer ce concept pour attirer des candidats ? Que diriez-vous d’une entreprise « sans manager toxique », « sans incompétent » et « sans stress à outrance » ? Contrairement aux idées reçues, cette quête n’est pas le privilège des Millennials, ces collaborateurs nés entre 1981 et 1995. Retrouvez dans cet article les risques d’un management toxique et comment ne pas tomber dans ce piège infernal. Par Céline Cherqui – Fondatrice de OneWay C’est quoi au juste un manager toxique ?  C’est un manager qui fait des commentaires méprisants aux membres de son équipe, qui leur fait subir des humiliations publiques. Ce type de manager aurait tendance à avoir une attitude à diviser pour mieux régner pour détruire la cohésion du groupecréer des clans et perdre la motivation des membres l’équipeIl a besoin de tout contrôler, aura toujours le dernier mot, pourra s’attribuer le mérite du travail bien fait d’autrui et, de manière récurrente, mettra une grosse pression à ses collaborateurs.
Céline Cherqui – Fondatrice de OneWay
Il ne leur accordera que peu de crédit, les considérant comme de simples exécutants et la communication descendante qui en découlera, génèrera un ton condescendant, voire infantilisant. Il aura tendance à imposer son autorité en prenant par exemple des décisions seul, sans concertation ni concession. Il n’autorisera ni autonomie, ni prise de décision. Le collaborateur devra donc adopter une posture de suiveur et ne pas faire preuve d’initiative. Une posture aussi rigide et silotée rime souvent avec une culture du présentiel et une grande défiance vis-à-vis du télétravail. De telles pratiques, ont des effets néfastes sur le sens donné au travail et peut prendre la forme d’un désengagement progressif et d’un manque d’énergie. Ce phénomène est désigné par une expression anglaise le « brown-out » repris du lexique de l’électricité qui signifie baisse de tension. On dit souvent que l’on rejoint une entreprise, et que l’on quitte un manager. Ce type de méthode persuadera donc les collaborateurs les moins conciliants, et souvent les plus prometteurs, de partir. Comment être sûr de ne pas tomber dans ce piège ? A vous de veiller aux pratiques managériales de votre entreprise et proposer un système de management innovant et participatif où la performance du collaborateur est essentielle :
  • Offrez-leur une structure de management plus horizontale que pyramidale.
  • Faites des ateliers basés sur le principe du design thinking pour élargir les points de vue et trouver des solutions inédites.
  • Utilisez l’intelligence collective pour permettre à chacun d’échanger, de collaborer et de réaliser des tâches complexes grâce aux interactions et aux synergies.
  • Facilitez la diffusion des idées et le partage d’informations pour parvenir collectivement à résoudre vos problématiques de la meilleure façon possible.
  • Guidez, accompagnez, valorisez et protégez vos équipes.
  • Choisissez des managers capables d’assumer leurs responsabilités, notamment en cas de problèmes ou d’erreurs commises par leurs collaborateurs.
  • Réinventez les normes, les relations internes et les valeurs de votre entreprise.
  • Encouragez le travail collaboratif et la communication.
  • Instaurez un climat qui pousse vos collaborateurs à prendre des initiatives individuelles.
  • Faites émerger une conscience de groupe au sein de votre équipe.
Pour optimiser la transversalité des échanges et éviter les silos, les outils collaboratifs sont indispensables :
  • Facilitez le partage de documents, de bonnes pratiques, de veille stratégique, d’informations ou d’idées.
  • Permettez à vos collaborateurs d’accéder aux données à distance et en temps réel.
  • Rendez vos collaborateurs autonomes et efficaces, développez leurs compétences et leur performance.
Vous l’aurez compris : évoluer dans un environnement sain où les besoins et les remarques des collaborateurs sont pris en compte, et où la culture d’entreprise est tournée vers le feedback, la transparence, l’équité et la performance, dépend de la qualité du management et des méthodes employées, et se traduit par l’engagement des équipes et la performance globale de l’entreprise. 📞 Si cet article vous a donné des idées pour auditer vos pratiques managériales mais que tout reste encore un peu flou… Pas de panique, je vous accompagne pas à pas sur toutes les problématiques recrutement que vous pourrez rencontrer. Céline Cherqui – Directrice Recrutement – OneWay
Trait d’union entre les Balkans et les pays d’Europe centrale et orientale, la Hongrie constitue une porte d’entrée géographiquement stratégique pour les investissements étrangers en Europe et un pays bien intégré dans les chaînes d’approvisionnement de l’Europe occidentale, en particulier l’automobile, l’électronique et les machines. Néanmoins, l’environnement des affaires hongrois s’est régulièrement détérioré ces dernières années, en raison de l’ingérence accrue de l’État dans l’économie par le biais de changements politiques fréquents et arbitraires par exemple.  Cependant, les échanges commerciaux entre la France et la Hongrie sont sur une bonne dynamique depuis de nombreuses années : ils ont presque triplé en 18 ans, de 3,8 Mds € en 2003 à 10,02 Mds € en 2022. La France est le 11ème partenaire commercial de la Hongrie, en recul à nouveau d’un rang, avec 3,5% du montant d’échanges globaux en progression de 18,2% par rapport à 2021. La France demeure la septième destination des produits hongrois, avec une part de 4,2%. Elle perd en revanche trois rangs et devient seulement le 12éme fournisseur de la Hongrie, avec un part de 2,8%. La Hongrie est, en 2022, notre 26ème marché (0,8% de nos exportations) et notre 28ème fournisseur (0,9% de nos importations). A l’approche de sa présidence du Conseil de l’UE à partir de juillet 2024, la Hongrie compte néanmoins se positionner et faire valoir ses atouts pour diversifier davantage son économie et attirer un plus large panel d’investisseurs au niveau international.   Dans ce contexte, la réunion sera donc l’occasion : 
  • De faire un point sur l’avancée de vos projets actuels et à venir en Hongrie, et plus largement sur les perspectives économiques du pays ; 
  • D’échanger sur l’évolution des conditions d’exercice et du climat des affaires pour les entreprises françaises ;  
  • D’adresser vos questions et messages auprès de l’Ambassadrice pour faire avancer vos projets et démarches en Hongrie.  
Pour tout complément d’informations, veuillez contacter Mathilde RAYMOND, chargée de projet Europe (mraymond@medef.fr).  Date limite d’inscription : 12 janvier 2024

CONTACTS

Tarif adhérent Gratuit Tarif non-adhérent 170,00 € HT (204 € TTC)

Acheter un bateau ! C’est un rêve d’enfant qui est aujourd’hui à la portée de nombreux dirigeants et cadres de PME et ETI. Alors pourquoi s’en priver ? Voici quelques conseils pour les amoureux de la mer qui voudraient franchir le pas.

Par Serge de Cluny

Acheter un bateau qui correspond à votre programme de navigation

On peut facilement craquer pour un bateau dans un port de plaisance ou sur un site de vente mais ce coup de coeur peut rapidement tourner au cauchemard si il n’est pas adapté au programme de navigation qui vous convient. Pour cela, il faut en priorité définir ce que vous voulez faire avec votre bateau; de la navigation côtière, de la petite croisière, de la course ou de la régate puis choisir de naviguer à la voile, au moteur ou au mixte voile-moteur.

Choisir le bassin de navigation

Après avoir opter pour le programme de navigation qui vous convient, le prochain choix concerne le bassin de navigation. Faut-il acheter un bateau transportable ou pas ? Car si celui-ci n’est pas transportable, où allez-vous l’amarrer ou le stocker ? De là dépendra finalement le type d’embarcation vers lequel vous orienter car celle-ci, à voile ou à moteur, ne sera pas la même si on navigue en Méditerranée, en Atlantique ou en Mer du Nord, à l’exception des bateaux destinées à la croisière.

Faites appel à un expert

Pour un bateau d’occasion, l’intervention d’un expert est indispensable surtout si l’acheteur est novice dans le domaine nautique. Les mauvaises surprises et les frais masqués peuvent être énormes en proportion de la valeur du bateau sans compter que les formalités administratives relatives à la vente peuvent s’avérer complexes (vérifier l’acte de francisation, s’assurer de l’absence de saisie conservatoire ou d’hypothèque…). Pour acheter un bateau neuf, il est aussi conseiller de se faire accompagner par un spécialiste pour établir ensemble un cahier des charges et définir les équipements indispensables au bateau.

Etudier les solutions de leasing

Les avantages du leasing pour le financement du bateau sont essentiellement fiscaux : la TVA est en effet fixée à 10% au lieu de 20% car l’administration estime, curieusement, qu’une embarcation en location passe une partie de son temps en dehors des eaux communautaires. De plus, pour l’imposition, le bateau étant la propriété de la société de leasing, il n’est donc pas comptabilisé dans le calcul de l’impôt…

Les couts masqués

Le prix affiché d’un bateau n’est jamais considéré comme « prêt à naviguer ». L’acheteur devra prévoir le coût relatif à l’armement de sécurité, pour un voilier il faudra rajouter celui relatif à la livraison et au mâtage car les bateaux sont livrés avec un jeu de voiles généralement suffisant mais pas complet. 

En matière de sécurité, le plaisancier devra opter pour un des 3 niveaux de packs disponibles, selon son programme et l’homologation de son bateau : moins de 2 milles des côtes, moins de 6 milles des côtes ou hauturier. Si le bateau est financé en LOA (leasing), il devra obligatoirement être armé en hauturier.

La place de port 

A moins de choisir un transportable, ce qui solutionnera une bonne partie de cette problématique, il faut savoir que la place de port reste un défi majeur sur lequel les acquéreurs de bateaux devront se pencher en amont de l’achat, notamment avec l’expert qui les accompagne lors de l’acquisition. Il est possible de s’enregistrer dans plusieurs ports pour bénéficier de la première place libre, d’opter pour des marinas étrangères (Espagne, Tunisie…) ou encore de choisir l’amarrage à un corps mort.

Le permis

Même s’il n’est pas obligatoire lorsqu’on possède un voilier non équipé de VHF (équipement qui permet de communiquer avec les navires, les ports et les stations côtières), le permis est fortement recommandé pour bien maîtriser sa navigation. Pour les voiliers dotés d’un VHF, le skipper devra être titulaire soit du permis plaisance option côtière (pour les eaux françaises), soit du CRR (certificat restreint de radiotéléphoniste) l’autorisant à naviguer à l’étranger. Pour tout bateau à moteur dont la puissance est supérieure à 6cv, le permis est obligatoire.

Bien budgétiser

Il faut savoir qu’un bateau coûte, en entretien par an, environ 10% de son prix d’achat. Il faudra également prendre en compte les frais d’assurance, par des contrats « aux tiers » qui prennent en charge les dégâts causés par votre bateau aux autres embarcations ou des contrats « multirisques » qui couvrent les dommages, les vols et même parfois le rapatriement et les frais médicaux. De plus, il faut faire assurer le gréement de son voilier, ce qui n’est pas toujours clairement précisé.

Pour cette nouvelle année, MEDEF International organise l’édition 2024 des Vœux Europe-Eurasie, le mercredi 10 janvier 2024 à partir de 19h00. L’évènement va rassembler les acteurs impliqués dans ces relations tels que les présidents de conseil de la région, les ambassadeurs du continent basés à Paris, les institutions publiques françaises ainsi que les partenaires et représentants d’entreprises françaises membres de MEDEF International.  Autour d’un cocktail, ces vœux sont une opportunité exceptionnelle d’échanges ainsi que l’occasion de :
  • faire le bilan des activités « Europe » et « Eurasie » réalisées en 2023 ;
  • présenter nos projets, objectifs et actions à venir sur le continent européen pour l’année 2024.
Seront présents lors de ces Vœux Europe-Eurasie :
  • Mme Marie-Ange DEBON, présidente du conseil d’entreprises France – Europe du Nord de MEDEF International ; présidente du Directoire de KEOLIS
  • M. Stéphane ESPINASSE, président des conseils d’entreprises France – Hongrie, France – République Tchèque et France – Slovaquie de MEDEF International ; président d’IVECO France et responsable IVECO BUS Monde
  • M. Claude IMAUVEN, président du conseil d’entreprises France – Mongolie et du conseil d’entreprises France – Ouzbékistan de MEDEF International ; président du conseil d’administration d’ORANO
  • M. Jean LEMIERRE, président du conseil d’entreprises France – Turquie de MEDEF International ; président du Conseil d’Administration de BNP PARIBAS
  • M. Christophe PETIT, président du conseil d’entreprises France – Balkans et du conseil d’entreprises France – Turkménistan de MEDEF International ; directeur général adjoint de BOUYGUES BATIMENT INTERNATIONAL
  • M. Guy SIDOS, président de la partie française du conseil des affaires franco-kazahstanais ; PDG de VICAT
Il serait souhaitable bien vouloir confirmer votre participation avant la date limite d’inscription fixée au lundi 8 janvier 2024.
Lieu : Siège du Medef, 55 avenue Bosquet 75007 Paris

S’INSCRIRE

CONTACTS
Blandine REMOND
Chargée logistique & événementiel +33 1 53 59 16 28 bremond@medef.fr
Julien BECCAFICHI
Chargé de projet Eurasie +33 6 10 83 30 68 jbeccafichi@medef.fr
Mathilde RAYMOND
Chargée de projet Europe +33 1 53 59 16 45 mraymond@medef.fr Conditions Générales de Participation
88% des 18-34 ans veulent un accompagnement du management  en matière de santé mentale. Ils ont également  besoin  d’être  stimulés et impliqués dans le projet de l’entreprise. D’un autre côté, l’expertise et les idées d’amélioration des collaborateurs représentent  un potentiel de développement et de création de  valeur pour l’entreprise. Le recueil de la Voix des collaborateurs n’est donc plus une option mais bien un levier stratégique en termes de marque employeur et de performance. Par Aude Guei – Consultante facilitatrice en transformation des organisations AG Conseil POURQUOI LE RECUEIL DE LA VOIX DES COLLABORATEURS EST PRIMORDIAL ? ▶ Ne pas recueillir la Voix des collaborateurs, c’est se priver d’une partie de leur potentiel au détriment de la réussite de l’entreprise et de l’engagement des collaborateurs. Les salariés sont le cœur de l’entreprise.  De part leur expertise,  connaissance  des clients et historique des différents projets ; les idées d’amélioration et points d’attention des collaborateurs constituent une source de développement. ▶ Recueillir la Voix des collaborateurs permet  également de lutter contre « l’angle mort du management ». Cet angle mort représente l’ensemble des risques potentiels et axes d’amélioration qu’une entreprise ne peut percevoir sans l’aide de ses collaborateurs et d’une personne tierce. En raison de sa fonction, ses enjeux, son point de vue et ses filtres, un dirigeant n’est pas en mesure d’appréhender toutes les problématiques et axes de progrès de son entreprise. Pour avoir une vision 360 de son organisation, il est donc nécessaire de s’appuyer sur les collaborateurs en proposant par exemple des sondages sur les axes d’amélioration internes et les conditions de travail afin de  prévenir les RPS et être plus performant. Cela permettra également à toutes les personnalités de s’exprimer en sachant que les personnes introverties ont souvent des idées brillantes qu’elles n’osent pas toujours exprimer. ▶Enfin, une écoute plus approfondie des besoins et remarques des équipes est un moyen de leur offrir une meilleure expérience collaborateur et de les fidéliser. Avec la hausse des démissions (+24% entre 2019 et 2023 selon la DARES) et les difficultés de recrutement, une entreprise doit avoir une prise de recul sur son organisation pour rester performant et éviter de générer de la démotivation et des départs sans en comprendre la cause. En effet, peu d’entreprises proposent un dispositif permettant de recueillir régulièrement les avis des salariés et d’encourager les initiatives. Conséquences : – De nombreux collaborateurs n’osent pas remonter leurs difficultés, frustrations ou idées d’amélioration en raison d’une absence d’outils et de cadre leur permettant de le faire librement et sereinement.Départ inattendu de talents car même si elle fait preuve de bonne volonté, une organisation ou un manager peut favoriser inconsciemment  le mal-être et le désengagement de ses équipes.
Aude Guei – Fondatrice d’AG Conseil
▶En psychologie, il est dit que « Ce que l’on ne conscientise pas, ne peut être guéri« . Ce principe peut également s’appliquer aux entreprises car « tout ce que vous ne percevez pas ne peut être amélioré et suivi ». En somme, en ne recueillant pas régulièrement  la Voix des collaborateurs, votre organisation peut générer de la démotivation, de l’absentéisme, du turnover, des RPS et une baisse de performance sans que vous puissiez identifier les causes profondes et les prévenir. COMMENT LE RECUEIL DE LA VOIX DES COLLABORATEURS PEUT DEVENIR UNE FORCE POUR L’ENTREPRISE ? Pour que le recueil de la Voix des collaborateurs devienne un atout en termes de marque employeur, il est important que cette démarche soit pérenne et favorise la reconnaissance des salariés. Au préalable, 3 éléments devront être déterminés :
  • Le type d’informations récoltées: Idées d’amélioration, degré de satisfaction, expérience collaborateur, charge de travail, moyens/ressources, ambiance de travail, besoins, QVT…
  • Le mode de recueil: Questionnaire, entretiens, application, étude des sites d’évaluation expérience collaborateur (Glassdoor), recours à un cabinet externe, challenge des meilleures idées…
  • La fréquence de recueil:  Trimestriel, semestriel,  annuel…
Une fois ces éléments définis et la démarche lancée, il sera également primordial de communiquer sur les résultats des enquêtes  ainsi que sur  les plans d’actions associés. Cela permettra de renforcer le sentiment d’utilité des collaborateurs et de les encourager à participer davantage au développement de l’entreprise. Toutefois pour insuffler et mettre en place plus facilement cette nouvelle dynamique de co-création, il est conseillé de faire appel à une personne tierce/ facilitateur externe. Son regard extérieur sera une opportunité pour l’entreprise d’identifier les freins de performance et d’engagement et d’aider les collaborateurs à s’exprimer plus librement. ▶En conclusion, mettre en place une stratégie pérenne de recueil de la Voix des collaborateurs est un moyen de bénéficier pleinement de leur expertise et de mieux comprendre leurs besoins.  Elle peut représenter un élément attractif de votre marque employeur et apporter de nombreux bénéfices en termes d’amélioration continue, de fidélisation et de RPS.
La crise du logement en France et plus particulièrement dans la zone tendue du Grand Paris n’est plus un secret et les entreprises ont décidé de prendre position. Conscientes que l’aide au logement des salariés représente un levier puissant pour attirer et fidéliser leurs collaborateurs, nombre d’entre elles se mobilisent pour résoudre ce défi croissant. Le Projet de Loi Finance 2024 prévoit des mesures telles que le recentrage du Prêt à Taux Zéro, le financement des rénovations, ou encore la fin de la loi Pinel… mais rien sur le rôle essentiel des entreprises pour répondre à cette crise. C’est pourquoi, Paris-Île de France Capitale Économique (PCE), le think & do tank qui porte la voix des entreprises de dimension internationale et des territoires sur les enjeux d’attractivité du Grand Paris, propose de changer de perspective sur la crise du logement en se penchant sur l’engagement des entreprises au sein d’un groupe de travail présidé par Xavier Lépine (Président de PCE) et Laurent Permasse, Président du directoire de SOFIAP, filiale de La Banque Postale et de la SNCF qui propose un dispositif innovant pour l’accession à la propriété des salariés (le prêt immobilier subventionné par les entreprises). Son objectif est de faciliter la mise en place de dispositifs efficaces, rapides à mettre en œuvre et qui renforcent l’attractivité des entreprises. Se loger ou ne pas se loger, telle est la question Lors de la première séance du groupe de travail, qui s’est tenue en octobre, Xavier Lépine a posé le diagnostic : « Le CNR logement a principalement porté sur l’offre : comment bâtir plus ? Quand il y a un problème de demande, on a toujours répondu par la subvention qui contribue à alimenter l’inflation. On arrive désormais dans une crise profonde et structurelle, avec une crise de l’offre chronique et renforcée par une crise de la demande. En France, on est passé de 25% de propriétaires en 1945 à 50% en 1980 ; depuis, le nombre de propriétaires a augmenté de 8%. Avec 58% de propriétaires en France, on est en-dessous de la moyenne européenne. On est passé progressivement d’un logement facteur d’insertion sociale à un logement facteur d’inégalités sociales. L’accès à la propriété ne doit plus reposer sur l’économie de l’endettement. Il faut casser les codes : ce n’est plus à l’État ni aux banques de régler le problème ; les entreprises ont aussi un rôle à jouer. » La relation entreprise-logement s’est longtemps résumée à l’enjeu de réduction du temps de trajet domicile-travail, avec toutefois une originalité notoire dans le Grand Paris : l’inconvénient d’un temps de trajet plus long en moyenne a longtemps été compensé par l’avantage des opportunités offertes par la richesse exceptionnelle de ce bassin d’emplois. De plus, l’inauguration des nouvelles lignes du Grand Paris Express, ce projet d’infrastructure majeur, ouvre désormais des perspectives d’amélioration considérables. Aujourd’hui, cet enjeu se trouve dépassé par un autre, bien plus alarmant : face à la chute du pouvoir d’achat immobilier (- 20% en Île-de-France, sans baisse des prix de vente significative pouvant servir de compensation) et à la tension sur le marché locatif, les salariés, notamment en zone tendue du Grand Paris, ne peinent pas seulement à se loger à un temps de trajet raisonnable de leur lieu de travail : ils peinent à se loger tout court. Ce constat accablant se double de la difficulté croissante des entreprises à recruter et à fidéliser leurs employés, accentuant l’urgence de l’action. 58% des employeurs déclarent rencontrer des difficultés à attirer les salariés. L’enquête par questionnaire menée par Paris-Île de France Capitale Économique auprès de 41 entreprises, dont 14 grandes entreprises/ETI (plus de 250 salariés), révèle que :
  • 58% des employeurs rencontrent des obstacles pour attirer de nouveaux talents
  • 37% des employeurs ont reçu des demandes de leurs employés en faveur de solutions de logement
  • Pour 53% des répondants, la direction de leur entreprise estime que la question du logement est soit importante (24 %) soit très importante (29%)
  • Selon 59% des employeurs, les problèmes de logement affectent la productivité de leurs salariés, et 56% estiment que ces difficultés compliquent le processus de recrutement
  • Malheureusement, une majorité écrasante d’employeurs (78%) ne propose actuellement aucune solution de logement, principalement en raison de contraintes budgétaires, du manque d’options adaptées, et du manque d’informations disponibles
Ces résultats témoignent de l’urgence d’agir. L’aide au logement émerge comme un levier incontournable d’attractivité et de fidélisation pour les employeurs. Pourtant, il est frappant de constater que peu d’entreprises s’emparent de la problématique de la crise du logement. Un large éventail d’avantages en matière de ressources humaines… dont le logement est le grand absent Alors que les entreprises proposent désormais des avantages tels que les tickets restaurants, les véhicules de fonction, ou les chèques Cesu, le logement demeure souvent absent de ces offres, même si c’est fréquemment la principale préoccupation des salariés. La raison de cette absence tient souvent à un manque de connaissance des solutions à leur disposition, à des difficultés à les mettre en œuvre ou à la nécessité d’innover en proposant de nouveaux dispositifs sur mesure pour répondre à leurs besoins spécifiques. Laurent Permasse rapporte que « les entreprises souhaitent se réapproprier des politiques logement comme un nouvel avantage en complément des dispositifs plus classiques. Elles veulent un dispositif dans lequel l’entreprise est au cœur et elle a une responsabilité. Laissons l’entreprise choisir les avantages qu’elle met en place et finance pour ses salariés. » Frank Ribuot, Président de Randstad France et membre du groupe de travail, met ainsi en avant la nécessité d’adapter ces avantages en fonction des besoins réels des salariés et des spécificités géographiques. Il souligne que « la clé réside dans la possibilité d’offrir des options de substitution aux avantages « traditionnels » qui puissent s’adapter aux situations particulières : par exemple, de nombreux commerciaux dans la région du Grand Paris souhaitent remplacer la voiture de fonction par d’autres avantages, notamment des solutions de logement. » L’enquête menée par PCE montre que les entreprises sont motivées à aller au-delà des dispositifs déjà existants, tels qu’Action-Logement, qui constitue déjà une contribution essentielle et significative des entreprises au logement. Lancement d’un groupe de travail pour évaluer les dispositifs existants et développer de nouvelles approches Pour remédier à cette situation, Paris-Île de France Capitale Économique (PCE) a lancé un groupe de travail. Son objectif est double : d’abord, démontrer que l’implication des employeurs dans le logement de leurs salariés permet de traiter concomitamment deux problèmes majeurs – le logement des employés et l’attractivité de l’entreprise. Ensuite, son objectif est de faciliter l’engagement des employeurs en faveur du logement des salariés en identifiant de nouvelles solutions. Le groupe de travail mobilise des entreprises, des Établissements Publics Territoriaux, des associations et des experts autour de la crise du logement. Le groupe de travail se concentre sur la création de solutions volontaires, directes et complémentaires à celles d’Action-Logement, permettant aux entreprises de réaffirmer leur engagement en matière de logement. Différentes approches, telles que le logement de fonction et le prêt subventionné, ont été étudiées, et de nouvelles solutions sont en cours de développement pour remédier au mieux à la crise du logement pour les salariés..   À propos de SOFIAP – www.sofiap.fr Nous pensons que devenir propriétaire est un élément d’inclusion, de société et de préparation à la retraite. SOFIAP répond au «S» de RSE autour de l’engagement social et sociétal des employeurs et permet une innovation autour de la propriété immobilière et plus largement du financement. Nous concevons des prêts subventionnés (crédit immobilier, crédit consommation…) par les entreprises pour permettre aux salariés de financer leurs projets. Créée par la SNCF pour aider les cheminots à accéder à la propriété, nous sommes le fruit d’une histoire de plus de 100 ans. Aujourd’hui filiale de la Banque Postale et de la SNCF, nous sommes la réponse actuelle aux besoins des entreprises de recruter et de fidéliser en permettant aux collaborateurs de vivre plus confortablement, plus responsable, et de se créer un patrimoine.
Aujourd’hui, il est difficile de juguler l’inflation sans tuer la croissance. Face à cette surchauffe, le thermostat a été réglé. Les prix grimpent et la hausse des taux génère un coût des investissements plus élevé, il faut donc trouver des sources d’amélioration et repenser les modèles existants. . Par Gérald Le Teurs – Directeur Associé Cosma Experts Premier écueil, le temps. Un client allemand me disait récemment, « nous sommes organisés et bien structurés mais on ne sait pas mettre 36 heures en 24 ». Depuis plusieurs mois, les organisations ont été fortement sollicitées et il devient de plus en plus compliqué de les optimiser. Le directeur Achat d’un grand groupe me confiait, « on a beau resserrer les filets, il y a encore des baleines qui passent ». Il est donc primordial d’engager des actions concrètes, mais comme l’indique l’article d’Aude Guei, consultante en organisation, il faut prendre en considération les « tâches énergivores », De plus, il est nécessaire de trouver de nouvelles solutions et tenir compte du contexte économique. La réussite passe aujourd’hui par deux leviers indispensables. Le premier, changer son angle d’approche en intégrant une tendance observée : vos collaborateurs ont besoin de solutions « porteuses de sens ». Nous notons un changement de regard sur la façon d’aborder les dossiers. Citons ces quelques exemples dans le domaine des achats indirects. En ce qui concerne le suivi des flottes de véhicules, nous sommes passés de de la car-policy à l’utility-policy, qui permet d’apporter des outils concrets et sur-mesure face à un marché connaissant une révolution culturelle, sur fonds de RSE. Dans le domaine des produits MRO (Maintenance Repair Operation), on note une certaine inflexion dans les achats de ces produits. La recherche du true-sourcing prend le pas sur des modes d’approvisionnement où naguère on considérait que le volume engagé ne nécessitait pas de revoir sa source d’approvisionnement vis-à-vis d’un distributeur par exemple. Cela se traduit également dans le mode de négociation : on préfère un « bon prix » immédiat au lieu d’une hypothétique remise de fin d’année. Sur une famille de produits comme les fournitures administratives, on voit que le pourcentage de produits « private label » croit de façon significative depuis la fin du confinement. Le second levier consiste à ne pas se tromper d’enjeu. Chez Cosma Experts, nous appelons cela la vision-tunnel. Trop souvent, nous observons que le levier d’amélioration n’est pas le bon. Par manque de temps, on se concentre sur « ce qui paraît évident » en d’autres termes, ce que l’on pense faire n’est pas forcément ce qu’il est nécessaire de faire, et le levier choisi n’est pas assez efficace. Prenons ce cas récent où, après l’évocation du problème évoqué par notre client, nous nous sommes rendu compte que le vrai problème à résoudre n’était pas son prix de transport mais la résolution des nombreuses ruptures de charge dans son flux logistique. Tenez en compte lors de vos prochains projets.  
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