Il suffit d’un pas dans les rues paisibles de Copenhague pour comprendre pourquoi la capitale danoise est régulièrement sacrée ville la plus agréable au monde. Ce n’est pas simplement une affaire d’urbanisme soigné, de pistes cyclables exemplaires ou de cafés où l’on pourrait s’attarder des heures. Copenhague incarne aujourd’hui une certaine vision de l’équilibre, un art de vivre où la qualité prime sur la quantité, où la modernité rime avec conscience, et où le travail s’insère naturellement dans un quotidien épanoui. Un véritable terrain de jeu pour les travailleurs nomades à la recherche d’un mode de vie aligné avec leurs valeurs.
Par Laetitia Conti
Dans cette ville à taille humaine, tout semble pensé pour faciliter la vie. Les transports sont fluides, les infrastructures impeccables, l’architecture mêle tradition scandinave et audace contemporaine, et les Danois, souvent discrets, affichent une bienveillance apaisante. Mais ce qui fait le charme si particulier de Copenhague, c’est cette atmosphère unique, légère, presque cool, qui flotte dans l’air. Une ambiance qui, sans en avoir l’air, dit tout : ici, on peut ralentir sans renoncer. Travailler sérieusement sans s’oublier. Produire sans s’épuiser.
Copenhague n’est pas une ville trépidante au rythme effréné. C’est une ville qui respire. Et c’est précisément ce que recherchent de plus en plus de travailleurs nomades. Dans un monde post-pandémie où les frontières entre vie professionnelle et personnelle se redessinent, la capitale danoise offre un terrain d’expérimentation rare : celui d’un quotidien fluide, serein, presque évident. Les cafés accueillants, souvent dotés de Wi-Fi haut débit, deviennent des lieux de coworking improvisés. Les bibliothèques et espaces publics proposent des environnements propices à la concentration, tandis que les véritables coworkings rivalisent de design et de confort.
Mais au-delà des infrastructures, c’est l’état d’esprit de la ville qui séduit. À Copenhague, le hygge, cet art danois du bien-être, n’est pas un concept marketing, c’est une manière de vivre. On retrouve cette philosophie dans chaque détail : une lumière tamisée en hiver, une pause-café en terrasse aux beaux jours, une balade à vélo au bord de l’eau après une réunion Zoom. Tout invite à une forme de lenteur constructive, à un respect du temps long, à une redéfinition des priorités. Dans ce cadre, travailler prend un autre sens. Moins stressant, plus aligné, souvent plus productif.
Pour les travailleurs nomades, souvent en quête de stabilité mobile, Copenhague offre un équilibre rare entre modernité numérique et douceur de vivre. La ville est parfaitement connectée, dispose d’un excellent réseau de transports et d’une sécurité quasi instinctive. On s’y installe facilement, que ce soit pour quelques semaines ou plusieurs mois, et on y trouve rapidement ses repères. Les échanges se font naturellement en anglais, les formalités administratives sont fluides, et l’accueil, bien que discret, reste chaleureux.
Copenhague attire aussi par son engagement écologique profond. Ici, plus qu’ailleurs, la transition verte est une réalité tangible. La ville mise sur une neutralité carbone d’ici 2025, un objectif ambitieux porté par une véritable volonté politique et citoyenne. Pour les nomades digitaux soucieux de leur empreinte, s’installer à Copenhague, c’est aussi faire le choix d’un environnement cohérent avec leurs valeurs. Se déplacer à vélo, consommer local, vivre dans un logement économe en énergie : tout cela va de soi. On travaille mieux, aussi, quand on se sent aligné avec ce qui nous entoure.
Le centre-ville de Copenhague : shopping, dégustation et promenades
Et puis il y a l’inspiration. Copenhague est une ville créative, qui mêle design et durabilité, innovation et tradition. Chaque quartier a son âme, son atmosphère, son rythme. Vesterbro, bohème et vivant ; Nørrebro, multiculturel et dynamique ; Christianshavn, calme et poétique avec ses maisons flottantes. Le tout dans une proximité constante avec la nature. La mer, omniprésente, les espaces verts, les canaux : la ville semble épouser les besoins du corps autant que ceux de l’esprit.
En somme, Copenhague n’est pas seulement une ville agréable : c’est un modèle. Celui d’une société où le travail n’est pas une contrainte, mais un élément d’un tout équilibré. Pour les travailleurs nomades, elle offre plus qu’un cadre fonctionnel : elle propose une vision du futur du travail, où l’efficacité se conjugue à l’épanouissement, où la liberté rime avec responsabilité.
C’est peut-être cela, au fond, qui fait de Copenhague la ville la plus agréable au monde. Non pas un palmarès figé, mais une invitation : à repenser nos vies, nos rythmes, nos choix. Et à redécouvrir que l’essentiel, parfois, tient dans une tasse de café, un lever de soleil sur les toits rouges, et une réunion bien menée… à vélo.
Les marchés africains représentent des relais de croissance essentiels pour les PME et ETI françaises. Mais l’accès à ces marchés s’accompagne d’un facteur critique souvent mal anticipé : le risque de change en Afrique. Trop souvent sous-estimé, le risque de change constitue l’un des premiers facteurs d’érosion de la marge pour les entreprises françaises opérant en Afrique.
Par Jérémie Taïeb – Dirigeant de Tikva Partners, cabinet de conseil en stratégie sur l’Afrique
Qu’entend-on par risque de change ?
Il s’agit du risque que la variation des taux de change entre l’euro et les monnaies locales affecte négativement la rentabilité d’une opération commerciale ou d’un investissement.
Dans un environnement où la volatilité des devises africaines peut dépasser 20 à 30 % par an, l’absence de stratégie de couverture peut entraîner une érosion significative de la rentabilité. Pire : elle peut transformer un contrat bénéficiaire en perte sèche.
Trois exemples concrets :
1. Une PME industrielle exporte du matériel en Angola
Facturation en dollars pour contourner la volatilité du kwanza (AOA). Mais entre la commande et le paiement, le dollar se déprécie de 8 % face à l’euro : la marge nette s’effondre.
2. Une ETI signe un contrat de maintenance en Zambie, payé en kwacha (ZMW).
Le contrat est signé à 1 EUR = 25 ZMW. Trois mois plus tard, le kwacha chute à 1 EUR = 30 ZMW. Résultat : une perte de 16,7 % sur les flux encaissés localement.
3. Une entreprise agroalimentaire investit au Nigeria.
Les profits sont réalisés en nairas (NGN), mais rapatriés en euros. Le gouvernement introduit des restrictions sur l’accès aux devises. Résultat : impossibilité de convertir les profits et blocage des dividendes.
Comprendre les différentes formes de risque de change
• Risque de transaction : lié à l’achat ou à la vente de biens/services en devises étrangères.
• Risque de conversion : lors du rapatriement de bénéfices réalisés localement.
• Risque économique : impact des variations de change sur la compétitivité prix à moyen/long terme.
• Risque de liquidité en devises : difficulté à convertir la monnaie locale en devises fortes (EUR, USD), même si le taux de change est favorable.
Trois cas concrets et chiffrés
Cas 1 – Exportation en Angola (monnaie : Kwanza – AOA)
• Une PME facture 500 000 USD à un client local en août 2024.
• À la signature, 1 EUR = 1,10 USD. En décembre, 1 EUR = 1,20 USD.
• Impact : le paiement reçu équivaut désormais à 416 667 EUR au lieu de 454 545 EUR, soit une perte latente de 37 878 EUR (8,3 % de la transaction).
• Origine de la perte : absence de couverture du taux EUR/USD.
Cas 2 – Prestations en Zambie (Kwacha – ZMW)
• Une ETI facture 1 000 000 ZMW pour une prestation en mars 2024 (1 EUR = 25 ZMW).
• Paiement en juin, à 1 EUR = 30 ZMW.
• En euros, l’encaissement passe de 40 000 EUR à 33 333 EUR.
• Perte effective de 6 667 EUR, soit -16,7 % sur le chiffre d’affaires prévu.
Cas 3 – Rapatriement des dividendes au Nigeria (Naira – NGN)
• Une filiale locale dégage 100 M NGN de résultat net
• À 1 EUR = 1000 NGN, cela représente théoriquement 100 000 EUR.
• Mais la banque centrale restreint l’accès aux devises pour les non-résidents : seuls 20 M NGN peuvent être convertis immédiatement.
• Reste 80 M NGN immobilisés, exposés à un dévaluation continue : si le taux passe à 1 EUR = 1400 NGN, leur valeur tombe à 57 143 EUR.
Zones monétaires : risques différenciés
• Zone franc CFA (UEMOA / CEMAC) : parité fixe avec l’euro, convertibilité garantie par le Trésor français. Moindre risque de change, sauf en cas de réformes monétaires ou tensions politiques.
• Pays à régimes de change flottant ou administré : Nigeria, Angola, Ghana, Zambie, Égypte. Forte volatilité, contrôle des changes fréquent.
• Marchés dollarisés (RDC, Zimbabwe) : instabilité chronique des politiques monétaires locales, même en dollar.
Outils de gestion du risque de change
• La facturation en EUR ou USD limite l’exposition directe mais transfère le risque au client ce qui peut être un frein commercial.
• Les contrats avec clause d’indexation c’est à dire l’ajustement automatique du prix en fonction de l’évolution d’un taux de change de référence.
• La couverture via instruments financiers :
• Contrats à terme (forwards) : verrouillent un taux de change à une date future.
• Options de change : assurent un niveau de protection tout en laissant une marge de flexibilité.
• Swaps de devises : pour les entreprises ayant des besoins croisés en devises (rares chez les PME).
Attention : ces outils sont souvent inaccessibles sur les devises illiquides africaines. D’où l’intérêt de structurer les flux dans des devises convertibles (USD, EUR) et de s’appuyer sur des banques partenaires disposant d’une capacité régionale.
Stratégie recommandée pour les PME et ETI
• Cartographier l’exposition au risque de change par zone, devise, durée, fréquence des flux.
• Structurer les contrats en fonction de la liquidité des devises et du degré de contrôle étatique.
• Mettre en place un processus de veille sur les politiques monétaires locales, en analysant les politiques de contrôle des changes de chaque pays : les règles peuvent changer du jour au lendemain (cas du Nigeria ou de l’Éthiopie).
• Recourir à des intermédiaires spécialisés ou à des bureaux de représentation sur place pour optimiser la gestion financière locale.
Nos recommandations :
• Éviter la facturation exclusive en devise locale, sauf si un mécanisme d’ajustement est prévu dans le contrat.
• Utiliser des outils de couverture (forwards, options) dès que les montants le justifient.
• Préférer, quand cela est possible, les zones CFA (Franc CFA – UEMOA et CEMAC), rattachées à l’euro, pour réduire la volatilité.
Le développement ne peut s’envisager sans une stratégie robuste de gestion du risque de change en Afrique. Celle-ci ne se limite pas à un arbitrage entre EUR et USD : elle nécessite une compréhension fine des environnements monétaires locaux, de leur dynamique politique, et des pratiques bancaires locales. Une gestion active du risque de change est un marqueur de maturité financière. Et pour les PME et ETI, elle devient un levier de différenciation concurrentielle.
La station de ski de La Plagne offre aux PME et ETI un cadre hors-normes pour tous leurs évènements. Les équipements les plus complets répondront parfaitement aux besoins des séminaires, conférences et congrès. Pour la partie incentive et team building, La Plagne a les moyens de vous épater avec un panel d’activités qui va du bobsleigh aux attelages de chiens de traineaux en passant par la moto-neige et l’escalade sur glace. Rémy Goupil, Directeur Général de l’office du tourisme Grande Plagne, nous en parle….pour le plaisir des yeux !
La récente visite d’Emmanuel Macron au Maroc a marqué une étape importante dans les relations entre les deux pays, ouvrant de nouvelles perspectives pour les entreprises françaises. Ce déplacement, où le président était accompagné de nombreux chefs d’entreprise, témoigne d’un engagement commun pour renforcer la coopération économique. Cette visite est riche en opportunités pour les PME et ETI françaises, leur offrant des possibilités d’implantation et de développement sur le marché marocain, en s’appuyant sur des partenariats solides et de futurs projets communs.
Par Franck Boccara
Présence des entreprises françaises au Maroc : une collaboration de longue date
Depuis plusieurs décennies, les entreprises françaises sont implantées au Maroc, jouant un rôle majeur dans l’économie du pays. Environ 1 000 filiales d’entreprises françaises y sont présentes, avec des noms bien connus tels que Renault, Orange, TotalEnergies, et Danone, qui investissent dans des secteurs stratégiques comme l’industrie, les télécommunications, l’énergie et l’agroalimentaire. Ces grands groupes contribuent à la modernisation de l’économie marocaine et à la création d’emplois.
Pour les PME et ETI françaises, le Maroc est également un marché privilégié. La langue commune, la proximité géographique et les liens culturels facilitent leur développement, tandis que des zones franches et des avantages fiscaux, comme dans la zone de Tanger Med, favorisent l’implantation de nouvelles entreprises. La visite de Macron a permis de confirmer le soutien des deux gouvernements aux projets d’investissement, consolidant les partenariats déjà existants et offrant des perspectives pour les nouvelles entreprises françaises souhaitant pénétrer ce marché.
Une délégation d’entreprises françaises : des projets concrets pour le développement au Maroc
Parmi les entreprises qui se sont jointes à la visite d’Emmanuel Macron au Maroc, plusieurs PME et ETI, ainsi que des grands groupes, reflètent la diversité des secteurs d’intérêt pour les deux pays. Par exemple, EDF Renouvelables et Engie ont participé à cette visite avec un objectif commun de développer des projets dans les énergies renouvelables. Le Maroc est un pays pionnier en Afrique dans ce domaine, avec l’ambition d’atteindre 52 % d’énergies renouvelables d’ici 2030, et cette visite a été l’occasion de poser les bases de nouveaux partenariats franco-marocains dans les infrastructures énergétiques.
Les entreprises comme Vinci et Eiffage, leaders dans les infrastructures et la construction, étaient également présentes. Leur expertise dans les grands travaux et leur expérience au Maroc depuis plusieurs années les placent en position idéale pour répondre aux futurs appels d’offres pour des projets d’infrastructure, notamment dans les transports et le bâtiment. Le développement d’infrastructures telles que les routes, les ponts et les ports fait partie des priorités du gouvernement marocain pour soutenir la croissance économique. Par exemple, le projet de ligne de train à grande vitesse reliant Casablanca à Agadir pourrait être une opportunité pour ces entreprises françaises, qui ont déjà contribué au premier TGV africain entre Tanger et Casablanca.
Opportunités pour les PME et ETI françaises : secteurs clés et projets envisagés
Les PME et ETI françaises peuvent également bénéficier des perspectives ouvertes par cette visite, notamment dans des secteurs en forte croissance :
1. Les énergies renouvelables : Avec des entreprises comme EDF Renouvelables et Engie, les PME spécialisées dans les solutions de gestion de l’énergie, les panneaux photovoltaïques, et l’efficacité énergétique pourront tirer parti des projets d’infrastructures écologiques au Maroc. Un projet de développement de parcs éoliens dans la région de Laâyoune, dans le sud du Maroc, pourrait également impliquer des entreprises françaises, offrant des opportunités aux PME françaises dans les composants technologiques ou les services de maintenance.
2. Les nouvelles technologies et la transformation numérique : La demande en solutions numériques et cybersécurité est en pleine croissance au Maroc. Atos et Capgemini, présents dans la délégation, visent à renforcer leur présence en proposant des solutions de transformation numérique et de cybersécurité, notamment pour le secteur public marocain. Des PME françaises innovantes dans l’intelligence artificielle, les plateformes de gestion des données, ou encore la cybersécurité peuvent aussi trouver leur place sur ce marché dynamique. Le gouvernement marocain prévoit également de lancer un programme pour digitaliser plusieurs services administratifs, créant ainsi des appels d’offres pour des entreprises françaises de technologies de l’information.
3. L’agroalimentaire et la transformation alimentaire : Les entreprises françaises du secteur agroalimentaire, comme Danone et Bel, renforcent leur collaboration avec des partenaires marocains pour le développement de produits adaptés aux consommateurs locaux. Les PME spécialisées dans les équipements de transformation alimentaire et les technologies agricoles peuvent participer à ce mouvement, en introduisant par exemple des solutions de traitement durable des aliments ou d’irrigation intelligente. Un projet récent de modernisation des chaînes de production dans la région de Souss-Massa, une zone clé pour l’agriculture marocaine, est une opportunité pour les entreprises françaises d’apporter leur savoir-faire.
4. Les infrastructures et le transport durable : Avec des projets d’infrastructure en pleine expansion, notamment pour moderniser les systèmes de transport et les installations portuaires, le Maroc offre des perspectives solides aux entreprises françaises. Des projets tels que l’expansion du port de Tanger Med, un des plus importants en Afrique, nécessitent des investissements en infrastructures et en logistique, dans lesquels les entreprises françaises, comme Vinci et Eiffage, et même des PME de l’ingénierie ou de la maintenance, pourraient jouer un rôle majeur.
5. La santé et la biotechnologie : La pandémie a accéléré le besoin de moderniser les infrastructures de santé au Maroc, et des entreprises comme Sanofi étaient présentes dans la délégation pour envisager des collaborations. Des PME et ETI françaises innovantes dans le secteur de la santé, comme Medtech et Biomerieux, pourraient ainsi introduire des solutions en télémédecine, en diagnostic rapide ou en équipements médicaux. Le gouvernement marocain prévoit de renforcer le réseau hospitalier et les équipements de santé, notamment en partenariat avec des entreprises étrangères, ce qui pourrait mener à des contrats intéressants pour les entreprises françaises.
Perspectives pour les entreprises françaises : un climat d’affaires propice
Le Maroc est aujourd’hui l’un des pays les plus stables et attractifs pour les investisseurs étrangers en Afrique, avec une fiscalité avantageuse dans certaines zones et un soutien fort aux projets d’investissement. En s’appuyant sur les zones franches, comme celles de Tanger Med ou de Casablanca Finance City, les entreprises françaises peuvent facilement exporter leurs produits vers d’autres marchés africains.
Lors de cette visite, Emmanuel Macron a souligné l’importance de ces infrastructures pour favoriser le développement de nouvelles activités. Les entreprises françaises, en particulier les PME et ETI, pourraient bénéficier de nouvelles incitations pour s’installer au Maroc ou développer des partenariats avec des acteurs locaux. Des programmes d’incubation et des dispositifs de financement ont été discutés entre les deux gouvernements pour faciliter l’accès des entreprises françaises à des projets stratégiques.
La visite d’Emmanuel Macron au Maroc représente une étape importante pour les relations franco-marocaines. Elle ouvre des opportunités concrètes pour les entreprises françaises, notamment dans les secteurs des énergies renouvelables, des technologies numériques, des infrastructures, de la santé et de l’agroalimentaire. Les PME et ETI françaises bénéficient d’un climat favorable pour investir, en s’appuyant sur le soutien des deux gouvernements pour faciliter leur implantation et leur accès aux marchés marocains et africains.
Les perspectives de croissance sont particulièrement prometteuses, et cette visite pourrait bien marquer le début d’une nouvelle ère de coopération économique entre les deux pays. Pour les PME et ETI françaises, le Maroc constitue aujourd’hui une porte d’entrée privilégiée vers l’Afrique et un marché de choix pour des projets à fort potentiel de croissance. La CCI France Maroc peut vous y accompagner, renseignez-vous!
Team France Export et Business France vous propose de participer à l’évènement French Infrastructure Tour 2024 au Cameroun et au Gabon. Venez à la rencontre des acteurs majeurs du secteur des travaux publics et infrastructures (projets routiers, autoroutiers, ouvrages d’art, etc.) à l’occasion d’un événement business de 2 jours sur chaque pays. Cette mission a pour objectif de renforcer les relations commerciales et d’ouvrir de nouveaux marchés aux PME et ETI françaises en Afrique centrale. Ces rencontres stratégiques seront une occasion précieuse de se connecter davantage à une région en pleine croissance économique.L’Afrique Centrale constituée de 6 pays : le Cameroun, le Gabon, le Congo Brazzaville, la Guinée Equatoriale, la République Centrafricaine et le Tchad. Les six pays constituent la CEMAC (Communauté Economique et Monétaire des Etats de l’Afrique centrale). Le secteur des infrastructures est prioritaire sur les deux marchés et reçoit l’appui de plusieurs bailleurs de fonds internationaux.
Le Cameroun est un marché de 25,5 millions d’habitants et représente plus d’un 1/3 du PIB et 50% de la population de la zone CEMAC. Plus de 2 636 km de projets routiers et 2 374 ml (mètres linéaires) de projets d’ouvrages d’art importants sont en cours de réalisation sur la période 2020 -2030.
Parmi les projets majeurs en cours, on peut citer :
Corridors autoroutiers sous-régionaux de la zone CEMAC (dont la tronçon Yaoundé-Brazzaville financé à 382 M EUR par la BAD)
Ouvrages d’art (pont sur le Logone, pont sur le Ntem) et ponts métalliques,
Travaux de génie civil sur barrages hydroélectriques,
Projets d’extension des ports Douala et Kribi,
Programme de réhabilitation des aéroports,
Projet d’extension de la ligne ferroviaire vers le Tchad (financement BEI, UE et AFD à 249 M EUR)
Aménagement urbain et voies de contournement (dont le projet de mobilite Move financé par l’AFD à 64 M EUR)
Projet de BRT (Yaoundé, Douala) et de Tramway (Douala),
Péages automatiques (partenariat public privé Razel/Egis/Etat du Cameroun à 64 M EUR)
Infrastructures sportives (dont le projet SPORCAP financé par l’AFD à 10 M EUR), hôtelières et hospitalières,
Nouveaux sièges d’institutions (dont la Banque Centrale BEAC), nouvelles agences commerciales, projets résidentiels, etc.
Le Gabon représente un marché de 2,1 millions d’habitants et la 2ème économie d’Afrique Centrale en terme de PIB. Près de 76 M € d’investissement ont été mobilisés pour les projets routiers en 2023.
Parmi les projets en cours et à venir :
Le projet de rénovation de la TransGabonaise (780 km)
Le projet d’appui au secteur des infrastructures au Gabon (PASIG-1) suivi et financé par la BAD pour près de 140 M EUR
Réhabilitation des voiries urbaines
Projets portuaires : ports secs de Ndende et Nkok
Nouveau terminal de l’aéroport de Libreville et voie de contournement
Projets de nouvelles constructions : 400 logements sociaux, projets hospitaliers, privatisation des hôtels publics, etc.
Des besoins identifiés
💡Vous êtes une entreprise française proposant :
des équipements
du matériel de construction
et des services aux donneurs d’ordre des projets d’infrastructures : études, ingénierie, expertise, contrôle, audit
🎯Venez rencontrer des donneurs d’ordres ciblés lors du French Infrastructure Tour 2024 :
Au Cameroun : Ministère des Travaux Publics, Port Autonome de Douala, Mairies, Razel/Fayat, Vinci, Egis, grandes entreprises (industrie, retail), bailleurs de fonds (AFD, AFD, Banque Mondiale, Proparco, BEI, Banque Mondiale, etc.
Au Gabon : Ministère des Travaux Publics, SETRAG (société du chemin de fer Le TransGabonais), OPRAG (Offices des Ports et Rades du Gabon), grandes entreprises (industrie, retail etc.), bailleurs de fonds (AFD, Banque Mondiale, BEI, BAD) etc.
🏗️Sur des projets clairement identifiés :Au Cameroun :
Conception, études de faisabilité
Audit, contrôle technique et géotechnique, surveillance de travaux
Travaux de terrassement, construction de routes, ouvrages d’art
Aménagement de dessertes et VRD (Voirie et Réseaux Divers)
Equipements de manutention
Maintenance du réseau
Ingénierie et Innovation etc.
Au Gabon :
Conception, études d’avant-projet
Audit, contrôle technique et géotechnique, surveillance de travaux
Travaux de terrassement, construction de routes, ouvrages d’art
Equipements et matériel (Bourreuse, Draisine, etc.)
Expertise en maintenance d’équipements ferroviaires
Ingénierie et Innovation etc.
Pour toute information complémentaire sur French Infrastructure Tour 2024, veuillez contacter
Tout le monde sait que Lisbonne est belle mais, en plus de sa beauté, elle fait tout pour attirer le tourisme incentive. Classée par l’ICCA (International congress and convention association) parmis les villes hébergeant le plus de congrès internationaux, elle une offre une gamme de séjours incentive diverse et variée qui a séduit les organisateurs.
Par Franck BOCCARA
La cité du fado jouit d’un potentiel touristique énorme avec ses quartiers historiques tels que l’Alfama, le Barrio Alto, le Chiado et Belem qui regorgent de petites ruelles pittoresques avec leurs célèbres «azulejos» (carreaux de faïence) dans lesquelles les visiteurs aiment se perdre. Ou encore le fameux pont du 25 avril, inauguré en 1966, qui domine le Tage et dont la silhouette donne le ton moderne de la ville.
Le pont du 25 avril s’est d’ailleurs doté, en d’un centre d’interprétation appelé Expérience Pilar 7 logé dans l’un de ses piliers. On y accède par ascenseur en voyageant à travers la structure de l’ouvrage pour finalement atterrir sur une terrasse panoramique perchée à 80 m du sol qui révèle une vue splendide sur toute la ville.
Afin d’attirer toujours plus d’entreprises, Lisbonne propose des espaces d’exposition très divers. Des plus classiques comme le fameux Palais des Congrès qui s’est agrandi de 20 % en 2003, aux plus typiques comme la célèbre Tour de Belèm. La plupart de ces lieux historiques sont privatisables pour l’organisation d’événements d’entreprises.
Le choix du lieu est évidemment stratégique pour l’organisation d’un événement d’entreprise. Cependant de nombreux autres paramètres seront nécessaires à la réussite d’un séminaire, d’un congrès ou d’une soirée de présentation d’un nouveau produit pour les PME et ETI. Voici quelques clés qui permettront à l’événement de se démarquer.
Par Justine Delmas
Le choix du lieu
Celui-ci devra avoir du sens et bien souvent se placer en contradiction avec l’image et le cadre de travail de l’entreprise. Ce dépaysement va permettre de créer des émotions inhabituelles que les participants associeront de façon positive à la raison de leur venue et là c’est bingo pour l’entreprise organisatrice ! Le choix d’un lieu proche de la nature prend tout son sens pour des citadins alors qu’un cadre très urbain conviendra certainement à des collaborateurs de province.
Il faudra aussi être extrêmement attentif aux équipements que le lieu met à disposition car le succès d’un événement dépend bien sur de son contenu mais aussi de la qualité de l’organisation. Veillez à controler la qualité de l’accoustique, de la climatisation (ou du chauffage), des connexions internet, de l’éclairage pour éviter de mauvaises surprises le jour J. Il est prérable de choisir un lieu à la réputation solide pour éviter ce genre de désagréments.
Faire monter la pression
Ça s’appelle du teasing et ça consiste à faire monter la pression à l’approche de l’évènement d’entreprise de manière progressive et astucieuse par l’intermédiaire de mails plus ou moins énigmatiques, de quizz ou encore de jeux. Le but est de stimuler l’envie de participer et de créer l’attente chez les participants dont la venue n’est pas assurée comme les clients ou les prospects. Concernant les collaborateurs de l’entreprise dont la participation est obligatoire, ils seront plus enthousiastes et donc plus efficaces si l’évènement leur a été présenté avec suffisamment de conviction.
L’évènement en lui-même
On arrive au point culminant et là il faudra essayer de casser les codes en créant la surprise et en permettant aux participants de vivre une expérience unique. Cela pourra se faire en optant pour un lieu véritablement atypique dont le nombre augmente de façon exponentielle ces dernières années ou en invitant pourquoi pas une personnalité illustre ou décalée. Mais l’élément le plus déterminant sera sans aucun doute le choix d’un programme original :
Pour cela, il faudra faire preuve de créativité en imaginant des activités qui sortent du cadre professionnel strict comme par exemple le paint-ball, le parapente ou encore le pilotage automobile. Les moins sportifs opteront pour la dégustation de produits du terroir, pour les découvertes œnologiques ou encore pour l’initiation à la pêche. Les propriétaires de lieux et organisateurs d’événements sérieux sauront vous proposer ce genre d’extras qui sont complètement dans la tendance actuelle et beaucoup moins onéreux que les manifestations ostentatoires qui prévalaient il fut un temps dans les évènements professionnels.
En effet, rien ne remplace l’imagination pour créer un moment magique mais n’oublions pas que l’organisation d’un événement d’entreprise reste un métier et un savoir-faire, on ne manquera pas de faire intervenir directement quelques prestataires sur pme-eti.fr !
APAS SHOW est le plus grand salon distributeur d’alimentation et de boisson des Amériques. Rendez-vous majeur de la grande distribution du Brésil et d’Amérique Latine, organisé par l’association des super et hypermarchés de l’état de São Paulo. Le salon APAS 2024 réunira, comme d’habitude, les plus grandes entreprises et les plus important players du secteur. Business France convie à cet évènement les entreprises du secteur qui souhaiterient se lancer ou se développer dans la région, multiplier les contacts avec les professionnels locaux, faire la promotion de produits et savoir-faire auprès d’un public friand de nouvelles opportunités d’affaires et suivre l’actualité d’une région à fort potentiel.
Les produits alimentaires français bénéficient d’une réputation prestigieuse en Amérique latine, synonyme de qualité, d’authenticité et de savoir-faire artisanal. Les délices de la gastronomie française, tels que le fromage, le vin, le pain et la pâtisserie, ont conquis les palais des consommateurs de toute la région grâce à la recherche d’une touche d’élégance dans leur assiette.
L’édition 2023 :
37ème édition du salon
137 487 visites en 4 jours (+23%/2022)
73 011 visiteurs de 16 695 entreprises (+41%/2022)
850 exposants dont 200 internationaux
Le Pavillon France 2023 :
7ème édition
135 m² de Pavillon France
13 entreprises exposantes et 3 sponsors
2nd prix POPAI du meilleur Stand International (1er en 2022)
LE PAVILLON FRANCE D’APAS 2024
Exposer sur le Pavillon France d’APAS 2024, c’est rejoindre un groupement d’entreprises françaises réunies sous une bannière reconnue, permettant ainsi d’accroître votre visibilité. Profitez d’une offre de stand clé en main adaptée à votre besoin ainsi qu’un ensemble de services connexes :
LE MARCHÉ BRÉSILIEN
Géant démographique et économique, avec plus de 212 millions d’habitants et une superficie faisant 15 fois la France, le Brésil sera le 5ème marché mondial d’ici 2050, selon une étude récente PwC (PricewaterhouseCoopers, un réseau d’entreprises d’audit et de conseil).
Les voyageurs d’affaires se déplacent généralement avec des données sensibles concernant leur entreprise et ils représentent souvent, à ce titre, une cible de choix pour la cybercriminalité, notamment lors de situation de concurrence ou de guerre économique. Voyons quels sont les principaux dangers existant et les précautions à prendre.
Par Franck Boccara
Même si les PME et ETI intègrent de plus en plus la protection contre la cybercriminalité à leur politique de voyage, seulement le tiers de ces entreprises déclarent avoir adopté de réelles mesures de sécurité dans ce domaine. Ces chiffres demeurent assez inquiétants lorsqu’on sait que la cybercriminalité augmente en volume et en sophistication dans un contexte ou la concurrence se transforme facilement en guerre économique.
Le voyageur d’affaire, et à travers lui son entreprise, se trouve donc souvent en état de vulnérabilité face à une cybercriminalité qui visent principalement deux objectifs : la perturbation du système informatique et communicationnel de l’entreprise et le vol de données. Pour arriver à leurs fins, les cybercriminels disposent aujourd’hui d’opportunités grâce à des développement technologiques tels que le cloud, l’Internet des Objets, l’intelligence artificielle ou le développement de la 5G qui impliquent une explosion du nombre de données et du nombre d’appareils et de capteurs connectés.
En dehors de cas particuliers ou les attaques peuvent émaner d’institutions ou d’états disposant de moyens particulièrement sophistiqués, la cybercriminalité est généralement rendue possible par la négligence des voyageurs d’affaires et par un manque d’information. Elle peut donc être évitée par la mise en place de bonnes pratiques et d’habitudes comportementales simples comme par exemple :
Ne pas laisser un ordinateur allumé lors de votre absence (dans un train, dans une chambre d’hôtel…)
Connaître les endroits de connexion à risques (les aéroports, notamment) et se comporter en conséquence.
Eviter de se servir de clés USB qu’on se serait fait remettre (lors d’un salon professionnel ou d’une rencontre par exemple).
Utiliser des accessoires de protection simples tels que la webcam cover ou le filtre de confidentialité pour écran d’ordinateur
Mettre en place et se servir de systèmes de sécurité d’entreprise, tels que les corridors de communication VPN
Evidemment, l’idéal est de voyager uniquement avec les informations nécessaires afin de limiter les risques. Pour cela, certaines entreprises ont déjà adopté cette règle catégorique et réservent pour leurs voyageurs d’affaires des ordinateurs et des smartphones quasiment vierges car elles ont bien compris qu’au delà de la nuisance directe de la cyberattaque, celle-ci entraine des conséquences graves pour la réputation de l’entreprise dont la crédibilité et la fiabilité seront sérieusement mises à mal, ce qui aura inévitablement un impact négatif sur les clients et partenaires et donc sur le chiffre d’affaire.
Les relations économiques et commerciales entre le Maroc et la France sont anciennes, solides et étroites. La dynamique de développement économique tous azimuts que connaît le Royaume (lancement de plusieurs plans stratégiques) et la concrétisation des grands chantiers structurants (Tanger Med, projet de Renault à Tanger, PSA a Kenitra, TGV…) ont permis de pérenniser de manière soutenue ces relations économiques bilatérales. C’est dans cette ligne qu’est organisée la mission du club de chefs d’entreprises France-Maroc qui se tiendra du 24 au 26 avril 2024 sous la conduite par M. Ross Mcinnes, président du conseil d’entreprises France-Maroc de MEDEF International et président du conseil d’administration de Safran.
Malgré une série d’importants chocs internes et externes sur ces deux dernières années, l’économie marocaine a su faire preuve d’une remarquable résilience ayant permis de sécuriser son accès aux financements et d’attirer de nouveaux investissements étrangers notamment dans l’industrie manufacturière à moyenne et haute technologie (automobile, aéronautique, électronique).
Cependant, le Maroc fait face à des défis majeurs pour atteindre les ambitions importantes du pays telles qu’exprimées dans le Nouveau modèle de développement voulu équitable, respectueux de l’environnement, créateur d’emplois pérennes et de valeur ajoutée. L’ambition est de passer «de la résilience à la prospérité partagée », comme l’indique le dernier rapport de suivi de la situation économique au Maroc de la Banque mondiale. Transition énergétique et écologique, sécurité alimentaire, réformes sociales, formation, emploi et développement du capital humain sont autant de défis majeurs présentant des opportunités prometteuses.
Dans ce contexte, les autorités marocaines aspirent à voir le secteur privé jouer un rôle moteur dans l’investissement et c’est tout l’enjeu de cette mission du club de chefs d’entreprises France-Maroc.
Le secteur privé français (1300 filiales d’entreprises françaises employant plus de 80 000 personnes au Maroc ; première destination des IDE français en Afrique) est tout particulièrement concerné. Les entreprises françaises et marocaines ont constitué d’importantes chaines de valeur partagée dans l’industrie et les services. Plus qu’un marché, le Maroc est un pays de coproduction, de coindustrialisation et de de coinvestissement pour les entreprises françaises.
Le Maroc est également le premier récipiendaire des financements de l’Agence Française de Développement (AFD) dans le monde qui s’était d’ailleurs engagée à prêter chaque année 400 M€ au Maroc sur la période 2017-2021, autour de trois axes : le développement du capital humain, la réduction des inégalités territoriales et l’appui des transitions énergétique et écologique.
Dans un intérêt bien identifié entre le Maroc et la France, ce nouveau contexte invite alors à consolider davantage et rénover le partenariat économique entre le Maroc et la France, en transformant les défis en nouvelles opportunités. Les contours d’un partenariat économique multiforme entre le Maroc et la France, doivent alors reposer sur une nouvelle vision partagée de la chaîne de valeur, avec non seulement l’implication des grands groupes, mais aussi des PME et ETI, dans un nouvel état d’esprit basé sur la recherche de la co-compétitivité et la création de valeur par l’effet de levier.
Ayant fait du « made with Morocco » son maitre mot, le Club de Chefs d’entreprise France-Maroc (MEDEF International & CGEM) entend œuvrer au développement du secteur privé dans le cadre de la mise en œuvre du Nouveau Modèle de Développement (NMD) et de France 2030.
Organisée à l’occasion de la tenue du Forum d’affaires Maroc-France 2024 à Rabat, cette mission du club de chefs d’entreprises France-Maroc sera l’occasion de :
de rencontrer des décideurs publics marocains ;
de mieux connaître les orientations, priorités et attentes des autorités marocaines envers le secteur privé français ;
de rencontrer le secteur privé marocain ;
de rencontrer les principaux bailleurs de fonds présents au Maroc.
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