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STRATÉGIES

On n’entend plus parler que de ça : la fameuse « raison d’être »… Encore du marketing me direz-vous ! Mais concrètement, ça sert à quoi ? La raison d’être permet simplement à vos clients, prospects, partenaires de savoir qui vous êtes, ce que vous produisez, comment et pourquoi. Et donc d’arriver jusqu’à vous. Indispensable pour générer du chiffre d’affaires, non ?

Par Isabelle de Goüyon Matignon

Avez-vous déjà fait le test sur un salon de demander à un visiteur de votre stand ce que faisait votre entreprise ?

Si c’est le cas, vous avez souvent eu la mauvaise surprise d’une réponse incomplète qui ne représentait pas du tout l’étendue de vos produits et services, de ce qui vous anime, vous et vos équipes. D’où l’intérêt d’être visible, de communiquer sur son activité, sa raison d’être et de mettre en avant vos collaborateurs, valeur 1ère de votre entreprise. Vous avez des produits à montrer, des services à présenter dont vous êtes fier : faites-le !

Le client a besoin de vous connaître pour vous faire confiance, vous voir comme un partenaire et pas seulement comme un prestataire, un fournisseur. Pour créer un lien plus humain, de l’engagement sincère avec vos clients. Pensez à « Michel et Augustin » !

Franchement, c’est juste des biscuits…D’excellents biscuits, bien sûr, c’est un préalable .Et pourtant, on a l’impression d’acheter tellement plus : de l’humour, de la bonne humeur, une aventure humaine que les dirigeants ont partagée avec nous, étape par étape.

Un autre avantage à vous faire connaître pour ce que vous êtes et ce que vous faites : cela permet d’attirer vers vous les clients que vous pouvez réellement accompagner… et qui vous ressemblent.

Pas d’incompréhension sur ce que vous proposez et la façon dont vous le faites… Pas de temps perdu ! Cela peut également être l’occasion pour vous de prendre du recul pour poser et structurer votre stratégie, vos objectifs, et les partager avec vos équipes.

Vos collaborateurs seront d’autant plus investis dans leur mission, s’ils savent pour quoi ils se lèvent le matin, sans être juste les maillons quelconques de la chaîne. Et, fiers de leur entreprise, ils pourront se faire ses ambassadeurs auprès de leur(s) réseau(x) !

Et pour communiquer, les canaux digitaux sont in-dis-pensables (et moins onéreux que du phoning, un mailing ou un stand…) ! Savez-vous que les acheteurs B2B effectuent 57 % de leur processus d’achat en ligne avant d’entrer en contact avec une personne réelle* ? (source OroCommerce)

Allez-y simplement, selon votre temps et vos moyens humains et financiers :

  • Un site internet lisible, mettant en avant votre savoir-faire et vos équipes, bien à jour, avec possibilité de vous contacter facilement
  • Une présence du dirigeant et des collaborateurs sur les réseaux sociaux (LinkedIn) pour prendre et garder contact, et montrer votre expertise à vos prospects
  • Et pourquoi pas une Newsletter d’information pour apporter de la valeur ajoutée à votre cible sur vos marchés, votre actualité…Contenu qui peut être réexploité sur votre site et vos réseaux sociaux .
  • Ou des vidéos pour montrer vos produits, leur technicité, leur fabrication, présenter vos équipes, vos locaux…

Alors…Montrez-vous digitalement, simplement comme vous êtes : votre activité, vos collaborateurs et vos clients vous diront merci !

 

Est-il possible de trouver et de maintenir les bonnes pratiques de votre équipe, tout en pointant les mauvaises habitudes dont il faudrait vous débarrasser ? Vous poser ce type de question est recommandé pour adopter une démarche d’amélioration continue dans votre équipe. Dans cet article, je vous propose de vous présenter une méthode ludique et intuitive : la rétrospective KISS. Par Céline Cherqui – Fondatrice de OneWay Acronyme de Keep, Improve, Start & Stop, cette rétrospective vous permet de réfléchir et de rendre votre équipe plus performante mois après mois car chaque membre souligne les éléments qu’il estime devoir conserver, améliorer, ajouter ou abandonner. Le pouvoir de la valeur perçue par chacun des membres permet à l’équipe de partager ses points de vue, de générer de nouvelles idées et permet à tous d’avoir un impact sur les décisions collectives.
Par Céline Cherqui -Fondatrice de OneWay
Quand utiliser la rétrospective KISS ? Dès que votre équipe a besoin de se redynamiser, de tester de nouvelles idées ou de nouvelles approches. Prenons l’exemple d’une équipe recrutement qui recherche des candidats. Les membres de cette équipe peuvent se réunir une fois par mois pour réfléchir à certaines de leurs pratiques : messages envoyés aux candidats, questions posées en entretiens, pitch de présentation de leur société ou du poste à pourvoir. Ok, mais comment l’utiliser ? Il vous faut :
  • Un mur, un tableau blanc ou un paperboard.
  • Des post-it (en quantité suffisante car 1 idée = 1 post-it), des stylos
  • Une équipe, un facilitateur
  • Et une trentaine de minutes
Dans un premier temps, le facilitateur rappelle les règles de bienveillance dans lequel doit se dérouler cet atelier pour que chacun se sente à l’aise et puisse partager ses idées :
  • Respecter les opinions et les points de vue des autres,
  • Eviter de les interrompre, de rejeter ou d’évaluer leurs idées,
  • Faire preuve d’honnêteté et transparence par rapport aux problèmes posés,
  • Donner la priorité aux objectifs de l’équipe,
  • Faire en sorte que la session soit courte et concentrée.
Il partage ensuite le tableau en 4 parties, puis, invite chaque participant à mener une réflexion individuelle sur les 4 thèmes suivants :
  • Keep : ce que l’on garde. Le participant met en évidence les choses qui fonctionnent et qui doivent absolument être conservées dans l’équipe.
  • Improve : ce qu’on devrait améliorer très rapidement. Le participant remonte un axe d’amélioration à tester sur une pratique existante.
  • Start : ce qu’on devrait commencer très rapidement. Le participant partage une idée à mettre en place afin d’améliorer le fonctionnement de l’équipe.
  • Stop : ce qu’on devrait supprimer très rapidement. Le participant identifie quelque chose qui le dérange et que l’équipe ne doit plus continuer de faire.
Le facilitateur donne une dizaine de minutes à chaque participant pour écrire ses idées. Une fois cette étape de réflexion individuelle terminée, il propose aux participants de présenter leurs idées et d’aller positionner leurs post-it sur le tableau KISS. Au fur et à mesure des présentations et pour améliorer la lisibilité des différentes idées soulevées par l’équipe, il est intéressant de rassembler les post-it par sujet. Les participants peuvent interagir, mais la discussion ne doit pas déborder sur la recherche de solution. Ce partage doit les amener à avoir des idées d’amélioration que personne n’avait eu individuellement. Dans l’idéal cette étape dure une dizaine de minutes. Chaque participant est alors invité à voter pour prioriser les sujets à traiter. En règle générale, les 3 sujets les plus plébiscités par l’équipe sont retenus et chaque action est attribuée à un responsable qui détermine une échéance de réalisation. Vous l’aurez compris : proposer chaque mois une rétrospective KISS, permettra à votre équipe de tester de nouvelles idées, valider que leurs pratiques sont toujours efficaces et performantes et leur permettra surtout d’être une équipe plus soudée. 📞 Si cet article vous a donné des idées pour fédérer vos équipes et les rendre plus performantes mais que tout reste encore un peu flou, … Pas de panique, je vous accompagne pas à pas sur toutes les problématiques recrutement que vous pourrez rencontrer. Céline Cherqui – Directrice Recrutement – OneWay


La seule chose qui ne change pas c’est le changement. Le monde bouge, de plus en plus vite. La crise du covid a entraîné de nombreuses entreprises à se transformer. Et pour les entreprises qui n’ont pas su revoir leur modèle, le coup a été très violent. Pour certaines, elles ont même dû mettre la clé sous la porte. De plus, l’évolution allant de plus en plus vite nous allons voir au fil des années de nouvelles entreprises apparaître et d’anciennes disparaître. Voyons dans cet article comment vous pouvez vous servir de principes simples afin d’évoluer avec certitude dans l’incertitude.

Par Pierre DAVID – Fondateur & CEO de l’Académie de la Haute Performance. Auteur du livre: l’identité gagnante, le secret du nouveau dopage légalisé & l’entrepreneur gagnant

La toute première chose à comprendre est le modèle de l’évolution.
Celle-ci passe par des phases de destruction et de construction. Une nouvelle technologie va détruire l’ancienne et à chaque phase d’évolution, il y a une récapitulation.
La récapitulation cela veut dire quoi ?


Que la nouvelle forme du produit va absorber les anciennes formes. Elle va être intrinsèquement plus complexe tout en amenant plus de simplicité à
l’utilisateur.

Si nous prenons exemple sur le schéma suivant : dans les années 1970, il y avait des ordinateurs de la taille d’une pièce, d’un autre côté de grandes caméras et des radars GPS. Ensuite, au fil des temps, les ordinateurs, caméras et GPS sont devenus plus petits, plus accessibles, jusqu’à se fondre en un seul appareil : notre smartphone qui nous permet de réaliser du multi-tâche simplement. La prochaine phase sera probablement celle des lunettes avec tout cela intégré. Quand nous observons ce schéma nous pouvons voir une loi immuable. L’évolution amène l’être humain à résoudre son plus gros point de “frustration”.

Lequel selon vous ?
L’espace et le temps ! L’évolution amène l’utilisateur à obtenir ce qu’il veut dans un temps de plus en plus réduit. Prenons l’exemple d’Amazon que beaucoup de gens condamnent car il “tuerait” les libraires. Amazon ne tue rien du tout, il permet simplement à plus d’utilisateurs d’avoir un plus grand choix (plus d’espace) en un minimum de temps. Ainsi les
consommateurs se dirigent naturellement vers cette offre de service et ceux qui résistent dans leur ancien modèle meurent.

Simple n’est-ce pas ?
Alors connaissant cela, que pouvez-vous mettre en place ?
Revenir à votre mission ! Seule la mission reste. Elle est la raison d’être de l’entreprise et tout ce qui n’a pas de raison d’être sur terre disparaît. Soyez au clair avec votre mission et transmettez-la à vos équipes.
Et quand un « coup dur » vous arrive et que l’incertitude surgit, convoquez vos équipes et notez cinquante bénéfices pour la mission de l’entreprise du fait que cette difficulté soit arrivée. Continuez jusqu’à ce que la solution devienne évidente, si vous êtes alignés avec votre mission, vous trouverez.

La partie basse du cerveau est la partie émotionnelle. Cette partie-là, plus animale, a du mal à sortir de l’illusion du gain et de la perte. La partie haute du cerveau, le cortex préfrontal, est la partie la plus intelligente mais n’est pas la partie prioritaire (Cf Système 1 Système 2, les deux vitesses de la pensée, Daniel Kahneman).

Donc il est est important de vous challenger avec des gens qui ont l’esprit de compétition pour trouver la solution. Vous trouverez si vous êtes dans une dynamique d’évolution mais pas si vous voulez que tout soit facile (mais si vous lisez cet article je pense que vous faites plutôt partie des compétiteurs).
Prenons l’exemple d’un directeur d’un grand établissement bancaire avec lequel, en suivant ces conseils, nous avions fait noter au top 50 des managers du département tous les bénéfices de la pandémie pour la mission de l’entreprise. Bien que l’exercice fut au début surprenant, chacun a trouvé. Le département s’est transformé et ils ont pris un avantage concurrentiel sur un département d’un autre établissement. Lorsque vous développez cet automatisme, vous accédez plus rapidement à la partie la plus intelligente de votre cerveau. Votre niveau d’agilité et de lucidité augmente et vous devenez inarrêtable face aux challenges.

Enfin, lorsque vous inspirez vos équipes, communiquez tout d’abord sur la mission, sur la raison d’être de l’entreprise. C’est ce qui inspire un être humain car il sent que ce qu’il fait est utile pour les autres.
Communiquez ensuite sur la vision, l’objectif. Là, vous allez inspirer sur le côté évolution personnelle de l’être humain. Et lorsqu’une personne se perçoit en train d’évoluer individuellement et de contribuer universellement alors elle sera naturellement inspirée à se dépasser.
Enfin, soyez sûr que si la mission d’une entreprise est informelle, intemporelle et infinie; la vision quant à elle est formelle, temporelle et finie. En ce sens, en cas de coup dur vous devez être prêt à lâcher la vision pour revenir à la mission et redéfinir une nouvelle vision.

Alors, au prochain challenge et moment d’incertitude, saurez-vous mettre en place cet exercice avec vos équipes ? Et enfin rappelez-vous: L’important n’est pas ce que vous faites mais qui vous devenez

La Rentrée Carmignac 2023 a eu lieu le jeudi 21 septembre et nous souhaitons vous partager la présentation de l’évènement, ainsi que les messages clés à retenir. Nous vous invitons également à visionner le replay de la conférence pour (re)découvrir nos vues macroéconomiques, nos stratégies d’investissement et nos convictions.

Bilan et stratégie

  • Maxime Carmignac, Directeur Général Carmignac UK
  • Kevin Thozet, Portfolio Advisor & Membre du Comité d’Investissement
 

Notre scénario macroéconomique

  • Raphael Gallardo, Chef Économiste
  • Frédéric Leroux, Responsable Équipe Cross Asset, Gérant

Notre stratégie d’investissement

  • Jacques Hirsch, Gérant
  • Guillaume Rigeade, Co-Responsable Équipe Obligataire, Gérant
  • David Older, Responsable Équipe Actions, Gérant

Table ronde « Investir au-delà du mur des inquiétudes »

  • Marie-Anne Allier, Gérante
  • Pierre Verlé, Responsable Équipe Crédit, co-Responsable Équipe Obligataire, Gérant
  • Mark Denham, Responsable Actions Européennes, Gérant

Échanges avec Édouard Carmignac

Édouard Carmignac, Président, CIO

Intervenant(s)

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La décision d’investir dans le(s) fonds promu(s) devrait tenir compte de toutes ses caractéristiques et de tous ses objectifs, tels que décrits dans son prospectus. Les risques et frais relatifs aux Fonds sont décrits dans le KID (Document d’informations clés). Le KID doit être tenu à disposition du souscripteur préalablement à la souscription. Le souscripteur doit prendre connaissance du KID. Les investisseurs peuvent perdre tout ou partie de leur capital, attendu que les Fonds n’offrent pas de garantie de capital. Tout investissement dans les Fonds comporte un risque de perte de capital.

Carmignac Portfolio désigne les compartiments de la SICAV Carmignac Portfolio, société d’investissement de droit luxembourgeois conforme à la directive OPCVM.​ Les Fonds sont des fonds communs de placement de droit français conformes à la directive OPCVM ou AIFM.​ La société de gestion peut décider à tout moment de cesser la commercialisation dans votre pays.

En tant que société de gestion et garants des actifs de nos clients, nous avons un rôle essentiel à jouer pour aider les entreprises dans lesquelles nous investissons à améliorer leur profil ESG au bénéfice de leurs nombreuses parties prenantes, qu’il s’agisse des actionnaires, des employés, des clients et de la société elle-même. C’est pourquoi nous privilégions une approche d’investissement dynamique ainsi qu’une démarche d’actionnariat actif en dialoguant avec les entreprises et en votant lors de leurs assemblées générales annuelles. L’éventail des sujets ESG est très large et ne cesse d’évoluer. Nous avons donc choisi d’axer notre approche ESG sur trois thèmes essentiels à notre activité et sur lesquels nous pensons pouvoir contribuer de manière tangible : le Climat, l’Émancipation et le Leadership. Maxime Carmignacdirectrice générale de Carmignac UK, Lloyd McAllister, responsable de l’Investissement durable, et Marion Plouhinec, analyste ESG senior, présentent nos attentes sur les enjeux climatiques, sociaux et de gouvernance. Communication Publicitaire. La décision d’investir dans les fonds devrait tenir compte de toutes les caractéristiques et de tous les objectifs, tels que décrits dans le prospectus. Communication publiée par Carmignac Gestion S.A., société de gestion de portefeuille agréée par l’Autorité des Marchés Financiers (AMF) en France, et sa filiale luxembourgeoise, Carmignac Gestion Luxembourg, S.A., société de gestion de fonds d’investissement agréée par la Commission de Surveillance du Secteur Financier (CSSF). «Carmignac» est une marque déposée. «Investing in your Interest» est un slogan associé à la marque Carmignac. La présente vidéo ne peut être reproduite en tout ou partie, sans autorisation préalable de la Société de gestion. Elle ne constitue ni une offre de souscription ni un conseil en investissement. Cette vidéo n’est pas destinée à fournir, et ne devrait pas être utilisée pour des conseils comptables, juridiques ou fiscaux. Elle vous est fournie uniquement à titre d’information et ne peut être utilisée comme base pour évaluer les avantages d’un investissement dans des titres ou participations décrits dans cette vidéo ni à aucune autre fin. Les informations contenues dans cette vidéo peuvent être partielles et sont susceptibles d’être modifiées sans préavis. Elles se rapportent à la situation à la date de rédaction et proviennent de sources internes et externes considérées comme fiables par Carmignac, ne sont pas nécessairement exhaustives et ne sont pas garanties quant à leur exactitude. CARMIGNAC GESTION 24, place Vendôme – F – 75001 Paris Tél : (+33) 01 42 86 53 35 Société de gestion de portefeuille agréée par l’AMF. SA au capital de 15,000,000 € – RCS Paris B 349 501 676 CARMIGNAC GESTION Luxembourg City Link – 7, rue de la Chapelle – L-1325 Luxembourg Tel : (+352) 46 70 60 1 – Filiale de Carmignac Gestion. Société de gestion de fonds d’investissement agréée par la CSSF. SA au capital de 23 000 000 € – RC Luxembourg B67549  
Tournée aujourd’hui vers la transition énergétique, les entreprises ne doivent pas occulter la question du vieillissement de la population, et doivent agir pour préparer « cette transition démographique ». Bien vieillir et chez soi, tel est le souhait de la majorité des Français pour lesquels il est difficile d’imaginer finir ses jours dans des établissements spécialisés. C’est dans ce contexte que Laurent Permasse, président du directoire de SOFIAP (Société Financière pour l’Accession à la Propriété), filiale de La Banque Postale et de la SNCF, a dirigé le livre « Manifeste pour la liberté de vieillir chez soi », qui paraîtra le 28 septembre 2023 aux éditions Le Cherche Midi. Créateur du ticket social devenu le CESU préfinancé, le chèque emploi service universel, il a consacré l’essentiel de sa carrière à l’innovation sociale. La sortie de ce livre est l’occasion de se pencher sur ce sujet de société central du bien vieillir qui touche l’ensemble des Français et sur le rôle que les entreprises doivent jouer auprès des salariés aidants. Un enjeu qui s’inscrit pleinement dans la responsabilité sociale des entreprises (RSE) et correspond à l’objectif de SOFIAP de favoriser l’accession à la propriété des collaborateurs d’entreprises engagées. Bien vieillir chez soi, c’est possible et les entreprises doivent s’en saisir
Laurent Permasse, président du directoire de SOFIAP et auteur du « Manifeste pour la liberté de vieillir chez soi »
Le « Manifeste pour la liberté de vieillir chez soi » parle de la difficulté des familles à évoquer le vieillissement et la nécessité des entreprises de se saisir de la problématique.
Dans nos sociétés en quête de jeunesse éternelle où les injonctions à rester jeune font de la vieillesse une tare, il n’est pas étonnant que vieillir soit un sujet tabou.
Cependant, d’ici 2030 en France, il y aura plus de seniors que de personnes de moins de 20 ans. Se posent alors les questions de la santé publique et de ladépendance. Cette dernière amène le sujet de la difficulté à vieillir dignement. Pourtant, il existe une alternative qui a fait ses preuves dans de nombreux pays : vieillir chez soi pour maintenir les personnes âgées dans un cadre de vie familier, conserver leur qualité de vie et le lien social [1]. Tout ceci est possible si l’aidant est aidé. Ce manifeste balaye tous les préjugés (coûteux, pas assez sécuritaire, etc.) et présente les solutions existantes (sans être exhaustif): santé, aide à la personne, aménagement de l’habitat, financement. Briser le tabou et en discuter en famille est central mais le foyer n’est pas le seul lieu où les enjeux du bien vieillir se dessinent. Plus de 20% des aidants en emploi ont été obligés de s’absenter de leur travail pour s’occuper d’un proche. Aussi, le livre a pour objectif d’ouvrir le débat au sein des entreprises qui, plutôt que de subir, doivent devenir des actrices du changement. Il propose ainsi des solutions concrètes à travers notamment la mise en place de dispositifs financiers de type prêt subventionné. Cette mesure permet aux employeurs de participer activement à des initiatives citoyennes pour une entreprise plus responsable et inclusive. « SOFIAP, filiale de La Banque Postale et de la SNCF, acteur public et citoyen, place au cœur de sa mission la responsabilité sociétale des entreprises. Elle met au service de cellesci son expertise acquise, depuis plus d’un siècle, du prêt subventionné par l’employeur pour favoriser le logement. Nous sommes convaincus que l’amélioration du bienêtre des salariés et leur accompagnement dans des moments clés de leur vie sont des piliers essentiels d’une politique d’entreprise responsable et citoyenne. Elle ouvre un nouvel avantage social pour les
entreprises en proposant le prêt senior hypothécaire, approche novatrice qui soulage les salariés aidants tout en contribuant à améliorer leur pouvoir d’achat. Les collaborateurs aidants pourront ainsi concilier plus sereinement leurs responsabilités professionnelles et leur rôle auprès de leur famille. », explique Laurent Permasse, président du directoire de SOFIAP.
Ces solutions ont un véritable impact social et s’inscrivent dans une démarche de responsabilité sociétale forte. Les entreprises améliorent ainsi leur position d’employeur responsable, engagé et attentif aux enjeux sociaux et économiques qui traversent notre époque. Ces initiatives s’inscrivent dans la continuité des solutions développées par le groupe La Poste, qui accompagne au quotidien les seniors à travers ses services de proximité mais aussi ses salariés aidants avec des mesures spécifiques. Accompagner au bien vieillir : un bénéfice pour tous Selon l’Etude Viavoice x OCIRP [2], l’âge moyen de l’entrée dans l’aidance est de 36 ans. C’est très jeune et révèle à quel point cela touche tous les salariés indépendamment de leur âge. Toujours selon la même étude, 62% des sondés ne s’estiment pas suffisamment informés sur le sujet des salariés aidants et 42% des aidants n’ont pas informé leur employeur de leur situation et ne souhaitent pas le faire. Cette vision où seul le rendement et la productivité sont importants aux yeux de l’employeur est un frein au progrès social et peut même être contre
productive. Cela prouve que le rôle de l’entreprise dans la prise en charge des aidants est aujourd’hui fondamental.
« Avec le vieillissement de la population, le nombre d’aidants en entreprise ne cesse de croître, et notre rôle en tant qu’acteur citoyen dans le secteur de l’immobilier prend une nouvelle dimension. SOFIAP se positionne en tant qu’acteur engagé dans les mesures sociales inclusives. Nous sommes pionniers sur le marché des prêts subventionnés par l’employeur et ainsi un facilitateur pour l’accession à la propriété. Soucieux de répondre aux enjeux sociaux favorisant l’inclusion, nous continuons de développer nos offres pour aller encore plus loin. Nous sommes convaincus que notre rôle ne se limite pas à fournir des produits financiers, mais à créer un impact positif dans la vie de nos clients. », explique Laurent Permasse. « Nos solutions sont le prêt immobilier subventionné par l’entreprise avec une prise en charge des intérêts afin de financer l’accession à la propriété ou la pièce de plus pour héberger un proche, le financement des travaux pour aménager le logement avec une prise en charge partielle des intérêts du prêt, mais aussi le prêt subventionné senior hypothécaire pour percevoir un capital jusqu’à 60% de la valeur du bien tout en restant propriétaire. » Par ricochet, cette réalité croissante de la population vieillissante entraîne un nombre exponentiel d’aidants salariés et, par voie de conséquence, de plus en plus d’entreprises sont confrontées à des problématiques d’absentéisme, de baisse de la productivité et de stress des salariés, dues à la prise en charge de leurs proches. Ils sont de plus en plus nombreux à mettre leur carrière entre parenthèses et seulement 2% des aidants affirment être accompagnés par leur entreprise. Tout cela influe défavorablement sur la performance globale et c’est la raison pour laquelle il est temps de prendre en compte cette situation et de trouver des solutions adaptées. Que chaque entreprise puisse soutenir ses salariés aidants renforcera leur engagement envers elle mais participera aussi à une politique RH de qualité qui aura un impact tant sur le recrutement que sur la fidélisation des salariés, autre enjeu de taille aujourd’hui. Audelà des pistes de réflexion et solutions concrètes évoquées, le livre donne la parole aux personnes âgées, à leur entourage mais aussi à ceux qui agissent, qu’ils soient aidants, DRH ou dirigeants d’entreprises. Par ce manifeste intergénérationnel, l’objectif est de sensibiliser les entreprises à ce rôle, d’ouvrir le débat et que les politiques RSE de chacune d’elles intègrent l’aide aux aidants, au même titre que la diversité et le développement durable. [1] D’après une étude OpinionWay x Les Maisons de Marianne, le maintien d’une vie sociale apparaît comme le premier critère de bienêtre, étude menée auprès de Français de plus de 50 ans, novembre 2022. [2] Etude Viavoice x OCIRP, Observatoire des salariés proches aidants, septembre 2022 A propos de SOFIAP 
Nous pensons que devenir propriétaire est un élément d’inclusion, de société et de préparation à la retraite. SOFIAP répond au «S» de RSE autour de l’engagement social et sociétal des employeurs et permet une innovation autour de la propriété immobilière et plus largement du financement. Nous concevons des prêts subventionnés (achat immobilier, crédit consommation…) par les entreprises pour permettre aux salariés de financer leurs projets de vie. Créée par la SNCF pour aider les cheminots à accéder à la propriété, nous sommes le fruit d’une histoire de plus de 100 ans. Nous sommes la réponse actuelle aux besoins des entreprises de recruter et de fidéliser en permettant aux collaborateurs de vivre plus confortablement, plus responsable, et de se créer un patrimoine.
Contacts presse :
– AnneLise Villet

06 28 47 30 01

annelise.villet.rp@gmail.com

– Pauline SaintMartin

06 83 00 57 40

pauline.saintmartin.rp@gmail.com
La rentrée 2023 est l’occasion parfaite pour les PME et ETI de revoir leur stratégie informatique afin de rester compétitifs dans un monde en constante évolution numérique. Avec de nouvelles avancées technologiques et des besoins changeants, il est crucial de mettre en place une infrastructure digitale solide et adaptable. Voici quelques conseils pour vous aider à optimiser l’informatique de votre entreprise et à vous préparer au succès. Par Nina Oussadi – Chargée de développement chez Izencia
  1. Évaluez vos besoins actuels et futurs
Avant d’apporter des changements majeurs à votre infrastructure informatique, prenez le temps d’évaluer vos besoins actuels et futurs. Analysez la croissance prévue de votre entreprise, les nouveaux marchés que vous pourriez explorer et les innovations technologiques susceptibles de perturber votre industrie. Cela vous aidera à déterminer les ressources informatiques nécessaires pour soutenir vos objectifs à long terme.
Nina Oussadi – Chargée de développement chez Izencia
  1. Optez pour le Cloud
Le Cloud computing continue de révolutionner la manière dont les entreprises gèrent leurs données et leurs applications. Migration vers le Cloud offre une flexibilité accrue, une échelle plus facile et une meilleure résilience en cas de sinistre. Explorez les options de Cloud public, privé ou hybride en fonction de vos besoins en matière de sécurité, de performances et de contrôle.
  1. Sécurité renforcée
Avec l’augmentation des cyberattaques sophistiquées, la sécurité informatique doit être une priorité absolue. Mettez en place des mesures de sécurité avancées telles que l’authentification à deux facteurs, la surveillance en temps réel des menaces et la formation continue de vos employés sur les meilleures pratiques en matière de cybersécurité.
  1. Intégration de l’IA et de l’automatisation
L’intelligence artificielle (IA) et l’automatisation peuvent considérablement améliorer l’efficacité opérationnelle de votre entreprise. Explorez les applications de l’IA dans l’analyse de données, le service client, la gestion de la chaîne d’approvisionnement et bien plus encore. L’automatisation peut réduire les tâches manuelles répétitives, permettant à vos employés de se concentrer sur des tâches à plus forte valeur ajoutée.
  1. Modernisation des logiciels et des applications
Assurez-vous que vos logiciels et applications sont à jour pour bénéficier des dernières fonctionnalités, de la compatibilité avec les nouvelles plates-formes et des correctifs de sécurité essentiels. La modernisation régulière garantit que votre entreprise reste agile et peut s’adapter rapidement aux changements du marché.
  1. Collaboration améliorée
Facilitez la collaboration entre les membres de votre équipe en mettant en place des outils de communication et de partage de fichiers efficaces. Les plateformes de visioconférence, les intranets d’entreprise et les applications de gestion de projet peuvent favoriser un flux de travail fluide, même avec des équipes dispersées géographiquement.
  1. Écologie et durabilité
Lors de la mise à jour de votre infrastructure informatique, prenez en considération les aspects écologiques et durables. Optez pour des solutions écoénergétiques et réduisez la consommation d’énergie de vos centres de données. Cela peut non seulement réduire vos coûts opérationnels, mais aussi renforcer votre image en tant qu’entreprise socialement responsable. En cette rentrée 2023, la transformation numérique continue de redéfinir la manière dont les entreprises opèrent. En adoptant ces conseils pour optimiser votre infrastructure informatique, vous pouvez positionner votre entreprise pour une croissance durable et une compétitivité accrue dans le monde numérique en constante évolution.
Swiss Life Banque privée est une structure à taille humaine adossée à un groupe solide qui a réussi le pari de créer une offre à 360° précisément adaptée aux enjeux patrimoniaux des dirigeants de PME et ETI. Grâce à une joint-venture avec la banque d’affaires Alantra, Swiss Life Banque privée accompagne également les dirigeants en amont de la cession ou de la transmission de leur entreprise afin d’optimiser ces opérations mais aussi en aval grâce à une gamme d’actifs large et complète. Guillaume Gimbal, Directeur Ajoint de la Gestion de Fortune, nous explique comment Swiss Life Banque privée a réussi à se placer comme le partenaire patrimonial idéal du chef d’entreprise.
Que l’on soit mère ou père, l’arrivée d’un nouvel enfant vient forcément bousculer le quotidien personnel et professionnel. Certaines entreprises ont d’ores et déjà compris que, mettre en place une politique parentale était simple, mais surtout positive pour tout le monde. Des actions gagnantes/gagnantes qui répondent à des enjeux RH actuels comme la marque employeur, la qualité de vie et conditions de travail, l’inclusion, la responsabilité sociétale des entreprises, le management innovant…Cependant, certaines fausses idées reçues peuvent stopper les entreprises dans cette démarche. Par Anaïs HUBERT – Fondatrice de Humaine Ressource La charge de travail Un des freins à la mise en place d’une politique parentale est l’idée que cela ajouterait une charge de travail supplémentaire aux équipes déjà débordées. Pourtant de nombreuses entreprises, ont déjà naturellement mis en place des actions, sans qu’elles soient distinctement inscrites dans une politique spécifique. Commencez par réaliser un diagnostic des pratiques internes en matière de conciliation vie personnelle, vie professionnelle. Ce diagnostic permettra de faire ressortir d’éventuelles actions déjà existantes qui pourront être facilement mises en avant, par la suite. L’investissement financier L’autre idée reçue pouvant décourager la mise en place d’une politique parentale est le coût des actions menées, vues comme un investissement supplémentaire dans un contexte de crise. Avant toute prise de décision, il est indispensable de considérer la démographie de votre entreprise (taux de natalité, pyramide des âges, pourcentage de parents…) Par exemple, tous vos collaborateurs ne seront pas concernés par l’arrivée d’un enfant la même année. Les éventuels investissements à prévoir, pourraient ne concerner qu’une petite partie des équipes, restant ainsi raisonnables. La pression sociale La parentalité est bien souvent considérée comme un obstacle à la performance professionnelle. En effet, la croyance qu’il est nécessaire de faire un choix entre vie professionnelle et vie personnelle est ancrée dans la culture travail. Mettre en place une telle politique c’est aller à l’encontre de l’idée encore bien présente, que le succès au travail requiert un dévouement exclusif. Pourtant les tendances actuelles prouvent le contraire… Les collaborateurs les plus engagés et investis sont ceux qui évoluent dans un environnement qui favorise un équilibre des vies, créant ainsi un cercle vertueux renforçant la loyauté et la productivité. En mettant en place une telle politique, vous contribuez à faire baisser cette pression sociale injustifiée, réduisez le stress et augmentez la performance de vos collaborateurs. La flexibilité Lorsque l’on évoque la politique parentale, beaucoup d’entreprises imaginent devoir proposer plus de flexibilité, télétravail, congés supplémentaires parfois incompatibles avec leurs activités. Or ce n’est pas un passage obligatoire. L’organisation du travail n’est pas le seul sujet concerné. Parcours de réintégration, développement des compétences personnelles, mentoring et bien d’autres actions peuvent être mises en œuvre pour créer un environnement de travail sensible à la parentalité. La taille de l’entreprise Trop souvent on imagine que ce type de politique est réservée aux grandes entreprises, qui auraient plus de ressources pour mettre en place des actions adaptées. Or, la politique parentale est avant tout une politique humaine et elle n’est pas conditionnée par la taille de l’entreprise. Au contraire, les TPE et PME ont un environnement très favorable à la mise en place d’une telle stratégie : communication de proximité, structure plus flexible, prise de décision rapide… Que vous soyez une grande entreprise ou une petite structure, vous pouvez instaurer une politique parentale adaptée à votre contexte. Les inégalités Il est légitime de se demander, si une telle politique n’est pas perçue comme inéquitable par les collaborateurs sans enfant. En réalité, une telle politique aura un effet positif bien au-delà du groupe directement concerné en renforçant la dimension inclusive de votre entreprise. En effet, une culture qui encourage le soutien et la solidarité (peu importe le sujet) impactera positivement le climat de votre entreprise. Pour susciter l’adhésion de tous, mettre en place une stratégie qui fonctionne est conditionnée par le fait qu’elle doit être adaptée au contexte de votre entreprise. De plus, les actions menées doivent être concrètes et connues de tous. Cela implique donc une communication ouverte et régulière sur le sujet afin d’engager les salariés qu’ils soient parents ou non. Cette transition vers un management inclusif répond aux « nouvelles » attentes de vos collaborateurs en quête de sens. Car aujourd’hui, pour se démarquer, les entreprises doivent défendre des valeurs fortes et humaines. Les talents ne sont plus à la recherche d’un simple emploi, mais d’une véritable expérience collaborateur, leur permettant de s’épanouir professionnellement et personnellement.   Le sujet de la parentalité devient donc un moyen pour votre entreprise de se distinguer tout en soutenant vos employés dans leur quête de sens et d’équilibre.  

Les PME et ETI prennent aujourd’hui clairement conscience de l’urgence de battir une politique RSE cohérente en phase avec les nouvelles contraintes énergétiques, climatiques et sociales. Cependant, pour mettre en œuvre les transformations nécessaires, il est fondamental d’être bien accompagné et bien formé à la conduite de ce changement.

José Maillet, Professeur & Responsable de Gaïa, l’école de la transition écologique et sociale d’AUDENCIA nous parle de l’importance de la formation continue pour définir une approche stratégique et opérationnelle gagnante.

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