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Bruno Le Maire, Agnès Pannier-Runacher, Roland Lescure et Olivia Grégoire ont reçu les fournisseurs d’énergie et leurs fédérations ce mercredi 5 octobre afin d’échanger sur leurs rôles respectifs pour soutenir les entreprises consommatrices dans cette situation inédite d’explosion des prix de l’énergie due à la guerre qui oppose la Russie à l’Ukraine. Petit tour d’horizon des résultats de cette réunion.

En plus des nouvelles mesures de soutien de l’État, les fournisseurs d’énergie ont pris des engagements au cours de la réunion qui a rassemblé Bruno Le Maire, ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition énergétique, Roland Lescure, ministre délégué chargé de l’Industrie, Olivia Grégoire, ministre déléguée chargée des Petites et Moyennes Entreprises, du Commerce, de l’Artisanat et du Tourisme ainsi que les fournisseurs d’énergie et leurs fédérations.

Les mesures de soutien aux entreprises

À l’issue de cette réunion, le gouvernement a annoncé une série de mesures de soutien aux entreprises consommatrices d’énergie :

  • L’extension en 2023 et la simplification à venir des aides au paiement des factures d’électricité et de gaz pour les entreprises grandes consommatrices d’énergie,
  • La création d’une garantie de l’État pour réduire le risque de défaut de l’entreprise cliente d’un fournisseur. L’État offrira une contre-garantie aux cautions bancaires demandées par les fournisseurs d’énergie lors de la souscription de contrats et viendra réassurer les contrats de fourniture d’énergie couverts par des assureurs crédits. Cette garantie réduira ainsi les exigences des fournisseurs en matière de collatéraux et de dépôts de cautions au moment de la signature des contrats. Cette mesure facilitera l’accès à un contrat pour toutes les entreprises consommateurs. Cette garantie sera mise en œuvre dès le PLF 2023,
  • La CRE (commission de régulation de l’énergie) va publier sous peu un prix de référence de l’électricité pour plusieurs profils de consommateurs professionnels. Cet indicateur servira de base pour les entreprises et collectivités afin de comparer ce prix de référence avec l’offre reçue par un fournisseur avant de s’engager.

Pour faire face à la multitude des difficultés contractuelles entre fournisseurs et clients, de nombreux fournisseurs ont signé une charte qui comprend 25 engagements pour aider les entreprises et collectivités à affronter la crise énergétique. Cette charte, qui sera en place jusqu’au 30 avril 2024, contient plusieurs points cruciaux tels que :

  • Avertir les clients entreprises et collectivités de la fin de validité de leur contrat deux mois à l’avance.
  • Agir, sous certaines conditions, en fournisseur de dernier recours pour les entreprises et collectivités en proposant à tous les clients qui le demandent un contrat au minimum.
  • Favoriser la mise en place des facilités de paiement pour les entreprises ou collectivités locales qui le demandent et qui rencontrent des difficultés.
  • Favoriser la mise en concurrence par une entreprise ou une collectivité locale des offres commerciales.
  • Privilégier des offres prenant en compte les enjeux du système électrique et rémunèrant par exemple une capacité d’effacement lorsque le système est en tension ou incitant à une consommation d’énergie réduite.
  • Répercuter dans les meilleurs délais les aides destinées aux consommateurs finaux, comme les élargissements des boucliers tarifaires énergétiques aux copropriétés, y compris dans les offres commerciales.

Cette charte a été signée par de nombreux fournisseurs (EDF, Engie, TotalEnergies, GEG, Seolis, Soregies, Alterna Energies) ainsi que les associations de fournisseurs (AFIEG, UFE, UNELEG, ANODE, ELE). Le processus de signature continuera dans les prochains jours pour rassembler l’ensemble des fournisseurs dans cette charte, notamment ceux des associations signataires.

Les ministres présents et les participants ont convenu de poursuivre ces discussions dans les semaines qui suivent afin de veiller à la mise en place de ces mesures et d’améliorer la qualité des relations entre fournisseurs d’énergies et entreprises consommatrices.

Classée parmi les meilleures grandes écoles de Management françaises, AUDENCIA a fait le choix stratégique de se placer comme un acteur de référence dans la formation continue des dirigeants et cadres de PME et ETI.
Dr Makram Chemangui, Directeur Général Adjoint de l’école, répond à nos questions sur la spécificité de l’offre d’AUDENCIA et nous apporte une analyse lucide sur les enjeux de transformation digitale, énergétique et sociale des PME et ETI.

Une relation commerciale, y compris en BtoB, est avant tout une relation humaine entre deux professionnels. La confiance est donc un élément essentiel à ne pas négliger. De son côté, le client est un professionnel ayant avant tout un projet à délivrer et donc peu de temps à vous consacrer. Il doit donc percevoir rapidement vos commerciaux comme des alliés, des partenaires efficaces qui comprennent son activité.

Par Isabelle de Goüyon Matignon – fondatrice de Gemma360

Le commercial doit devenir un apporteur de solutions, un véritable partenaire à forte valeur ajoutée pour ses clients et non comme un « vendeur de tapis » qui vient déranger et proposer tout et n’importe quoi pour faire son chiffre, sans prendre en compte les réels besoins du client…et les réseaux sociaux sont votre meilleur allié pour parvenir à les cerner.

1 – Écouter son client pour comprendre ses besoins

  • Quels sont ses besoins ? Ses actualités (nouveaux produits/services, changement dans l’organisation, croissance externe) ? Ses problématiques métier ?
  • Quels sont les produits/services les plus adaptés à lui proposer ?

Pour cela, servez-vous de tous les outils et signaux mis à votre disposition pour préparer votre rdv, en dehors des échanges directs avec votre client :

  • Le CRM / la base de données de votre entreprise qui peut vous informer sur le comportement de votre client, son actualité
  • Les publications de votre client et/ou de son entreprise LinkedIn
  • Les informations et autres actualités délivrées sur son site, ses newsletters ou lors de salons et autres événements professionnels.

Les canaux digitaux vous donnent un accès direct aux clients et marchés, sans « barrage secrétaire » : servez-vous-en !

2 – Proposer de la valeur et agir en partenaire

A proposition de service équivalent en valeur, c’est votre personnalité qui va faire la différence vis à vis de vos clients, la confiance qu’ils vont mettre en vous, en votre expertise.

Votre personnalité, votre expertise métier doivent donc transparaître sur votre profil, dans vos contenus, vos prises de position. 

Car vous devez vous exprimer pour que vos clients sachent qui vous êtes, ce que vous proposez et valident votre expertise.

Pour fidéliser, les commerciaux se doivent de devenir incontournables en accompagnant le développement et l’activité du client :

  • Définir ses objectifs, son offre et positionnement, y compris grâce au storytelling sur les réseaux sociaux
  • Optimiser ses prises de parole pour générer des leads et, au final, des ventes.

Objectif : l’amélioration de l’expérience client !

3 – Comment mettre en avant cette expertise grâce aux réseaux sociaux

Votre personnalité, la façon dont vous proposez votre expertise est ce qui fait votre différence : elle doit transparaître sur les réseaux sociaux.

Que ce soit via le compte de l’entreprise mais également via celui des commerciaux.

Cela permet au client de mieux vous connaître, de se dire que vous pouvez comprendre ses besoins, l’aider en lui proposant l’offre la plus adaptée, en partenaire solide et fiable.

Et de vous humaniser, tout simplement : vous n’êtes plus juste une entreprise, une marque, mais un professionnel avec une expertise, qui peut accompagner efficacement son client.

Comment faire ?

En amont, prenez le temps de réfléchir à quels contenus pour quels objectifs :

Se positionner comme expert ? Agrandir son réseau ? Générer du lead ? Trouver des clients ?

1/ Définissez une ligne éditoriale claire et cohérente pour votre audience (vos clients) :

  • Construisez un profil professionnel authentique, qui vous ressemble, ainsi qu’aux valeurs de votre entreprise
  • Listez ce sur quoi vous voulez vous positionner, porter votre voix afin de mettre en avant votre expertise, les actualités de votre entreprise
  • Regardez qui suivre, qui contacter pour :
    • Créer et développer votre réseau (clients, prospects, références dans votre domaine…)
    • Connaître les problématiques de vos clients et devancer leurs attentes, leur proposer des solutions adaptées

2/ Communiquez et animez votre réseau

Testez-vous et prenez confiance en vous en commençant par « liker » et commenter des contenus de votre entreprise, de vos collègues ou de vos clients/prospects.

Puis passez au « 2eme niveau » (!) en publiant :

  • Du contenu avec positionnement expert : articles, points de vue, anecdotes de vente ou rdv clients, célébration de victoires – les vôtres, ou celles de collègues qui peuvent aider le client
  • Des webinaires, des infos sur des lancements produits pour générer des leads / des demandes d’infos
  • Des sondages, quizz pour mieux comprendre votre client, ses besoins, les solutions à lui apporter
  • Des partenariats en postant ou repartageant avec un commentaire à valeur ajoutée, des témoignages et réalisations clients, ce qui permet de donner de la visibilité aux 2 parties (= win/win)

Les services marketing et communication peuvent (doivent !) venir en soutien pour donner une cohérence globale et que les commerciaux ne publient pas chacun des contenus disparates en solo.

  • Quels sont les contenus importants pour l’entreprise :
    • Thèmes (ligne éditoriale)
    • Rythme et périodicité, distribution des rôles des collaborateurs
    • Planifier (qui publie quoi et où) pour créer de l’engagement : articles, témoignages clients, vidéos sur une chaîne YouTube, podcasts, newsletters, webinaires…

N’oubliez pas également le suivi, la régularité, l’entraide entre commerciaux (ateliers partage des bonnes pratiques) …et la mise en place de KPI/metrics pour vérifier et corriger l’efficacité des actions mises en place.

Conclusion :

Pour fidéliser, le commercial d’aujourd’hui ne peut plus se contenter de vendre. Il doit apprendre à travailler comme un entrepreneur en pilotant son activité, sa communication experte et ses interactions à valeur ajoutée avec ses clients et partenaires. En cohérence bien entendu avec la communication de son entreprise.

Dans son dernier article, Nelly MONTANERA, directrice associée de COSMA Experts rappelait que c’est la stratégie d’optimisation qu’il convient d’utiliser afin de servir la stratégie d’entreprise et préserver durablement ses marges. Une question se pose alors : si je veux adopter une stratégie d’optimisation de mes achats indirects, comment dois-je m’y prendre ?

L’idée est de veiller à ce que les dépenses soient alignées avec les besoins réels, à la fois en termes qualitatif et quantitatif.

Dépenser mieux, c’est aussi faire des paris technologiques, renégocier les contrats, notamment les clauses qui engagent les fournisseurs sur la productivité.

Enfin ces mesures seront efficaces si elles prennent place dans un cadre plus large d’amélioration de la performance. 

Les missions de Cosma Experts comprennent une revue des organisations, des process, des besoins (qualité et quantité), l’étude d’automatisation des processus chronophages et à faible valeur ajoutée, ou leur externalisation, la simplification des méthodes

C’est ainsi que nous améliorons l’efficience de nos clients.

Nos missions permettent d’identifier des gisements économies, de renforcer la confiance de vos fournisseurs, de constater les résultats dans votre P&L et d’assurer le suivi des économies dans le temps avec des KPIs clairement définis.

Si la pandémie, puis la crise des matières premières et de l’Energie ont placé de nombreuses entreprises dans l’urgence de réagir, elles leur offrent aussi une opportunité de création d’une véritable valeur à long terme.

Notre équipe de 40 experts utilise des outils et techniques pour optimiser vos dépenses, et adapte son accompagnement à votre ADN pour améliorer vos cycles d’achats.

Nos missions réussies depuis 15 ans sont les ambassadrices des résultats de Cosma Experts

En synthèse :

•           La réduction des coûts ne doit pas être une fin en soi mais bien une conséquence de la stratégie d’optimisation,,

•           La délocalisation du savoir-faire n’est pas une stratégie si elle n’est pas contrôlée par l’entreprise,

•           La création de valeur (par l’innovation ou l’amélioration des processus) reste la stratégie la plus efficace pour pérenniser votre entreprise.

Qu’est-ce qu’une RC Pro ? Les activités d’une entreprise peuvent être à l’origine de dommages causés à des tiers qui sont alors en droit de réclamer réparation. Ce risque peut être couvert par une assurance dite «responsabilité civile». Concrètement, l’assurance RC Pro couvre l’entreprise et rembourse à la victime concernée tout ou une partie des dommages.

La RC Pro est-elle obligatoire ?

A la différence d’une assurance auto, cette forme de garantie n’est pas obligatoire (dans la plupart des cas), même si elle est fortement conseillée lors de l’ouverture d’une entreprise pouvant causer des dommages à des tiers (tatoueurs, auto-école, commerce, restaurants…).
Néanmoins, comme évoqué juste au-dessus, certaines professions sont dans l’obligation de souscrire à une RC Pro. En effet, les professions règlementées (avocats, notaires, experts comptables, agents immobiliers, agents d’assurance, professionnels de santé…) doivent obligatoirement souscrire une assurance RC Pro.

Exemples concrets

  • Dans le cas d’un commerçant : un client glisse dans le magasin et se blesse. Il met en cause la responsabilité du magasin. La Responsabilité Civile Professionnelle du commerçant est alors invoquée.
  • Dans le cas du patron d’un restaurant ou traiteur : plusieurs clients ont été hospitalisés suite à une intoxication alimentaire. Ils mettent en cause la Responsabilité Civile Professionnelle du restaurateur / traiteur.
  • Dans le cas d’un professionnel du bâtiment : un échafaudage tombe sur des voitures garées sur la voie publique. L’entreprise est responsable de l’accident. Sa RC Pro est alors invoquée.

Plus précisément, une assurance RC pro couvre :

  1. ​Les dommages matériels ;
  2. Les dommages immatériels ;
  3. Et les dommages corporels.

​​Y a-t-il des conditions pour que la Responsabilité Civile Professionnelle soit invoquée ?

En effet une seule condition doit être respectée afin d’invoquer la RC Pro, mais laquelle ? Tout simplement, les dommages doivent être causés involontairement.
La Responsabilité Civile Professionnelle ne peut pas tout le temps tout couvrir. En effet, cette absence de couverture est due, la plupart du temps, à des cas d’exclusion communs par la plupart des compagnies d’assurances. Il s’agit notamment des cas de :

  1. ​Faute intentionnelle ;
  2. Actes illégaux comme la concurrence déloyale ou la contrefaçon ;
  3. Amendes pénales ou pénalités ;
  4. Risques couverts par d’autres contrats ;
  5. Mission mal exécutée par l’un des salariés non qualifié.

Où trouver une RC Pro ?

Pour obtenir une attestation de RC professionnelle, il faut souscrire auprès d’une assurance ou d’un courtier qui évaluera les besoins selon la taille de l’entreprise et le secteur d’activité. Dans certains cas, il sera nécessaire de fournir des pièces justificatives en fonction de l’activité.

Pour un devis RC pro sans engagement

La sécurité routière dans l’entreprise représente un enjeux majeur dans la gestion des risques de nos PME et ETI. Au-delà de sa vocation première de sauvegarde de la vie humaine et de la santé, l’accidentologie permet aussi de réduire les coûts. Entre réglementation, prévention et formation, voici les pistes pour optimiser la sécurité du personnel sur la route. Par Franck Boccara Les accidents de la route occupent toujours la première place des risques mortels au travail et la réglementation s’adapte en imposant aux chefs d’entreprises une obligation de résultat dans la prévention des risques liés à l’utilisation d’un véhicule dans le cadre professionnel. Ce risque est d’ailleurs encadré au niveau réglementaire par le Code de la route, le Code du travail, le Code pénal et le Code civil. cette responsabilité incombe au DRH qui est tenu de créer un document unique qui analyse les risques routiers et de mettre en place les solutions nécessaires. Ces mesures sont accompagnées d’une obligation de résultat pour les entreprises qui doivent prouver la mise en oeuvre de tous les moyens de prévention et de formation. Le coût des accidents Les sinistres coutent à l’entreprise à peu près autant que le carburant, les loyers des véhicules ou les coûts d’acquisition. C’est dire le budget que les PME et ETI consacrent aux accidents, car ceux-ci engagent des coûts directs et indirects: En effet, il faut inclure les coûts directs que sont les cotisations accidents du travail, les cotisations d’assurance et les coûts matériels ou corporels ainsi que les coûts indirects comme l’immobilisation des véhicules accidentés, la franchise d’assurance, le remplacement ou la réparation des véhicules accidentés, les heures perdues par le chauffeur, les amendes, les frais de contentieux, la gestion des sinistres… L’Observatoire du Véhicule d’Entreprise précise que le conducteur peut influencer de 40 % le TCO (coût global de possession) de son véhicule (carburant, entretien, pneumatiques…). La prévention Le déplacement est évidemment l’unique cause des accidents. Il faut donc analyser toutes les composantes du déplacement ainsi que l’organisation et le management de l’entreprise, le but étant de recueillir un maximum d’informations sur l’entreprise (fonctionnement, déplacement) et sur sa sinistralité, puis de les synthétiser dans un document de travail permettant d’identifier précisément les éventuels dysfonctionnements et points d’améliorations et de mettre en place un plan d’actions cohérent, simple et basé sur des constatations objectives. Plusieurs éléments doivent être épluchés pour réaliser cette analyse comme par exemple les constats amiables et les statistiques des assureurs, les informations transmises lors des entretiens post accident et surtout les données transmises par les boîtiers télématiques installés dans les véhicules qui s’avèrent être particulièrement utiles pour la sécurité routière et l’optimisation des coûts car ils offrent un aperçu sur le style de conduite des différents utilisateurs.
Former et communiquer sur la sécurité routière Les entreprises ont à leur disposition plusieurs outils à cet effet. La communication pourra se faire par l’intermédiaire de messages transmis régulièrement sur des thèmes comme la saisonnalité, les contraintes métiers, les problématiques particulières ou les rappels de procédure. Ces messages peuvent circuler par différents circuits tels que les fiches pratiques, le journal interne de l’entreprise ou le livret du conducteur. Toutes ces informations devront être validées par le comité de pilotage de l’action de prévention des risques routiers. La formation à la sécurité routière et à l’écoconduite dispose, quant à elle, de nombreuses solutions souvent dispensés par des spécialistes en la matière et même directement par les fournisseur LLD. Ces formations, sous forme présentielle ou e-learning, permettent de mieux identifier les situations à risque, de mieux analyser leur environnement et d’assimiler les bonnes pratiques à mettre en place au quotidien. Pour être efficaces, ces séances doivent s’inscrire dans le durée et être organisées régulièrement, notamment pour les conducteurs les plus à risque. L’idéal est forcement d’agrémenter tous ces efforts par des challenges pour favoriser l’écoconduite. Les loueurs offrent des solutions ludiques, grace à la télématique, qui délivrent des « scores ecoconduite » basés sur les habitudes des collaborateurs au volant en prennant en compte l’ensemble des paramètres de la sécurité routière. Ces challenges permettent de récompenser les meilleurs conducteurs et par ailleurs de faire baisser la sinistralité et les coûts qu’elle engendre.    

Nombre d’entreprises se posent la question : en cette période de crise et d’instabilité dois-je privilégier une stratégie de réduction des coûts ou une stratégie d’optimisation pour mes achats indirects ? Nelly MONTANERA, directrice associée de COSMA Experts rappelle que toute stratégie d’entreprise consiste à définir la vision de l’entreprise pour créer de la valeur et à déterminer la trajectoire pour atteindre les objectifs fixés.

L’impact d’une crise qu’elle soit géopolitique, sectorielle, interne ou sanitaire, varie beaucoup d’une entreprise et d’un secteur à l’autre. Favorable pour certains, désastreuse pour d’autres, une crise peut pousser les entreprises dans un premier réflexe à chercher à réduire ses coûts au lieu de les optimiser.

Or la simple réduction des coûts ne crée pas de valeur à long terme. En effet, bien qu’elle puisse donner des résultats à court terme, une telle orientation peut fragiliser l’avenir de l’entreprise. Si le moyen de réduction de vos coûts est imitable par vos concurrents, la baisse des coûts pourra entraîner une baisse des prix de vente et donc une érosion des marges.

En outre, la pratique de réduction des coûts peut à long terme détruire de la valeur : perte de savoir-faire, démotivation des collaborateurs (turnover / burn-out), augmentation des coûts cachés qui n’apparaissent pas dans une vision économique ou comptable (baisse de qualité matière, augmentation du SAV…).

La stratégie de « réduction des coûts », peut entraîner l’entreprise dans une spirale sans fin : réduction des coûts, baisse des prix, érosion des marges, puis à nouveau réduction des coûts, et ainsi de suite.

Nelly MONTANERA nous livre sa vison de la bonne stratégie :

La réduction des coûts, ne doit pas être une finalité en soi, mais une conséquence d’une opération d’optimisation. Elle est la résultante de l’amélioration de sa propre performance.

C’est cette valeur ajoutée, apportée par Cosma Experts, qui fera la différenciation auprès de vos clients et de vos concurrents. Un client sera toujours prêt à payer le juste prix pour des produits et services de qualité alors qu’une simple réduction de coût, telle qu’une ristourne sur les volumes, n’est pas créatrice de valeur sur le long terme

Les méthodes d’optimisation de Cosma experts vont bien au-delà du “cost-killing”. L’optimisation des coûts est un processus qui vise à identifier, analyser en détail et activer tous les leviers pertinents d’optimisation des achats. Cette démarche d’optimisation s’accompagne d’une révision de la politique globale d’achat pouvant générer des économies en moyenne de 20%.

LE COURTIER GÉNÉREUX est un cabinet de courtage indépendant et 100% digital dont le but est simple : vous faire économiser de l’argent sur vos assurances professionnelles et personnelles avec un concept réellement disruptif.
Cédric Coudert et Valérie Gagnant, respectivement Président et Directrice générale, nous présentent une approche innovante et bienveillante de l’assurance et nous prouvent que, pour eux, la générosité n’est pas un vain mot.

Dirigeants de PME et ETI, vous consacrez vos efforts et ceux de vos équipes à votre activité… et c’est bien normal. Cependant, vous n’avez pas toujours le temps, l’expertise ou l’énergie de vous pencher sur un enjeux crucial pour votre entreprise : la maîtrise de vos coûts de fonctionnements.
COSMA EXPERTS et ses spécialistes sectoriels sont là pour vous apporter un accompagnement sur mesure grâce à une approche et une méthode qualitative qui vous permettra de déceler des gisements d’économies substanciels.
Gérald Le Teurs, Directeur Associé, nous présente les axes d’intervention de COSMA EXPERTS et nous amène en ballade chez SOFINOR pour un témoignage client bien concret.

Les startups industrielles françaises, reconnues comme le nouveau levier d’innovation et d’emplois, sont au centre de toutes les attentions. Bpifrance est évidemment à la manœuvre avec un plan Startups et PME industrielles à 2,3 milliards d’euros et un guichet unique. Ces mesures de soutien s’intègrent dans le cadre de France 2030.

« Notre objectif est de créer 100 sites industriels par an à l’horizon 2025. Une grande majorité viendra des startups » – a clairement annoncé Paul-François Fournier, directeur innovation de Bpifrance. Le plan Startups et PME industrielles comprend quatre dispositifs dédiés à l’accompagnement des entreprises du secteur de l’industrie proposant des solutions innovantes. Ces dispositifs viennent compléter le panel de solutions déjà proposées par la banque publique d’investissement.

Le plan d’investissement France 2030 dévoilé le 12 octobre dernier a pour ambition de révéler « les champions de demain » en encourageant la force d’innovation des entreprises industrielles. Le gouvernement a défini 10 objectifs pour « mieux comprendre, mieux vivre et mieux produire » en France et a décidé d’y consacrer 30 milliards d’euros.
Le Plan Startups et PME Industrielles de Bpifrance sera doté de 2,3 milliards d’euros pour mettre en œuvre une volonté bien définie : créer 100 nouveaux sites industriels par an d’ici 2025. Pour cela, le plan s’articule autour de deux axes centraux que sont l’industrialisation des innovations portées par les startups et le soutien des PME-ETI industrielles dans le déploiement de projets innovants. Les entreprises industrielles pourront ainsi bénéficier de 5 types de dispositifs :

  • Aides
  • Prêts et garantie
  • Fonds propres
  • Fonds de fonds
  • Accompagnement.

Parmi ceux-ci, 4 nouvelles initiatives ont été dévoilées :

L’appel à projets 1re usine

Lancé le 19 janvier, l’appel à projets France 2030 première usine s’adresse aux entreprises ayant des projets qui impliquent l’implantation de sites pilotes et/ou de production industrielle, ainsi qu’aux initiatives consistant à mutualiser des capacités préindustrielles au profit de startups. L’appel à projets première usine se verra doté de 550 millions d’euros sur 5 ans.

Le Prêt Nouvelle Industrie

Avec 150 millions d’euros pour l’année 2022, le Prêt Nouvelle Industrie est destiné au financement de démonstrateurs industriels ou de petites usines pilotes.

Le Fonds société de projets industriels 2

Il remplace le fonds SPI lancé en 2015 et poursuivra son action d’investissement direct dédié à la création de nouvelles activités industrielles en France. Il accompagnera le passage à l’échelle industrielle et commerciale d’innovations développées par des entreprises de toutes tailles. Ce fonds bénéficiera d’un milliard d’euros.

Le Fonds national de venture industriel

Ce fonds de fonds aura pour but de favoriser l’émergence et la structuration du marché des fonds de capital-risque à vocation industrielle pouvant accompagner en fonds propres et quasi fonds propres des entreprises françaises dans leurs projets industriels. Ce fonds sera doté de 350 millions d’euros

C’est visiblement l’heure du décollage pour les startups industrielles françaises !

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