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SME-ETI

L’Université d’été du MEDEF 2019 fait sa révolution ! Tout change sauf la date ! L’évènement majeur de la rentrée adopte un nouveau concept, un nouveau lieu, une nouvelle dimension et de nouveaux formats pour devenir « La Rencontre des Entrepreneurs de France » (REF).

Les entreprises permettent bien souvent d’apporter des solutions positives aux mutations du monde, c’est pourquoi le MEDEF leur consacre ce rendez-vous annuel pour les placer au centre du débat à travers cet évènement qui est devenu au fil des années un rendez-vous de la rentrée politique et économique en France. C’est plus de 7500 chefs d’entreprise, 500 journalistes, influenceurs et intervenants prestigieux français et internationaux qui ont répondu présent à l’appel.
Des échanges exclusifs sont prévus avec Fabrice Le Saché, porte-parole et vice-Président du Medef et Frédéric Bedin, Président du directoire d’Hopscotch Groupe, agence qui orchestrera ce nouvel événement qui porte d’ores et déjà la marque du changement que l’organisation patronale a su mener.

Le MEDEF vous attend les 28 et 29 août prochains pour ce que l’on appelle encore l’Université d’été du MEDEF 2019 à l’hippodrome de Longchamp où vous serez accueillis pour un grand moment de partage, d’échanges, de débat et de convivialité autour du thème No(s) Futur(s), climat, inégalités, conflits… Quel capitalisme demain ?

Les inégalités économiques, sociales, géographiques, climatiques, fiscales, qu’elles soient perçues ou réelles, revêtent des formes multiples et représentent autant de défis à relever pour proposer un monde meilleur aux générations futures. Vous êtes conviés à en discuter sans tabou, sans langue de bois et sans refuser la controverse.

Ce programme « in » sera doubler d’un programme « off » construit avec les partenaires du MEDEF. Il offrira des moments d’échanges autour de problématiques qui concernent directement et de façon concrète la vie des PME et ETI.

Télécharger le programme provisoire (pdf)

Plus d’infos sur La REF

Voir les modalités d’inscription

L’Université d’été du MEDEF 2019 fait sa révolution ! Tout change sauf la date ! L’évènement majeur de la rentrée adopte un nouveau concept, un nouveau lieu, une nouvelle dimension et de nouveaux formats pour devenir « La Rencontre des Entrepreneurs de France » (REF).

Les entreprises permettent bien souvent d’apporter des solutions positives aux mutations du monde, c’est pourquoi le MEDEF leur consacre ce rendez-vous annuel pour les placer au centre du débat à travers cet évènement qui est devenu au fil des années un rendez-vous de la rentrée politique et économique en France. C’est plus de 7500 chefs d’entreprise, 500 journalistes, influenceurs et intervenants prestigieux français et internationaux qui ont répondu présent à l’appel.
Des échanges exclusifs sont prévus avec Fabrice Le Saché, porte-parole et vice-Président du Medef et Frédéric Bedin, Président du directoire d’Hopscotch Groupe, agence qui orchestrera ce nouvel événement qui porte d’ores et déjà la marque du changement que l’organisation patronale a su mener.

Le MEDEF vous attend les 28 et 29 août prochains pour ce que l’on appelle encore l’Université d’été du MEDEF 2019 à l’hippodrome de Longchamp où vous serez accueillis pour un grand moment de partage, d’échanges, de débat et de convivialité autour du thème No(s) Futur(s), climat, inégalités, conflits… Quel capitalisme demain ?

Les inégalités économiques, sociales, géographiques, climatiques, fiscales, qu’elles soient perçues ou réelles, revêtent des formes multiples et représentent autant de défis à relever pour proposer un monde meilleur aux générations futures. Vous êtes conviés à en discuter sans tabou, sans langue de bois et sans refuser la controverse.

Ce programme « in » sera doubler d’un programme « off » construit avec les partenaires du MEDEF. Il offrira des moments d’échanges autour de problématiques qui concernent directement et de façon concrète la vie des PME et ETI.

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SOCIÉTÉ GÉNÉRALE PRIVATE BANKING est un acteur international de référence de l’accompagnement des dirigeants et cadres d’entreprises dans leur réflexion et leur stratégie patrimoniale.
Présents dans tout l’hexagone, les ingénieurs patrimoniaux de SOCIÉTÉ GÉNÉRALE PRIVATE BANKING France conjuguent expertise pointue et proximité afin de répondre par des solutions complètes et innovantes à toutes les problématiques d’investissement, de cession, de transmission, de financement ou de philanthropie que rencontrent les dirigeants et cadres dans leur vie professionnelle et privée.
Frédéric Poilpré, Directeur de l’ingénierie patrimoniale et Franklin Wernert, Directeur de l’offre de produits et services nous parlent de l’approche globale d’une banque universelle.

L’innovation et la créativité font partie integrante de la culture économique francaise. Cependant, le nombre de brevets déposés à l’INPI tournent autour de 17 000 par an, ce qui ne reflète pas vraiment le dynamisme innovant de notre pays. Ce décalage indique clairement que la France doit faciliter et renforcer la protection de l’innovation dans un contexte mondial toujours plus concurrentiel. C’est précisement le sens du volet « propriété industrielle » de la loi PACTE promulgué le 23 mai dernier.

Par Serge de Cluny

Les entreprises françaises, quelle que soit leur taille, bénéficieront désormais d’un accès simplifié aux titres de propriété industrielle et ceux-ci verront leur solidité se renforcer. Les dispositions de la loi PACTE vont permettre aux PME et ETI d’accéder à la protection de leur propriété intellectuelle de facon plus simple, plus progressive et plus flexible grâce à des outils tels que la demande provisoire de brevet, la prologation du certificat d’utilité ou encore le brevet à examen approfondi.

La loi Pacte va par ailleurs renforcer la solidité des titres de propriété industrielle français et accroitre la confiance et la sécurité juridique de ces titres par des mesures telles que l’examen de l’activité inventive ou encore la mise en place de l’opposition administrative.
Ce volet « propriété industrielle de la loi Pacte » et les mesures qui vont avec représentent une amélioration historique de notre système de protection de l’innovation et c’est précisement la raison pour laquelle le gouvernement a choisi de l’inscrire dans la grande réforme économique de ce quinquennat.

L’INPI (Institut National de la Propriété Industrielle) ainsi que l’ensemble des acteurs de l’écosystème de la propriété industrielle sont résolument décidés à accompagner les entreprises françaises dans cette direction. Les partenaires historiques de l’INPI (Bpifrance, le Medef, Business France, les régions et en premier lieu les conseils en propriété industrielle) seront, de fait, impliqués dans cette évolution qui se fera sous le signe de la dématérialisation des procédures. Celle-ci, initiée depuis quelques années et achevée sous peu, va permettre à l’INPI de remobiliser des ressources humaines et financières et de mettre en place les outils et les accompagnements nécessaires à l’organisation de ce nouveau système.

L’INPI, présente dans toutes les régions de l’hexagone et à l’international, semble clairement obtenir les moyens de la réussite dans son rôle d’accompagnement et d’aide aux PME et ETI françaises pour protéger leur droit de propriété intellectuelle et par là même de renforcer leur compétitivité et celle de notre économie.

L’innovation et la créativité font partie integrante de la culture économique francaise. Cependant, le nombre de brevets déposés à l’INPI tournent autour de 17 000 par an, ce qui ne reflète pas vraiment le dynamisme innovant de notre pays. Ce décalage indique clairement que la France doit faciliter et renforcer la protection de l’innovation dans un contexte mondial toujours plus concurrentiel. C’est précisement le sens du volet « propriété industrielle » de la loi PACTE promulgué le 23 mai dernier.

Par Serge de Cluny

Les entreprises françaises, quelle que soit leur taille, bénéficieront désormais d’un accès simplifié aux titres de propriété industrielle et ceux-ci verront leur solidité se renforcer. Les dispositions de la loi PACTE vont permettre aux PME et ETI d’accéder à la protection de leur propriété intellectuelle de facon plus simple, plus progressive et plus flexible grâce à des outils tels que la demande provisoire de brevet, la prologation du certificat d’utilité ou encore le brevet à examen approfondi.

La loi Pacte va par ailleurs renforcer la solidité des titres de propriété industrielle français et accroitre la confiance et la sécurité juridique de ces titres par des mesures telles que l’examen de l’activité inventive ou encore la mise en place de l’opposition administrative.
Ce volet « propriété industrielle de la loi Pacte » et les mesures qui vont avec représentent une amélioration historique de notre système de protection de l’innovation et c’est précisement la raison pour laquelle le gouvernement a choisi de l’inscrire dans la grande réforme économique de ce quinquennat.

L’INPI (Institut National de la Propriété Industrielle) ainsi que l’ensemble des acteurs de l’écosystème de la propriété industrielle sont résolument décidés à accompagner les entreprises françaises dans cette direction. Les partenaires historiques de l’INPI (Bpifrance, le Medef, Business France, les régions et en premier lieu les conseils en propriété industrielle) seront, de fait, impliqués dans cette évolution qui se fera sous le signe de la dématérialisation des procédures. Celle-ci, initiée depuis quelques années et achevée sous peu, va permettre à l’INPI de remobiliser des ressources humaines et financières et de mettre en place les outils et les accompagnements nécessaires à l’organisation de ce nouveau système.

L’INPI, présente dans toutes les régions de l’hexagone et à l’international, semble clairement obtenir les moyens de la réussite dans son rôle d’accompagnement et d’aide aux PME et ETI françaises pour protéger leur droit de propriété intellectuelle et par là même de renforcer leur compétitivité et celle de notre économie.

Le B7 s’est réuni les 4 et 5 juillet sous la présidence du MEDEF à Aix en provence. Accueilli par « the camp« , l’évènement a eu pour thème cette année « Inclusive, Sustainable Economic Growth and Governance for the 21st Century » (Croissance économique et gouvernance inclusives pour le 21e siècle). Pour la première fois, un accord semble se dessiner avec le L7 qui représente les syndicats.  

Les délégations du B7 ont d’abord été reçues à l’Elysée le 3 juillet par le président de la République Emmanuel Macron avant l’ouverture officielle du sommet par Geoffroy Roux de Bézieux et ses homologues étrangers.
Plusieurs représantants du gouvernement étaient également présents comme Muriel Pénicaud ou Jean-Baptiste Lemoyne.
Enfin, les débat ont été clôturés par Christine Lagarde, l’actuelle directrice générale du FMI et future présidente de la BCE.

The Camp - B7

Les chefs d’entreprise et experts internationaux des pays membres du G7 (Allemagne, Canada, États-Unis, France, Italie, Japon et Royaume-Uni) se sont réuni pour le B7 en lien direct avec l’agenda du G7 qui aura lieu à Biarritz en août prochain autour de la lutte contre les inégalités.

Le B7 est la plateforme officielle du monde économique en lien avec le G7. En effet, l’évènement rassemble les principales fédérations patronales des pays du G7 et a pour fonction de formuler des recommandations sur des thématiques en rapport avec l’activité des entreprises et le commerce international.
Le sommet a abordé cette année des thèmes aussi variés que la transition numérique et la cybersécurité, le commerce et les investissements internationaux, le climat et la biodiversité ou encore les inégalités.

Il est à noter que pour la première fois de l’histoire des sommets Business 7, les représentants des syndicats (L7) et des entrepreneurs (B7) s’accordent sur un agenda social en vue du G7.
Cet accord donne un élan inédit à la question de la croissance durable, de même que les Accords de Paris ont marqué un tournant pour la question climatique. Le G7 devrait mettre le sujet à l’ordre du jour afin que soit proposé un accord sur une réforme globale de la gouvernance internationale replaçant le social au cœur du projet. 





La protection des données ne peut être solutionnée uniquement par la sécurité informatique. En effet, les données sensibles sur papier ou supports numériques, également soumis à la RGPD européenne, doivent être sécurisées et systématiquement détruites.
HSM France, dont le siège social est en Allemagne, propose toute une gamme de destructeurs de documents avec différents niveaux de sécurité qui répondent à l’ensemble des enjeux qu’une entreprise peut rencontrer dans ce domaine.
Pascal Lux, Directeur Commercial HSM France, nous en fait la démonstration.

Les performances et processus financiers d’une entreprise forment un domaine complexe qui doit être confié à de véritables experts. AC&S permet aux directions générales et financières de rester maîtres de leurs comptes grâce à des solutions de proximité, transversales et collaboratives.
Jean-Marie Philips, fondateur et dirigeant, nous présente l’approche d’AC&S pour répondre à ces enjeux.

Les performances et processus financiers d’une entreprise forment un domaine complexe qui doit être confié à de véritables experts. AC&S permet aux directions générales et financières de rester maîtres de leurs comptes grâce à des solutions de proximité, transversales et collaboratives.
Jean-Marie Philips, fondateur et dirigeant, nous présente l’approche d’AC&S pour répondre à ces enjeux.

L’Hôtel Belles Rives reste un des symboles les plus mythiques de la Côte d’Azur. Il regroupe en son sein tout le glamour des années folles avec ses murs art déco, ses fresques cubistes et ses céramiques chatoyantes. Idéalement situé sur une crique au bord de l’eau faisant face aux îles de Lérins et de l’Estérel, le célèbre cinq étoiles fait rayonner la Côte d’Azur dans tout ce qu’elle a de plus lifestyle : ciel bleu, mer iconique, gastronomie et soirées folles. 

Tout commence en 1925 avec le mythique couple Fitzgerald. L’écrivain américain et son épouse passent leurs vacances chez des amis près d’Antibes. Enchantés par la région, c’est en cherchant une maison à louer qu’ils tombent sous le charme d’une belle demeure en bord de mer à Juan-les-pins nommée Saint-Louis. Celle-ci reçoit des hôtes célèbres à l’abri des regards comme Rudolf Valentino et Ernest Hemingway mais l’endroit devient très vite « tendance », toute la jet-set de l’époque s’y retrouve. Quelques années plus tard, la maison sera baptisée « Hôtel Belles Rives ».

Un lobby au charme d’antan

C’est dans la Villa Saint-Louis que Fitzgerald va créer son chef d’œuvre « Tendre est la nuit », suivi ensuite par le fameux « Gatsby le magnifique ». C’est en 1929 que ce haut-lieu de la génération perdue deviendra l’Hôtel Belles Rives avec l’arrivée de nouveaux propriétaires. Boma Estène, d’origine Russe, et son épouse Simone, héritière d’une lignée d’hôteliers antiboise, réussiront le pari de transformer la demaure en un écrin hôtelier, mais surtout ils arriveront à marquer de leur empreinte cette adresse.

Cette empreinte va traverser le temps jusqu’en 2001, l’année où Marianne Estène-Chauvin, la petite-fille de Boma et Simone, entreprend de racheter l’hôtel aux membres de sa famille. L’objectif sera d’ancrer Belles Rives dans la modernité.

La suite Zelda, la bien nommée

Chacunes différentes, les 42 chambres possèdent pour certaines un balcon et ont été décorées dans art déco le plus pur style : lignes droites 1930, façon Ruhlmann et fantaisies des années 50 style Madeleine Castaing. Aménagées de fauteuils en bois de loupe et de « bridge », ils sont mis en valeur par des velours façonnés de chintz et d’indiennes signés Pierre Frey.

Les couloirs menant aux chambres ont des airs de bastingage. Lambris acajou et tapisseries reflètent le style « bateau » dans des tons de bleu et de blanc. La moquette bleue a été conçue en exclusivité pour le palace par la manufacture Jules Flippo. Elle est ornée de motifs marins inspirés du paquebot « Normandie » et d’une note de musique.

En toute harmonie avec les chambres, les salles de bains à l’atmosphère chaude et raffinée font la part belle au marbre. Marbre de Carrare « Cuisse de nymphe émue » ou marbre de couleur vert fougère, pourpre ou jaune d’or. Une belle prouesse.

Chaque chambre de l’hôtel Belle Rive a son style propre

A quelques encablures de l’établissement, Marianne Estène-Chauvin a également exporté son savoir-faire dans l’Hôtel Juana, petit frère du mythique Belles Rives.

Le Chef étoilé Aurélien Véquaud dirige les cuisines de l’hôtel Belle Rive

Il n’est pas tout à fait l’heure de lever l’ancre puisqu’il vous reste la découverte de la carte sucrée du chef Steve Moracchini. Consacré « Chef Pâtissier de l’année 2016 » au palmarès Gault & Millau, le maestro vous posera bien des dilemmes culinaires entre son farci de crème glacée à la fleur de cerisier aux effluves d’arabica et amaretto, son dessert aux fraises fraîches et jus au thé, ou encore son soufflé au citron de la Méditerranée rafraîchi d’un sorbet kalamansi.

Ensuite dirigez-vous tranquillement vers le piano bar Fitzgerald pour un drink d’anthologie. Bar mythique, le Fitzgerald fait partie du cercle fermé des « Cafés historiques et patrimoniaux d’Europe ». Convivial, chaleureux, raffiné, il est animé par un pianiste tous les soirs en saison et chaque samedi et dimanche pour des « tea-time » en musique.

Des hôtes préfèrent déguster un cocktail dans les fauteuils Club originaux de ce bar très « cosy » ou sur sa terrasse romantique face aux îles de Lérins. On oubliera pas de s’arrêter par le salon signé pur 1930 et décoré de tableaux d’époque ou par le fumoir, un espace confidentiel réservé aux amateurs de bons cigares.

Le mythique bar Fitzgerald

Pas question d’avoir grise mine le matin venu : cap sur le Beauty Corner qui se trouve à mi-chemin entre l’hôtel et la plage. Ici, la Maison Valmont vous accueille dans son refuge le temps d’une prescription bien-être et beauté. Au programme : soin réparateur solaire, rituel purification, massage entre ciel et terre, et pour toucher la quintessence, le soin d’exception l’Elixir des glaciers. Le bonheur à l’état pur !

La plage privée du Belles Rives est très prisée. Elle se veut un complexe balnéaire à part entière. Equipée d’un embarcadère aménagé pour les activités nautiques et l’accostage des bateaux. Les fans de la série télévisée « Amicalement Vôtre » reconnaîtront le ponton immortalisé dans le générique. Les restaurants « Plage Belles Rives » et « Les Cabines » offrent une restauration à la carte à la belle saison. Ne sommes-nous pas dans ce que l’on appelle aujourd’hui un « resort » inventé bien avant l’heure ? lance la maîtresse des lieux.

Berceau du ski nautique

En maîtres de maison attentionnés et passionnés, Marianne Estène-Chauvin et son fils Antoine nous accueillent dans leur demeure de légende avec l’envie de partager l’intemporalité qui imprègne les murs. Le Prix Fitzgerald décerné chaque année à une œuvre littéraire reflétant « l’élégance, l’esprit, le goût du style et l’art de vivre » de l’écrivain américain illustre la magie intacte laissée par l’auteur de Gatsby, le magnifique. Douce est la vie !

Carnet de route :

Hôtel belles rives
33, boulevard Edouard Baudoin
06160 Juan-les-Pins – Cap d’Antibes

Téléphone : +33 4 93 61 02 79

e-Mail :info@bellesrives.com

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