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SME-ETI

Les revenus immobiliers des expatriés français (hors Europe) tirés sur des biens situés dans l’Hexagone vont se voir pénalisés par deux mesures votées en fin d’année qui vont modifier les règles en place. Par Franck Boccara Mauvaise nouvelle fiscale pour nos compatriotes qui vivent hors d’Europe et beneficient de revenus immobiliers en france. En effet, le gouvernement a adopté un amendement dans le cadre du projet de loi de finances qui va rehausser de 20 à 30% l’imposition des revenus de source française. Il faut savoir que les revenus immobiliers des expatriés français tirés sur des biens situés dans l’Hexagone ne sont pas indexés au barème progressif de l’impôt sur le revenu (tranches de 0 à 45%). Ceux-ci sont soumis à un taux moyen minimal de façon à ce que ces gains n’échappent pas à l’impôt ou ne soient pas imposés trop faiblement. La seule manière de contourner ce taux minimal est de prouver que la taxation française sur la totalité de vos revenus mondiaux aboutirait à un taux d’imposition inférieur mais cette solution reste très rarement utilisée. Ce qui est sûr, c’est que cette imposition à 30%  qui va toucher les revenus perçus dès 2018 ne va pas être neutre pour les expatriés qui tirent des revenus locatifs sur le sol français. Par exemple, un propriétaire qui bénéficie de 20.000 euros de revenus locatifs sera dorénavant imposé à 6.000 euros, contre 4.000 euros avec l’imposition actuelle à 20%, ou même 1.427 euros si celui-ci était soumis au barème progressif de l’impôt sur le revenu (avec un taux moyen équivalent à 6,5%) . Pour atteindre un taux d’imposition moyen de 30% en suivant le barème progressif classique, un célibataire doit engranger 125.000 euros de revenus nets imposables… Cependant, cette mauvaise nouvelle va toutefois être compensée pour certains de nos expatriés par un autre amendement adopté, cette fois-ci, dans le cadre du projet de loi de financement de la sécurité sociale. En effet, celui-ci devrait réduire de 17,2% à 7,5% le taux de prélèvements sociaux appliqué sur ces mêmes revenus de source française. Le seul bémol étant que ce cadeau s’appliquera uniquement aux résidents de l’espace économique européen et suisses. Les revenus immobiliers des expatriés français hors d’Europe seront donc les plus fortement touchés par cette double mesure fiscale dans la mesure où d’un côté, il vont voir leur imposition sur le revenu augmenter et de l’autre ils ne pourrons pas profiter de la diminution des prélèvements sociaux accordée en contrepartie.
La réforme de la formation aura été un des chantiers les plus marquants de 2018 pour notre ministre du travail Muriel Pénicaud. En effet, le monde de la formation professionnelle, continue et de l’apprentissage a été chamboulé par le projet de loi « pour la liberté pour choisir son avenir professionnel »  dont le but est de changer les règles du milieu en amorçant une transition vers plus de simplicité et de transparence. Voici quelques notions pour mieux comprendre la réforme de la formation et s’y préparer. Par Franck Boccara Le Compte Personnel de Formation (CPF), que tout le monde connait, va connaitre certains changements. Actuellement et jusqu’à janvier 2019, chaque salarié français est crédité de 24 heures de « droit » à la formation sur son CPF. Dorénavant, pour être plus transparent et plus clair, ce même CPF va être converti en euros. Chaque salarié sera ainsi crédité de 500 euros par an s’il est qualifié ou 800 s’il ne l’est pas. Le Congé Individuel de Formation (CIF) devient le « CPF de transition professionnelle » qui, comme son prédécesseur, est un droit accordé au salarié lui permettant de prendre des congés pour suivre une formation et potentiellement de se reconvertir. Le plan de formation devient, pour sa part, le plan de développement de compétences. Il va cesser la séparation et classification des formations, ce qui rendra la mise en place des actions de formation plus simple pour les entreprises. Les Organismes Paritaires Collecteurs Agréés (OPCA) sont rebaptisés en OPCO (Opérateurs de Compétences). Ils ont toujours en charge de collecter les obligations financières mais sont réduits en nombre. Quant aux obligations financières, elles sont également modifiées dans la mesure où il n’en restera plus qu’une seule qui sera collecté par l’URSAFF. Une nouvelle entité France Compétences est créée dont la fonction est de réguler la qualité et les prix des formations. Elle va rassembler COPANEF, CNEFOP, FPSPP et la CNCP et sera gérée en entre autre par l’Etat. Une application mobile destinée à l’utilisation et la gestion de son CPF afin que le titulaire du CPF puisse bénéficier d’un meilleur contrôle. Une phase de mise en place ainsi qu’une version anticipée sera disponible pour le premier semestre 2019 tandis que la version finale est prévue pour le second semestre 2019. Nous voila donc à l’aube d’une année 2019 qui sera marquée par la mise en oeuvre de la réforme de la formation. Cette transition va représenter un véritable changement pour les formateurs ainsi que pour les futurs formés, l’essentiel étant d’arriver au final à plus d’efficacité.
La réforme de la formation aura été un des chantiers les plus marquants de 2018 pour notre ministre du travail Muriel Pénicaud. En effet, le monde de la formation professionnelle, continue et de l’apprentissage a été chamboulé par le projet de loi « pour la liberté pour choisir son avenir professionnel »  dont le but est de changer les règles du milieu en amorçant une transition vers plus de simplicité et de transparence. Voici quelques notions pour mieux comprendre la réforme de la formation et s’y préparer. Par Franck Boccara Le Compte Personnel de Formation (CPF), que tout le monde connait, va connaitre certains changements. Actuellement et jusqu’à janvier 2019, chaque salarié français est crédité de 24 heures de « droit » à la formation sur son CPF. Dorénavant, pour être plus transparent et plus clair, ce même CPF va être converti en euros. Chaque salarié sera ainsi crédité de 500 euros par an s’il est qualifié ou 800 s’il ne l’est pas. Le Congé Individuel de Formation (CIF) devient le « CPF de transition professionnelle » qui, comme son prédécesseur, est un droit accordé au salarié lui permettant de prendre des congés pour suivre une formation et potentiellement de se reconvertir. Le plan de formation devient, pour sa part, le plan de développement de compétences. Il va cesser la séparation et classification des formations, ce qui rendra la mise en place des actions de formation plus simple pour les entreprises. Les Organismes Paritaires Collecteurs Agréés (OPCA) sont rebaptisés en OPCO (Opérateurs de Compétences). Ils ont toujours en charge de collecter les obligations financières mais sont réduits en nombre. Quant aux obligations financières, elles sont également modifiées dans la mesure où il n’en restera plus qu’une seule qui sera collecté par l’URSAFF. Une nouvelle entité France Compétences est créée dont la fonction est de réguler la qualité et les prix des formations. Elle va rassembler COPANEF, CNEFOP, FPSPP et la CNCP et sera gérée en entre autre par l’Etat. Une application mobile destinée à l’utilisation et la gestion de son CPF afin que le titulaire du CPF puisse bénéficier d’un meilleur contrôle. Une phase de mise en place ainsi qu’une version anticipée sera disponible pour le premier semestre 2019 tandis que la version finale est prévue pour le second semestre 2019. Nous voila donc à l’aube d’une année 2019 qui sera marquée par la mise en oeuvre de la réforme de la formation. Cette transition va représenter un véritable changement pour les formateurs ainsi que pour les futurs formés, l’essentiel étant d’arriver au final à plus d’efficacité.
Des rencontres Ukraine seront organisées par Business France le lundi 10 décembre 2018 à Paris en partenariat avec la CCI Franco-Ukrainienne et la Section Ukraine des conseillers du commerce extérieur de la France. Ces rencontres Ukraine annuelles de la communauté d’affaires française intéressée par l’Ukraine sont organisées par Business France en partenariat avec la CCI Franco-Ukrainienne, la Section Ukraine des Conseillers du Commerce Extérieur de la France et de nombreux opérateurs privés implantés en Ukraine. Le séminaire se déroulera sous forme de réflexion collective autour des principaux sujets d’interrogation actuels, en présence de praticiens de tout premier plan. Les rencontres individuelles qui suivront rassembleront de nombreux prestataires disposant d’une expérience de terrain et d’une présence permanente dans ce pays. Ces rencontres Ukraine vont permettre d’informer concrètement les PME et ETI qui souhaiteraient en savoir plus sur ce pays d’Europe d’environ 45 millions d’habitants.
  • Lundi 10 décembre 2018, Paris, Business France (77 Boulevard Saint Jacques – 75014 Paris)
  • Organisateur(s) : Business France – Service Evénements spéciaux
  • Contact : Michel KEFELI
  • Téléphone : +33 (0)1 40 73 37 30
Frais de participation : 190,00€ HT
Inscription en ligne :
Données économiques Principales données économiques (source : DG Trésor http://www.tresor.economie.gouv.fr/Pays/ukraine) PIB (2016) : 93,27 Mds USD (sans la Crimée – source : FMI). PIB par habitant (2016) : 2185,76 USD (2013 : 3960 USD/hab., avant la dévaluation de la hryvnia.). Salaire moyen : 220 USD. Taux de croissance (2017) : 2% Taux de chômage (2016) : 9%. Taux d’inflation (2017) : 14,2% Solde budgétaire (2017) : – 3 % Balance commerciale (2017) : – 0,2% du PIB (DGT). Dette publique (perspective 2017) : 92% du PIB (2014 : 72,7%) Part des principaux secteurs d’activité dans le PIB (2016) : Agriculture (38%) et Industrie (métallurgie) (28%) Exportations de la France vers l’Ukraine (2016) : 722M€. Importations françaises depuis l’Ukraine (2016) : 570M€. Présence française Consulat général de France : Kiev. Communauté française en Ukraine : 940 personnes inscrites au registre. Situation économique L’économie de l’Ukraine est la 3ème de la CEI (PIB : 93,3Mds$ en 2016). Le pays bénéficie d’un potentiel économique important : ressources minières, énergétiques et agricoles. L’Ukraine est également un pays industriel, le 10ème producteur mondial d’acier et l’un des 10 premiers exportateurs d’armes. Le secteur privé représente 60% du PIB. La croissance du PIB s’est élevée à 2% en 2017. Une reprise de 2-3% annuels, sous l’effet de nouveaux crédits et d’investissements, pourrait intervenir en 2017-2018. L’accord de confirmation (Stand By Arrangement) du FMI (7,1 Mds $ sur 2014-2015, 4,6 Mds $ versés en 2014) a été converti en Extended Fund Facility de 17,5 Mds $ sur 4 ans à partir de 2015. 7,7 Mds $ ont déjà été versés. Tous les bailleurs internationaux (FMI, BERD, UE, G7, BM) exercent une surveillance étroite et nécessaire du respect des conditionnalités qu’ils partagent, en particulier sur la lutte contre la corruption et la réforme du secteur énergétique. L’Union européenne est le 1er contributeur financier net à l’Ukraine en 2014 et a décidé d’apporter une troisième assistance macro-financière de 1,8Md€ à l’Ukraine.
La CCI Lyon Métropole organise : L’atelier RH / CO-DEVELOPPEMENT EN MANAGEMENT qui aura lieu lundi 10/12 (matin) à Saint-Etienne Objectifs des ateliers RH  :  – Gagner en efficacité grâce à des outils et de la méthodologie directement utilisables – Bénéficier d’un retour concret d’expériences vécues – Gagner en assurance et en prise de recul grâce aux échanges et aux expertises des intervenants – Se créer un réseau de pairs en capacité de partager sur ses pratiques et de co-construire
PROGRAMME
1 demi-journée sur le co-développement en management animée par Patricia YON, YRH Conseil – Partager, échanger sur des problématiques, des pratiques et des expériences sur la thématique du management – Bénéficier de conseils opérationnels Public : Dirigeants, directeurs, personnes en charge des RH (pour PME, ETI et Grands comptes) Tarif : 150 € HT la 1/2 journée, soit 150 € HT le module Co-développement en management. Inscription : Veuillez remplir le bulletin d’inscription et le renvoyer à Amandine Barlet, – soit par mail à : a.barlet@lyon-metropole.cci.fr – soit par courrier à : CCI LYON METROPOLE, Délégation de Saint-Etienne Amandine BARLET 57 cours Fauriel CS 70 374 42024 Saint-Etienne cedex 2
ORGANISATEURS
CCI LYON METROPOLE Saint-Etienne Roanne
Amandine BARLET a.barlet@lyon-metropole.cci.fr Tel : 04 77 43 04 40 M : 06 37 17 62 30
La CCI Lyon Métropole organise : L’atelier RH / CO-DEVELOPPEMENT EN MANAGEMENT qui aura lieu lundi 10/12 (matin) à Saint-Etienne Objectifs des ateliers RH  :  – Gagner en efficacité grâce à des outils et de la méthodologie directement utilisables – Bénéficier d’un retour concret d’expériences vécues – Gagner en assurance et en prise de recul grâce aux échanges et aux expertises des intervenants – Se créer un réseau de pairs en capacité de partager sur ses pratiques et de co-construire
PROGRAMME
1 demi-journée sur le co-développement en management animée par Patricia YON, YRH Conseil – Partager, échanger sur des problématiques, des pratiques et des expériences sur la thématique du management – Bénéficier de conseils opérationnels Public : Dirigeants, directeurs, personnes en charge des RH (pour PME, ETI et Grands comptes) Tarif : 150 € HT la 1/2 journée, soit 150 € HT le module Co-développement en management. Inscription : Veuillez remplir le bulletin d’inscription et le renvoyer à Amandine Barlet, – soit par mail à : a.barlet@lyon-metropole.cci.fr – soit par courrier à : CCI LYON METROPOLE, Délégation de Saint-Etienne Amandine BARLET 57 cours Fauriel CS 70 374 42024 Saint-Etienne cedex 2
ORGANISATEURS
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L’industrie du futur s’oriente vers l’intelligence artificielle, la robotisation, la réalité virtuelle, l’impression 3D… l’industrie du XXIe siècle est au cœur d’une véritable révolution technologique. Comment se préparer à ces mutations ? Quelles seront les solutions incontournables de l’entreprise connectée de demain ? Pour échanger sur ces thématiques et découvrir les nouveaux visages de l’industrie du futur, la CCI Paris Île-de-France vous invite à participer, le 17 décembre, à une grande rencontre sur le thème : Industrie du futur, une réalité d’aujourd’hui.
En Ile-de-France, tous les dirigeants de PME et ETI industrielle ont à relever les mêmes enjeux : améliorer leur performance opérationnelle, intégrer des technologies numériques… afin de garder une longueur d’avance sur les autres acteurs du marché. La CCI Paris Ile-de-France met donc en oeuvre plusieurs actions Industrie du futur auprès des entreprises franciliennes. Avec l’opération Offreurs de solutions, initiée par l’Alliance Industrie du Futur, l’objectif est de recenser les offreurs de solutions d’Ile-de-France afin d’alimenter le répertoire national permettant aux PME d’identifier des partenaires pour les accompagner dans leur projet de transformation industrielle. 134 offreurs de solutions franciliens sont à ce jour répertoriés. Cofinancé par l’Union européenne (Feder), le programme Usine Numérique Ile-de-France permet à des entreprises d’expérimenter des logiciels (les utilisateurs étant accompagnés par une formation) ou des technologies par la réalisation de démonstrateurs. Le Comité Industrie du Futur Ile-de-France, lancé en mars 2018, fédère quant à lui 9 organisations professionnelles, 3 centres techniques et les CCI d’Ile-de-France, afin de favoriser la transversalité interprofessionnelle dans l’intérêt des PME industrielles. Enfin, pour permettre aux entreprises de se projeter vers l’industrie du futur et d’en découvrir les nouveaux visages, la CCI Paris Ile-de-France organise, en partenariat avec la Région Ile-de-France, une grande rencontre à Paris, le 17 décembre prochain de 13h30 à 20h. Tous les acteurs de l’industrie du futur ainsi que les industriels franciliens y sont attendus. Au programme :
  • 9 ateliers de 20 minutes sur des thèmes tels que : formation aux métiers du futur, intelligence artificielle, fabrication additive, cybersécurité, robotisation, parcours d’accompagnement & aides financières…
  • 16 démonstrations proposées par 37 offreurs de solutions,
  • une table-ronde sur les enjeux et perspectives de l’industrie du futur,
  • des stands animés par les partenaires de la manifestation : AIF, Direccte/BPI, Région IDF, pôles de compétitivité, Comité industrie du futur IDF, CCI Paris Ile-de-France et ses écoles.
Pour consulter le programme détaillé et s’inscrire
Adresse : 27, avenue de Friedland, 75008 PARIS
Accès : Métro/RER Charles de Gaulle-Etoile
CONTACT
L'épargne salariale en temps d'inflation
L’épargne salariale va voir ses règles modifiées par la loi Pacte qui, bien que pas encore votée, va dans le bon sens pour les salariés. Ceux-ci peuvent considérer cette loi comme une bonne nouvelle car elle apporte des choses extraordinaires pour doper l’épargne salariale dans les entreprises. Petit tour d’horizon rapide…. Par Eric Orsini De fait, le Plan d’action pour la croissance et la transformation des entreprises (Pacte) est un projet de loi du Gouvernement d’Édouard Philippe qui a pour but de booster la croissance des entreprises françaises et dont un volet va réformer les mécanismes d’épargne salariale. L’épargne salariale, on le sait, est un système d’épargne collectif qui est mis en place au sein de certaines entreprises. Ce système va consister à verser à chaque salarié une prime liée à la performance de l’entreprise (intéressement) ou qui représente une quote-part de ses bénéfices (participation). Ces sommes attribuées peuvent être versées directement au salarié si il le désire ou être déposées sur un plan d’épargne salariale (abondement dans un PEE ou PERCO).
Le projet de loi Pacte, qui a été présenté en juin et voté en septembre, affiche un objectif majeur : celui de favoriser l’épargne salariale. À condition d’être appliquée, cette réforme prévoit de moins taxer les TPE et les PME si elles reversent une partie de leurs bénéfices aux salariés qui pourront ainsi toucher un intéressement ou une participation. Cette exonération du forfait social va concerner aussi l’abondement. de ce fait, les entreprises de moins de 50 salariés vont être incitées à augmenter les versements sur les plans d’épargne salariale ou sur les Perco (Plan d’épargne retraite collectif).
De plus, la loi Pacte pourrait avoir un effet sur d’autres éléments. Elle est destinée tout d’abord à inciter au développement de la gestion pilotée de l’épargne retraite, afin de la rendre plus productive. Le projet de loi prévoit par ailleurs un meilleur transfert entre les différents produits, notamment si le salarié change d’employeur. On peut y voir également une plus grande liberté de sortie qui sera accordée aux salariés. En effet, ces derniers pourront, une fois à la retraite, toucher leur épargne plus facilement et sous la forme qu’ils choisiront : capital, rente viagère ou mixte.
HALLES PRESTIGE fournit les restaurants, hôtels, traiteurs et boulangeries en fruits et légumes en leur apportant un service adapté précisément à leurs besoins. Basé au M.I.N de Rungis, HALLES PRESTIGE fait partie des leaders dans ce domaine en France avec plus d’un millier de clients sur la région parisienne. Success story d’une PME et de son dirigeant, Michael SARFATI
 
Comment obtenir une labellisation Medicen Paris Région avec à la clé de 100 000 à 500 000 euros d’aides qui sont destinées au développement d’innovations dans les PME et ETI d’Île-de-France ? L’appel à projets s’adresse en priorité aux PME et ETI qui souhaitent déposer des projets d’innovation en santé et dans le numérique. Voici toutes les conditions pour présenter une demande de labellisation.
Pour profiter de l’accompagnement du pôle, il faudra déposer votre lettre d’intention avant le 21 novembre 2018 à 12h00. Voici les documents nécessaires pour le faire :
Téléchargez le texte d’appel à projet Téléchargez la lettre d’intention à envoyer à Medicen Téléchargez la fiche synthétique à envoyer à Medicen

DEPOSEZ votre demande de labellisation Medicen

Innov’up Leader PIA est un appel à projets lancé par l’État et la Région Île-de-France pour soutenir l’innovation dans 7 filières stratégiques franciliennes. Opéré par Bpifrance, il est ouvert à compter du 20 mars. Les filières éligibles L’appel à projets s’adresse prioritairement aux PME dont les projets d’innovation contribuent au développement des filières stratégiques de la Région Île-de-France :
  • Santé (dont biotechnologies, dispositifs médicaux, silver économie) ;
  • Numérique (dont big data, calcul haute performance, infrastructures numériques, intelligence artificielle, internet des objets, logiciels).
  Par ailleurs, des ETI pourront également être éligibles si leurs projets d’innovation s’inscrivent dans cinq thématiques spécifiquement ciblées :
  • l’industrie du futur,
  • l’intelligence artificielle,
  • la robotique.
  Des dates cruciales à retenir et à ne pas manquer
  • 21 novembre 2018 12h : Date limite de réception des lettres d’intention (en pièce jointe à ce mail)
  • Du 22 novembre au 14 décembre 2018 : Rencontre avec un référent pour donner avis + recommandations d’amélioration
  • 14 décembre 2018  14h : Date limite de réception de la fiche synthétique
  • 17 décembre & 18 décembre 14h-19h00 : Audition de labellisation devant le comité d’évaluation des projets de Medicen

Pour plus d’information, n’hésitez pas à contacter l’Equipe Projets R&D:
De notre côté, nous souhaitons bonne chance à tous les entreprises qui présenteront leur candidature !
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