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SME-ETI

Le Conseil de l’innovation a tenu sa séance inaugurale le 18 juillet sous la présidence de Bruno Le Maire, ministre de l’économie et des Finances et de Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation. Florence Parly, ministre des Armées, et Mounir Mahjoubi, secrétaire d’État auprès du Premier ministre, chargé du Numérique étaient également présents pendant la cérémonie de lancement de cette structure qui devra injecter 250 millions d’euros par an vers les start-ups innovantes. Par Franck Boccara Le Conseil de l’innovation, annonce depuis quelques mois est désormais une réalité qui aura pour fonction de coordonner les investissements qui vont découler du Fonds pour l’innovation et l’industrie, ex-Fonds pour l’innovation de rupture. L’état s’est engagé à investir 4,5 milliards d’euros sur le quinquennat, tous dispositifs confondus à travers ce fonds qui est doté de 10 milliards d’euros dont l’origine provient des récentes cessions d’actifs de l’état dans différentes grandes entreprises. 1.6 milliards sont d’ores et déjà disponibles après les cessions d’actifs de Renault et Engie, ainsi que 8.4 milliards provenants des apports de titres de Thales et EDF. Viendront s’ajouter par la suite les cessions d’actifs provenants de la privatisation partielle d’ADP, de la Française de jeux et à nouveau d’Engie. La répartion du fonds Le rendement estimé de ce fonds étant de 2,5 %, cela devrait générer 250 millions d’euros par an et cette somme sera répartie comme suit:
  • 70 millions d’aides seront dédiés à la « deep tech » dont la coordination sera assurée par Bpifrance. Des bourses allant jusqu’à 90.000 euros par entreprise seront prises en charge par ce volet et 40 millions d’euros sur les 70 seront destinés à des prêts pour les entreprises innovantes
  • De plus, 150 millions d’euros seront consacrés à des « grands défis » technologiques dont les deux premiers ont été choisies lors de la séance inaugurale du Conseil de l’innovation : le premier consiste à améliorer les diagnostics médicaux par le biais de l’Intelligence artificielle (IA), le second porte sur la certification et la fiabilisation des systèmes ayant recours à l’IA.
  • 25 millions d’euros sont orientés vers le plan Nano 2022.
  • Enfin, Les 5 derniers millions d’euros seront alloués selon les besoins, selon l’appréciation du Conseil de l’innovation.
Le Conseil de l’innovation aura pour principal role d’indentifier et de sélectionner les secteurs les plus prometteurs et d’y attribuer les moyens du fonds. Des personnalités telles que Bruno Potier, le PDG d’Air Liquide, Eric Careel, fondateur de la start-up Withings et meme Isabelle Ryl, directrice générale déléguée à l’Inria siègeront au conseil. Le rapport sur les aides à l’innovation Celui-ci a été remis même jour à Bruno Le Maire et Frédérique Vidal, la ministre de l’Enseignement supérieur. Le rapport reste sur les bases acquises dans la mesure où les auteurs estiment que toutes ces aides ont leur raison d’être et représentent même un « facteur clef de performance ». Un avis que ne partage pas vraiment Bruno Le Maire qui y voit plutot « un maquis d’aides à l’innovation dans lequel personne ne peut se retrouver ». Les auteurs du rapport soulignent que les différents acteurs ont davantage besoin de stabilité que de simplification et pointent du doigt la nécessité de fluidifier les transferts de technologies, surtout des laboratoires vers les entreprises. Ce manque de fluidité avait été pris en compte dans le projet de loi Pacte qui souhaite le résoudre en simplifiant par exemple le passage des chercheurs publics vers le privé, notamment de manière à leur permettre de profiter davantage du bénéfice de leurs découvertes.
Le Conseil de l’innovation a tenu sa séance inaugurale le 18 juillet sous la présidence de Bruno Le Maire, ministre de l’économie et des Finances et de Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation. Florence Parly, ministre des Armées, et Mounir Mahjoubi, secrétaire d’État auprès du Premier ministre, chargé du Numérique étaient également présents pendant la cérémonie de lancement de cette structure qui devra injecter 250 millions d’euros par an vers les start-ups innovantes. Par Franck Boccara Le Conseil de l’innovation, annonce depuis quelques mois est désormais une réalité qui aura pour fonction de coordonner les investissements qui vont découler du Fonds pour l’innovation et l’industrie, ex-Fonds pour l’innovation de rupture. L’état s’est engagé à investir 4,5 milliards d’euros sur le quinquennat, tous dispositifs confondus à travers ce fonds qui est doté de 10 milliards d’euros dont l’origine provient des récentes cessions d’actifs de l’état dans différentes grandes entreprises. 1.6 milliards sont d’ores et déjà disponibles après les cessions d’actifs de Renault et Engie, ainsi que 8.4 milliards provenants des apports de titres de Thales et EDF. Viendront s’ajouter par la suite les cessions d’actifs provenants de la privatisation partielle d’ADP, de la Française de jeux et à nouveau d’Engie. La répartion du fonds Le rendement estimé de ce fonds étant de 2,5 %, cela devrait générer 250 millions d’euros par an et cette somme sera répartie comme suit:
  • 70 millions d’aides seront dédiés à la « deep tech » dont la coordination sera assurée par Bpifrance. Des bourses allant jusqu’à 90.000 euros par entreprise seront prises en charge par ce volet et 40 millions d’euros sur les 70 seront destinés à des prêts pour les entreprises innovantes
  • De plus, 150 millions d’euros seront consacrés à des « grands défis » technologiques dont les deux premiers ont été choisies lors de la séance inaugurale du Conseil de l’innovation : le premier consiste à améliorer les diagnostics médicaux par le biais de l’Intelligence artificielle (IA), le second porte sur la certification et la fiabilisation des systèmes ayant recours à l’IA.
  • 25 millions d’euros sont orientés vers le plan Nano 2022.
  • Enfin, Les 5 derniers millions d’euros seront alloués selon les besoins, selon l’appréciation du Conseil de l’innovation.
Le Conseil de l’innovation aura pour principal role d’indentifier et de sélectionner les secteurs les plus prometteurs et d’y attribuer les moyens du fonds. Des personnalités telles que Bruno Potier, le PDG d’Air Liquide, Eric Careel, fondateur de la start-up Withings et meme Isabelle Ryl, directrice générale déléguée à l’Inria siègeront au conseil. Le rapport sur les aides à l’innovation Celui-ci a été remis même jour à Bruno Le Maire et Frédérique Vidal, la ministre de l’Enseignement supérieur. Le rapport reste sur les bases acquises dans la mesure où les auteurs estiment que toutes ces aides ont leur raison d’être et représentent même un « facteur clef de performance ». Un avis que ne partage pas vraiment Bruno Le Maire qui y voit plutot « un maquis d’aides à l’innovation dans lequel personne ne peut se retrouver ». Les auteurs du rapport soulignent que les différents acteurs ont davantage besoin de stabilité que de simplification et pointent du doigt la nécessité de fluidifier les transferts de technologies, surtout des laboratoires vers les entreprises. Ce manque de fluidité avait été pris en compte dans le projet de loi Pacte qui souhaite le résoudre en simplifiant par exemple le passage des chercheurs publics vers le privé, notamment de manière à leur permettre de profiter davantage du bénéfice de leurs découvertes.

Comment les dirigeants de PME et ETI peuvent-ils réellement valoriser et conceptiser leur « marque employeur » ? Une question qui a du sens dans une période où bien recruter est devenu un véritable challenge. Bpifrance Le Lab et Adevea ont planché sur la question et ont publié un guide qui apporte des réponses concrètes.

Par Serge De Cluny Conséquence de la reprise économique, les tensions déjà existantes sur le marché de l’emploi vont s’amplifier et aggraver les difficultés de recrutement des PME et ETI qui sont déjà 57% à manquer de talents pour grandir, selon l’étude « Attirer les talents dans les PME et les ETI  » de Bpifrance Le Lab publiée en janvier. Au début de cet été, Bpifrance Le Lab a présenté en partenariat avec Adevea, une société de conseils spécialisée en stratégie RH,  le deuxième opus de la collection « Passez à l’action » destinée aux dirigeants de PME. Le but de ce guide étant de démystifier la « marque employeur » et donc de la rendre plus accessible à tous les chefs d’entreprise. Développer une « marque employeur » forte s’impose aujourd’hui comme une solution incontournable pour résoudre, en premier lieu, l’épineuse problématique du recrutement mais aussi pour répondre à d’autres défis que rencontrent les services RH comme l’amélioration du niveau d’engagement des collaborateurs ou encore la réduction de l’absentéisme ou du turn-over. L’objectif de cette initiative est donc double: il s’agit, d’une part de développer la notoriété de l’entreprise auprès des candidats potentiels (ce qu’on appelle la « réputation employeur »)  et d’autre part de cultiver le capital sympathie et confiance auprès des salariés. Bpifrance le Lab offre dans ce guide, établi à partir de témoignages et d’avis d’experts, des pistes claires pour les dirigeants afin de leur permettre de définir clairement l’ADN de leur entreprise (son image, sa mission, ses valeurs…) ainsi que les moyens de véhiculer cette image à la fois en interne et en externe, a travers notamment de l’utilisation du numérique et via la concept novateur des salariés ambassadeurs. Cliquez pour consulter le guide Bpifrance Le Lab        

Les entreprises vont devoir jouer les collecteurs d’impôts sur les revenus de leurs salariés à compter du 1er janvier 2019. Un prélèvement à la source qui facilite le travail de l’administration fiscale mais qui complexifie en revanche le quotidien des entreprises, et notamment des PME.

Pour rappel, le prélèvement à la source de l’impôt sur le revenu a pour objectif de faire coïncider son recouvrement avec la situation réelle du contribuable. Jusqu’à présent, la France appliquait un décalage d’une année entre la perception des revenus, notamment les salaires, et le paiement de l’impôt correspondant. C’était alors au contribuable de savoir bien gérer son budget et  de prévoir une trésorerie suffisante pour régler ses impôts l’année suivante, quels que soient les aléas de la vie. L’idée de prélever l’impôt directement sur les revenus au moment où ils sont perçus n’est pas nouvelle, et nos voisins européens comme l’Allemagne, la Grande Bretagne, la Belgique ou encore l’Espagne l’appliquent déjà.

Les craintes des dirigeants

Toutefois, la mise en œuvre par les employeurs n’est pas forcément aussi simple qu’il n’y paraît. Des portails comme demarchesadministratives.fr se proposent ainsi d’accompagner les entreprises en matière de prélèvement à la source. Certes, l’administration fiscale a largement communiqué sur le sujet auprès des entreprises, en mettant en ligne sur son site toutes les informations nécessaires aux « employeurs-collecteurs ». Il est vrai que les entreprises, et en particulier les PME et TPE, ont exprimé leurs craintes avec cette réforme qui va bouleverser des habitudes bien ancrées. Ainsi, selon une étude portant sur l’impact du prélèvement à la source pour les entreprises (étude réalisée en 2017 pour le Sénat), plus de 70 % des dirigeants craignent une détérioration des relations sociales. Les raisons avancées sont diverses : l’accès à des données confidentielles telles que le taux de prélèvement applicable à chaque salarié, la perception d’un salaire net diminué par l’impôt provoquant des revendications salariales ou encore la complexité de gestion d’une année de transition. Les employeurs vont également être soumis au feu des questions de leurs salariés. Comme le soulève l’étude du Sénat, les employés vont se tourner directement vers leur entreprise pour obtenir des réponses à leurs interrogations, plutôt que vers l’administration fiscale.

Sous le feu des questions

Pour faire face à ce besoin accru d’informations tenant à la vie de l’entreprise comme à celle des individus, une solution peut venir des portails d’informations administratives. Demarchesadministratives.fr va même plus loin dans les services fournis. Il est possible d’y trouver des informations actualité, mais aussi des formulaires et des textes réglementaires relatifs à la fiscalité et à l’entreprise. Le champ est encore plus vaste et comprend en fait tous les domaines, liés à l’entreprise, à la vie personnelle ou encore au patrimoine. Ce portail propose également un service de réponses à toutes les questions par formulaire, sous 24 heures. Enfin, des conseillers joignables par téléphone répondent directement aux questions administratives qui leur sont posées. Une aide précieuse pour affronter les évènements qui bouleversent la vie de l’entreprise, le prélèvement à la source étant indubitablement à ranger dans cette catégorie !

Les entreprises vont devoir jouer les collecteurs d’impôts sur les revenus de leurs salariés à compter du 1er janvier 2019. Un prélèvement à la source qui facilite le travail de l’administration fiscale mais qui complexifie en revanche le quotidien des entreprises, et notamment des PME.

Pour rappel, le prélèvement à la source de l’impôt sur le revenu a pour objectif de faire coïncider son recouvrement avec la situation réelle du contribuable. Jusqu’à présent, la France appliquait un décalage d’une année entre la perception des revenus, notamment les salaires, et le paiement de l’impôt correspondant. C’était alors au contribuable de savoir bien gérer son budget et  de prévoir une trésorerie suffisante pour régler ses impôts l’année suivante, quels que soient les aléas de la vie. L’idée de prélever l’impôt directement sur les revenus au moment où ils sont perçus n’est pas nouvelle, et nos voisins européens comme l’Allemagne, la Grande Bretagne, la Belgique ou encore l’Espagne l’appliquent déjà.

Les craintes des dirigeants

Toutefois, la mise en œuvre par les employeurs n’est pas forcément aussi simple qu’il n’y paraît. Des portails comme demarchesadministratives.fr se proposent ainsi d’accompagner les entreprises en matière de prélèvement à la source. Certes, l’administration fiscale a largement communiqué sur le sujet auprès des entreprises, en mettant en ligne sur son site toutes les informations nécessaires aux « employeurs-collecteurs ». Il est vrai que les entreprises, et en particulier les PME et TPE, ont exprimé leurs craintes avec cette réforme qui va bouleverser des habitudes bien ancrées. Ainsi, selon une étude portant sur l’impact du prélèvement à la source pour les entreprises (étude réalisée en 2017 pour le Sénat), plus de 70 % des dirigeants craignent une détérioration des relations sociales. Les raisons avancées sont diverses : l’accès à des données confidentielles telles que le taux de prélèvement applicable à chaque salarié, la perception d’un salaire net diminué par l’impôt provoquant des revendications salariales ou encore la complexité de gestion d’une année de transition. Les employeurs vont également être soumis au feu des questions de leurs salariés. Comme le soulève l’étude du Sénat, les employés vont se tourner directement vers leur entreprise pour obtenir des réponses à leurs interrogations, plutôt que vers l’administration fiscale.

Sous le feu des questions

Pour faire face à ce besoin accru d’informations tenant à la vie de l’entreprise comme à celle des individus, une solution peut venir des portails d’informations administratives. Demarchesadministratives.fr va même plus loin dans les services fournis. Il est possible d’y trouver des informations actualité, mais aussi des formulaires et des textes réglementaires relatifs à la fiscalité et à l’entreprise. Le champ est encore plus vaste et comprend en fait tous les domaines, liés à l’entreprise, à la vie personnelle ou encore au patrimoine. Ce portail propose également un service de réponses à toutes les questions par formulaire, sous 24 heures. Enfin, des conseillers joignables par téléphone répondent directement aux questions administratives qui leur sont posées. Une aide précieuse pour affronter les évènements qui bouleversent la vie de l’entreprise, le prélèvement à la source étant indubitablement à ranger dans cette catégorie !
Business France organise le 28 septembre 2018 à Paris, un atelier sur le thème suivant : « Les financements et projets du secteur agricole dans les pays en développement : quelles opportunités pour les entreprises françaises ? Le secteur agricole dans les pays en développement fait l’objet de nombreux marchés dans le monde qui sont financés par les bailleurs de fonds internationaux.  L’agriculture est un facteur essentiel de croissance économique et représentait encore un tiers du produit intérieur brut mondial ces dernières années. Sous forme de prêts et de dons alloués aux gouvernements des pays sous-développés, émergents ou en transition économique, l’aide publique dans l’agriculture permet d’améliorer le niveau de vie des populations et de favoriser la croissance économique via des projets de modernisation des systèmes alimentaires, de rénovation des infrastructures d’irrigation, etc. Les sommes allouées par les bailleurs de fonds représentent des marchés potentiels considérables pour les PME et ETI françaises. A titre d’exemple, les financements de la Banque internationale pour la reconstruction et le développement (BIRD) et de l’International Development Association (IDA) (Groupe Banque Mondiale) alloués en 2016 à l’agriculture et autres secteurs connexes se sont chiffrés à 2,9 Mds de dollars. La Banque Européenne pour la Reconstruction et le Développement (BERD) a un portefeuille d’investissements qui s’élève à 11 M EUR. La Banque africaine de développement (BAfD) a mis au point une stratégie pour la transformation agricole en Afrique sur la période 2016-2025 ; le secteur agricole représentait 13% des engagements de la BAfD en 2017. Cet atelier d’information vous permettra de vous familiariser avec le fonctionnement des organisations internationales et bailleurs de fonds qui sont actifs sur le secteur agricole ou de l’agro-industrie, les marchés qui en découlent, ainsi que les instruments de financements des investissements du secteur privé. Vous pourrez ainsi non seulement identifier de nouvelles opportunités de marchés sur lesquelles vous positionner tout en bénéficiant des informations clés pour réussir. Frais de participation à partir de 220,00€ HT – Inscrivez vous
  • Vendredi 28 septembre 2018 – France, Paris
  • Organisateur(s) : Service organisations internationales et bailleurs de fonds
  • Contact : Julien PAGNAC
  • Téléphone : +33 (0)1 40 73 39 91
  • Adresse : 77 Boulevard Saint Jacques 75998 Cedex 14 PARIS

Les français les plus aisés et parmis eux les dirigeants de PME et ETI montrent, ces derniers temps, un très fort intéret pour les contrats d’assurance vie luxembourgeois avec un bond de 17% des sommes investies en un an. Pourquoi ? Quels en sont les avantages ? Voici les principales raisons d’un engouement bel et bien justifié.

Par Franck Boccara
Avant tout, il est nécessaire de préciser que les contrats d’assurance vie luxembourgeois vraiment intéressants nécessitent généralement un investissement supérieur à 250.000 euros. Ce marché en pleine expansion attirent de ce fait les français aux revenus et au patrimoine important . En effet, le rapport annuel du Commissariat aux assurances, qui occupe les fonctions de régulateur local, fait état d’une augmentation de 17% des fonds investis par nos compatriotes pour atteindre un montant de 53,7 milliards d’euros, très largement devant nos voisins italiens avec 24.6 milliards, belges avec 24.2 milliards, allemands avec 15.4 milliards et bien sur luxembourgeois avec 10,7 milliards.
Les raisons de ce phénomène sont assez logiques dans la mesure ou les contrats d’assurance vie luxembourgeois possèdent des atouts sérieux par rapport à nos assurances vie à la française :
  • les garanties : la sécurisation de l’investissement est assurée par l’état, ce qui veut dire qu’en cas de faillite de l’assureur, l’épargnant sera servi en priorité, avant l’Etat lui-même et les salariés de la dite assurance. En France, à titre de comparaison, l’épargnant en question n’a pas de garantie de récupérer son capital si celui-ci dépasse 70 000 euros.
  • Des contrats qui peuvent être multi-devises : tout en préservant les avantages et bénéfices fiscaux de l’assurance vie à la française, ceux-ci pourront être gérés en euros, en dollars, en franc suisse ou dans toute autre devise.
  • La loi Sapin II : Le vote de cette loi en 2016 a, en effet, offert aux pouvoir publics la possibilité de moduler les rendements des fonds en euros et même éventuellement de bloquer temporairement les rachats en cas de crise. Le fait que les contrats de droit étranger n’entrent pas dans le cadre de cette réglementation ne fait qu’accentuer l’intéret pour les contrats d’assurance vie luxembourgeois.
 
Astana est la nouvelle capitale du Kazakhstan !! Ce pays qui pourrait nous paraitre tout droit sorti de l’ère soviétique est en réalité une destination business qui s’affirme comme majeure en Asie centrale. Astana est une ville d’affaires jeune en pleine croissance où les buildings poussent sur de grandes et larges avenues et qui affiche fièrement quartier d’affaires ultra-moderne. Faisons un petit tour vers une destination d’affaires promise à un bel avenir. Par Franck Boccara Astana est la capitale du Kazakhstan depuis seulement 20 ans puisqu’elle a remplacé Almaty et que le transfert de souveraineté touche à sa fin. Dopée par les ressouces énergétique du pays, Almata n’est pas une destination touristique mais bel et bien économique et elle est censée devenir rapidement un hub incontournable pour le business. C’est le pari de son président, Noursoultan Nazarbaïev, qui dirige ce pays dont le sous-sol regorge de richesses stratégiques telles que le pétrole, le gaz et l’uranium (ce qui d’ailleurs a déjà attiré les grands groupes français et nombre de PME et ETI dans leur sillage). En dotant Astana d’infrastructures réalisées par les plus grands noms de l’architecture mondiale, le président Nazarbaïev pose les jalons pour en faire un carrefour clé sur la nouvelle route de la soie. L’exemple le plus significatif est le site de l’exposition internationale de 2017 situé au sud du quartier d’affaires flambant neuf qui devrait servir maintenant de siège au « Astana Financial Center ». Pour s’y rendre, il faudra passer par la compagnie nationale Air Astana qui propose un vol direct, en partenariat avec Air France ou Lufthansa, à raison de trois fois par semaine depuis CDG (mercredi, vendredi et dimanche) et depuis cinq villes de province. Ces vols sont assurés par un boeing 757 qui adapte sa configuration au taux de remplissage en offrant tous les avantages qui ont permis à Air Astana d’être classée par Skytrax comme “meilleure compagnie d’Asie centrale” depuis 2012. De plus, l’aéroport d’Astana possède depuis un an un tout nouveau terminal dédié aux vols internationaux et équipé d’un salon business. l’aéroport sera très prochainement relié au centre-ville pas une liaison ferroviaire. Quelques adresses utiles
  • Chambre de commerce France-Kazakhstan
Centre d’affaires « Tarkhan », 5ème étage/bureau 507 4/1 rue Shevchenko, 010000, Astana tel  + 7 727 354 14 86 + 7 727 396 98 45 + 7 717 2 780 120 http://www.ccifk.kz/ direction@ccifk.kz , astana@ccifk.kz Ambassade de France 62, rue Kosmonavtov, 4ème étage, 010000 Astana 
Tél. +7 (7172) 795 100 www.kz.ambafrance.org
  • Consulat général de France à Almaty
99, rue Fourmanov, croisement rue Aiteke Bi, CP 050000 Kazakhstan
  • Centres d’affaires et de coworking
Regus :  Emerald Tower, 3rd Floor, 10 Kunayeva Street •  www.regus.fr Multispace : Tauelsizdik avenue, 34 ,  hello@multispace.kz  , www.multispace.kz Marden Coworking Centre Imanov : 19 “Business Home ”Alma-Ata”, 10eétage • Tél. : +7 7172 787 333  www.marden.kz
  • Service de traduction
Astana Translations : Tél. : +7 702 674 33 64 , rakhimzhanov@yahoo.com , www.astanatranslations.com Caspian Translation Services : Business Center Nursualet-1. 1st floor • Tél. : 8 701 532 08 08 , info@cspts.kz , www.cspts.kz
  • Location de limousines
Top Limo : K. Dina Str., 23/2 • Tél. : +7 701 728 57 41 , www.toplimo.kz Taxilo  : www.talixo.com
  • Salles de sport
Fitness Palace : Turan Ave 30 • Tél. : +7 717 256 7777 , www.fitness-palace.kz A2Fitness : Svetlyy, 11 Sarayshyq St • Tél. : +7 707 408 88 87 , www.a2fit.kz
  • APPART’HOTELS
Elite Apart-Hotel , av. Koshkarbaeva 10/1 • Tél. : +7 778 778 7874 , www.eliteapart.kz Northern Lights Apartment Hotel , Dostyk street, 5
Bpifrance Inno Génération vous attend le 11 octobre à l’AccorHotels Arena de Paris pour sa 4e édition. Après le succès des trois précédents événements, le plus grand rassemblement d’entrepreneurs d’Europe revient pour propulser votre entreprise dans le monde de demain !  A ne pas manquez pour tous les dirigeants et cadres de PME et ETI  !! le 11 octobre 2018 à l’AccorHotels Arena de Paris, 40 000 personnes de l’écosystème entrepreneurial se rassembleront sur le thème du « monde de demain » dans le but de grandir ensemble. Au programme : plus de 1000 speakers de tous les pays attendus, 250 ateliers et conférences, des milliers de rencontres business entre entrepreneurs et des démonstrations d’innovations venant de tous les horizons. Networking, ateliers pratiques, rendez-vous en one-to-one… Bpifrance Inno Génération , c’est une journée pour rencontrer ses pairs, trouver des partenaires de développement ou encore explorer de nouveaux leviers de croissance, bref accélérer votre business. Investisseurs, acheteurs, conseillers export vous attendront dans un gigantesque espace de networking pour vous accompagner dans vos projets. Xavier Niel, Agnès b, Frédéric Mazzella ont déjà confirmé présence… et vous ? Entrepreneurs de tout le pays unissez-vous ! Inscrivez-vous dès maintenant     .

A l’honneur de ces 7ème Matinales de la Disruption : Les télécoms qui, comme toute les nouvelles technologies, évoluent très rapidement et se trouvent à l’aube de nouveaux bouleversements. Investissements dans la fibre et le très haut débit, création de nouveaux services (banque, contenus), 5G, intelligence artificielle sont autant de défis qui attendant le marché des télécoms pour la prochaine décennie. Les Matinales de la Disruption vous attendent pour y réfléchir ensemble. Fabienne DULAC, directrice générale France d’Orange, sera présente aux « matinales de la disruption » organisées en partenariat avec La Tribune, pour apporter des éléments de réponse sur l’avenir des télécoms en France. Mardi 17 juillet 2018 de 8h30 à 10h00 CCI Paris Ile-de-France 27 avenue de Friedland , 75008 Paris
Accès
Metro L1 : George V
Inscrivez-vous sur le lien ci-dessous ! https://www.latribune.fr/economie/inscription/inscrivez-vous-a-la-7eme-matinale-de-la-disruption Disruption® est une marque enregistrée par le groupe TBWA dans 55 pays pour des services de communication publicitaire et de consulting (www.disruption.com). La méthodologie de la Disruption a été créée et conceptualisée dès le début des années 1990 par Jean-Marie Dru, à l’origine de l’emploi de ce mot de façon positive.
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