C’est la réponse à laquelle répondront Élie Casamitjana, co-auteur du livre « La méthode OKR : Le guide pratique » et fondateur de la plateforme OKRMentors.fr, et David Guillocheau, DG de ZestMeUp.
Acteur du changement et spécialiste reconnu de la méthode OKR (Objectives & Key Results), Élie partagera ses nombreuses expériences internationales de déploiements d’OKR dans diverses organisations. Vous aurez ainsi accès à une expertise OKR de classe mondiale et découvrirez :
💡 Les avantages majeurs de la méthode OKR 🖇️ Comment associer gestion du changement et méthode OKR 📌 Des cas concrets de déploiements d’OKR
Les intervenants répondront en direct à toutes vos questions !
La prochaine édition de Capital Invest se tiendra le 9 juin 2022 au Théâtre du Châtelet, à Paris. Cet événement rassemblera les acteurs du capital investissement partenaires de Bpifrance pour des conférences et des rencontres.
C’est une nouvelle occasion de dresser le bilan des dernières années et de poser les premières pierres du cycle prochain, de mettre à l’honneur l’industrie du capital investissement français nourrie par les témoignages des partenaires de Bpifrance et d’échanger tous ensemble. En parallèle, plusieurs évènements seront organisés et baptisés « les Coulisses de Capital Invest ».
Au programme de l’évènement
9 JUIN 2022 10h00 – 12h00 : LES COULISSES DE CAPITAL INVEST – Fonds régionaux
D’après l’étude annuelle « Remoting Work : Quantitative Research » d’Atlassian et PaperGiant, la France est le pays qui affiche le plus fort taux de demande pour une adoption du travail hybride. Partout où leur activité professionnelle le permet, les employés demandent à pouvoir télétravailler quelques jours par semaine : idéalement 2 à 3 jours pour les employés et 1 à 2 jours pour les managers, en moyenne. Le travail hybride va donc survivre, car c’est bon pour la qualité de vie des individus, mais aussi pour la planète !
En effet, travailler « en remote » depuis son domicile (ou de n’importe où d’ailleurs !) présente de nombreux avantages : gain de temps, diminution des temps et frais de transport, réduction de la pollution, entre autres. La possibilité de travail hybride est devenue un argument majeur pour attirer et recruter les talents, toutes générations confondues. C’est un enjeu d’attractivité qui ne doit pas être sous-estimé par les PME et ETI.
La
condition sine qua non pour un travail hybride efficace ?
La proximité. Les
managers doivent rester proches de leurs équipes, même à distance
! Le management doit donc lui aussi devenir hybride et c’est là que
la technologie entre en jeu. Les outils en ligne permettent de mette
en place des pratiques managériales modernes pour maintenir
l’engagement des collaborateurs et booster leurs performances, tout
en veillant à leur santé psychologique.
Mesurer
régulièrement le niveau d’engagement et de bien-être des
collaborateurs
Le
suivi de l’évolution des humeurs déclarées par les membres de son
équipe permet au manager de repérer les signes de désengagement ou
les signaux faibles. Une alerte automatique peut aussi être
configurée lorsqu’un seuil prédéfini est atteint. Le manager
pourra alors rapidement engager le dialogue et mettre en place des
actions adéquates avant que la situation ne s’aggrave.
Donner la
parole aux collaborateurs
Il
est important de créer un climat de « sécurité
psychologique », c’est à dire un environnement où chacun se
sent libre d’exprimer ses opinions ou ressentis sans craindre des
sanctions ou représailles. En incitant ses équipes à donner leur
avis ou partager leurs idées, le manager stimule le lien
d’appartenance et valorise ses collaborateurs. Et l’entreprise pourra
utiliser cette intelligence collective pour développer un avantage
concurrentiel.
Impliquer
les collaborateurs dans la définition de leurs objectifs
La
méthode
OKR (Objectives & Key Results) fait partie des méthodes de
management modernes. Elle consiste à impliquer les collaborateurs
dans la définition d’objectifs individuels et collectifs, alignés
sur ceux de l’entreprise. Ils sont ensuite libres de choisir leurs
stratégies pour atteindre ces objectifs, une autonomie qui les
responsabilise. Cette méthode permet aussi à chaque employé de
voir son impact sur la stratégie globale de l’entreprise et donne
ainsi du sens au rôle de chacun au sein de l’organisation.
Accompagner
les collaborateurs via un feedback continu et des points réguliers
Lorsque
les employés travaillent à distance, ils peuvent parfois perdre le
cap. Il est donc important pour eux d’avoir des points réguliers
avec leur manager pour éliminer rapidement les irritants ou points
bloquants. Les outils en ligne permettent de stimuler un feedback
continu (puisque chacun peut répondre depuis un ordinateur, une
tablette ou un smartphone) et de structurer ces échanges pour aller
à l’essentiel. Ils permettent aussi d’en garder une trace pour
nourrir ensuite l’entretien
annuel d’évaluation.
Remercier et
féliciter les collaborateurs
La
reconnaissance est un facteur clé d’engagement et de motivation des
collaborateurs. Le manager hybride doit savoir remercier et
complimenter ses équipes pour le travail accompli et les résultats
obtenus. Il doit aussi encourager les collaborateurs à faire de même
entre eux pour renforcer le lien d’appartenance et créer une culture
aussi stimulante que bienveillante.
Ces pratiques
modernes de management offrent une expérience collaborateur unique.
Elles permettent au manager hybride de jouer un rôle clé auprès de
ses équipes, où qu’elles se trouvent.
N’hésitez pas
à visiter notre site web pour
voir comment la suite
digitale Zest et une équipe d’experts dédiée aident de
nombreuses PME et ETI à créer le cercle vertueux du management
collaborateur hybride !
Dans le cadre de la semaine européenne des CCI, la CCI Paris Ile-de-France organise un débat avec Michel Barnier, ancien commissaire européen et ancien ministre, qui fut négociateur de l’UE pour le Brexit. Cet échange traitera des conséquences du Brexit sur l’économie française, sur les PME et ETI, sur la formation des jeunes ainsi que sur les leçons à en tirer pour l’avenir.
Le débat sera retransmis en direct sur Youtube le lundi 3 mai 2021 de 11h à 12h30.
La table-ronde sera constituée de :
Michel Barnier, notre invité d’honneur
Didier Kling, président de la CCI Paris Ile-de-France
Valérie Moatti, doyen de la faculté ESCP Business School, professeur
Stéphane Fratacci, directeur général de la CCI Paris Ile-de-France, sera le modérateur de ce débat.
Une séquence de questions/réponses, qui fera intervenir des entreprises et des étudiants, est prévue en fin de débat.
Ce débat s’inscrit dans le cadre de la Semaine européenne des CCI qui vise à faire entendre la voix des entreprises en vue de la présidence par la France du Conseil de l’Union européenne à partir du 1er janvier 2022. Objectif ? Dessiner les contours d’une Europe concrète et visible pour les entreprises, avec en toile de fond la relance et la résilience de l’économie française et européenne.
Le Conseil de l’UE réunit les 27 États membres, amende et approuve chaque projet législatif, la plupart du temps en codécision avec le Parlement européen. La présidence du Conseil est assurée, à tour de rôle, par chaque État membre selon un calendrier établi. Le programme de travail d’une présidence est élaboré sur 18 mois par les trois États (le trio) qui assurent successivement la présidence. La France travaille ainsi avec la République tchèque et la Suède. La République tchèque assurera la présidence au second semestre 2022 et la Suède au 1er semestre 2023.
Pendant un semestre, la mission de la France à la tête du Conseil de l’UE est d’organiser et de présider toutes les réunions des ministres. C’est en fixant les ordres du jour de ces réunions que la présidence française peut peser sur l’agenda législatif européen. Au-delà des ordres du jour, le pouvoir d’une présidence consiste aussi à rédiger les propositions de compromis. Ces compromis doivent correspondre non seulement aux voeux de la majorité des États mais aussi convaincre la Commission européenne.
Michel Barnier a notamment été plusieurs fois ministre (Environnement, Affaires européennes, Affaires étrangères, Agriculture et alimentation), deux fois commissaire européen (Politique régionale puis Marché intérieur et Services financiers), puis négociateur en chef pour l’Union européenne chargé de mener les négociations liées au Brexit, et chef de la force opérationnelle formée pour finaliser celles-ci et préparer et conduire les futures relations avec le Royaume-Uni.
Utilisée essentiellement par les grands comptes avant la crise sanitaire, la signature électronique connait depuis lors une forte démocratisation dans les PME et ETI où la transformation digitale et la dématérialisation s’accélèrent. A ce rythme, elle devrait rapidement devenir indispensable dans la plupart des secteurs.
Par Lætitia Conti
Plus rapide, plus sure et même plus économique au niveau des frais d’envoi… La signature électronique se fait progressivement une place dans les PME et ETI qui sont de plus en plus nombreuses à la réclamer, tous secteurs confondus (assurance, banque, immobilier, bâtiment etc…). Elle est naturellement plébiscitée par les ETI mais aussi par les PME, même les plus petites.
Un gain de sécurité
La signature électronique sert à attester d’un consentement et à approuver des documents digitaux pour les parties qui l’utilisent. Elle garantit l’intégrité des documents (ceux-ci sont ainsi figés dans le temps) tout en assurant également leur traçabilité. En effet, chaque signature électronique est munie d’un certificat électronique qui garantit l’intégrité du document dès qu’il est signé.
Un gain de temps
La signature électronique évite de nombreuses de manipulations chronophages telles que l’impression, le scan, l’envoi par mail ou courrier postal. Elle permet d’envoyer ou de retourner un document signé en quelques instants, quelque soit son importance. Les facteurs espace et temps sont ainsi dépassés et tout devient beaucoup plus fluide puisque la consultation d’un document et son approbation sont quasi instantanées.
Un gain de simplicité
Utiliser la signature électronique est fort simple et il existe des solutions précisément adaptées aux PME et ETI de tous secteurs d’activité.
Elle permet suivre en temps réel l’état des commandes.
Il est possible de recevoir une notification dès qu’elle a été validée ou de programmer des relances automatiques.
Elle peut s’intégrer dans les logiciels métiers afin d’automatiser tout le process de gestion documentaire.
La signature électronique est évidemment utilisée pour des documents commerciaux (type contrats) avec les fournisseurs mais pas seulement. En effet, elle convient parfaitement à d’autres types de documents RH tels que des promesses d’embauche, CDI ou d’autres procédures administratives liées à l’embauche d’un salarié. Elle convient également à la signature d’une mutuelle d’entreprise, d’un règlement intérieur ou encore d’accords de confidentialité.
Depuis 2 ans, le management est mis à rude épreuve : travail à distance, désengagement, risques psychosociaux, etc.,. La grande remise en cause du manager, de son utilité, de ses pratiques, n’a pas fini d’être d’actualité. Alors, comment moderniser le management pour plus d’impact et pour que les managers jouent un rôle clé auprès de leurs équipes ?
David Guillocheau, DG de ZestMeUp, fera le tour des bonnes pratiques modernes, axées sur l’humain, qui rendent le management plus épanouissant et performant :
👉
Au programme :
✅ Écoute
active pour lever les irritants et identifier les signaux faibles
✅ Conversation
continue pour un coaching au fil de l’eau
✅ Déploiement
collaboratif de la stratégie avec la méthode OKR (Objectives &
Key Results)
✅ Culture
du feedback 360°
David
Guillocheau répondra
en direct à toutes vos questions
!
Nous passons une bonne partie de notre activité professionnelle à chercher à convaincre…que ce soit notre banquier, nos collaborateurs, nos associés et bien sur nos clients. Bien que cette pratique demande des qualités innées, nous savons tous qu’il est possible d’optimiser nos capacités dans ce domaine. Pour cela, il est bon de maitriser quelques basiques… en voici quelques-uns.
Par Franck Boccara
Bien cerner votre interlocuteur
Il est important de bien évaluer votre interlocuteur au préalable afin de communiquer avec lui par des mots et des expressions dans lesquels il va se se retrouver. Adaptez votre message à sa personnalité, son métier et sa culture. Chaque personne est différente, à vous de réfléchir aux subtilités qui vont augmenter vos performances de persuasion.
Créer un rapport personnel
Votre interlocuteur sera plus enclin à recevoir votre message s’il vous considère comme faisant partie de son cercle. N’hésitez pas à parler avec lui d’une expérience ou d’une passion qui vous rapprochent car même lorsque votre argumentation est parfaite, il sera difficile de convaincre si vous n’avez pas créé un lien personnel et ainsi limiter les doutes sur ce que vous dites.
Être subtil et rester patient
Apportez vos idées de façon posée et sereine sans être agressif ou insistant, ce qui risque de créer l’effet inverse. Pour être persuasif, soyez concis dans votre demande et faites-la sans véhémence. La subtilité est de jouer sur le long terme et de laisser à votre interlocuteur le temps d’accueillir votre idée et l’intégrer à son esprit.
Se servir du language corporel
Soyez conscient de vos gestes, expressions et intonations. Apprenez à maitriser un langage corporel positif qui engage et renforce la validité de que vous dîtes. N’oubliez pas : La manière de dire est plus importante que ce que qui est dit.
Parler de façon claire et vulgariser le discours
Il est important de communiquer vos idées rapidement et clairement en expliquant le sujet à votre interlocuteur sans jargonner. Un véritable expert doit savoir vulgariser son message et le rendre compréhensible, sinon l’interlocuteurdécroche.
Être vrai et authentique
La sincérité et honnêteté se ressentent et vous aurez plus de chance de convaincre si vous êtes authentique car vous inspirez confiance. De plus, pour être persuasif il est toujours préférable de se sentir à l’aise et bien dans sa peau. Vous serez toujours plus convaincant en étant vous-même plutôt qu’en essayant d’être un autre.
Tenir compte du point de vue de l’interlocuteur
L’écoute de l’autre est capitale ! Elle vous permettra de mieux comprendre comment le convaincre. Une puissante technique de persuasion consiste à faire une concession et montrer que vous êtes souple et prêt à vous adapter aux besoins de votre interlocuteur. Tout le monde aime être pris en considération et sentir que ses idées sont respectées.
Poser des questions et montrer de l’intérêt
Il est fréquent de ne pas se concentrer sur les paroles de l’interlocuteur parce que l’on prépare ce qu’on va dire, c’est une erreur fatale ! N’hésitez pas à poser beaucoup de questions et intéressez-vous réellement à la réponse.
Une image vaut plus que des mots
Pour convaincre, il est fort efficace d’utiliser du visuel pour appuyer ses dires et marquer les esprits ainsi que d’illustrer vos paroles par des histoires qui donnent vie à vos idées. Une bonne histoire va créer une image dans l’esprit de votre interlocuteur et lui permettre ainsi de mémoriser vos propos.
On a jamais une deuxième chance de faire une première bonne impression
Les gens se feront une idée de vous dans les 7 premières secondes et il sera très difficile de les faire dévier de cette impression initiale. Les meilleures communicants savent utiliser cet atout en préparant leur entrée en scène avec un langage corporel étudié : la poignée de main, le sourire, le regard et l’allure en font partie
Prononcer le nom de l’interlocuteur
Tout le monde aime entendre son nom…votre interlocuteur aussi ! Le fait que vous vous rappeliez de son nom lui est très agréable et très valorisant. Lorsque vous le rencontrez pour la première fois, efforcez-vous de bien mémoriser son nom afin de l’utiliser le moment voulu.
Sourire sincèrement
La vie donne toujours des raisons de sourire…et en plus c’est contagieux ! Votre interlocuteur vous renverra votre sourire et ressentira votre enthousiasme et votre confiance dans vos idées. Le fait de trouver les raisons de sourire vous mettra automatiquement de bonne humeur, c’est déjà ça de gagné !
S’implanter en Allemagne doit faire l’objet d’une approche la plus maîtrisée et la plus directe possible pour y réussir. Les PME et ETI qui ont déjà franchi le pas vous le confirmeront : un investissement stratégique franc et massif s’impose et pour cela l’implantation physique reste la meilleure solution pour se faire une place sur le marché allemand. La CCI France International organise un masterclass le 12 mai pour vous bien expliquer les moyens de procéder.
Les entreprises qui désirent s’implanter en Allemagne ont compris qu’il s’agit d’un marché de proximité à fort potentiel mais également d’un marché fortement concurrenciel avec une offre locale souvent bien établie. L’esprit des acheteurs allemands est généralement tourné vers une recherche de fournisseurs dans l’environnement local en priorité avant d’envisager de faire appel aux solutions que peuvent offrir les acteurs étrangers.
L’approche gagnante et pérenne consiste donc à augmenter la visibilité de votre entreprise auprès de ces acheteurs allemands, à affirmer la solidité de votre présence sur le marché et à rassurer vos prospects et clients sur votre capacité de service « à l’allemande » : salariés germanophone, moyens de communication locaux, réactivité, suivi rigoureux, ….
S’implanter en Allemagne sous forme d’antenne commerciale ou de structure juridique vous permettra de capitaliser sur vos noms et marques et de répondre aux nombreuses exigences que sont les facilités de communication, l’image, le service client, l’administration, ou encore le recrutement.
Pendant cette masterclass, vous aurez l’occasion de connaitre les différents statuts pour s’implanter en Allemagne et les avantages qu’elles peuvent vous offrir :
L’antenne commerciale
Le VIE
Le recrutement d’une ressource locale
La création de filiale de type GmbH
La croissance externe
Cas pratiques et questions/réponses
il sera possible par la suite d’avoir un entretien individuel avec les conseillers de la CCI France Allemagne. Cet échange permettra d’aborder de facon particuliere votre situation et vos projets de développement en Allemagne.
Intervenants
Aurélie DEVILLARD, conseillère Allemagne – CCI France Allemagne
Denis NEUMAYER, directeur BPO – CCI France Allemagne
Hilton fait son retour à Cannes avec un hôtel situé dans le très central quartier du Suquet offrant une vue imprenable sur la méditerranée et le Vieux-Port. Pour la partie business, l’établissement sera doté de 380 m² d’espace évènementiel et de salles de conférence donnant sur la mer.
Par Lætitia Conti
Le groupe hôtelier américain avait quitté Cannes depuis quinze ans avec la disparition du Noga Hilton (actuel JW Marriott)…le voici de retour. Hilton vient en effet d’annoncer un accord de franchise avec SNC Société d’Exploitation Nouvelle du Soleil d’Or, une filiale de SDPNE.
L’actuel hôtel Radisson Blu sera rebaptisé au nom de l’enseigne lifestyle Canopy by Hilton au printemps 2023 et subira de nombreux travaux de rénovation. L’établissement comptera 143 chambres, une piscine intérieure, une piscine extérieure, un roof top avec vue sur la mer et le vieux port et bénéficiera d’une nouvelle esthétique signée par le designer Ramy Fischler. Pour la partie tourisme d’affaire, l’hôtel sera équipé de 380 m² d’espace évènementiel et de conférence, avec des salles qui donnent sur la mer.
L’hôtel sera idéalement situé dans le quartier médiéval pittoresque « le Suquet ». Piétonnié et sillonné de ruelles pavées escarpées typiques du vieux Cannes où il est bon de se perdre au grès des envies, le quartier offre une ambiance très conviviale avec ses artisans, ses boutiques de luxe et son marché Forville, célèbre pour ses fleurs et ses produits locaux.
Le premier hôtel de la marque Canopy by Hilton avait ouvert l’année dernière à Paris, près du Trocadéro. Le portefeuille français d’Hilton s’étend aujourd’hui à de nouvelles marques telles que Tapestry Collection by Hilton et le groupe hôtelier a inauguré récemment de nouveaux établissements, notamment à Tours et au Havre. Le groupe possède à présent une vingtaine d’hôtels en France, dont le Hilton Paris Tour Eiffel et mise clairement sur le potentiel touristique français en multipliant ses investissements dans l’hexagone depuis quelques temps. De plus, le groupe hôtelier a pour projet d’ouvrir une vingtaine d’établissements de plus dans le pays pour les prochaines années.
La loi de finances 2022 apporte une série de mesures ayant pour but de renforcer la croissance économique et rééquilibrer progressivement les finances publiques. Conscient que les PME représentent le cœur du tissus économique français,le gouvernement a mis en place deux mesures qui favorisent particulièrement leur reprise et leur transmission grâce à certains avantages fiscaux à destination des vendeurs et des acquéreurs.
Par Eric Orsini
Avantage pour les acquéreurs : l’amortissement temporaire des fonds commerciaux acquis
La jurisprudence est claire et constante dans ce domaine : un élément d’actif incorporel identifiable (comme par exemple la clientèle d’une entreprise) ne peut être sujet à un amortissement fiscal que s’il est prévisible, dès sa création ou son acquisition et que ses effets bénéfiques sur l’exploitation prennent fin à une date déterminée. La Loi de Finances 2022, qui légalisent la position du Conseil d’État, met cependant en place une exception temporaire pour les PME dont le chiffre d’affaire est inférieur à 12 millions et ayant moins de 50 salariés. En effet, ces PME qui font l’acquisition de fonds commerciaux entre le 1er janvier 2022 et le 31 décembre 2025 verront leur résultat imposable réduit à hauteur des amortissements comptabilisés.
L’amortissement fiscal qui s’étale sur 10 ans, selon les prescriptions comptables, va ainsi permettre à l’acquéreur de déduire de son résultat imposable 10% du prix d’achat de sa clientèle. Tout laisse à penser que la notion de transmission d’entreprise s’appliquera au sens large, incluant certaines perspectives aux entreprises qui prévoient des restructurations juridiques durant les quatre prochaines années.
Avantage pour les vendeurs : Élargissement du champ d’application des dispositifs d’exonération des plus-values
Pour les cédants, la première bonne nouvelle est l’allongement du délai de cession d’une PME dans le cadre du départ à la retraite du dirigeant. Cette mesure permet d’accéder à des exonérations de plus-values des entreprises soumises à l’IS et à l’IR.
Pour les dirigeants qui sont partis à la retraite entre le 1er janvier 2019 et le 31 décembre 2021, le délai de cession permettant d’avoir droit à l’exonération passe de 24 à 36 mois à compter de la date de liquidation des droits.
La seconde bonne nouvelle vient du dispositif de la loi de finances 2022 qui revoit à la hausse les seuils d’exonération des plus-values des entreprises (IR) et des branches d’activités (IS). Le seuil d’exonération totale passe de 300k de 500k et le seuil d’exonération partielle de 500k à 1M.
Le petit bémol reste cependant que ce relèvement de seuil vient de pair avec une modification de la définition du seuil. Le seuil de 300k était jusqu’à présent fixé en fonction de la valeur des éléments du fonds de commerce (immobilisations corporelles et incorporelles), il sera désormais décidé selon la valeur de l’ensemble des éléments transmis (stocks et les créances clients compris). L’impact positif de cette mesure dépendera donc de la typologie d’activité du vendeur. Les vendeurs devront se garder d’une définition maladroite du seuil d’appréciation qui pourrait leur engendrer une réelle insécurité fiscale.
Bibby Factor est une société d’affacturage totalement indépendante des banques et spécialisée dans les solutions de financement du poste clients pour …
Natixis Interépargne, la référence en épargne salariale et retraite, est investie dans l’avenir de plus de 81 000 entreprises clientes et plus de 3,1 …
Bien gérer le recouvrement de créances est un enjeux crucial qui exige des PME et ETI une démarche proactive et délicate à la fois. Gcollect met à leu…
PME-ETI.fr et la CCI Paris Ile-de-France sont fiers de vous présenter ce partenariat qui a pour ambition de démystifier l'export et d'inciter plus de …
Les risques cyber sont devenus une menace récurrente pour les PME et ETI souvent considérées comme une cible attrayante par les pirates informatiques.…
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