Placer le patrimoine au cœur d’une politique RSE, et plus encore le patrimoine local, c’est préparer l’avenir. En ouvrant le dialogue et la coopération au sein de l’entreprise, on propose un nouveau socle de confiance entre différents acteurs.Voyons ensemble les différents aspects d’impact clairement positif sur notre environnement proche.
Comment ? La Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) est la contribution des entreprises aux enjeux de développement durable et leur responsabilité vis-à-vis des effets qu’elles exercent sur la société. A cet égard, la société attend d’elles une cohérence dans la mise en œuvre d’une stratégie globale.
L’enjeu territorial de la RSE peut se résumer en paraphrasant le président des États-Unis John Kennedy en 1961 : Ne vous demandez pas ce que le territoire peut faire pour vous, mais ce que vous pouvez faire pour le territoire.
L’objectif de l’entreprise est de chercher à avoir un impact positif sur la société tout en étant économiquement viable. La mise en place d’une démarche de RSE est de ce fait un excellent moyen de répondre aux attentes des parties prenantes dans leur propre écosystème (clients, salariés, collaborateurs, actionnaires…).
Pourquoi s’intéresser au patrimoine? Notre patrimoine représente nos racines, il permet de mieux apprendre à nous connaître, favorise la confiance dans nos capacités collectives et consolide donc ainsi la cohésion. De ce fait, il tisse un lien durable entre les collaborateurs et l’ensemble de leurs interlocuteurs.
Le choix de l’ancrage local renforce ce sentiment d’utilité pour les salariés. Concrètement, il donne du sens à l’action pour faire de l’entreprise un moteur de solidarité, pleinement intégrée dans son environnement local. L’entreprise coopère avec les acteurs de son territoire pour répondre ensemble aux défis actuels : compréhension mutuelle, intégration sociale, initiatives partagées, innovation. Cette implication durable construit la relation de confiance avec les habitants, les associations et les pouvoirs publics.
Le soutien à la revitalisation du patrimoine local permet de générer des externalités positives pour le développement économique local : emploi, rayonnement, tourisme, etc. L’entreprise, en faisant le choix de l’ancrage territorial, contribue à la vitalité́ de son territoire. Elle investit à terme dans l’éducation et la formation des jeunes (contrats d’apprentissage, stages…).
Enfin, l’entreprise engagée dans un projet qui a du sens, valorise sa propre image, un atout business de taille aujourd’hui, que ce soit pour répondre à un appel d’offres ou pour convaincre ses parties prenantes.
Clairement, le patrimoine est un moteur efficace de développement économique local. Collaborer à sa valorisation peut créer de nouvelles opportunités de recrutement ou de nouveaux débouchés économiques.
Plus que jamais, les enjeux de préservation du patrimoine de proximité, naturel, culturel ou encore immatériel donnent du sens à l’engagement et valorise l’entreprise elle-même. C’est un miroir tendu, un vecteur de lien et de mobilisation.
Née en 2017 sur les ruines du conflit syrien et irakien, l’association Héritage & Civilisation œuvre pour participer à la promotion de la paix par l’ouverture aux différentes cultures. Afin de relever ce défi de taille, avec l’ambition de faire des jeunes à travers le monde des ambassadeurs de leur patrimoine de proximité, l’association Héritage et Civilisation a mis sur pied un programme éducatif innovant : Odyssée.
Viva Technology 2023, le plus grand événement technologique et startup d’Europe se tiendra à Paris Expo Porte de Versailles du 14 au 17 juin à partir de 9h. Les principales startups, investisseurs, dirigeants et médias de 146 pays seront au rendez-vous. Vous êtes dirigeants ou cadres dans la French Tech ? C’est l’évènement à ne pas manquer pour accélérer les affaires, créer du networking ou tout simplement s’inspirer.
Viva Technology 2023 va réunir plus de 1 800 startups disruptantes qui challengent le secteur. Venez rencontrez celle qui deviendra bientôt votre prochain partenaire ou venez tout simplement trouver la technologie digitale dont vous avez besoin pour votre entreprise.
Viva Technology 2023 réunit à nouveau les plus grands noms du monde de la technologie et de l’économie digitale. Cette année, l’édition sera hybride avec un mélange d’activités en ligne et en présentiel afin d’offrir une expérience augmentée aux visiteurs. Venez y écouter des personnages inspirants comme Mark Zuckerberg, le fondateur de Facebook, ou Tim Cook, le CEO d’Apple, et découvrez les dernières innovations des startups de la tech à Paris, ou depuis le confort de votre maison.
En utilisant un concept inspiré de la télévision, trois scènes proposeront plusieurs émissions thématiques quotidiennes présentées par une équipe d’animateurs professionnels, d’entrepreneurs et de leaders de la tech. Les trois premiers jours du salon sont réservés aux professionnels (start-ups, investisseurs et cadres), aux étudiants et aux enseignants et le dernier jour est ouvert au grand public. Le programme de cette année s’articulera principalement autour de 5 thèmes axés sur la technologie à impact positif : la technologie pour l’environnement, la technologie pour la société avec un accent particulier sur l’inclusion, l’accès aux soins et santé pour tous, passage à l’échelledes startups et l’avenir du travail. L’évènement comprendra donc ces 3 scènes avec 350 conférenciers de renommée mondiale. Venez rencontrer les dirigeants tech, les décideurs, les chercheurs et les fondateurs les plus inspirants au monde qui partagent leur analyse sur les sujets actuels les plus remarquables. Parmi les partenaires, on compte Google, LVMH, La Poste et BNP.
Vous pourrez également y découvrir plus de 300 innovations parmi les plus récentes. En commentçant par des drones de passagers volants, en passant par des roues sans air pour finir par des plantes qui produisent de l’électricité. Tout est à explorer !
Viva Technology 2023 va être incontestablement « the place to be » pour renforcer votre réseau en rencontrant les bonnes personnes au bon moment pour créer des synergies, faire naitre des idées et construire des partenariats. Ce sera aussi l’occasion de recruter vos futurs collaborateurs dans des aires de réseautage dédiées dans le hall tout au long de ces 4 jours.
Voici quelques images qui vous ferons Revivre l’édition 2022 en vidéo :
Rendements obligataires à deux chiffres et surperformance incontestable des marchés actions en 2022 par rapport à leurs homologues émergents1: les pays d’Amérique Latine pourraient mériter l’attention des investisseurs cette année.
L’année passée aura violemment bousculé l’ensemble des marchés financiers à l’échelle mondiale, mais aura également permis à de nouvelles opportunités de naître, notamment au sein des marchés émergents. Lors du précédent chapitre, nous avons découvert celles situées en Asie, mais certains pays latino-américains sont également bien placés pour tirer leur épingle du jeu.
L’Amérique Latine : un marché plein de ressources
Exportatrice majeure de matières premières, l’Amérique Latine apparaît comme une nouvelle ressource pour les pays importateurs à l’heure où la guerre décime l’Ukraine et gèle les activités russes. La réouverture de la Chine, importateur et partenaire commercial de premier plan de la région, va également largement profiter aux activités économiques latino-américaines, par exemple au Chili ou au Brésil.
En parallèle, les tensions politiques entre la Chine et les États-Unis permettent à d’autres pays de revenir sur le devant de la scène. Ajoutées aux séquelles encore présentes de la pandémie, ces tensions ont mené à la réorganisation des chaînes d’approvisionnement profitant aux pays sud-américains, et en particulier le Mexique.
De plus, la plupart des banques centrales de ces pays ont démontré leur capacité à gérer activement l’inflation. Alors que le resserrement monétaire se poursuit au sein des pays développés, certaines économies latino-américaines montrent des signes de ralentissement, et devraient faire partie des premières à enclencher un cycle de baisse de taux, à partir de niveaux actuellement très élevés.
Dans ce contexte favorable, et encouragée par de meilleurs fondamentaux économiques et une reprise du cycle des matières premières, la région peut aujourd’hui offrir des rendements attractifs au sein de différentes classes d’actifs, sous réserve de disposer de la flexibilité pour les saisir. Chez Carmignac, nous avons notamment identifié deux pays sur lesquels les investisseurs mériteraient selon nous de s’attarder.
L’attractivité brésilienne
Véritable puissance économique, le plus grand marché d’Amérique Latine a les cartes en main pour tirer parti de ce nouvel ordre géopolitique mondial. Grand exportateur de soja, de minerai de fer et de pétrole, le Brésil a grandement contribué à la consommation mondiale et sa croissance en 2022 a été en partie tirée par la hausse des prix des matières premières. Cette tendance se confirme en 2023, bien que ses perspectives de croissance se trouvent impactées par le ralentissement économique mondial.
Le Brésil va également bénéficier de la réouverture de la Chine, son premier partenaire commercial. En effet, la deuxième puissance économique mondiale représentait en 2021 plus d’un tiers des exportations brésiliennes. Cette nouvelle dynamique pourrait profiter aux marchés actions du Brésil, qui offrent aujourd’hui des valorisations intéressantes.
Le cycle de resserrement monétaire brésilien est également bien avancé, après avoir atteint un pic d’inflation à 12,1% en avril 2022 – soit le niveau le plus élevé depuis presque vingt ans – ramené à 5,8% en décembre 2022. Bien qu’encore supérieur à la cible de la banque centrale fixée à 3,25%, le Brésil pourrait être l’un des premiers pays à revenir à une politique plus accommodante alors même que son taux directeur est fixé à 13,75%2, offrant ainsi des rendements particulièrement intéressants pour les investisseurs obligataires :
• Avec des rendements à 10 ans à deux chiffres significativement supérieurs à la dette des États-Unis, la dette souveraine locale brésilienne offre des taux d’intérêts réels très attractifs – parmi les plus élevés à l’échelle mondiale – pour les investisseurs, qui pourraient également bénéficier de manière tactique d’une revalorisation de sa devise.
• En tant que place financière majeure en Amérique latine, le Brésil abrite également des opportunités de crédit intéressantes, comme B3, la bourse des valeurs brésiliennes.
LE SAVIEZ-VOUS ?
Expert de la dette émergente depuis 2015, nous avons créé un Fonds dédié à cette classe d’actifs en 2017, Carmignac Portfolio EM Debt.
L’économie mexicaine devrait croître de 1,7% en 20233 principalement portée par la consommation domestique et les échanges commerciaux avec des partenaires majeurs, tels que les Etats-Unis.
La politique sanitaire drastique menée par le gouvernement chinois en réponse à la crise du Covid-19, ainsi que les tensions sur les chaînes de production en résultant ont considérablement impacté les équilibres commerciaux à travers le monde. Pour pallier ces difficultés, les principales régions importatrices, l’Europe et bien entendu, les États-Unis, se sont tournées vers des pays géographiquement plus proches afin de diversifier leurs chaînes d’approvisionnement : c’est ce qu’on appelle le nearshoring. L’Europe relocalise ainsi ses activités de production en Europe de l’Est, tandis que les États-Unis rapatrient massivement leurs lignes vers le Mexique.
Au-delà de la proximité géographique, les deux régions ont renforcé leur relation au fil des ans. En 2020, les États-Unis représentaient la première source d’investissements directs à l’étranger (IDE) au Mexique, pesant près de 34%4. Des accords commerciaux octroient au Mexique un accès préférentiel au marché nord-américain, à l’image du USMCA (United States-Mexico-Canada Agreement), garantissant un libre-échange entre ces pays. Parallèlement, les tensions politiques grandissantes entre les États-Unis et la Chine n’ont fait qu’amplifier le phénomène de nearshoring en faveur du Mexique.
Sur le plan obligataire, bien que la Banque centrale mexicaine ait commencé ses hausses de taux plus tardivement que les autres pays émergents, son taux directeur se porte aujourd’hui à 11%5. L’amélioration générale de ses fondamentaux font ainsi du Mexique un émetteur intéressant.
Dans ce contexte, nous trouvons des opportunités intéressantes au sein des marchés actions et obligataires mexicains pour profiter de cette dynamique :
• Au sein des marchés actions, la banque Grupo Banorte bénéficie de ce phénomène de nearshoring grandissant et offre des perspectives de croissance attrayantes au sein d’un marché encore sous-pénétré au Mexique.
• Les marchés obligataires offrent quant à eux des rendements réels très attractifs, conséquence de la lutte de la Banque centrale contre l’inflation, notamment sur la dette locale qui propose des taux d’intérêt proches des deux chiffres sur dix ans.
Outre les marchés brésilien et mexicain, d’autres pays d’Amérique Latine bénéficient d’un contexte favorable à leurs économies et produisent les matières premières nécessaires à la consommation mondiale. C’est par exemple le cas du Chili, premier exportateur de cuivre au niveau mondial et également producteur de lithium, qui sont des ressources incontournables pour la transition énergétique.
L’Amérique Latine n’est pas le seul continent à produire les matières premières dont le monde a besoin : découvrez le mois prochain le troisième et dernier article de la série sur les marchés émergents pour en savoir plus sur les opportunités de la région émergente Europe, Moyen-Orient et Afrique.Vous souhaitez en savoir plus sur notre approche des marchés émergents ?Contactez-nous1 Source : Index factsheet, MSCI Emerging Markets Latin America Index (USD), au 28/02/2023: https://www.msci.com/documents/10199/5b537e9c-ab98-49e4-88b5-bf0aed926b9b2 Source : ministère de l’Économie, Brèves économiques du Brésil, semaine du 5 au 12 janvier 2023.3 Source : FMI 20224 Source : FMI5 Source : Banxico, Février 2023
La CPME organise les trophées numériques 2023 le 5 juillet prochain. Cette 5ème édition viendra récompenserles dirigeants de PME qui ont réussi le pari de la transformation digitale et qui souvent faisaient leurs premiers pas dans le numérique !
Les 5 lauréats des trophées numériques 2023 bénéficierons de :
La somme de 7000 € pour poursuivre sa digitalisation
La forte mise en avant de leur entreprise grâce à une campagne de communicationmassive sur les réseaux sociaux.
Vous êtes invités à concourir à l’un des 5 prix qui vont être décernés aux entrepreneurs.
Le prix Développement récompensera celle ou celui qui a mis à profit le numérique pour développer son activité, conquérir de nouveaux clients ou de nouveaux marchés
Le prix Notoriété sera décerné à un dirigeant qui a utilisé la communication digitale pour se faire connaître de nouveaux publics, par exemple en allant sur les réseaux sociaux ou via une plateforme.
Le prix Emploi & Compétences distinguera un entrepreneur qui s’est servi d’outils numériques pour recruter, améliorer les compétences ou encore le fonctionnement de ses équipes
Le prix Inclusion valorisera un chef d’entreprise qui a favorisé l’inclusion des personnes éloignées de l’emploi dans sa PME en s’appuyant sur des outils digitaux. Il peut s’agir, par exemples, de personnes en situation de handicap ou issues des quartiers prioritaires de la ville, ou encore ceux qui sont isolés par la fracture numérique.
Le prix Site Internet en .fr récompensera un entrepreneur ayant créé son site vitrine ou de e-commerce, avec un nom de domaine en .fr pour valoriser son savoir-faire made in France et/ou sa présence sur le territoire français.
Déposez votre candidature!
Téléchargez le règlement du concours et le dossier de candidature, renseignez-le et renvoyez-le avant le 16 avril, minuit soit par mail à mseateun@cpme.fr soit par courrier à : CPME ; Trophées numériques 2023, 8-10, Terrasse Bellini, 92806 Puteaux cedex.
Le jury des Trophées va se réunir le 25 avril pour choisir jusqu’à 15 candidats (3 pour chacun des 4 prix) présélectionnés pour la qualité de leur dossier.
Ils remporterontun premier gain : une vidéo va être tournée dans leur entreprise, pour qu’ils racontent leur démarche. Ces 15 vidéos de format court serontdiffusées de manière sponsorisée sur les réseaux sociaux, en juin.
A partir de ces vidéos, un vote du public en ligne pour son entreprise favorite dans chacun des 5 prix, sera proposé en juin. C’est la combinaison des notes du public et du jury qui permettra de composer la note finale, la note du public comptant pour 40% et celle du jury, pour 60% de la note finale.
A vos agendas ! Dernière étape : les 4 lauréats seront dévoilés mercredi 5 juillet, à la soirée de remise des prix à Paris. Chacun d’entre eux remportera la somme de 7 000€.
Documents utiles
Pour relayer l’appel à candidature aux Trophées autour de vous, téléchargez le kit de communication ci-dessous composé de bannières web, e-mailings, de visuels aux formats des réseaux sociaux et de textes descriptifs de l’événement.
Dès 2024, les entreprises seront obligées de réceptionner les factures électroniques. L’obligation de les émettre suivra en 2024, 2025 ou 2026 selon les typologies d’entreprises. Dans ce contexte, les sociétés vont devoir émettre, transmettre ou recevoir leurs factures électroniquement sur une plateforme. Pour ce faire, plusieurs possibilités se présentent : via différents acteurs et logiciels ou par leurs propres moyens. Une opportunité pour les services comptables et financiers de revoir leurs processus de facturation et documentaire pour gagner du temps et de l’argent.
Par Audrine Bodin – Content Manager Pôle Business chez deltic
L’obligation de facturation électronique au sein des entreprises dès 2024 !
Dans un contexte où le digital prend place dans toutes les activités et où l’Etat souhaite lutter contre la fraude à la TVA (qui représente 50 milliards d’euros de perte aujourd’hui), la facturation électronique représente une opportunité et une nécessité. Pour ce faire, l’Etat impose la facturation électronique, ou encore e-invoicing, à toutes les entreprises françaises selon le calendrier suivant :
Les dates clés de cette obligation
Concernant l’obligation de réception des factures électroniques : ● 2024 : pour toutes les entreprises françaises au 1er Juillet.
Concernant l’obligation d’émission des factures électroniques : ● 2024 : pour les grandes entreprises (effectif supérieur à 5000 salariés ou chiffre d’affaires annuel supérieur à 1.5 milliards d’€ et bilan supérieur à 2 milliards d’€) ● 2025 : pour les ETI (effectif entre 250 et 5000 salariés et chiffre d’affaires annuel inférieur à 1.5 milliards d’€ ou bilan inférieur à 2 milliards d’€) ● 2026 : pour les TPE/PME (effectif inférieur à 250 salariés et chiffre d’affaires inférieur à 50 millions d’€ ou avec un bilan inférieur à 43 millions d’€)
La facturation électronique se résume donc à l’émission, la transmission et la réception des factures, accompagnées d’informations concernant les transactions des entreprises (e-reporting). Tout ça, de manière dématérialisée via une plateforme. La facturation électronique répond à des obligations concernant les formats de factures, les échanges avec la plateforme, la transmission de certaines données…
Les modalités de cette obligation
Qui est concerné ?
Toutes les entreprises françaises assujetties à la TVA sont concernées par cette obligation de facturation électronique. Cela concerne les transactions BtoB (achats et ventes de biens et/ou prestations de services). Les opérations bénéficiant d’une exonération de TVA dispensées de facturation ne doivent pas procéder à l’e-invoicing.
Quelles données doivent être transmises ?
Les données qui doivent être transmises pour la facturation électronique sont toutes celles qui sont utiles au pré-remplissage des déclarations de TVA et à la détermination de la TVA collectée.
Comment envoyer les factures électroniques et leurs données ?
Les factures et données doivent transiter sur la plateforme publique de facturation pour être ensuite transmises par l’administration fiscale à la direction générale des finances publiques. Pour ce faire, il est possible de passer en direct via cette plateforme en déposant et réceptionnant soi-même les factures. C’est la plateforme qui transmet ensuite les données à la direction générale des finances publiques. Cette solution prend du temps et correspond davantage aux petites entreprises avec un faible volume de factures.
Il est également possible de passer par d’autres acteurs, appelés opérateurs de dématérialisation et plateformes de dématérialisation partenaires. Dans ce cas, ce sont ces acteurs qui envoient et réceptionnent directement les factures et qui les font transiter à la plateforme publique de facturation et aux sociétés. Grâce à cette solution, les entreprises automatisent les actions, optimisent leur process, leur temps et leur argent. De nombreux gains qui laisseront davantage de temps pour des tâches à plus forte valeur ajoutée.
Quels sont les formats de facture qui vont devenir obligatoires ?
Dans le cadre de cette nouvelle obligation, les formats de factures vont également évoluer. Fini le simple PDF, vous entendrez désormais parler de factur-x, d’XML UBL, XML CII… Pour transmettre les factures sur la plateforme de dématérialisation, seuls ces formats seront autorisés.
Les acteurs de la dématérialisation dans le cadre de la future obligation de facturation électronique !
Les acteurs de dématérialisation vont donc être en première ligne pour la facturation électronique. Les sociétés déjà équipées d’une solution de dématérialisation auront d’ores et déjà une longueur d’avance lors du passage à l’obligation de la facturation électronique ! Les processus seront déjà optimisés, les factures déjà dématérialisées… Les opérateurs de dématérialisation s’occuperont de la transition vers l’obligation !
La facturation électronique améliore la productivité des entreprises !
La facturation électronique élimine les contraintes de traitement des factures papiers et automatise certaines tâches. La facturation électronique entre dans le cadre plus général de la dématérialisation des factures et des documents. Le principe de la dématérialisation est simple : les tâches à faible valeur ajoutée concernant les processus de facturation et documentaire peuvent être automatisées. Cela peut concerner : la récupération des factures, la saisie, les circuits de validation, la saisie comptable, le stockage des factures et documents etc. Dans ce sens, les services financiers et comptables réduisent considérablement le temps passé à réaliser ces tâches. Cela représente en moyenne une réduction de 8 jours par mois ! Également, les gains financiers de cette automatisation sont loin d’être négligeables ! A titre d’exemple, le traitement d’une seule et unique facture grâce à la dématérialisation a un coût de 2 euros VS 14 euros avec un traitement manuel. Du temps et de l’argent qui peuvent être réinvestis dans des tâches à forte valeur ajoutée.
Fini les piles de documents, le stockage et l’archivage papier : un premier geste pour l’environnement !
Grâce à la dématérialisation, les entreprises suppriment leurs factures et documents papiers, les piles sur les bureaux, évitent les espaces physiques de stockage, d’archivage et les recherches interminables des documents. Un geste en faveur de l’environnement !
Pour finir, la future obligation de facturation électronique va concerner l’ensemble des entreprises françaises dans quelques années. Une obligation que nombre d’entreprises voient comme une opportunité pour dématérialiser et optimiser leur processus de facturation et capitaliser sur des tâches à plus forte valeur ajoutée!
Dans beaucoup de pays économiquement avancés, la main-d’œuvre manque alors que les prévisions évoquent une croissance économique faible, voire négative. Ce manque trouve ses origines dans les effets très divers et encore incorrectement appréhendés de la pandémie couplés au vieillissement de la population et dans le nouveau régime d’inflation.
Par Frédéric Leroux – Responsable Équipe Cross Asset, Gérant chez Carmignac
Source : Conseil des gouverneurs de la Réserve fédérale des États-Unis, 3 Mars 2023
Comme le montre par exemple le graphique issu des travaux de la Réserve fédérale, le Covid a accéléré les départs à la retraite aux États-Unis, témoignage d’une volonté de changement de mode de vie rendu possible par une épargne excédentaire gonflée par les plans de soutien aux ménages et par la réduction forcée de la consommation pendant deux ans. Cette retraite anticipée contribue à une baisse marquée du taux de participation de la population active, accentuée par la réduction du nombre de ménages à deux revenus et aggravée par le développement du travail à temps partiel, significatifs également d’un changement d’aspirations : la valeur travail n’est plus ce qu’elle était.
La pandémie a aussi généralisé le télétravail, dont il reste encore à mesurer la productivité dans la durée, après l’enthousiasme qu’il a initialement suscité. Toute baisse impliquerait un besoin accru de main-d’œuvre, déjà aggravé, semble-t-il, par une importante indisponibilité liée aux cas de Covid long.
Au-delà de ce facteur sociologique, le coronavirus a également sensiblement réduit l’immigration ; comment optimiser les politiques migratoires à l’ère des relocalisations de productions stratégiques et du vieillissement concomitant de la population qui réduit la main-d’oeuvre disponible ? Quelle doit être la durée d’une vie active dans le contexte d’une démographie vieillissante ? Le cas japonais où vieillissement a rimé avec plein-emploi et activité économique léthargique doit nous interroger.
Cette volatilisation de la main-d’œuvre vient réduire celle encore très occupée eu égard au niveau d’activité économique. Il semble en effet qu’en période d’inflation le marché du travail reste robuste très longtemps lors des ralentissements économiques – voire des récessions –, car la croissance du chiffre d’affaires des entreprises permise par la hausse des prix masque la réalité de l’affaiblissement des volumes de vente et retarde la décision de réduire la voilure, notamment en licenciant. L’ajustement du marché du travail est tardif et brutal en récession inflationniste.
L’inévitable retour des fins de mois difficiles et la prise en compte de la prochaine chute de l’activité contribueront à normaliser partiellement le marché du travail mais n’effaceront les effets ni des aspirations sociologiques nouvelles, ni du vieillissement. La main-d’oeuvre restera structurellement rare.
Pour commencer, voici l’effrayante réalité ; près de la moitié des PME victimes d’une cyberattaque ne s’en relèvent pas et mettent la clé sous la porte dans les dix-huit mois qui suivent. Face à ce terrible constat, Bpifrance a lancé ce lundi 20 mars le “Diag Cybersécurité”, un diagnostic qui permet aux PME de mesurer leur vulnérabilité à la cybermalveillance et de prendre des mesures nécessaires.
Par Serge de Cluny
“Face à une cyber menace grandissante, ce diagnostic vise à donner aux PME les armes pour se défendre et à diffuser une véritable culture de la cybersécurité dans les PME en les accompagnant dans la prévention du risque d’attaques et dans la sécurisation de leur système d’information”, déclare Guillaume Mortelier, responsable de l’accompagnement au sein de banque publique d’investissement.
Ce diagnostic “Diag Cybersécurité” est accessible à toutes les PME (moins de 250 salariés) qui le souhaitent, même si elles ne sont pas clientes de Bpifrance. Les start-up et les ETI (entre 250 et 4999 salariés) peuvent également être éligibles, en fonction de certains critères.
Le diagnostic est réalisé par un “expert habilité” et se déroule en quatre étapes.
Un pré-cadrage téléphonique effectué avec le dirigeant de l’entreprise ou avec le responsable de la sécurité informatique.
Une visite et des entretiens sur site pour évaluer le niveau de sécurité
Une évaluation de la vulnérabilité de l’entreprise
La remise d’un plan d’action
Le coût du diagnostic “Diag Cybersécurité” est financé à hauteur de 50% par Bpifrance et le reste, à la charge de l’entreprise, s’élève à 2200 euros HT.
Les PME sont une cible de choix pour les cyber criminels. En effet, seulement une PME sur trois a nommé en interne un responsable de la sécurité informatique, souvent par manque de moyens financiers mais aussi par manque de connaissances dans le digital. “Leurs dirigeants se demandent souvent par où commencer sur ce sujet qu’ils maîtrisent peu”, explique Bpifrance.
En novembre dernier, le gouvernement avait annoncé une enveloppe de 30 millions d’euros pour mettre en place un “bouclier cyber” à destination des PME et ETI qui comprend la création d’un “filtre anti-arnaque” et d’un outil d’autodiagnostic gratuit. De plus, 750 PME et ETI appartenant à des secteurs stratégiques pourront également bénéficier d’un audit de cybersécurité et de formations.
Geoffroy Roux de Bézieux, actuellement à la présidence du Medef, quittera son poste le 6 juillet prochain après cinq années à la tête de l’organisation patronale depuis son élection en 2018. Les prétendants à sa succession ont commencé à présenter leur candidature depuis le 6 mars. Une campagne électorale de quatre mois s’ouvre dans un cadre bien défini et se clôturera par une élection le 6 juillet durant laquelle plus de 1 100 électeurs désigneront le prochain président du Medef. A ce jour, trois candidats se sont déclarés.
Par Franck Boccara
Les candidats potentiels à la présidence du Medef ne sont pas pressés puisqu’ils ont jusqu’au 5 mai pour se déclarer avec un dossier complet. Le nouveau président sera élu le 6 juillet prochain au scrutin électronique (au terme d’une campagne de quatre mois) par une assemblée électorale composée du président, des personnalités élues du Conseil exécutif, des représentants des membres associés et de 1 100 délégués représentant les organisations adhérentes (60% d’organisations professionnelles et 40% de Medef territoriaux). Les candidats doivent bénéficier d’un parrainage de 150 membres de l’assemblée générale du Medef ayant voix délibérative afin de valider leurs candidatures via une plateforme de recueil de parrainage qui est ouverte depuis le 13 mars. Voici les 3 candidats à la présidence du Medef d’ores et déjà déclarés à ce jour :
Patrick Martin
Actuel numéro deux du Medef, Patrick Martin, il est estimé comme favori de l’élection. Ancien président du Medef Auvergne-Rhône-Alpes et déjà candidat à la présidence en 2018, il co-préside la commission Souveraineté et sécurité économiques des entreprises, créée par Geoffroy Roux de Bézieux..
Il dirige une l’ETI familiale Martin-Belaysoud de 3 000 salariés (1 milliard d’euros de chiffre d’affaires en 2022) dont l’activité est la distribution de produits et de services destinés au bâtiment et à l’industrie. Il est d’ailleurs fortement engagé dans les enjeux de logement : « on ne parle pas assez du logement, un sujet pourtant central. La pénurie de logements devient socialement dangereuse, parce que cela affecte le pouvoir d’achat, mais aussi parce que cela a des conséquences sur la mobilité professionnelle. »
Dominique Carlac’h
Elle se présente pour la deuxième fois à la présidence du Medef après avoir été l’unique représentante de la gente féminine aux élections de 2018. Cette ancienne athlète de haut niveau, qui dirige l’entreprise D & Consultants, veut renforcer la compétitivité des entreprises françaises en prenant en compte l’évolution du « rapport au travail » et en insistant sur deux autres dimensions qui lui sont chères : le « sociétal » et le « social ».
Depuis la précédente élection, elle a occupé les postes de vice-présidente et porte-parole du Medef. Elle a fait partie de la délégation Medef participant à la négociation sur le télétravail dans le contexte de la crise sanitaire du Covid-19.
Pierre Brajeux
Président délégué de la Fédération Française de la Sécurité Privée, Pierre Brajeux annonce le cap lors de sa déclaration de candidature « Ma conviction profonde, c’est que le vent s’est levé, la mer s’est creusée et qu’il faut un changement de cap ». Alors patron du Medef des Hauts-de-Seine, il s’était déjà présenté à l’élection de 2018 mais s’était rallié en cours de campagne à Patrick Martin.
Dirigeant de Torann, une ETI spécialisée dans le gardiennage de près de 3 000 salariés, Pierre Brajeux a choisi trois axes pour sa stratégie de campagne : la simplification, la valeur du travail et la fiscalité. « Le logiciel sur lequel on vit depuis des années, c’est pour les entreprises toujours plus de contraintes, toujours plus de contrôles, toujours plus de sanctions. Il faut qu’on change de logiciel », déclare-t-il.
Il faudra certainement compter avec deux autres candidats potentiels ne se sont pas encore déclarés pour le moment : Olivier Klotz (Medef Alsace), et Alexandre Saubot, le leader de France industrie qui avait été défait de peu par à Geoffroy Roux de Bézieux en 2018…A suivre !
Premier pays francophone au monde avec près de 100 millions d’habitants, la République Démocratique du Congo est une terre d’opportunités qui possède de vrais potentiels mais qui reste encore difficile à décrypter. La SEMAINE FRANÇAISE de KINSHASA, qui se tiendra du 29 au 31 mars 2023 à l’hôtel Pullman de Kinshasa, est un évènement d’échanges et de rencontres économiques entre les communautés d’affaires françaises et congolaises. Les interlocuteurs clés y seront présents et ce sera une belle occasion pour les PME et ETI françaises de découvrir le marché.
La Semaine française de KINSHASA, qui existe depuis 2014, est avant tout un lieu de rencontres qui permet d’entrer en relation directe avec vos futurs partenaires.
Pour l’édition 2023, la SEMAINE FRANÇAISE aura pour thème « entreprendre en RDC » qui sera décliné en plusieurs sous-thèmes pratiques (agriculture, agro/industrie, énergie, télécoms, digital, distribution…).
L’objectif principal de cette 7ème édition est de proposer des rencontres B2B entre les entreprises françaises et les entreprises présentes en RDC.
Tout au long de l’évènement les participants et visiteurs, pourront rencontrer les décideurs économiques, échanger avec les autres entreprises, découvrir au travers des stands, les services, produits et savoir- faire.
Des conférences plénières et des ateliers thématiques seront organisés.
Les entreprises françaises sont présentes en RD Congo (RDC), bien qu’encore en nombre limité (27 entreprises). Cette présence est néanmoins significative au regard du CA réalisé par ces entreprises. Notre présence est ciblée sur un nombre limité de marchés de niches, généralement réservés aux entreprises du secteur formel (à noter que le poids du secteur informel en RD Congo est très important).
Ces dernières années, plusieurs entreprises françaises se sont ainsi installées en RD Congo :
Orange, leader sur l’Internet Mobile a commencé à déployer son réseau 4G et poursuit le développement d’Orange money
Accor exploite deux hôtels (Pullman) et projette l’ouverture prochaine de nouvelles implantations
GVA, filiale du groupe Vivendi, opérateur télécom spécialisé dans l’accès internet très haut débit (FTTH).
Castel (brasseries Bracongo et Brasimba), leader sur le marché des bières et boissons gazeuses
Bolloré Africa Logistics, présent sur l’ensemble du territoire
Perenco exploite 11 champs onshore et offshore pour une production moyenne de 25 000 b/j
Total Energies, présent dans la distribution pétrolière (2° réseau de stations-services)
Bureau Veritas, Canal+, Havas, Air France, CMA-CGM (qui exploite une ligne maritime), Servair (catering aérien), Bouygues-TP (extraction minière), Décathlon (équipements sportifs), Cegelec et Schneider-électricité sont, par ailleurs, quelques-unes des principales entreprises françaises présentes en RD Congo.
Les principaux postes d’exportation sont :
les produits manufacturés, dont les produits pharmaceutiques (22 M EUR) et les produits chimiques (19 M EUR)
les biens d’équipement mécaniques, matériel électrique, électronique et informatique (35 M EUR)
les produits des industries agro-alimentaires (45 M EUR)
Les principaux postes d’importation sont :
les produits métallurgiques et métalliques (106 MEUR)
Dans un contexte inflationniste, l’obtention d’un crédit immobilier est de plus en plus difficile, notamment pour les jeunes salariés, pourtant désireux d’acquérir rapidement leur résidenceprincipale. La propriété de son bien immobilier arrive de plus en plus tardivement et a un impact direct sur la qualité de vie au moment de la retraite, enjeu majeur du projet actuel de réforme des retraites. SOFIAP, filiale de La Banque Postale, propose un dispositif de prêt subventionné à destination des salariés, permettant aux entreprises de soutenir leurs collaborateurs dans la constitution de leur patrimoine.Jusqu’au 17 mars 2023, toutes les entreprises désireuses de mettre en place cette mesure d’aide au pouvoir d’achat, bénéficieront d’une prise en charge exceptionnelle d’une partie des intérêts du prêt immobilier de leurs collaborateurs par SOFIAP.
Le coût du logement constitue un des budgets les plus importants. Devenir propriétaire dès son plus jeune âge assure un pouvoir d’achat maitrisé et une protection lors du départ en retraite.
Selon un récent sondage*, 85% des jeunes adultes veulent devenir propriétaires. L’envolée des taux et la hausse du nombre de refus de prêts aux primo-accédants retardent leur accession à la propriété et aussi, mécaniquement, la date à laquelle ils n’auront plus de prêts immobiliers à rembourser.
Un nouveau levier d’aide à l’accession à la propriété fait son apparition : le prêt SOFIAP subventionné par l’employeur. Ce prêt immobilier est un facilitateur pour décrocher son prêt immobilier puisqu’une partie
des intérêts sont pris en charge par l’employeur. Il permet ainsi aux salariés de prétendre à une enveloppe d’achat plus importante pour acquérir son logement.
Dispositif exceptionnel s’inscrivant dans une démarche économique et sociale
En mettant en place ce dispositif, les entreprises s’engagent, en complément des mesures gouvernementales, à soutenir le pouvoir d’achat de leurs salariés. Elles offrent ainsi une solution sociale innovante pour les aider à concrétiser leurs projets de vie et se constituer un patrimoine.
SOFIAP s’engage aux côtés des entreprises souhaitant mettre en place ce dispositif
Pour accompagner cette démarche sociale, SOFIAP lance un appel à candidature aux entreprises privées souhaitant mettre en place ce dispositif d’aide à l’accession à la propriété auprès de leurs jeunes salariés. Dans le cadre de ce projet, SOFIAP prendra en charge une partie des intérêts du prêt immobilier des collaborateurs des entreprises sélectionnées.
Pour candidater et ainsi bénéficier de cette mesure exceptionnelle, les entreprises ont jusqu’au 17 mars 2023 en s’inscrivant sur le site internet de SOFIAP https://www.sofiap.fr/appel-candidature. Les entreprises sélectionnées pourront participer aux échanges et propositions que SOFIAP présentera au Gouvernement au printemps 2023, dans le but d’exonérer cet avantage en nature.
Les entreprises souhaitant accéder à ces prêts subventionnés par SOFIAP au profit de leurs salariés ne doivent pas avoir de plan social en cours. Le dispositif est ouvert à tous les salariés des entreprises signataires de la convention qui ont le projet d’acheter leur résidence principale, et notamment les jeunes collaborateurs.
Vers des exonérations pour les employeurs proposant des prêts immobiliers subventionnés.
S’inscrivant dans la droite ligne des réflexions amorcées lors du Conseil National de la Refondation (CNR) Logement, SOFIAP proposera une série de mesures au Gouvernement pour rendre plus attractif le dispositif d’aide à l’acquisition de sa résidence principale. Ainsi, il pourrait être exonéré des impacts fiscaux et sociaux de la participation de l’entreprise à l’aide au logement.
Ces mesures répondent à deux problématiques des employeurs et des salariés :
– 1. Des salariés qui peinent à obtenir un prêt immobilier sont ainsi soutenus par leur employeur pour
les aider à accéder à la propriété (12,8 millions de personnes sont locataires de leur résidence
principale) ;
– 2. Des entreprises qui peinent à recruter, y trouvent un atout supplémentaire et différenciant pour
leur marque employeur, pour attirer et fidéliser de futurs talents.
Cette initiative de SOFIAP pourrait s’intégrer dans les prochaines mesures complémentaires de soutien au pouvoir d’achat présentées par le Gouvernement pour valoriser le travail du point de vue des employeurs et des salariés, au même titre que les mesures relatives à l’épargne salariale.
Forte de son appartenance à La Banque Postale et en lien avec ses valeurs citoyennes, SOFIAP poursuit son engagement pour favoriser l’accession à la propriété des salariés et le maintien du pouvoir d’achat.
A PROPOS DE SOFIAP
Créée en 1921, SOFIAP (Société Financière pour l’Accession à la Propriété) est à l’initiative du prêt immobilier subventionné en partie par l’employeur auprès des agents publics et des salariés de grandes
entreprises, avec plus de 50 000 prêts financés et autant de familles accompagnées dans leur projet de vie.
Filiale de La Banque Postale (majoritaire à 66%) et de la SNCF, SOFIAP est un établissement financier spécialiste de la distribution de crédits aux clientèles affinitaires et statutaires depuis sa création, il y a plus de 100 ans.
SOFIAP distribue des prêts immobiliers aux cheminots de la SNCF et élargit son offre aux clientèles affinitaires et statutaires. En 2014, La Banque Postale devient actionnaire majoritaire aux côtés de la
SNCF. Elle apporte les savoir-faire et la sécurité d’un grand groupe bancaire pour permettre à SOFIAP de proposer un service toujours plus exigeant à ses clients.
A PROPOS DE SES DIRIGEANTS :
Laurent PERMASSE, Président du Directoire de SOFIAP
Son goût pour l’aventure entrepreneuriale, avec l’intuition qu’une finance orientée permet le développement de la solidarité, l’a conduit à créer le Titre Emploi Services devenu par la suite le CESU préfinancé et recevoir le prix de l’Innovation Fondation 3 Suisses par la Secrétaire
d’Etat auprès du Premier Ministre chargée de l’emploi, Anne-Marie Couderc.
Il rejoint en 2016 le groupe BPCE comme membre du directoire de Natixis Intertitres et membre du Comex de Natixis Interépargne pour développer les dispositifs collectifs de retraite complémentaire et avantages aux salariés, avant d’intégrer en 2018 La Banque Postale comme Directeur des marchés grand public et patrimonial.
Mickael LE NEZET, Directeur Général de SOFIAP
Il est nommé directeur général de la SOFIAP en mai 2022. Il a auparavant occupé les fonctions de directeur de l’offre des marchés professionnels au sein de La Banque Postale, qu’il avait rejoint en 2018 à la direction du développement des entreprises et des territoires, après avoir exercé des responsabilités au sein de la direction des marchés professionnels de Banque Populaire (Groupe BPCE) depuis 2011.
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