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SME-ETI

MEDEF International vous invite à participer à la mission du conseil d’entreprises France-Brésil à São Paulo, du 26 au 27 mars 2024. La délégation sera conduite par M. Jean-Pierre CLAMADIEU, président du conseil d’entreprises France-Brésil de MEDEF International et président du conseil d’administration d’ENGIE. Cette mission exceptionnelle du conseil d’entreprises France-Brésil multisectorielle s’inscrit dans un contexte de relance des relations bilatérales entre l’Union Européenne et le Brésil, avec en ligne de mire l’accord commercial UE-Mercosur et les problématiques de long terme liées à la décarbonisation du pays. Les investissements français au Brésil traduisent une présence économique française importante, ancienne et diversifiée. La quasi-totalité des entreprises du CAC 40 (39/40) dispose d’au moins une filiale au Brésil. Au total, ce sont 1 156 entreprises françaises qui ont fait le choix de s’installer au Brésil et qui emploient près de 520 000 personnes. Le Brésil se positionnerait de ce fait comme la 3ème plus grande présence française en termes d’effectifs salariés au monde, derrière les Etats-Unis et l’Inde. Le chiffre d’affaires des multinationales françaises implantées localement s’élevait à 61 Mds EUR en 2021, le Brésil se plaçant au 9ème rang mondial et 3ème hors Europe derrière les Etats-Unis et la Chine. Cette présence économique est une opportunité de renforcer le développement commercial et l’implantation de PME et ETI dans le pays. Cette délégation d’entreprises fait suite à la mission organisée en juin dernier à l’occasion du déplacement d’Olivier Becht, ministre délégué en charge du Commerce extérieur et de l’Attractivité. Elle sera l’occasion pour les entreprises de tous secteurs (transport et infrastructures, ville durable, énergie, biogaz, mines, banque/finance, agroalimentaire, numérique, nouvelles technologies, santé, aéronautique etc.) de rencontrer les interlocuteurs clés des secteurs publics et privés brésiliens. Les précédents mandats du Président brésilien Luiz Inácio LULA DA SILVA (2003-2011), réélu en octobre 2022, furent marqués par de nombreuses avancées dans les domaines économiques et sociaux ainsi que d’une politique étatique volontariste. Sous sa direction, le nouveau Gouvernement brésilien semble être déterminé à réintégrer le Brésil sur la scène internationale et à renouer les politiques liées au renforcement du développement durable, de l’énergieet de la protection de l’environnement notamment. Son administration peut se targuer d’avoir rapidement mis en œuvre son programme social tout en affichant de bons indicateurs économiques. L’optimisme lié à la conjoncture a été renforcé par le vote de la réforme de la fiscalité indirecte approuvée fin 2023. Cela s’est traduit par une amélioration de la note souveraine(de BB- à BB selon S&P) et par un niveau record de l’indice boursier(+22,3% sur l’année). En plus d’une inflation en baisse, un taux de chômage en recul et une croissance de 3% sur l’année passée, le Brésil présente un excédent commercial record de 99 Md$ en 2023, confortant ainsi sa politique volontariste à l’export. Depuis peu, le ministère des Finances développe avec la BID un mécanisme de couverture pour attirer les investissements étrangers durables. Le but est de convaincre les investisseurs étrangers de s’engager dans des projets de long terme liés à la transition écologique. Pour cela, trois mécanismes seront proposés pour limiter l’impact des fluctuations du taux de change. Ces produits financiers devraient être lancés en 2024 et initialement couvrir 3,4 Mds USD d’investissements. Cette mission permettra :
  • Des rencontres de très haut niveau avec les membres du Gouvernement pour mieux comprendre les projets prioritaires, les opportunités d’affaires, ainsi que les modalités retenues pour leur mise en œuvre et leur financement ;
  • Une approche sectorielle avec les chefs d’entreprises et différents acteurs phares du secteur privé brésilien ;
  • Des échanges avec les banques de développement actives au Brésil.
Date limite d’inscription : 19 mars 2024

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L’intelligence artificielle (IA) se présente comme un outil majeur pour répondre aux défis informatique, offrant des solutions révolutionnaires pour transformer les entreprises. Cet article explore en détail les multiples avantages de l’IA, de l’automatisation à la personnalisation de l’expérience client, en passant par l’optimisation des processus métier et l’encouragement à l’innovation continue. En examinant ces perspectives, il devient clair que l’IA représente une révolution qui ouvre de nouvelles opportunités pour les entreprises visionnaires, les propulsant vers un avenir prospère et compétitif. Par Nina Oussadi – Facilitatrice en informatique des PME Dans l’univers dynamique des PME et ETI, la gestion informatique joue un rôle crucial. Avec les technologies qui évoluent à la vitesse de l’éclair, les chefs d’entreprise sont constamment à la recherche de moyens pour affûter leurs opérations. C’est là que l’intelligence artificielle (IA) entre en jeu, comme une sorte de super-héros digital, prête à transformer radicalement la manière dont les entreprises gèrent leurs affaires. Imaginez-vous, libérant vos équipes des tâches fastidieuses et répétitives grâce à des systèmes d’IA ultraperformants. Fini les heures passées à surveiller les systèmes ou à jongler avec les tickets de support client ! L’automatisation devient votre alliée, vous permettant de gagner du temps, d’améliorer l’efficacité et de réduire les coûts, tout en libérant l’esprit de vos collaborateurs pour des tâches plus stratégiques et créatives.
Nina Oussadi explique les avantages de l'IA pour les PME et ETI
Par Nina Oussadi – Facilitatrice en informatique des PME
Et parlons de sécurité, un sujet brûlant pour toute entreprise soucieuse de protéger ses données. L’IA se présente comme le garde du corps ultime de vos systèmes informatiques. Imaginez des algorithmes vigilants détectant et contrant les cyberattaques en temps réel, anticipant les menaces potentielles et verrouillant vos précieux actifs numériques. Avec l’IA, la tranquillité d’esprit devient une réalité. Mais l’IA ne se contente pas de protéger, elle inspire également la prise de décision éclairée. Imaginez-vous, plongeant dans un océan de données et en ressortant avec des perles d’insights précieux sur les tendances du marché, les comportements des clients et les performances de votre entreprise. Armé de ces connaissances, vous pouvez naviguer avec confiance vers des décisions stratégiques qui propulseront votre entreprise vers de nouveaux sommets. Optimisation des processus métier : L’intégration de l’IA dans les processus métier des PME et ETI va bien au-delà de la simple automatisation des tâches. En effet, ces systèmes intelligents peuvent analyser en temps réel les flux de travail, identifier les difficultés et proposer des améliorations continues. Par exemple, dans le domaine de la fabrication, l’IA peut optimiser la chaîne d’approvisionnement en prédisant la demande, en ajustant les niveaux de stock et en minimisant les temps d’arrêt. Ainsi, non seulement les opérations deviennent plus efficaces, mais la capacité d’adaptation aux fluctuations du marché est également renforcée. Personnalisation de l’expérience client : Dans un paysage commercial de plus en plus axé sur l’expérience client, l’IA offre un potentiel énorme pour personnaliser les interactions et fidéliser la clientèle. En analysant les données comportementales et transactionnelles, les systèmes d’IA peuvent anticiper les besoins individuels des clients et recommander des produits ou services pertinents de manière proactive. De la recommandation de produits sur mesure à la personnalisation des offres promotionnelles, cette capacité à comprendre et à répondre aux attentes des clients contribue à renforcer la satisfaction et la fidélité à la marque, éléments essentiels pour la croissance à long terme des PME et ETI. Innovation continue : L’IA stimule l’innovation au sein des PME et ETI en offrant de nouvelles perspectives et en facilitant la découverte de solutions créatives. Par le biais de techniques telles que le machine learning et le traitement du langage naturel, les entreprises peuvent exploiter des données non structurées pour générer des idées novatrices, explorer de nouveaux marchés ou même développer de nouveaux produits ou services. De plus, les systèmes d’IA peuvent aider à évaluer rapidement la viabilité et le potentiel de ces initiatives, réduisant ainsi le temps et les ressources nécessaires pour passer de la conception à la mise en œuvre. En conclusion, l’IA n’est pas seulement une technologie, c’est une révolution. En libérant le potentiel de l’automatisation, en renforçant la sécurité et en éclairant les décisions, elle offre aux PME et ETI une voie vers l’efficacité, l’agilité et la compétitivité. Pour les chefs d’entreprise audacieux et visionnaires, l’intégration de l’IA dans leur stratégie informatique représente bien plus qu’une opportunité – c’est la clé pour transformer leur entreprise et la propulser vers un avenir florissant.
Le dépôt de brevets s’inscrit dans une stratégie de propriété intellectuelle qui dépasse largement la seule protection de l’entreprise. Cette prise de conscience doit commencer par les dirigeants et être relayée rapidement vers tous les échelons à travers une procédure bien définie qui permettra au dépôt de brevets de s’avérer créateur de multiples richesses indirectes.  Par Franck Boccara Lors de la création d’une entreprise innovante, la protection de la propriété intellectuelle ne parait pas essentielle à ce stade et ne fait donc pas partie, en général, des priorités. C’est une erreur que trop d’entrepreneurs commettent, surtout à leur début, car la protection de la propriété intellectuelle est fondamentale dès la constitution d’une PME innovante, surtout dans les secteurs d’activité techniques et technologiques ou elle revet un caractère totalement stratégique. Constituer un portefeuille de brevets deviendra alors une démarche systématique et affirmée de la direction qui devra définir une politique à long terme puisque un seul brevet ne pourra pas contenir le concept fondateur de l’entreprise et protéger sa propriété industrielle à jamais. Cest à chaque étape du développement de la PME innovante et de son processus opérationnel que la question doit être traitée. Il sera souvent nécessaire, au fur et à mesure du développement, de créer un poste de direction consacré à la mise en place et à la coordonnation du dispositif de dépôts des brevets mais aussi en charge de diffuser cette stratégie en profondeur à tous les niveaux de l’entreprise et d’organiser des formations permettant de décomplexer le rapport à l’innovation en donnant aux ingénieurs le sentiment que le dépôt de brevets les concerne directement notamment lors de résolution de problème technique pouvant différencier l’entreprise face à la concurrence. Cette politique de protection de la propriété intellectuelle demande à être budgétée et considérée comme un investissement et non comme une dépense. Le coût moyen d’un dépôt de brevets étant d’environ 20 000 euros, celui-ci doit s’inscrire dans le cadre de la constitution d’un portefeuille de propriété intellectuelle qui va représenter un moyen de protection face à la concurrence, notamment des grandes entreprises. Le niveaux de qualité de la propriété   intellectuelle devient une valeur et   un  véritable patrimoine pour les   PME et ETI qui s’avère indispensable lors de levées de fonds auprès de nouveaux investisseurs ou lors d’une future cession ou acquisition. La constitution d’une politique cohérente va demander également l’intervention d’appuis externes fiables car la propriété intellectuelle est un domaine qui demande une réelle expertise. C’est précisément la fonction des cabinets de Conseils en Propriété Intellectuelle (CPI) qui offrent aux entreprises des solutions d’accompagnement dans les aspects les plus complexes comme la rédaction des brevets et leurs procédures mais aussi dans la mise en place d’une stratégie gagnante. Il est donc judicieux de s’appuyer sur des personnes qualifiées, de créer une forme de double commande via des chefs de projet et experts internes ou externes qui s’avérera efficace à l’élaboration et à la diffusion de la stratégie.
Pour se prémunir de la volatilité des marchés, l’investisseur doit diversifier ses actifs et les choisir avec attention. Il doit pour ce faire apprécier la corrélation entre deux instruments financiers et veiller au risque d’évolution de l’interdépendance entre le prix desdits actifs.

Qu’est-ce que la corrélation ?

A la manière d’un effet Papillon, une hausse ou une baisse de valeur d’un actif peut avoir des conséquences directes et sensibles sur d’autres actifs a priori très différents. Corrélation négative Prenons un exemple simple. Quand le prix du pétrole augmente, le cours des actions des compagnies aériennes peut baisser. Pourquoi ? Tout simplement parce que la hausse du carburant des avions fait grimper les coûts opérationnels des compagnies aériennes. Cette situation peut avoir un impact défavorable sur leur rentabilité et faire baisser leurs cours. On parle alors d’une corrélation négative. Ou positive Autre exemple : l’impact des devises sur le cours des entreprises exportatrices. Un euro se dépréciant par rapport au dollar américain aura un impact positif sur les entreprises européennes exportant vers les États-Unis. En revanche, cela renchérira le coût des exportations pour les entreprises américaines vendant en Europe. Le même mouvement peut donc avoir une corrélation positive ou négative.

L’utilisation de la corrélation dans une stratégie de diversification

En diversifiant leur portefeuille via l’association d’actifs décorrélés, les investisseurs peuvent réduire leur exposition aux risques spécifiques à certains actifs et lisser les fluctuations de leur portefeuille dans son ensemble. Cette stratégie permet à l’investisseur de réduire les aléas et donc de dégager une performance plus régulière et plus stable. Par exemple, on peut mixer des actions d’entreprises et des obligations souveraines (emprunts d’État) car ces deux classes d’actifs sont considérées comme faiblement corrélées entre elles, voire corrélées négativement, comme cela a été largement le cas ces vingt dernières années.

Une stratégie à analyser dans le temps

Cependant, une corrélation peut évoluer dans le temps. Il est donc important de l’analyser fréquemment. Entre 2000 et 2020, les obligations et les actions ont eu tendance à évoluer en sens inverse, l’un compensant l’autre et jouant le rôle d’amortisseur de l’autre classe d’actifs. Dans les périodes de baisse des indices boursiers, les obligations permettaient ainsi de protéger le patrimoine des investisseurs. Toutefois, en 2022, les actions et les obligations ont subi des chocs réguliers et simultanément. Les deux grandes classes d’actifs qui structurent la vie des marchés – actions et obligations – ont évolué dans le même sens dans le sillage de la vague inflationniste. Aussi il est clef de savoir apprécier ce qui pourrait faire évoluer cette corrélation dans le temps. De la même façon, un investisseur voulant investir sur l’action la plus décorrélé de l’indice Cac-40, pourrait être tenté d’acheter les actions d’Hermès ou de Véolia qui ont été les moins corrélées à l’indice phare de la Bourse en 2021. Pourtant en 2022, ce sont plutôt Thales et TotalEnergies* qui ont montré les meilleurs taux de décorrélation avec l’indice Cac 40. *Ce sont les des deux actions qui ont le plus évolué de façon opposée au Cac 40 en 2022 (Thales + 59,49% – TotalEnergies + 33,69%) vs un Cac 40 à -12 % »

Cela montre que l’utilisation de la corrélation dans la diversification d’un portefeuille, sans être une protection totale, peut aider à limiter les risques en répartissant les investissements sur différents actifs et classes d’actifs tels que les actions, les obligations, les matières premières, les devises, l’immobilier…

Carmignac

Dirigeants de PME et ETI, vous avez décidé de tenter l’aventure et de vous implanter à l’étranger ? Il vous faut donc monter une équipe sur place et prévoir le statut de vos salariés. Pour une implantation réussie, il faudra en amont opter pour les statuts qui conviennent à votre stratégie et au temps que le salarié va passer à l’étranger. Voici un petit tour d’horizon pour connaitre les solutions qui s’offrent à vous.

Par Serge de Cluny

Si votre développement international s’effectue dans un pays limitrophe, pensez au « commuting » qui permet d’envoyer vos salariés à l’étranger pour des missions courtes et ponctuelles telles que des formations ou des conduites de projets sans rien changer à leur statut. Cette formule est certes pratique et souple mais elle peut s’avérer parfois coûteuse.

Pour les périodes plus longues, d’environ un à deux ans, vous pouvez choisir le contrat de détachement qui permet de maintenir le contrat de travail initial. Pour cela, il faudra rédiger une lettre de mission qui précise le pays d’affectation et la durée de la mission. Dans ce cas, le salarié pourra continuer de bénéficier de son affiliation au régime de Sécurité Sociale français ainsi qu’à l’assurance chômage et à la retraite complémentaire.

Si vous avez déjà une filiale dans le pays en question et que le salarié part pour une période de 2 ans ou plus, vous aurez tout intérêt à opter pour la solution de l’expatriation qui va venir suspendre le contrat de travail initial (dans le cadre d’un avenant) qui reprendra son effet au retour du salarié dans l’hexagone. Celui-ci devra signer un contrat de travail avec la filiale étrangère et sera donc affilié aux régimes de protection sociale du pays qui l’accueille. N’hésitez pas dans ce cas à proposer au salariés expatriés des rémunérations importantes, des primes et des commodités sur place afin de booster leur motivation.

La solution préférée des dirigeants, pour des raisons économiques, reste celle du contrat local. Le contrat de travail initial sera alors rompu et le salarié sera employé à travers un contrat de travail avec la filiale étrangère. L’inconvénient pour le salarié est, bien sur, la perte temporaire du système de protection social français. Cette solution peut convenir à des personnes jeunes fraichement recruté désirant faire leur preuves et n’ayant pas peur de l’aventure.

Avec un désengagement de plus en plus grand et une perte de confiance vis-à-vis des employeurs, il devient indispensable de trouver de véritables leviers pour fidéliser, motiver et développer les compétences de vos collaborateurs. Face à différents types d’épuisement professionnel comme le burn-out, le bore-out ou encore  le brown-out, il est temps d’agir et de développer le leadership de vos managers. Découvrez dans cet article quelques bonnes pratiques pour transformer vos managers en leaders et éviter de conduire vos collaborateurs vers cette spirale dangereuse du désengagement. Par Céline Cherqui – Fondatrice de OneWay Petit rappel sur ces anglicismes :
  • Burn-out : surcharge de travail et surinvestissement d’un collaborateur
  • Bore-out : sous-charge de travail et ennui chronique qui en résulte
  • Brown-out : baisse d’énergie d’un collaborateur liée à la perte de sens dans son travail
Les managers ont un rôle opérationnel au sein d’une entreprise. Ils sont chargés de gérer une équipe et de mener à bien un projet. Ils fixent des objectifs, donnent des directives claires et précises, et s’assurent que leurs équipes sont efficaces et performantes. Leur rôle est de planifier, coordonner, organiser et suivre. Il s’agit d’une posture professionnelle.
Céline Cherqui –Fondatrice de OneWay
Les leaders agissent, quant à eux, en fonction d’une vision et essaient d’être une source d’inspiration pour leurs équipes en les influençant de manière positive pour servir les stratégies de l’entreprise. Ils sont à la fois coach et mentor, ils poussent les collaborateurs à se dépasser et les encouragent à développer leurs compétences. Ils favorisent le processus d’apprentissage et de réflexion, ce qui revient à accepter les échecs. Il s’agit d’un état d’esprit plutôt que d’un rôle. Ils valorisent et reconnaissent le travail des autres, ils aiment les challenges, n’ont pas peur de prendre des risques et de faire changer les choses. Face à une modification du rapport à l’autorité chez les nouvelles générations, à des collaborateurs qui ont besoin de redonner du sens à leur travail et à un fonctionnement transversal des organisations, le risque est la perte de contrôle. En effet, en donnant plus de pouvoir aux équipes, les managers cessent d’être impliqués dans les moindres détails des processus décisionnels et peuvent se sentir désorientés. Il faut donc être capable de créer un équilibre entre liberté totale et micro-management. Alors comment passer d’une posture de manager à celle d’un leader ? Rassemblez votre équipe autour d’une vision commune, quittez votre zone de confort, testez et apprenez. Encouragez le retour d’information et les itérations, gérez vos émotions pour ne pas polluer vos collaborateurs avec des ondes négatives, soyez à l’écoute, oubliez votre ego et faites passer votre équipe avant vous. Cette gestion agile est parfaitement adaptée à la nouvelle normalité du travail. Ok, mais comment faire ?  Pour y parvenir, vous devez être capable de : – partager votre vision, prendre des initiatives, être déterminé, confiant et oser faire avancer les choses, – défendre vos idées sans les imposer en favorisant l’intelligence collective et la co-création par exemple, – communiquer efficacement pour recueillir l’adhésion de tous, – rester à l’écoute de vos collaborateurs pour identifier leurs besoins, faire émerger les talents et mener tout le monde à la réussite, – bousculer les habitudes de chacun grâce à l’amélioration continue et vous remettre constamment en question en faisant votre auto-évaluation managériale, – motiver, valoriser le travail de votre équipe et donner du sens à leur quotidien, – responsabiliser chacun en clarifiant son périmètre d’intervention et son degré d’autonomie. Vous devez donc être inspirant, honnête et sincère, assumer vos responsabilités, tenir vos promesses et vos engagements. Vos collaborateurs trouveront alors en vous un véritable levier de motivation et leur performance se verra démultipliée. Vous l’aurez compris : Devenir leader est un choix, une attitude, une façon de penser et d’agir. 📞 Si cet article vous a donné des idées pour former vos managers mais que tout reste encore un peu flou… Pas de panique, je vous accompagne pas à pas sur toutes les problématiques recrutement que vous pourrez rencontrer. Céline Cherqui – Directrice Recrutement – OneWay
L’IFAG, avec ses 27 campus en France et à l’étranger, se démarque en tant qu’école de management qui parvient à allier avec succès une pertinence globale et un solide ancrage dans les territoires où elle est implantée. Forte d’un savoir-faire reconnu dans la formation au management à destination des entreprises de retail, l’IFAG a établi des partenariats stratégiques avec les entreprises de la région nord, à l’instar de Norauto, un acteur économique qui rayonne fortement dans la région. Emmanuelle Godfrin, Responsable des formations Alternance & Relations Ecoles pour Norauto France et Secrétaire Générale de l’AFMD, répond à nos questions et nous livre sa vision de ce partenariat en décrivant de façon précise les avantages uniques qu’offre l’IFAG en matière d’apprentissage et d’alternance.
« Le projet n’avance pas, mon manager ne prend pas de réelles décisions, on tourne en rond… ». Ce comportement managérial retarde et démotive les équipes. Mais ce manager a-t-il toutes les informations nécessaires pour faire les bons choix ? En règle générale, plus on a d’informations, plus le choix est simple. Mais, il arrive un moment où on atteint un seuil critique qui nous empêche de prendre des décisions. On a tellement de données en tête que ce trop large choix peut créer une forme d’inertie. Alors comment faire face à cette surconsommation d’informations et comment ne pas atteindre le seuil critique ? Découvrez dans cet article comment utiliser un arbre de décision et mettre en place un ATS quand on doit faire face à un gros volume d’informations. Par Céline Cherqui – Fondatrice de OneWay Quand on achète une voiture, avant de choisir le modèle, on va s’intéresser au prix, à la puissance, aux options. L’un a une bonne puissance mais consomme beaucoup, l’autre est confortable mais plus cher, …On a toutes les informations nécessaires pour choisir mais on ne réussit toujours pas à se décider.
Céline Cherqui –Fondatrice de OneWay
Pour anticiper cette overdose d’informations et le phénomène du hamster qui roule sans cesse dans sa cage, la règle du 40/70 de Powell peut nous aider à récolter les données suffisantes pour prendre nos décisions. La perfection étant l’ennemie des décisions, cette règle stipule qu’il faut entre 40 et 70 % de l’information totale pour prendre une décision. Un arbre de décision est un moyen de classer les informations pour prendre des décisions. Cette méthode permet, grâce à un système de calcul, de trouver le choix le plus approprié. Pour l’appliquer, prenons l’exemple de la mise en place d’un ATS (outil de gestion des candidatures) dans un service recrutement. Avant de débuter votre arbre de décision, notez qu’il est indispensable de se poser des questions de base du type :
  • A qui est destiné l’outil ? Qui seront les utilisateurs ?
  • Quel pourra être le budget alloué à cet outil ?
  • Quels sont les volumes de recrutement ?
  • Quels sont les objectifs recrutement ? Quelles sont les difficultés rencontrées ?
  • Quelles fonctionnalités sont indispensables ?
Suivez ensuite cette démarche en 6 étapes :

Etape 1 : Définition de la problématique

Quelle est votre décision ? C’est la racine de votre arbre, de là que part toute votre réflexion. La question principale à laquelle vous voulez répondre : Quel ATS choisir ?

Etape 2 : Définition des thèmes

Quels sont vos grandes options ? Ce sont les branches porteuses de votre arbre, elles représentent vos principaux choix. Pour reprendre notre exemple, les branches porteuses pourraient être les objectifs prioritaires permettant de rendre plus efficace votre service recrutement :
  • Gestion de l’Expérience des candidats
  • Gestion du vivier
  • Gestion du processus d’entretien
  • Gestion des données et rapports
  • Organisation générale du recrutement

Etape 3 : Définition des sujets

Quelles sont les possibilités permettant d’affiner les grandes options ? Ce sont les sous-branches de votre arbre, elles sont des extensions de branches. Dans notre exemple, les sous-branches pourraient faire référence aux fonctionnalités indispensables pour étayer chaque objectif : Gestion de l’Expérience des candidats
  • Site carrière intégré
  • Multi-diffusions des annonces sur plusieurs plateformes
  • Facilitation du parcours candidat
  • Optimisation du processus de candidature pour mobiles

Etape 4 : Définition des critères discriminants

Quels sont les critères importants à prendre en compte pour départager les possibilités qui s’offrent à vous ? Ces critères doivent être quantifiables car ils vous permettront ensuite de faire un calcul. Dans notre exemple, pour quantifier un critère vous pouvez utiliser une note de 0 à 5 (mettez toutes les chances de votre côté en évitant une réponse neutre 😊) Pour chaque sous-branche, choisissez 2 critères discriminants tels que :
  • Utilité dans mon quotidien
  • Facilité d’utilisation
  • Gain de temps

Etape 5 : Calculs

Définissez autant de problématiques (étape 1) que d’ATS en concurrence. Dans notre exemple, nous allons comparer l’ATS X et l’ATS Y ATS X Gestion de l’Expérience des candidats ❏Site carrière intégré
  • Utilité dans mon quotidien : 4
  • Facilité d’utilisation : 3
  • Gain de temps : 3
ATS Y Gestion de l’Expérience des candidats ❏Site carrière intégré
  • Utilité dans mon quotidien : 4
  • Facilité d’utilisation : 1
  • Gain de temps : 0
Additionnez les notes de chaque-sous branche (étape 4)

Etape 6 : Prise de décision

Basez-vous sur les résultats obtenus (étape 5) pour déterminer quel est le meilleur choix. Dans notre exemple, l’ATS X obtient 10 alors que l’ATS Y n’obtient que 5. Répétez l’exercice pour chaque branche de votre arbre et vous saurez quel outil conviendra le mieux à votre problématique. Vous l’aurez compris : L’arbre de décision est une méthode qui facilite notre prise de décision et limite le sentiment d’overdose d’informations 📞 Si cet article vous a donné des idées pour choisir votre ATS mais que tout reste encore un peu flou, …Pas de panique, je vous accompagne pas à pas sur toutes les problématiques recrutement que vous pourrez rencontrer. Céline Cherqui – Directrice Recrutement – OneWay
L’investissement dans les montres de luxe est une pratique qui gagne en popularité en cette période où les marchés financiers peuvent être volatils,
L’investissement dans les montres de luxe est une pratique qui a gagné en popularité ces dernières années. Les montres de luxe sont non seulement des accessoires élégants, mais elles peuvent également représenter un investissement rentable si vous choisissez les bons modèles. En cette période, où les marchés financiers peuvent être volatils, l’investissement dans des actifs tangibles comme les montres de luxe peut offrir une certaine stabilité et diversification à votre portefeuille.
Pourquoi investir dans les montres de luxe ?
Les montres de luxe ont plusieurs caractéristiques qui en font des investissements attrayants :
  • Rareté et exclusivité : Les marques de montres de luxe produisent souvent des éditions limitées ou des modèles uniques, ce qui augmente leur valeur sur le marché secondaire.
  • Histoire et prestige : Les grandes maisons horlogères ont souvent une longue histoire et une réputation de qualité et d’artisanat, ce qui peut augmenter la valeur de leurs montres au fil du temps.
  • Demande croissante : La demande pour les montres de luxe reste forte, en particulier sur les marchés émergents comme la Chine, ce qui peut stimuler les prix sur le marché secondaire.
Les meilleurs modèles sur lesquels investir
Lorsqu’il s’agit de choisir les meilleurs modèles sur lesquels investir, il est important de considérer plusieurs facteurs, notamment la marque, le modèle spécifique, l’état de la montre et sa rareté sur le marché. Voici quelques-uns des modèles les plus prometteurs en ce moment : Rolex Daytona : La Daytona de Rolex est l’un des modèles les plus recherchés sur le marché des montres de luxe. Les éditions vintage et les modèles en acier inoxydable sont particulièrement prisés par les collectionneurs et les investisseurs. Rolex Daytona : une montre luxe sur laquelle investir Patek Philippe Nautilus : La Nautilus est une montre emblématique de Patek Philippe, avec son design distinctif et son héritage prestigieux. Les modèles en acier inoxydable, en particulier les éditions limitées, sont très demandés sur le marché. Patek Philippe Nautilus – une montre luxe sur laquelle investir Audemars Piguet Royal Oak : La Royal Oak d’Audemars Piguet est une autre montre emblématique qui continue de gagner en valeur. Les modèles en acier inoxydable, ainsi que les éditions limitées, sont très prisés par les investisseurs. Audemars Piguet Royal Oak : une montre luxe sur laquelle investir Omega Speedmaster : La Speedmaster est une montre emblématique d’Omega, célèbre pour avoir été la première montre portée sur la lune. Les éditions vintage et les modèles commémoratifs sont très recherchés sur le marché. Omega Speedmaster Moonwatch chronographe acier à remontage manuel Kal. une montre luxe sur laquelle investir Richard Mille RM : Les montres Richard Mille sont connues pour leur design avant-gardiste et leur technologie de pointe. Les modèles les plus rares et les éditions limitées peuvent atteindre des prix astronomiques sur le marché secondaire.The New Richard Mille RM 66: une montre luxe sur laquelle investir
Conseils pour investir dans les montres de luxe
Avant d’investir dans des montres de luxe, voici quelques conseils à garder à l’esprit :
  • Faites des recherches approfondies sur les marques et les modèles qui vous intéressent.
  • Achetez auprès de vendeurs réputés et vérifiez l’authenticité de la montre.
  • Gardez à l’esprit que l’investissement dans les montres de luxe peut être à long terme, donc soyez patient.
  • Assurez-vous de conserver les documents d’origine et les boîtes pour maintenir la valeur de la montre.
  • Diversifiez votre portefeuille en investissant dans une variété de marques et de modèles.
En conclusion, l’investissement dans les montres de luxe peut offrir des rendements intéressants pour les investisseurs avisés. En choisissant les bons modèles et en suivant les conseils d’experts, vous pouvez ajouter une touche d’élégance et de valeur à votre portefeuille d’investissement.  
Selon la loi numéro 2017-1837 du 30 décembre 2017, les chefs d’entreprise bénéficient d’un abattement exceptionnel de 500 000 € sur la plus-value de cession de leur entreprise avant leur départ à la retraite. Cet abattement prend finle 31/12/2024
Selon la loi numéro 2017-1837 du 30 décembre 2017, les chefs d’entreprises bénéficient d’un abattement exceptionnel de 500 000 € sur la plus-value de cession d’entreprise avant départ à la retraite. Cette mesure, mise en place pour encourager la transmission d’entreprises et faciliter le passage à la retraite des entrepreneurs, prendra fin le 31 décembre 2024. En effet, il reste donc un peu moins d’une année pour les entrepreneurs séniors désireux de bénéficier de cet avantage fiscal qui impose tout de même des conditions strictes avant et après la cession. Par Franck Boccara Cet abattement exceptionnel représente une opportunité unique pour les chefs d’entreprise de réaliser une cession d’entreprise avant départ à la retraite dans des conditions fiscales avantageuses, cependant, pour bénéficier de cet avantage, plusieurs conditions sinequanones doivent être respectées tant avant qu’après la cession. Avant la cession L’entrepreneur doit exercer son activité de manière habituelle pendant au moins cinq ans. Il doit également être dirigeant, associé ou actionnaire de l’entreprise, sous certaines conditions. De plus, l’entreprise doit être soumise à l’impôt sur le revenu ou à l’impôt sur les sociétés et réaliser une activité commerciale, industrielle, artisanale, libérale ou agricole. L’entreprise doit répondre à la définition de PME européenne (moins de 50 salariés, et chiffre d’affaires annuel ou total bilan annuel n’excédant pas 10 millions d’euros), elle doit avoir son siège de direction effective dans un État de l’Espace économique européen et être soumise à l’impôt sur les sociétés (IS). Enfin pour que le dispositif s’applique, le cédant doit cesser toute fonction dans l’entreprise dans un délai de deux ans à compter de la cession. S’il vend son entreprise à une société, il ne doit pas détenir de parts ou actions dans la société cessionnaire, ni droits de vote, ni droits au bénéfice, directement ou non. Après la cession Le produit de la vente doit être affecté à la liquidation de la part des plus-values correspondant à l’abattement. De plus, le cédant ne doit pas exercer, dans les cinq ans suivant la cession, une activité similaire à celle exercée dans l’entreprise cédée, sauf exceptions prévues par la loi. Cette restriction vise à prévenir les tentatives de contourner la réglementation en conservant une activité similaire après la cession. Toutefois, des exceptions existent, notamment pour les cessions à des membres de la famille ou pour les cas où le cédant reprend temporairement une activité dans l’entreprise pour accompagner la transition. Cette période de transition peut s’avérer complexe, nécessitant souvent l’intervention de différents professionnels tels que des experts-comptables, des avocats spécialisés en droit des affaires et des conseillers en transmission d’entreprise. Leur expertise est cruciale pour optimiser la transaction et s’assurer que toutes les démarches sont effectuées dans le respect de la réglementation fiscale en vigueur. Par ailleurs, cette fin d’abattement exceptionnel met en lumière l’importance pour les entrepreneurs de planifier leur retraite dès les premières années d’activité de leur entreprise. La transmission d’entreprise est un processus complexe qui requiert du temps et de la réflexion. Plus tôt les chefs d’entreprise commencent à envisager leur succession, plus ils auront de chances de bénéficier d’avantages fiscaux et de garantir la pérennité de leur entreprise. En conclusion, avec seulement une année restante pour bénéficier de l’abattement exceptionnel de 500 000 € sur la plus-value de cession d’entreprise avant départ à la retraite, les chefs d’entreprise sont confrontés à une échéance imminente. Il est donc crucial pour eux de prendre dès maintenant les mesures nécessaires pour préparer leur départ à la retraite et optimiser les avantages fiscaux dont ils peuvent bénéficier. La planification précoce de la transmission d’entreprise est la clé pour assurer une transition en douceur et pérenne, tant pour les entrepreneurs que pour leurs entreprises.
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