CPME

La rupture conventionnelle est un mécanisme qui permet à un employeur et à un salarié en CDI de s’accorder mutuellement sur la fin de leur relation professionnelle. Jusqu’au 31 août, le forfait social était de 20% du montant du salaire pour un salarié n’ayant pas atteint l’âge légal de départ à la retraite. À partir du 1ᵉʳ septembre 2023, des modifications majeures ont été mises en application et désormais, il ne sera pas plus avantageux de se séparer à l’amiable d’un employé ne pouvant pas partir à la retraite, que d’un autre ayant cotisé tous ses trimestres. Par Serge de Cluny

Ce dispositif de rupture conventionnelle a été mis en place en 2008 comme alternative au licenciement ou à la démission. Les modifications apportées depuis le 1ᵉʳ septembre 2023 sont certes techniques mais elles mettent fin à une spécificité juridique assez illogique du droit du travail français.

Dorénavant, la fiscalité sera identique pour toutes les formes de ruptures conventionnelles alors qu’elle avantageait jusqu’à présent les séparations à l’amiable pour les salariés n’ayant pas encore cotisé tous leurs trimestres pour partir à la retraite. Jusqu’alors, le forfait social à la charge de l’employeur était de 20 % lorsque le salarié n’avait pas encore atteint l’âge légal de départ à la retraite, dorénavant celui-ci va passer à 30 % du salaire de l’employé quel que soit son âge. A travers cette modification, le gouvernement veut favoriser l’emploi des seniors jusqu’à leurs 70 ans, l’âge de la mise à la retraite d’office.

«Le but de cette évolution est de remédier à une aberration du système qui favorise les ruptures conventionnelles avant la retraite», explique Bertrand Martinot, économiste membre de l’Institut Montaigne et spécialiste du travail. «On constate qu’il y a un pic deux-trois ans avant l’âge légal de départ», ajoute-t-il, soit la durée maximale durant laquelle les séniors peuvent toucher une allocation-chômage.

Le dispositif était donc à la fois coûteux pour Pôle emploi dont le nombre d’allocataires gonflait, pour l’emploi des séniors et forcément pour les finances publiques qui se voyaient privées de cotisations. L’entreprise était imposée sur les indemnités de ruptures conventionnelles à hauteur de 20% pour les employés ne pouvant pas partir à la retraite contre 50% pour ceux ayant assez cotisé. A présent, un taux de 30% est imposé à tous.

Le patronat en colère

Tout le monde comprend la nécessité d’uniformiser les pratiques mais cette réforme est «très mal accueillie» par le patronat, souligne Éric Chevée, vice-président de la CPME (Confédération des Petites et Moyennes Entreprises). «Il y avait deux moyens d’aligner : par le bas et le haut. C’est la seconde option qui a été choisie», déplore-t-il. «Cela va renchérir le coût de la rupture conventionnelle alors qu’il s’agit d’un outil de paix sociale». Pour lui, le sujet aurait dû être traité directement par les partenaires sociaux plutôt que par l’État. D’autres voix relativise l’impact financier de cette réforme comme Maître Sabrina Kemel, avocat chez FTMS, «cette hausse du plafond ne devrait pas changer grand-chose pour les employeurs à l’exception des salariés étant en âge de partir en retraite. Au moment de la mise en place des 20%, des voix s’étaient faites entendre, mais finalement ça n’a pas arrêté l’appétence pour ces solutions du moins pour les grandes entreprises», tempère-t-elle. Pour Bertrand Martinot, cette mesure ne peut, à elle-seule, impacter notablement l’emploi des séniors. «La durée d’indemnisation des séniors au chômage reste le vrai point important» souligne-t-il en rappelant ce qui a déjà été fait pour favoriser leur recherche d’emploi. «Sur les 15 dernières années il y a une continuité des politiques publiques sur le sujet. Depuis 2009 et l’obligation faite aux plus de 55 ans au chômage de chercher activement un emploi. En passant aux reports successifs de l’âge auquel les demandeurs d’emploi séniors peuvent profiter d’une durée maximale d’indemnisation de trois ans et jusqu’à la réduction de cette durée de 36 à 27 mois cette année».
Comme chaque fois, la CPME prend le pouls des dirigeants de TPE-PME à travers une enquête afin de cerner leurs problématiques et les solutions à apporter mais surtout de les faire connaître aux pouvoirs publics. Mouvements sociaux liés à la réforme des retraites, inflation, obligations environnementales, augmentations de salaires, difficultés de recrutement… 2023 est sans aucun doute une année pleine de défis pour les entreprises. Voici les principales conclusions de cette enquête réalisée au mois d’avril 2023 auprès de 1528 dirigeants de TPE et de PME (ainsi que l’enquète complète à télécharger au bas de cet article). Par Eric Orsini
Lors des trois premiers mois de l’année 2023, près de deux tiers des dirigeants d’entreprise ayant au moins un salarié (66%) ont relevé les salaires de manière collective et/ou individuelle. Parmi les entreprises concernées, 60% ont effectué une augmentation moyenne de rémunération comprise entre 3% et 6%. Environ 20% de ces entreprises ont relevé les salaires de plus de 6%. La prime de partage de la valeur connait toujours un fort succès puisque presque 42% des entrepreneurs déclare prévoir l’adoption de ce dispositif en 2023. Sans surprise, le recrutement reste le principal défis pour les entreprises avec 87% des dirigeants qui cherchent actuellement à recruter et qui déclarent rencontrer des difficultés dans le processus. L’inadéquation du profil des candidats est la raison la plus commune avec 49% des cas. Pour 37% d’entre elles, elle n’auraient reçu aucune candidature et 32% ont une ou plusieurs offres d’emploi non pourvues depuis plus d’un an. Ces enjeux de recrutement menacent la survie de certaines PME et impactent sérieusement leur chiffre d’affaires; 64% des sondés sont ainsi obligés de renoncer à des marchés ou de réduire leur activité. L’économie française se prive ainsi d’une création de richesses dont elle aurait pourtant grand besoin. La crise du logement s’invite dans ces constatations car 1 candidat sur 10 rencontrerait des difficultés pour se loger. Il est intéressant de noter qu’uniquement 19% des chefs d’entreprises interrogés considèrent que le décalage de l’âge minimal de départ à la retraite les incitera à recruter des seniors. La mise en place de mesures incitatives à l’embauche des seniors, que la CPME réclament depuis longtemps, reste donc plus que jamais à l’ordre du jour. Enfin, l’enquête nous confirme que la semaine de 4 jours ne séduit pas les dirigeants d’entreprise puisque 78% d’entre eux ne sont pas prêts à l’instaurer dans leur propre société. De la même façon, 66% des dirigeants sondés se disent défavorables à la mise en place d’un compte épargne-temps universel dans leur entreprise.
La CPME organise les trophées numériques 2023 le 5 juillet prochain. Cette 5ème édition viendra récompenser les dirigeants de PME qui ont réussi le pari de la transformation digitale et qui souvent faisaient leurs premiers pas dans le numérique !
Les 5 lauréats des trophées numériques 2023 bénéficierons de :
  • La somme de 7000 € pour poursuivre sa digitalisation
  • La forte mise en avant de leur entreprise grâce à une campagne de communication massive sur les réseaux sociaux.
Vous êtes invités à concourir à l’un des 5 prix qui vont être décernés aux entrepreneurs.
  • Le prix Développement récompensera celle ou celui qui a mis à profit le numérique pour développer son activité, conquérir de nouveaux clients ou de nouveaux marchés
  • Le prix Notoriété sera décerné à un dirigeant qui a utilisé la communication digitale pour se faire connaître de nouveaux publics, par exemple en allant sur les réseaux sociaux ou via une plateforme.
  • Le prix Emploi & Compétences distinguera un entrepreneur qui s’est servi d’outils numériques pour recruter, améliorer les compétences ou encore le fonctionnement de ses équipes
  • Le prix Inclusion valorisera un chef d’entreprise qui a favorisé l’inclusion des personnes éloignées de l’emploi dans sa PME en s’appuyant sur des outils digitaux. Il peut s’agir, par exemples, de personnes en situation de handicap ou issues des quartiers prioritaires de la ville, ou encore ceux qui sont isolés par la fracture numérique.
  • Le prix Site Internet en .fr récompensera un entrepreneur ayant créé son site vitrine ou de e-commerce, avec un nom de domaine en .fr pour valoriser son savoir-faire made in France et/ou sa présence sur le territoire français.

Déposez votre candidature!

Téléchargez le règlement du concours et le dossier de candidature, renseignez-le et renvoyez-le avant le 16 avril, minuit soit par mail à mseateun@cpme.fr soit par courrier à : CPME ; Trophées numériques 2023, 8-10, Terrasse Bellini, 92806 Puteaux cedex.
« Historique » ! C’est par ce qualificatif que Bruno Le Maire décrit l’accord sur le partage de la valeur dans les PME. Celui-ci a été présenté après plusieurs semaines de discussions entre les négociateurs du patronat français (Medef, CPME et U2P) cinq syndicats (CGT, CFDT, FO, CFE-CGC et CFTC) dont le but est de favoriser les dispositifs de partage de la valeur dans les petites entreprises. En effet, il était grand temps puisqu’à l’heure actuelle, seulement 20 % des salariés de PME sont couverts par un accord de participation ou d’intéressement aux résultats de l’entreprise, contre 80 % pour les salariés des grands groupes. Par Franck Boccara Depuis plusieurs années, les partenaires sociaux sont engagés dans des discussions autour d’une meilleure répartition de la valeur entre travail et capital. Dans le prolongement de la loi portant mesures d’urgence pour la protection du pouvoir d’achat d’août 2022, le gouvernement avait invités les partenaires sociaux à poursuivre ces discussions autour de 3 axes :
  • généraliser le partage de la valeur pour tous les salariés
  • améliorer l’articulation des différents dispositifs de partage de la valeur
  • orienter l’épargne salariale vers les investissements responsables et solidaires (ISR), l’économie productive et la transition écologique
Après plusieurs semaines d’échanges intenses, ils sont parvenus le 10 février dernier, à un accord sur le partage de la valeur prévoyant d’améliorer les dispositifs d’épargne salariale. Le texte a été signé ce 22 février 2023. « Nous respecterons cet accord qui est un bon accord et qui est même historique pour tous les salariés des PME » a déclaré Bruno Le Maire sur BFMTV/RMC. « L’avancée historique de cet accord entre les partenaires sociaux, c’est de rendre obligatoire, pour toute PME qui a fait des profits importants au cours des trois dernières années, soit un accord d’intéressement, soit un accord de participation, soit le versement d’une prime défiscalisée » Pour précision, la participation se définit comme un mécanisme de redistribution des bénéfices, actuellement obligatoire dans les entreprises de plus de 50 salariés. L’intéressement, quant à lui, est un plan d’épargne salariale qui permet de verser aux salariés une prime facultative liée aux résultats ou aux performances et de les encourager ainsi à s’engager et s’impliquer dans les objectifs et les stratégies de l’entreprise. Cependant, de nombreux obstacles persistent pour les TPE et PME tels que la complexité et la méconnaissance des dispositifs, le manque d’accompagnement, la complexité de la formule de calcul pour la participation, les risques administratifs, etc. Et ce, malgré des assouplissements déjà décidés dans la loi Pacte de 2019 et celle de l’été 2022 sur le pouvoir d’achat.

Les entreprises  concernées

Le nouvel accord stipule que les PME ayant entre 11 et 49 employés et qui sont estimées « rentables » (dont bénéfice net représente au moins 1% du chiffre d’affaires pendant trois années consécutives) « mettent en place au moins un dispositif » de partage de la valeur à compter du 1er janvier 2025. Pour les TPE de moins de 11 salariés, elles « ont la possibilité » de partager les profits avec leurs salariés. Pour les entreprises de plus de 50 salariés, la participation va devoir « mieux prendre en compte » les résultats « réalisés en France et présentant un caractère exceptionnel tel que défini par l’employeur ».

L’accord signé par la CFDT et la CFTC

Cet accord national interprofessionnel était ouvert à la signature des organisations syndicales et patronales jusqu’au 22 février. Il a d’ores et déjà été ratifié par la CFDT, premier syndicat dans le secteur privé, qui estime que cela permettait « plusieurs avancées pour les salariés, notamment ceux des petites et moyennes entreprises ». La CFTC a, elle aussi signataire explique sa décision d’approuver l’accord, « même si celui-ci n’est pas aussi ambitieux que la situation du pays l’exige », en période de forte inflation. « Consciente qu’en ces temps troublés et incertains toute gratification, tout coup de pouce pour le pouvoir d’achat doit être saisi, et fidèle à son attachement pour ces systèmes impliquant les salariés, la CFTC a choisi de signer cet accord », a-t-elle précisé.

Le calendrier

Eric Chevée, vice-président de la CPME en charge des affaires sociales, explique que « l’obligation n’entrera en vigueur qu’à partir du 1er janvier 2025″. L’accord stipule que « les bénéfices et les chiffres d’affaires générés par les entreprises sont évalués sur les exercices des années 2022, 2023 et 2024″, la mesure ne peut donc pas être appliquée avant 2025. De plus, le texte signé par les partenaires sociaux prévoit l’ouverture de négociations au sein des branches professionnelles, d’ici le 30 juin 2024. Ces discussions auront pour but de mettre en place des dispositifs facultatifs de partage de la valeur, encore une fois pour les entreprises de moins de 50 salariés. L’objectif, selon Eric Chevée, est d' »assouplir le cadre de ces dispositifs avec des dérogations ». À l’heure actuelle, c’est « la complexité de ces outils qui fait que seulement 20% des entreprises de moins de 50 salariés, utilisent la participation, l’intéressement ou la prime de partage de la valeur, contre 80% pour les grands groupes » explique le vice-président de la CPME.

Le janvier CES 2023 (Consumer Electronics Show) qui se tiendra à Las Vegas du 4 au 8 janvier, va encore réunir cette année plus de 4500 exposants dans les domaines de l’électronique et des technologies grand public. L’évènement est le rendez-vous incontournable de l’innovation avec un concentré de technologies et de solutions BtoB. La CPME vous offre la possibilité de se joindre à elle pour ce voyage et de saisir l’opportunité d’étendre votre réseau. Venez rencontrer les acteurs qui comptent dans ce domaine tout en vous familiarisant avec le marché nord américain.

Dirigeants et cadres de PME et ETI, prenez un temps d’avance et rejoignez la délégation CPME pour découvrir le plus grand événement nord américain dans le domaine de l’électronique et des technologies grand public. Fort de son succès des années précédentes, le Consumer Electronic Show (CES 2023) revient pour une nouvelle édition pleine d’innovations à ne pas manquer.

Le Programme du CES 2023

Chefs d’entreprise, inscrivez-vous, ne manquez pas cette opportunité d’acquérir un réseau exceptionnel et de vous confronter aux toutes dernières innovations ! 

Profitez d’un vol direct Paris CDG – Las Vegas sur Air Tahiti Nui

  • Départ le mercredi 4 janvier 2023 à 11h10 (arrivée Las Vegas McCarran International Airport le même jour à 13h10)
  • Retour le dimanche 8 janvier 2023 à 17h50 (arrivée Paris CDG + 1j à 12h15)

Bénéficiez de la proximité de l’hôtel Treasure Island 4* et du CES : 

  • Petits-déjeuners inclus (salon privé CPME)
  • Chambre Deluxe individuelle ou double

La CPME a conçu un programme sur mesure pour les dirigeants de PME. 

Mercredi 4 janvier :

  • Cocktail de bienvenue à l’hôtel
  • Dîner au Grand Lux Cafe (à confirmer)

Jeudi 5 janvier :

Vendredi 6 janvier :

  • 2ème jour de visite du salon (Convention Center et/ou Eurêka Park)
  • Soirée CPME (lieu à confirmer)

Samedi 7 janvier :

  • 3ème jour de visite du salon (Convention Center et/ou Eurêka Park)
  • Soirée libre / en option : spectacle « Cirque du Soleil »

Dimanche 8 janvier :

  • 4ème et dernière demi-journée de visite du salon ou matinée libre
  • Départ de Las Vegas

BULLETIN D’INSCRIPTION

votre contact

Béatrice Brisson : bbrisson@cpme.fr

06 74 78 77 54

Depuis 2011, la Semaine de l’industrie contribue à changer le regard du grand public et des jeunes sur l’industrie et ses métiers, grâce à l’organisation d’événements sur l’ensemble du territoire national. Cette année, la semaine de l’industrie se tiendra du 21 au 27 novembre 2022 sous un nouveau prisme : « agir pour une industrie d’avenir ».

Cette semaine donne l’occasion aux collégiens, lycéens, apprentis de découvrir une autre image de l’industrie, un secteur dynamique et engagé dans les transitions écologique et numérique. C’est également l’opportunité pour les acteurs industriels de promouvoir les métiers et savoir-faire et de recruter, à l’heure où plus de 55 000 emplois sont vacants dans l’industrie !

La Semaine de l’industrie est l’occasion de mettre en évidence les résultats des dispositifs mobilisés dans le cadre notamment de France Relance et de France 2030 pour relever les nouveaux défis de l’industrie : moderniser nos entreprises industrielles, innover et développer de nouvelles chaines de valeurs, (re)localiser et soutenir les projets industriels sur le territoire, et décarboner les procédés. C’est également l’opportunité pour les acteurs industriels de promouvoir leurs métiers et savoir-faire et de recruter, à l’heure où plus de 55 000 emplois sont vacants dans l’industrie (selon la DARES) et où les entreprises industrielles font état de près de 280 000 projets de recrutement pour 2023 (selon Pôle Emploi).

Pilotée par la Direction générale des Entreprises depuis 2011, la Semaine de l’industrie contribue à changer le regard du grand public et des jeunes sur l’industrie et ses métiers au travers d’événements organisés partout en France et permettre ainsi aux collégiens, lycéens, apprentis et demandeurs d’emploi de découvrir ce qu’est réellement l’industrie : un secteur dynamique, engagé dans les transitions écologique et numérique.

Les PME et ETI du secteur industriel intéressées peuvent désormais organiser des événements ou ouvrir leurs portes pour faire découvrir leurs métiers, pendant la Semaine de l’industrie, du 21 au 27 novembre 2022.

Quels sont les critères de labellisation pour la Semaine de l’industrie?

Pour obtenir la labellisation, un événement doit remplir 4 conditions :
- se dérouler entre le 7 novembre et le 12 décembre 2022 ;
- être ouvert aux publics cibles : scolaires, jeunes, étudiants, demandeurs d’emploi, communauté éducative, professionnels des ressources humaines, grand public ;
- avoir pour objectif d’informer et de communiquer sur le thème de l’industrie ;
- être gratuit.

Comment retrouver son événement sur le site ?

Une fois labellisés, tous les événements sont référencés et géolocalisés : en saisissant le nom de l’événement, de l’organisateur ou du département, tous les événements liés s’affichent.

Comment communiquer sur les événements labellisés ?

Une fois l’événement labellisé, les organisateurs d’événement reçoivent automatiquement un lien pour télécharger le kit de communication (signature de mail, posts pour les réseaux sociaux…).
Nouveauté cette année pour les organisateurs : vous pouvez désormais retrouver l’ensemble de vos événements (ou de ceux de votre département/région) via la carte interactive et copier/coller l’url des résultats de recherche pour permettre à vos contacts de consulter la liste intégrale de vos événements. Nous vous invitons à inviter vos écosystèmes à labelliser leurs événements afin qu’ils soient bien recensés sur le site et à ne pas leur retransmettre directement le kit de communication.

Comment demander le financement d’un transport scolaire ?
La DREETS reconduit son partenariat avec le Clubster Ecole-Entreprise. Vous trouverez toutes les informations sur le site Accueil – Clusbter Ecole-Entreprise (clubster-ecole-entreprise.com)

Afin de se faire labelliser, consulter le formulaire dédié à remplir jusqu’au 17 novembre 2022 sur le site :

 www.semaine-industrie.gouv.fr

Initié par FRANCE NUM et Bpifrance, ce webinaire qui aura lieu le lundi 4 juillet à 9h est organisé par la CPME Paris Ile-de-France. Son but est de vous donner quelques conseils élémentaires de détection et de lutte contre la cybermalveillance dont les techniques évoluent sans cesse et qui menace plus que jamais les PME et ETI.

La cybermalveillance est destinée à perturber un système informatique ou un réseau en volant des données ou en accédant à des fichiers non autorisés. Elle menace aussi bien les particuliers que les entreprises dont elles peuvent paralyser totalement l’activité.

Ransomwares, fraudes au RIB, défiguration ou usurpation de sites internet, phishing : les cyberattaques explosent et se diversifient. Le but de ce webinaire : vous aidez à appréhender au mieux ces cybermenaces et à vous en protéger.

Le programme : 

Nous vous proposons de découvrir ces problématiques à travers différents points :

  1. Etat de la menace
  2. Logiciels malveillances : Ransomwares, spyware, malware, phishing
  3. Déni de service
  4. Les attaques de type ingénierie sociale :
  5. Fraude au rib
  6. Quel est l’objectif de chacune de ces attaques ?
  7. Se protéger : par quoi commencer
  8. Changer nos comportements

Ce webinaire est totalement gratuit.

Inscrivez-vous!

IMPACT PME 2022 est l’évènement du printemps à ne surtout pas manquer ! Dans une situation d’amélioration sanitaire et face à une crise géopolitique majeure qui vient perturber la reprise économique, nous avons plus que jamais besoin d’inspiration et d’échanges. Les défis d’une évolution digitale ultra-rapide où les risques de décrochages n’ont jamais été aussi importants nous engagent à plus de réactivité, venez donc rencontrer des patrons de PME à succès et des experts qui vous présenterons les meilleurs outils et solutions pour faire face à ces enjeux.

La CPME nationale et BFM Business vous attendent le mardi 7 juin au Carreau du Temple à Paris. 
L’objectif de cette journée : 
– Faire le plein de conseils experts adaptés à vos besoins 
– Etoffer votre réseau business 
– Vous inspirer des réflexions menées en plénières avec des personnalités emblématiques

INSCRIVEZ-VOUS!

AU PROGRAMME D’IMPACT PME 2022

En s’associant pour la troisième année consécutive, BFM Business & la CPME vous proposent de partir à la rencontre de ces dirigeants de TPE et PME qui réussissent à faire grandir leurs entreprises et leurs équipes dans ce contexte inédit, le 7 juin prochain au Carreau du Temple à Paris pour IMPACT PME 2022.

Blockchain, Cryptos, Metavers, NFT, Web 3 : Quelles opportunités en 2022 pour les TPE/PME ?

7 juin 2022 | 10:00 – 11:15
Plénière

Jamais le vocabulaire économique ne s’était enrichi aussi rapidement que depuis quelques années. Et jamais les risques de décrochage n’avaient semblé aussi importants pour tout entrepreneur qui ignore les nouvelles opportunités qu’offre la technologie. Quelles sont les tendances qui me concernent en tant que dirigeant d’une TPE/PME ? Quand et par quoi démarrer ? Comment procéder ? A qui faire appel ?
Soit autant de questions auxquelles de nombreux dirigeants ont parfois du mal à répondre. A l’heure où toutes les technologies deviennent accessibles aux entreprises de toutes tailles et de toutes natures, saisissez une occasion unique d’en comprendre les enjeux et le fonctionnement au cours d’un débat réunissant les meilleurs experts et profitez de leurs conseils.

Autonomie stratégique : comment renforcer notre souveraineté économique à l’heure des crises ?

7 juin 2022 | 16:00 – 16:45
Plénière

Quelles pistes alors que les PME sont frappées de plein fouet par la flambée des prix de l’énergie, des matières premières et les difficultés d’approvisionnement ?

LES CONFÉRENCES IMPACT PME 2022

Tech & Co, Comment accélérer la mise sur le marché des innovations technologiques des PME avec Frédéric Simottel

7 juin 2022 | 11:30 – 12:15
Conférence

Comment accélérer la mise sur le marché des innovations technologiques des PME : cybersécurité, logiciels finance et comptabilité, e-commerce enfin le boom !

Happy Boulot, avec Laure Closier

7 juin 2022 | 12:30 – 13:15
Conférence

12h30 – 12h50 | La santé mentale dans l’entreprise La crise sanitaire a bouleversé l’organisation de l’individu et du collectif. Comment retravailler ensemble, s’organiser avec de nouvelles règles, donner envie ? La santé mentale de chacun (salariés et managers) est devenu une priorité, mais qui doit s’en occuper ? Les chefs ? Soi- même ? Une ligne rouge ? Constat et Boite à outils de bonnes pratiques. Avec Christophe Nguyen, consultant chez Empreinte humaines, Faustine Duriez, cofondatrice de Cocoworker, et Stéphanie Pauzat, Présidente du Groupe Mileclair, Vice-Présidente déléguée de la CPME Nationale, et Conseillère au CESE.

12h50 – 13h15 | Recrutement : attirer ou mourir ? L’ANDRH évalue à 80 % la proportion de ses membres confrontés à un souci majeur de pénurie de main-d’œuvre. Recruter est un enjeu de survie pour beaucoup d’organisation. Mais la concurrence est rude et tout le monde s’arrache les mêmes profils. Focus sur ceux qui tentent d’innover, qui sortent le chéquier et qui prennent des risques. Avec Audrey Fusilli, Directrice talent Acquisition chez Saur, Albane Bressolle Chataigner, DRH Backmarket, et Roland HEGUY, président de l’Union des métiers et des industries de l’hôtellerie (UMIH).

Sortie de crise : maintenir ou retrouver une trésorerie saine

7 juin 2022 | 14:00 – 14:45
Conférence

Le retour en grâce de l’industrie française, avec Jérôme Tichit

7 juin 2022 | 15:00 – 15:45
Conférence

En 40 ans, depuis les années 70, la France a perdu la moitié de ses emplois industriels. Plus de 2,5 millions d’emplois évaporés sur l’autel de la mondialisation, avec un credo : produire en France était devenu trop cher. Un déclin que l’on a longtemps cru irréversible…jusqu’en 2018. Cette année-là, le solde de créations d’emplois est redevenu positif. Très légèrement, certes : + 20.000, mais, depuis, la tendance – sauf en 2020 où la pandémie a stoppé net des pans entiers de l’économie – se maintient. Pourquoi et comment nos usines ont-elles retrouvé des couleurs ? Grâce aux politiques publiques ou aux consommateurs de plus en plus citoyens ? Comment nos industriels vivent ce retour en grâce du made in France et du savoir-faire de nos territoires ?
Julien Tuffery, producteur de jeans en Lozère, Damian Py, fabricant de mini lave-vaisselle en Vendée et Alexandra Broussaud, directrice générale de la manufacture de chaussettes Broussaud en Haute-Vienne raconteront leurs parcours, leurs histoires d’entreprises et leurs réussites industrielles.

Climat : comment initier sa transition écologique et énergétique lorsqu’on est une entreprise ? Avec Cyrielle Hariel

7 juin 2022 | 17:00 – 17:45
Conférence

LES ATELIERS

Savoir utiliser les instruments de partage de la valeur pour fidéliser mes salariés

7 juin 2022 | 11:30 – 12:15
Atelier CPME

Trouver et préparer mon entretien avec des financeurs

7 juin 2022 | 12:25 – 13:10
Atelier CPME

Protéger ma PME de la cybermalveillance

7 juin 2022 | 13:45 – 14:30
Atelier CPME

International : les bons outils pour trouver de nouveaux marchés et de nouveaux fournisseurs

7 juin 2022 | 14:40 – 15:25
Atelier CPME

Comment mettre en œuvre la transition bas carbone dans ma PME ?

7 juin 2022 | 15:45 – 16:15
Atelier CPME

LES SPEED MEETINGS

En parrallèle, une série de 4 Speed Meetings IMPACT PME 2022 se tiendra entre 11h15 et 17h15

Impact PME 2021 donne rendez-vous aux dirigeants de TPE et PME le mercredi 15 décembre au Carreau du Temple à Paris pour son salon annuel. L’évènement de la CPME marque la reprise et se veut être une journée d’échanges, d’inspiration et de conseils qui sera retransmise en TV/radio/digital.

L’heure est à la relance pour les TPE et PME qui ne ménagent pas leurs efforts pour relever les défis de la reprise économique, et ceux-ci sont nombreux :
– Pénuries de main d’œuvre et enjeux de recrutement
– Augmentation des coût et difficultés d’approvisionnement de matières premières
– Accélération de la transformation digitale et énergétique ainsi que de la RSE
– Adaptation aux nouvelles tendances de consommation et aux nouveaux circuits de distribution crées par les confinements successifs
– Reprise du paiement des charges sociales et remboursement des PGE
– Choix des nouveaux modèles de travail : retour physique des équipes, télétravail ou solutions « hybrides »
– Changements des pratiques managériales pour s’adapter aux nouvelles attentes des collaborateurs

Pour la troisième édition du salon, Impact PME 2021 met les TPE et PME en rapport avec des experts qui leur présenteront les meilleurs outils et solutions du moment pour affronter les défis de la reprise.

Impact PME 2021 fera également intervenir des entrepreneurs grâce aux équipes de la rédaction de BFM Business délocalisées sur le plateau TV du salon.

Le programme

PLENIERE : quelles mutations viennent impacter les entreprises ?

Autour de François Asselin, président de la CPME, des personnalités mèneront une réflexion passionnante sur les perspectives des PME dans un contexte marqué par de multiples mutations.
Mutations du travail à l’œuvre avec le développement du télétravail et la pénurie de main d’œuvre ; nouveaux modes de consommation ; accélération de la digitalisation, poussée de la RSE et de la transition écologique dans les PME, mais également la relocalisation et les difficultés d’approvisionnement. 

CONFERENCES

Face aux défis de la reprise, 6 conférences donneront des solutions concrètes aux entrepreneurs

Happy Boulot le mag avec Laure Closier
Comment gérer la RH pour les PME qui ont besoin de conseil mais n’ont pas les moyens de consulter les cabinets spécialisés ? Comment donner l’envie, la motivation aux employés de revenir au travail ? Quelle nouvelle approche audacieuse pour demain ? 

BFM Business avec vous avec Lorraine Goumot
Pénurie de matières premières/composants, inflation, risque cyber, données personnelles RGPD, Lorraine et ses experts vous répondent !

La France a tout pour réussir avec Jérôme Tichit
Une présentation des plus belles réussites de PME pour l’année 2021, comment ont-elles vécu cette année de transition ? 

Objectif raison d’être avec Cyrielle Hariel
Climat : comment initier sa transition écologique et énergétique lorsqu’on est une entreprise industrielle ?

BFM Stratégie avec Frédéric Simottel et Xavier Fontanet
Le cours de Xavier piloté par Fred, en interaction avec le public !

Tech & Co avec François Sorel et Frédéric Simottel
Comment accélérer la mise sur le marché des innovations technologiques des PME : cyber sécurité, logiciels finance et comptabilité, e-commerce enfin le boom !

ATELIERS

Sur le stand CPME, 5 ateliers seront animés par des experts et des dirigeants de TPE-PME qui partageront leur expérience.

D’une durée de 45mn chaque, ils permettront de faire le plein de bonnes pratiques orientées PME en termes d’accès aux financement, de RH et fidélisation des salariés, d’initiation à l’export, de protection face au risque cyber ou encore d’outils de relance au service de la transition écologique des PME. 

Les entreprises ont un rôle majeur à jouer dans la réduction des impacts sur la biodiversité, mais aussi dans la restauration et la valorisation de la biodiversité et des écosystèmes. Le souci de la biodiversité dans la stratégie des entreprises est très largement insuffisant. Dans les DPEF (Déclarations de Performance Extra-Financière), les analyses de matérialité ne font que très rarement émerger la biodiversité comme un risque. L’année 2021 a cependant bien commencé avec de belles initiatives qui marquent une certaine prise de conscience…le point là-dessus.

Par Bertrand Desmier, Expert associé Tennaxia

Bonne nouvelle, les choses bougent ! Plusieurs événements majeurs seront consacrés en 2021 à la biodiversité COP15 en Chine et Congrès mondial de l’UICN à Marseille, et le 1er janvier, l’Unesco a ouvert la Décennie des océans. Ce mois de janvier aura été riche de nombreuses initiatives destinées aux entreprises, afin qu’elles s’engagent en faveur de la biodiversité.

28 janvier 2021

Dernière initiative en date, le lancement de Science Based Targets Nature ! A ce jour, près de 1200 entreprises dans le monde se sont engagées dans la transition vers le « zéro carbone » en se fixant des objectifs de réduction de leurs émissions de Gaz à effet de serre (GES) via l’initiative « Science Based Targets » (SBTi).

Désormais, Science Based Targets va adresser le 2ème sujet clé de la transition écologique, celui de la préservation de la biodiversité. Quand on sait que plus de 55 % du PIB mondial dépend de la bonne santé de la biodiversité, il y a urgence à agir ! Comme pour le climat, il s’agira d’accompagner les entreprises dans la définition d’objectifs ambitieux, basés sur la science sur quatre domaines : l’eau potable, la biodiversité, l’usage des sols et les océans.
Un programme pilote a été lancé début janvier auquel participe une dizaine d’entreprises françaises.
A noté que le Global Biodiversity Score (GBS), développé par CDC Biodiversité et lancé en mai 2020, a été ajouté à la boîte à outils publiée par SBT pour permettre aux entreprises d’avancer dès maintenant sur leurs cibles et contribuer à la préservation de la biodiversité.

26 janvier 2021

Forts de leur ambition commune de mobilisation des TPE-PME sur les enjeux de protection de l’environnement, de développement durable et de RSE, la CPME a noué un partenariat avec le Comité 21 a pour objectif de fédérer les entreprises autour des enjeux de biodiversité. A cet effet, un guide a été publié afin de sensibiliser les dirigeants et leur permettre d’agir en faveur de la biodiversité ?»

https://www.cpme.fr/publications/guides/pme-pourquoi-et-comment-agir-en-faveur-de-la-biodiversite

11 janvier 2021

À l’occasion du One Planet Summit, la Caisse des Dépôts a annoncé un vaste plan d’action portant sur ses activités et celles des entreprises dans lesquelles il investit. Elle a indiqué qu’elle s’engageait à mesurer l’empreinte sur la biodiversité de l’ensemble de ses portefeuilles d’actifs (actifs immobiliers, actions, obligations) d’ici 2024. Elle utilisera bien sûr les métriques du Global Biodiversity Score, destiné aux entreprises et institutions financières.

9 janvier 2021

L’ AFNOR a publié le vendredi 9 janvier dernier la norme NF X32-001, une norme d’application volontaire pour favoriser l’engagement des organisations dans une démarche en faveur de la biodiversité.

On se souvient que la Commission européenne avait dévoilé en mai dernier, en pleine période de crise du Covid-19, une feuille de route ambitieuse dans le cadre de sa nouvelle stratégie pour la biodiversité. https://rse-reporting.com/strategie-pour-la-biodiversite-pour-2030/ . On ne peut que se réjouir de constater que quelques mois après, des actions sont mises en œuvre pour associer les entreprises à l’indispensable préservation de la biodiversité. Les entreprises qui ont notamment adhéré à l’alliance Act4Nature initiée par Entreprises pour l’Environnement, pour transformer leur engagement en actions. Les autres entreprises pourront agir, au-delà de l’installation, certes utile et sympathique mais surtout symbolique, de ruches sur leur toit ou dans leurs espaces verts.

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