Vous connaissez AIDA ? Non pas ce fameux opéra de Verdi, ni cette voisine du 3ème. AIDA, la méthode marketing pour rédiger des mails de prospection efficaces. Et si vous vous en serviez pour rédiger des offres d’emploi attractives ?
Par Céline Cherqui– Fondatrice de OneWay
Avant de vous lancer dans la rédaction d’une offre d’emploi, assurez-vous de savoir qui vous cherchez vraiment et pour quoi faire.
Vous pouvez aussi échanger avec vos collaborateurs ayant le même profil, pour être certains d’avoir un maximum d’informations et de mots clés pertinents, d’avoir le bon vocabulaire et d’utiliser le ton adapté.
Une fois que vous avez votre persona, le portrait-robot du candidat que vous cherchez et une fiche de poste détaillée, il est temps de passer à l’écriture proprement dite de votre offre d’emploi.
Céline Cherqui – Fondatrice de OneWayC’est à ce moment précis qu’intervient AIDA.
Petit rappel de cette méthode issue du marketing :
Son acronyme AIDA signifie Attention, Intérêt, Désir et Action.
Son but, retracer le chemin psychologique d’un prospect pour le convertir en client. Initialement utilisée dans la publicité, elle est l’une des plus anciennes méthodes de marketing. Il s’agit d’un modèle qui permet d’organiser la rédaction d’un contenu de manière à capter l’attention d’une cible pour la mener à un objectif précis. Cette méthode est aujourd’hui largement reconnue pour son utilité dans toute démarche de vente ou de communication.
Et si vous vous en serviez pour rédiger des offres d’emploi attractives ?
Quelques astuces pour :
– Capter l’attention des candidats
– Susciter l’intérêt de vos futurs collaborateurs
– Attiser le désir de votre cible
– Inciter votre candidat à passer à l’action
Capter l’attention des candidats
Vous n’avez que quelques secondes pour attirer l’attention de votre candidat.Vous devez donc vous démarquer nettement. Pour cela, votre première attention doit se porter sur le titre de votre offre d’emploi.
Choisissiez-le accrocheur, car c’est lui qui vous permettra de sortir du lot de la longue liste des offres en ligne. Optez pour les bons mots clés, car ce sont eux qui vous rendront visibles. Mettez-vous dans la peau de votre candidat et demandez-vous ce qui ferait la différence et ce qu’il serait susceptible de chercher.
Attention à ne pas vous enfermer dans une nomenclature interne.
Susciter l’intérêt de vos futurs collaborateurs
Une fois que votre candidat s’est arrêté sur votre offre d’emploi, il est primordial qu’il s’y attarde. Pour cela, il doit se sentir concerné.
Donnez-lui l’impression que vous vous adressez à lui personnellement en adaptant votre contenu à ses attentes. Il est donc indispensable de bien le connaître, de comprendre ses besoins, ses attentes et ses interrogations. Il faut l’amener à se reconnaître dans le message qui est délivré.
Attention, ce n’est pas encore le moment de vendre votre entreprise.
Attiser le désir de votre cible
Maintenant que vous avez gagné l’attention et l’intérêt de votre candidat, à vous d’exposer vos meilleurs arguments, susceptibles de provoquer un sentiment de « désir ».
À ce stade, il sait pourquoi il doit continuer à vous écouter, maisil n’a pas encore LA bonne raison d’aller plus loin. C’est donc le moment d’expliquer en quoi votre marque employeur est différente, répond à ses attentes et comment elle peut changer son quotidien. Il faut faire preuve d’empathie pour mettre en avant les bons arguments. Vous pouvez également influencer sa décision en utilisant la « preuve sociale », cette tendance à être guidés par le comportement des autres.
En partageant l’avis de vos collaborateurs qui lui ressemblent, vous insufflerez en lui une perception positive vis-à-vis de votre marque employeur. Leurs témoignages, anecdotes ou retours d’expérience prendront donc toute leur importance.
Inciter votre candidat à passer à l’action
Donnez-lui la possibilité d’aller au bout de sa prise de décision, facilement et immédiatement. Persuadez-le qu’il doit passer à l’acte maintenant et postuler à votre offre d’emploi.
Grâce à cette méthode et une excellente connaissance de ce qui intéresse votre candidat idéal, vous serez en mesure d’écrire une offre d’emploi efficace, qui l’attire et qui résonne véritablement chez lui.
📞 Si cet article vous a donné des idées pour rédiger une offre d’emploi attractive mais que tout reste encore un peu flou, …
Pas de panique, je vous accompagne pas à pas sur toutes les problématiques recrutement que vous pourrez rencontrer. Céline Cherqui – Directrice Recrutement – OneWay
La sauvegarde des données est un élément primordial de l’arsenal que les entreprises, même les plus petites, doivent déployer pour se prémunir des dégâts colossaux que peuvent causer une cyberattaque ou une simple panne matérielle. L’ANSSI et la CPME, lui consacrent même un chapitre dans leur guide des bonnes pratiques de l’informatique. Quelques connaissances élémentaires permettent d’aborder cette question sereinement et de se prémunir du pire, y compris des attaques de ransomware.
Personne n’est à l’abri d’une panne, mais tous les spécialistes vous le diront : une erreur humaine (de manipulation ou de jugement) ou une volonté de nuire est presque toujours la cause du succès d’une attaque informatique ou de la destruction des données d’une entreprise. La technologie peut éradiquer de nombreux risques et anticiper les défaillances, mais seule la sauvegarde des données permet de réparer les dégâts en cas d’erreur humaine. Partez du principe que même dans le château le mieux fortifié, quelqu’un peut, par négligence, par malveillance, ou par erreur, abaisser le pont-levis.
Sauvegarder et … restaurer
Le dictionnaire Larousse définit la sauvegarde informatique comme la “Procédure de protection des informations contenues dans un système informatique, par copie de ces informations sur disque ou bande magnétique.” Sur le plan technique, c’est une définition incomplète. Gardez à l’esprit que d’un point de vue opérationnel, l’objectif d’une solution de sauvegarde est, avant tout, la restauration d’un système informatique à un état fonctionnel. Mettre en place une procédure de sauvegarde efficace, c’est s’assurer de pouvoir rapidement et complètement remettre les ordinateurs ou les serveurs en état de marche. Pour cela, il faut s’assurer d’avoir à disposition sur des supports externes tous les logiciels, les licences et les outils dont vous aurez besoin pour rétablir les données bien-sûr, mais aussi le fonctionnement. Enfin, disposer des compétences et du savoir-faire nécessaire n’est pas accessoire.
La stratégie 3-2-1 : l’approche élémentaire
Même si elle peut être adaptée au fil du temps pour mieux correspondre aux impératifs de l’entreprise, la stratégie 3-2-1 est toujours un excellent point de départ pour mettre en place en système de sauvegarde résistant et résilient. Largement plébiscitée par les spécialistes, elle consiste simplement à s’organiser de manière à avoir en permanence 3 copies de vos données sur au moins deux supports différents de l’original, dont un, hors site. Idéalement, les copies sur site sont conservées hors ligne pour être protégées contre les attaques.
Un exemple, pour une petite entreprise : vos données sont sur un ordinateur. Vous faites en plus une copie sur un disque externe que vous débranchez ensuite pour ne pas qu’il soit victime en cas d’attaque et une autre sur un service internet dédié.
Cette stratégie présente deux qualités importantes : elle permet de rétablir les données, le plus souvent rapidement, tout en protégeant contre les dégâts matériels qui peuvent survenir sur le site de votre activité (incendies, vols, etc.). Elle est applicable aussi bien aux travailleurs indépendants qu’aux plus grandes PME, même si les supports, les logiciels et les services utilisés pour le faire peuvent varier. Bien entendu les copies en question – incrémentales ou complètes – doivent être effectuées selon une régularité qui dépend de la criticité des changements effectués.
Automatiser et externaliser
La stratégie 3-2-1 n’est pertinente que si, une fois mise en place, elle continue d’être appliquée. Pour cela, l’idéal est d’utiliser des logiciels et/ou des services externes qui automatisent la copie des données et même leur restauration. Les entreprises les plus modestes peuvent se référer aux instructions données par le site officiel du jour européen de la sauvegarde et la section dédiée de cybermalveillance.gouv.fr. L’ANSSI propose aussi des recommandations de logiciels pour les particuliers, applicables aux plus petites entreprises.
Les entreprises qui comptent plus d’employés (dès quelques dizaines) et dont les installations informatiques sont plus étendues et/ou plus complexes peuvent faire appel à des sociétés spécialistes de la gestion et de la protection des données.
Ne jamais remettre à demain
La sauvegarde des données d’une entreprise est souvent perçue comme une assurance. Une procédure qui ne servira jamais vraiment si aucun sinistre ne survient. Avec une différence majeure tout de même, statistiquement, les sinistres informatiques s’abattent plus fréquemment que les incendies. L’actualité des derniers mois a prouvé que personne n’est à l’abri d’une attaque informatique dévastatrice avec à la clé, de longs jours d’interruption de l’activité.
Enfin, vos sauvegardes ne sont pas nécessairement une masse inerte. Selon votre activité, elles peuvent participer à la création de valeur. L’analyse de l’historique de vos données peut jeter un éclairage supplémentaire sur votre activité et vous aider à dégager de la valeur ou a minima une économie de temps.
Le développement de la concurrence pousse les entreprises à déployer des stratégies plus innovantes pour convaincre leurs candidats cibles et gagner leur confiance. Les attentes des candidats devenues de plus en plus exigeantes et les entreprises n’ont plus d’autres choix que de relever le défi en affinant leur proposition d’embauche.
Par Céline Cherqui– Fondatrice de OneWay
Ces stratégies doivent se baser sur une approche nouvelle, différente et personnalisée pour rendre l’expérience candidat meilleure. Si l’expérience candidat débute parfois, avant même la première interaction avec l’entreprise, l’expérience collaborateur débute, elle, dès la réalisation de la proposition d’embauche.
La question se pose alors : comment transformer la proposition d’embauche en véritable expérience collaborateur ?
Céline Cherqui – Fondatrice de OneWay
Dans la phase de recherche de candidats, l’entreprise a besoin de connaître sa cible : sa tranche d’âge, ses besoins, ses attentes et ses comportements. Le facteur « connaissance » joue un rôle important dans l’élaboration de l’expérience candidat et il représente une source incontournable pour extraire des informations nécessaires à l’optimisation du parcours candidat. Cette expérience doit donc se prolonger, lors de la proposition d’embauche en une expérience collaborateur réussie. S’il existe plusieurs entreprises pouvant offrir le même poste à un candidat, ce dernier sera sensible à la valeur ajoutée apportée lors de son parcours candidat et celle espérée dans son parcours collaborateur.
Ainsi, pour se démarquer de ses concurrents, l’entreprise doit viser la meilleure approche possible pour cet événement marquant de la vie d’un nouveau collaborateur.
Et si vous tentiez un processus d’amélioration continue pour remettre en question vos pratiques ?
Vous pourriez vous demander :
« Est-ce que l’expérience candidat est satisfaisante pour ma cible ?
Quel a été le niveau des interactions avec les collaborateurs de mon entreprise ?
Sont-ils les bonnes références pour ma cible, ont-ils répondu à toutes ses attentes : questions, précisions, appréhensions ?
Est-ce que mon candidat vit une expérience positive ?
A-t-il envie de devenir un de mes collaborateurs ? Se sent-il engagé ?
Aura-t-il envie de diffuser un message positif sur son expérience ? sur ma marque employeur ?
Adhère-t-il à nos valeurs d’entreprise ? Deviendra-t-il un collaborateur fidèle ?
Suis-je en mesure de pouvoir répondre à ces questions et d’avoir envie de faire bouger les lignes ? »
Vous l’aurez compris, avant d’accepter votre offre de collaboration, vos candidats auront sans doute l’occasion de la comparer et choisiront l’entreprise qui saura les combler. L’enjeu sera donc d’identifier les moments clés de leur parcours, ceux où ils seront le plus réceptifs et où l’impact de vos actions aura le plus de sens pour eux.
A vous de faire la différence et de marquer vos candidats de façon positive.Vous pourrez ainsi construire une stratégie cohérente, qui inspire confiance et qui est ultra-personnalisée. Pour cela, vous pouvez commencer par faire de chaque interaction, une rencontre. Individualisez les approches pour capter l’attention de vos candidats et instaurez une relation de confiance dès le début.
Minimisez le temps entre chaque interaction, prenez des décisions rapides et cohérentes. Minimisez également les efforts que devront fournir vos candidats, soulagez-les avec des process fluides. Répondez à leurs besoins et à leurs attentes. Plus vous connaitrez vos cibles, plus vous pourrez aller au-delà des attentes exprimées et plus vous les surprendrez positivement.
Prédire plutôt que réagir, anticipez leur craintes, leurs doutes, les difficultés qu’ils pourraient rencontrer et proposez-leur des solutions avant qu’ils ne vous en parlent. Construisez une histoire basée sur l’empathie, mettez en valeur tout ce qui a de l’importance pour vos cibles. Faites preuve de constance, tenez vos promesses et instaurez ainsi la confiance d’une relation saine. N’oubliez pas qu’ils seront, peut-être un jour, vos collaborateurs.
Dans ce contexte de concurrence et de complexité à recruter les « bons profils », le besoin de rassurer, simplifier, et de proposer une expérience unique devient essentiel. Ainsi, la stratégie d’acquisition et de fidélisation la plus rentable est le ré-enchantement continu de l’expérience.
📞 Si cet article vous a donné des idées pour rendre vos propositions d’embauche plus attractives mais que tout reste encore un peu flou, …Pas de panique, je vous accompagne pas à pas sur toutes les problématiques recrutement que vous pourrez rencontrer. Céline Cherqui – Directrice Recrutement – OneWay
La rentabilité responsable souffre malheureusement de beaucoup de préjugés. « On peut s’enrichir sans rien faire en achetant des appartements et en les louant très chers » ou « Les propriétaires exploitent les locataires ». Ces idées reçues relèvent d’une vision court-termiste et repose sur une mauvaise adéquation entre deux éléments qui constituent l’investissement locatif : le service rendu et le profit.
Il existe pourtant une façon éthique d’investir pour arriver à une rentabilité responsable. Nous allons vous donner les clés de ce type de placement.
La quête de la rentabilité à court terme dans l’investissement immobilier locatif
Nombreuses sont les offres alléchantes proposées par des entreprises spécialisées en investissement locatif. Elles proposent d’aider les particuliers à réaliser un investissement rentable clé en main. Sur le principe, ces offres de services sont intéressantes car elles permettent de simplifier la vie d’investisseurs intéressés par l’immobilier. Mais certaines de ces entreprises exercent une sorte de « surenchère immobilière » qui, à terme, risque de « boucher » le marché immobilier.
Comment influer sur sa rentabilité ?
Les deux paramètres qui impactent directement la rentabilité d’un investissement en immobilier locatif sont l’augmentation de la valeur du bien et le montant des loyers collectés.
Pour augmenter la valeur du bien, il faut la créer. Pour cela vous pouvez :
Optimiser les espaces
Améliorer l’habitat
Cibler une zone, objet d’une politique de revitalisation.
Si on suit le principe de rentabilité responsable, il est possible d’investir de façon rentable mais aussi plus éthique vis-à-vis de l’environnement et de la société. Mais comment, dans ce cas, augmenter la valeur du bien et agir sur le paramètre des loyers de façon responsable ?
Augmenter la valeur du bien de manière responsable
Le meilleur moyen de créer de la valeur, c’est de faire de travaux en optimisant les espaces ou en rénovant les biens.
En revanche, vous avez deux façons de faire les travaux : soit vous réduisez au maximum les coûts liés à la rénovation du bien en utilisant des matériaux de qualité médiocre, soit vous êtes plus attentif à la qualité en pensant au confort de vos futurs locataires et à la durabilité.
La deuxième solution est de loin la meilleure et la plus responsable. Vous pourrez revendre plus facilement votre bien et réduirez les tentatives de négociation du prix. Vous avez alors trois gagnants : le locataire, vous le propriétaire et le futur acquéreur.
D’un point de vue environnemental, faire des travaux d’isolation thermique et phonique permet de réaliser des économies d’énergie. Les charges de fonctionnement pour le locataire sont aussi réduites ce qui favorisera son maintien dans le logement.
L’impact de la rentabilité responsable est indirect mais se mesure à long terme :
Moins de coûts de maintenance ou de réparation,
Moins de vacance locative,
Plus de bien être pour le locataire
Meilleure valorisation à la revente.
Agir sur le paramètre loyer de façon responsable
Pour fixer votre loyer, il faut avoir en tête deux éléments fondamentaux : Vous positionnez votre bien sur un marché concurrentiel et la valeur du loyer doit vous permettre sélectionner les meilleurs candidats.
Un trop grand nombre d’investisseurs n’ont qu’un seul objectif : la rentabilité à court-terme. Ils omettent d’intégrer que leur locataire n’a peut-être pas d’autre alternative de logement que le vôtre. Dans ce cas, lui proposer un bien avec un loyer élevé ou mal aménagé risque d’influer sur son état esprit. Il sera moins enclin à l’entretenir comme il se devrait et voudra quitter le logement dès que possible. Quant aux risques d’impayés…
Dans un bien de qualité, au contraire, avec un loyer qui correspond au marché il sera plus enclin à rester quelques années. N’oubliez jamais qu’un locataire heureux est un locataire rentable !
Réaliser un investissement responsable sans devoir renoncer à une bonne rentabilité c’est tout à fait possible. Ce type de placements éthiques suit le principe de l’ISR, l’Investissement Socialement Responsable, fortement encouragé par les pouvoirs publics. Cette tendance est en pleine évolution et vise à assainir le marché immobilier de demain.
Adopter une stratégie climatique ambitieuse et cohérente est un acte fort pour l’environnement mais pas seulement, c’est aussi un véritable cercle vertueux pour votre PME ; maitrise des coûts, fidélisation des clients et des collaborateurs, recrutement de nouveaux talents, image de marque, accès à des marchés etc…
Pour vous accompagner dans cette transition, South Pole a crée un programme de stratégie climatique dédié aux PME qui vous permettra de façon pragmatique d’évaluer votre empreinte carbone et d’élaborer une stratégie réellement en phase avec les besoins de votre entreprise… on vous laisser regarder comment ça marche !
Si Cristina Cordula donne des conseils vestimentaires aux femmes selon leur morphologie – A, H, O, V – mieux vaut les suivre à la lettre…« Ma chérie tu es un H, non mais là, ça va pas du tout ! tu es complètement à côté de la pompe ! Il faut tout changer ! » Pourtant, elle ne nous parle pas des profils en T, et pour cause …Il s’agit d’une métaphore utilisée dans le recrutement pour décrire les capacités des candidats. Un profil en « T » possède à la fois une très bonne expertise de son domaine (la barre verticale du T) et de bonnes compétences transverses (la barre horizontale du T).
Par Céline Cherqui– Fondatrice de OneWay
C’est dans les années 90 que Tim Brown, PDG du cabinet de conseil IDEO, popularise ce concept pour recruter ses collaborateurs. Dans un écosystème en perpétuelle mutation, les entreprises commencent à être confrontées à l’impératif de développer des compétences hybrides pour créer de la valeur. Le succès passe alors par le développement de synergies entre des disciplines indépendantes, et briser les silos devient impératif pour répondre de manière agile aux besoins spécifiques.
Céline Cherqui – Fondatrice de OneWay
Cette approche différente de sélection des candidats s’avère être idéale pour constituer des équipes interdisciplinaires permettant d’améliorer le travail collaboratif et la co-construction de nouvelles solutions. Ainsi, les compétences développées par les profils en « T », où la barre verticale représente sa spécialisation dans un domaine d’expertise et la barre horizontale sa capacité à collaborer efficacement avec d’autres experts, ont favorisé la créativité au sein des équipes et la recherche de personnalisation dans les réponses fournies.
Dans le contexte actuel de mutation rapide des métiers l’acquisition de compétences multiples est devenue cruciale pour conserver son employabilité. Avoir des collaborateurs qui pensent « out of the box » est un avantage stratégique pour se démarquer et répondre aux problématiques clients de façon innovante.
Ces profils en « T », capables de prendre de la hauteur et de s’adapter naturellement aux changements, sont de véritables « couteaux-suisses » indispensables au sein d’une équipe.
Pourquoi recruter un profil en « T » dans une équipe recrutement ?
Un recruteur s’appuie sur ses connaissances et son savoir-être : technicité, écoute, capacité à communiquer, adaptabilité, humilité, objectivité, sens de l’analyse, esprit de synthèse, calme, discernement, pragmatisme. Pour attirer et séduire les candidats, un recruteur doit également avoir des compétences de :
– Marketeur, pour dresser le portrait des persona et concevoir une stratégie d’approcheadaptée à leurs caractéristiques comportementales
– Développeur, pour traduire la demande d’un client, en requête
– Chasseur, pour dénicher l’oiseau rare
– Rédacteur, pour donner le ton, définir les contenus et élaborer une ligne éditoriale pertinente
– Speaker, pour créer des storytelling efficaces et authentiques
– Vendeur, pour bâtir une argumentation solide
– Evaluateur, pour jauger la capacité d’un candidat à poursuivre le process
– Négociateur, pour proposer au bon candidat la meilleure offre possible
– Influenceur, pour diffuser les messages et créer du lien autour de la marque employeur.
Pour conserver sa crédibilité, au gré des révolutions technologiques et des nouvelles générations de candidats, le recruteur doit donc impérativement se remodeler et se réinventer.
Un profil en « T » comprendra à la fois les défis du business et ceux des opérationnels, aura une vision transverse des postes à pourvoir et la capacité d’échanger avec chacun des candidats de façon privilégiée.
Sa culture du partage et sa capacité d’apprentissage feront de lui un élément inestimable dans une équipe. Il saura s’adapter à un environnement changeant et en constante évolution. Sera capable de proposer des solutions innovantes et de se différencier de la concurrence. Il sera suffisamment flexible et coopératif pour atteindre ses objectifs et participer à la réussite globale de l’équipe recrutement.
Il pourra également contribuer au rayonnement de la marque employeur grâce à sa capacité de réseautage et à son empathie. Vous l’aurez compris : il est temps que Mister T rejoigne votre équipe 😊
Dans un contexte où l’efficacité énergétique devient cruciale, la Gestion Technique de Bâtiment (GTB) se révèle être un outil indispensable. Pour les PME et ETI, la mise en place d’une GTB permet non seulement de réduire les coûts énergétiques, mais aussi d’optimiser le confort des occupants et de simplifier la gestion des infrastructures.
Par Ali Tuncer – Chargé Marketing Objectif EcoEnergieQu’est-ce que la GTB ?
La Gestion Technique de Bâtiment (GTB) regroupe l’ensemble des systèmes informatiques et électroniques permettant de superviser, contrôler et automatiser les équipements d’un bâtiment. Cela inclut la gestion de l’éclairage, du chauffage, de la climatisation, de la ventilation, ainsi que des systèmes de sécurité et d’alarme.
Des aides bonifiées pour la mise en place d’une GTB
Pour encourager les entreprises à investir dans des solutions d’efficacité énergétique comme la GTB, des aides financières sous forme de Certificats d’Économies d’Énergie (CEE) sont disponibles. Les CEE sont un dispositif permettant de subventionner les projets visant à réduire la consommation énergétique.
L’arrêté publié le 22 octobre 2022, qui a également modifié les Coups de Pouce CEE avec un « Coup de Boost », introduit une bonification pour les opérations correspondant à la fiche d’opération standardisée BAT-TH-116 relative à la Gestion Technique de Bâtiment (GTB) dans le secteur tertiaire
Obligatoire pour de nombreux bâtiments tertiaires à partir du 1er janvier 2025 en vertu du Décret BACS, l’installation ou l’amélioration d’un système de GTB pour le chauffage, l’eau chaude sanitaire, la climatisation/refroidissement, l’éclairage et les auxiliaires des bâtiments tertiaires pourra bénéficier d’une augmentation de l’incitation financière des CEE.
En effet, les opérations BAT-TH-116 Système de GTB en tertiaire, initiées jusqu’au 30 juin 2024, bénéficient d’une bonification :
x2 pour l’acquisition d’un système GTB
x1,5 pour l’amélioration d’un système GTB
En conclusion, cette bonification temporaire sur la GTB offre aux propriétaires de bâtiments tertiaires l’opportunité de bénéficier de gains rapides avec un retour sur investissement réduit tout en se conformant par anticipation aux Décrets BACS. Grâce à ce dispositif, l’ensemble des bâtiments tertiaires peut désormais profiter d’un taux de couverture intéressant. Le principal obstacle, à savoir le montant de l’investissement initial, est ainsi atténué pour mieux accompagner les bâtiments français dans leur transition énergétique.
Les Avantages de la GTB
Optimisation de la Consommation Énergétique : La GTB permet de réguler les consommations en temps réel. Par exemple, le système peut ajuster automatiquement le chauffage et l’éclairage en fonction de l’occupation des locaux, des conditions climatiques et des horaires de travail.
Réduction des Coûts de Maintenance : En centralisant la gestion des équipements, la GTB facilite la maintenance préventive et corrective. Les pannes peuvent être détectées rapidement et les interventions sont mieux planifiées, ce qui réduit les coûts de maintenance.
Amélioration du Confort des Occupants : Une GTB bien configurée améliore le confort thermique et la qualité de l’air à l’intérieur des bâtiments, ce qui contribue à une meilleure productivité et satisfaction des employés.
Conformité Réglementaire : Avec les réglementations de plus en plus strictes en matière d’efficacité énergétique, une GTB aide les entreprises à se conformer aux exigences légales, notamment celles du décret tertiaire.
Comment Mettre en Place une GTB ?
Étude Préliminaire : Il est crucial de commencer par une étude des besoins et des spécificités du bâtiment. Cela permet de définir les objectifs et les fonctionnalités souhaitées pour le système de GTB.
Choix de la Solution Technique : En fonction des besoins identifiés, il faut choisir une solution de GTB adaptée. Il existe des systèmes modulaires qui peuvent évoluer avec le temps et les besoins de l’entreprise.
Installation et Intégration : L’installation doit être réalisée par des professionnels pour garantir une intégration optimale des différents systèmes (éclairage, chauffage, ventilation, etc.).
Formation et Accompagnement : Une fois le système installé, il est important de former le personnel à son utilisation pour en tirer le meilleur parti. Un accompagnement sur le long terme permet d’ajuster les réglages et de répondre aux besoins émergents.
Cas Pratique : Une PME Tertiaire en Pleine Transition
Prenons l’exemple d’une PME spécialisée dans les services informatiques. Grâce à l’installation d’une GTB, cette entreprise a pu réduire sa consommation énergétique de 25% en un an. Les systèmes de chauffage et d’éclairage sont désormais régulés en fonction de la présence réelle des employés, et les données collectées permettent d’anticiper les besoins de maintenance, réduisant ainsi les coûts d’exploitation.
La mise en place d’une GTB représente un investissement stratégique pour les PME et ETI. En optimisant la gestion énergétique et le confort des bâtiments, les entreprises peuvent non seulement réaliser des économies substantielles mais aussi améliorer leur compétitivité et se conformer aux nouvelles exigences réglementaires. Objectif EcoEnergie se tient prêt à accompagner les dirigeants dans cette démarche vers une gestion plus intelligente et durable de leurs infrastructures.
Depuis la promulgation du décret tertiaire en 2019, les entreprises sont face à un défi majeur : améliorer l’efficacité énergétique de leurs bâtiments. Ce décret impose des obligations de réduction de la consommation énergétique des bâtiments à usage tertiaire, une mesure qui, bien que contraignante, offre de nombreuses opportunités pour les PME et ETI.
Par Ali Tuncer
Qu’est-ce que le Décret Tertiaire ?
Le décret tertiaire, inscrit dans la loi Élan (Évolution du logement, de l’aménagement et du numérique), vise à réduire les consommations énergétiques des bâtiments tertiaires de plus de 1 000 m². Les objectifs fixés sont ambitieux : une réduction de 40% des consommations d’ici 2030, 50% d’ici 2040 et 60% d’ici 2050, par rapport à une année de référence choisie entre 2010 et 2019.
Les Obligations et Échéances
Les entreprises doivent déclarer leurs consommations énergétiques annuelles sur la plateforme OPERAT (Observatoire de la Performance Énergétique de la Rénovation et des Actions du Tertiaire). Les premières déclarations étaient attendues pour le 30 septembre 2021. Chaque entreprise doit établir une stratégie d’amélioration continue de l’efficacité énergétique de ses bâtiments.
Les Opportunités pour les PME et ETI
Réduction des Coûts Energétiques : Investir dans l’efficacité énergétique permet de réaliser des économies significatives sur les factures d’énergie. Une meilleure isolation, l’installation de systèmes de chauffage et de climatisation plus performants, ou encore l’optimisation de l’éclairage peuvent rapidement se traduire par des baisses de consommation.
Accès aux Certificats d’Économies d’Énergie (CEE) : Les entreprises peuvent bénéficier des Certificats d’Économies d’Énergie pour financer leurs projets. En tant que délégataire CEE, Objectif EcoEnergie accompagne les entreprises dans l’obtention de ces aides financières.
Amélioration de l’Image de Marque : Dans un contexte où la responsabilité environnementale devient un critère de plus en plus important pour les consommateurs et partenaires, se conformer au décret tertiaire améliore l’image de marque et peut être un atout commercial.
Préparation à l’Avenir : La transition énergétique n’est pas une mode passagère. En prenant des mesures aujourd’hui, les entreprises se préparent aux réglementations futures et prennent de l’avance sur leurs concurrents.
Comment Se Conformer ?
Diagnostic Energétique : Réaliser un audit énergétique pour identifier les postes de consommation les plus importants et les leviers d’économie.
Plan d’Action : Mettre en place un plan d’action détaillé avec des mesures concrètes (travaux de rénovation, optimisation des équipements, etc.).
Suivi et Reporting : Utiliser la plateforme OPERAT pour suivre les progrès et ajuster les actions en fonction des résultats obtenus.
Le décret tertiaire, loin d’être une contrainte, est une réelle opportunité pour les PME et ETI de moderniser leurs infrastructures, de réduire leurs coûts énergétiques et de renforcer leur compétitivité. Objectif EcoEnergie, avec son expertise en CEE, est là pour accompagner les entreprises dans cette transition.
L’IFAG, avec ses 27 campus en France et à l’étranger, se démarque en tant qu’école de management qui parvient à allier avec succès une pertinence globale et un solide ancrage dans les territoires où elle est implantée.
Forte d’un savoir-faire reconnu dans la formation au management à destination des entreprises de retail, l’IFAG a établi des partenariats stratégiques avec les entreprises de la région nord, à l’instar de Norauto, un acteur économique qui rayonne fortement dans la région.
Emmanuelle Godfrin, Responsable des formations Alternance & Relations Ecoles pour Norauto France et Secrétaire Générale de l’AFMD, répond à nos questions et nous livre sa vision de ce partenariat en décrivant de façon précise les avantages uniques qu’offre l’IFAG en matière d’apprentissage et d’alternance.
Le terme un peu « hipe » des années 2000 de Love Brand désigne des marques pour lesquelles les consommateurs éprouvent une réelle passion, Nike, Apple et Disneyland sont souvent citées en exemple. Ces marques réussissent à créer cette relation passionnée à travers leur marketing et leur diffusion de contenu. En appliquant ce concept à votre stratégie recrutement, c’est lorsque vous prendrez soin de chacun de vos candidats lors d’un parcours personnalisé répondant à leurs attentes, que vous aussi, deviendrez une Love Brand.
Par Céline Cherqui– Fondatrice de OneWay
Et si finalement la posture la plus importante était de savoir comment prendre soin de ses candidats et de ses collaborateurs pour les attirer et les fidéliser ? L’objectif ne serait-il pas plutôt de devenir une Care Brand, une entreprise basée sur l’attention qu’elle porte à ses candidats et à ses collaborateurs ?
La concurrence est de plus en plus rude et pour vous démarquer par votre stratégie d’acquisition de nouveaux talents il vous sera nécessaire de faire preuve de beaucoup d’imagination pour rendre vos candidats uniques. Pour développer une image de Care Brand, il est donc important de tisser des relations fortes avec vos candidats, d’être à leur écoute pour établir une relation de confiance et de provoquer en eux une émotion positive avec votre marque employeur.
Céline Cherqui – Fondatrice de OneWay
La connaissance parfaite de vos « cibles » ou de vos personae devient alors un élément central : comment leur parler, comment les sensibiliser, comment leur apporter ce qui leur manque et ce dont ils ont besoin pour s’épanouir au quotidien dans leurs fonctions. La mise en place de cette stratégie de Care Brand vous permettra non seulement de partager vos valeurs et également de proposer un contenu adapté pour séduire les candidats qui vous ressemblent et que vous cherchez tant.
Ce partage de valeurs génèrera en interne un sentiment d’appartenance et permettra aussi à vos collaborateurs de se reconnaître et de se développer. Vous l’aurez compris : Les entreprises qui savent manier à la perfection ce concept de Care Brand, auront une longueur d’avance dans la fidélisation de leurs collaborateurs et l’acquisition de nouveaux talents.
Ok, et concrètement ?
Comment faire pour devenir une Care Brand qui attire et fidélise ?
Voici quelques pistes pour amorcer votre réflexion :
– Avoir un positionnement clair
– Définir les valeurs que vous allez utiliser pour faire rayonner votre marque employeur
– Communiquer sur ces valeurs fortes en employant le style adapté à votre cible
– Créer un univers particulier dédié à votre cible autour de votre marque
– Déployer une relation collaborateur différenciante basée sur la qualité et la proximité
– Placer vos collaborateurs au cœur de votre stratégie de développement
– Développer des communautés d’ambassadeurs fidèles et engagés
C’est grâce à une stratégie centrée sur vos collaborateurs que vous pourrez contribuer de façon efficace à renforcer le message de votre marque employeur et établir des relations de confiance avec vos candidats. En effet, en partageant des anecdotes vos collaborateurs génèreront un sentiment d’appartenance et de fierté qui aura du sens pour vos candidats qui reconnaîtront l’authenticité de votre marque et se sentiront compris.
Pour éviter un effet publicité, laissez vos collaborateurs trouver les bons mots qui expriment leur engagement et séduisent les candidats. Ne les formatez pas avec des éléments de langage à utiliser dans leur communication, au risque de créer l’effet inverse.
N’oubliez pas que, dès lors qu’un collaborateur développe un attachement à votre entreprise, il est plus fidèle, partage plus volontiers son ressenti positif à son entourage, génère des recommandations et par conséquent, booste votre taux de cooptation.
Love Brand ou Care Brand, l’avenir appartient aux entreprises qui arriveront à toucher le cœur des candidats et pour qui la relation collaborateurs sera stratégique.
📞 Si cet article vous a donné des idées pour mettre en place votre stratégie d’acquisition de nouveaux talents mais que tout reste encore un peu flou, …Pas de panique, je vous accompagne pas à pas sur toutes les problématiques recrutement que vous pourrez rencontrer. Céline Cherqui – Directrice Recrutement – OneWay
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