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LIFESTYLE

L’investissement dans les montres de luxe est une pratique qui gagne en popularité en cette période où les marchés financiers peuvent être volatils,
L’investissement dans les montres de luxe est une pratique qui a gagné en popularité ces dernières années. Les montres de luxe sont non seulement des accessoires élégants, mais elles peuvent également représenter un investissement rentable si vous choisissez les bons modèles. En cette période, où les marchés financiers peuvent être volatils, l’investissement dans des actifs tangibles comme les montres de luxe peut offrir une certaine stabilité et diversification à votre portefeuille.
Pourquoi investir dans les montres de luxe ?
Les montres de luxe ont plusieurs caractéristiques qui en font des investissements attrayants :
  • Rareté et exclusivité : Les marques de montres de luxe produisent souvent des éditions limitées ou des modèles uniques, ce qui augmente leur valeur sur le marché secondaire.
  • Histoire et prestige : Les grandes maisons horlogères ont souvent une longue histoire et une réputation de qualité et d’artisanat, ce qui peut augmenter la valeur de leurs montres au fil du temps.
  • Demande croissante : La demande pour les montres de luxe reste forte, en particulier sur les marchés émergents comme la Chine, ce qui peut stimuler les prix sur le marché secondaire.
Les meilleurs modèles sur lesquels investir
Lorsqu’il s’agit de choisir les meilleurs modèles sur lesquels investir, il est important de considérer plusieurs facteurs, notamment la marque, le modèle spécifique, l’état de la montre et sa rareté sur le marché. Voici quelques-uns des modèles les plus prometteurs en ce moment : Rolex Daytona : La Daytona de Rolex est l’un des modèles les plus recherchés sur le marché des montres de luxe. Les éditions vintage et les modèles en acier inoxydable sont particulièrement prisés par les collectionneurs et les investisseurs. Rolex Daytona : une montre luxe sur laquelle investir Patek Philippe Nautilus : La Nautilus est une montre emblématique de Patek Philippe, avec son design distinctif et son héritage prestigieux. Les modèles en acier inoxydable, en particulier les éditions limitées, sont très demandés sur le marché. Patek Philippe Nautilus – une montre luxe sur laquelle investir Audemars Piguet Royal Oak : La Royal Oak d’Audemars Piguet est une autre montre emblématique qui continue de gagner en valeur. Les modèles en acier inoxydable, ainsi que les éditions limitées, sont très prisés par les investisseurs. Audemars Piguet Royal Oak : une montre luxe sur laquelle investir Omega Speedmaster : La Speedmaster est une montre emblématique d’Omega, célèbre pour avoir été la première montre portée sur la lune. Les éditions vintage et les modèles commémoratifs sont très recherchés sur le marché. Omega Speedmaster Moonwatch chronographe acier à remontage manuel Kal. une montre luxe sur laquelle investir Richard Mille RM : Les montres Richard Mille sont connues pour leur design avant-gardiste et leur technologie de pointe. Les modèles les plus rares et les éditions limitées peuvent atteindre des prix astronomiques sur le marché secondaire.The New Richard Mille RM 66: une montre luxe sur laquelle investir
Conseils pour investir dans les montres de luxe
Avant d’investir dans des montres de luxe, voici quelques conseils à garder à l’esprit :
  • Faites des recherches approfondies sur les marques et les modèles qui vous intéressent.
  • Achetez auprès de vendeurs réputés et vérifiez l’authenticité de la montre.
  • Gardez à l’esprit que l’investissement dans les montres de luxe peut être à long terme, donc soyez patient.
  • Assurez-vous de conserver les documents d’origine et les boîtes pour maintenir la valeur de la montre.
  • Diversifiez votre portefeuille en investissant dans une variété de marques et de modèles.
En conclusion, l’investissement dans les montres de luxe peut offrir des rendements intéressants pour les investisseurs avisés. En choisissant les bons modèles et en suivant les conseils d’experts, vous pouvez ajouter une touche d’élégance et de valeur à votre portefeuille d’investissement.  

Acheter un bateau ! C’est un rêve d’enfant qui est aujourd’hui à la portée de nombreux dirigeants et cadres de PME et ETI. Alors pourquoi s’en priver ? Voici quelques conseils pour les amoureux de la mer qui voudraient franchir le pas.

Par Serge de Cluny

Acheter un bateau qui correspond à votre programme de navigation

On peut facilement craquer pour un bateau dans un port de plaisance ou sur un site de vente mais ce coup de coeur peut rapidement tourner au cauchemard si il n’est pas adapté au programme de navigation qui vous convient. Pour cela, il faut en priorité définir ce que vous voulez faire avec votre bateau; de la navigation côtière, de la petite croisière, de la course ou de la régate puis choisir de naviguer à la voile, au moteur ou au mixte voile-moteur.

Choisir le bassin de navigation

Après avoir opter pour le programme de navigation qui vous convient, le prochain choix concerne le bassin de navigation. Faut-il acheter un bateau transportable ou pas ? Car si celui-ci n’est pas transportable, où allez-vous l’amarrer ou le stocker ? De là dépendra finalement le type d’embarcation vers lequel vous orienter car celle-ci, à voile ou à moteur, ne sera pas la même si on navigue en Méditerranée, en Atlantique ou en Mer du Nord, à l’exception des bateaux destinées à la croisière.

Faites appel à un expert

Pour un bateau d’occasion, l’intervention d’un expert est indispensable surtout si l’acheteur est novice dans le domaine nautique. Les mauvaises surprises et les frais masqués peuvent être énormes en proportion de la valeur du bateau sans compter que les formalités administratives relatives à la vente peuvent s’avérer complexes (vérifier l’acte de francisation, s’assurer de l’absence de saisie conservatoire ou d’hypothèque…). Pour acheter un bateau neuf, il est aussi conseiller de se faire accompagner par un spécialiste pour établir ensemble un cahier des charges et définir les équipements indispensables au bateau.

Etudier les solutions de leasing

Les avantages du leasing pour le financement du bateau sont essentiellement fiscaux : la TVA est en effet fixée à 10% au lieu de 20% car l’administration estime, curieusement, qu’une embarcation en location passe une partie de son temps en dehors des eaux communautaires. De plus, pour l’imposition, le bateau étant la propriété de la société de leasing, il n’est donc pas comptabilisé dans le calcul de l’impôt…

Les couts masqués

Le prix affiché d’un bateau n’est jamais considéré comme « prêt à naviguer ». L’acheteur devra prévoir le coût relatif à l’armement de sécurité, pour un voilier il faudra rajouter celui relatif à la livraison et au mâtage car les bateaux sont livrés avec un jeu de voiles généralement suffisant mais pas complet. 

En matière de sécurité, le plaisancier devra opter pour un des 3 niveaux de packs disponibles, selon son programme et l’homologation de son bateau : moins de 2 milles des côtes, moins de 6 milles des côtes ou hauturier. Si le bateau est financé en LOA (leasing), il devra obligatoirement être armé en hauturier.

La place de port 

A moins de choisir un transportable, ce qui solutionnera une bonne partie de cette problématique, il faut savoir que la place de port reste un défi majeur sur lequel les acquéreurs de bateaux devront se pencher en amont de l’achat, notamment avec l’expert qui les accompagne lors de l’acquisition. Il est possible de s’enregistrer dans plusieurs ports pour bénéficier de la première place libre, d’opter pour des marinas étrangères (Espagne, Tunisie…) ou encore de choisir l’amarrage à un corps mort.

Le permis

Même s’il n’est pas obligatoire lorsqu’on possède un voilier non équipé de VHF (équipement qui permet de communiquer avec les navires, les ports et les stations côtières), le permis est fortement recommandé pour bien maîtriser sa navigation. Pour les voiliers dotés d’un VHF, le skipper devra être titulaire soit du permis plaisance option côtière (pour les eaux françaises), soit du CRR (certificat restreint de radiotéléphoniste) l’autorisant à naviguer à l’étranger. Pour tout bateau à moteur dont la puissance est supérieure à 6cv, le permis est obligatoire.

Bien budgétiser

Il faut savoir qu’un bateau coûte, en entretien par an, environ 10% de son prix d’achat. Il faudra également prendre en compte les frais d’assurance, par des contrats « aux tiers » qui prennent en charge les dégâts causés par votre bateau aux autres embarcations ou des contrats « multirisques » qui couvrent les dommages, les vols et même parfois le rapatriement et les frais médicaux. De plus, il faut faire assurer le gréement de son voilier, ce qui n’est pas toujours clairement précisé.

L’inflation et la hausse du coût de la vie ne touchent pas les voitures de luxe : la célèbre marque anglaise Rolls-Royce a dépassé en 2022 son record de ventes annuelles en 118 années d’existence, avec 6.021 véhicules livrés. Le constructeur britannique sort la nouvelle Droptail «Rose Noire» avec une gamme limitée à quatre véhicules personnalisés par leurs acheteurs. Le premier modèle aurait été acquis pour plus de 25 millions d’euros, selon la presse du Royaume-Uni. Rolls-Royce compte bien garder sa place de légende de l’automobile de luxe. La marque vient de dévoiler au public «La Rose Noire», l’un des quatre véhicules de sa nouvelle gamme baptisée Droptail. Il s’agit d’un cabriolet de deux places qui a déjà trouvé un acquéreur. Rolls-Royce Drop Tail La Rose Noir rear quarter Le magazine spécialisé britannique Autocar a révélé que ce premier modèle aurait déjà été vendue pour environ 25 millions d’euros à des acheteurs qui ont préféré garder l’anonymat pour l’heure et dont l’identité n’a pas été encore officiellement révélée. La marque Rolls-Royce a donc garder la dicrétion qui s’impose en évoquant simplement un «couple issu d’une dynastie d’amoureux de l’art et de la mode, à la tête d’une famille internationale éminente» et ayant «un lien profond avec la France».

Un design d’exception

Le style «romantique» de cette Droptail a été inspiré de la rose Baccara. Le véhicule est doté d’une carrosserie grenade ou noire en fonction de la lumière. Quant à l’’habitacle, il est composé de métal et de 1603 pièces de bois plaquées à la main. «C’est le travail d’artisanat le plus compliqué, le plus complexe et le plus prohibitif jamais produit » selon la déclararation du responsable design de carrosserie chez Rolls-Royce Motor Cars à Autocar.

L’horloge du tableau de bord est signé du prestigieux horloger suisse Audemars Piguet et le comble du lifestyle est qu’elle est décrochable pour se mettre au poignet comme une montre. Autre petite attention de la marque pour ses prestigieux clients : un coffre à champagne intégré dans le cabriolet. Au niveau mécanique, la voiture est équipée d’un moteur V12 bi-turbo de 600 chevaux.

Rolls-Royce Drop Tail La Rose Noir interior Rolls-Royce Motor Cars a publié ses chiffres généraux cette année et ce sont les États-Unis, la Chine et l’Europe qui dominent les ventes et qui contrastent avec le reste du marché automobile qui a du mal à se remettre de la pandémie et qui souffre d’une pénurie mondiale de semi-conducteurs. Rolls-Royce avait déjà connu une année record en 2021, c’est d’ailleurs également le cas pour d’autres marques de luxe telles que Bentley ou encore Bugatti. Autre preuve de la santé insolente de l’automobile de luxe, Lamborghini a annoncé en août que toute sa production jusqu’à début 2024 était déjà pré-vendu.
Les voyageurs d’affaires sont de plus en plus nombreux à allier tourisme et déplacement professionnel. Ce phénomène place les entreprises face à un défi : encadrer ces séjours hybrides et clarifier les responsabilités de chacun. Par Eric Orsini Une réunion à Barcelone en fin de semaine, aucune obligation majeure et des prévisions météo alléchantes : pourquoi ne pas jouer les prolongations, en décalant son billet de quelques heures, voire de quelques jours ? C’est la question qui taraude un nombre croissant de voyageurs d’affaires soumis à la tentation du “bleisure”. Ce mot-valise est une contraction de “business” et de “leisure”, d’affaires et de loisirs, et illustre le mélange des genres entre vie privée et vie professionnelle. Ce phénomène a pris une telle importance ces dernières années qu’il serait presque dangereux pour une entreprise de ne pas s’y adapter. Cependant, les spécialistes des déplacements professionnels peinent encore à mettre des chiffres sur cette tendance. De la visite de musée entre deux rendez-vous au week-end entier sous le soleil exactement, les pratiques divergent. Chacun marie à sa façon l’utile à l’agréable, ce qui ne facilite pas l’approche du phénomène. Toutefois, Bridgestreet s’y essaie et selon une étude récente de ce grand nom de l’hébergement long-séjour, une très large majorité des sondés (82,3 %) disent profiter d’un déplacement professionnel pour explorer la destination, le tourisme demeurant l’activité la plus courante (77,2 %), devant la gastronomie (66,3 %), la vie nocturne n’attirant que 34,8 % des professionnels. Un art très français Forcément, la Génération Y est plus réceptive à cette nouvelle tendance. Le taux de bleisure y atteindrait 36 % selon l’étude Business and Travel Technology publiée en mars par Egencia, contre 18 % chez les 40-50 ans. Mais cette différence repose non pas sur l’aspect générationnel comme on pourrait le penser un peu trop rapidement, mais plutôt sur la pression familiale. En effet, tout porte à croire que ces mêmes “Y” seront moins disponibles pour étendre leur séjour une fois devenus parents… Plus globalement, cette même étude Egencia estime à 24 % la part de voyageurs d’affaires français chez qui le bleisure est “systématique”, évoquant même un “art français d’enrichir le voyage d’affaires”. En effet, ce taux n’atteint que 20 % en Allemagne et 10 % au Royaume- Uni. “Les Français associent le voyage d’affaires aux notions de motivation et de plaisir, tandis que les Britanniques y voient surtout du stress et de la fatigue, ce qui explique pourquoi ces derniers souhaitent rentrer chez eux au plus vite”, précise Jérôme Fouque, vice-président et directeur général d’Egencia France.

Participez à BOOT 2023 du samedi 21 au dimanche 29 janvier sur le parc des expositions de Düsseldorf. L’évènement est condidéré comme le plus grand salon international spécialement dédié à la plaisance et aux sports nautiques qui propose à ses visiteurs une vision à 360°. L’évènement est un must pour les entreprises du secteur et pour passionnés de sports nautiques.

Salon leader de la plaisance et des sports nautiques (51 éditions), le BOOT rassemble en moyenne près de 1 900 exposants (dont 115 français) répartis sur 17 halls et plus de 250 000 visiteurs (dont 40 000 professionnels) provenant de près de 120 pays. Ce salon BtoB et BtoC est une occasion unique de présenter ses produits/services des catégories suivantes : – Bateaux à moteur – Superyachts – Equipementiers et accessoires pour bateaux – Sports nautiques (plongée, voile, surf, pêche, etc) – Tourisme nautique
Profil des exposants
Toutes les activités du marché nautique sont représentées dans 17 halls d’exposition répartis comme suit :
  • Halls 1, 3, 4 : Bateaux à moteur
  • Hall 6 : Yachts de grande taille
  • Hall 7a : Super Yachts Show
  • Hall 7 : Arts maritimes
  • Hall 9 : Bateaux pneumatiques, jetski
  • Hall 10, 11 : Moteurs, équipements, accessoires
  • Halls 12 : Plongée
  • Halls 13, 14 : Tourisme nautique, stations balnéaires, péniches, pêche sportive, marinas
  • Hall 14 : Canoë/Kayak
  • Hall 15, 16 : Voile
  • Hall 17 : Sports tendance

Découvrez les zones thématique du salon BOOT 2023

Sur la dernière édition, les principaux pays visiteurs étaient : Allemagne, Pays-Bas, Belgique, Suisse, Royaume Uni, Autriche, Espagne, Danemark, Italie. Le salon propose également aux nombreux visiteurs une expérience de visite immersive comprenant des espaces de conférences, des zones de démonstration, des tests de matériels en live ou encore des bateaux en exposition. En collaboration avec les régions et principaux clusters nautiques, Team France Export organise un pavillon France afin d’accompagner les entreprises du secteur et notamment à travers un stand d’exposition, des fiches marchés, un webinar en amont du salon et l’organisation de RDV BtoB ciblés auxquels seront associés plusieurs bureaux.
Objectifs des exposants
  • Rencontrer des partenaires commerciaux
  • Trouver de nouveaux clients
  • Trouver de nouveaux fournisseurs
  • Faire le plein de nouvelles idées, d’innovations
  • Être visible sur le plus grand salon nautique international
Stand sur le pavillon France et aménagement par notre prestataire : 9m²   : 4 300 euros HT 12m² : 5 300 euros HT
15m² : 6 300 euros HT 18m² : 7 300 euros HT *Toute autre réservation de surface et d’emplacement pourra être étudiée sur demande NB : Forfait multimédia (visibilité sur le site et dans le catalogue du salon) proposé obligatoirement par l’organisateur : 470 euros HT Prestations export (comprises dans l’accompagnement Business France) :
    • Organisation d’une conférence export et d’un cocktail de networking
    • Invitations d’acheteurs/distributeurs ciblés sur le pavillon France à l’occasion de la conférence:
    Pays ciblés : Allemagne, Italie, Pays-Bas, Espagne, Portugal.
    • Présentation de votre activité dans le catalogue du Pavillon France, distribué en amont et sur le salon.

    S’inscrire

Filiale de Crédit Mutuel Alliance Fédérale, la banque d’un tiers des entreprises françaises, CIC Banque Privée parle le même langage que les dirigeants d’entreprises et comprend parfaitement leurs enjeux patrimoniaux.
Didier Simondet, Directeur de CIC Banque Privée et Blandine Clavières, Directrice de l’Ingénierie Patrimoniale nous parlent des multiples solutions et expertises d’une offre à 360° résolument tournée vers les dirigeants de PME et ETI.

Le sultanat d’Oman est une destination touristique de plus en plus prisée par les français et ce n’est pas un scoop. Ce que l’on sait moins, c’est que ce petit pays s’ouvre clairement au MICE et au tourisme d’affaire en offrant aux entreprises toutes les solutions de congrès, évènements et incentive.

Par Franck Boccara

Avec des paysages variés allant d’immenses plages à des déserts mythiques en passant par des montagnes où la faune et la flore vous surprendront, le sultanat d’Oman saura séduire les touristes les plus blasés, notamment les français dont la fréquentation est en forte hausse.

Le sultanat, qui voit dans le tourisme un moyen de diversifier une économie fortement dépendante du pétrole, a bien compris le potentiel du segment tourisme d’affaire en adoptant une stratégie d’investissement dans des infrastructures à la hauteur des ses ambitions.

Une salle de conférence du centre de convention

Parmi ces infrastructures business, Oman s’est doté d’un centre de convention à faire palir plus d’une capitale occidentale. Ouvert en 2016, ce lieu proche de l’ancien aéroport de la capitale Mascate comptait jusqu’à présent cinq halls d’exposition répartis sur 22 000 m². Mais c’était sans compter l’inauguration, en ce mois de novembre 2019, d’un superbe auditorium de 3200 places doté de 14 salles de réunions et deux ballrooms ayant une capacité d’accueil de 2360 personnes. Le centre de convention et d’exposition a déjà prévu pour 2020 l’organisation de quatre congrès allant de 1000 à 5000 participants.

Ce gigantesque projet fait partie d’un développement urbain MICE qui va s’intensifier en intégrant, dans sa stratégie, le quartier de Madinat Al-Irfan. Nouvelle porte d’entrée de la ville, ce quartier va voir fleurir très vite hôtels, bureaux et logements à l’image du JW Marriot qui ouvrira en fin d’année, venant s’ajouter au Crowne Plaza qui trône déjà aux alentours du centre de convention. C’est en tout sept hotels qui sont attendus pour atteindre une capacité d’acceuil MICE allant jusqu’à 8000 personnes.

L’aéroport international de Mascate

Du fait de sa proximité avec l’aéroport international, le centre de convention va bénéficier de l’expansion du hub de Mascate et de son nouveau terminal qui verra transiter 12 millions de voyageurs avec des solutions d’accueil dédiées au groupes avec zones et guichets spéciaux. Il existe d’ailleurs un vol direct quotidien vers Paris assuré par Oman Air qui compte bien augmenter cette fréquence compte tenu de l’intense trafic entre les deux capitales.

La plage aussi…

Cet aéroport permettra aussi aux voyageurs d’affaires de décoller vers les magnifiques sites touristiques que compte le sultanat d’Omar comme Salalah, dans le sud du pays ou encore vers les fjords de la péninsule du Musandam, autant de sites magiques qui offrent des solutions idéales pour les voyages incentive, comme des dîners dans le désert ou dans les nombreux forts parfois classés à l’Unesco. Le bureau MICE, chapeauté par le ministère, a bien l’intention de faire du sultanat d’Oman un must dans le domaine de l’incentive en s’appuyant sur les 4000 chambres d’hôtels qui ouvriront l’an prochain dans le pays pour accueillir cette manne touristique.

Les modèles les plus emblématiques des marques Rolex, Patek Philippe, Audemars Piguet et Vacheron Constantin sont devenus introuvables en magasin. La pénurie, créée par une demande extrêmement forte, s’installe durablement et les prix à la revente flambent. Faisant office de valeur refuge en période de crise, les montres de luxe sont devenues aujourd’hui un investissement à forte rentabilité.

Par Franck Boccara

Inflation, crise énergétique, menace de guerre nucléaire ou que sais-je… rien n’empêche les fabricants de montres de luxe de crouler sous les commandes, si bien qu’une douzaine de modèles emblématiques très convoités ont disparus des vitrines des magasins qui les vendaient habituellement. Surnommées les « grands fauves », il s’agit de montres très convoitées fabriquées par les marques Rolex, Patek Philippe , Audemars Piguet et, dans une moindre mesure, Vacheron Constantin.

« Nous sommes navrés, nous n’avons absolument rien en stock. Nous n’avons que des modèles d’exposition », rétorque un vendeur de la boutique Rolex d’un grand magasin parisien en ajoutant : « Impossible chez nous de vous mettre sur liste d’attente, même pour une Oyster Perpetual en acier (modèle de base de la gamme Rolex).

Rolex Cosmograph Daytona 

« Pour la Daytona, le délai se compte en années, nous ne pouvons rien vous promettre », répond-on à un autre acheteur chez un spécialiste de l’occasion près de la place Vendôme. Même réponse du côté de Genève à un client VIP par son vendeur attitré : « La Nautilus (de Patek Philippe), vous la voulez ? N’y comptez pas ». Cependant, à la faveur des « bonnes relations » de ce collectionneur, il a exceptionnellement réussi à la trouver ailleurs sous réserve d’un délai d’attente de trois mois.

« Le client qui n’est pas régulier n’a absolument aucune chance d’acquérir une Daytona chez Rolex, une Nautilus chez Patek Philippe ou une Royal Oak chez Audemars Piguet. Les maisons n’en gardent pas moins quelques modèles pour leurs meilleurs clients ; la pénurie s’organise, la frustration se gère, mais personne ne vous le dira ouvertement », lache sous couvert d’anonymat un dirigeant d’un grand groupes du secteur.

Le marché des montres de luxe d’occasion explose

La demande de montres de luxe d’occasion, en forte augmentation depuis 2018, a littéralement flambé avec la pandémie puisque 2021 a été une année record. Dans ce contexte, nombre d’acteurs veulent leur part du gateau. Ainsi, les marques de luxe, longtemps restées en dehors de ce marché, commencent à aller y chasser en proposant « des montres de seconde main certifiées ».

Patek Philippe – Nautilus Moon Phase

La cote des modèles les plus recherchés s’envolent comme par exemple la Nautilus 5711 de Patek Philippe qui, après l’annonce de l’arrêt de sa fabrication en janvier 2021, est devenue hyperspéculative. Certaines déclinaisons affichent à la revente des prix dix fois supérieurs, si ce n’est plus. Il y a des envolées à 350.000 euros, et même jusqu’à près de 700.000 euros pour certains modèles – plus de 25 fois la valeur initiale. « De telles plus-values sur les montres neuves, c’est du jamais-vu », constate un revendeur. Les plus aisés n’hésitent pas à payer le prix fort, mais beaucoup affirment être déroutés par le phénomène qui touche des modèles qui ne sont pas exclusifs et qui ne sont pas vendus en série limitée.

Le groupe Rolex, qui totalise selon Morgan Stanley 8 milliards de ventes annuelles (contre 2,3 milliards pour Cartier par exemple) affirme de son côté qu’il peine à étancher la soif des amateurs puisque l’ensemble de sa production repose sur quatre sites en Suisse. « La rareté des produits Rolex ne relève pas d’une stratégie. La production actuelle ne peut répondre à la demande mondiale existante de manière exhaustive sans diminuer la qualité des montres, ce qui n’est pas envisageable. Aucun compromis sur la qualité ne sera jamais fait », déclare-t-il aux « Echos ». Il faut un an pour fabriquer une Rolex. Et les capacités de production ne peuvent pas s’élargir à l’infini.

Mais alors on se demande pourquoi ne pas démultiplier la production d’un modèle particulièrement demandé au détriment d’autres ? Pas question de « tuer la poule aux oeufs d’or » ni de dépendre d’un seul modèle phare, explique un concurrent.

Audemars Piguet – Royal Oak 155OOST

Dans un contexte mondial incertain et avec une crise économique qui pointe, les montres de luxe atteignent des records historiques et deviennent un placement sûr et une valeur refuge…tout le paradoxe de notre époque. Le récent effondrement des cryptomonnaies n’a fait que renforcer la tendance.

Depuis la période de la crise sanitaire et ses restrictions, le télétravail s’est imposé dans la vie professionnelle des européens au point de devenir la norme pour beaucoup d’entre eux. Après un certain engouement au début, les salariés concernés se sont accoutumé à ce mode de travail et y portent aujourd’hui un jugement plus objectif sur ses avantages et inconvénients.

Par Eric Orsini

Le télétravail est-il vraiment la panacée ? A en croire une étude menée en France, en Allemagne et en Italie par Allianz-Trade, qui y a sondé plus de 3000 employés, il se dégage une forme de lassitude des employés pour ce mode de travail. Même si les personnes interrogées reconnaissent les avantages qu’il apporte, tels que la baisse des temps de trajet et la flexibilité, ils regrettent toutefois la perte de liens sociaux et l’imbrigation entre la vie professionnelle et la vie privée.

Cette lassitude n’arrêtent cependant pas la progression du télétravail. Les sondés qui affirment que leur travail «ne leur permet pas» de travailler à distance est en réduction dans les trois pays (entre 2 et 6%) et de grandes disparités existent sur ce point puisque cette impossibilité de télétravailler concerne 41% d’Allemands, 51% d’Italiens et 54% de Français.

Les limites du télétravail

Dans l’ensemble, le nombre de salariés souhaitant travailler de la maison est en stagnation, voire en réduction. En Allemagne, ils ne sont plus qu’environ 20% à se déclarer favorable au télétravail contre 25% l’année passée. En Italie, leur nombre reste autour de 15% et en France il augmente trés légèrement pour se stabiliser autour de 10%.

Les avantages du télétravail restent malgré tout fortement appréciés par les salariés mais si ceux-ci, après deux ans de pratique, ressentent de plus en plus les limites de ce mode de travail. C’est avant tout le manque d’intéraction qui est fustigé par environ 30% des répondants, suivi immédiatement par la disparition des barrières entre vie professionnelle et vie privée, l’inadaptabilité du domicile comme lieu de travail, et enfin la perte de la productivité et de la performance.

L’étude met également en relief les inégalités qui existent dans le télétravail, comme par exemple l’accès à internet ou la maîtrise des outils digitaux, qui sont susceptibles de créer des écarts d’apprentissages ou de promotions entre les collaborateurs. Cette réalité est bien connue des entreprises mais il n’est pas toujours simple pour elle de l’intégrer dans leurs nouveaux mode de management de d’adopter des mesures réellement efficaces.

Mode in France, premier événement de mode française à s’implanter à Tokyo dès 1996, est l’évènement de référence pour l’ensemble des professionnels de la mode au Japon. Ce programme France Export est reconnu pour être le rendez-vous le plus important en termes d’offre de mode. Il se tiendra cette année du 26 au 28 juillet à Tokyo et permettra de présenter les collections Printemps/été 2023. Organisé par la Fédération Française du Prêt à Porter Féminin, en collaboration avec la Fédération Française de l’Industrie de l’Habillement Masculin (PROMAS) et avec le soutien financier du DEFI, de TEAM FRANCE EXPORT, de FRANCE ECLAT et du CTC, Mode in France Tokyo présente une sélection de marques françaises de prêt-à-porter femme et homme, d’accessoires de mode et bijoux. Ce showroom présente, 2 fois par an, plus d’une soixantaine de collections françaises (mode femme, homme, enfant et accessoires) à un visitorat de plus de 1500 acheteurs et acteurs majeurs de la distribution japonaise (Baycrews, American Rag, Takashimaya, Coïncidence, Tomorrowland, United Arrows, Urban Research, Frameworks, Eastnation, Jupiter Shop Channel, Isetan Mitsukoshi, Ships…).
Homepage - Mode in France Tokyo
L’édition Mode in France du 26 au 28 juillet 2022 sera l’occasion de présenter les collections P/E 2023. Si le contexte international, nous interdisait les déplacements à cette période, l’opération serait transformée en showroom phygital, avec envoi de collections, représentation locale par des commerciaux japonais et l’organisation de rendez-vous digitaux.

Les dates

26 – 28 juillet 2022 Mardi – Jeudi, 10h – 18h Retail tour  : mardi matin 25 juillet 2022 Installation: mardi, 25 juillet 2022, 15 h – 20 h

Le lieu

Event space EBiS 303  1-20-8, Ebisu, Shibuya-ku, Tokyo Code postal : 150-0013 Tél.: + 81 (0) 3 64 47 83 03

Contact

France Ulla Hertzel / Hervé Huchet Fédération Française du Prêt à Porter Féminin uhertzel@pretaporter.com – Tél. +33 (0)1 44 94 70 57 hhuchet@pretaporter.com – Tél. + 33 (0) 6 20 44 67 85 16 rue des Blancs Manteaux, 75004 Paris www.pretaporter.com Japan Hanako Gunji Présence Co. Ltd KT House A1 Kaminoge 1-3-24 Setagaya-ku 158-0093 TOKYO, Japon info@presence-biz.com – Tél: +81 3 5760 6771

Pour être contacté

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