LIFESTYLE

Vous voyagez fréquemment vers la Suisse pour vos affaires ? TGV LYRIA met à votre disposition une solution rapide, écologique, confortable et connectée qui vous transportera de centre-ville à centre-ville tout en bénéficiant d’une offre entreprise qui saura répondre à vos exigences et à votre budget.
Fabien Soulet, Directeur Général et Cécile Morel, responsable des marchés France et Overseas nous révèlent les détails d’une offre unique sur le marché.

Acheter un bateau ! C’est un rêve d’enfant qui est aujourd’hui à la portée de nombreux dirigeants et cadres de PME et ETI. Alors pourquoi s’en priver ? Voici quelques conseils pour les amoureux de la mer qui voudraient franchir le pas.

Par Serge de Cluny

Acheter un bateau qui correspond à votre programme de navigation

On peut facilement craquer pour un bateau dans un port de plaisance ou sur un site de vente mais ce coup de coeur peut rapidement tourner au cauchemard si il n’est pas adapté au programme de navigation qui vous convient. Pour cela, il faut en priorité définir ce que vous voulez faire avec votre bateau; de la navigation côtière, de la petite croisière, de la course ou de la régate puis choisir de naviguer à la voile, au moteur ou au mixte voile-moteur.

Choisir le bassin de navigation

Après avoir opter pour le programme de navigation qui vous convient, le prochain choix concerne le bassin de navigation. Faut-il acheter un bateau transportable ou pas ? Car si celui-ci n’est pas transportable, où allez-vous l’amarrer ou le stocker ? De là dépendra finalement le type d’embarcation vers lequel vous orienter car celle-ci, à voile ou à moteur, ne sera pas la même si on navigue en Méditerranée, en Atlantique ou en Mer du Nord, à l’exception des bateaux destinées à la croisière.

Faites appel à un expert

Pour un bateau d’occasion, l’intervention d’un expert est indispensable surtout si l’acheteur est novice dans le domaine nautique. Les mauvaises surprises et les frais masqués peuvent être énormes en proportion de la valeur du bateau sans compter que les formalités administratives relatives à la vente peuvent s’avérer complexes (vérifier l’acte de francisation, s’assurer de l’absence de saisie conservatoire ou d’hypothèque…). Pour acheter un bateau neuf, il est aussi conseiller de se faire accompagner par un spécialiste pour établir ensemble un cahier des charges et définir les équipements indispensables au bateau.

Etudier les solutions de leasing

Les avantages du leasing pour le financement du bateau sont essentiellement fiscaux : la TVA est en effet fixée à 10% au lieu de 20% car l’administration estime, curieusement, qu’une embarcation en location passe une partie de son temps en dehors des eaux communautaires. De plus, pour l’imposition, le bateau étant la propriété de la société de leasing, il n’est donc pas comptabilisé dans le calcul de l’impôt…

Les couts masqués

Le prix affiché d’un bateau n’est jamais considéré comme « prêt à naviguer ». L’acheteur devra prévoir le coût relatif à l’armement de sécurité, pour un voilier il faudra rajouter celui relatif à la livraison et au mâtage car les bateaux sont livrés avec un jeu de voiles généralement suffisant mais pas complet. 

En matière de sécurité, le plaisancier devra opter pour un des 3 niveaux de packs disponibles, selon son programme et l’homologation de son bateau : moins de 2 milles des côtes, moins de 6 milles des côtes ou hauturier. Si le bateau est financé en LOA (leasing), il devra obligatoirement être armé en hauturier.

La place de port 

A moins de choisir un transportable, ce qui solutionnera une bonne partie de cette problématique, il faut savoir que la place de port reste un défi majeur sur lequel les acquéreurs de bateaux devront se pencher en amont de l’achat, notamment avec l’expert qui les accompagne lors de l’acquisition. Il est possible de s’enregistrer dans plusieurs ports pour bénéficier de la première place libre, d’opter pour des marinas étrangères (Espagne, Tunisie…) ou encore de choisir l’amarrage à un corps mort.

Le permis

Même s’il n’est pas obligatoire lorsqu’on possède un voilier non équipé de VHF (équipement qui permet de communiquer avec les navires, les ports et les stations côtières), le permis est fortement recommandé pour bien maîtriser sa navigation. Pour les voiliers dotés d’un VHF, le skipper devra être titulaire soit du permis plaisance option côtière (pour les eaux françaises), soit du CRR (certificat restreint de radiotéléphoniste) l’autorisant à naviguer à l’étranger. Pour tout bateau à moteur dont la puissance est supérieure à 6cv, le permis est obligatoire.

Bien budgétiser

Il faut savoir qu’un bateau coûte, en entretien par an, environ 10% de son prix d’achat. Il faudra également prendre en compte les frais d’assurance, par des contrats « aux tiers » qui prennent en charge les dégâts causés par votre bateau aux autres embarcations ou des contrats « multirisques » qui couvrent les dommages, les vols et même parfois le rapatriement et les frais médicaux. De plus, il faut faire assurer le gréement de son voilier, ce qui n’est pas toujours clairement précisé.

L’Hôtel Belles Rives reste un des symboles les plus mythiques de la Côte d’Azur. Il regroupe en son sein tout le glamour des années folles avec ses murs art déco, ses fresques cubistes et ses céramiques chatoyantes. Idéalement situé sur une crique au bord de l’eau faisant face aux îles de Lérins et de l’Estérel, le célèbre cinq étoiles fait rayonner la Côte d’Azur dans tout ce qu’elle a de plus lifestyle : ciel bleu, mer iconique, gastronomie et soirées folles. 

Tout commence en 1925 avec le mythique couple Fitzgerald. L’écrivain américain et son épouse passent leurs vacances chez des amis près d’Antibes. Enchantés par la région, c’est en cherchant une maison à louer qu’ils tombent sous le charme d’une belle demeure en bord de mer à Juan-les-pins nommée Saint-Louis. Celle-ci reçoit des hôtes célèbres à l’abri des regards comme Rudolf Valentino et Ernest Hemingway mais l’endroit devient très vite « tendance », toute la jet-set de l’époque s’y retrouve. Quelques années plus tard, la maison sera baptisée « Hôtel Belles Rives ».

Un lobby au charme d’antan

C’est dans la Villa Saint-Louis que Fitzgerald va créer son chef d’œuvre « Tendre est la nuit », suivi ensuite par le fameux « Gatsby le magnifique ». C’est en 1929 que ce haut-lieu de la génération perdue deviendra l’Hôtel Belles Rives avec l’arrivée de nouveaux propriétaires. Boma Estène, d’origine Russe, et son épouse Simone, héritière d’une lignée d’hôteliers antiboise, réussiront le pari de transformer la demaure en un écrin hôtelier, mais surtout ils arriveront à marquer de leur empreinte cette adresse.

Cette empreinte va traverser le temps jusqu’en 2001, l’année où Marianne Estène-Chauvin, la petite-fille de Boma et Simone, entreprend de racheter l’hôtel aux membres de sa famille. L’objectif sera d’ancrer Belles Rives dans la modernité.

La suite Zelda, la bien nommée

Chacunes différentes, les 42 chambres possèdent pour certaines un balcon et ont été décorées dans art déco le plus pur style : lignes droites 1930, façon Ruhlmann et fantaisies des années 50 style Madeleine Castaing. Aménagées de fauteuils en bois de loupe et de « bridge », ils sont mis en valeur par des velours façonnés de chintz et d’indiennes signés Pierre Frey.

Les couloirs menant aux chambres ont des airs de bastingage. Lambris acajou et tapisseries reflètent le style « bateau » dans des tons de bleu et de blanc. La moquette bleue a été conçue en exclusivité pour le palace par la manufacture Jules Flippo. Elle est ornée de motifs marins inspirés du paquebot « Normandie » et d’une note de musique.

En toute harmonie avec les chambres, les salles de bains à l’atmosphère chaude et raffinée font la part belle au marbre. Marbre de Carrare « Cuisse de nymphe émue » ou marbre de couleur vert fougère, pourpre ou jaune d’or. Une belle prouesse.

Chaque chambre de l’hôtel Belle Rive a son style propre

A quelques encablures de l’établissement, Marianne Estène-Chauvin a également exporté son savoir-faire dans l’Hôtel Juana, petit frère du mythique Belles Rives.

Le Chef étoilé Aurélien Véquaud dirige les cuisines de l’hôtel Belle Rive

Il n’est pas tout à fait l’heure de lever l’ancre puisqu’il vous reste la découverte de la carte sucrée du chef Steve Moracchini. Consacré « Chef Pâtissier de l’année 2016 » au palmarès Gault & Millau, le maestro vous posera bien des dilemmes culinaires entre son farci de crème glacée à la fleur de cerisier aux effluves d’arabica et amaretto, son dessert aux fraises fraîches et jus au thé, ou encore son soufflé au citron de la Méditerranée rafraîchi d’un sorbet kalamansi.

Ensuite dirigez-vous tranquillement vers le piano bar Fitzgerald pour un drink d’anthologie. Bar mythique, le Fitzgerald fait partie du cercle fermé des « Cafés historiques et patrimoniaux d’Europe ». Convivial, chaleureux, raffiné, il est animé par un pianiste tous les soirs en saison et chaque samedi et dimanche pour des « tea-time » en musique.

Des hôtes préfèrent déguster un cocktail dans les fauteuils Club originaux de ce bar très « cosy » ou sur sa terrasse romantique face aux îles de Lérins. On oubliera pas de s’arrêter par le salon signé pur 1930 et décoré de tableaux d’époque ou par le fumoir, un espace confidentiel réservé aux amateurs de bons cigares.

Le mythique bar Fitzgerald

Pas question d’avoir grise mine le matin venu : cap sur le Beauty Corner qui se trouve à mi-chemin entre l’hôtel et la plage. Ici, la Maison Valmont vous accueille dans son refuge le temps d’une prescription bien-être et beauté. Au programme : soin réparateur solaire, rituel purification, massage entre ciel et terre, et pour toucher la quintessence, le soin d’exception l’Elixir des glaciers. Le bonheur à l’état pur !

La plage privée du Belles Rives est très prisée. Elle se veut un complexe balnéaire à part entière. Equipée d’un embarcadère aménagé pour les activités nautiques et l’accostage des bateaux. Les fans de la série télévisée « Amicalement Vôtre » reconnaîtront le ponton immortalisé dans le générique. Les restaurants « Plage Belles Rives » et « Les Cabines » offrent une restauration à la carte à la belle saison. Ne sommes-nous pas dans ce que l’on appelle aujourd’hui un « resort » inventé bien avant l’heure ? lance la maîtresse des lieux.

Berceau du ski nautique

En maîtres de maison attentionnés et passionnés, Marianne Estène-Chauvin et son fils Antoine nous accueillent dans leur demeure de légende avec l’envie de partager l’intemporalité qui imprègne les murs. Le Prix Fitzgerald décerné chaque année à une œuvre littéraire reflétant « l’élégance, l’esprit, le goût du style et l’art de vivre » de l’écrivain américain illustre la magie intacte laissée par l’auteur de Gatsby, le magnifique. Douce est la vie !

Carnet de route :

Hôtel belles rives
33, boulevard Edouard Baudoin
06160 Juan-les-Pins – Cap d’Antibes

Téléphone : +33 4 93 61 02 79

e-Mail :info@bellesrives.com

L’Hôtel Belles Rives reste un des symboles les plus mythiques de la Côte d’Azur. Il regroupe en son sein tout le glamour des années folles avec ses murs art déco, ses fresques cubistes et ses céramiques chatoyantes. Idéalement situé sur une crique au bord de l’eau faisant face aux îles de Lérins et de l’Estérel, le célèbre cinq étoiles fait rayonner la Côte d’Azur dans tout ce qu’elle a de plus lifestyle : ciel bleu, mer iconique, gastronomie et soirées folles. 

Tout commence en 1925 avec le mythique couple Fitzgerald. L’écrivain américain et son épouse passent leurs vacances chez des amis près d’Antibes. Enchantés par la région, c’est en cherchant une maison à louer qu’ils tombent sous le charme d’une belle demeure en bord de mer à Juan-les-pins nommée Saint-Louis. Celle-ci reçoit des hôtes célèbres à l’abri des regards comme Rudolf Valentino et Ernest Hemingway mais l’endroit devient très vite « tendance », toute la jet-set de l’époque s’y retrouve. Quelques années plus tard, la maison sera baptisée « Hôtel Belles Rives ».

Un lobby au charme d’antan

C’est dans la Villa Saint-Louis que Fitzgerald va créer son chef d’œuvre « Tendre est la nuit », suivi ensuite par le fameux « Gatsby le magnifique ». C’est en 1929 que ce haut-lieu de la génération perdue deviendra l’Hôtel Belles Rives avec l’arrivée de nouveaux propriétaires. Boma Estène, d’origine Russe, et son épouse Simone, héritière d’une lignée d’hôteliers antiboise, réussiront le pari de transformer la demaure en un écrin hôtelier, mais surtout ils arriveront à marquer de leur empreinte cette adresse.

Cette empreinte va traverser le temps jusqu’en 2001, l’année où Marianne Estène-Chauvin, la petite-fille de Boma et Simone, entreprend de racheter l’hôtel aux membres de sa famille. L’objectif sera d’ancrer Belles Rives dans la modernité.

La suite Zelda, la bien nommée

Chacunes différentes, les 42 chambres possèdent pour certaines un balcon et ont été décorées dans art déco le plus pur style : lignes droites 1930, façon Ruhlmann et fantaisies des années 50 style Madeleine Castaing. Aménagées de fauteuils en bois de loupe et de « bridge », ils sont mis en valeur par des velours façonnés de chintz et d’indiennes signés Pierre Frey.

Les couloirs menant aux chambres ont des airs de bastingage. Lambris acajou et tapisseries reflètent le style « bateau » dans des tons de bleu et de blanc. La moquette bleue a été conçue en exclusivité pour le palace par la manufacture Jules Flippo. Elle est ornée de motifs marins inspirés du paquebot « Normandie » et d’une note de musique.

En toute harmonie avec les chambres, les salles de bains à l’atmosphère chaude et raffinée font la part belle au marbre. Marbre de Carrare « Cuisse de nymphe émue » ou marbre de couleur vert fougère, pourpre ou jaune d’or. Une belle prouesse.

Chaque chambre de l’hôtel Belle Rive a son style propre

A quelques encablures de l’établissement, Marianne Estène-Chauvin a également exporté son savoir-faire dans l’Hôtel Juana, petit frère du mythique Belles Rives.

Le Chef étoilé Aurélien Véquaud dirige les cuisines de l’hôtel Belle Rive

Il n’est pas tout à fait l’heure de lever l’ancre puisqu’il vous reste la découverte de la carte sucrée du chef Steve Moracchini. Consacré « Chef Pâtissier de l’année 2016 » au palmarès Gault & Millau, le maestro vous posera bien des dilemmes culinaires entre son farci de crème glacée à la fleur de cerisier aux effluves d’arabica et amaretto, son dessert aux fraises fraîches et jus au thé, ou encore son soufflé au citron de la Méditerranée rafraîchi d’un sorbet kalamansi.

Ensuite dirigez-vous tranquillement vers le piano bar Fitzgerald pour un drink d’anthologie. Bar mythique, le Fitzgerald fait partie du cercle fermé des « Cafés historiques et patrimoniaux d’Europe ». Convivial, chaleureux, raffiné, il est animé par un pianiste tous les soirs en saison et chaque samedi et dimanche pour des « tea-time » en musique.

Des hôtes préfèrent déguster un cocktail dans les fauteuils Club originaux de ce bar très « cosy » ou sur sa terrasse romantique face aux îles de Lérins. On oubliera pas de s’arrêter par le salon signé pur 1930 et décoré de tableaux d’époque ou par le fumoir, un espace confidentiel réservé aux amateurs de bons cigares.

Le mythique bar Fitzgerald

Pas question d’avoir grise mine le matin venu : cap sur le Beauty Corner qui se trouve à mi-chemin entre l’hôtel et la plage. Ici, la Maison Valmont vous accueille dans son refuge le temps d’une prescription bien-être et beauté. Au programme : soin réparateur solaire, rituel purification, massage entre ciel et terre, et pour toucher la quintessence, le soin d’exception l’Elixir des glaciers. Le bonheur à l’état pur !

La plage privée du Belles Rives est très prisée. Elle se veut un complexe balnéaire à part entière. Equipée d’un embarcadère aménagé pour les activités nautiques et l’accostage des bateaux. Les fans de la série télévisée « Amicalement Vôtre » reconnaîtront le ponton immortalisé dans le générique. Les restaurants « Plage Belles Rives » et « Les Cabines » offrent une restauration à la carte à la belle saison. Ne sommes-nous pas dans ce que l’on appelle aujourd’hui un « resort » inventé bien avant l’heure ? lance la maîtresse des lieux.

Berceau du ski nautique

En maîtres de maison attentionnés et passionnés, Marianne Estène-Chauvin et son fils Antoine nous accueillent dans leur demeure de légende avec l’envie de partager l’intemporalité qui imprègne les murs. Le Prix Fitzgerald décerné chaque année à une œuvre littéraire reflétant « l’élégance, l’esprit, le goût du style et l’art de vivre » de l’écrivain américain illustre la magie intacte laissée par l’auteur de Gatsby, le magnifique. Douce est la vie !

Carnet de route :

Hôtel belles rives
33, boulevard Edouard Baudoin
06160 Juan-les-Pins – Cap d’Antibes

Téléphone : +33 4 93 61 02 79

e-Mail :info@bellesrives.com

Le domaine du Château des pères, à Piré-sur-Seiche (Ille et Vilaine), va accueillir un hôtel de luxe à l’architecture hors normes et décalée pour une clientèle d’affaires mais aussi et surtout touristique.

Par Serge de Cluny

L’édifice émerge de la végétation et semble toucher le ciel, à l’image d’un arbre géant dont les branches sont remplacées par des chambres aux formes de capsules futuristes. Ce ne sont pour l’instant que des images de synthèse mais cet ouvrage architectural hors-norme devrait devenir réalité d’ici un an et demi.

Prévu pour septembre 2020, cet hôtel avant-gardiste sera situé sur le domaine du Château des pères à Piré-sur-Seiche, à 30 kilomètres au sud-est de Rennes. Ce site verdoyant de 31 hectares compte aujourd’hui un château de 7000 m², un restaurant gastronomique, un espace consacré aux évènements, un parc de sculptures comprenant plus de 70 pièces et même un potager.

Julien Legendre, le gérant du domaine et fils de l’entrepreneur rennais Jean-Paul Legendre qui est le propriétaire des lieux, nous explique que ce projet devrait combler « un besoin d’hébergement auquel nous ne pouvions pas répondre » en précisant que « les chambres proposées actuellement ne suffisaient plus pour accueillir les demandes croissantes en mariage et séminaires résidentiels« .

Le Château des Pères a déjà su séduire une clientèle corporate en offrant des solutions évènementielles et incentives de haut niveau et souhaite aujourd’hui attirer une clientèle plus touristique grâce à la forme atypique de l’hôtel. « On veut attirer du monde uniquement par ce biais« , souligne Karine Fisher, chef de projet marketing en ajoutant : « En général, les gens ne viennent pas par hasard à Piré-sur-Seiche donc on vise une clientèle un peu plus éloignée, notamment pour des courts séjours« .

Ce concept architectural, basé sur la structure d’un arbre, est une première en France. En effet, le « tronc » central est entouré d’un ascenseur et d’un escalier qui donneront accès aux 42 chambres perchées dont la forme de capsule offre une superficie est de 26 m². Pouvant s’élever jusqu’à une hauteur de 28 mètres et n’ayant aucun vis-à-vis, chacune de ces chambres sera équipée d’une baie vitrée de 2,50 m² offrant une vue imprenable sur la campagne environnante. Au rez-de-chaussée, sont programmés l’espace spa et bien-être comprenant piscine, balnéothérapie, sauna et hammam.

Les prix ? On ne les connait pas encore mais le Château des Pères annonce d’ores et déjà que cet ouvrage hors normes aura « le niveau et les exigences d’un hôtel 4 étoiles« . Les réservations seront ouvertes au début 2020.


Nantes mise sur son attractivité internationale en investissant sur de nouvelles zones dédiées aux entreprises. Des quartiers d’affaires offrant un écosystème de start-up particulièrement dynamique se multiplient, à l’image d’Euronantes.

L’an dernier, l’aéroport de Nantes Atlantique a enregistré la plus forte progression au niveau national du trafic passagers (+14,9%). D’ailleurs, depuis l’abandon du projet Notre-Dame des Landes, les compagnies aériennes de toute l’Europe se battent pour un bout de tarmac, un petit slot, sur la plate-forme nantaise. Cette nouvelle dimension internationale s’inscrit dans une dynamique de profonde transformation. Car, malgré le calme et la douceur de vivre qui règnent en ville, Nantes mène de front plusieurs projets urbains de grande ampleur.

Au Sud, l’Île de Nantes rayonne mondialement pour ses Machines, bestiaire mécanico-féérique qui attire la grande foule des touristes. Dans un tout autre registre, c’est là aussi que le nouveau palais de justice, dessiné par Jean Nouvel, a pris ses quartiers au début des années 2000. Plus récemment, l’île a vu le développement du Quartier de la création, Nantes imaginant la ville de demain à travers le programme “île de Nantes – expérimentations”.

Au Nord, c’est le projet “YelloPark” qui prévoit, outre la construction d’un nouveau stade, le développement d’un pôle urbain intégrant une composante business. Enfin, “last but not least”, le nouveau quartier d’affaires Euronantes prend forme derrière la gare. Il ne reste plus désormais qu’à insuffler une âme, une vie de quartier entre ces immeubles de bureaux encore trop studieux. Les professionnels qui y convergent commencent d’ailleurs à s’approprier la zone…

Autant dire que le secteur du BTP est en plein boom ! Mais il n’est pas le seul. À Nantes, on construit certes, mais on cogite aussi. Au fil des années, la ville s’est imposée comme pôle de tout premier plan pour l’innovation, une véritable destination start-up. La qualité de vie attire les investisseurs étrangers et, surtout, des talents du cru émergent chaque jour, perpétuant en quelque sorte la tradition créative, innovante, incarnée par un certain Jules Verne, né dans la Cité des ducs voilà 190 ans.

EURONANTES

Crée par Nantes Métropole pour répondre au défi de la concurrence entre les grandes métropoles européennes, le programme Euronantes s’inscrit dans la dynamique de développement urbain impulsée par les opérations sur le Nouveau Malakoff dans le secteur Gare et sur l’île de Nantes.

Ce pôle tertiaire international situé au cœur du territoire du Grand Ouest a pour objectifs de développer le marché immobilier nantais, de favoriser l’implantation des entreprises locales, nationales et internationales, de créer des emplois, et de renforcer l’attractivité de Nantes auprès des acteurs économiques.

Euronantes :
1er quartier d’affaires de la façade Atlantique

S’Y RENDRE

À l’instar de Bordeaux, mais avec quelques années d’avance, la métropole nantaise a profité de l’effet LGV : deux heures de train suffisent pour rallier la gare de Paris Montparnasse. Quant aux dessertes aériennes, elles n’ont jamais offert autant de possibilités aux voyageurs d’affaires. En témoignent le lancement en octobre d’un vol Nantes-Lyon, première liaison domestique proposée par Aigle Azur, ou encore l’installation d’une base d’easyJet au printemps prochain. Au total, Nantes Atlantique est relié à une vingtaine d’aéroports français et près de 70 plates-formes en Europe. Comme la dynamique actuelle donne des ailes aux responsables nantais, on évoque même, depuis peu, une ligne directe vers New York. D’autant que, depuis octobre, l’aéroport est classé dans la catégorie A, c’est à dire regroupant ceux “destinés aux services à grande distance assurés normalement en toutes circonstances”.

Symbole de statut social, signe extérieur de richesse ou tout simplement péché mignon, la montre fait partie intégrante de l’image des dirigeants et cadres. Véritables merveilles d’innovation, voici quatre montres qui repoussent toutes les limites et explosent tous les budgets.

Par Nicolas Salomon

Hublot Big Bang Unico Golf : green de champion

Voilà une complication qui va plaire aux joueurs de golf. Une nouveauté, avec une application concrète, très horlogère, et inédite. Le principe : la montre enregistre mécaniquement votre score durant la partie. Pour ceux qui n’ont jamais mis les pieds sur un parcours, voici le principe du jeu. Une distance (plus ou moins longue) sépare le départ du drapeau. Pour mettre la balle dans le trou au pied de ce drapeau, selon la difficulté, on dispose en principe de trois, quatre ou cinq coups. Cette règle s’applique aux champions. Les amateurs eux, ont vite fait, hélas, de doubler ce nombre de coups. ­Sachant qu’il y a dix-huit trous, et que sur certains, on peut vraiment mal finir, il n’est pas rared’enregistrer près d’une centaine de coups sur une partie. Or il ne faut surtout pas se tromper dans ce comptage, si long soit-il, car c’est précisément ce qui fait l’essence du jeu. Jusqu’ici, et depuis un siècle, les joueurs notaient les scores sur une petite carte, avec un crayon de papier. Désormais, ils vont pouvoir le faire avec leur montre mécanique. En voici l’articulation :

– Le poussoir à deux heures, de couleur jaune, correspond au nombre de coups par trou. À chaque fois que vous frappez la balle, vous appuyez sur le poussoir, et le guichet à trois heures vous l’affiche.

– Le poussoir à quatre heures possède deux fonctions : il fait le total des coups précédents (affiché à six heures), et en même temps, passe au trou suivant.

– Enfin, le poussoir à huit heures remet tout à zéro… une fois que la partie est terminée bien sûr. Il est verrouillé par une sécurité pour éviter toute fausse manœuvre durant la partie.

Traditionnellement, on déconseille formellement aux joueurs de porter une montre mécanique lorsqu’ils jouent au golf, considérant que chaque impact risque de toucher les organes réglants. Mais aujourd’hui, les calibres sont bien plus à même d’encaisser les chocs qu’autrefois. La Hublot que nous vous présentons, dont le pro Dustin Johnson est l’ambassadeur, le prouve aisément.

Diamètre : 45 mm. Prix : 31.000 €.

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Richard Mille 53-01 : inclassable !

Pour mettre en lumière ses mouvements, la manufacture a eu l’idée culottée de les faire tenir en suspension, grâce à l’adoption d’un système de câbles et de poulies. Une sensation de lévitation inédite et une prouesse technique de plus pour l’inclassable horloger. À cela s’ajoute un tout nouveau verre de montre, breveté, qui à la manière d’un pare-brise automobile, est constitué de plusieurs couches. S’agissant de la montre du joueur de polo professionnel Pablo Mac Donough, ce niveau de protection est tout indiqué. Et comme toujours, la tarification est à la hauteur du défi : 941.500 euros. Wow !

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Piaget Altiplano Concept : ce monde-là est ultra-plat

Née il y a 60 ans, l’Altiplano est l’icône des montres ultra-fines. Ce segment ayant rencontré un certain succès ces derniers temps, nombre de manufactures se sont penchées sur le sujet. À tel point qu’elle en fut même challengée l’année passée. Piqués au vif, les ingénieurs de Piaget ont décidé de concevoir la montre mécanique concept la plus fine jamais imaginée. Pour cela, ils sont repartis de leurs travaux précédents qui avaient abouti en 2014 à la présentation de la 900p qui était alors la montre mécanique la plus fine du monde, et ils ont amélioré l’ensemble jusqu’aux limites du possible.

Pour schématiser, une montre traditionnelle est composée de quatre couches : Une boîte, qui soutient une platine sur laquelle repose le mouvement, des aiguilles et une glace. L’idée fut donc de fusionner ces couches pour, si possible, les mettre toutes sensiblement à la même hauteur. Ainsi, boîte et platine ne font-elles qu’une. Un peu comme si on sculptait dans les ailes d’une automobile une partie de son moteur pour en ­réduire la largeur.

Les aiguilles affleurantes avec la glace cohabitent avec des organes réglants, qui faute d’espace, se sont retrouvés en surface. De cette construction est née une esthétique nouvelle, mêlant technique et élégance qui se retrouvera sans doute un jour dans la gamme. À ce jour, la montre reste un prototype non ­commercialisé.

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Cartier Santos : le maillon sort

Des systèmes de bracelets interchangeables, il en existe des dizaines. Des systèmes de boucles réglables idem. Mais tout le monde achoppait sur le même écueil : arrivé à un certain stade, pour ajuster au mieux un bracelet métal, il faut pourvoir enlever ou ajouter un maillon. Or, sauf à être équipé comme un horloger et doté de l’agilité concordante, vous finissiez toujours par devoir aller dans une boutique. Désormais, grâce à cette prodigieuse invention, vous pouvez sans le moindre outil ôter ou ajouter un maillon au bracelet. Le principe est assez simple : il suffit de déverrouiller les vis qui tiennent les maillons en pressant un poussoir logé au cœur même du maillon. Avec le coup de main, l’affaire est pliée en trente secondes.

Prix : 6750 €

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Le CES de Las Vegas (Consumer Electronic Show) est le plus grand salon au monde dans le domaine de l’innovation technologique et de l’électronique. Il rassemblera cette année environ 4 000 exposants du monde entier. La CPME vous propose de vous y rendre afin de vous familiariser avec les évolutions qui feront très rapidement le quotidien de nos PME et ETI Le Consumer Electronic Show (CES)  est un évènement incontournable pour toutes les PME et ETI françaises qui souhaitent lancer leurs produits et pénétrer le marché américain. Le moment et l’endroit sont propices pour rencontrer des distributeurs et investisseurs venus du monde entier, et bien sûr se pour se faire repérer par les médias internationaux…
Le CES se déroule sur 3 sites géographiques différents dans Las Vegas :
  • Le Las Vegas Convention Center (LVCC) qui est situé au nord-est du Strip (Las Vegas Boulevard) comprend trois halls : le South Hall (divisé en deux), le Central Hall et le North Hall. C’est le cœur historique du CES, où seront présents essentiellement les géants de l’électronique : photo, vidéo, télévision, processeurs informatiques, ainsi que les produits domotiques et les voitures connectées.
 
  • Le Sands Expo & Convention Center qui est en plein cœur du Strip : c’est le rendez-vous des start-ups et le vrai centre névralgique de l’innovation : c’est là que s’invente le monde futur, avec les applications liées à l’intelligence artificielle, la robotique, les objets connectés, le sport, le bien-être, la santé…
 
La première opération qui a eu lieu en janvier 2018 fut un succès avec une délégation française regroupant 80 chefs d’entreprises et décideurs économiques qui s’était rendue au CES de Las Vegas , la CPME organise la saison 2 qui s’annonce exceptionnelle et vous convie à vous y associer. Dirigeants de PME, la CPME nationale et la CPME 31 vous proposent une formule sur mesure avec un nombre de places limité à 100, alors pourquoi pas se laisser tenter et joindre l’utile à l’agréable ? Contacts et informations : Nicolas Poux – nicolas.poux@cpme31.fr Béatrice Brisson – bbrisson@cpme.fr S’inscrire  Programme du déplacement 7 – 11 janvier 2019 
Montréal a fété ses 375 ans ! Et elle garde toute sa jeunesse avec une énergie débordante et un dynamisme que l’on ressent partout ; dans son quartier d’affaire où fleurissent les start-ups, dans la mentalité décomplexée de ses habitants et bien sur dans son économie ouverte qui font d’elle une belle porte d’entrée sur le marché américain pour nos PME et ETI… bref une destination affaires incontournable ! Par Franck  Boccara Elégante par nature, énergique par tempérament, cosmopolite par choix, Montréal se situe sur une île. Cette ville séculaire a rassemblé tous les contraires : ici se côtoient dans l’harmonie le charme du Vieux Continent et l’innovation haute technologie, ainsi que le français et l’anglais. La grande variété de solutions d’hébergement et de sites intéressants ainsi que le moderne Palais des congrès qui se trouve au cœur de ce carrefour culturel séduiront sans peine les voyageurs d’affaires et les organisateurs d’évènements. La joie de vivre et la fraicheur qui se dégage de la ville sont contagieux, la cuisine est délicieuse, la vie artistique et les spectacles avant-gardistes donnent à la ville une atmosphère festive toute l’année : rien d’étonnant à ce que Montréal soit en tête de toutes les listes des destinations favorites pour les congrès et les voyages incentive. Bien connue pour ses nombreux festivals, Montréal et ses habitants ont saisi l’opportunité pour rebondir sur une nouvelle dynamique. Le quartier d’affaires, coincé entre le Mont Royal et le fleuve, a vu naitre une multitude de nouveaux hôtels et de tables branchées. En allant plus au nord, on rencontre le pont Jacques-Cartier qui s’est offert le titre de premier “pont connecté” au monde en s’illuminant de façon interactive chaque soir pour refléter en temps réel “l’état d’esprit” de  Montréal. Et l’état d’esprit est au beau fixe car Montréal est une ville rayonnante en pleine effervescence où les idées bouillonnent. Les voyageurs d’affaires y viennent du monde entier, à la recherche de la matière première locale : la matière grise. En effet, la ville est connue pour ses nombreuses universités et écoles qui accueillent d’ailleurs beaucoup d’étudiants de France et multiplient les partenariats entreprises, telles McGill, HEC Montréal, l’école Polytechnique de Montréal ou encore les différents Cegep. Derrière chaque projet, il y a toujours un « petit quelque chose » d’originalité qui fait la “Montréal touch”, à l’image du Cirque du Soleil qui a réussi le pari de réinventer une tradition millénaire. Le quartier d’affaires abrite derrière ses buildings studieux une culture business Inventive et décalée, Montréal est devenu une référence mondiale en matiere de la créativité. Par exemple, Ubisoft prenait ses quartiers dans le Mile End, accolé au quartier d’affaires Il y a vingt ans. Aujourd’hui, il est tout simplement le grand développeur de jeux vidéo au monde. Pour l’événementiel, le studio de divertissement multimédia Moment Factory se démarque très nettement en comptant parmi ses clients Madonna, l’aéroport de Los Angeles ou la Sagrada Família. Les exemples sont là pour servir d’exemple aux jeunes pousses qui fleurissent dans le Mile End, ou dans le bien-nommé “Quartier de l’Innovation” (QI) installé à Griffintown. Aujourd’hui, Montréal a des airs de ville start-up…. avec 375 ans d’expérience. Adresses utiles Chambre de Commerce et d’Industrie Française au Canada 1455, rue Drummond, bureau 2B Montréal, Québec, H3G 1W3 (métro Peel) Tél : (001) 514 281-1246 / Fax : (001) 514 289-9594 info@ccifcmtl.ca www.ccifcmtl.ca Consulat Général de France à Montréal
bureau 1000
10ème étage
1501 Mc Gill Collège
Montréal (Qc) H3A 3M8 Tel : 514.878.4385 https://montreal.consulfrance.org/
6 / 71234567
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