LIFESTYLE

Le palais des festivals et des congrès de Cannes a obtenu sa labellisation en matière de sécurité sanitaire suite à un audit « Covid 19 Business Ready » réalisé par le groupe Socotec, un acteurs majeurs de l’inspection et de la certification.

Par Franck Boccara

Dans un contexte de préparation à un retour à la normale dans le domaine de l’évènementiel, le palais des festivals et des congrès de Cannes s’organise en recevant sa labellisation sanitaire de la part du groupe Socotec, partenaire de Châteauform’ et B&B Hotels dans le cadre de la mise en place des nouveaux protocoles de sécurité sanitaire.

« L’audit de sécurité sanitaire illustre notre volonté de rassurer nos publics en plaçant la santé au cœur de nos préoccupations, a déclaré Jean-Michel Arnaud le président du Palais des festivals et des congrès de Cannes.
Cette démarche est essentielle pour rassurer nos publics et restaurer la confiance ». Cette évaluation, qui est basée sur des référentiels comprenant une centaine de points de contrôle, se veut l’expression d’une volonté émanant du palais des festivals et des congrès de Cannes de prendre en compte les attentes du public et de mettre en place de mesures visant à limiter les risques de contamination et de propagation du virus.

Ces mesures prennent en compte l’ensemble des facteurs de prévention, notamment la gestion des prestataires et fournisseurs avec une démarche de sensibilisation des intervenants aux gestes barrières, la protection des salariés et des visiteurs grâce à la distribution de gel hydro alcooliques à tous les points de contact sensibles ainsi que l’élaboration et la mise en place de jauges et de plans de circulation adaptés.

Finalement, le palais a pu obtenir une labellisation complète qui s’étend à tous ses espaces : les zones bureaux et organisations, l’office de tourisme, les boutiques, les quais de livraison, les terrasses et l’ensemble des espaces d’expositions, de réceptions et de conférences.
David Lisnard, le maire de Cannes a tenu pour l’occasion à réaffirmer l’importance du palais pour l’attractivité la ville en déclarant qu’il « salue le travail du Palais des festivals et des congrès qui met tout en œuvre pour assurer la sécurité sanitaire des clients et de son personnel afin de permettre la reprise de l’activité économique, essentielle à la survie de notre destination. Ce travail est soutenu par l’engagement collectif des socioprofessionnels – hôtels, restaurateurs, plagistes, taxis, commerçants – et par la Mairie de Cannes pour appliquer des mesures efficaces, adaptées à la réalité du terrain et aux enjeux locaux ».


HONDA France, filiale du premier motoriste mondial et pionnière de la mobilité propre dans l’hexagone, a su comprendre et répondre aux enjeux environnementaux liés à la gestion de flotte des entreprises grâce à des technologies hybrides et 100% électriques.
Pierre Guignot, Directeur de la Division Automobile, nous présente la nouvelle gamme HONDA et l’offre entreprise d’une marque qui s’inscrit clairement dans l’avenir.

La soirée des présidents revient le 22 septembre 2020 avec un évènement au fil de l’eau qui permettra de conjuguer une soirée très conviviale autour d’un cocktail dînatoire raffiné avec des rencontres et des échanges entre participants présents dans un cadre « business ». Le thème de la soirée : Marketing digital et réseaux sociaux – LinkedIn aujourd’hui !

La soirée des présidents est un évènement bleisure par excellence crée par Catherine Marascia qui a su y insuffler une chaleur et un enthousiasme communicatif à l’image de sa personnalité. On peut y vivre de véritable moments de réflexion au travers de conférences d’experts dans une ambiance festive, simple et bienveillante entre les invités. Que l’on soit nouveau ou habitué, quelque soit les divers horizons d’où l’on vienne, Catherine sait recevoir avec la même attention chaleureuse et prévenante.

Tenant compte de l’actualité et des préoccupations des entrepreneurs, la Soirée des Présidents et des Dirigeants d’entreprises aborde tous les mois des thématiques différentes présentées par des experts dans un univers atypique.
Permettre aux décideurs de s’informer, de dialoguer avec des experts puis de profiter du lieu en se restaurant et en y développant des contacts.

L’évènement au fil de l’eau du 22 septembre 2020 se tiendra à bord du Tivano, un lieu magique et unique au coeur de Paris.

Au programme

Accueil :

– 18h45/20h : Coupe d’accueil  
– Dégustation de cocktails avec et sans alcool proposés par Can Elie et agrémentés d’un sirop de canne à sucre sélectionné avec rigueur.
– Dégustation de Champagne haut de gamme Alain Edouard

– 20h/21h : Conférence
Animée par le professeur Pascal Faucon. Directeur du CFP Talent Spécialiste en Marketing Digital et expert LinkedIn.
– 10 millions d’utilisateurs français
Un espace d’influence incontournable pour les dirigeants et les managers
– Comment accélérer sa croissance?
– Comment construire une usine digitale ?
Quels sont les processus clés pour transformer le virtuel en réel.

 – 21h/23h : Départ du Tivano .
Cocktail dînatoire, vin, Champagne, boisson non alcoolisées.

INSCRIVEZ-VOUS !

La reprise des vols nationaux est estimée en juin et celle des vols continentaux en juillet selon Alexandre de Juniac, directeur général de l’IATA (Association internationale du transport aérien). Ces reprises timides seront conditionnées à la présentation d’un processus sanitaire à la fin du mois de mai.

Par Lætitia Conti

« Normalement, si nous sommes suivis par les gouvernements avec lesquels nous discutons, on devrait pouvoir voyager en France à partir de juin, puis en Europe en juillet-août, avec un trafic réduit et un nombre de destinations qui sera un peu plus limité », a détaillé Alexandre de Juniac sur France Inter.

Il faudra attendre le début de l’été pour entrevoir une reprise des vols continentaux dans le cadre d’un plan qui doit faire redécoller un secteur aérien impacté de façon presque fatale par la crise sanitaire que nous vivons. Le directeur général de l’IATA explique que son organisation planche sur toutes les solutions pour éviter les risques de contamination en travaillant « avec tous les gouvernements de la planète, les organisations internationales en charge du trafic aérien et l’Organisation mondiale de la santé (OMS) » à la mise en place d’un « processus de contrôle sanitaire des passagers ».  « Normalement, on devrait être prêt pour la fin mai », précise-t-il. 

Déclaration sanitaire, contrôle de températures et port du masque

Alexandre de Juniac envisage comme mesures de prévention la présentation par les voyageurs d’une déclaration sanitaire dès leur arrivée à l’aéroport, le contrôle de leur température à l’entrée du terminal, et le port du masque obligatoire dans le terminal et durant le voyage en avion. En appliquant ces mesures, il qualifie le risque de « pratiquement négligeable » et écarte ainsi la nécessité de réduire le nombre de passagers dans les appareils en expliquant que « si on doit neutraliser le siège du milieu, cela veut dire soit que l’on ne vole pas, soit qu’il faut augmenter les prix d’au moins 50% ».

Selon l’ANDRH, 40% des salariés français seraient aujourd’hui en télétravail, soit près de 8 millions de collaborateurs. Oui mais voilà, la crise nous a précipités dans un tourbillon sans précédent, et 75% d’entre nous découvrent pour la première fois les joies ou les peines de cette alternative au travail présentiel, contraints et forcés par leur organisation … et sans forcément en avoir le mode d’emploi !

Par Béatrice Hervieu, Conseil en Organisation, Management et Communication

Si d’ordinaire le télétravail présente une excellente option pour continuer de produire tout en conciliant sa vie privée et sa vie professionnelle, la situation actuelle a en effet contraint nombre d’entreprises à mettre en place cette mesure de façon permanente et intégrale et à l’imposer à leurs salariés dans des conditions pas toujours très favorables.

Un télétravail imposé …

A toute chose, malheur est bon. Et le bon côté du télétravail contraint, c’est qu’il a permis à beaucoup d’entreprises ou de salariés encore réticents de se rendre compte que sa mise en place était tout à fait possible. Mieux, certains salariés réalisent qu’ils sont encore plus productifs !

Alors certes, là non plus, tout le monde n’est pas logé à la même enseigne. Exercer en télétravail avec son conjoint et ses enfants dans un petit appartement, ça n’est pas idéal.

Un télétravail désormais plébiscité !

Mais force est de constater que 60% des salariés souhaitent prolonger l’expérience du télétravail et l’envisagent comme une solution d’évolution et de qualité de vie au travail.

Une bonne nouvelle pour les organisations tout aussi demandeuses, après avoir réalisé, au travers de cette crise, qu’elles étaient susceptibles d’être confrontées à de nouvelles épreuves.

Télétravail : les bonnes questions à se poser, La Check List

Une prise de conscience qui amène ces mêmes entreprises, d’abord avec l’expérience de la grève de décembre-janvier puis de ce premier mois intégral de télétravail particulièrement productif, à reconsidérer l’organisation du travail en se posant les questions suivantes :

  1. Comment maintenir l’activité ? Des mesures telles qu’un plan de continuité ont-elles été mises en place par exemple ?
  2. Comment manager et occuper les salariés à distance ?  Les managers ont-ils été préparés avant la crise ou briefés depuis ?
  3. Comment piloter le capital humain et les risques psycho-sociaux ? Les Ressources Humaines ont-elles établi des liens avec les équipes et se sont-elles assuré de la capacité à interagir avec les salariés hors site ?
  4. Comment doit-on préparer le retour sur site ? Etat des lieux et évaluation des risques par la sécurité, le CHSCT et cellule de crise sont-ils régulièrement faits auprès du CODIR ?
  5. Comment préparer les managers et les équipes à s’adapter à ces nouvelles façons d’exercer leur métier ? Plan de de formation, politique et règles sur le télétravail ont-ils été prévus chaque année ?

Autant de points et d’étapes nécessaires à aborder tant avec les cadres dirigeants, les représentants du personnel que les salariés eux-mêmes pour construire, pas à pas, une politique de gestion de crise en transparence et en confiance avec l’ensemble des parties prenantes de l’entreprise.

Dormir durant les trajets en avion est un enjeu de taille pour les voyageurs d’affaires qui doivent conjuguer efficacité et récupération physique, cependant tous n’y arrivent pas. La compagnie Air New Zealand vient de breveter une idée intéressante censée apporter une solution à ce problème : les lits capsules.

Par Eric Orsini

Dormir dans un avion lorsqu’on voyage en classe économique peut très rapidement tourner au cauchemar avec à la clé des douleurs aux jambes, au cou, au dos… Habituée aux longs courriers, la compagnie aérienne Air New Zealand a déposé, après trois ans de recherches et d’essais, un brevet pour des lits capsules, selon les informations de CNN Travel.

Ces lits capsules baptisés « Skynest » ont été testés par quelques 200 clients de la compagnie dans un hangar à Auckland. Cette cabine de sommeil est composée de six modules de couchage allongés à plat. Chaque lit mesure environ deux mètres de long sur 58 centimètres de large et chaque passager se verra remettre un kit de couchage composé d’un oreiller, de draps, d’une couverture, de bouchons d’oreille et des rideaux de confidentialité. Air New Zealand réflechierait même à équiper les cabines de prises USB et de lampes de lecture pour le plus grand confort de ses clients voyageant en classe économique.

Six couchages par avion

Les appareils pourraient accueillir jusqu’à 6 lits capsules. Même s’il ne s’agit pour l’instant que d’un brevet, cette option devrait être un peu plus onéreuse qu’un siège classique. « Nous voyons une future expérience de vol où un client (…) pourrait réserver l’Economy Skynest en plus de son siège Economy, bien se reposer et arriver à destination prêt à partir », déclare Nikki Goodman, directeur général de l’expérience client d’Air New Zealand.

Le sort définitif de ces lits capsules sera scellé par la compagnie néo-zélandaise l’année prochaine. Celle-ci n’en est pas à son coup d’essai puisqu’elle elle avait lancé, en 2011, la « Economy Skycouch » permettant aux passagers voyageant ensemble de transformer leurs sièges en lit. Bien que pour l’instant aucune certification formelle n’a été émise, l’idée des lits capsules n’est pas qu’un rève… affaire à suivre !!!

SNCF possède une gamme BtoB qui convient à toutes les entreprises ayant une appétence train, notamment les PME pour lesquelles a été pensé le Contrat Pro SNCF sur TGV inOui.
Cette solution de pilotage optimal des déplacements professionnels offre aux PME des avantages tarifaires et des services dédiés qui répondent précisément à leurs besoins.
Virginie Guichet, Responsable Marketing B2B-PME, nous explique le Contrat Pro SNCF dans le détail et nous démontre que TGV inOui est fin prêt pour l’ouverture à la concurrence du transport ferroviaire en France.

Les voyageurs d’affaires se déplacent généralement avec des données sensibles concernant leur entreprise et ils représentent souvent, à ce titre, une cible de choix pour la cybercriminalité, notamment lors de situation de concurrence ou de guerre économique. Voyons quels sont les principaux dangers existant et les précautions à prendre.

Par Franck Boccara

Même si les PME et ETI intègrent de plus en plus la protection contre la cybercriminalité à leur politique de voyage, seulement le tiers de ces entreprises déclarent avoir adopté de réelles mesures de sécurité dans ce domaine. Ces chiffres demeurent assez inquiétants lorsqu’on sait que la cybercriminalité augmente en volume et en sophistication dans un contexte ou la concurrence se transforme facilement en guerre économique.

Le voyageur d’affaire, et à travers lui son entreprise, se trouve donc souvent en état de vulnérabilité face à une cybercriminalité qui visent principalement deux objectifs : la perturbation du système informatique et communicationnel de l’entreprise et le vol de données. Pour arriver à leurs fins, les cybercriminels disposent aujourd’hui d’opportunités grâce à des développement technologiques tels que le cloud, l’Internet des Objets, l’intelligence artificielle ou le développement de la 5G qui impliquent une explosion du nombre de données et du nombre d’appareils et de capteurs connectés.

En dehors de cas particuliers ou les attaques peuvent émaner d’institutions ou d’états disposant de moyens particulièrement sophistiqués, la cybercriminalité est généralement rendue possible par la négligence des voyageurs d’affaires et par un manque d’information. Elle peut donc être évitée par la mise en place de bonnes pratiques et d’habitudes comportementales simples comme par exemple :

  • Ne pas laisser un ordinateur allumé lors de votre absence (dans un train, dans une chambre d’hôtel…)
  • Connaître les endroits de connexion à risques (les aéroports, notamment) et se comporter en conséquence.
  • Eviter de se servir de clés USB qu’on se serait fait remettre (lors d’un salon professionnel ou d’une rencontre par exemple).
  • Utiliser des accessoires de protection simples tels que la webcam cover ou le filtre de confidentialité pour écran d’ordinateur
  • Mettre en place et se servir de systèmes de sécurité d’entreprise, tels que les corridors de communication VPN

Evidemment, l’idéal est de voyager uniquement avec les informations nécessaires afin de limiter les risques. Pour cela, certaines entreprises ont déjà adopté cette règle catégorique et réservent pour leurs voyageurs d’affaires des ordinateurs et des smartphones quasiment vierges car elles ont bien compris qu’au delà de la nuisance directe de la cyberattaque, celle-ci entraine des conséquences graves pour la réputation de l’entreprise dont la crédibilité et la fiabilité seront sérieusement mises à mal, ce qui aura inévitablement un impact négatif sur les clients et partenaires et donc sur le chiffre d’affaire.

Vous ne parlez pas japonais ? L’hôtesse parle anglais mais avec un accent japonais si fort que vous avez du mal à la comprendre ? Ne vous inquiétez pas, cela arrive fréquemment. C’est pourquoi la compagnie ANA (All Nippon Airways) a décidé de déployer « Pocketalk », un nouveau système de traduction automatique permettant de simplifier la communication entre le personnel de la compagnie japonaise et les passagers.

Par Eric Orsini

Ce nouveau gadget extrèmement pratique qui a été concu par Sourcenext est en service depuis le 18 décembre au sein de l’aéroport international d’Osaka. Le Pocketalk est un système de traduction automatique en temps réel que les équipes de All Nippon Airways (ANA) vont bientôt utiliser dans plus de cinquante aéroports au Japon dans le but de simplifier la communication entre le personnel au sol et les voyageurs.

Le Pocketalk est capable d’effectuer des traductions dans 74 langues dont 55 en parole et en texte et 19 autres uniquement en texte. Ce traducteur automatique sera principalement mis à la disposition du personnel en poste dans les halls d’aéroports et les portes d’embarquement. « ANA recherche constamment des solutions pour améliorer l’expérience de voyage des passagers, notamment en prenant des mesures pour rendre notre service dans les aéroports aussi inclusif et pratique que possible », a déclaré à ce sujet Masaki Yokai, vice-président de la compagnie aérienne. « Notre engagement vis-à-vis de l’hospitalité japonaise nous a pousser à chercher des manières innovantes d’utiliser la technologie pour améliorer l’expérience des passagers. Fournir Pocketalk à notre personnel simplifiera la communication avec les voyageurs du monde entier et leur permettra de mieux répondre aux besoins des passagers ».

La traduction automatique est aujourd’hui un enjeu de taille dans l’industrie du voyage avec une multitude d’applications mobiles s’imposant comme autant de dictionnaires à embarquer au creux de la main mais qui ne donnent pas toujours un résultat optimal et ce seront, comme d’habitude, les start-ups les plus performantes dans le domaine qui vont se distinguer. D’ailleurs, ce thème était à l’honneur de la dernière édition de l’événement IBTM, organisé comme chaque année au mois de novembre à Barcelone , aucours de laquelle le trophée de l’innovation, « IBTM World Tech Watch Award », a été décerné à Wordly et à son système traduction instantané reposant sur la reconnaissance vocale et l’intelligence artificielle (IA).

Singapour inaugure un nouveau programme Mice pour renforcer son attractivité croissante en matière de tourisme d’affaires. Le programme va proposer un panel de 60 expériences lifestyle pour séduire une clientèle de plus en plus exigeante.

Par Serge de Cluny

En 2018, la cite-état a connu une croissance de 12.1% par rapport à 2017 en attirant plus de 2.9 millions de visiteurs Mice. C’est afin de maintenir et de confirmer ce développement que l’office de tourisme de Singapour vient de lancer à travers le monde son nouveau programme INSPIRE (In Singapore Incentives & Rewards) qui s’adresse essentiellement à des groupes de petite et moyenne taille en leur offrant une sélection regroupant plus de 60 expériences lifestyle dans quatre domaines différents : La gastronomie, les divertissements et la vie nocturne, les visites thématiques et ateliers d’apprentissage ainsi que des expériences sur mesure et des activités de cohésion d’équipe différenciantes.

On peut citer, par exemple, une expérience d’atelier de création de cocktails sur mesure à base d’herbes et d’épices cueillis dans Les Jardins Botaniques, dont le site est classé au patrimoine mondial de l’Unesco. Il sera possible également de découvrir la Silicon Valley de Singapour grâce à des visites guidées pour les groupes dans les environs de One North, comprenant des rencontres exclusives avec des fondateurs et des start-ups. Si vous préférez vous plonger dans la célèbre végétation de Singapour, vous aurez droit à un spectacle privé de Garden Rhapsody à Gardens by the Bay, avec des vues inoubliables sur la ville de nuit depuis OCBC Skyway.

Créez votre cocktail !

Le programme INSPIRE est ouvert aux groupes comprenant au minimum 20 participants étrangers et séjournant au moins trois jours à Singapour entre le 10 septembre 2019 et le 31 décembre 2021. Les groupes désirant participer au programme devront déposer leurs candidatures avant le 31 mars 2021.

Des événements importants à venir

Singapour va se voir confier l’organisation d’évènements marquants tels que la 142ème Assemblée Annuelle de l’Association Internationale des Marques qui rassemblera 8000 participants, ou encore la convention du Lions Clubs International en 2020 avec ses 20 000 visiteurs étrangers qui sera le plus grand congrès d’association jamais organisé à Singapour.
Il faudra aussi ajouter à cela la Conférence Internationale sur l’Informatique Médicale et l’Intervention Assistée par Ordinateur (MICCAI) qui se tiendra en partie à Singapour avec la venue d’environs 2000 délégués venus du monde entier.

5 / 71234567
INSCRIVEZ-VOUS À NOTRE NEWSLETTER
AUX DERNIÈRES NOUVELLES

Le respect de votre vie privée est notre priorité

L’accès au site implique l’utilisation de cookies mais celle-ci est subordonnée à votre consentement.