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SME-ETI

L’atelier « Vendre à l’industrie allemande » de la CCI Paris Île-de-France convie les dirigeants et cadres de PME et ETI le mercredi 6 novembre 2019 de 9h30 à 16h30 à venir comprendre les points clés qui leur permettront d’adapter leur stratégie et leur moyens commerciaux à ce marché.

Bien plus que dans tout autres pays, l’industrie est en Allemagne à la base de la croissance et de la prospérité de son économie, l’excellence de son savoir-faire jouit d’ailleurs d’une réputation bien méritée à travers le monde.
L’Allemagne reste le premier client de la France et premier exportateur mondial de technologies, le pays excelle dans la plupart des domaines industriels et offre de réelles opportunités aux entreprises françaises qui ont des produits technologiques innovants qui souhaitent « vendre à l’industrie allemande ».

Au programme

Accueil café > 9H00
Ouverture : Nacéra Amari Police, Chef de Projets internationaux – CCI Paris Ile-de-France


L’industrie en Allemagne
– Chiffres clés, structure et localisation
– Facteurs clés de succès, Innovation, R & D
Antoine Chardin,  Conseiller aux entreprises –  CCI France Allemagne


Soutien aux partenariats en innovation franco-allemands
Mael M’Baye, Responsable Partenariats Tech Internationaux – Bpifrance


Recommandations d’approche
– Stratégie d’approche du marché allemand,
– Différences socio-culturelles
– Méthodologie d’approche des grands comptes : ciblage, communication, négociation
– Le suivi et le développement des affaires.
Valérie Munsch, Chef de Projets industries – CCI France Allemagne


Conclusion et possibilités de soutien de la CCI France Allemagne et de la CCI Paris Ile-de-france
Antoine Chardin,  Conseiller aux entreprises  – CCI France Allemagne
Fabienne Daguzé, Conseiller international Services Tech & Industries – Team France Export – CCI Paris Ile-de-France


Témoignage
– L’approche de donneurs d’ordres industriels allemands par une PME française


Questions-réponses
14h à 16h30 : Entretiens avec les experts CCFA, accordés sur demande, par ordre d’arrivée des bulletins d’inscription, dans la limite des places disponibles (durée : 30 minutes)
 

Adresse : 
6-8 avenue de la Porte de Champerret,
75017 Paris

CONTACT :
Virginie NGO : Assistante international
Lui écrire

Peut-on rompre un CDI ? Malgré ce qu’on aurait tendance à croire et bien qu’il soit qualifié « à durée indeterminée », il est tout à fait possible de rompre un CDI, que ce soit à l’initiative du salarié, de l’employeur ou des deux conjointement. Voici un petit tour d’horizon sur les grandes modalités de résiliation d’un tel contrat.

Par Franck Boccara

Que ce soit du à l’émergence de nouveaux projets, à une situation économique difficile ou simplement à une faute grave du salarié, il faut savoir qu’il existe des modes de ruptures du contrat de travail adaptés à chaque situation :

Lorsque l’initiative vient du salarié : La démission

Elle représente, notamment dans les PME et ETI, le mode le plus courant pour rompre un CDI. Cette rupture peut être décidée à tout moment et mise en oeuvre par la rédaction d’une simple lettre de démission à l’attention de l’employeur qui, de son côté, n’aura pas la possibilité de s’opposer à cette démission.

Cependant, la démisson ne prend pas effet immédiatement car elle est généralement suivie d’une période de préavis obligatoire pouvant aller de quelques semaines à plusieurs mois. De plus, le salarié démissionnaire n’aura pas droit, dans ce cas, aux allocations-chômage d’aide au retour à l’emploi (ARE), à moins que sa démission soit due à un motif légitime tel qu’un déménagement pour suivre son conjoint, un retour à la formation etc…

Lorsque l’initiative vient se l’employeur : le licenciement

la loi encadre clairement le licenciement qui ne peut être déclenché par l’employeur que dans trois cas bien précis :

  • Le licenciement pour motif personnel : Les capacités professionnelles du salarié sont alors remises en cause et désignées comme un empêchement dans la continuation de son contrat de travail.
  • Le licenciement pour faute : Il s’agit du cas où le salarié enfraint une ou plusieurs de ses obligations ou qu’il commette des actes ayant la volonté manifeste de nuire à l’employeur. Ces fautes sont alors considérées comme empéchant son maintien dans l’entreprise.
  • Le licenciement pour motif économique : il peut être déclenché si l’entreprise rencontre de réelles difficultés économiques ou fait face à une mutation technologique avérée.

Si le licenciement n’entre pas dans une de ces situation ou n’est pas correctement justifié, il pourra être requalifié en licenciement abusif.

Lorsque l’initiative est commune : la rupture d’un commun d’accord

Egalement appelée rupture conventionnelle, cette solution permet de rompre un CDI lorsque l’employeur et le salarié se séparent à l’amiable. De cette façon, les deux parties conviennent ensemble des modalités de résiliation telles que la date effective de fin du contrat ou encore le montant des indemnités. Cette solution reste attractive pour le salarié dans la mesure où elle lui permet de bénéficier des allocations chômage.

Toutefois, l’employeur n’a pas le droit de se servir d’une rupture conventionnelle pour cacher un véritable licenciement ou une volonté de transiger.

Le PLF 2020 comprend un amendement intéressant qui a été adopté en commission des finances. Celui-ci vise à exonérer de l’IFI les monuments historiques situés en zone rurale, reprenant ainsi le modèle fiscal des forêts.

Par Serge de Cluny

Le projet de loi de finances 2020 réserve, à l’image de ses prédécesseurs, son lot de surprises. Parmi celles-ci, on trouve l’amendement autour de l’IFI qui a été présenté par Gilles Carrez, député LR du Val-de-Marne, et adopté ce mardi 8 octobre 2019. 

Cet amendement du PLF 2020 a pour but d’exonérer d’Impôt sur la fortune immobilière (IFI) les « petits châteaux » se trouvant dans des zones déclarées en revitalisation rurale. Pour cela, le propriétaire des lieux devra exercer un emploi principal à l’extérieur, ce qui implique que le châteaux ne pourra pas être déclaré comme bien professionnel.

« Dans de nombreux territoires (…), les immeubles classés ou inscrits au titre des monuments historiques constituent un enjeu de développement (…), précise l’exposé des motifs. Cependant, leurs propriétaires doivent presque toujours exercer un emploi à l’extérieur, qui est réputé principal : ceci les prive du bénéfice de l’exonération de l’IFI que l’article 975 du code général des impôts réserve aux biens affectés « à l’activité principale industrielle, commerciale, artisanale, agricole ou libérale ».

L’exposé des motifs met aussi en avant une explication plus juste du sens de l’amendement en expliquant que « ces biens peuvent se voir appliquer des évaluations de la valeur vénale élevées entrainant l’application de montants d’IFI excessifs » alors que dans la réalité, ils sont bien souvent très difficiles à vendre.

Assurer la conservation du bien pendant au moins 15 ans

L’amendement propose donc de calquer le modèle qui est déjà appliqué sur les bois et forêts en instituant une exonération de 75% qui serait, dans ce cas, réservée aux immeubles classés ou inscrits situés dans des zones de revitalisation rurale à condition que ces « petits châteaux » offrent des activités contribuant au développement de ces zones (chambres d’hôte, séminaires, visites, etc.).

L’ultime condition sera que le propriétaire s’engage à conserver le monument pendant une période d’au moins quinze ans et ce afin d’éviter ce qu’on appelle « l’effet d’aubaine ».

Le PLF 2020 comprend un amendement intéressant qui a été adopté en commission des finances. Celui-ci vise à exonérer de l’IFI les monuments historiques situés en zone rurale, reprenant ainsi le modèle fiscal des forêts.

Par Serge de Cluny

Le projet de loi de finances 2020 réserve, à l’image de ses prédécesseurs, son lot de surprises. Parmi celles-ci, on trouve l’amendement autour de l’IFI qui a été présenté par Gilles Carrez, député LR du Val-de-Marne, et adopté ce mardi 8 octobre 2019. 

Cet amendement du PLF 2020 a pour but d’exonérer d’Impôt sur la fortune immobilière (IFI) les « petits châteaux » se trouvant dans des zones déclarées en revitalisation rurale. Pour cela, le propriétaire des lieux devra exercer un emploi principal à l’extérieur, ce qui implique que le châteaux ne pourra pas être déclaré comme bien professionnel.

« Dans de nombreux territoires (…), les immeubles classés ou inscrits au titre des monuments historiques constituent un enjeu de développement (…), précise l’exposé des motifs. Cependant, leurs propriétaires doivent presque toujours exercer un emploi à l’extérieur, qui est réputé principal : ceci les prive du bénéfice de l’exonération de l’IFI que l’article 975 du code général des impôts réserve aux biens affectés « à l’activité principale industrielle, commerciale, artisanale, agricole ou libérale ».

L’exposé des motifs met aussi en avant une explication plus juste du sens de l’amendement en expliquant que « ces biens peuvent se voir appliquer des évaluations de la valeur vénale élevées entrainant l’application de montants d’IFI excessifs » alors que dans la réalité, ils sont bien souvent très difficiles à vendre.

Assurer la conservation du bien pendant au moins 15 ans

L’amendement propose donc de calquer le modèle qui est déjà appliqué sur les bois et forêts en instituant une exonération de 75% qui serait, dans ce cas, réservée aux immeubles classés ou inscrits situés dans des zones de revitalisation rurale à condition que ces « petits châteaux » offrent des activités contribuant au développement de ces zones (chambres d’hôte, séminaires, visites, etc.).

L’ultime condition sera que le propriétaire s’engage à conserver le monument pendant une période d’au moins quinze ans et ce afin d’éviter ce qu’on appelle « l’effet d’aubaine ».

IMPACT PME sera incontestablement l’évènement de cet automne pour les dirigeants de PME. Organisée conjointement par la CPME et BFM Business le mardi 5 novembre au CESE (Conseil Economique, Social et Environnemental) à Paris, cette journée va offrir aux PME une plateforme unique par laquelle les entrepreneurs auront l’opportunité d’échanger, de se former, d’accroître leur réseau BtoB dans une ambiance conviviale.

AU PROGRAMME

Plénière

Grand débat : 10h30-12h : Performance et bien commun font-ils bon ménage ?
Transition écologique, besoin de proximité, nouvelles valeurs portées par les consommateurs… les PME intègrent ces nouvelles données de l’intérêt général qui sont aussi une condition de leurs profits.

Autour de François Asselin, des personnalités venues d’horizons différents partageront leur expertise et leur point de vue : 

  • Nicolas Chabanne, fondateur de la marque « C’est qui le patron »
  • Geneviève Férone, pionnière de la notation extra-financière et experte RSE. Co-fondatrice et associée du Cabinet de conseil Prophil
  • Yannick Jadot, député européen écologiste

Conférences et agoras

Une dizaine de conférences et agoras d’une durée de 45mn à 1h30, pensées pour les PME se tiendront sur les thèmes de : la gouvernance, la cybersécurité, le leadership et la motivation, l’accès au financement, la transformation digitale, la RSE … 

Plus d’informations sur les conférences  en cliquant ici 

Ateliers

Des sessions de formations de 45 mn pour les chefs d’entreprise de TPE-PME. Les premiers ateliers auront pour thème : 

  • La digitalisation des processus RH 
  • La transmission d’entreprise 
  • L’accompagnement à l’export des PME françaises 

Plus d’informations sur les ateliers en cliquant ici 

PME, ETI, grands groupes, start-ups, institutions, médias, inscrivez-vous au salon !

IMPACT PME L’HEBDO SUR BFM BUSINESS

IMPACT PME c’est aussi une émission diffusée à la radio BFM et à l’antenne de BFM Business pendant 3 mois, à partir du 20 septembre. Rendez-vous tous les vendredis à 14h30 avec Philippe Bloch et ses invités pour évoquer les grands enjeux des PME : financement, ressources humaines & management, l’international, transformation digitale, la RSE….

Adresse : 
CESE
9 Place d’Iéna
75016 Paris
Métro Iéna


Vous voyagez fréquemment vers la Suisse pour vos affaires ? TGV LYRIA met à votre disposition une solution rapide, écologique, confortable et connectée qui vous transportera de centre-ville à centre-ville tout en bénéficiant d’une offre entreprise qui saura répondre à vos exigences et à votre budget.
Fabien Soulet, Directeur Général et Cécile Morel, responsable des marchés France et Overseas nous révèlent les détails d’une offre unique sur le marché.

« Mon compte formation » ! C’est le nom du nouveau site Internet lancé par le ministère du travail qui va marquer une étape clé dans la mise en œuvre de la loi Avenir professionnel. Le site, qui sera opérationnel le 21 novembre 2019, va permettre de mobiliser directement son compte personnel de formation. L’application mobile sera disponible une dizaine de jours plus tard.

Par la rédaction

Le site « Mon compte formation » sera inauguré officiellement par Muriel Pénicaud, la ministre du Travail, lors d’un événement qui se déroulera aux Halles, à Paris. A partir de cette date, tout titulaire d’un compte personnel de formation (CPF) sera en mesure de choisir, de s’inscrire et de payer une formation sur le site Internet « Mon compte formation » indique le ministère du Travail. Ce « nouveau service public de la formation professionnelle » vient mettre en pratique la monétisation et la désintermédiation du CPF qui était une des mesures phares de la loi « avenir professionnel ».

Développée par la Caisse des dépôts et consignations, cette place de marché sera également accessible sur une application mobile dans les quelques jours qui suivent le lancement du site, au plus tard le 1er décembre. À cette date, le ministère du Travail va communiquer « massivement » auprès du grand public via une campagne de publicité « à 360° ».

APP-CPF-parcours

Les principes directeurs de « Mon compte Formation »:

  • Des usagers encadrés pour faciliter la gestion des organismes de formation leur assurant un équilibre économique et une continuité d’activité ;
  • Des délais de traitement des inscriptions réduits permettant aux organismes de formation une souplesse dans la gestion des places de formation et la validation de modalités d’inscription spécifiques ;
  • Des clauses dissuasives pour les annulations tardives garantissant l’indemnisation des organismes de formation ;
  • Des délais encadrés pour l’organisme de formation afin de déclarer les entrées et sorties du stagiaire et le service fait ;
  • Des modalités de service fait et de facturation simplifiée (barème, acompte, pas d’envoi systématique de pièces justificatives au titre du service fait) ;
  • Une normalisation et une simplification du process de facturation des données de facturation transmises et validées par l’organisme de formation sous format dématérialisé uniquement via le portail de gestion ;
  • Une systématisation des délais de paiement 30 jours après facturation.


« Mon compte formation » ! C’est le nom du nouveau site Internet lancé par le ministère du travail qui va marquer une étape clé dans la mise en œuvre de la loi Avenir professionnel. Le site, qui sera opérationnel le 21 novembre 2019, va permettre de mobiliser directement son compte personnel de formation. L’application mobile sera disponible une dizaine de jours plus tard.

Par la rédaction

Le site « Mon compte formation » sera inauguré officiellement par Muriel Pénicaud, la ministre du Travail, lors d’un événement qui se déroulera aux Halles, à Paris. A partir de cette date, tout titulaire d’un compte personnel de formation (CPF) sera en mesure de choisir, de s’inscrire et de payer une formation sur le site Internet « Mon compte formation » indique le ministère du Travail. Ce « nouveau service public de la formation professionnelle » vient mettre en pratique la monétisation et la désintermédiation du CPF qui était une des mesures phares de la loi « avenir professionnel ».

Développée par la Caisse des dépôts et consignations, cette place de marché sera également accessible sur une application mobile dans les quelques jours qui suivent le lancement du site, au plus tard le 1er décembre. À cette date, le ministère du Travail va communiquer « massivement » auprès du grand public via une campagne de publicité « à 360° ».

APP-CPF-parcours

Les principes directeurs de « Mon compte Formation »:

  • Des usagers encadrés pour faciliter la gestion des organismes de formation leur assurant un équilibre économique et une continuité d’activité ;
  • Des délais de traitement des inscriptions réduits permettant aux organismes de formation une souplesse dans la gestion des places de formation et la validation de modalités d’inscription spécifiques ;
  • Des clauses dissuasives pour les annulations tardives garantissant l’indemnisation des organismes de formation ;
  • Des délais encadrés pour l’organisme de formation afin de déclarer les entrées et sorties du stagiaire et le service fait ;
  • Des modalités de service fait et de facturation simplifiée (barème, acompte, pas d’envoi systématique de pièces justificatives au titre du service fait) ;
  • Une normalisation et une simplification du process de facturation des données de facturation transmises et validées par l’organisme de formation sous format dématérialisé uniquement via le portail de gestion ;
  • Une systématisation des délais de paiement 30 jours après facturation.


La French Tech se porte bien selon Bpifrance ! Paul-François Fournier, directeur exécutif de l’innovation de la Banque Publique d’Investissement était invité sur BFM Business le 27 septembre. Il a fait part de son optimisme sur le développement des start-up françaises, appuyé par Emmanuel Macron.

Par Franck Boccara

Les licornes françaises entament réellement leur phase d’émergence à l’image de Doctolib, Deezer, BlaBlaCar, Ivalua, Meero, Veepee (ex-Vente-privee.com), OVH. Ces start-up tricolores non cotées et valorisées à un milliard d’euros font partie des priorités de l’exécutif. C’est d’ailleurs le sens de l’objectif de « 25 licornes françaises d’ici 2025 » qu’a fixé le président Macron la semaine dernière.

Emmanuel Macron, qui désire multiplier ces jeunes pousses françaises à forte valorisation souvent en mal de financements élevés, a indiqué que les grands investisseurs institutionnels français, banquiers et assureurs, vont se mobiliser et investir 5 milliards d’euros pendant trois ans dans les jeunes start-up en croissance du secteur technologique.

Sur ces 5 milliards qui devraient être débloqués par les grands investisseurs français, 2 milliards vont aller vers les fonds late stage, qui investissent des montants se chiffrant en dizaines de millions d’euros dans les start-up ayant déjà commencé à faire leurs preuves et en forte croissance. 3 milliards iront par ailleurs vers des fonds investissant dans la tech en Bourse. L’exécutif espère que les investisseurs étrangers permettront de doubler la mise.

Bpifrance a, de son côté, annoncé qu’elle investirait un milliard d’euros dans les trois ans, dans plusieurs fonds late stage et growth. Les start-up trouvent aujourd’hui en France un terreau propice pour se financer dans les premières étapes de leur existence. Grâce notamment à l’effet de catalyseur de Bpifrance, il existe aujourd’hui de nombreux fonds d’investissement capables d’investir jusqu’à plusieurs millions d’euros dans leur capital.

Pour Paul-François Fournier, directeur exécutif de l’innovation chez Bpifrance, l’objectif est « tout à fait réaliste ». C’est ce qu’il a affirme sur le plateau de Good Morning Business le vendredi 27 septembre en déclarant qu' »On en a eu 4 au premier semestre donc à ce rythme-là, on sera probablement même plus que ça! Aujourd’hui, on en a 7 ou 8 mais je vous rappelle qu’on est resté très longtemps à 3 ou 4″.

L’emergence est donc bien au rendez-vous dans la French Tech et elle est là pour durer selon le patron de l’innovation de Bpifrance. »Il faut bien voir que, ce qui est en train de se passer, c’est un système, ce n’est pas une loterie où, tout d’un coup, apparaissent des jetons de loto et des licornes » précise Paul-François Fournier.
« C’est un système de créations de start-up, parce qu’il y a une vraie logique entrepreneuriale qui se développe, un écosystème du capital-risque français qui est passé d’un à cinq milliards, et qui va passer à dix milliards ».

« Donc tout ça se construit, petit à petit et fait en sorte que notre écosystème est en train de devenir le leader européen » explique Paul-François Fournier, tout en précisant que le developpement des start-up ne fait pas d’ombre aux entreprises classiques, notamment du secteur de l’industrie, en attirant tous les capitaux. « La croissance de ces start-up fait du rapprochement entre la French Tech et la French Fab » démontre-t-il en prenant pour exemple Ynsect, nouvelle licorne de production de nourriture pour animaux à base d’insectes, qui s’apprête à ouvrir une nouvelle usine de production.


Ambition Africa tiendra sa seconde édition les 30 et 31 octobre au Ministère de l’Économie et des Finances à Paris. L’évènement, organisé par Business France et placé sous le haut patronage de Monsieur Emmanuel MACRON, Président de la République, va réunir plus de 1000 acteurs économiques avec environ 400 entreprises françaises et 500 entreprises venant de l’ensemble du continent Africain.

Présent dans de nombreux pays africain, Business France bénéficie d’une réelle connaissance sectorielle qui permet de favoriser les courants d’affaires entre les entreprises africaines et françaises.
Fort de son succès en 2018, Ambition Africa verra plus de 26 pays représentés pour la 2e édition.

Au programme

Mercredi 30 octobre

8h00 – Accueil des participants

9h00 – Allocutions d’ouverture en séance plénière

10h20 – L’Afrique c’est maintenant !

11h00 – Environnement des affaires en Afrique

12h20 – Déjeuner

13h30 – Comment accompagner la mobilité urbaine de l’Afrique ?

14h30 – Quel mix énergétique pour l’Afrique de demain ?

Conférence du Club Afrique de France Invest : Invest for growth in Africa

  • 15h30 – 15h35 : Introduction par Hervé Schricke, Président du Club Afrique de France Invest 

  • 15h35 – 16h05 : Bruno Le Maire, Ministre de L’Economie et des Finances et Tony Elumelu, Président, The Tony Elumelu Foundation
    Les moteurs des économies africaines et les opportunités pour les investisseurs
  • 16h05-16h10 : Le capital-investissement en Afrique : la dynamique du marché, les chiffres clés 
  • 16h10 – 17h00 : Table ronde 1 – L’Afrique, des opportunités de diversification pour les investisseurs en capital 
  • 17h00-17h10 : Regards croisés sur le marché africain du financement 
  • 17h10-18h00 : Table ronde 2  – Le capital-investissement, au service des entreprises africaines et non africaines

18h00 – Eau et déchets : 2 enjeux majeurs pour l’Afrique

19h00 – Conclusion

19h10 – Cocktail de networking

Jeudi 31 octobre

9h00 – Rôle du numérique en Afrique ?

10h00 – Systèmes de santé efficaces et durables

11h00 : Infrastructures de transport et logistique multimodale : accélérateur de croissance du continent

12h00 :Solutions de financement des entreprises africaines

13h00 – Déjeuner

14h00 – Comment l’Afrique deviendra le prochain géant agricole et agroalimentaire ?

15h00 – Formation professionnelle : une stratégie incontournable pour l’Afrique

16h00 – L’Afrique : un marché de consommation très prometteur

17h00 – Femmes africaines : une nouvelle génération de leaders

18h00 – Quel rôle pour la diaspora dans le co-développement en Afrique ?

18h50 – Conclusion

19h00 – Fin

Les participants pourront participer à différents débats sur des thèmes tels que l’environnement des affaires, le numérique, transport, l’investissement, l’agriculture, le rôle des femmes dans la société, les énergies mixtes, la gestion de l’eau et des déchets, la mobilité urbaine, la santé, le rôle de la diaspora, la formation professionnelle et le marché de consommation.

Ambition Africa 2019 va permettre aux PME et ETI présentes de bénéficier de rencontres B2B pour dynamiser les échanges avec des potentiels clients, investisseurs ou partenaires et de profitez des moments de pause pour échanger avec les participants durant les moments de networking (cocktail) dans le village d’experts.

Les intervenants

Bruno LE MAIRE

Ministre de l’Économie et des Finances

Tony O. ELUMELU

Entrepreneur et Philanthrope – Président de Heirs Holdings

Christophe LECOURTIER

Directeur général de BUSINESS FRANCE

Agnès PANNIER-RUNACHER

Secrétaire d’État auprès du ministre de l’Économie et des Finances

Jean-Baptiste LEMOYNE

Secrétaire d’État auprès du ministre de l’Europe et des Affaires étrangères

Mossadeck BALLY

Fondateur et Président Directeur Général du Groupe Azalaï Hotels

Ibou DIOUF

Responsable du programme SSATP (Programme de Politiques de Transports en Afrique) Banque Mondiale

Ludovic SUBRAN

Chef Economiste du Groupe Euler Hermes

Rejoignez Ambition Africa 2019, les 30 et 31 octobre 2019 au Ministère de l’Économie et des Finances – Paris

Frais de participation : 350 € / participant français – 280€ pour le 2ème participant
Gratuit pour les entreprises Africaines

Inscription : www.ambition-africa.com

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