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SME-ETI

Le développement international reste un enjeu majeur pour les PME et ETI et, à travers elles, pour l’économie française dans son ensemble. Les dirigeants de ces entreprises qui se sentent souvent à l’étroit sur le marché national perçoivent bien le potentiel de l’export mais ne connaissent pas toujours les mesures mises en place pour les aider dans conquête de ces marchés, notamment par Bpifrance.

Par Franck Boccara

Le Baromètre export 2018 Euler Hermes indique que 84 % des PME et ETI françaises veulent augmenter leur chiffre d’affaires à l’international en 2018, contre seulement 79 % en 2016. Pour profiter de ce relai de croissance qu’est le développement international, il faudra tout d’abord en avoir le potentiel structurel, puis faire preuve de beaucoup d’audace et de pugnacité. Mais en plus de ces conditions sinéquanones, une petite dose d’aide et d’accompagnement par Bpifrance sera forcément de bonne augure.

Les aides Bpifrance

« Le contexte mondial est favorable à la France », se réjouit Pedro Novo, directeur exécutif en charge de l’Export chez Bpifrance, qui a mis en place toute une série d’aides pour les PME et ETI. Parmi les plus marquantes, Bpifrance a créée le Fond Build-Up International dans le cadre du PIA (Programme d’Investissements d’Avenir) visant à accompagner les PME et ETI françaises indépendantes dans leurs stratégies d’acquisition d’entreprises à l’étranger.

Cet outil vise les PME ayant un chiffre d’affaires d’au moins 20 millions d’euros jusqu’aux ETI dont le chiffre d’affaires peut atteindre 1,5 milliard d’euros, indépendantes et à fort potentiel de développement international, pour des opérations de croissance externe d’une valeur de 10 à 150 millions d’euros. Le Fond Build-Up International participe à l’acquisition de sociétés par investissement direct dans leur capital, aux côtés de la PME ou ETI française, de montants allant de 3 à 30 millions d’euros. Les entreprises bénéficiant de cette aide se doivent d’investir un montant au moins équivalent à celui du fonds. 

De plus, Bpifrance accompagne les PME à travers plusieurs dispositifs de prêts, d’assurance, de prise de capital, mais également de formation, de conseil et de mise en relation. L’assurance prospection reste la plus répandue de ces aides avec environ 1 500 bénéficaires par an, celle-ci offre un soutien en trésorerie immédiat, par le biais d’une avance de 50 % du budget engagé. L’entreprise ne devra rembourser cette somme qu’après une période de franchise de deux ans minimum, selon le chiffre d’affaires réalisé sur la zone. En cas d’échec, l’entreprise ne devra que 30 % de l’avance en question.

D’autres dispositifs sont à la disposition des PME et ETI, tels que le « Prêt croissance internationale » (de 30 000 à 5 millions d’euros sans garantie, prêt à taux fixe sur 7 ans avec remboursement différé), le « Crédit export » qui offre aux entreprises françaises la possibilité de proposer un financement à leurs clients (jusqu’à 85 % du contrat commercial), ou encore l’assurance « change ». 

La banque publique d’investissement soutient aussi les entrepreneurs avec ses accélérateurs depuis déjà cinq ans, avec un module dédié, et lance cette année un accélérateur spécifique avec un programme de dix-huit mois qui permet aux PME de parfaire leur stratégie globale. « La première promotion devrait compter 30 entreprises, notre ambition étant d’en accompagner 200 sur les 4 000 accélérées d’ici 2021 », précise Pedro Novo.

 

Le baromètre « Croissance et Digital » de l’Acsel (Association pour le commerce et les services en ligne) a compilé dans la 3e édition les données sur l’impact de la transformation digitale des PME et ETI françaises en précisant les évolutions et les freins qu’elles rencontrent.

Par la rédaction

L’ACSEL et ses partenaires (Google, Salesforce, Solocal, la CCI Paris Ile-de-France, le METI, Prestashop et le MBA DMB) montrent tout d’abord, à travers le 3ème baromètre « Croissance et Digital », que les entreprises qui sont déjà engagées dans leur transformation digitale ont 2,2 fois plus de probabilité d’être en croissance que celles qui n’ont pas encore entamé ce processus.

Parmi les entreprises interrogées, l’immense majorité (77 %) admet que le digital représente un levier pour leur croissance. Quant aux ETI, ce pourcentage s’élève chez elles à 87% avec une augmentation de 8 points par rapport à 2017. C’est donc 64% des ETI qui ont pleinement entrepris leur digitalisation.

Les digital champions

64% de ces entreprises (essentiellement des PME) qui ont réussi leur transformation digitale et qui en tirent des profits déclarent à 64% avoir eu de meilleurs résultats en 2018, contre 45% pour le total du panel. Ces digital champions misent de façon unanime sur une croissance pour l’année 2019 contre seulement 46% pour les autres entreprises. Force est de constater que le numérique reste un vecteur de croissance sur lequel il est quasiment impossible de faire l’impasse.

Les freins à la transformation digitale

Le Temps (54%) et l’argent (49%) restent les principaux obstacles à la transformation numérique des PME et ETI. Cependant, les données de l’Acsel pointent également du doigt la complexité de mise en oeuvre (39%), due en général à un manque de coordination dans les entreprises, dans la mesure où le digital n’afflue pas suffisamment dans tous les services et reste très cantonné à la communication et à l’IT. Enfin, 36% des entreprises avouent tout simplement un manque de formation.

Les 4 bonnes pratiques pour réussir sa transformation

D’après le baromètre « Croissance et Digital » , les PME et ETI doivent mettre en place 4 bases pour se digitaliser :
– Une politique « volontariste » de l’entreprise.
– Une équipe dédiée avec des liens forts vers les autres services de l’entreprise.
– Une bonne connaissance client. 
– Pour les marchands, créer une stratégie phygitale (stratégies physique et web complémentaires). Cette stratégie a permis aux entreprises qui l’ont adopté de constater une augmentation des ventes de 86%, une amélioration de la satisfaction client de 78% et une meilleure efficacité opérationnelle de 69%.

Etude réalisée par IPSOS / février 2019
Cible : dirigeants et décisionnaires d’entreprises prenant part à la transformation digitale
Echantillon de 600 répondants : 450 interviews de PME et ETI de 20 à 4999 salariés.

Le baromètre « Croissance et Digital » de l’Acsel (Association pour le commerce et les services en ligne) a compilé dans la 3e édition les données sur l’impact de la transformation digitale des PME et ETI françaises en précisant les évolutions et les freins qu’elles rencontrent.

Par la rédaction

L’ACSEL et ses partenaires (Google, Salesforce, Solocal, la CCI Paris Ile-de-France, le METI, Prestashop et le MBA DMB) montrent tout d’abord, à travers le 3ème baromètre « Croissance et Digital », que les entreprises qui sont déjà engagées dans leur transformation digitale ont 2,2 fois plus de probabilité d’être en croissance que celles qui n’ont pas encore entamé ce processus.

Parmi les entreprises interrogées, l’immense majorité (77 %) admet que le digital représente un levier pour leur croissance. Quant aux ETI, ce pourcentage s’élève chez elles à 87% avec une augmentation de 8 points par rapport à 2017. C’est donc 64% des ETI qui ont pleinement entrepris leur digitalisation.

Les digital champions

64% de ces entreprises (essentiellement des PME) qui ont réussi leur transformation digitale et qui en tirent des profits déclarent à 64% avoir eu de meilleurs résultats en 2018, contre 45% pour le total du panel. Ces digital champions misent de façon unanime sur une croissance pour l’année 2019 contre seulement 46% pour les autres entreprises. Force est de constater que le numérique reste un vecteur de croissance sur lequel il est quasiment impossible de faire l’impasse.

Les freins à la transformation digitale

Le Temps (54%) et l’argent (49%) restent les principaux obstacles à la transformation numérique des PME et ETI. Cependant, les données de l’Acsel pointent également du doigt la complexité de mise en oeuvre (39%), due en général à un manque de coordination dans les entreprises, dans la mesure où le digital n’afflue pas suffisamment dans tous les services et reste très cantonné à la communication et à l’IT. Enfin, 36% des entreprises avouent tout simplement un manque de formation.

Les 4 bonnes pratiques pour réussir sa transformation

D’après le baromètre « Croissance et Digital » , les PME et ETI doivent mettre en place 4 bases pour se digitaliser :
– Une politique « volontariste » de l’entreprise.
– Une équipe dédiée avec des liens forts vers les autres services de l’entreprise.
– Une bonne connaissance client. 
– Pour les marchands, créer une stratégie phygitale (stratégies physique et web complémentaires). Cette stratégie a permis aux entreprises qui l’ont adopté de constater une augmentation des ventes de 86%, une amélioration de la satisfaction client de 78% et une meilleure efficacité opérationnelle de 69%.

Etude réalisée par IPSOS / février 2019
Cible : dirigeants et décisionnaires d’entreprises prenant part à la transformation digitale
Echantillon de 600 répondants : 450 interviews de PME et ETI de 20 à 4999 salariés.

L’Université d’été du MEDEF 2019 fait sa révolution ! Tout change sauf la date ! L’évènement majeur de la rentrée adopte un nouveau concept, un nouveau lieu, une nouvelle dimension et de nouveaux formats pour devenir « La Rencontre des Entrepreneurs de France » (REF).

Les entreprises permettent bien souvent d’apporter des solutions positives aux mutations du monde, c’est pourquoi le MEDEF leur consacre ce rendez-vous annuel pour les placer au centre du débat à travers cet évènement qui est devenu au fil des années un rendez-vous de la rentrée politique et économique en France. C’est plus de 7500 chefs d’entreprise, 500 journalistes, influenceurs et intervenants prestigieux français et internationaux qui ont répondu présent à l’appel.
Des échanges exclusifs sont prévus avec Fabrice Le Saché, porte-parole et vice-Président du Medef et Frédéric Bedin, Président du directoire d’Hopscotch Groupe, agence qui orchestrera ce nouvel événement qui porte d’ores et déjà la marque du changement que l’organisation patronale a su mener.

Le MEDEF vous attend les 28 et 29 août prochains pour ce que l’on appelle encore l’Université d’été du MEDEF 2019 à l’hippodrome de Longchamp où vous serez accueillis pour un grand moment de partage, d’échanges, de débat et de convivialité autour du thème No(s) Futur(s), climat, inégalités, conflits… Quel capitalisme demain ?

Les inégalités économiques, sociales, géographiques, climatiques, fiscales, qu’elles soient perçues ou réelles, revêtent des formes multiples et représentent autant de défis à relever pour proposer un monde meilleur aux générations futures. Vous êtes conviés à en discuter sans tabou, sans langue de bois et sans refuser la controverse.

Ce programme « in » sera doubler d’un programme « off » construit avec les partenaires du MEDEF. Il offrira des moments d’échanges autour de problématiques qui concernent directement et de façon concrète la vie des PME et ETI.

Télécharger le programme provisoire (pdf)

Plus d’infos sur La REF

Voir les modalités d’inscription

L’Université d’été du MEDEF 2019 fait sa révolution ! Tout change sauf la date ! L’évènement majeur de la rentrée adopte un nouveau concept, un nouveau lieu, une nouvelle dimension et de nouveaux formats pour devenir « La Rencontre des Entrepreneurs de France » (REF).

Les entreprises permettent bien souvent d’apporter des solutions positives aux mutations du monde, c’est pourquoi le MEDEF leur consacre ce rendez-vous annuel pour les placer au centre du débat à travers cet évènement qui est devenu au fil des années un rendez-vous de la rentrée politique et économique en France. C’est plus de 7500 chefs d’entreprise, 500 journalistes, influenceurs et intervenants prestigieux français et internationaux qui ont répondu présent à l’appel.
Des échanges exclusifs sont prévus avec Fabrice Le Saché, porte-parole et vice-Président du Medef et Frédéric Bedin, Président du directoire d’Hopscotch Groupe, agence qui orchestrera ce nouvel événement qui porte d’ores et déjà la marque du changement que l’organisation patronale a su mener.

Le MEDEF vous attend les 28 et 29 août prochains pour ce que l’on appelle encore l’Université d’été du MEDEF 2019 à l’hippodrome de Longchamp où vous serez accueillis pour un grand moment de partage, d’échanges, de débat et de convivialité autour du thème No(s) Futur(s), climat, inégalités, conflits… Quel capitalisme demain ?

Les inégalités économiques, sociales, géographiques, climatiques, fiscales, qu’elles soient perçues ou réelles, revêtent des formes multiples et représentent autant de défis à relever pour proposer un monde meilleur aux générations futures. Vous êtes conviés à en discuter sans tabou, sans langue de bois et sans refuser la controverse.

Ce programme « in » sera doubler d’un programme « off » construit avec les partenaires du MEDEF. Il offrira des moments d’échanges autour de problématiques qui concernent directement et de façon concrète la vie des PME et ETI.

Télécharger le programme provisoire (pdf)

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SOCIÉTÉ GÉNÉRALE PRIVATE BANKING est un acteur international de référence de l’accompagnement des dirigeants et cadres d’entreprises dans leur réflexion et leur stratégie patrimoniale.
Présents dans tout l’hexagone, les ingénieurs patrimoniaux de SOCIÉTÉ GÉNÉRALE PRIVATE BANKING France conjuguent expertise pointue et proximité afin de répondre par des solutions complètes et innovantes à toutes les problématiques d’investissement, de cession, de transmission, de financement ou de philanthropie que rencontrent les dirigeants et cadres dans leur vie professionnelle et privée.
Frédéric Poilpré, Directeur de l’ingénierie patrimoniale et Franklin Wernert, Directeur de l’offre de produits et services nous parlent de l’approche globale d’une banque universelle.

L’innovation et la créativité font partie integrante de la culture économique francaise. Cependant, le nombre de brevets déposés à l’INPI tournent autour de 17 000 par an, ce qui ne reflète pas vraiment le dynamisme innovant de notre pays. Ce décalage indique clairement que la France doit faciliter et renforcer la protection de l’innovation dans un contexte mondial toujours plus concurrentiel. C’est précisement le sens du volet « propriété industrielle » de la loi PACTE promulgué le 23 mai dernier.

Par Serge de Cluny

Les entreprises françaises, quelle que soit leur taille, bénéficieront désormais d’un accès simplifié aux titres de propriété industrielle et ceux-ci verront leur solidité se renforcer. Les dispositions de la loi PACTE vont permettre aux PME et ETI d’accéder à la protection de leur propriété intellectuelle de facon plus simple, plus progressive et plus flexible grâce à des outils tels que la demande provisoire de brevet, la prologation du certificat d’utilité ou encore le brevet à examen approfondi.

La loi Pacte va par ailleurs renforcer la solidité des titres de propriété industrielle français et accroitre la confiance et la sécurité juridique de ces titres par des mesures telles que l’examen de l’activité inventive ou encore la mise en place de l’opposition administrative.
Ce volet « propriété industrielle de la loi Pacte » et les mesures qui vont avec représentent une amélioration historique de notre système de protection de l’innovation et c’est précisement la raison pour laquelle le gouvernement a choisi de l’inscrire dans la grande réforme économique de ce quinquennat.

L’INPI (Institut National de la Propriété Industrielle) ainsi que l’ensemble des acteurs de l’écosystème de la propriété industrielle sont résolument décidés à accompagner les entreprises françaises dans cette direction. Les partenaires historiques de l’INPI (Bpifrance, le Medef, Business France, les régions et en premier lieu les conseils en propriété industrielle) seront, de fait, impliqués dans cette évolution qui se fera sous le signe de la dématérialisation des procédures. Celle-ci, initiée depuis quelques années et achevée sous peu, va permettre à l’INPI de remobiliser des ressources humaines et financières et de mettre en place les outils et les accompagnements nécessaires à l’organisation de ce nouveau système.

L’INPI, présente dans toutes les régions de l’hexagone et à l’international, semble clairement obtenir les moyens de la réussite dans son rôle d’accompagnement et d’aide aux PME et ETI françaises pour protéger leur droit de propriété intellectuelle et par là même de renforcer leur compétitivité et celle de notre économie.

L’innovation et la créativité font partie integrante de la culture économique francaise. Cependant, le nombre de brevets déposés à l’INPI tournent autour de 17 000 par an, ce qui ne reflète pas vraiment le dynamisme innovant de notre pays. Ce décalage indique clairement que la France doit faciliter et renforcer la protection de l’innovation dans un contexte mondial toujours plus concurrentiel. C’est précisement le sens du volet « propriété industrielle » de la loi PACTE promulgué le 23 mai dernier.

Par Serge de Cluny

Les entreprises françaises, quelle que soit leur taille, bénéficieront désormais d’un accès simplifié aux titres de propriété industrielle et ceux-ci verront leur solidité se renforcer. Les dispositions de la loi PACTE vont permettre aux PME et ETI d’accéder à la protection de leur propriété intellectuelle de facon plus simple, plus progressive et plus flexible grâce à des outils tels que la demande provisoire de brevet, la prologation du certificat d’utilité ou encore le brevet à examen approfondi.

La loi Pacte va par ailleurs renforcer la solidité des titres de propriété industrielle français et accroitre la confiance et la sécurité juridique de ces titres par des mesures telles que l’examen de l’activité inventive ou encore la mise en place de l’opposition administrative.
Ce volet « propriété industrielle de la loi Pacte » et les mesures qui vont avec représentent une amélioration historique de notre système de protection de l’innovation et c’est précisement la raison pour laquelle le gouvernement a choisi de l’inscrire dans la grande réforme économique de ce quinquennat.

L’INPI (Institut National de la Propriété Industrielle) ainsi que l’ensemble des acteurs de l’écosystème de la propriété industrielle sont résolument décidés à accompagner les entreprises françaises dans cette direction. Les partenaires historiques de l’INPI (Bpifrance, le Medef, Business France, les régions et en premier lieu les conseils en propriété industrielle) seront, de fait, impliqués dans cette évolution qui se fera sous le signe de la dématérialisation des procédures. Celle-ci, initiée depuis quelques années et achevée sous peu, va permettre à l’INPI de remobiliser des ressources humaines et financières et de mettre en place les outils et les accompagnements nécessaires à l’organisation de ce nouveau système.

L’INPI, présente dans toutes les régions de l’hexagone et à l’international, semble clairement obtenir les moyens de la réussite dans son rôle d’accompagnement et d’aide aux PME et ETI françaises pour protéger leur droit de propriété intellectuelle et par là même de renforcer leur compétitivité et celle de notre économie.

Le B7 s’est réuni les 4 et 5 juillet sous la présidence du MEDEF à Aix en provence. Accueilli par « the camp« , l’évènement a eu pour thème cette année « Inclusive, Sustainable Economic Growth and Governance for the 21st Century » (Croissance économique et gouvernance inclusives pour le 21e siècle). Pour la première fois, un accord semble se dessiner avec le L7 qui représente les syndicats.  

Les délégations du B7 ont d’abord été reçues à l’Elysée le 3 juillet par le président de la République Emmanuel Macron avant l’ouverture officielle du sommet par Geoffroy Roux de Bézieux et ses homologues étrangers.
Plusieurs représantants du gouvernement étaient également présents comme Muriel Pénicaud ou Jean-Baptiste Lemoyne.
Enfin, les débat ont été clôturés par Christine Lagarde, l’actuelle directrice générale du FMI et future présidente de la BCE.

The Camp - B7

Les chefs d’entreprise et experts internationaux des pays membres du G7 (Allemagne, Canada, États-Unis, France, Italie, Japon et Royaume-Uni) se sont réuni pour le B7 en lien direct avec l’agenda du G7 qui aura lieu à Biarritz en août prochain autour de la lutte contre les inégalités.

Le B7 est la plateforme officielle du monde économique en lien avec le G7. En effet, l’évènement rassemble les principales fédérations patronales des pays du G7 et a pour fonction de formuler des recommandations sur des thématiques en rapport avec l’activité des entreprises et le commerce international.
Le sommet a abordé cette année des thèmes aussi variés que la transition numérique et la cybersécurité, le commerce et les investissements internationaux, le climat et la biodiversité ou encore les inégalités.

Il est à noter que pour la première fois de l’histoire des sommets Business 7, les représentants des syndicats (L7) et des entrepreneurs (B7) s’accordent sur un agenda social en vue du G7.
Cet accord donne un élan inédit à la question de la croissance durable, de même que les Accords de Paris ont marqué un tournant pour la question climatique. Le G7 devrait mettre le sujet à l’ordre du jour afin que soit proposé un accord sur une réforme globale de la gouvernance internationale replaçant le social au cœur du projet. 





La protection des données ne peut être solutionnée uniquement par la sécurité informatique. En effet, les données sensibles sur papier ou supports numériques, également soumis à la RGPD européenne, doivent être sécurisées et systématiquement détruites.
HSM France, dont le siège social est en Allemagne, propose toute une gamme de destructeurs de documents avec différents niveaux de sécurité qui répondent à l’ensemble des enjeux qu’une entreprise peut rencontrer dans ce domaine.
Pascal Lux, Directeur Commercial HSM France, nous en fait la démonstration.

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