...

SME-ETI

Cette sixième édition de Bpifrance Inno Génération va vous surprendre ! Libres, vivants, fous, barbares, optimistes, performants, libres, confiants et surtout volontaires… Entrepreneurs, vous étiez 52000 l’année dernière, alors soyez présents le 1er octobre pour célébrer toutes les énergies entrepreneuriales lors de l’édition 2020 de Bpifrance Inno Génération.

Bpifrance Inno Génération 2020 se tiendra le 1er octobre 2020 à l’Accor Arena Paris. L’évènement fait son grand retour avec une 6ème édition totalement dédiée à la liberte (dont tout le monde a pu ressentir l’importance ces derniers temps).

Cette année, répondez à l’appel de Nicolas Dufourcq et venez célébrer le renouveau toujours plus nombreux. Entrepreneurs de TPE, PME et ETI, nous avons traversé cette période ensemble[s], alors retrouvons-nous pour fêter la liberté d’entreprendre le 1er octobre 2020 à l’AccorHotels Arena pour le plus grand rassemblement business d’Europe.

Pour cette sixième édition, l’événement se déroulera autour d’un thème fort, celui de la liberté. Liberté de créer. Liberté comme levier pour transformer et construire le monde de demain. En rassemblant tous les entrepreneurs de France, le 1er octobre 2020, Bpifrance Inno Génération rappelle que l’entrepreneuriat est en train de grandir.

Pour évoquer ce thème et inspirer le public, la scène principale du BANG s’agrandit cette année afin de permettre à tous les entrepreneurs de suivre les interventions des 70 speakers nationaux et internationaux. Les participants auront également l’opportunité d’échanger et de développer leur business grâce à de nouveaux espaces de conférences, avec encore plus de contenus et des rendez-vous one-to-one avec des directeurs achats de grands groupes, réseaux de business angels ou conseillers export et financement… Le Festival des Innovations accueillera quant à lui une centaine de startups qui animeront l’espace et réaliseront des démonstrations le Jour J.

Les Créateurs, startuppers, grands groupes, étudiants, chercheurs sont également les bienvenus à la Bpifrance Inno Génération 2020 avec au programme plus de 400 ateliers et conférences :

•  Créateurs : « Comment rebondir après une crise ? »
•  Industriels : « Vers une nouvelle autonomie industrielle européenne, quels enjeux pour de futures filières prometteuses ? »
•  Grands groupes et startups : « Bonnes pratiques de collaborations entre grands groupes et startups Deeptech »

Et de nombreux autres ateliers à découvrir en exclusivité !

Au programme

  •  1 000 intervenants
  •     400 ateliers et conférences

…du contenu utile pour TOUS :

  • créateurs d’entreprises,
  • startuppers,
  • grands groupes,
  • TPE, PME, ETI…

Des premières thématiques d’ateliers révélées :

  • « Entrepreneurs et créateurs, rebondissez après la crise »
  • « La Deeptech au service du climat »
  • « L’industrie décarbonée : une opportunité pour gagner en compétitivité »
  • « Booster l’entrepreneuriat féminin »
  • « Entreprises innovantes : financez votre projet de développement avec l’Europe »

Informations pratiques

Inscrivez-vous dès maintenant

Le premier ministre Jean Castex a demandé ce lundi 14 septembre aux entreprises de signer « massivement » d’ici au 1er novembre, des accords d’activité partielle de longue durée pour protéger l’emploi. Ce nouveau dispositif, objectif premier du plan de relance, va permettre de réduire le temps de travail d’au maximum 40% pendant une période de six à 24 mois, sous réserve d’un accord d’entreprise ou de branche.

Par Franck Boccara

Le nouveau Premier ministre, Jean Castex, a appelé ce lundi les branches et les entreprises à signer « massivement et très vite, d’ici au 1er novembre », des accords d’activité partielle de longue durée pour protéger l’emploi : « Je vous engage à conclure massivement et très vite, d’ici au 1er novembre, des accords d’activité partielle de longue durée dans les branches et dans les entreprises »

Si l’Etat a consenti « un effort historique inédit » avec ce plan de relance de 100 milliards d’euros, « tout cela ne fonctionnera qu’à une seule et unique condition : votre totale mobilisation », a déclaré le premier ministre, lors d’une visite de l’usine Bic à Montévrain (Seine-et-Marne) en présence de la ministre du Travail Elisabeth Borne, du ministre de l’Economie Bruno Le Maire et de la ministre déléguée à l’Industrie Agnès Pannier-Runacher. . « Ces accords permettent d’organiser la formation de vos équipes pendant les périodes de chômage » alors « il faut y aller (…) il faut s’engager, il faut négocier », a exhorté Jean Castex.

Le dispositif d’activité partielle de longue durée garantit 93% du salaire net

L’activité partielle de longue durée est un nouveau dispositif mis en place par le gouvernement qui permet, uniquement dans le cadre d’un accord d’entreprise ou de branche, de diminuer le temps de travail d’au maximum 40% pendant une période allant de six à 24 mois. Plus avantageux que le chômage partiel classique qui est limité à six mois, il garantit 93% du salaire net. Ce nouveau dispositif restera en vigueur jusqu’à l’été 2022 et jusqu’à l’été 2021 aux conditions actuelles d’aide aux entreprises.

Le premier ministre Jean Castex a demandé ce lundi 14 septembre aux entreprises de signer « massivement » d’ici au 1er novembre, des accords d’activité partielle de longue durée pour protéger l’emploi. Ce nouveau dispositif, objectif premier du plan de relance, va permettre de réduire le temps de travail d’au maximum 40% pendant une période de six à 24 mois, sous réserve d’un accord d’entreprise ou de branche.

Par Franck Boccara

Le nouveau Premier ministre, Jean Castex, a appelé ce lundi les branches et les entreprises à signer « massivement et très vite, d’ici au 1er novembre », des accords d’activité partielle de longue durée pour protéger l’emploi : « Je vous engage à conclure massivement et très vite, d’ici au 1er novembre, des accords d’activité partielle de longue durée dans les branches et dans les entreprises »

Si l’Etat a consenti « un effort historique inédit » avec ce plan de relance de 100 milliards d’euros, « tout cela ne fonctionnera qu’à une seule et unique condition : votre totale mobilisation », a déclaré le premier ministre, lors d’une visite de l’usine Bic à Montévrain (Seine-et-Marne) en présence de la ministre du Travail Elisabeth Borne, du ministre de l’Economie Bruno Le Maire et de la ministre déléguée à l’Industrie Agnès Pannier-Runacher. . « Ces accords permettent d’organiser la formation de vos équipes pendant les périodes de chômage » alors « il faut y aller (…) il faut s’engager, il faut négocier », a exhorté Jean Castex.

Le dispositif d’activité partielle de longue durée garantit 93% du salaire net

L’activité partielle de longue durée est un nouveau dispositif mis en place par le gouvernement qui permet, uniquement dans le cadre d’un accord d’entreprise ou de branche, de diminuer le temps de travail d’au maximum 40% pendant une période allant de six à 24 mois. Plus avantageux que le chômage partiel classique qui est limité à six mois, il garantit 93% du salaire net. Ce nouveau dispositif restera en vigueur jusqu’à l’été 2022 et jusqu’à l’été 2021 aux conditions actuelles d’aide aux entreprises.

Le commerce extérieur n’a pas été oublié dans le plan France Relance puisqu’il va se voir attribuer 247 millions d’euros sous forme de chèques-export, de veille gratuite ou encore de chèque VIE principalement à destination des PME et ETI… voici le détail.

Par Serge de Cluny

Le plan de relance de l’économie française de 100 milliards d’euros décidé par le gouvernement et présenté par le Premier ministre Jean Castex est composé de 70 mesures censées contrecarrer les ravages de la pandémie. Ces mesures, qui seront déployées entre 2021 et 2022, sont destinées principalement à la transition énergétique, la compétitivité des entreprises ou encore la cohésion territoriale. Cependant, le commerce extérieur aura lui aussi droit à sa part d’aide.

247 millions d’euros pour soutenir le commerce extérieur

Le plan France Relance, conscient de l’importance stratégique que représente la présence économique française à l’international, apporte un soutien financier de 247 millions d’euros aux PME et ETI exportatrices à travers différentes mesures :

  • Mobilisation de l’ensemble de la Team France Export : l’équipe de France de l’export réuni des organismes tels que Business France, les CCI, Bpifrance, les régions et les partenaires de l’export (CCEF, acteurs privés, etc…). La Team France Export, qui a été lancée par Edouard Philippe en 2018 met au service des entreprises exportatrices des réseaux sur le territoire français et partout dans le monde.
  • Renforcement de l’assurance-prospection, très sollicitée par les PME et ETI primo-exportatrices. Ce levier sera dorénavant utiliser pour financer plus de projets allant vers la transition écologique. Une offre d’assurance-prospection-accompagnement pour les projets plus petits sera également mise en place.
  • Le chèque-export qui représentera un soutien financier aux PME et ETI achetant des prestations de projections à l’export : celui-ci prendra en charge jusqu’à 50 % des coûts de participation à un salon à l’étranger ou à l’achat d’une prestation de projection collective ou individuelle (cette prise en charge sera limitée à un plafond). Grâce à ces chèques-export, 15 000 prestations pourront être subventionnées.
  • Le chèque VIE qui prendra en charge l’envoi en mission d’un VIE par une PME ou ETI à hauteur de 5000 euros ou financera également l’envoi à l’international de VIE issus de formations courtes ou venant des quartiers prioritaires de la politique de la ville. Ce seront 3 000 missions qui seront financées par ce moyen.
  • l’enveloppe FASEP sera doublée (50 M€) pour renforcer le soutien aux entreprises exportatrices qui sont candidates à des projets d’infrastructures dans les pays émergents et qui font face à un environnement toujours plus concurrenciel. Cette enveloppe permettra aussi de financer des études portant sur des infrastructures et démonstrateurs pour des technologies innovantes, notamment dans le domaine de la transition technologique.
  • Une veille-information sera mise en place sur les marchés pour les exportateurs de façon personnalisée et gratuite et sera proposée sur les interfaces de Business France.

La cession d’entreprise est un évènement décisif dans la vie d’un dirigeant mais c’est aussi une opération financière complexe dont la réussite patrimoniale dépend avant tout de l’anticipation. Frédéric Poilpré, Directeur de l’ingénierie patrimoniale chez SOCIÉTÉ GÉNÉRALE PRIVATE BANKING, nous livre quelques précieux conseils… le temps d’un café.

L’Etat, qui soutient les entreprises en difficulté depuis le debut de la crise sanitaire, poursuit et renforce ses mesures dans son plan de relance de la rentree pour renforcer les fonds propres des TPE, PME et ETI.

Le ministère de l’Economie, des Finances et de la Relance prouve qu’il tient les promesses faites durant l’été. En effet, un budget de 3 milliards d’euros sera débloqué dans le cadre du plan « France Relance » du 3 septembre pour consolider le capital et renforcer les fonds propres des TPE, PME et ETI que la crise de Covid-19 a fortement impactées. 

Bruno Le Maire, ministre de l’Economie, des Finances et de la Relance a rappelé lors de l’annonce du plan que 470 milliards d’euros avaient été « mis sur la table pour soutenir nos entreprises, en particulier les TPE/PME, et pour protéger les salariés » à la fin juillet. Ce sont environ 1.7 million d’entreprises qui ont percu le fonds de solidarité pour un montant total de 58 milliards d’euros et 600 000 entreprises qui ont utilisé le PGE (Prêt Garanti par l’Etat) dont le total des encours a dépassé les 120 milliards d’euros

Le gouvernement a décidé d’actionner avec ce budget des mesures plus « offensives » selon Bercy, afin d’aider les TPE, PME et ETI à se développer en les permettant de consolider leur capital et de relancer ainsi l’investissement. Au delà de solutions de soutien visant à limiter le nombre de défaillances d’entreprises, le communiqué du gouvernement explique que « face à la dégradation du bilan des TPE, PME et ETI […], il importe de leur apporter des fonds propres et quasi-fonds propres pour restaurer leur capacité d’investissement. La mobilisation des investisseurs institutionnels (banques, assureurs, fonds de capital-investissement) avec le soutien de l’État, pourra contribuer à répondre à ces besoins de financement »

Les 2 grandes mesures pour renforcer les fonds propres 

  • Bpifrance offre une garantie publique d’un milliard d’euros

« Elle pourra être accordée aux placements financiers qui recevront un label « France Relance ». Ce label sélectionnera les fonds les plus pertinents pour une reprise durable de l’économie permettant à chacun d’orienter son épargne vers les financements de long terme utiles aux PME et ETI. »

  • Des prêts participatifs pourront être accordés aux TPE, PME, et ETI à hauteur de 10 à 20 milliards d’euros

« Les réseaux bancaires pourront octroyer des prêts participatifs, c’est-à-dire des prêts de long terme, subordonnés et assimilés à des financements en quasi-fonds propres. Les prêts participatifs consentis par les banques seront partiellement conservés par celles-ci pour assurer un alignement d’intérêt dans la sélection des entreprises bénéficiaires. Ils pourront être refinancés par des investisseurs professionnels pour leur compte propre ou pour le compte de leurs assurés/clients. Ce dispositif sera soutenu par une garantie partielle de l’État. » 

mutualisation des ressources : une solution pour les PME face aux défis de la durabilité

Le 11 mai dernier la France sortait d’une période inédite qui a plongé un grand nombre d’entreprises dans une sorte de léthargie fonctionnelle. La fin du confinement interprétée trop souvent à tort comme une ligne d’arrivée a plutôt initié un nouveau départ avec toutes ses interrogations. Comment repartir du bon pied et faire en sorte qu’une année amputée de quelques semaines d’activités ne plombe pas trop le résultat de l’entreprise ? Comment est-ce que nos collaborateurs vont se comporter vis-à-vis de cette épidémie ?

Par Hervé Retailleau – dirigeant de CEMAFOR CONSEIL

Autant de questions que chaque chef d’entreprise, chaque manager de service ont à l’esprit depuis un peu plus de 3 mois. Regrouper les troupes est la première chose à faire avant de parler chiffre d’affaire ou indicateurs de performance. Cela passe par une modification de l’échelle du temps dans les structures en privilégiant des points managériaux plus rapprochés, en évitant de se projeter trop loin.

Du training individuel renforcé, des points journaliers, hebdomadaires voir mensuels pour suivre au plus près l’évolution des comportements dans vos structures. La période d’avant congés est maintenant derrière nous, il nous faut repartir du bon pied et se concentrer sur le dernier quadrimestre où il est important de relancer la machine, d’avancer pour rechercher de la performance de bien terminer l’année pour préparer 2021. Le meilleur moyen de se faire peur est de vouloir comparer l’année en cours avec l’année passée. Oublier ses indicateurs, rester plutôt concentrer sur ses équipes, sur les progrès qu’elles font même s’ils paraissent modestes.

Cette période post-confinement est synonyme d’inconfort, de stress voir peut-être choquante pour certains. Afin de luter efficacement contre ce sentiment d’inconfort, des solutions existent :

  • 1. Donner du sens, expliquer pourquoi l’échelle de temps n’est plus la même, pourquoi les process ne sont pas les mêmes, pourquoi les mesures sanitaires doivent être respectées même si elles sont contraignantes.
  • 2. Savoir définir des priorités, être à la fois focus et résilient
  • 3. Aider et accompagner ses collaborateurs avec la mise en place de training ou/et de coaching individuel.
  • 4. Manager sans doute plus qu’à l’habitude, être au plus près de vos équipes en apportant de la reconnaissance au quotidien.

En se focalisant sur l’humain, c’est 25 % de performance globale à aller chercher. Privilégier la qualité des heures travaillées à la quantité semble plus opportun pendant cette période si particulière. Le défi qui attend nombre d’entreprises pour repartir du bon pied est de pouvoir concevoir un environnement physique et psychologique et des pratiques qui génèrent structurellement de l’engagement et de l’efficacité chez les collaborateurs pour une meilleure performance globale et collective.

Aujourd’hui et sans doute encore plus qu’hier, la coopération est devenue un impératif absolu dans un monde de complexité ou aucun individu ne dispose du savoir ou des informations nécessaires pour avancer seul. Mais comme souvent, le savoir n’est pas suffisant et le clamer haut et fort dans l’entreprise ne l’est pas non plus. Les salariés d’une entreprise travailleront véritablement ensemble non parce que la direction le leur demande, mais parce qu’elle a créé les conditions pour que chacun soit incité à le faire en activant les bons facteurs d’influence du comportement.

France Relance va consacrer 7 milliards d’euros au numérique et aux start-up alloués directement par le biais de participation aux levées de fonds, d’aide à la transformation digitale des entreprises et des services de l’Etat ainsi que par la formation aux métiers du numérique. Le gouvernement, à travers ces subventions, aimerait dénicher quelques perles de la French Tech, notamment dans le domaine des technologies de rupture.

Par Franck Boccara

Le plan de relance de l’économie de 100 milliards d’euros, baptisé par le gouvernement « France Relance », a pour objectif de rendre à la France en 2022 son niveau d’activité d’avant la crise du Covid-19 et ainsi amorcer une baisse du chômage. Le numérique et les start-up vont bénéficier d’environ 7 milliards d’euros entre 2020 et 2022. Cédric O, secrétaire d’Etat chargé de la Transition numérique et des Communications électroniques, est intervenu à plusieurs reprises ces derniers jours pour détailler le volet numérique du plan « France Relance », présenté comme un élément central de ce plan de relance avec trois principaux axes « développer notre écosystème FrenchTech », « Fibrer toute la France et lutter contre l’illectronisme », « Numérisation de l’État, des territoires et des entreprises ».

Dans le détail, le gouvernement va débourser 3,7 milliards d’euros pour les start-up et la souveraineté technologique, dont 2,4 milliards d’euros pour les technologies de rupture. « Les technologies de rupture font partie des technologies critiques qu’on estime devoir maîtriser pour des raisons de souveraineté », explique Cédric O en précisant que « s’agissant des technologies de rupture, il y a d’abord le sujet de la compétitivité. Il est nécessaire d’investir pour qu’en termes de performance et rapport qualité prix, les start-up françaises soient au même niveau que les start-up à l’international ».

500 millions d’euros doivent être directement dédiés aux start-up, notamment pour soutenir les levées de fonds les plus importantes. Ce soutien est censé faire émerger des leaders européens et mondiaux, comme le voulait Emmanuel Macron lorsqu’il annoncait en septembre 2019 qu’il souhaitait voir émerger 25 licornes françaises en 2025. 
Bpifrance, de son côté, va investir près de 400 millions d’euros en 2021, contre 250 millions aujourd’hui et augmenter ainsi le volume global de ses investissements pour aider à l’émergence des pépites françaises sur la scène internationale. Enfin, le PIA (Plan d’Investissement d’Avenir) va augmenter de 60% les aides dédiées à l’innovation pour un total de 800 millions d’euros dont bénéficiera la French Tech pour poursuivre sa mission de fédération d’un écosystème reconnu à l’international.

De plus, 2,3 milliards d’euros sont prévus pour la transformation numérique de l’Etat et des entreprises dont 1,7 milliard d’euros à la transformation numérique de l’État et des territoires. Le gouvernement explique, dans un communiqué, le besoin de « financer le déploiement d’une identité numérique de niveau élevé, la modernisation et la sécurisation des infrastructures numériques de l’État, et l’utilisation de technologies numériques de pointe par les administrations« . Sur ces 2,3 milliards, 385 millions d’euros sont également consacrés à l’accompagnement dans la transformation numérique des TPE, PME et ETI qui est d’autant plus indispensable que « les entreprises françaises sont en retard sur ce sujet », selon Cédric O. Enfin, 200 millions d’euros iront directement aux filières automobile et aéronautique.

La formation n’a pas été oubliée avec 300 millions d’euros dédiés à la formation au digital pour venir en aide aux travailleurs dont les métiers sont affectés par la crise et leur offrir une possible reconversion dans les métiers du numérique. Pour terminer, 800 millions d’euros vont être investis dans la numérique du quotidien pour accélérer la généralisation de la couverture fibrée sur l’ensemble du territoire et pallier de cette facon à la fracture numérique et l’illectronisme.

Le plan de relance présenté jeudi 3 septembre par le Premier ministre Jean Castex fait la part belle aux TPE, PME et ETI en leur accordant 75% de la baisse des impôts de production estimée à 10 milliards d’euros par an. Le gouvernement confirme ainsi qu’il mise clairement sur les PME et ETI pour renforcer la compétitivité de l’économie française.

Par Franck Boccara

Le modèle du Mittelstand allemand sera-il atteint grâce à la crise du Covid-19 ? Il est encore trop tôt pour le dire mais le plan de relance annoncé par le premier ministre prend cette direction en privilégiant les PME et ETI par rapport aux grandes comptes. Il est notamment prévu de réduire de façon pérenne les impôts pesant sur les facteurs de production à hauteur de 10 milliards d’euros dès l’année prochaine. Ces impôts, qui sont payés par les entreprises même lorsqu’elles ne sont pas bénéficiaires, coûtent actuellement deux fois plus cher en France (3,2 % du PIB) que chez nos voisins européens.

Cette fiscalité, pointée du doigt par le patronat depuis de nombreuses années, se voit finalement allégée par ce plan de relance et va profiter à 42 % ETI, 32 % aux TPE-PME et 26 % aux grandes entreprises selon les calculs du gouvernement.
Parmi les différentes options dont le gouvernement disposait, il a opté pour une baisse de 50 % de la cotisation sur la CVAE (Valeur Ajoutée des Entreprises) pour un total de 7 milliards d’euros et pour une réduction de 50% également pour les taxes foncières. Parmi celles-ci, la CFE (Cotisation Foncière des Entreprises) sera verra réduite de 1,54 milliard d’euros et la TFPB (Taxe Foncière sur les Propriétés Bâties) de 1,75 milliard.

L’idée d’une nouvelle réduction de la C3S (contribution sociale de solidarité des sociétés) a été mise de côté toujours dans l’intérêt des PME et ETI puisqu’elle aurait profité principalement aux grandes entreprises dans la mesure où elle a été supprimée pour celles-ci sous le quinquennat précédent

Autre point important : la baisse de 10 milliards des impôts de production en 2021 sera davantage orientée vers l’industrie (37 % du gain) que vers le commerce (15 %) selon le gouvernement qui confirme ainsi la volonté du plan de relance de favoriser une réindustrialisation de la France et une incitation à une relocalisation dans les territoires.

La soirée des présidents revient ! Le “TIVANO” vous accueillera le mardi 22 septembre 2020 aux pieds de la Tour Eiffel pour un événement « festif et professionnel ». Cette soirée exceptionnelle s’annonce comme un moment privilégié de rencontres et un havre de paix après les secousses auxquelles nous fûmes confrontés.

Vous serez reçu directement par Catherine Marascia, l’organisatrice de ce grand cocktail dînatoire au cours duquel vous pourrez :
 
• Déguster différents mélanges exotiques, vins et Champagne
•  Participer à un périple séquanais
•  
Faire des rencontres favorisées entre dirigeant(e)s
•  
Assister à la conférence d’un intervenant au top !

En bref, une synergie forte dont vous serez vous aussi les acteurs
(et plus seulement une solution à la recherche d’une problématique 😉)

L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est tiviano-int%C3%A9rieur.png.

AU PROGRAMME

Accueil :
– 18h45/20h : Coupe d’accueil
Dégustation de cocktails sans alcool et avec alcool proposé par Can Elie, agrémenté d’un sirop de canne à sucre sélectionnée avec rigueur. Dégustation de Champagne haut de gamme Alain Edouard

  • 20h/21h : Conférence du professeur Pascal Faucon 
    Directeur du CFP Talent
    Spécialiste en Marketing Digital
    Expert LinkedIn

Thème: Marketing Digital et réseaux sociaux

LinkedIn aujourd’hui
– 20 millions d’utilisateurs français
– Un espace d’influence incontournable pour les dirigeants et les managers
– Comment accélérer sa croissance  
– Comment construire une usine digitale
– Quels sont les processus clés pour transformer le virtuel en réel                                                

  • 21h/23h : Départ du Tivano 
    Cocktail dînatoire, vin, Champagne, boisson non alcoolisées.
    Et pour un plaisir partagé, nous pourrons profiter de la présence exceptionnelle du groupe Tribal World en piano-voix avec un répertoire varié (Chanson française, internationales, pop, soul et jazz)

Toutes les conditions sanitaires seront respectées et le port du masque sera obligatoire lors de la conférence. Cependant, même si nous sommes dans une configuration différente liée aux nouvelles réglementations sanitaires, l’esprit de la soirée des Présidents vous promet une belle soirée séquanaise, et le plaisir de redécouvrir Paris.

Possibilité d’accueil maximale de 80 à 100 personnes

Le tout au tarif exceptionnel de 99€

Plus d’infos

Je réserve

INSCRIVEZ-VOUS À NOTRE NEWSLETTER
AUX DERNIÈRES NOUVELLES
×

Vous êtes dirigeant ou cadre ?
Vous avez une question ou besoin d'une information ?

Le respect de votre vie privée est notre priorité

L’accès au site implique l’utilisation de cookies mais celle-ci est subordonnée à votre consentement.