Pure London est beaucoup plus qu’un simple salon de la mode. C’est un rendez-vous qui réunit les esprits les plus brillants du secteur de la mode deux fois par an pour présenter les meilleur collections de la saison, renifler les dernières tendances, obtenir des informations commerciales exclusives et créer des connexions avec l’international. La participation française au Choose France @ Pure London S/S 2022 est organisé par HYVE GROUP.
Pure London est le principal salon de la mode au Royaume-Uni . Organisé deux fois par an à l’emblématique Olympia London, Pure London est la plate-forme idéale pour les marques émergentes et les plus grandes marques de se connecter avec les acheteurs et les détaillants qui sont les plus importants pour eux.
L’évènement bénéficiera des largesses des gouvernements de plusieurs marchés, bien décidés à utiliser ce type d’événement pour doper les exportations après la crise sanitaire. La nouvelle équipe internationale a déjà réussi à s’assurer “des subventions d’acteurs-clés, comme la France et la Pologne, pour soutenir son offre de marques internationales“.
En partenariat avec Business France et Team France Export, le programme ‘Choose France‘ de Chèque Relance Export va couvrir 50% des dépenses éligibles des marques françaises décidant de participer au salon, dans la limite de 2 500 €.
Pure London est de ce fait la destination de salon idéale pour les détaillants qui cherchent à élargir leur offre de produits, découvrir leur prochain best-seller et garder une longueur d’avance. Soyez l’une des marques que les acheteurs recherchent chez Pure London .
Qui sera présent ?
Vous y rencontrerez les acheteurs et les professionnels de l’industrie qui assistent à Pure London chaque saison, des grands noms de la maison aux petites boutiques indépendantes. Chaque saison, nous accueillons les principaux détaillants à travers les portes d’Olympia London, vous aidant à faire connaître votre marque aux acheteurs qui comptent le plus pour vous.
Pure London fournit une plate-forme mondiale pour les marques et les designers de vêtements pour femmes, hommes et enfants pour rencontrer les acheteurs qui comptent le plus pour leur entreprise. Rejoignez la prochaine édition à notre retour à l’emblématique Olympia à Londres, du 17 au 19 juillet 2022.
Contact: HYVE GROUP Nihat BERKTAS
nihat.berktas@hyve.group
Le nouveau gouvernement d’Elisabeth Borne a été annoncé ce lundi 4 juillet au matin et c’est Olivia Grégoire, actuelle porte-parole du gouvernement, qui est nommée ministre déléguée chargée des PME, du Commerce, de l’Artisanat et du Tourisme. Elle remplace Jean-Baptiste Lemoyne à ce poste et exercera sous la tutelle de Bruno Le Maire avec lequel elle travaille de longue date puisqu’elle fut présidente de la Commission spéciale chargée d’examiner le projet de loi «Pacte» à l’Assemblée nationale en 2019, texte majeur du précédent quinquennat.
Par Franck Boccara
Macroniste de la première heure, Olivia Grégoire et son entourage se félicitent de l’obtention de ce large périmètre ministériel. Jusqu’alors porte-parole du gouvernement, ces nouvelles fonctions collent avec un parcours professionnel riche à cheval entre les secteurs publics et privés sur lequel il est utile de revenir pour mieux cerner l’approche économique de la nouvelle ministre.
Née le 30 septembre 1978 à Paris, Olivia Grégoire est diplômée de l’Institut d’études politiques (IEP) de Paris et de l’École supérieure des sciences économiques et commerciales (ESSEC). Elle a occupé le poste de chargée de mission auprès du Premier ministre de 2002 à 2005 pour devenir conseillère communication du ministre de la Santé et des Solidarités, de 2005 à 2007.
Après cela, on la retrouve dans le secteur privé au sein d’entreprises telles que le Groupe DDB (directrice de la communication et du développement durable), W&Cie, Saint-Gobain ou encore Avisa Partners. Elle sera également directrice éditoriale et communication d’Etalab – services du Premier ministre, de 2011 à 2014.
Elle fonde ensuite un cabinet de conseil du nom d’Olicare qu’elle dirigera entre 2014 et 2017. Elle sera également été députée de Paris de 2017 à 2020, porte-parole La REM à l’Assemblée nationale, vice-présidente de la commission des finances, réélue le 19 juin 2022.
En 2020, elle est nommée Secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Économie, des Finances et de la Relance, chargée de l’Économie sociale, solidaire et responsable jusqu’en 2022 puis Secrétaire d’État auprès de la Première ministre, Porte-parole du Gouvernement.
Actuellement ministre déléguée chargée des PME, du Commerce, de l’Artisanat et du Tourisme au sein d’un gouvernement dont la longévité est menacée, Olivia Grégoire devra naviguer à vue pour mener les chantiers qui l’attendent et laisser une empreinte positive. On lui souhaite bonne chance.
Qu’est-ce qu’une RC Pro ? Les activités d’une entreprise peuvent être à l’origine de dommages causés à des tiers qui sont alors en droit de réclamer réparation. Ce risque peut être couvert par une assurance dite «responsabilité civile». Concrètement, l’assurance RC Pro couvre l’entreprise et rembourse à la victime concernée tout ou une partie des dommages.
La RC Pro est-elle obligatoire ?
A la différence d’une assurance auto, cette forme de garantie n’est pas obligatoire (dans la plupart des cas), même si elle est fortement conseillée lors de l’ouverture d’une entreprise pouvant causer des dommages à des tiers (tatoueurs, auto-école, commerce, restaurants…). Néanmoins, comme évoqué juste au-dessus, certaines professions sont dans l’obligation de souscrire à une RC Pro. En effet, les professions règlementées (avocats, notaires, experts comptables, agents immobiliers, agents d’assurance, professionnels de santé…) doivent obligatoirement souscrire une assurance RC Pro.
Exemples concrets
Dans le cas d’un commerçant : un client glisse dans le magasin et se blesse. Il met en cause la responsabilité du magasin. La Responsabilité Civile Professionnelle du commerçant est alors invoquée.
Dans le cas du patron d’un restaurant ou traiteur : plusieurs clients ont été hospitalisés suite à une intoxication alimentaire. Ils mettent en cause la Responsabilité Civile Professionnelle du restaurateur / traiteur.
Dans le cas d’un professionnel du bâtiment : un échafaudage tombe sur des voitures garées sur la voie publique. L’entreprise est responsable de l’accident. Sa RC Pro est alors invoquée.
Plus précisément, une assurance RC pro couvre :
Les dommages matériels ;
Les dommages immatériels ;
Et les dommages corporels.
Y a-t-il des conditions pour que la Responsabilité Civile Professionnelle soit invoquée ?
En effet une seule condition doit être respectée afin d’invoquer la RC Pro, mais laquelle ? Tout simplement, les dommages doivent être causés involontairement. La Responsabilité Civile Professionnelle ne peut pas tout le temps tout couvrir. En effet, cette absence de couverture est due, la plupart du temps, à des cas d’exclusion communs par la plupart des compagnies d’assurances. Il s’agit notamment des cas de :
Faute intentionnelle ;
Actes illégaux comme la concurrence déloyale ou la contrefaçon ;
Amendes pénales ou pénalités ;
Risques couverts par d’autres contrats ;
Mission mal exécutée par l’un des salariés non qualifié.
Où trouver une RC Pro ?
Pour obtenir une attestation de RC professionnelle, il faut souscrire auprès d’une assurance ou d’un courtier qui évaluera les besoins selon la taille de l’entreprise et le secteur d’activité. Dans certains cas, il sera nécessaire de fournir des pièces justificatives en fonction de l’activité.
Initié par FRANCE NUM et Bpifrance, ce webinaire qui aura lieu le lundi 4 juillet à 9h est organisé par la CPME Paris Ile-de-France. Son but est de vous donner quelques conseils élémentaires de détection et de lutte contre la cybermalveillance dont les techniques évoluent sans cesse et qui menace plus que jamais les PME et ETI.
La cybermalveillance est destinée à perturber un système informatique ou un réseau en volant des données ou en accédant à des fichiers non autorisés. Elle menace aussi bien les particuliers que les entreprises dont elles peuvent paralyser totalement l’activité.
Ransomwares, fraudes au RIB, défiguration ou usurpation de sites internet, phishing : les cyberattaques explosent et se diversifient. Le but de ce webinaire : vous aidez à appréhender au mieux ces cybermenaces et à vous en protéger.
Le programme :
Nous vous proposons de découvrir ces problématiques à travers différents points :
La sécurité routière dans l’entreprise représente un enjeux majeur dans la gestion des risques de nos PME et ETI. Au-delà de sa vocation première de sauvegarde de la vie humaine et de la santé, l’accidentologie permet aussi de réduire les coûts. Entre réglementation, prévention et formation, voici les pistes pour optimiser la sécurité du personnel sur la route.
Par Franck Boccara
Les accidents de la route occupent toujours la première place des risques mortels au travail et la réglementation s’adapte en imposant aux chefs d’entreprises une obligation de résultat dans la prévention des risques liés à l’utilisation d’un véhicule dans le cadre professionnel. Ce risque est d’ailleurs encadré au niveau réglementaire par le Code de la route, le Code du travail, le Code pénal et le Code civil. cette responsabilité incombe au DRH qui est tenu de créer un document unique qui analyse les risques routiers et de mettre en place les solutions nécessaires. Ces mesures sont accompagnées d’une obligation de résultat pour les entreprises qui doivent prouver la mise en oeuvre de tous les moyens de prévention et de formation.
Le coût des accidents
Les sinistres coutent à l’entreprise à peu près autant que le carburant, les loyers des véhicules ou les coûts d’acquisition. C’est dire le budget que les PME et ETI consacrent aux accidents, car ceux-ci engagent des coûts directs et indirects:
En effet, il faut inclure les coûts directs que sont les cotisations accidents du travail, les cotisations d’assurance et les coûts matériels ou corporels ainsi que les coûts indirects comme l’immobilisation des véhicules accidentés, la franchise d’assurance, le remplacement ou la réparation des véhicules accidentés, les heures perdues par le chauffeur, les amendes, les frais de contentieux, la gestion des sinistres… L’Observatoire du Véhicule d’Entreprise précise que le conducteur peut influencer de 40 % le TCO (coût global de possession) de son véhicule (carburant, entretien, pneumatiques…).
La prévention
Le déplacement est évidemment l’unique cause des accidents. Il faut donc analyser toutes les composantes du déplacement ainsi que l’organisation et le management de l’entreprise, le but étant de recueillir un maximum d’informations sur l’entreprise (fonctionnement, déplacement) et sur sa sinistralité, puis de les synthétiser dans un document de travail permettant d’identifier précisément les éventuels dysfonctionnements et points d’améliorations et de mettre en place un plan d’actions cohérent, simple et basé sur des constatations objectives.
Plusieurs éléments doivent être épluchés pour réaliser cette analyse comme par exemple les constats amiables et les statistiques des assureurs, les informations transmises lors des entretiens post accident et surtout les données transmises par les boîtiers télématiques installés dans les véhicules qui s’avèrent être particulièrement utiles pour la sécurité routière et l’optimisation des coûts car ils offrent un aperçu sur le style de conduite des différents utilisateurs.
Former et communiquer sur la sécurité routière
Les entreprises ont à leur disposition plusieurs outils à cet effet.
La communication pourra se faire par l’intermédiaire de messages transmis régulièrement sur des thèmes comme la saisonnalité, les contraintes métiers, les problématiques particulières ou les rappels de procédure. Ces messages peuvent circuler par différents circuits tels que les fiches pratiques, le journal interne de l’entreprise ou le livret du conducteur. Toutes ces informations devront être validées par le comité de pilotage de l’action de prévention des risques routiers.
La formation à la sécurité routière et à l’écoconduite dispose, quant à elle, de nombreuses solutions souvent dispensés par des spécialistes en la matière et même directement par les fournisseur LLD. Ces formations, sous forme présentielle ou e-learning, permettent de mieux identifier les situations à risque, de mieux analyser leur environnement et d’assimiler les bonnes pratiques à mettre en place au quotidien. Pour être efficaces, ces séances doivent s’inscrire dans le durée et être organisées régulièrement, notamment pour les conducteurs les plus à risque.
L’idéal est forcement d’agrémenter tous ces efforts par des challenges pour favoriser l’écoconduite. Les loueurs offrent des solutions ludiques, grace à la télématique, qui délivrent des « scores ecoconduite » basés sur les habitudes des collaborateurs au volant en prennant en compte l’ensemble des paramètres de la sécurité routière. Ces challenges permettent de récompenser les meilleurs conducteurs et par ailleurs de faire baisser la sinistralité et les coûts qu’elle engendre.
Le voyage d’affaires revient en force ! Le média américain Bloomberg et le baromètre mensuel du think tank français Marco Polo confirment cette tendance à la reprise. Ce sont les secteurs de la technologie, du commerce de détail, de l’administration et de la défense qui de démarquent par le volume de leurs déplacements tandis que les banques rattrapent leur retard…Petit tour d’horizon
Par Serge de Cluny
“Les pessimistes avaient tort : les voyageurs d’affaires reviennent », se rejouit Andrew Crawley, directeur commercial Monde d’Amex GBT sur Bloomberg TV puisque sa TMC connait un rebond d’activité à 61 % de son niveau pré-pandémique, contre seulement 25 % au pic de l’épidémie d’omicron. De même, CWT (Carlson Wagonlit Travel) confirme que “les réservations dépassent aujourd’hui la moitié des niveaux pré-pandémiques, alors qu’elles ne représentaient que 20 % au début de l’année.”
Le spécialiste du voyages d’affaires FCM Travel confirme lui aussi cette reprise en indiquant que les réservations sont à 80 % par rapport à 2019 et, pour certains endroits, elles ont même légèrement dépassé les chiffres de cette année de référence. « Ça revient beaucoup plus fort que ce que l’on avait prévu », selon un de ses dirigeants.
La question de la durabilité
Ces chiffres sont peut-être les effets d’un phénomène de rattrapage mais cela n’empêche pas les compagnies aériennes de déployer leurs flottes et d’établir leurs réseaux d’avant la pandémie. L’indice Bloomberg World Airlines a repris près de 50 % depuis son plus bas niveau de mai 2020. Delta Airlines affiche de son côté des réservations d’affaires intérieures atteignant 70 % du niveau de 2019, et déclare que la quasi-totalité de ses entreprises clientes prévoient de voyager davantage pendant la 2ème moitié de l’année.
Pour United Airlines, le voyage d’affaires domestique dépassent l’année 2019 à la même période. « Je pense que ce trimestre, nous serons en mesure de balayer la question Les voyages d’affaires reviennent-ils ? » déclare Scott Kirby, DG de la compagnie, avant de rajouter : « Le fait que les voyages d’affaires se redressent si rapidement nous rend vraiment, vraiment confiants.«
Ces perspectives positives connaissent cependant un certain bémol car le voyage d’affaires connait des disparités au niveau international. L’Asie casse un peu la tendance avec par exemple la plus grosse destination du continent qu’est la Chine où des villes entières sont encore confinées ainsi qu’à Hong Kong qui a adopté une politique extrème dans laquelle les visiteurs étrangers sont mis en quarantaine des leur arrivée.
Quid de la France ?
C’est en Amérique du Nord que cette tendance est la plus marquée mais l’Europe, et notamment le France, connaissent un phénomène similaire. Le think tank Marco Polo qui s’est occupé de mesurer l’activité du secteur dans un marché européen, confirme qu’en France les données chiffrées sont plus encore plus encourageantes puisque l’activité de mai 2022 augmente de 14% par rapport à celle du mois d’avril et atteint 90% de son niveau de mai 2019.
Cette forte hausse représente un indice d’autant plus positif qu’elle constitue « une performance d’autant plus remarquable qu’elle s’est réalisée dans un contexte où l’offre n’a pas toujours été en mesure de satisfaire la demande, pour des raisons de disponibilité des matériels et/ou du personnel, notamment dans l’aérien », analyse-t-on du côté du think tank.
La période post sanitaire a remis la question de la responsabilité civile et pénale des dirigeants et des élus à l’ordre du jour. Les dirigeants de PME et ETI se sont donné beaucoup de mal pendant la crise pour maintenir l’activité de leurs entreprises tout en protégeant leurs employés, ils s’inquiètent désormais que leur responsabilité civile et pénale soit engagée et leurs décisions de l’époque remises en cause par les salariés, les consommateurs, les actionnaires etc…
Le Medef et d’autres organismes axés sur le monde de l’entreprise se sont mobilisés pour sensibiliser le gouvernement et le parlement à la situation, qui pourrait ralentir la reprise. En effet, La loi du 11 mai 2020 réaffirme le principe d’une appréciation spécifique de la faute pénale. Cette loi ainsi que les annonces du gouvernement pour inciter les entreprises à reprendre leurs activités auront-elles des conséquences concrètes ?
Pour répondre à cette question et mieux cerner les enjeux qui se cachent derrière, le Medef et les avocats de Gide qui pilotent l’initiative « Gide Rebound », dédiée à l’étude des conséquences de la crise sanitaire, vous invitent à débattre du sujet dans un webinaire intitulé : Responsabilités des managers : limiter les risques de mise en cause liés au Covid- 19
Le webinaire débutera par une intervention liminaire de Patrick Martin, président délégué du Medef. Ce sera ensuite au tour d’Aurélien Boulanger, de Jean-Gabriel Flandrois et de Sophie Scemla, avocats associés Gide, de nous rappeller brièvement les principes des responsabilités civiles et pénales. Ils passeront également en revue les principes de responsabilité civile et pénale et reviendront sur certaines des décisions qui peuvent créer de nouveaux risques en ces temps incertains. Ils mettront notamment à l’ordre du jour des questions telles que : Les inquiétudes des dirigeants sont-elles fondées ? Quelles précautions peuvent être prises pour limiter leur responsabilité ? L’urgence sanitaire va-t-elle affecter les appréciations des juges civils et pénaux ? Vont-ils tenir compte des circonstances particulières de l’épidémie pour atténuer son impact, comme l’ont demandé les législateurs ?
Bpifrance Le Lab a publié jeudi 16 juin sa 12e enquête annuelle de conjoncture sur les ETI, qui fait état de leurs perspectives pour 2022 dans un contexte géopolitique de guerre en Ukraine qui crée des tensions sur les approvisionnements. Malgré cela, les prévisions d’activité et d’embauche des ETI restent positives pour 2022 ainsi que leur moral puisque sur long terme, les 2 tiers de celles-ci voient la transition écologique et énergétique comme une source d’opportunité et 70% prévoient d’accroitre leurs investissements verts dans les cinq prochaines années. D’un autre côté, les dirigeants d’ETI sont majoritairement inquiets des risques de cybersécurité et de conflits géopolitiques.
Les ETI recrutent et se développent en dépit des difficultés de recrutement et d’approvisionnement
L’enquête annuelle de conjoncture indique que les tensions sur les approvisionnements et les recrutements freinent l’activité des ETI (environ 75% connaissent des difficultés de recrutement et près de 66% d’approvisionnement) qui poursuivrait tout de même sa progression avec des soldes prévisionnels d’évolution de l’activité et des effectifs qui rejoignent leurs niveaux d’avant crise (respectivement +43 et +39). Les conséquences du conflit en Ukraine pourrait entraver davantage l’activité et plus de la moitié des ETI anticipent un impact fort.
70 % des ETI prévoient d’augmenter leurs investissements verts pour les cinq prochaines années
Pour 2 tiers des dirigeants d’ETI, la transition écologique et énergétique est perçue comme une source d’opportunité. Les ETI industrielles sont les plus enclain à accroître ces investissements (51 % contre 44 % dans la Construction, 40 % dans le Commerce / Transport / Hébergement-Restauration et 48 % dans les autres Services). Idem pour les ETI innovantes (49 % contre 35 % pour les non-innovantes) et les plus grosses entreprises (47 % des ETI de plus de 500 salariés contre 26 % des ETI de 250 salariés).
La trésorerie des ETI subirait la hausse des coûts de production
La hausse des coûts de production se ressent sur la trésorerie des ETI. L’indicateur prévisionnel perd 12 points par rapport à l’année dernière, pour atteindre −11. Les liquidités accumulées durant la crise sanitaire grâce aux dispositifs de soutien ont certainement absorbé une partie du choc dont les conséquences seront mesurables au fil du temps.
L’investissement devrait poursuivre sa hausse en 2022
La dynamique de l’investissement physique et immatériel pour 2022 serait semblable à celle de 2021. À +30, l’indicateur prévisionnel reste stable et proche de celui d’avant crise en dépit de la baisse des marges d’exploitation freinant le développement de près de la moitié des ETI. En revanche, les conditions d’accès aux crédits restent accessibles.
Les ETI envisagent d’augmenter les prix de vente pour faire face aux tensions d’approvisionnement.
Les tensions à l’approvisionnement sont attendues durables. Pour y faire face, environ 75% des ETI prévoient d’augmenter leurs prix de vente et près d’un tiers des ETI projette d’absorber une partie du choc en réduisant les marges d’exploitation.
La cybersécurité inquiète les dirigeants d’ETI
83 % des ETI interrogées se disent inquiètes pour leur cybersécurité, essentiellement celles du domaine des Services et moins pour celles su secteur de l’Industrie. Avec la guerre en Ukraine qui s’enlise, l’enquête annuelle de conjoncture fait ressortir que l’inquiétude face au risque géopolitique est également élevée : 73 % des ETI se disent moyennement inquiètes par cette menace et 19% se considèrent comme très inquiètes.
Ouragans, sécheresses… Concernant les questions environnementales, force est de constater que l’humanité fait aujourd’hui face à une réelle urgence climatique. Les nombreuses expertises scientifiques en attestent, à l’instar des rapports du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat), le changement climatique ne marque aucune pause. Il est encore possible d’agir pour préserver l’avenir de la planète et des générations futures, en particulier en matière d’investissement.
Lorsque l’on investit, il est préférable de se montrer flexible et d’adopter une approche pragmatique. C’est encore plus vrai quand il s’agit de répondre aux défis posés par le changement climatique. Il faut être réaliste : investir uniquement dans les sociétés exemplaires ne permettra pas totalement de diminuer de façon pertinente les émissions de gaz à effet de serre. Evidemment, nous ne pouvons pas nous passer des acteurs de l’industrie des énergies renouvelables. Mais il faut aller plus loin.
L’enjeu est de taille alors que les effets du changement climatique évoluent plus rapidement que prévu, multipliant ainsi les catastrophes naturelles à travers le monde, à l’image de la canicule approchant les 50°C qui a touché le Canada en juin 2021. Dans le dernier volet de son sixième rapport d’évaluation publié en avril, le GIEC1 a souligné les solutions qui permettrait de réduire les émissions de gaz à effet de serre. Il est encore possible de réduire de 50 % les émissions d’ici à 2030, mais à une seule condition : agir maintenant.
Face à ce problème, nous avons développé chez Carmignac une approche articulée autour de trois axes principauxvisant à investir dans les acteurs les plus vertueux ainsi que dans les entreprises qui pourraient avoir, selon nous, le plus d’impacts.
Nous investissons ainsi non seulement dansles fournisseurs d’énergie verte mais aussi dans les sociétés jouant un rôle clé dans la transition énergétique, celles qui font partie des émetteurs de CO2 mais qui auront à terme un rôle très important dans la décarbonisation de l’économie en transformant leurs activités. En effet, nous souhaitons avoir un réel impact en incitant ces acteurs majeurs à réduire leurs émissions de carbone à travers notre engagement et le dialogue que nous menons avec eux. Enfin, nous finançons les industries apportant des solutions innovantes qui permettent d’avoir un impact indirect dans la réduction de CO2 (sociétés d’isolation de bâtiments, économies circulaires…).
L’investissement responsable, un facteur clé pour agir
Aujourd’hui,
le secteur de la finance apparaît clairement comme un acteur majeur
dans la transition écologique et énergétique en répondant
notamment à la problématique des fonds insuffisants pour faire face
au changement climatique. Au sein de l’industrie de la gestion
d’actifs par exemple, nous assistons depuis plusieurs années
maintenant à une prise en compte massive des critères
extra-financiers, désormais aussi importants que les ratios
financiers au sein de l’analyse fondamentale.
Si Carmignac a depuis sa création intégré les critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG), l’accent est désormais mis sur notre engagement à travers le dialogue avec les sociétés afin de les amener vers des solutions plus durables, notre objectif étant d’avoir in fine une contribution positive sur l’environnement et la société. Nous avons développé en ce sens une politique d’engagement spécifique concernant les acteurs clés de la transition impliquant des échanges renforcés et plus réguliers.
Découvrez la vision « Investissement Responsable » de CARMIGNAC en cliquantICI
Source : Carmignac, 31/04/2022 Ceci est une communication publicitaire [pour la partie pro : destinée à des clients professionnels]. Le présent document ne peut être reproduit en tout ou partie, sans autorisation préalable de la Société de gestion. Il ne constitue ni une offre de souscription ni un conseil en investissement. Ce document n’est pas destiné à fournir, et ne devrait pas être utilisé pour des conseils comptables, juridiques ou fiscaux. Il vous est fourni uniquement à titre d’information et ne peut être utilisé par vous comme base pour évaluer les avantages d’un investissement dans des titres ou participations décrits dans ce document ni à aucune autre fin. Les informations contenues dans ce document peuvent être partielles et sont susceptibles d’être modifiées sans préavis. Elles se rapportent à la situation à la date de rédaction et proviennent de sources internes et externes considérées comme fiables par Carmignac, ne sont pas nécessairement exhaustives et ne sont pas garanties quant à leur exactitude. À ce titre, aucune garantie d’exactitude ou de fiabilité n’est donnée et aucune responsabilité découlant de quelque autre façon pour des erreurs et omissions (y compris la responsabilité envers toute personne pour cause de négligence) n’est acceptée par Carmignac, ses dirigeants, employés ou agents. La référence à certaines valeurs ou instruments financiers est donnée à titre d’illustration pour mettre en avant certaines valeurs présentes ou qui ont été présentes dans les portefeuilles des Fonds de la gamme Carmignac. Elle n’a pas pour objectif de promouvoir l’investissement en direct dans ces instruments, et ne constitue pas un conseil en investissement. La Société de Gestion n’est pas soumise à l’interdiction d’effectuer des transactions sur ces instruments avant la diffusion de la communication. Les portefeuilles des Fonds Carmignac sont susceptibles de modification à tout moment. Echelle de risque du DICI/KIID (Document d’Informations Clés pour l’Investisseur). Le risque 1 ne signifie pas un investissement sans risque. Cet indicateur pourra évoluer dans le temps. La durée minimum de placement recommandée équivaut à une durée minimale et ne constitue pas une recommandation de vente à la fin de ladite période. L’accès au Fonds peut faire l’objet de restriction à l’égard de certaines personnes ou de certains pays. Le présent document ne s’adresse pas aux personnes relevant d’une quelconque juridiction où (en raison de la nationalité ou du domicile de la personne ou pour toute autre raison) ce document ou sa mise à disposition est interdit(e). Les personnes auxquelles s’appliquent de telles restrictions ne doivent pas accéder à ce document. La fiscalité dépend de la situation de chaque personne. Les fonds ne sont pas enregistrés à des fins de distribution en Asie, au Japon, en Amérique du Nord et ne sont pas non plus enregistrés en Amérique du Sud. Les Fonds Carmignac sont immatriculés à Singapour sous la forme d’un fonds de placement de droit étranger réservé aux seuls clients professionnels. Les Fonds ne font l’objet d’aucune immatriculation en vertu du US Securities Act de 1933. Le fonds ne peut être proposé ou vendu, directement ou indirectement, au bénéfice ou pour le compte d’une « US person » au sens de la réglementation S américaine et du FATCA. Les risques et frais relatifs aux Fonds sont décrits dans le DICI/KIID (Document d’informations clés pour l’investisseur). Le DICI/KIID doit être tenu à disposition du souscripteur préalablement à la souscription. Le souscripteur doit prendre connaissance du DICI/KIID. Tout investissement dans les Fonds comporte un risque de perte de capital. Le prospectus, les DICI/KIID, la VL et les rapports annuels des Fonds sont disponibles sur www.carmignac.com, ou sur demande auprès de la Société de gestion.La société de gestion peut décider à tout moment de cesser la commercialisation dans votre pays. Les investisseurs peuvent avoir accès à un résumé de leurs droits en français sur le lien suivant à la section 6 intitulée « Résumé des droits des investisseurs » : https://www.carmignac.fr/fr_FR/article-page/informations-reglementaires-3862 Carmignac Portfolio désigne les compartiments de la SICAV Carmignac Portfolio, société d’investissement de droit luxembourgeois conforme à la directive OPCVM. Les Fonds sont des fonds communs de placement de droit français conformes à la directive OPCVM ou AIFM. Copyright: Les données publiées sur cette présentation sont la propriété exclusive de leurs titulaires tels que mentionnés sur chaque page.
De plus en plus de technologies intègrent des systèmes d’intelligence artificielle posant ainsi des questions cruciales et nouvelles, notamment par rapport à la protection des données. Pour accompagner les PME et ETI, la CNIL met à disposition plusieurs ressources documentaires leur permettant de se repérer.
Par Franck Boccara
L’intelligence artificielle (IA) fait aujourd’hui partie intégrante de notre vie et s’insère dans de nombreuses technologies. Elle présente des opportunités indéniables pour les entreprises et les entités administratives, comme par exemple une meilleure segmentation du marché, l’optimisation de l’analyse client ou encore l’analyse prédictive. Selon cette approche, l’intelligence artificielle a un impact bénéfique sur notre société mais il est clair qu’elle est à l’origine de nombreux bouleversements dans notre quotidien. Ces technologies sont tenues légalement de respecter la vie privée des individus en traitant les questions juridiques liées aux données personnelles qu’ils collectent et traitent.
Les systèmes d’intelligence artificielle obligent la collecte de grandes quantités de données personnelles ou non personnelles. Cette donnée est essentielle dans le système car elle lui permet de progresser significativement. Cependant, avec l’entrée en vigueur du RGPD, ce texte doit être articulé avec l’IA afin d’assurer le lien entre le développement du digital et la protection de la vie privée des individus. Ainsi, à première vue, le RGPD semble être un obstacle à la mise à l’échelle de l’IA pour différentes organisations. Par conséquent, il est nécessaire de trouver un équilibre entre RGPD et développement technologique, dans un souci de conformité et tourné vers l’avenir dont le but est de protéger la vie privée et faire de l’UE un acteur pionnier dans le domaine de l’intelligence artificielle.
Afin d’accompagner les différents acteurs du domaine et leur permettre de développer des solutions respectueuses de la vie privée des utilisateurs, la Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés (CNIL) met à leur disposition des ressources documentaires variées
Parmi celles-ci, l’une d’entre elles leur donne les étapes à suivre pour se mettre en conformité avec le Règlement général sur la protection des données (RGPD) :
définir une finalité, un objectif au système d’IA qu’ils souhaitent développer ;
établir une base légale pour justifier légalement le traitement de données personnelles par le système d’IA (mission d’intérêt public, sauvegarde des intérêts vitaux, recueil du consentement, etc.) ;
constituer une base de données qui servira pour l’entrainement du système d’IA ;
minimiser les données pour ne récolter que les données personnelles adéquates et pertinentes ;
etc.
De plus, ils peuvent s’auto-évaluer à l’aide d’un guide leur permettant de déterminer si leurs systèmes d’IA sont conformes au RGPD. Pour consulter l’intégralité de ces ressources, cliquez ici.
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