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Recrutement

L’Intelligence Artificielle (IA) est en train de révolutionner le monde, de bouleverser les codes et de nous pousser à modifier nos méthodes de travail. Depuis plusieurs années déjà, le Big Data fait couler beaucoup d’encre sur la collecte et l’analyse de données. Aujourd’hui, l’Intelligence Artificielle est l’outil qui apprivoise cette masse de données et la rend plus facilement exploitable. L’écosystème du recrutement n’échappe pas à ce phénomène et s’y adapte progressivement. Dans cet article, je vous donne quelques clefs pour utiliser l’IA dans votre stratégie de recrutement. Par Céline Cherqui – Fondatrice de OneWay Il ne s’agit pas d’une technologie magique qui peut tout faire à votre place, mais bien d’un concept qui porte sur le développement de systèmes d’apprentissage automatique, capable d’effectuer des tâches sollicitant l’intelligence humaine. Comme le disait Rabelais : « Sciences sans conscience n’est que ruine de l’âme ». Autrement dit, une connaissance sans réflexion ne permet pas à l’homme de se l’approprier et donc de progresser. Ainsi, c’est à chacun de nous de décrire nos modèles pour que l’Intelligence Artificielle soit en mesure de les apprendre et de les simuler.
Céline Cherqui – Fondatrice de OneWay
Il est important de comprendre que l’IA n’est pas une solution miracle pour les recruteurs, mais plutôt un outil puissant pour les aider à mieux travailler : comprendre leurs candidats, personnaliser l’expérience qu’ils leur font vivre, mieux cibler et anticiper leurs attentes, automatiser des tâches répétitives et chronophages. L’Intelligence Artificielle offre donc des opportunités considérables aux recruteurs, elle ne les remplace pas, elle les assiste. Certaines tâches seront effectuées plus rapidement et plus efficacement que sans, mais il sera toujours nécessaire d’interpréter les résultats et d’ajuster la stratégie en conséquence. Recueillir un maximum de données sur les comportements des candidats permet déjà d’améliorer les approches et personnaliser les interactions avec eux. En utilisant des algorithmes de l’IA, il est maintenant possible de recommander des postes aux candidats en fonction de leurs préférences et de leurs compétences. L’IA fait déjà partie intégrante de la majorité des ATS, ces outils permettant de suivre les candidats, et ne pas s’en servir serait une erreur. Par exemple, les chatbots basés sur l’IA peuvent répondre aux questions des candidats en temps réel, programmer des relances, les informer du statut de leur candidature ou les orienter vers les offres d’emploi appropriées à leur profil. Ces programmes font vivre une expérience positive aux candidats et renforcent la notoriété de la marque employeur. Ils permettent uniquement d’automatiser et de planifier la réalisation de certaines tâches routinières et chronophages reposant sur un processus logique. Le temps ainsi gagné permet alors aux recruteurs de se concentrer sur des tâches plus stratégiques. Une autre facette de l’IA dans le recrutement est l’analyse prédictive : technique statistique permettant de créer des hypothèses sur des événements futurs via l’exploitation de données. Elle permet d’anticiper, par exemple, les comportements des candidats par rapport à la fréquence de leurs changements de poste. Aux recruteurs d’ajuster leurs stratégies en conséquence et de solliciter leurs candidats au bon moment pour leur proposer le poste de leur rêve. Il peut être également très pertinent d’utiliser ces outils pour orienter une stratégie éditoriale, créer du contenu sur les tendances actuelles et choisir les objets des mails permettant d’augmenter leur taux d’ouverture. Vous l’aurez compris : la combinaison de différentes technologies issues de l’IA permet d’améliorer le ROI, le retour sur investissement, des actions chronophages liées au recrutement et permet aux recruteurs de se consacrer à des missions à plus forte valeur ajoutée. 📞 Si cet article vous a donné des idées pour intégrer l’IA dans votre stratégie de recrutement mais que tout reste encore un peu flou… Pas de panique, je vous accompagne pas à pas sur toutes les problématiques recrutement que vous pourrez rencontrer. Céline Cherqui – Directrice Recrutement – OneWay
Les attentes des  collaborateurs ont changé ! Désormais en quête de sens et d’équilibre, les salariés ont besoin de faire partie d’un projet dans lequel ils se sentent utiles, stimulés et pris en compte. Pour recruter et fidéliser les candidats, il est donc crucial d’intégrer ces changements dans l’organisation et le management de l’entreprise, notamment en comprenant le principe de pyramide des tâches. Par Aude GueiConsultante indépendante AG Conseil Pour fidéliser ses collaborateurs et être performant, l’enjeu majeur du management est de mettre les salariés sur des missions dans lesquelles ils apporteront le plus de valeur tout en préservant leur motivation et bien-être. Cette pyramide des tâches du travail est un moyen de répondre à cette problématique. => On parle beaucoup d’énergie environnementale/empreinte écologique, mais je n’ai jamais entendu parlé de « l’énergie structurelle » ou de « l’empreinte énergétique » que génère une entreprise sur les collaborateurs malgré la hausse des burnouts. Pourtant, il y a bien une énergie/dynamique/impulsion qui est insufflée par l’environnement de travail (Poste, management, climat social…). Celle-ci va fortement influencer la motivation, créativité, productivité (Impulsion positive) des collaborateurs ou bien leur désengagement, stress et mal-être (Impulsion négative). LES MISSIONS ET TÂCHES du collaborateur représentent 80% DU TEMPS DE TRAVAIL. Pour renforcer l’implication des salariés et les fidéliser, il est donc primordial de 𝐝𝐨𝐧𝐧𝐞𝐫 𝐝𝐮 𝐬𝐞𝐧𝐬 et de veiller à l’intérêt du poste. ▶ Lorsque nous travaillons sur des tâches stimulantes, nous sommes plus productifs et créatifs. Cela nous connecte à un espace de plaisir et d’inspiration où la créativité et les idées foisonnent de manière naturelle et fluide. La confiance du collaborateur est renforcée et son travail apporte une valeur ajoutée à l’entreprise créant ainsi une dynamique gagnant/gagnant.
D’UN POINT DE VUE HUMAIN
  =>L’homme a besoin d’être stimulé et d’avoir de nouveaux challenges pour être épanoui. Au 𝐧𝐢𝐯𝐞𝐚𝐮 𝐩𝐡𝐲𝐬𝐢𝐨𝐥𝐨𝐠𝐢𝐪𝐮𝐞, mettre son attention sur des tâches perçues comme « désagréables » ou « sans intérêt » sur une longue période, demande une quantité d’énergie importante à l’être humain. Même si la tâche doit et sera accomplie, celle-ci sera effectuée à reculons et donc avec une productivité et qualité moindre. =>  Si ces tâches « énergivores« représentent une part importante du poste, elles pourront impacter le moral, la motivation et/ou la 𝐬𝐚𝐧𝐭é du collaborateur. En effet, de plus en plus d’entreprises ne remplacent pas les partants, créant ainsi beaucoup de frustration et d’amertume chez de nombreux collaborateurs. Un certain nombre d’entre eux ne se retrouvent plus dans l’évolution de leur poste contraints de reprendre des tâches ou missions qui ne répondent pas à leurs attentes (ex :70% de tâches non désirées et 30% stimulantes). ▶ Pour éviter tous ces écueils et des départs inattendus, il est donc nécessaire de réaliser un véritable état des lieux des missions et tâches du collaborateur pour évaluer son niveau d’intérêt et de performance par rapport à son poste. Ce premier entretien permettra de mieux identifier les leviers de motivation du collaborateur ainsi que les freins individuels et organisationnels qui l’empêchent d’effectuer efficacement son travail (ex: problème d’accès à l’information, procédures non écrites, difficultés spécifiques…). Pour que cet échange s’inscrive dans une démarche d’amélioration continue et de fidélisation, des points semestriels de suivi devront être organisés avec le salarié. Intégrer cette démarche dans le management apportera les bénéfices suivants :
  • Créer de nouveaux indicateurs de suivi de performance et de motivation
  • Prévenir les risques psychosociaux et les départs
  • Mieux cibler les besoins en formation et accompagner le collaborateur dans son évolution
  • Développer une intelligence collective en s’appuyant sur les forces de chacun
  • Améliorer l’adaptabilité des équipes et leur productivité
  • Favoriser l’engagement et la fidélisation des collaborateurs
  • Renforcer la marque employeur
Et si vous adaptiez le contenu des postes aux appétences des collaborateurs en appliquant le principe de pyramide des tâches afin de libérer leur CRÉATIVITÉ, créer de L’ENGAGEMENT et favoriser la PERFORMANCE ?
C’est quoi au juste ce syndrome ? Le syndrome de l’expert est l’état d’esprit du sachant qui veut tout gérer selon son point de vue au risque de ne jamais atteindre l’objectif collectif souhaité. C’est grave Docteur, comment faire pour y échapper ? Travailler sous forme d’ateliers, co-construire avec plus d’agilité, créer un état d’esprit démultipliant l’intelligence collective et la capacité à passer à l’action ensemble, vous permettra d’éviter ce syndrome. Découvrez dans cet article quelques bonnes pratiques pour réussir un atelier de co-construction. Par Céline Cherqui – Fondatrice de OneWay Co-construire avec des profils variés : Qui solliciter pour participer à cet atelier ? Prenons l’exemple d’une équipe recrutement qui voudrait revoir ses pratiques d’acquisition de candidats. Le syndrome de l’expert serait, pour cette équipe, d’essayer de trouver des solutions seule.
Céline Cherqui – Fondatrice de OneWay
En créant un atelier de co-construction et en y invitant des collaborateurs ayant le même profil que les candidats recherchés ainsi que des membres d’autres équipes comme ceux de la communication, ou de services support, les participants pourront identifier ensemble de nouvelles manières de poser le problème à résoudre et ainsi faire émerger des solutions différentes voire innovantes. La variété des profils et leur multidisciplinarité permettront l’émulation et l’innovation et seront une richesse pour vous démarquer de la concurrence. Quel est le temps nécessaire pour mener à bien cet atelier ? Bien entendu, tout dépend de l’objectif à atteindre. Il peut être nécessaire de scinder l’objectif en plusieurs problématiques, ainsi un atelier d’une journée peut correspondre à 3 ou 4 activités de réflexion ou d’idéation. Il existe de nombreuses techniques favorisant la créativité et l’émergence de solutions inédites. A vous de choisir les plus appropriées en fonction de vos objectifs. Comment réussir à créer une énergie positive entre participants ? Pour réussir cette émulation et créer une énergie positive il va falloir « embarquer » tout le monde dès les premières minutes, y compris les plus introvertis. Utiliser un « icebreaker » aura pour effet de mettre en confiance les participants. Au travers de cette activité ludique et assez courte, vous pourrez initier le dialogue entre les participants et les inviter à lâcher prise. Ce moteur de conversation puissant les conduira à stimuler une nouvelle manière de penser et les amènera à trouver des solutions collectives au problème donné lors de l’atelier qui suivra. Un atelier d’accord, et concrètement comment le construire ?  Prenons l’exemple de l’atelier : « Comment faire pour attirer différemment mes candidats ? » Les objectifs de cet atelier seront de :
  • Définir les persona (mes candidats) et leurs caractéristiques
  • Identifier les leviers les plus efficaces pour les attirer
  • Rendre votre marque employeur plus attractive
Pour être efficace, le passage à l’action doit se trouver au cœur de votre atelier. Prévoyez des activités simples et dynamiques permettant une réflexion autour de ces objectifs. Faites cogiter les participants individuellement, laissez-les poser leurs idées sur papier ou post-it. La seule règle à formuler : oser s’exprimer, démultiplier les idées, ne pas chercher à juger ses idées. Ce moment de divergence doit les amener à une liberté absolue. Amenez-les ensuite à converger avec le groupe de travail, en se référant aux objectifs de départ, en améliorant les idées trouvées individuellement et en cherchant l’inédit. Cette étape de convergence doit amener le groupe à faire des choix judicieux. Favorisez l’émergence de visions différentes grâce à la multidisciplinarité des participants car le télescopage des points de vue est propice à la création. Tous les échanges qui auront lieu au sein de votre atelier seront donc générateur de nouvelles approches. Soyez un facilitateur et ne vous positionnez pas en expert qui fait les questions et les réponses. Le but de l’atelier est d’arriver à un résultat différent de vos pratiques habituelles grâce à l’intelligence collective. Soyez donc capable de fédérer le groupe de travail et d’accompagner le processus de réflexion sans prendre part aux solutions. Vous l’aurez compris : Favoriser des moments de divergence et de convergence est générateur d’innovation. A vous de constituer des groupes de travail hétéroclites et des activités incitant les participants à s’exprimer et à partager toutes leurs idées afin de solutionner ce fameux syndrome de l’expert. 📞 Si cet article vous a donné des idées pour animer un atelier de co-construction mais que tout reste encore un peu flou… Pas de panique, je vous accompagne pas à pas sur toutes les problématiques recrutement que vous pourrez rencontrer. Céline Cherqui – Directrice Recrutement – OneWay
L’insatisfaction des collaborateurs peut entrainer leur démission, pire, il peuvent partager leurs états d’âme dans vos couloirs, sur les réseaux, créer d’autres insatisfaits dans leur sillage et nuire à votre marque employeur. Comment éviter ce scénario-catastrophe ? Par Céline Cherqui – Fondatrice de OneWay S’il est essentiel de connaître les besoins de ses collaborateurs pour définir un parcours qui répond à ses attentes, il est aussi très important de comprendre les facteurs qui vont déterminer leurs choix. Une bonne connaissance de la personnalité de vos collaborateurs et du contexte idéal dans lequel ils aimeraient évoluer permet de plus facilement les accompagner dans leur progression de carrière. Qu’est-ce qui engage un collaborateur ? qu’est ce qui le fidélise ? Répondre à ces questions n’a rien d’évident. La satisfaction ou l’insatisfaction des collaborateurs, dans beaucoup de cas, ne s’inscrit pas uniquement dans des logiques rationnelles se résumant à son package de rémunération. De nombreux autres facteurs entrent en ligne de compte et ont trait à la psychologie humaine, au ressenti, aux émotions.
Par Céline Cherqui –Fondatrice de OneWay
En comprenant ce qui motive vos collaborateurs et les éléments auxquels ils sont sensibles, vous pourrez trouver des leviers d’amélioration des parcours qui leur sont proposés. En vous rapprochant d’eux et en apprenant à détecter ces variables, vous trouverez les clefs pour les fidéliser et les engager. L’expérience collaborateur qui en découlera vous permettra alors de les transformer en véritables ambassadeurs. Ok, mais quels sont les facteurs pouvant déterminer les choix de mon collaborateur ? Par définition une prise de décision est le fait de choisir entre plusieurs actions possibles face à une problématique donnée. Un processus inconscient se met alors en place, un de nos 5 sens reçoit une information, cette information est transmise au cerveau, notre cerveau traite l’information et nous pousse à effectuer une action en réaction. Ainsi, nous pouvons rassembler les facteurs déterminant nos choix en deux grandes catégories : les facteurs internes et les facteurs externes. Les facteurs internes sont liés au processus de décision propre à chacun. Comme nos besoins, notre motivation, notre personnalité, notre perception. Les facteurs externes sont, quant à eux, les éléments liés à l’environnement d’une personne, qui peuvent avoir une influence sur ses choix. Comme ses influences familiales, sociales, économiques ou culturelles. Découvrir les besoins de vos collaborateurs, leurs motivations ainsi que les facteurs qui les influencent est donc indispensable pour leur adresser les bons messages au bon moment. Pour optimiser vos parcours collaborateur et proposer des expériences adaptées à chacun, il est également nécessaire de connaitre les éventuels freins pouvant déterminer leurs choix. Cette étape consiste à supprimer les frictions et les irritants qu’ils peuvent rencontrer, et à réajuster les parcours collaborateur en fonction de leurs feedbacks. Notez que l’insatisfaction des collaborateurs provoquée par une mauvaise expérience n’est jamais à négliger. Il faut donc en permanence la détecter et y apporter des réponses et des améliorations pertinentes. L’engagement sincère de vos équipes dans la récolte de ces feedbacks ne pourra être que bénéfique pour votre marque employeur. Ainsi, nous pouvons identifier deux types de freins, des forces psychologiques négatives, pouvant déterminer nos choix : les inhibitions et les peurs. Les inhibitions correspondent à un état d’esprit du type «je ne devrais pas ». Le collaborateur développe un sentiment de culpabilité, il s’autocensure. Les peurs sont des pulsions négatives causées par les difficultés réelles ou imaginaires du type « je ne serai pas à la hauteur ». Dans les deux cas, les collaborateurs considèrent que le parcours proposé ne leur correspond pas. Faites réellement preuve d’empathie pour les rassurer et gommer au maximum les freins qui les empêchent d’avancer. Vous l’aurez compris : Une bonne compréhension des besoins permet d’adresser les bons messages à vos collaborateurs pour les conforter dans la relation que votre marque employeur entretient avec eux et pour les accompagner dans leur progression de carrière. 📞 Si cet article vous a donné des idées pour construire un parcours collaborateur efficace mais que tout reste encore un peu flou, …Pas de panique, je vous accompagne pas à pas sur toutes les problématiques recrutement que vous pourrez rencontrer. Céline Cherqui – Directrice Recrutement – OneWay
Si dans les années 80, le candidat à un entretien de recrutement devait d’abord écrire une lettre de motivation, manuscrite bien sûr, pour laisser les graphologues deviner ses traits de psychologie les plus profonds grâce à sa façon de faire des barres sur les « T ». Puis, se faire intimider par un ou plusieurs recruteurs essayant délibérément de le sortir de ses gonds en mettant le plus de pression possible lors d’entretiens interminables, voire embarrassants ou hostiles. Les entretiens d’aujourd’hui, sont souvent très différents de ces stéréotypes où le recruteur se mettait sur un piédestal. Par Céline Cherqui – Fondatrice de OneWay Quel est le défaut principal de Bernard ? Il est égoïste ! ça, tout le monde le sait 😉 Ou alors, … quels sont vos 3 défauts ? Qu’en est-il de vos candidats, est-ce encore des questions à poser en entretien de recrutement ? Bien évidemment que ces questions sont dépassées par le seul fait que le candidat s’y attend et les a préparées depuis qu’il est entré sur le marché du travail. Il vous apportera une réponse cohérente avec le poste visé et surtout la réponse que vous attendez c’est-à-dire des défauts qui n’en sont pas.
Céline Cherqui – Fondatrice de OneWay
Qui a déjà entendu un candidat répondre, je suis nonchalant, colérique et menteur ? En apprenant à connaitre votre candidat, nul besoin qu’il vous le dise, vous le découvrirez spontanément au détour de vos échanges. Pour cela, il faut savoir écouter, orienter, questionner subtilement, lui permettre d’être créatif, spontané, agile, authentique et lui donner la possibilité d’exprimer pleinement son potentiel. Cette approche différente repose uniquement sur votre façon de mener vos entretiens car, près de 50 ans plus tard, les fondamentaux ne changent pas. La trame de questions reste similaire :
  • Quelles sont les compétences acquises et celles qui lui restent à développer ?
  • Quels sont les drivers qui le pousseraient au changement ?
  • Quels seront ses critères de sélection s’il hésite entre plusieurs entreprises, plusieurs propositions ?
  • Et l’ultime question, sommes-nous prêts à collaborer ?
Aujourd’hui, nous attachons une importance particulière à mettre en confiance notre candidat, à comprendre ses attentes, à savoir sur quel poste il pourra s’épanouir le plus, pour lui proposer celui qui lui correspond vraiment. Nous avons besoin de connaitre notre candidat, pour savoir s’il s’adaptera à notre ADN et au poste visé. Nous avons besoin d’être rassuré sur ses compétences et d’une manière générale, d’évaluer ses savoir-faire et ses savoir-être. On teste, on évalue, on met en situation, on sélectionne, on recrute le candidat qui correspond à l’ensemble des critères de départ, en proposant à tous, de vivre une expérience positive. Qu’il soit retenu ou non, vous serez garant de l’expérience vécue par votre candidat lors de vos échanges. Passer du rôle de recruteur, à un rôle de facilitateur par le biais d’une approche plus créative, plus agile et plus collaborative lors des rencontres avec votre candidat ne tient qu’à l’expérience que vous lui ferez vivre. Une expérience positive permettra à un candidat de se sentir valorisé, d’être un potentiel ambassadeur de votre marque employeur. Elle ne vous empêchera pas de l’évaluer correctement. Elle vous permettra, en revanche, d’en déduire plus facilement les contours de sa personnalité et pas seulement un discours préparé qu’il vous servira à chacune de vos questions qu’il aura anticipées. Vous l’aurez compris, les techniques sont différentes, les approches s’adaptent au contexte sociétal et la finalité reste toujours la même : savoir si nous sommes faits pour travailler ensemble. 📞 Si cet article vous a donné des idées pour construire un entretien de recrutement mais que tout reste encore un peu flou…Pas de panique, je vous accompagne pas à pas sur toutes les problématiques recrutement que vous pourrez rencontrer. Céline Cherqui – Directrice Recrutement – OneWay
À l’ère de l’expérience client et de l’IA, les entreprises ont besoin d’améliorer leur stratégie de communication auprès de leurs candidats. Et si tout commençait par une base de données candidats de qualité pour créer la différence avec vos concurrents ? Découvrez dans cet article les points essentiels à connaître sur ce précieux outil qui vous permettra de mettre en place une stratégie de recrutement efficace. Par Céline Cherqui – Fondatrice de OneWay
Une base de données candidats, c’est quoi exactement ?
Par définition, la base de données est un outil comportant un ensemble d’informations organisé de manière à être facilement accessible, géré et mis à jour. Cet outil est utilisé comme méthode de stockage, de gestion et de récupération des informations. Une base de données candidats rassemble donc toutes les informations recueillies lors des différents échanges effectués entre les candidats et l’entreprise.
Ok, mais pour quoi faire ?
Céline Cherqui – Fondatrice de OneWay
L’objectif de la base de données candidats est de faciliter votre relation avec eux et de vous aider à adapter vos messages ou les opportunités de postes à leur proposer en fonction de leurs envies. L’idée est de retracer tous vos échanges pour être sûr qu’au moment où votre candidat sera prêt à vous rejoindre, vous pourrez lui offrir ce dont il a besoin. En effet, en sachant exactement ce que recherche vos candidats, vous serez en mesure de proposer le bon poste, au bon moment et à la bonne personne. Cet outil permet donc une personnalisation et bien évidemment une meilleure satisfaction candidat.
Quelles données sont à recueillir ?
La collecte de vos données doit être organisée et structurée pour une efficacité optimale. Les renseignements que vous allez recueillir doivent être uniquement ceux dont vous avez réellement besoin pour comprendre et connaitre vos candidats afin de bâtir votre stratégie de recrutement et de communication. Cela signifie que les informations demandées à vos candidats ne doivent avoir pour finalité que l’évaluation de ses savoir-faire et de ses savoir-être. Il est en revanche interdit de demander à un candidat des informations relevant de sa vie privée qui n’ont pas de lien direct et nécessaire avec l’évaluation de ses aptitudes professionnelles. Pour être exploitable, votre base de données doit être conforme à la législation. A défaut, elle sera inutilisable et donc dépourvue de toute valeur. Les informations ainsi recueillies et collectées dans votre base de données ne peuvent être consultées que par les personnes intervenant dans le processus de recrutement. Les piles de CV sur les bureaux, accessibles à tous, sont donc à proscrire. Offrir à vos candidats la maîtrise de leurs données personnelles constitue un gage de qualité et de confiance, notamment s’ils comprennent que vous respectez leurs choix, que vous comprenez leurs besoins et ne les sollicitez que lorsqu’ils le désirent.
Et les candidats dans tout ça, quels sont leurs droits ? 
Lorsqu’un candidat est retenu et devient un collaborateur, ses données sont conservées le temps de sa présence dans l’entreprise. A son départ, certaines informations peuvent être conservées à titre d’archivage. Lorsqu’un candidat n’est pas retenu, le recruteur doit l’informer que son dossier sera conservé pendant 2 ans, sauf s’il en demande expressément la destruction. Si le candidat ne demande pas la destruction de son dossier, les données sont automatiquement détruites 2 ans après le dernier contact. Une conservation plus longue est possible, mais uniquement avec l’accord exprès du candidat. Bon à savoir : Tout candidat au recrutement peut, sur simple demande non motivée, accéder à ses données et être informé de la manière dont celles-ci sont traitées, au titre de son droit à l’information.   Il bénéficie également :
  • d’un droit de rectification : il peut demander au recruteur de mettre à jour ses données,
  • d’un droit à l’oubli : il peut demander au recruteur de supprimer ses données,
  • et d’un droit à la limitation du traitement : il peut demander au recruteur de suspendre le traitement de ses données.
Vous l’aurez compris, une base de données bien construite est indispensable pour communiquer avec vos candidats, créer une relation de confiance et les accompagner vers un épanouissement professionnel. 📞 Si cet article vous a donné des idées pour construire ou optimiser votre base de données candidats mais que tout reste encore un peu flou, … Pas de panique, je vous accompagne pas à pas sur toutes les problématiques recrutement que vous pourrez rencontrer. Céline Cherqui – Directrice Recrutement – OneWay
Le développement de la concurrence pousse les entreprises à déployer des stratégies plus innovantes pour convaincre leurs candidats cibles et gagner leur confiance. Les attentes des candidats devenues de plus en plus exigeantes et les entreprises n’ont plus d’autres choix que de relever le défi en affinant leur proposition d’embauche. Par Céline Cherqui – Fondatrice de OneWay Ces stratégies doivent se baser sur une approche nouvelle, différente et personnalisée pour rendre l’expérience candidat meilleure. Si l’expérience candidat débute parfois, avant même la première interaction avec l’entreprise, l’expérience collaborateur débute, elle, dès la réalisation de la proposition d’embauche. La question se pose alors : comment transformer la proposition d’embauche en véritable expérience collaborateur ?
Céline Cherqui – Fondatrice de OneWay
Dans la phase de recherche de candidats, l’entreprise a besoin de connaître sa cible : sa tranche d’âge, ses besoins, ses attentes et ses comportements. Le facteur « connaissance » joue un rôle important dans l’élaboration de l’expérience candidat et il représente une source incontournable pour extraire des informations nécessaires à l’optimisation du parcours candidat. Cette expérience doit donc se prolonger, lors de la proposition d’embauche en une expérience collaborateur réussie. S’il existe plusieurs entreprises pouvant offrir le même poste à un candidat, ce dernier sera sensible à la valeur ajoutée apportée lors de son parcours candidat et celle espérée dans son parcours collaborateur. Ainsi, pour se démarquer de ses concurrents, l’entreprise doit viser la meilleure approche possible pour cet événement marquant de la vie d’un nouveau collaborateur. Et si vous tentiez un processus d’amélioration continue pour remettre en question vos pratiques ? Vous pourriez vous demander : « Est-ce que l’expérience candidat est satisfaisante pour ma cible ? Quel a été le niveau des interactions avec les collaborateurs de mon entreprise ? Sont-ils les bonnes références pour ma cible, ont-ils répondu à toutes ses attentes : questions, précisions, appréhensions ? Est-ce que mon candidat vit une expérience positive ? A-t-il envie de devenir un de mes collaborateurs ? Se sent-il engagé ? Aura-t-il envie de diffuser un message positif sur son expérience ? sur ma marque employeur ? Adhère-t-il à nos valeurs d’entreprise ? Deviendra-t-il un collaborateur fidèle ? Suis-je en mesure de pouvoir répondre à ces questions et d’avoir envie de faire bouger les lignes ? » Vous l’aurez compris, avant d’accepter votre offre de collaboration, vos candidats auront sans doute l’occasion de la comparer et choisiront l’entreprise qui saura les combler. L’enjeu sera donc d’identifier les moments clés de leur parcours, ceux où ils seront le plus réceptifs et où l’impact de vos actions aura le plus de sens pour eux. A vous de faire la différence et de marquer vos candidats de façon positive.Vous pourrez ainsi construire une stratégie cohérente, qui inspire confiance et qui est ultra-personnalisée. Pour cela, vous pouvez commencer par faire de chaque interaction, une rencontre. Individualisez les approches pour capter l’attention de vos candidats et instaurez une relation de confiance dès le début. Minimisez le temps entre chaque interaction, prenez des décisions rapides et cohérentes. Minimisez également les efforts que devront fournir vos candidats, soulagez-les avec des process fluides. Répondez à leurs besoins et à leurs attentes. Plus vous connaitrez vos cibles, plus vous pourrez aller au-delà des attentes exprimées et plus vous les surprendrez positivement. Prédire plutôt que réagir, anticipez leur craintes, leurs doutes, les difficultés qu’ils pourraient rencontrer et proposez-leur des solutions avant qu’ils ne vous en parlent. Construisez une histoire basée sur l’empathie, mettez en valeur tout ce qui a de l’importance pour vos cibles. Faites preuve de constance, tenez vos promesses et instaurez ainsi la confiance d’une relation saine. N’oubliez pas qu’ils seront, peut-être un jour, vos collaborateurs. Dans ce contexte de concurrence et de complexité à recruter les « bons profils », le besoin de rassurer, simplifier, et de proposer une expérience unique devient essentiel. Ainsi, la stratégie d’acquisition et de fidélisation la plus rentable est le ré-enchantement continu de l’expérience. 📞 Si cet article vous a donné des idées pour rendre vos propositions d’embauche plus attractives mais que tout reste encore un peu flou, …Pas de panique, je vous accompagne pas à pas sur toutes les problématiques recrutement que vous pourrez rencontrer. Céline Cherqui – Directrice Recrutement – OneWay
La rupture conventionnelle est un mécanisme qui permet à un employeur et à un salarié en CDI de s’accorder mutuellement sur la fin de leur relation professionnelle. Jusqu’au 31 août, le forfait social était de 20% du montant du salaire pour un salarié n’ayant pas atteint l’âge légal de départ à la retraite. À partir du 1ᵉʳ septembre 2023, des modifications majeures ont été mises en application et désormais, il ne sera pas plus avantageux de se séparer à l’amiable d’un employé ne pouvant pas partir à la retraite, que d’un autre ayant cotisé tous ses trimestres. Par Serge de Cluny

Ce dispositif de rupture conventionnelle a été mis en place en 2008 comme alternative au licenciement ou à la démission. Les modifications apportées depuis le 1ᵉʳ septembre 2023 sont certes techniques mais elles mettent fin à une spécificité juridique assez illogique du droit du travail français.

Dorénavant, la fiscalité sera identique pour toutes les formes de ruptures conventionnelles alors qu’elle avantageait jusqu’à présent les séparations à l’amiable pour les salariés n’ayant pas encore cotisé tous leurs trimestres pour partir à la retraite. Jusqu’alors, le forfait social à la charge de l’employeur était de 20 % lorsque le salarié n’avait pas encore atteint l’âge légal de départ à la retraite, dorénavant celui-ci va passer à 30 % du salaire de l’employé quel que soit son âge. A travers cette modification, le gouvernement veut favoriser l’emploi des seniors jusqu’à leurs 70 ans, l’âge de la mise à la retraite d’office.

«Le but de cette évolution est de remédier à une aberration du système qui favorise les ruptures conventionnelles avant la retraite», explique Bertrand Martinot, économiste membre de l’Institut Montaigne et spécialiste du travail. «On constate qu’il y a un pic deux-trois ans avant l’âge légal de départ», ajoute-t-il, soit la durée maximale durant laquelle les séniors peuvent toucher une allocation-chômage.

Le dispositif était donc à la fois coûteux pour Pôle emploi dont le nombre d’allocataires gonflait, pour l’emploi des séniors et forcément pour les finances publiques qui se voyaient privées de cotisations. L’entreprise était imposée sur les indemnités de ruptures conventionnelles à hauteur de 20% pour les employés ne pouvant pas partir à la retraite contre 50% pour ceux ayant assez cotisé. A présent, un taux de 30% est imposé à tous.

Le patronat en colère

Tout le monde comprend la nécessité d’uniformiser les pratiques mais cette réforme est «très mal accueillie» par le patronat, souligne Éric Chevée, vice-président de la CPME (Confédération des Petites et Moyennes Entreprises). «Il y avait deux moyens d’aligner : par le bas et le haut. C’est la seconde option qui a été choisie», déplore-t-il. «Cela va renchérir le coût de la rupture conventionnelle alors qu’il s’agit d’un outil de paix sociale». Pour lui, le sujet aurait dû être traité directement par les partenaires sociaux plutôt que par l’État. D’autres voix relativise l’impact financier de cette réforme comme Maître Sabrina Kemel, avocat chez FTMS, «cette hausse du plafond ne devrait pas changer grand-chose pour les employeurs à l’exception des salariés étant en âge de partir en retraite. Au moment de la mise en place des 20%, des voix s’étaient faites entendre, mais finalement ça n’a pas arrêté l’appétence pour ces solutions du moins pour les grandes entreprises», tempère-t-elle. Pour Bertrand Martinot, cette mesure ne peut, à elle-seule, impacter notablement l’emploi des séniors. «La durée d’indemnisation des séniors au chômage reste le vrai point important» souligne-t-il en rappelant ce qui a déjà été fait pour favoriser leur recherche d’emploi. «Sur les 15 dernières années il y a une continuité des politiques publiques sur le sujet. Depuis 2009 et l’obligation faite aux plus de 55 ans au chômage de chercher activement un emploi. En passant aux reports successifs de l’âge auquel les demandeurs d’emploi séniors peuvent profiter d’une durée maximale d’indemnisation de trois ans et jusqu’à la réduction de cette durée de 36 à 27 mois cette année».
Vous connaissez AIDA ? Non pas ce fameux opéra de Verdi, ni cette voisine du 3ème. AIDA, la méthode marketing pour rédiger des mails de prospection efficaces. Et si vous vous en serviez pour rédiger des offres d’emploi attractives ? Par Céline Cherqui – Fondatrice de OneWay Avant de vous lancer dans la rédaction d’une offre d’emploi, assurez-vous de savoir qui vous cherchez vraiment et pour quoi faire. Vous pouvez aussi échanger avec vos collaborateurs ayant le même profil, pour être certains d’avoir un maximum d’informations et de mots clés pertinents, d’avoir le bon vocabulaire et d’utiliser le ton adapté. Une fois que vous avez votre persona, le portrait-robot du candidat que vous cherchez et une fiche de poste détaillée, il est temps de passer à l’écriture proprement dite de votre offre d’emploi.
Céline Cherqui – Fondatrice de OneWay
C’est à ce moment précis qu’intervient AIDA. Petit rappel de cette méthode issue du marketing : Son acronyme AIDA signifie Attention, Intérêt, Désir et Action. Son but, retracer le chemin psychologique d’un prospect pour le convertir en client. Initialement utilisée dans la publicité, elle est l’une des plus anciennes méthodes de marketing. Il s’agit d’un modèle qui permet d’organiser la rédaction d’un contenu de manière à capter l’attention d’une cible pour la mener à un objectif précis. Cette méthode est aujourd’hui largement reconnue pour son utilité dans toute démarche de vente ou de communication. Et si vous vous en serviez pour rédiger des offres d’emploi attractives ? Quelques astuces pour :
  • – Capter l’attention des candidats
  • – Susciter l’intérêt de vos futurs collaborateurs
  • – Attiser le désir de votre cible
  • – Inciter votre candidat à passer à l’action
  1. Capter l’attention des candidats
Vous n’avez que quelques secondes pour attirer l’attention de votre candidat. Vous devez donc vous démarquer nettement. Pour cela, votre première attention doit se porter sur le titre de votre offre d’emploi. Choisissiez-le accrocheur, car c’est lui qui vous permettra de sortir du lot de la longue liste des offres en ligne.  Optez pour les bons mots clés, car ce sont eux qui vous rendront visibles. Mettez-vous dans la peau de votre candidat et demandez-vous ce qui ferait la différence et ce qu’il serait susceptible de chercher. Attention à ne pas vous enfermer dans une nomenclature interne.
  1. Susciter l’intérêt de vos futurs collaborateurs
Une fois que votre candidat s’est arrêté sur votre offre d’emploi, il est primordial qu’il s’y attarde. Pour cela, il doit se sentir concerné. Donnez-lui l’impression que vous vous adressez à lui personnellement en adaptant votre contenu à ses attentes. Il est donc indispensable de bien le connaître, de comprendre ses besoins, ses attentes et ses interrogations. Il faut l’amener à se reconnaître dans le message qui est délivré. Attention, ce n’est pas encore le moment de vendre votre entreprise.
  1. Attiser le désir de votre cible 
Maintenant que vous avez gagné l’attention et l’intérêt de votre candidat, à vous d’exposer vos meilleurs arguments, susceptibles de provoquer un sentiment de « désir ». À ce stade, il sait pourquoi il doit continuer à vous écouter, mais il n’a pas encore LA bonne raison d’aller plus loin. C’est donc le moment d’expliquer en quoi votre marque employeur est différente, répond à ses attentes et comment elle peut changer son quotidien. Il faut faire preuve d’empathie pour mettre en avant les bons arguments. Vous pouvez également influencer sa décision en utilisant la « preuve sociale », cette tendance à être guidés par le comportement des autres. En partageant l’avis de vos collaborateurs qui lui ressemblent, vous insufflerez en lui une perception positive vis-à-vis de votre marque employeur. Leurs témoignages, anecdotes ou retours d’expérience prendront donc toute leur importance.
  1. Inciter votre candidat à passer à l’action
Donnez-lui la possibilité d’aller au bout de sa prise de décision, facilement et immédiatement. Persuadez-le qu’il doit passer à l’acte maintenant et postuler à votre offre d’emploi. Grâce à cette méthode et une excellente connaissance de ce qui intéresse votre candidat idéal, vous serez en mesure d’écrire une offre d’emploi efficace, qui l’attire et qui résonne véritablement chez lui. 📞  Si cet article vous a donné des idées pour rédiger une offre d’emploi attractive mais que tout reste encore un peu flou, … Pas de panique, je vous accompagne pas à pas sur toutes les problématiques recrutement que vous pourrez rencontrer. Céline Cherqui – Directrice Recrutement – OneWay  
Le terme un peu « hipe » des années 2000 de Love Brand désigne des marques pour lesquelles les consommateurs éprouvent une réelle passion, Nike, Apple et Disneyland sont souvent citées en exemple. Ces marques réussissent à créer cette relation passionnée à travers leur marketing et leur diffusion de contenu. En appliquant ce concept à votre stratégie recrutement, c’est lorsque vous prendrez soin de chacun de vos candidats lors d’un parcours personnalisé répondant à leurs attentes, que vous aussi, deviendrez une Love Brand. Par Céline Cherqui – Fondatrice de OneWay Et si finalement la posture la plus importante était de savoir comment prendre soin de ses candidats et de ses collaborateurs pour les attirer et les fidéliser ? L’objectif ne serait-il pas plutôt de devenir une Care Brand, une entreprise basée sur l’attention qu’elle porte à ses candidats et à ses collaborateurs ? La concurrence est de plus en plus rude et pour vous démarquer par votre stratégie d’acquisition de nouveaux talents il vous sera nécessaire de faire preuve de beaucoup d’imagination pour rendre vos candidats uniques. Pour développer une image de Care Brand, il est donc important de tisser des relations fortes avec vos candidats, d’être à leur écoute pour établir une relation de confiance et de provoquer en eux une émotion positive avec votre marque employeur.
Céline Cherqui – Fondatrice de OneWay
La connaissance parfaite de vos « cibles » ou de vos personae devient alors un élément central : comment leur parler, comment les sensibiliser, comment leur apporter ce qui leur manque et ce dont ils ont besoin pour s’épanouir au quotidien dans leurs fonctions. La mise en place de cette stratégie de Care Brand vous permettra non seulement de partager vos valeurs et également de proposer un contenu adapté pour séduire les candidats qui vous ressemblent et que vous cherchez tant. Ce partage de valeurs génèrera en interne un sentiment d’appartenance et permettra aussi à vos collaborateurs de se reconnaître et de se développer. Vous l’aurez compris : Les entreprises qui savent manier à la perfection ce concept de Care Brand, auront une longueur d’avance dans la fidélisation de leurs collaborateurs et l’acquisition de nouveaux talents. Ok, et concrètement ? Comment faire pour devenir une Care Brand qui attire et fidélise ? Voici quelques pistes pour amorcer votre réflexion : – Avoir un positionnement clair – Définir les valeurs que vous allez utiliser pour faire rayonner votre marque employeur – Communiquer sur ces valeurs fortes en employant le style adapté à votre cible – Créer un univers particulier dédié à votre cible autour de votre marque – Déployer une relation collaborateur différenciante basée sur la qualité et la proximité – Placer vos collaborateurs au cœur de votre stratégie de développement – Développer des communautés d’ambassadeurs fidèles et engagés C’est grâce à une stratégie centrée sur vos collaborateurs que vous pourrez contribuer de façon efficace à renforcer le message de votre marque employeur et établir des relations de confiance avec vos candidats. En effet, en partageant des anecdotes vos collaborateurs génèreront un sentiment d’appartenance et de fierté qui aura du sens pour vos candidats qui reconnaîtront l’authenticité de votre marque et se sentiront compris. Pour éviter un effet publicité, laissez vos collaborateurs trouver les bons mots qui expriment leur engagement et séduisent les candidats. Ne les formatez pas avec des éléments de langage à utiliser dans leur communication, au risque de créer l’effet inverse. N’oubliez pas que, dès lors qu’un collaborateur développe un attachement à votre entreprise, il est plus fidèle, partage plus volontiers son ressenti positif à son entourage, génère des recommandations et par conséquent, booste votre taux de cooptation. Love Brand ou Care Brand, l’avenir appartient aux entreprises qui arriveront à toucher le cœur des candidats et pour qui la relation collaborateurs sera stratégique. 📞  Si cet article vous a donné des idées pour mettre en place votre stratégie d’acquisition de nouveaux talents mais que tout reste encore un peu flou, …Pas de panique, je vous accompagne pas à pas sur toutes les problématiques recrutement que vous pourrez rencontrer. Céline Cherqui – Directrice Recrutement – OneWay
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