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SME-ETI

La loi Avenir professionnel du 5 septembre 2018 va réaliser une véritable restructuration du régime juridique de la formation professionnelle à partir du 1er  janvier 2019 en monétisation le compte personnel de formation, en redéfinissant le plan de formation, en créant une contribution unique à la formation professionnelle et à l’alternance et en transférant progressivement la collecte des fonds aux Urssaf. Notons qu’il est souhaitable d’anticiper certaines nouveautés dès à présent. Par Franck Boccara La loi Avenir professionnel octroie au salarié le soin de définir ses besoins de formation seul ainsi que d’activer ses droits. En témoignent la monétisation du compte personnel de formation et la possibilité pour le salarié de mobiliser directement ses droits, via une application mobile.  L’entreprise, qui n’a donc plus de droit de regard sur le contenu et sur le calendrier des formations, se contentera juste d’autoriser (ou non) le départ du salarié en formation. Il lui restera tout de même la possibilité d’orienter les choix de formation de ses salariés en s’engageant, à travers un accord collectif, à abonder le compte des salariés pour certaines formations convenues au préalable. Les obligations de la direction vis-à-vis des salarié reste de vigueur comme l’obligation de formation et d’adaptation de leurs compétences à l’évolution de leur poste de travail. Celle-ci est également tenue d’organiser des entretiens professionnels biennaux destinés à aborder les perspectives d’évolution professionnelle et à identifier les besoins en formation des salariés. De plus, l’entretien d’état des lieux au bout de 6 ans demeure obligatoire. Concernant les premiers bilans prévus pour 2020, ils devront être, faute de dispositions transitoires, appliqués selon les nouvelles dispositions en vigueur dès l’année prochaine. L’employeur qui n’honore pas ces obligations sera tenu de verser à la Caisse des dépôts et des consignations un abondement sanction du compte personnel de formation des salariés concernés, dont le montant prévu est fixé à 3.000 euros maximum. Quant au plan de formation, nommé dorénavant « plan de développement des compétences », il sera conservé mais sa structure va évoluer : Dès le 1er janvier 2019, la distinction traditionnelle « actions d’adaptation au poste de travail » et « actions de développement des compétences » disparait pour laisser place à une distinction simplifiée entre « formations obligatoires » et « formations non obligatoires ». Le défi majeur pour les entreprises dès 2019 sera la collecte des fonds de la formation professionnelle. En effet, la loi Avenir professionnel prévoit que les contributions soient calculées sur la masse salariale de l’année en cours, et non plus sur la masse salariale de l’année passée. Cela veut donc dire que les entreprises seront tenues à une double collecte en 2019 puisqu’elles devront s’acquitter, en début d’année, des contributions dues au titre de la masse salariale 2018, et en fin d’année, d’une première évaluation des contributions au titre de la masse salariale 2019. En contrepartie, les entreprises bénéficieront d’une exonération de la taxe d’apprentissage en 2019.
Le CES de Las Vegas (Consumer Electronic Show) est le plus grand salon au monde dans le domaine de l’innovation technologique et de l’électronique. Il rassemblera cette année environ 4 000 exposants du monde entier. La CPME vous propose de vous y rendre afin de vous familiariser avec les évolutions qui feront très rapidement le quotidien de nos PME et ETI Le Consumer Electronic Show (CES)  est un évènement incontournable pour toutes les PME et ETI françaises qui souhaitent lancer leurs produits et pénétrer le marché américain. Le moment et l’endroit sont propices pour rencontrer des distributeurs et investisseurs venus du monde entier, et bien sûr se pour se faire repérer par les médias internationaux…
Le CES se déroule sur 3 sites géographiques différents dans Las Vegas :
  • Le Las Vegas Convention Center (LVCC) qui est situé au nord-est du Strip (Las Vegas Boulevard) comprend trois halls : le South Hall (divisé en deux), le Central Hall et le North Hall. C’est le cœur historique du CES, où seront présents essentiellement les géants de l’électronique : photo, vidéo, télévision, processeurs informatiques, ainsi que les produits domotiques et les voitures connectées.
 
  • Le Sands Expo & Convention Center qui est en plein cœur du Strip : c’est le rendez-vous des start-ups et le vrai centre névralgique de l’innovation : c’est là que s’invente le monde futur, avec les applications liées à l’intelligence artificielle, la robotique, les objets connectés, le sport, le bien-être, la santé…
 
La première opération qui a eu lieu en janvier 2018 fut un succès avec une délégation française regroupant 80 chefs d’entreprises et décideurs économiques qui s’était rendue au CES de Las Vegas , la CPME organise la saison 2 qui s’annonce exceptionnelle et vous convie à vous y associer. Dirigeants de PME, la CPME nationale et la CPME 31 vous proposent une formule sur mesure avec un nombre de places limité à 100, alors pourquoi pas se laisser tenter et joindre l’utile à l’agréable ? Contacts et informations : Nicolas Poux – nicolas.poux@cpme31.fr Béatrice Brisson – bbrisson@cpme.fr S’inscrire  Programme du déplacement 7 – 11 janvier 2019 
Frédéric Duval, directeur général d’Amazon France, s’est clairement prononcé contre la mise en application de la  taxe GAFA qui sera imposée aux géants du web dès le 1er janvier prochain. Il explique pourquoi il pense que cette mesure aura des effets contre-productifs. Par Serge de Cluny Bruno Le Maire, ministre de l’Économie à l’inititive de cette taxe, a annoncé qu’elle rentrera bien en vigueur à partir du 1er janvier 2019 et a promis lors d’une audition au Sénat le 19 décembre qu’elle « devrait rapporter en année pleine 500 millions d’euros » sans détailler son mécanisme. Frédéric Duval, de son côté, était l’invité du Mag de l’Éco de RTL Grand Soir. Il s’est exprimé sur cette annonce qu’il considère comme « un véritable risque » qui, selon lui, aura pour conséquence de pénaliser directement les TPE et PME locales. « Je pense que c’est dangereux de taxer le chiffre d’affaires et non le profit. En taxant le chiffre d’affaires, en particulier celui réalisé sur les marketplaces, on va affecter de façon assez sérieuse la compétitivité des dizaines de milliers d’entreprises qui les utilisent pour vendre en France et exporter », déclare le directeur général d’Amazon France. « Pénaliser les marketplaces, c’est pénaliser les entreprises qui vendent sur ces places de marché », ce qui représente pas moins de 10.000 entreprises en France selon lui. Toujours selon Frédéric Duval, cette mesure risque d’avoir des effets particulièrement négatifs sur l’économie française. « La France est en retard en matière de digitalisation des petites entreprises », affirme-t-il en comparant les activités française et allemandes. « Quand mon homologue allemand parle de la marketplace Amazon allemande, il parle de 70.000 entreprises allemandes et ces entreprises exportent environ 2,1 milliards d’euros ». La France, c’est « 10.000 entreprises, donc 7 fois moins et environ 250 millions d’euros, soit presque 10 fois moins ». Un effet « Gilets jaunes » ? Egalement questionné sur une éventuelle influence bénéfique des manifestations sur le commerce en ligne, Frédéric Duval réfute et précise: « Il n’y pas eu d’effets dopants, d’accélération de croissance, ni de bulle d’activité », en faisant plutôt état de problèmes logistiques. « Nous en avons tenu compte pour respecter la promesse faite à nos clients ». Il s’est aussi exprimé sur la prime exceptionnelle en affirmant « ne pas avoir d’annonce à faire en la matière ». « L’entreprise Amazon n’est profitable que depuis quelques années et que le pourcentage de profitabilité est très faible. Rien à voir avec les autres Gafa », s’est défendu Frédéric Duval pour expliquer le fait que l’entreprise n’offrira pas de prime comme l’a demandé le gouvernement.
Le salon du travail et de la mobilité professionnelle est sans aucune doute une des manifestations à ne pas manquer en ce début d’année !  Il sera consacré à tout l’univers du travail et s’adresse aux porteurs de projets, salariés, cadres, jeunes diplômés, fonctionnaires, personnes en recherche d’emploi. L’évènement a pour fonction de permettre à tous ces acteurs de s’informer, d’orienter leurs carrières, de rebondir, d’organiser, gérer et consolider leur parcours professionnel.
Le salon du travail et de la mobilité professionnelle, avec près de 180 exposants, propose aux visiteurs 6 villages thématiques en phase avec les problématiques liées au monde du travail : la mobilité, l’entrepreneuriat, la recherche d’emploi, le secteur public, la formation et l’expatriation. Les visiteurs pourront bénéficier de nombreux conseils pratiques et échanger avec les experts présents. DATES  PROFESSIONNELS ET GRAND PUBLIC Jeudi 17 janvier 2019 : 10h – 18h Vendredi 18 janvier 2019 : 10h – 18h LIEU Grande Halle de la Villette 211 avenue Jean Jaurès 75019 Paris TARIFS Entrée gratuite sur inscription en ligne : Inscrivez-vous ! ACCÈS En métro : Porte de Pantin En tram : Porte de Pantin En bus : Lignes 75, 151, PC2, PC3 – Porte de Pantin En voiture : Sortie périphérique Porte de la Villette Bus et véhicules utilitaires PARKING Parking Est “cité de la musique” 348 places, dont 10 places pour personnes à mobilité réduite. Ouvert tous les jours 24h/24h, Stationnement bus : 1 heure, 3,40 € TTC / 24 heures, 28,20 € Pré-réservation possible sur vincipark.com Porte de Pantin, accès par le 211 avenue Jean Jaurès, sous la cité de la musique. Contact : Vinci Parc. Tél : + 33 810 26 3000 Parking Est “Philharmonie” 564 places dont 15 pour personnes à mobilité réduite et 90 emplacements motos. Ouvert tous les jours de 7h à 2h en entrée, sortie 24h/24 Un système de pré-réservation sur internet est disponible qui permettra de réserver jusqu’à 6 mois à l’avance. Porte de la Villette/Porte de Pantin, 185 boulevard Serrurier 75019 Stationnement : 1 heure, 3,40 € / Forfait soirée (18h30 – 3h) 9,80 € Contact: M. Alexis Fayot. Tél: 06 65 75 34 49 – mail: alexis.fayaud@q-park.fr Parking Nord « cité des Sciences » 1400 places pour véhicules individuels dont 29 places pour personnes à mobilité réduite Ouvert tous les jours 24h/24h – pré-réservation possible sur vincipark.com Stationnement : 1 heure, 3,20 € TTC / 24 h, 25 € TTC Porte de la Villette, direction Parking Parc de la Villette, entrée par le 59 bd Mc Donald ou 30 avenue Corentin Cariou. Contact : Vinci parc, M. Rais. Tél : 01 40 05 79 90 / p751908@vinciparc.com VOYAGE Compagnie Aérienne Des réductions sont appliquées sur une très large gamme de tarifs dans toutes les classes de transport (Espace Affaires, Tempo) sur l’ensemble des vols Air France du monde. Pour obtenir les tarifs préférentiels consentis pour le salon du travail et de la mobilité professionnelle connectez vous sur : www.airfrance-globalmeetings.com ou contactez le 36 54 (0.34 €/min) ou votre agence Air France. Numéro d’agrément : 28650AF Pour connaître votre agence Air France la plus proche, consultez : www.airfrance.com SERVICES Vestiaire Distributeur bancaire Kiosque à journaux Poste de Police, premier secours Café Paul dans le Hall  
Les revenus immobiliers des expatriés français (hors Europe) tirés sur des biens situés dans l’Hexagone vont se voir pénalisés par deux mesures votées en fin d’année qui vont modifier les règles en place. Par Franck Boccara Mauvaise nouvelle fiscale pour nos compatriotes qui vivent hors d’Europe et beneficient de revenus immobiliers en france. En effet, le gouvernement a adopté un amendement dans le cadre du projet de loi de finances qui va rehausser de 20 à 30% l’imposition des revenus de source française. Il faut savoir que les revenus immobiliers des expatriés français tirés sur des biens situés dans l’Hexagone ne sont pas indexés au barème progressif de l’impôt sur le revenu (tranches de 0 à 45%). Ceux-ci sont soumis à un taux moyen minimal de façon à ce que ces gains n’échappent pas à l’impôt ou ne soient pas imposés trop faiblement. La seule manière de contourner ce taux minimal est de prouver que la taxation française sur la totalité de vos revenus mondiaux aboutirait à un taux d’imposition inférieur mais cette solution reste très rarement utilisée. Ce qui est sûr, c’est que cette imposition à 30%  qui va toucher les revenus perçus dès 2018 ne va pas être neutre pour les expatriés qui tirent des revenus locatifs sur le sol français. Par exemple, un propriétaire qui bénéficie de 20.000 euros de revenus locatifs sera dorénavant imposé à 6.000 euros, contre 4.000 euros avec l’imposition actuelle à 20%, ou même 1.427 euros si celui-ci était soumis au barème progressif de l’impôt sur le revenu (avec un taux moyen équivalent à 6,5%) . Pour atteindre un taux d’imposition moyen de 30% en suivant le barème progressif classique, un célibataire doit engranger 125.000 euros de revenus nets imposables… Cependant, cette mauvaise nouvelle va toutefois être compensée pour certains de nos expatriés par un autre amendement adopté, cette fois-ci, dans le cadre du projet de loi de financement de la sécurité sociale. En effet, celui-ci devrait réduire de 17,2% à 7,5% le taux de prélèvements sociaux appliqué sur ces mêmes revenus de source française. Le seul bémol étant que ce cadeau s’appliquera uniquement aux résidents de l’espace économique européen et suisses. Les revenus immobiliers des expatriés français hors d’Europe seront donc les plus fortement touchés par cette double mesure fiscale dans la mesure où d’un côté, il vont voir leur imposition sur le revenu augmenter et de l’autre ils ne pourrons pas profiter de la diminution des prélèvements sociaux accordée en contrepartie.
La réforme de la formation aura été un des chantiers les plus marquants de 2018 pour notre ministre du travail Muriel Pénicaud. En effet, le monde de la formation professionnelle, continue et de l’apprentissage a été chamboulé par le projet de loi « pour la liberté pour choisir son avenir professionnel »  dont le but est de changer les règles du milieu en amorçant une transition vers plus de simplicité et de transparence. Voici quelques notions pour mieux comprendre la réforme de la formation et s’y préparer. Par Franck Boccara Le Compte Personnel de Formation (CPF), que tout le monde connait, va connaitre certains changements. Actuellement et jusqu’à janvier 2019, chaque salarié français est crédité de 24 heures de « droit » à la formation sur son CPF. Dorénavant, pour être plus transparent et plus clair, ce même CPF va être converti en euros. Chaque salarié sera ainsi crédité de 500 euros par an s’il est qualifié ou 800 s’il ne l’est pas. Le Congé Individuel de Formation (CIF) devient le « CPF de transition professionnelle » qui, comme son prédécesseur, est un droit accordé au salarié lui permettant de prendre des congés pour suivre une formation et potentiellement de se reconvertir. Le plan de formation devient, pour sa part, le plan de développement de compétences. Il va cesser la séparation et classification des formations, ce qui rendra la mise en place des actions de formation plus simple pour les entreprises. Les Organismes Paritaires Collecteurs Agréés (OPCA) sont rebaptisés en OPCO (Opérateurs de Compétences). Ils ont toujours en charge de collecter les obligations financières mais sont réduits en nombre. Quant aux obligations financières, elles sont également modifiées dans la mesure où il n’en restera plus qu’une seule qui sera collecté par l’URSAFF. Une nouvelle entité France Compétences est créée dont la fonction est de réguler la qualité et les prix des formations. Elle va rassembler COPANEF, CNEFOP, FPSPP et la CNCP et sera gérée en entre autre par l’Etat. Une application mobile destinée à l’utilisation et la gestion de son CPF afin que le titulaire du CPF puisse bénéficier d’un meilleur contrôle. Une phase de mise en place ainsi qu’une version anticipée sera disponible pour le premier semestre 2019 tandis que la version finale est prévue pour le second semestre 2019. Nous voila donc à l’aube d’une année 2019 qui sera marquée par la mise en oeuvre de la réforme de la formation. Cette transition va représenter un véritable changement pour les formateurs ainsi que pour les futurs formés, l’essentiel étant d’arriver au final à plus d’efficacité.
La réforme de la formation aura été un des chantiers les plus marquants de 2018 pour notre ministre du travail Muriel Pénicaud. En effet, le monde de la formation professionnelle, continue et de l’apprentissage a été chamboulé par le projet de loi « pour la liberté pour choisir son avenir professionnel »  dont le but est de changer les règles du milieu en amorçant une transition vers plus de simplicité et de transparence. Voici quelques notions pour mieux comprendre la réforme de la formation et s’y préparer. Par Franck Boccara Le Compte Personnel de Formation (CPF), que tout le monde connait, va connaitre certains changements. Actuellement et jusqu’à janvier 2019, chaque salarié français est crédité de 24 heures de « droit » à la formation sur son CPF. Dorénavant, pour être plus transparent et plus clair, ce même CPF va être converti en euros. Chaque salarié sera ainsi crédité de 500 euros par an s’il est qualifié ou 800 s’il ne l’est pas. Le Congé Individuel de Formation (CIF) devient le « CPF de transition professionnelle » qui, comme son prédécesseur, est un droit accordé au salarié lui permettant de prendre des congés pour suivre une formation et potentiellement de se reconvertir. Le plan de formation devient, pour sa part, le plan de développement de compétences. Il va cesser la séparation et classification des formations, ce qui rendra la mise en place des actions de formation plus simple pour les entreprises. Les Organismes Paritaires Collecteurs Agréés (OPCA) sont rebaptisés en OPCO (Opérateurs de Compétences). Ils ont toujours en charge de collecter les obligations financières mais sont réduits en nombre. Quant aux obligations financières, elles sont également modifiées dans la mesure où il n’en restera plus qu’une seule qui sera collecté par l’URSAFF. Une nouvelle entité France Compétences est créée dont la fonction est de réguler la qualité et les prix des formations. Elle va rassembler COPANEF, CNEFOP, FPSPP et la CNCP et sera gérée en entre autre par l’Etat. Une application mobile destinée à l’utilisation et la gestion de son CPF afin que le titulaire du CPF puisse bénéficier d’un meilleur contrôle. Une phase de mise en place ainsi qu’une version anticipée sera disponible pour le premier semestre 2019 tandis que la version finale est prévue pour le second semestre 2019. Nous voila donc à l’aube d’une année 2019 qui sera marquée par la mise en oeuvre de la réforme de la formation. Cette transition va représenter un véritable changement pour les formateurs ainsi que pour les futurs formés, l’essentiel étant d’arriver au final à plus d’efficacité.
Des rencontres Ukraine seront organisées par Business France le lundi 10 décembre 2018 à Paris en partenariat avec la CCI Franco-Ukrainienne et la Section Ukraine des conseillers du commerce extérieur de la France. Ces rencontres Ukraine annuelles de la communauté d’affaires française intéressée par l’Ukraine sont organisées par Business France en partenariat avec la CCI Franco-Ukrainienne, la Section Ukraine des Conseillers du Commerce Extérieur de la France et de nombreux opérateurs privés implantés en Ukraine. Le séminaire se déroulera sous forme de réflexion collective autour des principaux sujets d’interrogation actuels, en présence de praticiens de tout premier plan. Les rencontres individuelles qui suivront rassembleront de nombreux prestataires disposant d’une expérience de terrain et d’une présence permanente dans ce pays. Ces rencontres Ukraine vont permettre d’informer concrètement les PME et ETI qui souhaiteraient en savoir plus sur ce pays d’Europe d’environ 45 millions d’habitants.
  • Lundi 10 décembre 2018, Paris, Business France (77 Boulevard Saint Jacques – 75014 Paris)
  • Organisateur(s) : Business France – Service Evénements spéciaux
  • Contact : Michel KEFELI
  • Téléphone : +33 (0)1 40 73 37 30
Frais de participation : 190,00€ HT
Inscription en ligne :
Données économiques Principales données économiques (source : DG Trésor http://www.tresor.economie.gouv.fr/Pays/ukraine) PIB (2016) : 93,27 Mds USD (sans la Crimée – source : FMI). PIB par habitant (2016) : 2185,76 USD (2013 : 3960 USD/hab., avant la dévaluation de la hryvnia.). Salaire moyen : 220 USD. Taux de croissance (2017) : 2% Taux de chômage (2016) : 9%. Taux d’inflation (2017) : 14,2% Solde budgétaire (2017) : – 3 % Balance commerciale (2017) : – 0,2% du PIB (DGT). Dette publique (perspective 2017) : 92% du PIB (2014 : 72,7%) Part des principaux secteurs d’activité dans le PIB (2016) : Agriculture (38%) et Industrie (métallurgie) (28%) Exportations de la France vers l’Ukraine (2016) : 722M€. Importations françaises depuis l’Ukraine (2016) : 570M€. Présence française Consulat général de France : Kiev. Communauté française en Ukraine : 940 personnes inscrites au registre. Situation économique L’économie de l’Ukraine est la 3ème de la CEI (PIB : 93,3Mds$ en 2016). Le pays bénéficie d’un potentiel économique important : ressources minières, énergétiques et agricoles. L’Ukraine est également un pays industriel, le 10ème producteur mondial d’acier et l’un des 10 premiers exportateurs d’armes. Le secteur privé représente 60% du PIB. La croissance du PIB s’est élevée à 2% en 2017. Une reprise de 2-3% annuels, sous l’effet de nouveaux crédits et d’investissements, pourrait intervenir en 2017-2018. L’accord de confirmation (Stand By Arrangement) du FMI (7,1 Mds $ sur 2014-2015, 4,6 Mds $ versés en 2014) a été converti en Extended Fund Facility de 17,5 Mds $ sur 4 ans à partir de 2015. 7,7 Mds $ ont déjà été versés. Tous les bailleurs internationaux (FMI, BERD, UE, G7, BM) exercent une surveillance étroite et nécessaire du respect des conditionnalités qu’ils partagent, en particulier sur la lutte contre la corruption et la réforme du secteur énergétique. L’Union européenne est le 1er contributeur financier net à l’Ukraine en 2014 et a décidé d’apporter une troisième assistance macro-financière de 1,8Md€ à l’Ukraine.
La CCI Lyon Métropole organise : L’atelier RH / CO-DEVELOPPEMENT EN MANAGEMENT qui aura lieu lundi 10/12 (matin) à Saint-Etienne Objectifs des ateliers RH  :  – Gagner en efficacité grâce à des outils et de la méthodologie directement utilisables – Bénéficier d’un retour concret d’expériences vécues – Gagner en assurance et en prise de recul grâce aux échanges et aux expertises des intervenants – Se créer un réseau de pairs en capacité de partager sur ses pratiques et de co-construire
PROGRAMME
1 demi-journée sur le co-développement en management animée par Patricia YON, YRH Conseil – Partager, échanger sur des problématiques, des pratiques et des expériences sur la thématique du management – Bénéficier de conseils opérationnels Public : Dirigeants, directeurs, personnes en charge des RH (pour PME, ETI et Grands comptes) Tarif : 150 € HT la 1/2 journée, soit 150 € HT le module Co-développement en management. Inscription : Veuillez remplir le bulletin d’inscription et le renvoyer à Amandine Barlet, – soit par mail à : a.barlet@lyon-metropole.cci.fr – soit par courrier à : CCI LYON METROPOLE, Délégation de Saint-Etienne Amandine BARLET 57 cours Fauriel CS 70 374 42024 Saint-Etienne cedex 2
ORGANISATEURS
CCI LYON METROPOLE Saint-Etienne Roanne
Amandine BARLET a.barlet@lyon-metropole.cci.fr Tel : 04 77 43 04 40 M : 06 37 17 62 30
La CCI Lyon Métropole organise : L’atelier RH / CO-DEVELOPPEMENT EN MANAGEMENT qui aura lieu lundi 10/12 (matin) à Saint-Etienne Objectifs des ateliers RH  :  – Gagner en efficacité grâce à des outils et de la méthodologie directement utilisables – Bénéficier d’un retour concret d’expériences vécues – Gagner en assurance et en prise de recul grâce aux échanges et aux expertises des intervenants – Se créer un réseau de pairs en capacité de partager sur ses pratiques et de co-construire
PROGRAMME
1 demi-journée sur le co-développement en management animée par Patricia YON, YRH Conseil – Partager, échanger sur des problématiques, des pratiques et des expériences sur la thématique du management – Bénéficier de conseils opérationnels Public : Dirigeants, directeurs, personnes en charge des RH (pour PME, ETI et Grands comptes) Tarif : 150 € HT la 1/2 journée, soit 150 € HT le module Co-développement en management. Inscription : Veuillez remplir le bulletin d’inscription et le renvoyer à Amandine Barlet, – soit par mail à : a.barlet@lyon-metropole.cci.fr – soit par courrier à : CCI LYON METROPOLE, Délégation de Saint-Etienne Amandine BARLET 57 cours Fauriel CS 70 374 42024 Saint-Etienne cedex 2
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