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SME-ETI

Les rencontres Russie de Business France sont un rendez-vous d’affaires à ne pas manquer pour aborder le marché russe ou renforcer votre présence sur place. La Russie, 11ème économie mondiale, connait une reprise de croissance depuis 2018 et met en place une statégie d’investissement pour doper sa compétitivité et diversifier son économie. Cet effort s’oriente notamment vers les secteurs de la santé, de l’agriculture, de la transformation agroalimentaire, des infrastructures de transports ou encore des services innovants. Les grandes entreprises françaises sont déjà bien présentes sur ces secteurs et leur image est bonne, ce qui offre à nos PME et ETI de réelles opportunités.

En effet, la France est le 6ème fournisseur mondial de la Russie et premier employeur étranger sur place. Cette présence tricolore offre des opportunités énormes pour les PME et ETI ayant des produits et services innovants et adaptés à ce marché de 146 M d’habitants.
De plus, la création de l’Union Economique Eurasiatique dont sont membres la Russie, le Kazakhstan, la Biélorussie, l’Arménie et le Kirghizstan ouvre des horizons supplémentaires pour nos entreprises.

Un nouveau dispositif d’accompagnement de la Team France Export en Russie vient d’être lancé le 1er juillet 2019 et vous sera présenté lors de cette journée des rencontres Russie.

Le programme des rencontres Russie

Programme provisoire et susceptible de modification 

Débats animés par Arnaud FLEURY, journaliste économique

Mercredi 16 octobre
08h00 – Accueil des participants
09h00 – Allocutions d’ouverture en séance plénière
  • Christophe LECOURTIER, Directeur Général de Business France 
  • Sylvie BERMANN, Ambassadeur de France en Russie (à confirmer)
  • Mikhail MAKAROV, Représentant de l’Ambassade de Russie ou de la Représentation commerciale de la Russie 
09h30 – La situation macro-économique et l’environnement des affaires en Russie
  • Patrick ERBS, chef du service économique Russie et CEI
  • David LASFARGUE, Président de la section CCE Russie
10h30 – Ecosystème d’appui aux entreprises – nouveau dispositif Business France en Russie
  • Hélène BURIEV, Conseillère Appui aux entreprises, Service économique régional de Moscou
11h00 – Pause-café / Networking
11h15 – Tables rondes sectorielles

Industries et Cleantech – Projets industriels en Russie

Transformation agroalimentaire – opportunités pour des entreprises françaises

  • Nicolas LESYK, directeur du bureau de la représentation CLEXTRAL en Russie, CCE 
  • Nicolas DUCRET, CCIFR 

Santé et biens de consommation. (Marché des dispositifs médicaux, services de santé et produits pharmaceutiques. Bien de consommation, cosmétiques, habillement, luxe…)

  • Sophie LANFRANCHI, DUALEST
  • Jérôme GAVET, directeur SERVIER Russie et Eurasie, Président du Club Santé Russie, CCE
13h15 – Point V.I.E.
13h30 – Déjeuner de réseau / Networking
14h30 – 17h00 – Rendez-vous d’affaires individuels avec les experts et la délégation des entreprises russes. 

19h00 – Cocktail networking (à confirmer)

Les partenaires des rencontres Russie

Bpifrance et la BEI (Banque Européenne d’Investissement) poursuivent et renforcent leur collaboration ! Après l’accord de garantie en faveur des prêts aux ETI françaises, un nouvel accord de financement par la BEI du Programme Accélérateur PME de Bpifrance a été signé.

Par Serge de Cluny

Bpifrance, représentée par son Directeur Général Nicolas Dufourcq et la BEI, représentée par son Vice-Président Ambroise Fayolle ont approuvé conjointement une convention de financement dans le cadre des activités de la plateforme européenne de conseil en investissement (EIAH ou Advisory Hub). Cette plateforme, qui est le fruit d’une initiative conjointe de la Commission européenne et de la BEI, est un guichet unique offrant des services de conseil et d’assistance technique pour appuyer des projets d’investissement dans l’Union Européenne.

De fait, la BEI va participer au financement de la cinquième promotion du Programme Accélérateur PME de Bpifrance qui vise à subvenir aux besoins des PME dynamiques et ambitieuses dans leur parcours de transformation en Entreprises de Taille Intermédiaire (ETI). Ce programme permet, entre autre, d’identifier les axes prioritaires de croissance et de tirer parti efficacement des leviers identifiés.

Cet accord de financement, qui avait déjà été mis en place pour les ETI, s’inscrit dans la stratégie de la BEI et de la Commission européenne de renforcement des capacités des banques publiques nationales à accompagner les entreprises dans le domaine extra-financier. Grâce à lui, Bpifrance va renforcer sa stratégie d’accompagnement des entreprises à fort potentiel avec un objectif de 4 000 entreprises françaises accelérées d’ici 2021. De leur côté, ces PME vont pouvoir accéder un nouveau moyen de financement.

« Bpifrance est un partenaire important de la BEI et de l’Advisory Hub en France et nous sommes très heureux de pouvoir renforcer notre coopération avec cette signature », dixit Ambroise Fayolle, le Vice-Président de la BEI qui poursuit en expliquant qu' »un écosystème de PME et d’ETI puissant est un facteur clé pour soutenir la compétitivité et l’innovation des économies et dans ce cadre il est très important pour la banque de l’Union européenne d’y participer. C’est un excellent exemple de la manière dont les financements et les expertises européennes peuvent soutenir les besoins localement, pour le plus grand bénéfice des citoyens ».

Nicolas Dufourcq, Directeur Général de Bpifrance, a pour sa part estimé que « Ce nouvel accord entre la BEI et Bpifrance illustre l’étendue du partenariat qui lie nos deux institutions. Initié avec des accords de financement et de garantie, permettant de démultiplier nos prêts aux PME et ETI françaises, nous sommes très heureux de l’étendre à un nouveau champ d’action, en associant désormais la BEI à notre stratégie d’accompagnement extra-financier des entreprises. »

Le G7 de Biarritz 2019, sous la présidence de la France, a choisi pour thématique et pour objectif la lutte contre les inégalités. C’est un vaste chantier qui ne pourra voir le jour qu’avec l’engagement des acteurs majeurs de l’économie mondiale que sont les grandes entreprises. Trente-quatre multinationales, représentant au total un chiffre d’affaires annuel de plus de 1.000 milliards de dollars, ont répondu à l’appel en rejoignant une coalition visant à regrouper et renforcer les efforts déployés pour lutter contre les inégalités.

Par Franck Boccara

B41G (Business for Inclusive Growth) ! C’est le nom de cette initiative soutenue par le président français Emmanuel Macron qui sera présentée ce vendredi à l’Elysée, en amont du Sommet du G7 de Biarritz. Le B41G sera dirigé par Emmanuel Faber, le PDG du groupe Danone et appuyé par l’OCDE.

« Dans beaucoup des pays du G7, l’effritement des classes moyennes, qui sont la fondation de l’économie de marché, doit être une alerte car il est démontré qu’au delà d’un certain seuil, les inégalités pèsent sur l’économie », a déclaré Emmanuel Faber jeudi 22 aout en précisant que ce n’était pas « une question d’idéologie », mais « de réalisme », qui « appelle à une action collective et inclusive, de la part des gouvernements et des entreprises ».

Les 34 multinationales qui forment le B41G et qui emploient plus de 3,5 millions de personnes au niveau international, s’engagent dans une charte à « intensifier leur action pour faire progresser les droits humains à tous les stades de leurs chaînes de valeur (…) et à renforcer l’inclusion dans leurs écosystèmes internes et externes », selon le communiqué qui souligne également que ces multinationales consacrent plus « d’un milliard de dollars dans des projets au bénéfice de plus de 100 millions de personnes » et qu’elles comptent échanger sur ces initiatives afin de les optimiser, les accélérer et les dupliquer dans d’autres pays.

Mathias Vicherat, secrétaire général du groupe Danone, explique à l’AFP que ce manifeste est « extrêmement engageant » et « rédigé au mot près avec les entreprises concernées, car ce texte est opposable ».

« Quand il est écrit que les entreprises s’engagent en matière de travail décent sur toute la chaîne de production, y compris la chaîne d’approvisionnement, quand les entreprises disent qu’elles combattent le travail forcé et qu’elles veulent respecter la liberté d’association, ce sont des termes très forts parce que ça veut dire qu’elles prennent ces engagements dans tous les pays du monde où elles opèrent », rajoute-t-il.

Les membres actuels du B41G sont (par ordre alphabetique) : Accenture, Agropur, AXA, BASF, BNP Paribas, BPCE, CareCentrix, Cogeco, Crédit Agricole, Danone, Edelman, Engie, GINgroup, Goldman Sachs, Henkel, Ingka Group, JPMorgan, Keurig Dr Pepper, Johnson&Johnson, Kering, Legal&General, L’Oréal, Mars, Renault, Ricoh, Schneider Electric, Sodexo, Suez, TIAA, Unilever, Veolia, Virgin et Ylva.

Le programme du G7 de Biarritz

Le programme du G7 de Biarritz

La bonne gestion du parc informatique fait partie des conditions indispensables pour assurer une bonne organisation et un management opérationnel optimal. L’entreprise, quelle que soit sa taille, pourra ainsi renforcer la sécurité de ses données, augmenter la fiabilité du matériel et garantir un confort d’utilisation accru aux équipes de travail. Alors, quelles sont les solutions pour une gestion du parc informatique réussie ? Voici quelques pistes.

Par Franck Boccara

Les outils de gestion

On peut trouver, sur le marché, plusieurs outils de gestion du parc informatique, notamment des logiciels très performants qui vous permettront de gérer toutes sortes de parcs informatiques grâce à des packs qui varient selon les thématiques et les secteurs d’activités (SSII / Génie Biomédical…). Parmi ces logiciels, on peut citer par exemple ISTM Octopus. Il faudra tout de même certaines compétences et une période d’apprentissage pour bien maitriser ces solutions qui s’avèrent efficaces pour assister le directeur technique dans le suivi du réseau intranet.

La CMDB

La CMDB (Configuration Management Data Base) est un outil clé dans la gestion du parc informatique dont le rôle est de regrouper les données, techniques, financières et administratives ayant attrait au parc, qu’il soit matériel ou logiciel. La CMDB fournit une analyse précise de la fiabilité et de la puissance de votre système informatique.

Il faudra absolument s’assurer que votre outil de gestion soit capable d’intégrer la gestion de la CMDB.

Externaliser la gestion du parc

Cette solution peut convenir à des PME faisant le choix de ne pas recruter de directeur technique ou informatique pour différentes raisons. Elles pourront faire appel à des agences qui offrent un service de gestion du parc informatique par des informaticiens expérimentés qui prendront la main sur votre système grâce à leur propre outil de gestion, performant et bien à jour.

Cette option vous permettra d’éviter des contretemps coûteux tels que les pannes et les heures d’inactivité qu’elles entrainent puisque ces agences sont en mesure de prévenir et d’anticiper les pannes avant même qu’elles ne touchent votre système. Elles peuvent également intervenir à distance et effectuer des mises à jour sur vos postes et serveurs.

Opter pour un parc informatique homogène

Un matériel informatique et des logiciels homogènes et standardisés permettront d’optimiser le fonctionnement du parc par une gestion et une maintenance plus simple tout en réduisant les coûts de gestion à moyen terme.

Pour cela, Il est avant tout primordial de bien connaitre vos besoins. Il faudra cerner les enjeux que rencontrent vos employés et les joindre à la prise de décision car certains postes nécessitent du matériel particulier.

Pour gagner du temps, éviter cette mobilisation des ressources humaines et effectuer les bons choix, il est possible de faire appel à un manager de transition spécialisé en informatique. Ce type de professionnel, sous contrat d’intérim, vous aidera à trouver des solutions efficaces pour l’organisation de votre parc.

Un plan triennal

L’ensemble des spécialistes et utilisateurs de parc informatique estiment que la longévité des matériels et des logiciels est, en moyenne, de trois ans. Il est donc fortement conseillé de prendre en compte ce délai pour le rafraichissement de votre parc informatique. D’ailleurs, la plupart des garanties offertes par les concepteurs ainsi que l’assurance d’effectuer facilement vos mises à jour ne dépassent pas cette période.


Louer un bien sur les plateformes numériques peut représenter une source de revenu appréciable et il serait dommage de résister à la tentation. Certains sont déjà rompus à cet exercice, d’autres moins ou pas encore mais tous ne connaissent pas forcément les règles. Voyons quelles sont ces règles, pourtant simples, qui peuvent coûter cher si on ne les applique pas.

Par Franck Boccara

Beaucoup de cadres et de dirigeants détenteurs d’un patrimoine immobilier ont décidé de louer une partie de celui-ci sur les plateformes numériques de location de meublés de tourisme (ou y songent sérieusement…). Afin d’éviter les mauvaises surprises, voici quelques règles qu’il vaut mieux ne pas négliger :

  • 120 nuitées : La première limite se compte en chiffres ; 120 nuitées par an et par logement pour un montant de location par mois qui doit être inférieur au loyer mensuel de base.
  • Etre repertorié : Vous devez avoir un numéro d’hébergement qui doit obligatoirement apparaitre sur les annonces.
  • Pour les locataires : Il est possible de sous-louer. Pour cela, vous devez disposer d’une autorisation écrite spécifique du propriétaire du bien.
  • Etat du logement : Celui-ci devra être décent, propre et ventilé. De plus, n’hésitez pas à préciser aux locataires les règles à suivre à l’intérieur du logement, dans les parties communes ainsi qu’avec le voisinage.

Les risques

Naturellement, les règles établies sont valables pour toutes les plateformes numériques de location de meublés de tourisme (Airbnb, Wimdu, Abritel ou Homelidays).

Si ces celles-ci ne sont pas respectées, cela pourra coûter 1000 € pour une annonce sans Cerfa, puis 5000 € pour chaque jour suivant. Pour les locataires qui auraient sous-loué le bien sans autorisation, il seront tenus de rembourser au propriétaire tous les loyers perçus avec dommages et intérêts. L’amende pouvant aller jusqu’à 50 000 €.

Sur son site, Airbnb se dédouane de toute responsabilité. Après avoir accepté les conditions générales et déclarer respecter les lois et réglementations locales, vous serez responsable des exigences de la location.

Paris, troisième destination mondiale après Bangkok et Londres, est particulièrement surveillée. La ville a totalisé 2,1 millions d’euros d’amendes en 2018, ce qui représente 61% de plus que l’année précédente. Un phénomène qui s’étend également sur les villes de province.

En effet, ces plateformes numériques sont dans la ligne de mire des mairies qui tentent de protéger les acteurs touristiques traditionnels, type hôtels, contre une concurrence jugée déloyale. De leur côté, les propriétaires revendiquent leur droit à louer un bien sur les plateformes numériques dans le but de rentabiliser un logement partiellement vacant.
Pour concilier les deux camps et prendre les devants face à l’augmentation des loueurs quasi-professionnels, des mesures réglementaires ont été prises telle que la loi ALUR du 24 mars 2014, le décret dit « Airbnb » n°2017-678 du 28 avril 2017, puis loi ELAN du 23 novembre 2019.

« Paris pour l’emploi » organise sa 17e édition les 3 et 4 octobre 2019 sur la place de la Concorde. La CCI Paris permet aux TPE et PME de diffuser leurs offres d’emploi de façon gratuite sur son stand pendant l’événement.

Ce sont au total 2 000 responsables des ressources humaines opérant au sein de 500 entreprises et collectivités qui ont répondu à l’appel de cette rencontre destinée à faciliter la mise en relation entre recruteurs et candidats à l’emploi.
Ce rendez-vous s’adresse à tous les profils quelque soit leur qualification, leur niveau de compétence ou leur expérience pour leur proposer des emplois en CDD, en CDI, des missions à l’international, des stages ainsi que des formations en alternance…

Organisé par l’association « Carrefours pour l’emploi« , l’évènement est le résultat d’un partenariat étroit entre la Région, la Ville de Paris, la CCI Paris, Pôle emploi, et l’Armée de terre principalement. Près de 1000 m² seront entièrement consacrés aux travailleurs handicapés, 300 m² réservé à l’économie sociale et solidaire et 500 m² pour les candidats qui souhaitent partir à l’assaut de l’international, en partenariat avec Pôle Emploi International.

L’édition 2018 a permis de proposer environ 800 postes de TPE et PME à plus de 600 candidats qui ont été reçus en entretien sur le stand CCI Paris. Pour cette année, c’est près de 50 000 candidats qui sont attendus !


Pour diffuser votre offre sur le stand CCI Paris

> Remplir le formulaire en ligne en détaillant votre offre d’emploi 
> Vous avez des questions ? Contactez la CCI Paris
Recruter sur le salon

Pour recruter sur le salon

Afin de recruter de manière rapide, efficace et différente, réservez dès maintenant votre stand sur « Paris pour l’Emploi » ! Information au 01 53 95 15 10 ou en cliquant ici.
 

Le salon est ouvert à tous et l’entrée est libre et gratuite de 9 à 18h sans préinscription
Plus d’information : 
parisemploi.org
#PARISEMPLOI

Adresse complète

Place de la Concorde, 75008 Paris

« Paris pour l’emploi » organise sa 17e édition les 3 et 4 octobre 2019 sur la place de la Concorde. La CCI Paris permet aux TPE et PME de diffuser leurs offres d’emploi de façon gratuite sur son stand pendant l’événement.

Ce sont au total 2 000 responsables des ressources humaines opérant au sein de 500 entreprises et collectivités qui ont répondu à l’appel de cette rencontre destinée à faciliter la mise en relation entre recruteurs et candidats à l’emploi.
Ce rendez-vous s’adresse à tous les profils quelque soit leur qualification, leur niveau de compétence ou leur expérience pour leur proposer des emplois en CDD, en CDI, des missions à l’international, des stages ainsi que des formations en alternance…

Organisé par l’association « Carrefours pour l’emploi« , l’évènement est le résultat d’un partenariat étroit entre la Région, la Ville de Paris, la CCI Paris, Pôle emploi, et l’Armée de terre principalement. Près de 1000 m² seront entièrement consacrés aux travailleurs handicapés, 300 m² réservé à l’économie sociale et solidaire et 500 m² pour les candidats qui souhaitent partir à l’assaut de l’international, en partenariat avec Pôle Emploi International.

L’édition 2018 a permis de proposer environ 800 postes de TPE et PME à plus de 600 candidats qui ont été reçus en entretien sur le stand CCI Paris. Pour cette année, c’est près de 50 000 candidats qui sont attendus !


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Le développement international reste un enjeu majeur pour les PME et ETI et, à travers elles, pour l’économie française dans son ensemble. Les dirigeants de ces entreprises qui se sentent souvent à l’étroit sur le marché national perçoivent bien le potentiel de l’export mais ne connaissent pas toujours les mesures mises en place pour les aider dans conquête de ces marchés, notamment par Bpifrance.

Par Franck Boccara

Le Baromètre export 2018 Euler Hermes indique que 84 % des PME et ETI françaises veulent augmenter leur chiffre d’affaires à l’international en 2018, contre seulement 79 % en 2016. Pour profiter de ce relai de croissance qu’est le développement international, il faudra tout d’abord en avoir le potentiel structurel, puis faire preuve de beaucoup d’audace et de pugnacité. Mais en plus de ces conditions sinéquanones, une petite dose d’aide et d’accompagnement par Bpifrance sera forcément de bonne augure.

Les aides Bpifrance

« Le contexte mondial est favorable à la France », se réjouit Pedro Novo, directeur exécutif en charge de l’Export chez Bpifrance, qui a mis en place toute une série d’aides pour les PME et ETI. Parmi les plus marquantes, Bpifrance a créée le Fond Build-Up International dans le cadre du PIA (Programme d’Investissements d’Avenir) visant à accompagner les PME et ETI françaises indépendantes dans leurs stratégies d’acquisition d’entreprises à l’étranger.

Cet outil vise les PME ayant un chiffre d’affaires d’au moins 20 millions d’euros jusqu’aux ETI dont le chiffre d’affaires peut atteindre 1,5 milliard d’euros, indépendantes et à fort potentiel de développement international, pour des opérations de croissance externe d’une valeur de 10 à 150 millions d’euros. Le Fond Build-Up International participe à l’acquisition de sociétés par investissement direct dans leur capital, aux côtés de la PME ou ETI française, de montants allant de 3 à 30 millions d’euros. Les entreprises bénéficiant de cette aide se doivent d’investir un montant au moins équivalent à celui du fonds. 

De plus, Bpifrance accompagne les PME à travers plusieurs dispositifs de prêts, d’assurance, de prise de capital, mais également de formation, de conseil et de mise en relation. L’assurance prospection reste la plus répandue de ces aides avec environ 1 500 bénéficaires par an, celle-ci offre un soutien en trésorerie immédiat, par le biais d’une avance de 50 % du budget engagé. L’entreprise ne devra rembourser cette somme qu’après une période de franchise de deux ans minimum, selon le chiffre d’affaires réalisé sur la zone. En cas d’échec, l’entreprise ne devra que 30 % de l’avance en question.

D’autres dispositifs sont à la disposition des PME et ETI, tels que le « Prêt croissance internationale » (de 30 000 à 5 millions d’euros sans garantie, prêt à taux fixe sur 7 ans avec remboursement différé), le « Crédit export » qui offre aux entreprises françaises la possibilité de proposer un financement à leurs clients (jusqu’à 85 % du contrat commercial), ou encore l’assurance « change ». 

La banque publique d’investissement soutient aussi les entrepreneurs avec ses accélérateurs depuis déjà cinq ans, avec un module dédié, et lance cette année un accélérateur spécifique avec un programme de dix-huit mois qui permet aux PME de parfaire leur stratégie globale. « La première promotion devrait compter 30 entreprises, notre ambition étant d’en accompagner 200 sur les 4 000 accélérées d’ici 2021 », précise Pedro Novo.

 

Le baromètre « Croissance et Digital » de l’Acsel (Association pour le commerce et les services en ligne) a compilé dans la 3e édition les données sur l’impact de la transformation digitale des PME et ETI françaises en précisant les évolutions et les freins qu’elles rencontrent.

Par la rédaction

L’ACSEL et ses partenaires (Google, Salesforce, Solocal, la CCI Paris Ile-de-France, le METI, Prestashop et le MBA DMB) montrent tout d’abord, à travers le 3ème baromètre « Croissance et Digital », que les entreprises qui sont déjà engagées dans leur transformation digitale ont 2,2 fois plus de probabilité d’être en croissance que celles qui n’ont pas encore entamé ce processus.

Parmi les entreprises interrogées, l’immense majorité (77 %) admet que le digital représente un levier pour leur croissance. Quant aux ETI, ce pourcentage s’élève chez elles à 87% avec une augmentation de 8 points par rapport à 2017. C’est donc 64% des ETI qui ont pleinement entrepris leur digitalisation.

Les digital champions

64% de ces entreprises (essentiellement des PME) qui ont réussi leur transformation digitale et qui en tirent des profits déclarent à 64% avoir eu de meilleurs résultats en 2018, contre 45% pour le total du panel. Ces digital champions misent de façon unanime sur une croissance pour l’année 2019 contre seulement 46% pour les autres entreprises. Force est de constater que le numérique reste un vecteur de croissance sur lequel il est quasiment impossible de faire l’impasse.

Les freins à la transformation digitale

Le Temps (54%) et l’argent (49%) restent les principaux obstacles à la transformation numérique des PME et ETI. Cependant, les données de l’Acsel pointent également du doigt la complexité de mise en oeuvre (39%), due en général à un manque de coordination dans les entreprises, dans la mesure où le digital n’afflue pas suffisamment dans tous les services et reste très cantonné à la communication et à l’IT. Enfin, 36% des entreprises avouent tout simplement un manque de formation.

Les 4 bonnes pratiques pour réussir sa transformation

D’après le baromètre « Croissance et Digital » , les PME et ETI doivent mettre en place 4 bases pour se digitaliser :
– Une politique « volontariste » de l’entreprise.
– Une équipe dédiée avec des liens forts vers les autres services de l’entreprise.
– Une bonne connaissance client. 
– Pour les marchands, créer une stratégie phygitale (stratégies physique et web complémentaires). Cette stratégie a permis aux entreprises qui l’ont adopté de constater une augmentation des ventes de 86%, une amélioration de la satisfaction client de 78% et une meilleure efficacité opérationnelle de 69%.

Etude réalisée par IPSOS / février 2019
Cible : dirigeants et décisionnaires d’entreprises prenant part à la transformation digitale
Echantillon de 600 répondants : 450 interviews de PME et ETI de 20 à 4999 salariés.

Le baromètre « Croissance et Digital » de l’Acsel (Association pour le commerce et les services en ligne) a compilé dans la 3e édition les données sur l’impact de la transformation digitale des PME et ETI françaises en précisant les évolutions et les freins qu’elles rencontrent.

Par la rédaction

L’ACSEL et ses partenaires (Google, Salesforce, Solocal, la CCI Paris Ile-de-France, le METI, Prestashop et le MBA DMB) montrent tout d’abord, à travers le 3ème baromètre « Croissance et Digital », que les entreprises qui sont déjà engagées dans leur transformation digitale ont 2,2 fois plus de probabilité d’être en croissance que celles qui n’ont pas encore entamé ce processus.

Parmi les entreprises interrogées, l’immense majorité (77 %) admet que le digital représente un levier pour leur croissance. Quant aux ETI, ce pourcentage s’élève chez elles à 87% avec une augmentation de 8 points par rapport à 2017. C’est donc 64% des ETI qui ont pleinement entrepris leur digitalisation.

Les digital champions

64% de ces entreprises (essentiellement des PME) qui ont réussi leur transformation digitale et qui en tirent des profits déclarent à 64% avoir eu de meilleurs résultats en 2018, contre 45% pour le total du panel. Ces digital champions misent de façon unanime sur une croissance pour l’année 2019 contre seulement 46% pour les autres entreprises. Force est de constater que le numérique reste un vecteur de croissance sur lequel il est quasiment impossible de faire l’impasse.

Les freins à la transformation digitale

Le Temps (54%) et l’argent (49%) restent les principaux obstacles à la transformation numérique des PME et ETI. Cependant, les données de l’Acsel pointent également du doigt la complexité de mise en oeuvre (39%), due en général à un manque de coordination dans les entreprises, dans la mesure où le digital n’afflue pas suffisamment dans tous les services et reste très cantonné à la communication et à l’IT. Enfin, 36% des entreprises avouent tout simplement un manque de formation.

Les 4 bonnes pratiques pour réussir sa transformation

D’après le baromètre « Croissance et Digital » , les PME et ETI doivent mettre en place 4 bases pour se digitaliser :
– Une politique « volontariste » de l’entreprise.
– Une équipe dédiée avec des liens forts vers les autres services de l’entreprise.
– Une bonne connaissance client. 
– Pour les marchands, créer une stratégie phygitale (stratégies physique et web complémentaires). Cette stratégie a permis aux entreprises qui l’ont adopté de constater une augmentation des ventes de 86%, une amélioration de la satisfaction client de 78% et une meilleure efficacité opérationnelle de 69%.

Etude réalisée par IPSOS / février 2019
Cible : dirigeants et décisionnaires d’entreprises prenant part à la transformation digitale
Echantillon de 600 répondants : 450 interviews de PME et ETI de 20 à 4999 salariés.

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