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SME-ETI

Les rencontres d’affaires francophones, placées sous le haut-patronage du ministère de l’Europe et des affaires étrangères et organisées en partenariat avec Bpifrance et la CCI FRANCE INTERNATIONAL auront lieu le jeudi 28 novembre 2019 au Marriott Rive Gauche. Vous êtes invités par Bpifrance à participer gratuitement au plus grand rendez-vous d’affaires francophones et internationales multi-secteurs d’activités organisé en France.

La francophonie peut vous servir de porte d’entrée vers l’international ! En effet, le caractère international de la langue française, qui découle principalement de l’étendue de sa maîtrise à la surface du globe, rassemblent 300 millions de locuteurs. Apprise comme une langue étrangère dans tous les pays du monde, médium de communication utilisé par une trentaine de pays dans leur relations internationales, notre langue occupe de fait une place significative dans les échanges commerciaux, les industries culturelles, les médias, le numérique, la science et les réunions internationales… Autant en profiter !

Le programme des rencontres d’affaires francophones

Une série de conférences, tables rondes et ateliers ou B2B pré-qualifiés seront proposés durant l’évènement qui aura pour thème 2019 « le management interculturel ». Plus de 1000 chefs d’entreprises et délégations internationales seront présents.

Jean-Baptiste Lemoyne, secrétaire d’état auprès du ministre de l’Europe et des affaires étrangères fera l’honneur de sa visite en plus du haut patronage qu’il apporte à l’événement. Il sera aux côtés de Catherine Cano, administratrice de la Francophonie (OIF) à l’ouverture par David Kassar, président de Mission Internationale et organisateur des rencontres.

Le village francophone au CES de Las Vegas 2020, véritable point de convergence de la francophonie économique et digitale sera présenté avec une délégation Mission Internationale que vous pouvez rejoindre dès à présent lors de votre inscription aux Rencontres d’Affaires Francophones.

Bpifrance est heureux de vous faire bénéficier d’entrées gratuites (code de réduction : BPIF-VISI-ISTR) pour ces prochaines rencontres (hors délégation #CES2020). 

L’amour au travail est-il encadré juridiquement en France ? La question a été soulevée plusieurs fois ces derniers jours dans le sillon de l’affaire du licenciement de Steve Easterbrook, le directeur général de McDonald’s. Loin du puritanisme américain, la france est beaucoup plus permissive dans ce domaine, avec cependant quelques limites…. petit tour d’horizon.

Par Franck Boccara

Contrairement aux États-Unis, où une relation amoureuse (même consentie) entre les collaborateurs d’une entreprise peut représenter un motif de licenciement, la France reste un ilot de tranquilité dans ce domaine puisque les relations de ce type ne sont pas règlementées. Heureusement car les chiffres indiquent qu’un français sur cinq rencontre son partenaire au travail.

La loi française ne légifère donc pas directement sur l’amour au travail mais fait primer, en la matière, le droit à la liberté individuelle et au respect de la vie privée comme le précise l’article 9 (alinéa 1) du code civil : “Chacun a droit au respect de sa vie privée” ou encore l’article L1121-1 du droit du travail qui indique que “Nul ne peut apporter aux droits des personnes et aux libertés individuelles et collectives de restrictions qui ne seraient pas justifiées par la nature de la tâche à accomplir, ni proportionnées au but recherché”.

Dans l’hexagone, l’amour au travail n’est donc pas sanctionnable, et ce même si il s’agit d’une relation entre un supérieur hiérarchique et son employé puisque, là aussi, il n’existe pas d’interdiction.
Cependant les usages ont tendance à changer, par crainte des dirigeants et cadres de voir ces relations mal interprétées, notamment face à une tendance qui encouragent la libération de la parole des femmes par rapport au harcelement sexuel, comme le mouvement #metoo. Souvent, les managers préfèrent éviter ces situations et certains vont parfois même jusqu’à démissionner pour continuer la relation de façon sereine.

Au niveau législatif, le principe est simple : le règlement intérieur d’une entreprise ne peut pas contenir de règles qui vont à l’encontre du code civil ou du droit du travail. Celui-ci ne peut donc pas s’opposer aux histoires d’amour au travail, au grand damne de certaines entreprises étrangères implantées en France, qui ont demandé à plusieurs reprises de traduire leur règlement intérieur en droit français, ce qui est impossible au niveau juridique.

Alors, quelles sont les limites que le droit prévoit pour l’entreprise afin de se prémunir contre d’éventuels abus dans ce domaine ?
Pour licencier, l’employeur doit prouver que la relation en question crée un trouble objectif dans l’entreprise. La jurisprudence fait état de plusieurs cas de licenciement justifiés par les tribunaux pour des comportements inadaptés de la part des salariés tels que des relations sexuelles sur le lieu de travail, des échanges incessants de messages pendant les heures de travail ou encore des disputes allant jusqu’aux coups devant les collégues.

Pour conclure, l’amour au travail reste un droit en France plus qu’ailleurs mais les moeurs évoluent, comme partout, vers plus de conformité, de contrôle et d’éthique dans l’entreprise. Alors, est-ce une bonne chose ? A vous d’en juger…


La Cybersécurité sera mise à l’honneur par le MEDEF le lundi 14 novembre 2019 à travers une session de décryptage et de partage d’expériences autour de dirigeants et de professionnels reconnus dans ce domaine qui viendront partager leurs expertises. Dirigeants et cadres de PME et ETI, vous êtes conviés à participer à cette rencontre pour savoir comment analyser les risques, quelle stratégie mettre en place pour contrer les cybermenaces qui ont touché 8 entreprises sur 10 l’année dernière et comment réagir lors d’une attaque. Des échanges avec des offreurs de services et de solutions de cybersécurité sont prévus par la suite autour d’un cocktail offert par le partenaire de l’évènement, Syntec numérique.

AU PROGRAMME :

14h30 – Introduction par Guy-Philippe Goldstein, chercheur et consultant sur les questions de cyber-sécurité et cyber-défense

14h45 – La cybersécurité, un enjeu stratégique pour l’entreprise

  • Nicolas Arpagian, VP stratégie et affaires publiques d’Orange Cyberdefense
  • Axel Castadot, chef adjoint de la division connaissance & anticipation de la sous-direction opérations de l’Agence nationale des systèmes de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI)
  • Pascal Le Roux, vice-président de CDVI, président du Comité de liaison Sécurité numérique de la FIEEC
  • Christophe Ternat, co-fondateur et CEO de Cyrating

15h30 – Analyse et méthode : comment bien penser sa stratégie cybersécurité ?

  • Fabien Caparros, chef de la division chargé des méthodes de management de la sécurité numérique à l’ANSSI
  • Christophe Foret, co-chair du FAIR Institute Paris et président de C-Risk
  • Nathalie Malicet, vice-présidente de la commission numérique et innovation à la Compagnie nationale des commissaires aux comptes (CNCC)

16h15 – Mettre en place sa stratégie cybersécurité

  • Jean-Philippe Gaulier, Cyberzen
  • Michel Juvin, expert cybersécurité et membre du Club des experts de la sécurité de l’information et du numérique (CESIN)
  • Tiphaine Leduc, chef de mission Défense et Cybersécurité chez Bretagne Développement Innovation

17h – S’assurer contre le risque cyber

  • Christophe Delcamp, directeur adjoint Assurances de dommages et responsabilité de la Fédération Française de l’Assurance
  • Nicolas Hélénon, fondateur et co-gérant de NeoTech Assurances (groupe LSN Assurances)

17h15 – Prévenir, réagir et signaler les attaques

  • Catherine Chambon, sous-directrice de la lutte contre la cybercriminalité à la Direction centrale de la police judiciaire
  • Jérôme Notin, directeur général du groupement d’intérêt public Acyma, dispositif national d’assistance aux victimes de cybermalveillance

17h50 – Conclusion par Paul Théron, expert de la cyber-résilience, responsable des offres de cyber-défense de Thales Communications et Sécurité

18h – Cocktail

Les débats seront animés par Fabienne Lissak, ex-journaliste à Bloomberg TV.

Adresse :
55, avenue Bosquet – 75007 Paris

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L'épargne salariale en temps d'inflation

Assurance vie : Lors de la 11ème conférence internationale de la FFA ce vendredi 25 octobre 2019, les régulateurs ont invité les assureurs à diminuer la rémunération servie aux épargnants sur leurs fonds en euros. De son côté, Bruno Le Maire, ministre de l’Economie et des Finances, s’est montré rassurant lors de son intervention sur l’avenir des fonds euros et de l’assurance vie en affirmant que ce support était loin d’avoir dit son dernier mot.

Par Franck Boccara

Les régulateurs, en tête desquels le gouverneur de la Banque de France et le vice-président de l’Autorité de contrôle prudentiel et de régulation (ACPR), ont à nouveau demandé aux acteurs français de l’assurance vie de répercuter la baisse des rendements de leurs placements sur la rémunération versée aux clients, en invoquant comme raison les taux très bas, parfois même négatifs, de l’environnement actuel.

Pour Bernard Delas, vice-président de l’ACPR, « La première priorité absolue » est de « baisser, plus ou moins rapidement, les rendements offerts par le fonds en euros », qu’il qualifie d' »insoutenables ».
François Villeroy de Galhau, gouverneur de la Banque de France, abonde également dans ce sens en appelant « les organismes d’assurance à amplifier leurs efforts dans deux directions : la baisse des taux servis et la diversification des produits et du modèle d’affaires ». Il explique par ailleurs que les taux bas « vont durer et doivent durer compte tenu du refroidissement économique mondial » et que ceux-ci pèsent sur les compagnies d’assurance en rendant leur mission de faire fructifier l’argent de leurs clients beaucoup plus difficile. François Villeroy de Galhau en conclue que « les assureurs doivent impérativement répercuter la baisse du rendement de leurs placements sur la rémunération des contrats d’assurance vie. Or, les taux servis sur les contrats en cours sont aujourd’hui encore élevés : 1,8% en moyenne ».

« Pas de panique ! » pour Bruno Le Maire

Lors son discours à cette journée, le ministre de l’Economie et des Finances, tempère ces alertes en assurant que « les produits d’assurance vie classique ne vont pas disparaitre du jour au lendemain » et en dénonçant les « discours alarmistes sur la mort du fonds en euros ».

Tout en reconnaissant que « les assureurs font face à des défis sans précédent » et que « cette situation radicalement nouvelle va durer », le ministre estime que la transformation du modèle de l’assurance vie et du fonds en euros doit toutefois se faire « progressivement », sans « brutalité ».
D’après lui, le fonds euros avec ses 1 400 Md€ « a vocation à garder une place importante dans l’épargne des Français qui ont besoin de sécurité et de stabilité ».  

Réorienter l’épargne

Le ministre prône de « réorienter l’épargne » en citant d’abord la loi Pacte qui permet davantage de diversification, en créant une alternative aux fonds euros puis en vantant les correction apportées au concept de fonds eurocroissance pour le dynamiser. A présent, « les assurés pourront connaitre à tout moment leur rendement du fonds eurocroissance (..) et choisir librement le terme de la garantie ».

Cet appel à la diversification des placement a été suivi par le gouverneur de la banque de France qui a appelé les compagnies d’assurance à inciter leur clients à revoir leurs placements afin de maintenir l’exigence de rendement sur le long-terme. « Je fais appel à votre capacité d’innovation afin de promouvoir des offres qui pourraient construire, avec l’euro-croissance et l’épargne-retraite, une gamme de placements située entre les produits euros et les unités de compte », a déclaré François Villeroy de Galhau.


L’atelier « Vendre à l’industrie allemande » de la CCI Paris Île-de-France convie les dirigeants et cadres de PME et ETI le mercredi 6 novembre 2019 de 9h30 à 16h30 à venir comprendre les points clés qui leur permettront d’adapter leur stratégie et leur moyens commerciaux à ce marché.

Bien plus que dans tout autres pays, l’industrie est en Allemagne à la base de la croissance et de la prospérité de son économie, l’excellence de son savoir-faire jouit d’ailleurs d’une réputation bien méritée à travers le monde.
L’Allemagne reste le premier client de la France et premier exportateur mondial de technologies, le pays excelle dans la plupart des domaines industriels et offre de réelles opportunités aux entreprises françaises qui ont des produits technologiques innovants qui souhaitent « vendre à l’industrie allemande ».

Au programme

Accueil café > 9H00
Ouverture : Nacéra Amari Police, Chef de Projets internationaux – CCI Paris Ile-de-France


L’industrie en Allemagne
– Chiffres clés, structure et localisation
– Facteurs clés de succès, Innovation, R & D
Antoine Chardin,  Conseiller aux entreprises –  CCI France Allemagne


Soutien aux partenariats en innovation franco-allemands
Mael M’Baye, Responsable Partenariats Tech Internationaux – Bpifrance


Recommandations d’approche
– Stratégie d’approche du marché allemand,
– Différences socio-culturelles
– Méthodologie d’approche des grands comptes : ciblage, communication, négociation
– Le suivi et le développement des affaires.
Valérie Munsch, Chef de Projets industries – CCI France Allemagne


Conclusion et possibilités de soutien de la CCI France Allemagne et de la CCI Paris Ile-de-france
Antoine Chardin,  Conseiller aux entreprises  – CCI France Allemagne
Fabienne Daguzé, Conseiller international Services Tech & Industries – Team France Export – CCI Paris Ile-de-France


Témoignage
– L’approche de donneurs d’ordres industriels allemands par une PME française


Questions-réponses
14h à 16h30 : Entretiens avec les experts CCFA, accordés sur demande, par ordre d’arrivée des bulletins d’inscription, dans la limite des places disponibles (durée : 30 minutes)
 

Adresse : 
6-8 avenue de la Porte de Champerret,
75017 Paris

CONTACT :
Virginie NGO : Assistante international
Lui écrire

Peut-on rompre un CDI ? Malgré ce qu’on aurait tendance à croire et bien qu’il soit qualifié « à durée indeterminée », il est tout à fait possible de rompre un CDI, que ce soit à l’initiative du salarié, de l’employeur ou des deux conjointement. Voici un petit tour d’horizon sur les grandes modalités de résiliation d’un tel contrat.

Par Franck Boccara

Que ce soit du à l’émergence de nouveaux projets, à une situation économique difficile ou simplement à une faute grave du salarié, il faut savoir qu’il existe des modes de ruptures du contrat de travail adaptés à chaque situation :

Lorsque l’initiative vient du salarié : La démission

Elle représente, notamment dans les PME et ETI, le mode le plus courant pour rompre un CDI. Cette rupture peut être décidée à tout moment et mise en oeuvre par la rédaction d’une simple lettre de démission à l’attention de l’employeur qui, de son côté, n’aura pas la possibilité de s’opposer à cette démission.

Cependant, la démisson ne prend pas effet immédiatement car elle est généralement suivie d’une période de préavis obligatoire pouvant aller de quelques semaines à plusieurs mois. De plus, le salarié démissionnaire n’aura pas droit, dans ce cas, aux allocations-chômage d’aide au retour à l’emploi (ARE), à moins que sa démission soit due à un motif légitime tel qu’un déménagement pour suivre son conjoint, un retour à la formation etc…

Lorsque l’initiative vient se l’employeur : le licenciement

la loi encadre clairement le licenciement qui ne peut être déclenché par l’employeur que dans trois cas bien précis :

  • Le licenciement pour motif personnel : Les capacités professionnelles du salarié sont alors remises en cause et désignées comme un empêchement dans la continuation de son contrat de travail.
  • Le licenciement pour faute : Il s’agit du cas où le salarié enfraint une ou plusieurs de ses obligations ou qu’il commette des actes ayant la volonté manifeste de nuire à l’employeur. Ces fautes sont alors considérées comme empéchant son maintien dans l’entreprise.
  • Le licenciement pour motif économique : il peut être déclenché si l’entreprise rencontre de réelles difficultés économiques ou fait face à une mutation technologique avérée.

Si le licenciement n’entre pas dans une de ces situation ou n’est pas correctement justifié, il pourra être requalifié en licenciement abusif.

Lorsque l’initiative est commune : la rupture d’un commun d’accord

Egalement appelée rupture conventionnelle, cette solution permet de rompre un CDI lorsque l’employeur et le salarié se séparent à l’amiable. De cette façon, les deux parties conviennent ensemble des modalités de résiliation telles que la date effective de fin du contrat ou encore le montant des indemnités. Cette solution reste attractive pour le salarié dans la mesure où elle lui permet de bénéficier des allocations chômage.

Toutefois, l’employeur n’a pas le droit de se servir d’une rupture conventionnelle pour cacher un véritable licenciement ou une volonté de transiger.

Le PLF 2020 comprend un amendement intéressant qui a été adopté en commission des finances. Celui-ci vise à exonérer de l’IFI les monuments historiques situés en zone rurale, reprenant ainsi le modèle fiscal des forêts.

Par Serge de Cluny

Le projet de loi de finances 2020 réserve, à l’image de ses prédécesseurs, son lot de surprises. Parmi celles-ci, on trouve l’amendement autour de l’IFI qui a été présenté par Gilles Carrez, député LR du Val-de-Marne, et adopté ce mardi 8 octobre 2019. 

Cet amendement du PLF 2020 a pour but d’exonérer d’Impôt sur la fortune immobilière (IFI) les « petits châteaux » se trouvant dans des zones déclarées en revitalisation rurale. Pour cela, le propriétaire des lieux devra exercer un emploi principal à l’extérieur, ce qui implique que le châteaux ne pourra pas être déclaré comme bien professionnel.

« Dans de nombreux territoires (…), les immeubles classés ou inscrits au titre des monuments historiques constituent un enjeu de développement (…), précise l’exposé des motifs. Cependant, leurs propriétaires doivent presque toujours exercer un emploi à l’extérieur, qui est réputé principal : ceci les prive du bénéfice de l’exonération de l’IFI que l’article 975 du code général des impôts réserve aux biens affectés « à l’activité principale industrielle, commerciale, artisanale, agricole ou libérale ».

L’exposé des motifs met aussi en avant une explication plus juste du sens de l’amendement en expliquant que « ces biens peuvent se voir appliquer des évaluations de la valeur vénale élevées entrainant l’application de montants d’IFI excessifs » alors que dans la réalité, ils sont bien souvent très difficiles à vendre.

Assurer la conservation du bien pendant au moins 15 ans

L’amendement propose donc de calquer le modèle qui est déjà appliqué sur les bois et forêts en instituant une exonération de 75% qui serait, dans ce cas, réservée aux immeubles classés ou inscrits situés dans des zones de revitalisation rurale à condition que ces « petits châteaux » offrent des activités contribuant au développement de ces zones (chambres d’hôte, séminaires, visites, etc.).

L’ultime condition sera que le propriétaire s’engage à conserver le monument pendant une période d’au moins quinze ans et ce afin d’éviter ce qu’on appelle « l’effet d’aubaine ».

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