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SME-ETI

Les SCPI (Sociétés Civiles de Placement Immobilier) séduisent toujours autant les français. Ce type d’investissement se maintient en progression constante ces dernières années. Quelles en sont les caractéristiques et pourquoi ce succès ? Voici quelques éléments de réponse et quelques conseils pour un investissement réussi dans ce placement immobilier.

Par Franck Boccara

La SCPI vous permet d’investir sur le marché de l’immobilier sans avoir à acquérir un bien dans son intégralité, simplement en achetant des parts de ces sociétés qui investissent exclusivement dans l’immobilier. Vous pouvez ainsi placer votre argent dans l’immobilier en bénéficiant des nombreux avantages qu’offre ce type de placement. 

Les avantages

  • Investir avec de faibles montants

Les SCPI permettent de commencer avec une mise de départ bien inférieure à un investissement en direct. En effet, il est possible d’accéder à ce placement avec seulement quelques milliers d’euros, cela vous donne donc la possibilité d’investir sur ce support d’épargne avec un capital restreint. Cette solution est idéale pour les jeunes actifs ou pour ceux qui sont déjà endettés sur leur résidence principale et qui disposent donc de liquidités limitées. 

  • Diversifier ses avoirs immobiliers

L’investissement en direct reste généralement le fait de l’acquisition d’une résidence principale, voire secondaire ou d’un bien mis en location. Les particuliers possédant quelques biens résidentiels peuvent, grâce à la SCPI, se positionner sur le marché de l’immobilier commercial, en général moins accessible ou sur des marchés immobiliers étrangers. 

  • Mutualiser les risques

Acquérir des parts dans une SCPI, ce n’est pas acheter un appartement ou un morceau d’appartement ou d’immeuble, c’est acheter des parts d’une société composée de très nombreux actifs. Cette diversification crée ainsi une mutualisation des risques tels que la vacance du bien, le défaut de paiement d’un locataire ou encore l’incendie. Les risques sont, de ce fait, répartis entre tous les investisseurs de la SCPI. 

  • Déléguer les tracas de la gestion locative

La responsabilité de la gestion du bien n’incombe pas aux investisseurs car, dans le modèle de fonctionnement de la SCPI, ceux-ci délèguent à la société de gestion la charge de trouver des locataires, de conclure les baux, de réaliser les travaux nécessaires, etc. 

  • Une placement relativement liquide

Vendre un bien en direct est une démarche assez longue comprenant des délais incompressibles comme la promesse de vente et la signature. Le placement en SCPI est bien plus liquide puisqu’il existe un marché secondaire sur lequel il est plus simple de trouver un ou plusieurs repreneurs compte tenu du fait que le ticket d’entrée est bien plus accessible.

  • Doper la performance de son épargne

Les SCPI offrent un rendement assez intéressant dans un contexte de taux bas où les placements en capital garanti proposent en général des performances ajustées à l’inflation nulles ou négatives. L’investissement en SCPI est un placement appréciable qui attire les investisseurs bien que le capital ne soit pas garanti. Les particuliers à la recherche de produits conjugant risques faibles et rentabilité se tournent massivement vers ce placement car l’immobilier rassure. Et même si l’on entend souvent parler de « pierre-papier », il s’agit bel et bien de parts de biens tangibles que l’investisseur acquiert.

Les points de vigilance

  • Choisissez Un acteur solide 

Il est plus que recommandé de souscrire vos parts auprès d’un acteur de référence, présent sur le marché depuis longtemps, bénéficiant d’une réelle notoriété dans le secteur et surtout, dont le patrimoine immobilier est relativement important. 

  • Des prix cohérents

Le prix des parts de la SCPI que l’on vous propose doit être cohérent avec la valeur du patrimoine que détient la SCPI. Un prix juste ne doit pas être supérieur au résultat obtenu en divisant la valeur de reconstitution (le montant qu’il faudrait payer, selon les experts, pour reconstituer le patrimoine détenu par la société) par le nombre de parts. 

  • Des actifs bien diversifiés au sein de la SCPI

Les actifs doivent être suffisamment diversifiés pour pouvoir résister en cas de d’imprévu sérieux. Il est donc préférable d’opter pour une SCPI possédant de nombreux actifs, des locataires qui n’appartenent pas tous au même secteur d’activité, et des biens situés dans des régions diverses. 

  • Un taux de vacance faible

Le taux d’occupation financier se doit d’être élevé. Il s’agit de la différence entre les loyers facturés et les loyers potentiels si l’ensemble du patrimoine était loué. Inversement, le taux de vacance doit lui être faible. Un bien ne doit pas rester vacant trop longtemps, entre les différents locataires, sous peine de réduire considérablement le rendement de la SCPI.

  • Des rendements à la hausse  

Les rendements peuvent parfois être relativement faibles, le plus important, c’est que leur évolution soit orientée à la hausse. En cas de baisse continue depuis plusieurs années, il vaut mieux alors s’abstenir qu’investir.

  • Les frais de gestion

Comme dans tout investissement, les frais peuvent plomber sérieusement la rentabilité. Il faudra donc choisir une SCPI qui propose des frais raisonnables; pour cela une bonne comparaison entre les SCPI de même catégorie s’impose. 


Le Forum Naia à Bordeaux, organisé par le groupe Sud Ouest, en partenariat avec Suez, est une première pour la Nouvelle-Aquitaine qui organise ce grand rendez-vous de l’intelligence artificielle le 19 mars 2019. L’événement, dont la portée est nationale, est destiné en grande partie aux dirigeants et cadres de PME et ETI. Il représente, pour la région, une occasion idéale de promouvoir son excellence dans le domaine de l’intelligence artificielle.

Le Forum NAIA bénéficie d’ores et déjà du soutien de la Région Nouvelle Aquitaine ainsi que de celui de la Métropole de Bordeaux, de l’Université de Bordeaux et de l’ESN CGI. NAIA est labellisé Université du Futur.
L’Université, le LABRI et l’INRIA ont participé à la création du programme dans le cadre d’un comité scientifique.

Le programme

Plénière d’ouverture (9h00-10h40)

  • Alain Rousset, président de la Région Nouvelle Aquitaine
  • Manuel Tunon de Lara, président de l’Université de Bordeaux
  • Loïc Voisin (Suez) et Sud Ouest : pourquoi un événement sur l’IA ? 
  • Keynote de Nicolas Miailhe, co-fondateur et président du think tank The Future Society
  • Keynote de André Loesekrug-Pietri, Joint European Disruptive Initiative (JEDI)
  • Keynote de Luc Bretones, EVP Technocentre et Orange Lab

Les ateliers (11h30-12h15)

  • Quelle est la nature de la transformation induite par l’IA ? en partenariat avec CGI. Animé par Régis Abrate (CGI), avec Jacques Froissant (Altaïde), autres intervenants en cours de confirmation.
  • Quelles compétences faut-il développer dans un monde où l’IA accomplit de plus en plus de tâches ? en partenariat avec l’Université de Bordeaux. Animé par Hélène Jacquet (Université de Bordeaux), avec Salima Benhamou (France Stratégies) et Yves Jegrourel (Université de Bordeaux), autre intervenant en cours de
    confirmation.
  • Quelles sont les nouvelles formes de collaborations émergentes entre l’humain et la machine ? Animé par Nicolas César (Journaliste à Sud Ouest), avec Olivier Ly (LABRI), autres intervenants en cours de confirmation.

Plénière (13h15-13h55)

Keynote de Thierry Berthier (Professeur à l’Université de Limoges) sur le thème IA et sécurité
Keynote de Jean-Baptiste Guignard, (CEO de Clay), l’IA comment ça marche ?


Ateliers (14h00-14h45)

  • Notre environnement légal est-il IA-compatible ? Animé par Laurent Babin (Avocat) avec Jérôme Giusti (Avocat), Jérémie Giniaux-Cats
    (avocat) et François Pellegrini (Université de Bordeaux, Commissaire CNIL)
  • Que devient la relation clients quand l’IA s’en mêle ? en partenariat avec Bordeaux Métropole. Animé par Pascal Rabiller (journaliste à Sud Ouest) avec Cédric Dumas (Widii), Pascal Avargues (Bordeaux Métropole), Eric Dadian (Association Française des Centres de
    Relation Clients), autre intervenant en cours de confirmation
  • Comment la prédiction transforme le pilotage de l’entreprise ? en partenariat avec Suez. Animé par Nicolas Roussel (INRIA), avec Chafika Chettaoui (Suez), Clément Collignon (Fieldbox.ai), autres intervenants en cours de confirmation.

Plénière (15h30-16h30)

Keynote de Eric Gossart, Associé du fonds Serena Capital, Les levées de fonds des startups IA.
Séance de pitch de startups IA, en partenariat avec la Région Nouvelle Aquitaine

Plénière de clôture (17h20-19h00)

  • Keynote de Philippe Mutricy, directeur de l’évaluation, des études et de la prospective de Bpifrance – fondateur et président de Bpifrance Le Lab
  • Keynote de Laurence Devilliers, professeure à l’Université Paris-Sorbonne, chercheuse au CNRS (LIMSI) auteure du livre « Des robots et des hommes : mythes, fantasmes et réalité »

Un concours de pitchs de startups de l’IA est organisé et un espace dédié aux speed meetings permettra aux startups de l’IA de rencontrer les acteurs professionnels du secteur ! 

INSCRIVEZ-VOUS AU FORUM NAIA !

INFORMATIONS PRATIQUES

  • Date et heures : le 19 mars 2019 de 8h30 à 18h30
  • Lieu : Hangar 14 – Adresse : 115 Quai des Chartrons, Bordeaux

Comment se rendre au Forum Naia ?

En bus / tram

Tramway ligne B : Ligne B – arrêt Cours du Médoc.

En voiture

Parking « QUAI DES MARQUES » – situé Quais des Chartrons – proximité immédiate.

Les places de parking étant limitées, nous vous conseillons de privilégier les transports en commun.

En train

Depuis la Gare Saint Jean : par le tram ligne C jusqu’à l’arrêt Quinconces puis ligne B arrêt Cours du Médoc

Station de taxis à l’arrivée.



Nantes mise sur son attractivité internationale en investissant sur de nouvelles zones dédiées aux entreprises. Des quartiers d’affaires offrant un écosystème de start-up particulièrement dynamique se multiplient, à l’image d’Euronantes.

L’an dernier, l’aéroport de Nantes Atlantique a enregistré la plus forte progression au niveau national du trafic passagers (+14,9%). D’ailleurs, depuis l’abandon du projet Notre-Dame des Landes, les compagnies aériennes de toute l’Europe se battent pour un bout de tarmac, un petit slot, sur la plate-forme nantaise. Cette nouvelle dimension internationale s’inscrit dans une dynamique de profonde transformation. Car, malgré le calme et la douceur de vivre qui règnent en ville, Nantes mène de front plusieurs projets urbains de grande ampleur.

Au Sud, l’Île de Nantes rayonne mondialement pour ses Machines, bestiaire mécanico-féérique qui attire la grande foule des touristes. Dans un tout autre registre, c’est là aussi que le nouveau palais de justice, dessiné par Jean Nouvel, a pris ses quartiers au début des années 2000. Plus récemment, l’île a vu le développement du Quartier de la création, Nantes imaginant la ville de demain à travers le programme “île de Nantes – expérimentations”.

Au Nord, c’est le projet “YelloPark” qui prévoit, outre la construction d’un nouveau stade, le développement d’un pôle urbain intégrant une composante business. Enfin, “last but not least”, le nouveau quartier d’affaires Euronantes prend forme derrière la gare. Il ne reste plus désormais qu’à insuffler une âme, une vie de quartier entre ces immeubles de bureaux encore trop studieux. Les professionnels qui y convergent commencent d’ailleurs à s’approprier la zone…

Autant dire que le secteur du BTP est en plein boom ! Mais il n’est pas le seul. À Nantes, on construit certes, mais on cogite aussi. Au fil des années, la ville s’est imposée comme pôle de tout premier plan pour l’innovation, une véritable destination start-up. La qualité de vie attire les investisseurs étrangers et, surtout, des talents du cru émergent chaque jour, perpétuant en quelque sorte la tradition créative, innovante, incarnée par un certain Jules Verne, né dans la Cité des ducs voilà 190 ans.

EURONANTES

Crée par Nantes Métropole pour répondre au défi de la concurrence entre les grandes métropoles européennes, le programme Euronantes s’inscrit dans la dynamique de développement urbain impulsée par les opérations sur le Nouveau Malakoff dans le secteur Gare et sur l’île de Nantes.

Ce pôle tertiaire international situé au cœur du territoire du Grand Ouest a pour objectifs de développer le marché immobilier nantais, de favoriser l’implantation des entreprises locales, nationales et internationales, de créer des emplois, et de renforcer l’attractivité de Nantes auprès des acteurs économiques.

Euronantes :
1er quartier d’affaires de la façade Atlantique

S’Y RENDRE

À l’instar de Bordeaux, mais avec quelques années d’avance, la métropole nantaise a profité de l’effet LGV : deux heures de train suffisent pour rallier la gare de Paris Montparnasse. Quant aux dessertes aériennes, elles n’ont jamais offert autant de possibilités aux voyageurs d’affaires. En témoignent le lancement en octobre d’un vol Nantes-Lyon, première liaison domestique proposée par Aigle Azur, ou encore l’installation d’une base d’easyJet au printemps prochain. Au total, Nantes Atlantique est relié à une vingtaine d’aéroports français et près de 70 plates-formes en Europe. Comme la dynamique actuelle donne des ailes aux responsables nantais, on évoque même, depuis peu, une ligne directe vers New York. D’autant que, depuis octobre, l’aéroport est classé dans la catégorie A, c’est à dire regroupant ceux “destinés aux services à grande distance assurés normalement en toutes circonstances”.

L’IHEST est un organisme public de formation qui permet aux chefs d’entreprises et cadres dirigeants de renforcer leurs capacités stratégiques et d’organiser la transition vers demain. Comment la science et l’innovation donnent-elles les moyens aux dirigeants de construire des stratégies et d’accompagner les changements ? La réponse avec Sylvane Casademont, directrice de l’IHEST et le témoignage de chefs d’entreprises ayant bénéficié de ces formations.

Le FCV2A (Formation Continue Validation des Acquis et Apprentissage) de l’Université Toulouse 1 Capitole offre aux entreprises des solutions de formations diplomantes tout au long de la vie adaptées aux besoins et aux disponibilités des cadres et salariés. L’équipe, qui dispose d’une grande expérience, a su faire le lien entre la qualité de l’enseignement universitaire et les réalités du monde économique… Laissons leur la parole !

L’équipe

  • Professeur Gérard Jazottes, Vice-Président délégué à la formation continue
  • Catherine Cluzeaud-Delvit : Directrice du service commun de formation continue
  • Patricia Aspart : Plan de développement des compétences, validation des acquis
  • Adrien Blazy : Ingénierie de forma
  • tion, innovation
  • Sylvie Cardoso : ingénierie de l’alternance, professionnalisation.

    Contact : fcv2a@ut-capitole.fr

La Team France Export, dispositif d’accompagnement à l’export des entreprises françaises à l’étranger, a été lancée à la Résidence de France à Rabat lundi 18 février. Ce fut l’occasion de célébrer le renouvellement du partenariat entre Business France et la CFCIM qui entament maintenant leur 7année de collaboration.

Par Franck Boccara

La Team France Export, initiée par le Premier ministre Edouard Philippe, constitue l’un des pivots de la stratégie gouvernementale pour le commerce extérieur. Sa fonction consiste à rendre le dispositif d’appui aux entreprises à l’international plus accessible et plus simple afin de mieux accompagner les entreprises dans leurs besoins en matière d’aide à l’export. 

La cérémonie de lancement de la Team France Export au Maroc a eu lieu ce lundi 18 février 2019 à la Résidence de l’Ambassadeur de France au Royaume chérifien, Jean-François Girault. L’évènement s’est tenu en présence de Christophe Lecourtier, Directeur général de Business France en visite au Maroc, de Philippe-Edern Klein, Président de la Chambre de Commerce Française au Maroc (CFCIM) et de Laurent Dupuch, Président des Conseillers du Commerce Extérieur de la France dans le pays.

Afin de développer leur coopération au service des intérêts économiques français, l’Ambassade et la CFCIM ont signé un mémorandum d’entente dans ce sens comme l’a souligné Jean-François Girault : « Notre rencontre est un appel à la mobilisation de tous les partenaires de l’action économique de la France. Dans un contexte mondial de concurrence croissante, notre engagement doit être déterminé et collectif ».

Christophe Lecourtier, le directeur général de Business France a déclaré lors de sa prise de parole que « Business France s’est associée de manière ambitieuse avec la CFCIM, acteur de référence au Maroc, dans un partenariat public-privé inédit. La Team France Export au Maroc, marché essentiel à l’échelle du Maghreb et du continent africain, est une simplification et une clarification du service public d’accompagnement à l’export. C’est également un message positif tant à l’adresse de la communauté d’affaires française et marocaine, qu’à celle des entreprises basées en France souhaitant se développer dans le pays ». 

Philippe-Edern Klein, président de la CFCIM, a affirmé de son côté que « la Chambre de Commerce est fière d’avoir été choisie pour cette mission d’accompagnement des PME et ETI (entreprise de taille intermédiaire) françaises et de rejoindre ainsi la Team France Export. La CFCIM sera à même de contribuer à l’accélération des mouvements d’affaires entre la France et le Maroc. C’est donc avec confiance que nous envisageons la mise en place de ce partenariat et l’atteinte de nos objectifs communs ».

Il est toutefois nécessaire de préciser que la CFCIM est à l’heure actuelle délégataire de la concession de service public d’accompagnement à l’export des TPE et TPI. Ayant récemment remporté l’appel d’offres de Business France, elle renouvelle donc le partenariat qui avait été signé avec l’Agence en 2012. La CFCIM restera de ce fait le seul et unique correspondant des entreprises françaises désirant investir ou s’implanter au Maroc et travaillera pour cela en étroite coordination avec l’Ambassade de France.

Nombreuses sont les PME et ETI qui disposent de surfaces pouvant être utilisées pour accueillir des centrales photovoltaïques. Ces projets, qui conjuguent respect de l’environnement et maîtrise du coût de l’électricité, ont tout pour séduire. Alors comment cela fonctionne-t-il concrètement et pourquoi cette transition énergetique n’est pas aussi rapide qu’on le souhaiterait ? Marie-Odile Becker, Directrice Générale de TRYBA ENERGY, répond à nos questions.

Dans quelles circonstances a été fondée TRYBA ENERGY et quels sont ses métiers ?

TRYBA ENERGY fait partie du groupe familial de Mr Johannes Tryba. Ce groupe a été fondé par Mr Tryba il y a 38 ans et le métier le plus connu du groupe est la fabrication de menuiseries extérieures. Tryba Energy a été créée dans ce contexte liée à l’énergie, mais pas pour en économiser comme lors de remplacement de fenêtres très isolantes mais pour générer de l’énergie renouvelable

Sur quels genres de surfaces intervient TRYBA ENERGY ?

Tryba Energy développe, met en œuvre et exploite des centrales photovoltaïques sur des grandes toitures (minimum 8 000 M2) des parkings (minimum 300 Places) et des terrains de préférence « dégradés » de 5 hectares minimum.

Quel rôle les PME et ETI peuvent-elles jouer dans la transition énergétique ?

On dit que les petits ruisseaux font les grandes rivières, et TRYBA ENERGY est convaincu qu’il vaut mieux faire des projets de 2 à 5 MWC en toiture ou 5 à 20 MWc au sol ,plutôt que de faire des projets gigantesques de plusieurs centaines de MWc. L’une des raisons est le respect de l’environnement car sur des terrains de plus de 300 Ha ,comme par exemple pour un projet au sud de Bordeaux développé par des confrères,  il a forcément fallu perturber la faune et la flore.

Quels sont les besoins des PME et ETI dans le domaine de l’efficacité énergétique et comment pouvez-vous les aider ?

Les PME et ETI ont tout à gagner à utiliser ou à louer à un tiers développeur leur toiture ou parking ou terrain pour y loger des centrales photovoltaïques. En effet, ce foncier mis à disposition par les entreprises leur permet d’avoir un loyer garanti sur 20 ans, tout en bénéficiant d’une image verte pour leur communication interne et externe. Les PME et ETI peuvent également avoir une centrale photovoltaïque dont l’électricité serait totalement ou partiellement autoconsommé par le site. Ceci permet à l’entreprise de sécuriser le coût de l’électricité totalement ou partiellement sur plusieurs années, plutôt que de subir les hausses du KWh qui viendront inéluctablement. 

Quelle solutions proposez-vous aux PME et ETI ?

Chaque PME et ETI peut avoir des attentes différentes en fonction de la sensibilité de ses dirigeants par rapport à l’énergie, Tryba Energy a une écoute attentive et répond en toute transparence aux interrogations. Les sujets fréquemment relevés sont les questions d’assurance et risques, la fin du contrat au terme du bail…Tenant compte des contraintes des sites et des questions des dirigeants, Tryba Energy proposera alors la mise en œuvre de centrales solaires adaptées.

Marie-Odile Becker

Qu’est-ce qui différencie TRYBA ENERGY des grands groupes qui opèrent sur le marché du photovoltaique ?

L’écoute, la flexibilité d’une équipe expérimentée et passionnée dans un environnement de groupe familial, la transparence sur les données financières et la rentabilité ainsi que les ressources financières.

Comment vos équipes fonctionnent-elles concrètement ?

Le facteur humain de l’ETI Tryba Energy est primordial, une analyse sur place est réalisée dès le début pour valider la faisabilité technique et économique. 

Comment expliquez-vous que l’autoconsommation peine à trouver sa place en France ?

C’est un sujet politique car le gouvernement impose une taxe élevée pour les centrales en autoconsommation qui sont financées et gérées par un tiers. C’est la notion d’autoconsommation collective où le coût est renchéri de plus de 80 %. Cette autoconsommation collective conduit, dans ce cas, à un KWh bien trop élevé, à savoir au-delà de 10 cent /Kwh. Ce sujet finira bien par évoluer…

L’actualité des énergies renouvelables est marquée par le plan du gouvernement en matière d’énergie. Qu’en pensez-vous ?

Nous sommes ravis de la publication de la nouvelle PPE (Programmation Pluriannuelle de L’Energie) fin Janvier 2019. Cette PPE fixe les objectifs jusqu’en 2028 et donne à nouveau de la visibilité aux acteurs avec, par exemple, plus qu’un doublement de la capacité installée des centrales solaires d’ici 2023 (20,6 GWC contre 8 GW à ce jour)  .

Avec chaque gouvernement nous sommes pleins d’espoir, parfois suivis de déceptions. Les effets d’annonces sont importants mais les verrous demeurent nombreux. Cela s’explique probablement par une belle histoire ainsi que par la compétence nucléaire de la France.

Réalisation TRYBA ENERGY

Quel est l’état du photovoltaique en France par rapport à nos voisins européens ?

Deux chiffres parlants : à ce jour la capacité photovoltaïque installée en Allemagne est de 45 GWc , alors qu’en France elle est 8 GWc. Pourtant la France offre un meilleur ensoleillement.

La france fait-elle preuve d’une volonté politique réelle par rapport à ses voisins européens ?

Oui officiellement, mais dans les faits c’est un peu plus compliqué car persistent des difficultés de mise en œuvre.

Comment voyez-vous l’évolution des nouvelles énergies en général et du photovoltaique en particulier dans notre pays ?

Très positivement car le marché est devant nous. 

TRYBA ENERGY exporte son savoir-faire à l’international, quel bilan pouvez-vous en dresser ?

Nous réalisons des projets en Afrique, en Ukraine, en Roumanie depuis 2011. Chaque projet est une grande satisfaction, nous avons de belles références et nous sommes très confiants pour la suite car le marché mondial est immense. A nous de capitaliser sur notre savoir faire pour aller encore plus loin.

Notre dernier projet en cours de raccordement est en Ouganda, sur un terrain de 25 hectares et une puissance de 10 MWc. Cette centrale est proche de l’équateur, c’est pourquoi nous avons fait installer des structures supportant les panneaux photovoltaïques sur tracker suivant la course du soleil. Ce dispositif permet d’optimiser la production de l’énergie solaire et constitue une première en Afrique.

Pour voir les films :

  • De la centrale photovoltaïque en toiture du groupe ATRYA réalisée par TRYBA ENERGY cliquez ici
  • De la dernière centrale photovoltaïque réalisée par TRYBA ENERGY à Bergerac cliquez ici

L’OCDE dénonce, dans son dernier rapport, le manque de formation suivie par les adultes à travers la planète. Ce constat révèle un réel problème, précisément au moment où le monde du travail se trouve à l’aube d’importants bouleversements, liés notamment à l’automatisation des tâches.

Par Eric Orsini

Cette semaine, l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) a publié son dernier rapport, intitulé « Des systèmes de formation pour adultes prêts pour le futur ». Ce rapport constate clairement que la formation des actifs connait un véritable déficit alors que nous nous trouvons dans un univers professionnel en pleine mutation.

Des emplois qui évoluent plus vite que les employés

L’OCDE cerne le phénomène de façon logique en expliquant que l’automatisation, boostée par les avancées technologiques, va considérablement progresser dans les années qui viennent. L’organisation indique même que « Les analyses les plus récentes donnent à penser que près d’un emploi sur sept risque d’être totalement automatisé et près de 30 % pourraient subir des transformations ». Cependant, l’OCDE se refuse à considérer cette réalité comme une menace mais l’aborde plutôt comme une opportunité pour les salariés qui décideront d’évoluer avec leur métier.

Et c’est là que se trouve le problème car d’après l’étude de l’institution, chaque année, 41 % seulement des adultes suivent une formation. Un pourcentage loin d’être suffisant dans un tel contexte, surtout si nous prenons en compte le fait que ce sont les salariés qui risquent d’être les plus affectés par les transformations que subit le monde du travail qui sont les moins enclins à se former.

Les raisons qu’invoquent les salariés pour expliquer ce manque d’enthousiasme sont le manque de temps, de soutien de la part de l’employeur, la difficulté à trouver un lieu ou des horaires adaptés, ou encore le manque de formations de qualité.

La France consciente du défi

Mieux vaut tard que jamais ! La France a pris les dispositions nécessaires pour combler son retard. En effet, le monde de la formation professionnelle, continue et de l’apprentissage a été chamboulé par le projet de loi « pour la liberté pour choisir son avenir professionnel » dont le but est de changer les règles du milieu en amorçant une transition vers plus de simplicité et de transparence. Ce projet de loi est en phase avec les conclusions de l’OCDE qui recommande, comme lui, d’avoir recours à la formation à distance dont les chiffres sont encore largement insuffisants. En effet, dans les pays développés, seulement 19 % de la population active en a bénéficié.

L’organisation suggère, pour conclure, d’accorder des moyens adaptés à la formation et de coordonner les contenus avec les besoins du marché du travail, spécialement pour les salariés dont les emplois vont se heurter de front avec l’automatisation.



L’OCDE dénonce, dans son dernier rapport, le manque de formation suivie par les adultes à travers la planète. Ce constat révèle un réel problème, précisément au moment où le monde du travail se trouve à l’aube d’importants bouleversements, liés notamment à l’automatisation des tâches.

Par Eric Orsini

Cette semaine, l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) a publié son dernier rapport, intitulé « Des systèmes de formation pour adultes prêts pour le futur ». Ce rapport constate clairement que la formation des actifs connait un véritable déficit alors que nous nous trouvons dans un univers professionnel en pleine mutation.

Des emplois qui évoluent plus vite que les employés

L’OCDE cerne le phénomène de façon logique en expliquant que l’automatisation, boostée par les avancées technologiques, va considérablement progresser dans les années qui viennent. L’organisation indique même que « Les analyses les plus récentes donnent à penser que près d’un emploi sur sept risque d’être totalement automatisé et près de 30 % pourraient subir des transformations ». Cependant, l’OCDE se refuse à considérer cette réalité comme une menace mais l’aborde plutôt comme une opportunité pour les salariés qui décideront d’évoluer avec leur métier.

Et c’est là que se trouve le problème car d’après l’étude de l’institution, chaque année, 41 % seulement des adultes suivent une formation. Un pourcentage loin d’être suffisant dans un tel contexte, surtout si nous prenons en compte le fait que ce sont les salariés qui risquent d’être les plus affectés par les transformations que subit le monde du travail qui sont les moins enclins à se former.

Les raisons qu’invoquent les salariés pour expliquer ce manque d’enthousiasme sont le manque de temps, de soutien de la part de l’employeur, la difficulté à trouver un lieu ou des horaires adaptés, ou encore le manque de formations de qualité.

La France consciente du défi

Mieux vaut tard que jamais ! La France a pris les dispositions nécessaires pour combler son retard. En effet, le monde de la formation professionnelle, continue et de l’apprentissage a été chamboulé par le projet de loi « pour la liberté pour choisir son avenir professionnel » dont le but est de changer les règles du milieu en amorçant une transition vers plus de simplicité et de transparence. Ce projet de loi est en phase avec les conclusions de l’OCDE qui recommande, comme lui, d’avoir recours à la formation à distance dont les chiffres sont encore largement insuffisants. En effet, dans les pays développés, seulement 19 % de la population active en a bénéficié.

L’organisation suggère, pour conclure, d’accorder des moyens adaptés à la formation et de coordonner les contenus avec les besoins du marché du travail, spécialement pour les salariés dont les emplois vont se heurter de front avec l’automatisation.



L’industrie de demain s’invente sur Global Industrie

Global Industrie 2019 vous donne rendez-vous du 5 au 8 mars 2019, au Parc des expositions Eurexpo de Lyon ! Avec  100 000 m² d’exposition, 45 000 visiteurs et des industriels du monde entier y sont attendus. PME et ETI de La French Fab, participez au plus grand salon industriel généraliste en France, pour accélérer votre mutation vers l’industrie du futur. 

Global Industrie est né de la réunion de 4 événements complémentaires :

  • Midest : le salon des savoir-faire en sous-traitance industrielle
  • Smart Industries : le salon de l’industrie connectée, collaborative et efficiente
  • Industrie : le salon des technologies et des équipements de production
  • Tolexpo : le salon des solutions et des équipements pour la tôlerie.

Un programme de conférences ambitieux

+ de 200 intervenants experts sont prévus.

Parce que l’industrie est en constante (r)évolution, les Conférences Global Industrie vous permettent d’avoir toujours un temps d’avance ! 
Cette année, plusieurs thèmes centraux de l’industrie du futur seront traités par des professionnels à travers des masterclass de grands capitaines d’industrie, ainsi que des débats et keynotes à caractères stratégique et technologique en présence d’experts qui vous feront part de leurs analyses et de leurs retours d’expériences (la cybersécurité, la fabrication additive, la cobotique, les relations clients-fournisseurs, le financement, les voitures électriques et autonomes, l’avenir de la filière aéronautique, la formation, l’environnement, le Machine Learning, les biomatériaux ou encore le jumeau numérique…).

Bpifrance est partenaire de cet événement.

Les temps forts de Global Industrie : former, démontrer, innover, comprendre

  • Campus – trouvez dès aujourd’hui le job de demain : un espace entièrement dédié à l’emploi, la formation et l’attractivité des métiers dans l’industrie.
  • Génération Smart – un concours dans le Campus : le concours propose donc aux étudiants de découvrir les nouvelles technologies qu’ils rencontreront dans leurs futurs métiers.
  • Usine connectée : une chaîne complète de fabrication en fonctionnement présentée sur 1100 m²
  • Places des savoir-faire – au cœur du village : implantées au cœur des secteurs clés du Midest, chaque Place constitue un véritable idiome pour chacun d’eux.
  • Adwards : 7 catégories représentatives de la richesse du monde industriel. Une initiative qui garantit une exposition médiatique et des retombées exceptionnelles.
  • Robotics show – la robotique, cœur de cible de Global Industrie ! 200 m² d’exposition  – 15 à 20 robots en fonctionnement
  • Espace Recherche : mettre en lien création et innovation ! L’Espace recherche réunit des Laboratoires d’origines différentes qui partagent la volonté de créer des partenariats productifs.L’espace démonstrateur
  • Conférences : un programme  qui vous permettra d’être informé des dernières évolutions de l’industrie.
  • Etats généraux de la robotique (initiative DGE et Global Industrie) : les enjeux et les perspectives pour la filière Robotique.

Informations pratiques

  • Salon : Global Industrie 
  • Eurexpo Lyon – Halls 1 à 6
  • Dates : du 5 au 8 mars 2018
  • Horaires d’ouverture :

Mardi et Mercredi : 9h – 18h
Jeudi : 9h – 20h (nocturne)
Vendredi : 9h – 17h

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