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SME-ETI

Le nouveau confinement mis en place a certes un air de déjà-vu mais les règles liées au monde de l’entreprise changent. Le Premier ministre Jean Castex, accompagné de la ministre du Travail Elisabeth Borne et du ministre de l’Economie Bruno Le Maire ont donné en fin de semaine le détail des différentes mesures… le point ci-dessous.

Par Serge de Cluny

Télétravail 5 jours sur 5

Comme l’avait indiqué Emmanuel Macron, le télétravail « sera à nouveau généralisé » et devra être « le plus massif possible » selon Jean Castex, pour les entreprises du secteur privé qui devront privilégier ce modèle pour les fonctions qui le permettent ainsi que pour les administration publiques.

Attestation de déplacement professionnel

Toute personne se déplacant vers son lieu de travail devra être muni d’un justificatif de déplacement professionnel qui est à fournir par l’employeur et qui sera valable pour toute la durée du nouveau confinement. Ce document permet de faire valoir, en cas de contrôle, la nécessité du déplacement dans le cadre de l’activité professionnelle, sans avoir besoin de remplir une attestation dérogatoire de déplacement chaque jour.

Téléchargez le justificatif de déplacement professionnel

« Les fonctionnaires et indépendants pourront présenter leur carte professionnelle ou autre justificatif d’activité professionnel », a précisé le premier ministre.

N’oubliez pas qu’un défaut d’attestation peut vous coûter 135 euros d’amende et jusqu’à 3 750 euros et six mois d’emprisonnement en cas de troisième récidive sous 30 jours.

Le chômage partiel reconduit

Le dispositif de chômage partiel sera reconduit pour les salariés et les employeurs selon les mêmes conditions. Il était initialement prévu que l’indemnisation évolue au 1er novembre mais les modalités financières avaient finalement été reconduites jusqu’au 31 décembre 2020.

Les salariés qui bénéficient du chômage partiel continueront donc à être indemnisés à hauteur de 84% de leur salaire net pendant le nouveau confinement (100% s’ils sont rémunérés au Smic). Les entreprises se verront rembourser 85% de cette indemnité par l’Etat et l’Unédic et devront prendre à leur charge les 15% restants.

Pour les secteurs « sous tensions » les plus protégés (hôtellerie-restauration, culture, événementiel…) le chômage partiel à 100% avait été prolongé jusqu’à la fin de l’année dès le mois de septembre.

Le nouveau protocole sanitaire

Le protocole sanitaire en entreprise, dont les règles avait été revu le 16 octobre, préconisait de renforcer le télétravail et d’ajuster les horaires de présence « afin de lisser l’affluence aux heures de pointe ».

Le nouveau protocole sanitaire qui a été mis en ligne permet pour certaines activités (bureaux d’études, architectes, techniciens…) que les salariés restent « une partie du temps sur lieu de travail ». Pour cela, elle demande aux entreprises d’ »aménager les horaires d’arrivée et de départ pour limiter l’affluence aux heures de pointe ». Pour les restaurants d’entreprises, ils resteront ouverts avec un protocole sanitaire renforcé.

Les aides aux entreprises

Pour les entreprises qui subissent une fermeture administrative, elles pourront bénéficier d’une « prise en charge jusqu’à 10 000 euros par mois des pertes » dans le cadre du Fonds de solidarité.

Les PME de moins de 50 salariés en difficulté auront droit à un renforcement des exonérations de charges.

Le PGE (Prêt Garanti par l’Etat) se voit crédité d’une prolongation de six mois. « L’amortissement pourra être étalé entre une et cinq années supplémentaires, à des taux entre 1 et 2.5% maximum » , selon les déclarations de Bruno Le Maire.

Quant aux entreprises déjà en difficulté et qui ne pouvent pas rembourser le prêt du premier confinement au 1er mars 2021, elles « pourront obtenir un nouveau différé d’un an supplémentaire avant de commencer le remboursement de leur prêt », déclare-t-il en précisant que « les demandes de différés de prêt ne seront pas considérées comme un défaut de paiement des entreprises ». 

Le ministre de l’économie a également promis qu’un prêt direct sera mis en place par l’Etat pour les entreprises qui n’aurait pas la trésorerie nécessaire : « Ces prêts d’Etat pourront aller jusqu’à 10 000 euros pour les entreprises de moins de 10 salariés, 50 000 euros pour les entreprises de 10 à 50 salariés. Au-delà de 50 salariés, l’Etat pourra accorder des avances remboursables, plafonnées à trois mois de chiffre d’affaire. »

Enfin, Bruno Le Maire a aussi envoyé un message rassurant aux commerçants dont les loyers restent encore une charge à supporter en annoncant la création d’un crédit d’impôt pour les bailleurs qui accepteraient d’annuler au moins un mois de leurs loyers aux entreprises correspondant à « 30% du montant des loyers abandonnés ».


Les rencontres Russie 2020 organisées par Business France et sa Team France Export auront lieu le lundi 9 novembre en visioconférence et en presentiel au siège de Business France. Venez vous informer sur les opportunités de ce pays et rencontrer les experts qui pourront vous accompagner dans l’implantation et le développement de vos activités export vers ce grand marché de 145M d’habitants et qui donne également accès au marché plus vaste de l’Union économique Eurasienne.

La Russie a subi la crise sanitaire du Covid-19 de plein fouet de même que la plupart des grandes économies mondiales. Cependant, le pays a réussi à amoindrir les conséquences par rapport à d’autres économies grâce aux importantes marges de manœuvres dont dispose la Russie, notamment les importantes réserves de change. Le PIB russe devrait se contracter de 4,5% en 2020 et l’état russe a annoncé un plan de relance estimé à environ 7% du PIB.

Avec la fin des restrictions liées à la crise santaire, et malgré le fait que les frontières restent fermées entre la Russie et l’UE, les échanges internationaux et la logistique continuent de fonctionner normalement et les opérateurs russes de nombreux secteurs sont à la recherche de nouveaux équipements et solutions pour développer leurs activités. Les PME et ETI ont donc leur carte à jouer dans ce contexte et sont vivement attendues pour les rencontres Russie 2020 .

LES INSCRIPTIONS

Entreprise française – participation 100 % digitale (plénières et b2b)

Participation 100% digitale : suivre la conférence en ligne (en direct + en replay), participer à des réunions d’affaires b2b individuels en ligne. 

Entreprise française – participation en présentiel pour des plénières

Participation en présentiel  dans la limite des places disponibles (109) à Business France Paris : positionnement dans l’amphithéâtre Pierre Letocart et dans les 2 salles annexes en télétransmission dans le respect de la distanciation de 1m.  Le port de masque et les gestes barrières obligatoires. 

Je veux en savoir plus, contactez-moi!

LES RENCONTRES RUSSIE 2020 : LE PROGRAMME

Evénement hybride : Transmission en direct en ligne avec la possibilité d’interagir et B2B rendez-vous en ligne
Présentiel dans la limite des places disponibles : Amphithéâtre Pierre Letocart et salles annexes en télétransmission

Lundi 09 novembre
08h00 – Accueil des participants (dans le respect des mesures barrières : le port de masque obligatoire, la distanciation d’un mètre minimum, la restauration n’est pas autorisée)
09h00 –  Séance plénière 

Introduction par Christophe LECOURTIER, Directeur Général de Business France 

Allocution d’ouverture  (à confirmer)

Table Ronde – Etat des relations économiques franco-russes

  • S.E.M. Pierre LEVY, Ambassadeur de France en Russie (en visioconférence) 
  • S.E.M. Alexey MESHKOV, Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire de la Fédération de Russie auprès de la République française et de la Principauté de Monaco (à confirmer)
  • Mikhail MAKAROV, Représentant de l’Ambassade de Russie ou de la Représentation commerciale de la Russie (à confirmer)
09h30 – L’environnement des affaires en Russie
  • Patrick ERBS, Chef du Service Economique, Ministère de l’Economie et des Finances, Ambassade de France en Russie (en visioconférence) 
  • David LASFARGUE, Président du comité Russie des Conseillers du Commerce Extérieur de la France (CCEF)
    Avocat au barreau de Paris, associé du cabinet et responsable du bureau de Moscou, JEANTET (en visioconférence) 
10h00 – Plan de relance et Dispositif VIE en Russie
  • Hélène BURIEV, Conseillère Appui aux entreprises, Service économique régional de Moscou (en visioconférence) 
  • Eléonore HURAULT DE LIGNY, Responsable Partenariats V.I.E, BUSINESS FRANCE 
  • Yann FROLLO DE KERLIVIO, Directeur adjoint Stratégie, BUSINESS FRANCE
  • Sacha ROUILLER, VIE, Manager d’opérations logistiques, FM LOGISTIC (en visioconférence) 
  • Partenaires de la Team France Export, BPI FRANCE 
11h00 – Pause
11h20 – Tables rondes sectorielles

Art de vivre et Santé

  • Sophie LANFRANCHI, Directrice Commerciale, AO DUALEST, Groupe DUALEST (en visioconférence) 
  • Régis COULON, General manager, Pierre Fabre Russie (en visioconférence) 
  • Agnès NIKITSKY, Directeur General de Kiabi Russie (en visioconférence) 
  • Sylvie LESOT, responsable export, LE JACQUARD FRANÇAIS (en visioconférence) 

Projets industriels et infrastructures 

Agriculture et agroalimentaire

13h30 – Pause 
14h30 – 18h00 – B2B –  Rendez-vous d’affaires individuels en ligne et en présentiel

Depuis 2015, le CPF (Compte Personnel de Formation) est la plateforme qui aide les cadres à gérer les formations auxquelles ils ont droit. Le CPF est venu, à cette époque, remplacer un autre dispositif appelé le DIF (Droit Individuel à la Formation) mais le transfert des heures entre ces deux dispositifs n’a rien d’automatique et exige la réalisation d’une démarche précise.

Par Eric Orsini

Comme dit le vieil adage : « tout travail mérite salaire » mais en France il mérite aussi formation. A cet effet, les cadres et collaborateurs accumulent chaque année des droits qui leur permettent de passer des certifications supplémentaires afin de pouvoir progresser dans leur carrière ou changer de domaine d’activité.

Avant le changement de dispositif de 2015, vous aviez probablement accumulé des heures au titre du DIF, qui n’ont pas forcément été utilisées. Afin que les salariés ne subissent pas de pertes dues à ce changement de dispositif, le législateur a mis en place la possibilité de transférer les droits entre ces deux systèmes. Par contre, cette procédure n’a rien d’automatique et il reste des salariés qui n’ont pas encore accompli la démarche nécessaire malgré diverses campagnes de communication à ce sujet.

La date butoire approche

Il est bon de savoir qu’il est encore temps de transférer vos heures si vous ne l’avez pas encore fait mais il faudra le faire sans tarder. En effet, l’État avait initialement décidé de supprimer les droits du DIF non utilisés en 2021, cependant une ordonnance du 21 août 2019 est finalement venu assouplir cette mesure pour ne pas pénaliser les retardataires. Finalement, afin de ne pas perdre le crédit accumulé avant 2015, il vous faudra tout simplement inscrire ce dernier sur le portail officiel du CPF afin d’activer le transfert. Mais attention, cette démarche devra être effectuée avant le 31 décembre 2020.

Comment faire ?

Avant le passage au CPF, votre dernier employeur a dû vous remettre une attestation officielle mentionnant le solde de vos heures acquises qui n’ont pas été utilisées. Si vous ne pouvez pas mettre la main sur ce document, il est possible de retrouver cette information sur votre bulletin de paie de décembre 2014 ou de janvier 2015. Au cas où vous étiez simultanément salarié dans plusieurs entreprises à la date du 31 décembre 2014, vous n’aurez qu’à additionner les heures indiquées sur les différentes attestations.

Une fois en possession de votre solde de DIF, connectez-vous à votre CPF a partir du site dédié Moncompteformation.gouv.fr ou via l’application mobile et créez votre compte si vous ne l’avez pas encore fait en y reportant vos droits. Attention : le dispositif est désormais exprimé en euros, au taux de 15 euros de l’heure. Indiquez le montant de votre DIF en l’arrondissant à l’unité supérieure, téléchargez votre justificatif et enfin enregistrez votre solde qui sera alors crédité sur votre compteur en euros. Vous pourrez alors par la suite effectuer une demande de formation selon les conditions habituelles du CPF et utiliser votre crédit comme vous le desirez sans limite de date à respecter étant donné que ce compte vous accompagnera tout au long de votre carrière.

Le cadeau d’affaires, l’organisation d’événements et les opérations d’Incentive sont autant d’opportunités pour remercier et fidéliser vos partenaires et vos clients.

Pour accéder au catalogue et à l’ensemble de nos offres, rejoignez-nous sur :

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Nos chargés d’affaires vous conseilleront pour trouver le produit et le service adapté à votre besoin parmi une large gamme composée de plus de 50 marques et 300 références, parmi lesquelles : G.H. MUMM, RSRV, Perrier-Jouët, Ricard, Absolut, Aberlour, The Glenlivet, Ballantine’s, Jameson, Clan Campbell, Monkey 47, Beefeater, Havana Club, Lillet, Suze, Cinzano …

Par ailleurs, la politique RSE du groupe Pernod Ricard soutient le développement d’un écosystème vertueux pour chacun des acteurs qui le compose. A ce titre, Pernod Ricard France s’engage pour une consommation responsable et encourage ses marques et partenaires à adopter une démarche écologique ambitieuse.

La meilleure illustration est la double certification obtenue par les Maisons G.H. Mumm et Perrier-Jouët : Viticulture Durable et Haute Valeur Environnementale. Première européenne, elles ont été obtenues pour les 283 hectares de vignes des deux Maisons champenoises avec un cahier des charges environnemental strict et ambitieux qui comprend :

  • le déploiement d’une gouvernance environnementale efficace
  • la promotion d’une agriculture durable et la protection de la biodiversité
  • la préservation des ressources en eau
  • la réduction de la consommation d’énergie, de l’empreinte carbone et la réduction de l’impact de ses déchets
  • l’engagement d’une approche durable de développement tout au long du cycle de développement de ses produits.

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L’abus d’alcool est dangereux pour la santé. A consommer avec modération.

Les dispositifs d’aides et de soutien pour les entreprises situées dans les zones de couvre-feu vont se voir renforcer : Fonds de solidarité, exonération de charges, prêt garanti par l’Etat…voici le détail sur les nouvelles mesures.

Par la rédaction

Après la décision du président de la république de décréter un couvre-feu en Ile-de-France et dans huit métropoles particulièrement touchées par la seconde vague de l’épidémie, le gouvernement a précisé les nouveaux dispositifs d’aides dont pourront bénéficier les entreprises exerçant dans ces métropoles et donc directement touchées par ces nouvelles restrictions.

Le fonds de solidarité

Toutes les PME de moins de 50 salariés siégeant dans les zones de couvre-feu sont éligibles au fonds de solidarité jusqu’à 1500 euros à la condition que leur perte de chiffre d’affaires atteigne 50%, et ce jusqu’à la fin du couvre-feu, selon l’annonce du ministre de l’Economie et des finances.

Concernant les hôtels, cafés et restaurants qui sont pleinement impactés par la situation, le fonds de solidarité jusqu’à 10.000 euros pourra être versé aux entreprises dont le chiffre d’affaires a baissé d’au moins 50%, et non plus 70%, a ajouté Bruno Le Maire. De plus, le plafonnement à 60% du chiffre d’affaires est annulé pour les entreprises de l’hôtellerie et de la restauration.

Éxonération de charges

L’ensemble des entreprises ayant connu une fermeture administrative pendant le couvre-feu auront droit à une « exonération totale des cotisations sociales et patronales jusqu’à la fin du couvre-feu ».
Pour les entreprises du secteur de l’hôtellerie-restauration situées dans ces zones de couvre-feu, elles pourront également bénéficier de cette exonération totale de cotisations sociales et patronales à partir du moment où elles perdent au moins 50% de leur chiffre d’affaires, a déclaré le ministre de l’Economie en ajoutant que l’Etat, de son côté, apportera un soutien financier allant jusqu’à 20% de la masse salariale « qui permet en réalité de couvrir totalement le poids des charges sociales pour les entrepreneurs concernés ».

Le Prêt garanti par l’État

Le dispositif de PGE (Prêt Garanti par l’Etat) est maintenu et prolongé du 31 décembre 2020 jusqu’au 30 juin 2021. Le locataire de Bercy a également demandé « à la Fédération bancaire française d’examiner un report du remboursement de ces prêts pour une année supplémentaire pour les entreprises qui en ont réellement besoin ».

Le Plan de Relance Export répond précisement aux enjeux pratiques des PME et ETI exportatrices désireuses de renforcer leur force de frappe à l’international mais aussi à celles qui cherchent à se lancer à L’export. L’ouverture aux marchés internationaux peut justement représenter une opportunité et un levier de croissance dans une période où nos business models sont souvent en pleine transformation.  

Le Plan de Relance Export a été pensé pour répondre à 5 axes fondamentaux qui permettront aux PME et ETI de calibrer et de structurer leur projet export de façon stratégique et précise. Les 13 mesures du Plan de Relance Export sont des leviers simples, lisibles et efficaces qui accompagneront nos entreprises et leur permettront de tirer pleinement parti des 100 milliards d’euros du plan de relance pour repartir à la conquête des marchés étrangers.

1. L’INTELLIGENCE : Mieux informer sur les marchés étrangers

Mesure #1 : un « compte numérique personnalisé de l’exportateur »

Un espace numérique sécurisé et personnalisé sera disponible, à la demande des entreprises, sur les plateformes régionales de la Team France Export. Toute PME ou ETI pourra s’y rendre pour découvrir de nouvelles opportunités et s’informer en temps réel sur l’état des marchés adaptés à son profil et à son activité.

Mesure #2 : S’informer avec le « Relance Export Tour »

Le Gouvernement apportera son appui à l’organisation par la Team France Export d’évènements et d’actions de promotion de l’export dans les régions et dans les filières, au plus près des entreprises, afin de les sensibiliser aux défis à relever pour un développement international réussi.

2. LA PROJECTION : Faciliter les activités de prospection export

Mesure #3 : S’organiser et se projeter avec le « Chèque Relance Export » ▸ bénéficiez-en dès maintenant

Mesure #4 : Être accompagné par les moyens renforcés de l’assurance prospection (Bpifrance)

Mesure #5 : Profiter également de l’assurance prospection « accompagnement », une assurance prospection adaptée et rénovée (Bpifrance)

Mesure #6 : Participer et être accompagné sur les salons internationaux▸ programmation sur la rubrique agenda

Mesure #7 : Connaitre et Exposer sur les nouvelles vitrines digitales de l’offre française ▸ janvier 2021

3. SOUTENIR LA JEUNESSE AVEC LE DISPOSITIF V.I.E. : Mobiliser les talents pour le développement international des PME et ETI

 Mesure #8 : Recruter un V.I.E grâce au « Chèque relance V.I.E » ▸ janvier 2021

4. RENFORCER LES OUTILS DE FINANCEMENTS EXPORT : Faciliter et soutenir la réalisation des projets à l’export

Mesure #10 : Beneficier du financement de projets grâce à l’appui contra-cyclique des financements export (Bpifrance)

Mesure #11 : Pouvoir se positionner sur des projets d’infrastructures grâce au doublement de l’enveloppe dédiée aux FASEP (DG Trésor)

Mesure #12 : Financer vos projets grace au Prêts du Trésor (DG Trésor)

5. PROMOUVOIR LA MARQUE FRANCE : Déployer une communication de conquête autour de l’architecture de la marque France et des marques sectorielles

 Mesure #13 : Déployer et utiliser la stratégie de marque France

❯❯ Téléchargez la présentation détaillée du Plan de Relance Export ❮❮Q

Impact PME 2020, la rencontre annuelle de l’écosphere PME se tiendra cette année sous un format 100% TV/radio et digital. L’évènement, organisé par la CPME et BFM Business, fêtera sa douxième édition pendant toute une journée où les émissions de la grille de BFM Business Radio et TV seront aux couleurs des PME.

Impact PME 2020 sera une journée d’échanges et d’inspirations dédiée aux dirigeants de TPE-PME avec une programmation spéciale PME qui donnera la parole à des dirigeants de PME à succès, à des experts ou encore à François Asselin (Président de la CPME) à travers plusieurs conférences animées par Philippe Bloch.

BFM Business et la CPME mettent en lumière les TPE et PME françaises, et réunissent pour vous l’ensemble du réseau CPME pour répondre à vos questions et vous permettre de découvrir quelques clés pour faire grandir votre entreprise dans ce contexte si particulier. 

WEBINAIRE

Le 12 novembre à 11h30, la CPME animera un webinaire dont le thème sera orienté sur l’accompagnement des entrepreneurs dans la relance de leur activité avec des solutions concrètes pour faire face à la crise. Le webinaire sera diffusé sur le site d’Impact PME.

Chefs d’entreprise, optimisez votre trésorerie et vos ressources humaines face à la crise 

Bénédicte Caron, Vice-présidente chargée des Affaires économiques et Eric Chevée, Vice-président chargé des Affaires sociales de la CPME, vous présenteront les outils et leviers dont vous pouvez vous servir pour rembourser vos échéances, renforcer votre trésorerie et préserver l’emploi et les compétences dans votre entreprise.

Inscrivez-vous au webinaire

LES INTERVENANTS

Ce panel inspirant d’entrepreneurs et d’experts sera là pour enrichir Impact PME 2020 de leur expérience et vous parler des meilleurs outils et solutions pour amorcer un rebond efficace.

Impact PME, l’Hebdo

lmpact PME 2020, ce sont aussi 8 émissions hebdomadaires animées par Philippe Bloch tous les vendredis du 9 octobre au 27 novembre à 14h30 dans lesquelles des chefs d’entreprise et des experts viendront parler de leur expérience inspirante et de leurs solutions face à la crise.

Comment ont-ils reussi à se réinventer ? Quelles innovations produit, managériales, digitales ou encore RSE ont-ils su déployés ? Et demain, quels seront les leviers de la relance des PME en termes de financement, de ressources humaines, d’accélération numérique, écologique ?

Cybersécurité et Covid-19 ne font pas forcément bon ménage. En effet, la crise sanitaire que nous vivons a amené les PME et ETI à adopter de nouveaux modèles de travail pour s’adapter aux nouvelles réalités et permettre ainsi la continuité de leur activité. Le recours massif au télétravail, la réduction ou l’absence de compétences en cybersécurité ainsi que la multiplication des consignes à destination des collaborateurs, sont autant de facteurs à risques qui ont augmenté l’exposition des entreprises à ces menaces (usurpation d’identité d’entreprise, attaque  « ransomware » et fraude financière …).

La multiplication de ces attaques oblige les chefs d’entreprise et les collaborateurs à une sensibilisation aux bonnes pratiques et une vigilance accrue. Le Jeudi 15 octobre, de 10h à 11h, venez participer gratuitement au webinar organisé par la CCI Paris Ile-de-France, le Medef et lesdigiteurs et découvrez les conseils d’experts en cybersécurité pour limiter les risques face au Covid-19.

Au programme de ce webinar :

Entreprises et experts témoigneront et apporteront des conseils pour limiter les risques.

  • Aymeric Harmand, Vice-Président, Développement de produits et Innovation, Europe de l’Ouest, Mastercard
  • Pierre-Arnaud Moreau-Portejoie, Chef de projets Etudes, CCI Paris IDF
  • Jimmy Odouha, Chef de produits, Devices et Security services, Orange
  • Gilles Souris, Conseiller numérique, CCI Paris IDF
  • Débat animé par Maxime Garreta, Coordinateur Régional du Numérique, CCI Paris IDF
Intervenants du webinar :
Maxime GARRETA

Maxime GARRETA

Gilles Souris

Gilles Souris

Jimmy Odouha

Jimmy Odouha


Organisé par :

JE M’INSCRIS

Bpifrance Entreprises 1 ! C’est le nom du fonds que vient de lancer notre banque publique d’investissement afin d’ouvrir le private equity au plus grand nombre de français. Ce fonds de 95 millions d’euros va permettre aux particuliers d’investir dans des start-up et PME familiales européennes non cotées à partir de 5.000 euros.

Par Serge de Cluny

Le private equity, habituellement destiné aux investisseurs institutionnels, se démocratise grâce à cette initiative de Bpifrance qui veut encourager l’investissement des français dans les entreprises non cotées. « Nous n’inventons pas un nouveau produit, mais nous le rendons accessible au-delà d’une minorité d’investisseurs avertis » explique Nicolas Dufourcq, directeur général de Bpifrance.

En effet, la somme de 5 000 € d’investissement minimum reste relativement modérée par rapport à celles habituellement requises dans le monde du capital investissement (private equity). L’avantage du fonds Bpifrance Entreprises 1 est qu’il propose aux personnes physiques des parts de capital de 1 500 entreprises (PME familiales, des start-up, etc…) déjà investies par 145 fonds privés dont Bpifrance est partenaire, qu’elle a financés depuis 2005 et dont l’effectif moyen est de moins de 200 personnes. « Le capital n’est pas garanti, mais le risque de l’investissement est distribué dans tous les secteurs, régions et territoires de l’économie française », précise Nicolas Dufourcq.

Cette volonté d’orienter l’épargne des francais vers l’économie réelle est récurrente et antérieure à la crise de Covid-19 et ce fonds commun de placement est en gestation depuis déjà plusieurs années. La valeur du fonds Bpifrance Entreprises 1 (95 millions d’euros) correspond à 50% du fonds dont l’autre moitié a été vendue en septembre à deux acquéreurs institutionnels. « Les éléments d’incertitude de la crise ont donc été intégrés dans ce prix », insiste Benjamin Paternot, qui dirige la direction fonds de Bpifrance.

Les particuliers disposent d’un an pour souscrire à ce fonds commun de placement dont la durée de vie est de six ans, prolongeable à sept. Au cas où l’investisseur décide de ne pas toucher de distribution sur les plus-values de cession pendant les cinq premières années, il se voit exonéré d’impôt sur les plus-values. Bpifrance estime de façon prudente un rendement annuel entre 5 et 7 % pour les investisseurs.

Le fonds Bpifrance Entreprises 1 sera commercialisé à travers une plateforme numérique, 123 IM, ainsi que par les réseaux traditionnels que sont les banques, assurances, conseiller en gestion de patrimoine, etc… Selon le succès commercial de ce premier Fonds Entreprises, la banque publique d’investissement prévoit de lancer une deuxième génération, l’année prochaine.


La prise de décision dans l’entreprise, qu’elle soit stratégique ou opérationnelle, par les leaders de l’organisation ou par les collaborateurs par rapport à leur zone de compétence, se veut fondée sur une analyse rigoureuse de la situation. Effectuées par des personnes formées, expertes de leur domaine et disposant de nombreuses informations, ces décisions doivent permettre la mise en place de stratégies et de plans d’actions efficaces afin d’atteindre les buts fixés. La qualité de la prise de décision est donc un facteur fondamental de la performance d’une entreprise.

Par Hervé Retailleau – dirigeant de CEMAFOR CONSEIL

Nous avons tendance à évaluer de manière trop optimiste les chances de succès des actions que nous entreprenons. En pleine crise du COVID19 les débats s’enchainent sur les plateaux TV, en Visio et par téléphone. Nous découvrons de multiples experts, tous plus experts les uns que les autres. Chacun y va de ses théories avec la certitude à chaque fois d’avoir le bon raisonnement, les bonnes solutions, bref il nous faut les écouter. Tous ces experts parfois autoproclamés surestiment leur capacité de contrôle des situations dans lesquelles nous nous trouvons, de manière plus générale, ils surévaluent leur capacité à maîtriser le planning de réalisation de leurs actions ou de leurs projets.

Le biais de sur confiance puisqu’il s’agit de cela touche particulièrement les personnes qui se disent expertes dans un domaine, parce qu’elles s’estiment meilleures que les autres experts dans un même domaine de compétences. Dans l’entreprise actuelle et face à un environnement qui s’est hyper complexifié dans les dernières décennies, chacun progressivement est devenu expert de la fonction qu’il occupe. Nous sommes donc tous potentiellement sous l’influence de ce biais. Les professionnels croient sincèrement qu’ils ont l’expertise, qu’ils agissent en experts et ressemblent à des experts. Vous aurez à combattre pour vous souvenir que vous êtes peut-être sous l’influence d’une illusion.

La bonne prise de décision, c’est difficile ; adopter et favoriser les bons comportements constitue également un défi d’ampleur, être efficace individuellement ne va pas de soi ! Nous ne pouvons pas traiter une multitude de données en parallèle sans que cela n’affecte notre efficacité, nous sommes sujets à une détérioration de nos capacités cognitives au fur et à mesure de l’utilisation de nos ressources. Le premier point fondamental réside dans nos capacités limitées. Nos capacités d’attention et de traitement de l’information sont limitées, nos ressources cognitives sont rapidement atteintes. Si nous cherchons à renforcer notre productivité en travaillant en parallèle sur plusieurs tâches, c’est le contraire qui se produit, nous perdons en efficacité !

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