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VOYAGE

Le domaine du Château des pères, à Piré-sur-Seiche (Ille et Vilaine), va accueillir un hôtel de luxe à l’architecture hors normes et décalée pour une clientèle d’affaires mais aussi et surtout touristique.

Par Serge de Cluny

L’édifice émerge de la végétation et semble toucher le ciel, à l’image d’un arbre géant dont les branches sont remplacées par des chambres aux formes de capsules futuristes. Ce ne sont pour l’instant que des images de synthèse mais cet ouvrage architectural hors-norme devrait devenir réalité d’ici un an et demi.

Prévu pour septembre 2020, cet hôtel avant-gardiste sera situé sur le domaine du Château des pères à Piré-sur-Seiche, à 30 kilomètres au sud-est de Rennes. Ce site verdoyant de 31 hectares compte aujourd’hui un château de 7000 m², un restaurant gastronomique, un espace consacré aux évènements, un parc de sculptures comprenant plus de 70 pièces et même un potager.

Julien Legendre, le gérant du domaine et fils de l’entrepreneur rennais Jean-Paul Legendre qui est le propriétaire des lieux, nous explique que ce projet devrait combler « un besoin d’hébergement auquel nous ne pouvions pas répondre » en précisant que « les chambres proposées actuellement ne suffisaient plus pour accueillir les demandes croissantes en mariage et séminaires résidentiels« .

Le Château des Pères a déjà su séduire une clientèle corporate en offrant des solutions évènementielles et incentives de haut niveau et souhaite aujourd’hui attirer une clientèle plus touristique grâce à la forme atypique de l’hôtel. « On veut attirer du monde uniquement par ce biais« , souligne Karine Fisher, chef de projet marketing en ajoutant : « En général, les gens ne viennent pas par hasard à Piré-sur-Seiche donc on vise une clientèle un peu plus éloignée, notamment pour des courts séjours« .

Ce concept architectural, basé sur la structure d’un arbre, est une première en France. En effet, le « tronc » central est entouré d’un ascenseur et d’un escalier qui donneront accès aux 42 chambres perchées dont la forme de capsule offre une superficie est de 26 m². Pouvant s’élever jusqu’à une hauteur de 28 mètres et n’ayant aucun vis-à-vis, chacune de ces chambres sera équipée d’une baie vitrée de 2,50 m² offrant une vue imprenable sur la campagne environnante. Au rez-de-chaussée, sont programmés l’espace spa et bien-être comprenant piscine, balnéothérapie, sauna et hammam.

Les prix ? On ne les connait pas encore mais le Château des Pères annonce d’ores et déjà que cet ouvrage hors normes aura « le niveau et les exigences d’un hôtel 4 étoiles« . Les réservations seront ouvertes au début 2020.


Nantes mise sur son attractivité internationale en investissant sur de nouvelles zones dédiées aux entreprises. Des quartiers d’affaires offrant un écosystème de start-up particulièrement dynamique se multiplient, à l’image d’Euronantes.

L’an dernier, l’aéroport de Nantes Atlantique a enregistré la plus forte progression au niveau national du trafic passagers (+14,9%). D’ailleurs, depuis l’abandon du projet Notre-Dame des Landes, les compagnies aériennes de toute l’Europe se battent pour un bout de tarmac, un petit slot, sur la plate-forme nantaise. Cette nouvelle dimension internationale s’inscrit dans une dynamique de profonde transformation. Car, malgré le calme et la douceur de vivre qui règnent en ville, Nantes mène de front plusieurs projets urbains de grande ampleur.

Au Sud, l’Île de Nantes rayonne mondialement pour ses Machines, bestiaire mécanico-féérique qui attire la grande foule des touristes. Dans un tout autre registre, c’est là aussi que le nouveau palais de justice, dessiné par Jean Nouvel, a pris ses quartiers au début des années 2000. Plus récemment, l’île a vu le développement du Quartier de la création, Nantes imaginant la ville de demain à travers le programme “île de Nantes – expérimentations”.

Au Nord, c’est le projet “YelloPark” qui prévoit, outre la construction d’un nouveau stade, le développement d’un pôle urbain intégrant une composante business. Enfin, “last but not least”, le nouveau quartier d’affaires Euronantes prend forme derrière la gare. Il ne reste plus désormais qu’à insuffler une âme, une vie de quartier entre ces immeubles de bureaux encore trop studieux. Les professionnels qui y convergent commencent d’ailleurs à s’approprier la zone…

Autant dire que le secteur du BTP est en plein boom ! Mais il n’est pas le seul. À Nantes, on construit certes, mais on cogite aussi. Au fil des années, la ville s’est imposée comme pôle de tout premier plan pour l’innovation, une véritable destination start-up. La qualité de vie attire les investisseurs étrangers et, surtout, des talents du cru émergent chaque jour, perpétuant en quelque sorte la tradition créative, innovante, incarnée par un certain Jules Verne, né dans la Cité des ducs voilà 190 ans.

EURONANTES

Crée par Nantes Métropole pour répondre au défi de la concurrence entre les grandes métropoles européennes, le programme Euronantes s’inscrit dans la dynamique de développement urbain impulsée par les opérations sur le Nouveau Malakoff dans le secteur Gare et sur l’île de Nantes.

Ce pôle tertiaire international situé au cœur du territoire du Grand Ouest a pour objectifs de développer le marché immobilier nantais, de favoriser l’implantation des entreprises locales, nationales et internationales, de créer des emplois, et de renforcer l’attractivité de Nantes auprès des acteurs économiques.

Euronantes :
1er quartier d’affaires de la façade Atlantique

S’Y RENDRE

À l’instar de Bordeaux, mais avec quelques années d’avance, la métropole nantaise a profité de l’effet LGV : deux heures de train suffisent pour rallier la gare de Paris Montparnasse. Quant aux dessertes aériennes, elles n’ont jamais offert autant de possibilités aux voyageurs d’affaires. En témoignent le lancement en octobre d’un vol Nantes-Lyon, première liaison domestique proposée par Aigle Azur, ou encore l’installation d’une base d’easyJet au printemps prochain. Au total, Nantes Atlantique est relié à une vingtaine d’aéroports français et près de 70 plates-formes en Europe. Comme la dynamique actuelle donne des ailes aux responsables nantais, on évoque même, depuis peu, une ligne directe vers New York. D’autant que, depuis octobre, l’aéroport est classé dans la catégorie A, c’est à dire regroupant ceux “destinés aux services à grande distance assurés normalement en toutes circonstances”.
Montréal a fété ses 375 ans ! Et elle garde toute sa jeunesse avec une énergie débordante et un dynamisme que l’on ressent partout ; dans son quartier d’affaire où fleurissent les start-ups, dans la mentalité décomplexée de ses habitants et bien sur dans son économie ouverte qui font d’elle une belle porte d’entrée sur le marché américain pour nos PME et ETI… bref une destination affaires incontournable ! Par Franck  Boccara Elégante par nature, énergique par tempérament, cosmopolite par choix, Montréal se situe sur une île. Cette ville séculaire a rassemblé tous les contraires : ici se côtoient dans l’harmonie le charme du Vieux Continent et l’innovation haute technologie, ainsi que le français et l’anglais. La grande variété de solutions d’hébergement et de sites intéressants ainsi que le moderne Palais des congrès qui se trouve au cœur de ce carrefour culturel séduiront sans peine les voyageurs d’affaires et les organisateurs d’évènements. La joie de vivre et la fraicheur qui se dégage de la ville sont contagieux, la cuisine est délicieuse, la vie artistique et les spectacles avant-gardistes donnent à la ville une atmosphère festive toute l’année : rien d’étonnant à ce que Montréal soit en tête de toutes les listes des destinations favorites pour les congrès et les voyages incentive. Bien connue pour ses nombreux festivals, Montréal et ses habitants ont saisi l’opportunité pour rebondir sur une nouvelle dynamique. Le quartier d’affaires, coincé entre le Mont Royal et le fleuve, a vu naitre une multitude de nouveaux hôtels et de tables branchées. En allant plus au nord, on rencontre le pont Jacques-Cartier qui s’est offert le titre de premier “pont connecté” au monde en s’illuminant de façon interactive chaque soir pour refléter en temps réel “l’état d’esprit” de  Montréal. Et l’état d’esprit est au beau fixe car Montréal est une ville rayonnante en pleine effervescence où les idées bouillonnent. Les voyageurs d’affaires y viennent du monde entier, à la recherche de la matière première locale : la matière grise. En effet, la ville est connue pour ses nombreuses universités et écoles qui accueillent d’ailleurs beaucoup d’étudiants de France et multiplient les partenariats entreprises, telles McGill, HEC Montréal, l’école Polytechnique de Montréal ou encore les différents Cegep. Derrière chaque projet, il y a toujours un « petit quelque chose » d’originalité qui fait la “Montréal touch”, à l’image du Cirque du Soleil qui a réussi le pari de réinventer une tradition millénaire. Le quartier d’affaires abrite derrière ses buildings studieux une culture business Inventive et décalée, Montréal est devenu une référence mondiale en matiere de la créativité. Par exemple, Ubisoft prenait ses quartiers dans le Mile End, accolé au quartier d’affaires Il y a vingt ans. Aujourd’hui, il est tout simplement le grand développeur de jeux vidéo au monde. Pour l’événementiel, le studio de divertissement multimédia Moment Factory se démarque très nettement en comptant parmi ses clients Madonna, l’aéroport de Los Angeles ou la Sagrada Família. Les exemples sont là pour servir d’exemple aux jeunes pousses qui fleurissent dans le Mile End, ou dans le bien-nommé “Quartier de l’Innovation” (QI) installé à Griffintown. Aujourd’hui, Montréal a des airs de ville start-up…. avec 375 ans d’expérience. Adresses utiles Chambre de Commerce et d’Industrie Française au Canada 1455, rue Drummond, bureau 2B Montréal, Québec, H3G 1W3 (métro Peel) Tél : (001) 514 281-1246 / Fax : (001) 514 289-9594 info@ccifcmtl.ca www.ccifcmtl.ca Consulat Général de France à Montréal
bureau 1000
10ème étage
1501 Mc Gill Collège
Montréal (Qc) H3A 3M8 Tel : 514.878.4385 https://montreal.consulfrance.org/

Islande : escale de feu en terre de glace

Qu’il s’agisse d’une simple escale sur un vol transatlantique, ou d’un séjour plus abouti à la découverte des trésors de l’île, l’Islande a beaucoup à offrir aux voyageurs étrangers. Guide to Iceland, la plus grande plateforme de voyage en « terre de glace », propose différentes options pour explorer le pays le temps d’un séjour MICE pour les PME et ETI ou d’une simple escale.

Guide to Iceland
Le Cercle d’Or compte parmi les visites incontournables à l’occasion d’un voyage en Islande
Si proche, et déjà si loin… A 3h30 de Paris, l’Islande n’a pas encore livré tous ses secrets aux voyageurs français, invités aujourd’hui à découvrir cette destination unique le temps d’une escale pendant un déplacement professionnel, ou dans le cadre d’un événement MICE. Car contrairement aux apparences, la « terre de glace » n’est pas si isolée. Au contraire : l’aéroport de Keflavik est même devenu une étape courante sur les liaisons transatlantiques fréquentées par les voyageurs d’affaires. Et justement, la destination est capable de charmer cette clientèle pressée le temps d’une simple escale… En quelques heures à peine, le voyageur peut en effet partir à la découverte du Blue Lagoon, célèbre source d’eau chaude située seulement à 20 minutes de l’aéroport international. Une parenthèse idéale pour se détendre entre deux vols, dans un décor surnaturel… D’autres sources chaudes sont d’ailleurs accessibles non loin de Reykjavik, à l’instar du Secret Lagoon ou du spa géothermal Laugarvatn, comme l’explique Guide to Iceland sur son site dédié.
Blue Lagoon
Le Blue Lagoon, célèbre source d’eau chaude, est située à 20 minutes à peine de l’aéroport international
En s’accordant davantage de temps, les voyageurs sont justement invités à rallier Reykjavik, la capitale la plus septentrionale du monde, installée à 45 minutes à peine de l’aéroport. De la surprenante église Hallgrímskirkja à l’ultramoderne palais des congrès, « Harpa », en passant par Laugavegur, cette artère commerçante aux façades bariolées : cette capitale à taille humaine se prête parfaitement à une visite express… pour mieux convaincre le visiteur de s’accorder une véritable parenthèse islandaise !
Hallgrímskirkja
Capitale à taille humaine, Reykjavik peut donner lieu à une exploration d’une journée, de l’église Hallgrímskirkja au palais des congrès « Harpa », en passant par Laugavegur, cette artère commerçante aux façades bariolées
Car si l’Islande se prête aisément à une découverte express, la destination mérite à n’en pas douter une exploration plus aboutie. En quelques jours, le voyageur est donc invité à partir à la conquête du bien nommé « Cercle d’Or » et de sa célèbre trilogie : le parc national de Thingvellir – classé au patrimoine mondial de l’UNESCO – le bouillonnant site de Geysir, et la cascade de Gullfoss. Ce parcours en terre d’Islande, réalisable en une journée, offre de multiples options au voyageur, comme le détaille la plateforme Guide to Iceland : session motoneige sur glacier, balade à cheval ou même plongée dans la faille de Silfra…

Guide to Iceland : demandez le programme

Guide to Iceland, la plus grande plateforme de voyage en Islande, permet de comparer et de réserver ses activités directement en ligne, tout comme l’hébergement ou la location de voiture sur place, et ce en français.

Islande : escale de feu en terre de glace

Qu’il s’agisse d’une simple escale sur un vol transatlantique, ou d’un séjour plus abouti à la découverte des trésors de l’île, l’Islande a beaucoup à offrir aux voyageurs étrangers. Guide to Iceland, la plus grande plateforme de voyage en « terre de glace », propose différentes options pour explorer le pays le temps d’un séjour MICE pour les PME et ETI ou d’une simple escale.

Guide to Iceland
Le Cercle d’Or compte parmi les visites incontournables à l’occasion d’un voyage en Islande
Si proche, et déjà si loin… A 3h30 de Paris, l’Islande n’a pas encore livré tous ses secrets aux voyageurs français, invités aujourd’hui à découvrir cette destination unique le temps d’une escale pendant un déplacement professionnel, ou dans le cadre d’un événement MICE. Car contrairement aux apparences, la « terre de glace » n’est pas si isolée. Au contraire : l’aéroport de Keflavik est même devenu une étape courante sur les liaisons transatlantiques fréquentées par les voyageurs d’affaires. Et justement, la destination est capable de charmer cette clientèle pressée le temps d’une simple escale… En quelques heures à peine, le voyageur peut en effet partir à la découverte du Blue Lagoon, célèbre source d’eau chaude située seulement à 20 minutes de l’aéroport international. Une parenthèse idéale pour se détendre entre deux vols, dans un décor surnaturel… D’autres sources chaudes sont d’ailleurs accessibles non loin de Reykjavik, à l’instar du Secret Lagoon ou du spa géothermal Laugarvatn, comme l’explique Guide to Iceland sur son site dédié.
Blue Lagoon
Le Blue Lagoon, célèbre source d’eau chaude, est située à 20 minutes à peine de l’aéroport international
En s’accordant davantage de temps, les voyageurs sont justement invités à rallier Reykjavik, la capitale la plus septentrionale du monde, installée à 45 minutes à peine de l’aéroport. De la surprenante église Hallgrímskirkja à l’ultramoderne palais des congrès, « Harpa », en passant par Laugavegur, cette artère commerçante aux façades bariolées : cette capitale à taille humaine se prête parfaitement à une visite express… pour mieux convaincre le visiteur de s’accorder une véritable parenthèse islandaise !
Hallgrímskirkja
Capitale à taille humaine, Reykjavik peut donner lieu à une exploration d’une journée, de l’église Hallgrímskirkja au palais des congrès « Harpa », en passant par Laugavegur, cette artère commerçante aux façades bariolées
Car si l’Islande se prête aisément à une découverte express, la destination mérite à n’en pas douter une exploration plus aboutie. En quelques jours, le voyageur est donc invité à partir à la conquête du bien nommé « Cercle d’Or » et de sa célèbre trilogie : le parc national de Thingvellir – classé au patrimoine mondial de l’UNESCO – le bouillonnant site de Geysir, et la cascade de Gullfoss. Ce parcours en terre d’Islande, réalisable en une journée, offre de multiples options au voyageur, comme le détaille la plateforme Guide to Iceland : session motoneige sur glacier, balade à cheval ou même plongée dans la faille de Silfra…

Guide to Iceland : demandez le programme

Guide to Iceland, la plus grande plateforme de voyage en Islande, permet de comparer et de réserver ses activités directement en ligne, tout comme l’hébergement ou la location de voiture sur place, et ce en français.
Astana est la nouvelle capitale du Kazakhstan !! Ce pays qui pourrait nous paraitre tout droit sorti de l’ère soviétique est en réalité une destination business qui s’affirme comme majeure en Asie centrale. Astana est une ville d’affaires jeune en pleine croissance où les buildings poussent sur de grandes et larges avenues et qui affiche fièrement quartier d’affaires ultra-moderne. Faisons un petit tour vers une destination d’affaires promise à un bel avenir. Par Franck Boccara Astana est la capitale du Kazakhstan depuis seulement 20 ans puisqu’elle a remplacé Almaty et que le transfert de souveraineté touche à sa fin. Dopée par les ressouces énergétique du pays, Almata n’est pas une destination touristique mais bel et bien économique et elle est censée devenir rapidement un hub incontournable pour le business. C’est le pari de son président, Noursoultan Nazarbaïev, qui dirige ce pays dont le sous-sol regorge de richesses stratégiques telles que le pétrole, le gaz et l’uranium (ce qui d’ailleurs a déjà attiré les grands groupes français et nombre de PME et ETI dans leur sillage). En dotant Astana d’infrastructures réalisées par les plus grands noms de l’architecture mondiale, le président Nazarbaïev pose les jalons pour en faire un carrefour clé sur la nouvelle route de la soie. L’exemple le plus significatif est le site de l’exposition internationale de 2017 situé au sud du quartier d’affaires flambant neuf qui devrait servir maintenant de siège au « Astana Financial Center ». Pour s’y rendre, il faudra passer par la compagnie nationale Air Astana qui propose un vol direct, en partenariat avec Air France ou Lufthansa, à raison de trois fois par semaine depuis CDG (mercredi, vendredi et dimanche) et depuis cinq villes de province. Ces vols sont assurés par un boeing 757 qui adapte sa configuration au taux de remplissage en offrant tous les avantages qui ont permis à Air Astana d’être classée par Skytrax comme “meilleure compagnie d’Asie centrale” depuis 2012. De plus, l’aéroport d’Astana possède depuis un an un tout nouveau terminal dédié aux vols internationaux et équipé d’un salon business. l’aéroport sera très prochainement relié au centre-ville pas une liaison ferroviaire. Quelques adresses utiles
  • Chambre de commerce France-Kazakhstan
Centre d’affaires « Tarkhan », 5ème étage/bureau 507 4/1 rue Shevchenko, 010000, Astana tel  + 7 727 354 14 86 + 7 727 396 98 45 + 7 717 2 780 120 http://www.ccifk.kz/ direction@ccifk.kz , astana@ccifk.kz Ambassade de France 62, rue Kosmonavtov, 4ème étage, 010000 Astana 
Tél. +7 (7172) 795 100 www.kz.ambafrance.org
  • Consulat général de France à Almaty
99, rue Fourmanov, croisement rue Aiteke Bi, CP 050000 Kazakhstan
  • Centres d’affaires et de coworking
Regus :  Emerald Tower, 3rd Floor, 10 Kunayeva Street •  www.regus.fr Multispace : Tauelsizdik avenue, 34 ,  hello@multispace.kz  , www.multispace.kz Marden Coworking Centre Imanov : 19 “Business Home ”Alma-Ata”, 10eétage • Tél. : +7 7172 787 333  www.marden.kz
  • Service de traduction
Astana Translations : Tél. : +7 702 674 33 64 , rakhimzhanov@yahoo.com , www.astanatranslations.com Caspian Translation Services : Business Center Nursualet-1. 1st floor • Tél. : 8 701 532 08 08 , info@cspts.kz , www.cspts.kz
  • Location de limousines
Top Limo : K. Dina Str., 23/2 • Tél. : +7 701 728 57 41 , www.toplimo.kz Taxilo  : www.talixo.com
  • Salles de sport
Fitness Palace : Turan Ave 30 • Tél. : +7 717 256 7777 , www.fitness-palace.kz A2Fitness : Svetlyy, 11 Sarayshyq St • Tél. : +7 707 408 88 87 , www.a2fit.kz
  • APPART’HOTELS
Elite Apart-Hotel , av. Koshkarbaeva 10/1 • Tél. : +7 778 778 7874 , www.eliteapart.kz Northern Lights Apartment Hotel , Dostyk street, 5
Traditionnellement partenaire privilégié de la France, l’Afrique exerce aujourd’hui un attrait énorme auprès d’autres acteurs, tels que la Chine et l’Inde, qui gagnent des parts de marché. L’assureur-crédit Coface a publié une étude qui peut éclairer nos PME et ETI sur les défis et les opportunités de ce continent au fort potentiel. Par Serge De Cluny La France importe plus qu’elle n’exporte et sa balance commerciale est déficitaire…. On le sait et cette réalité est un peu différente concernant ce continent comme l’explique Ruben Nizard, économiste Afrique subsaharienne de la Coface :  « L’Afrique représente un poids marginal dans les échanges de la France. Mais le continent a aussi une position particulière car la France y entretient un excédent commercial« . D’après l’étude sur les échanges France/Afrique que la Coface a publié le 20 juin, Les parts de marché à l’exportation de la France en Afrique sont passées de 11% en 2000 à 5,5% en 2017, une chute de plus de 50% qui s’applique à tous les pays et à tous les domaines, en dehors du secteur de l’aéronautique. L’étude dresse un bilan décevant pour nos entreprises :  « La France est en recul là où elle était historiquement leader, comme les pays de l’Afrique francophone. Il n’y a qu’au Gabon où elle reste en tête même si, là aussi, elle perd des parts de marché ». Cette perte de vitesse des entreprises françaises profite principalement à deux grandes économies émergentes dans ce continent; la Chine et l’Inde qui récupèrent l’essentiel de nos parts de marché sans oublier voisine allemande qui a su également tirer partie du recul français en Afrique. Des secteurs en souffrance Il est triste de constater que les exportations françaises sont passées de 12 % en 2001 à 6% en 2017 dans le secteur des machines avec pour exemple le Sénégal où la chute des parts de marché françaises est allée jusqu’à atteindre les 25%. Nos entreprises font face à une concurrence qui vient de Turquie, d’Espagne mais surtout de Chine, dont la part a été multipliée par huit et représente aujourd’hui un quart des exportations totales de machines. Même tendance pour le secteur des appareils électriques et électroniques dans lequel la Chine se taille la part du lion aux dépends de la france en raflant l’essentiel des marchés du continent. L’inde, quant à elle, se distingue dans le secteur pharmaceutique où elle collectionne les parts de marché. Elle progresse dans le domaine des exportations pharmaceutiques vers l’Afrique de 5% en 2001 à 18% en 2017, notamment grâce à leur forte présence sur le segment des médicaments génériques à bas coût. Le marché automobile se retrouve partagé entre plusieurs acteurs, par le fait notamment de la réorganisation des chaines de production. La Chine et l’Inde, spécialisés dans les pièces détachées, sont devenus les principaux fournisseurs de l’Afrique. La France se retrouve au 7ème en 2017 alors qu’elle était au 3ème rang en 2001, tandis que d’autres pays européens progressent comme la Roumanie ou l’Espagne. Enfin, dans le secteur du blé, le recul français s’explique par une très mauvaise récolte et la concurrence de la Roumanie, de l’Ukraine et de la Russie qui en 2017 ont fourni plus de 40 % du blé total (contre seulement 3 % en 2001). Des perspectives malgré tout L’optimisme étant de rigueur sur pme-eti.fr, nous soulignons tout de même que le secteur aéronautique enregistre toujours de très bonnes performances en regroupant actuellement 33% de parts de marché alors qu’il n’en comptait que 12 % en 2001. D’ailleurs, l’étude de la Coface se garde bien de dresser un bilan fataliste pour nos entreprises: « Il est possible d’améliorer les exportations françaises en Afrique et même d’envisager un gain potentiel de 21 % dans 27 pays. Si ce potentiel avait été exploité, cela aurait représenté 1,5 point de parts de marché regagnées en 2017. Il aurait permis à la France d’atteindre son niveau d’avant la crise de 2008 et des subprimes« , assure Ruben Nizard. Par exemple, voici deux pays-clés sur lesquels les investissements français devront se porter, toujours selon l’assureur-crédit : l’Algérie et le Maroc qui représentent de véritables opportunités pour les exportations françaises dans de nombreux domaines. Parmi les autres pistes évoquées par la Coface, il faudrait renforcer la présence française dans des zones où elle est relativement faible, comme par exemple en Afrique de l’Est et en Afrique australe, et bien sur concentrer nos efforts vers les pays ayant un système légal d’origine française, comme les marchés d’Afrique francophone, notamment dans la bande sahélienne (Mali, Burkina Faso, Niger, Tchad).
Alors que les grands comptes utilisent depuis longtemps les nouvelles technologies pour gérer leurs déplacements professionnels, les PME et ETI ont commencé sérieusement à intégrer ces outils pour mieux maitriser leurs coûts voyages. Des pratiques que les acteurs du marché du voyage d’affaires ont bien accompagné et même anticipé en ajustant leurs solutions aux besoins des entreprises. Par Eric Orsini En effet, le segment de marché PME/ETI intéresse à juste titre les agences de voyages, les éditeurs de solutions de gestion de déplacement professionnel et de notes de frais ou encore les opérateurs de cartes qui font tout pour simplifier leurs offres en cumulant dans celles-ci le suivi et la gestion des dépenses avec les services apportés aux voyageurs de ces entreprises. La data au cœur de l’offre voyage La data va permettre aux entreprises de veiller au respect des politiques voyages d’affaires qu’elles ont instaurées pour maîtriser leurs coûts. Celle-ci va assurer une visibilité maximale aux responsables de la gestion des déplacements professionnels qui pourront alors intégrer toutes ces informations dans leur processus de décision. Les services proposés par les différents prestataires comprennent par conséquent l’ensemble de ces technologies. Il est recommandé de passer régulièrement par la même agence de voyages pour effectuer les réservations car celle-ci sera alors en mesure d’apporter à l’entreprise une visibilité plus grande par la transmission de données précieuses sur les déplacements des collaborateurs et sur les frais engendrés. Ces informations deviennent alors un outil de respect et de contrôle de la politique voyages. L’agence de voyage devient donc ce qu’on appelle un TMC (Travel Management Compagny) qui propose une offre de prestations exhaustive et centralisée (aérien, ferroviaire, hôtellerie, taxis ou autres loueurs de véhicules courte durée) ainsi que des tarifs compétitifs et négociés en donnant, par exemple, aux collaborateurs le choix entre l’hôtellerie classique et les modes alternatifs d’hébergement. Centraliser et automatiser les données pour mieux contrôler Reste, bien sur, à maîtriser également les frais réalisés en dehors de ces circuits de réservation. Là aussi, les prestataires ont du répondant en proposant des services d’automatisation de la chaîne de valeur qui, grâce à l’intégration d’une ou plusieurs solutions d’approbation du voyage ou d’intégration des notes de frais dans le système comptable vont représenter un atout clé dans l’efficacité des programmes voyages d’affaires. En effet, ces technologies automatisées et intégrées de gestion des déplacements et frais professionnels permettent de réaliser des économies substancielles sur le traitement de chaque note de frais qui peuvent aller jusqu’à 70%. Les collaborateurs peuvent ainsi réserver en ligne et gérer leurs dépenses depuis une interface unique, un gain temps interessant que permet la pré-saisie des notes de frais provenant des itinéraires réservés. La connexion établie entre l’outil de gestion des dépenses et le système du fournisseur de cartes corporate va permettre, en plus, de compléter ces notes de frais en important automatiquement les dépenses cartes. Il est même possible grâce à certains outils d’intégrer les justificatifs numérisés ou photographiés dans l’outil de gestion de notes de frais pour avoir une maitrise des dépenses hors cartes et hors outils de réservation. Optimiser les workflows de validation Ces systèmes répondent à une volonté constante de nos PME et ETI de toujours mieux gérer les leviers permettant l’évaluation de la dépense en amont. Ils contribuent à renforcer les workflows de validation et par là même de rendre le processus plus rapide tout en augmentant la visibilité sur les dépenses des collaborateurs. L’avantage étant qu’avant même la réservation, ces solutions vont permettre de contrôler les dépenses avant qu’elles soient effectuées via le circuit de réservation préconisé par l’entreprise. Ces workflows favorisent également la réduction des tâches de traitement pour les services financiers et comptables dans la mesure où des contrôles en amont sont automatiquement réalisés par l’intégration des règles de dépenses dans l’outil, ce qui réduit les erreurs de saisie et supprime les re-saisies et tout est intégré dans le même système depuis la dépense et la réservation initiale du voyage. Par ailleurs, le gain de temps dans le traitement des ordres de missions et des réservations est considérable. Le contrôle est ainsi optimisé et le risque de fraude sur les notes de frais ou de non-conformité est largement minimisé. En effet, la politique voyages, qui est à présent intégrée dans la solution, garantit que la conformité des réservations et des dépenses est en adéquation avec les règles établies. De plus, la visibilité sur le processus et les dépenses que cet outil procure permet de prévoir et de mesurer les ressources nécessaires, ce qui représente un vrai facteur de croissance pour l’entreprise. Centraliser le paiement Les cartes logées et des cartes virtuelles permettent un paiement centralisé qui a beaucoup d’avantages: il permet déjà une meilleure maîtrise des coûts mais aussi une amelioration du confort des voyageurs, une optimisation des processus et de la politique interne ainsi qu’une amélioration du pouvoir de négociation auprès des fournisseurs. La carte logée pour les réservations avant le déplacement devient de plus en plus fréquente mais c’est surtout le paiement virtuel qui s’impose comme outil ideal puisqu’il est utilisable sur toutes les familles d’achats et permet d’eviter les notes de frais en couvrant des dépenses qui ne le seraient pas par la carte logée .Il devient donc possible d’anticiper un maximum de dépenses avant le déplacement de leurs collaborateurs. Certaines de ces solutions permettent également de mieux gérer les dépenses réalisées hors des circuits de réservation préconisés par l’entreprise comme, par exemple, l’open booking qui est pratiqué par beaucoup de start-ups et d’entreprises dont la politique voyages n’est pas strictement établie. Toutes ses solutions sont proposées par les grands acteurs du voyages d’affaires (American express GBT, Egencia France, Concur France ou encore airPlus International) et la concurrence est vive ! A vous de comparer et de choisir le prestataire qui convient le mieux à vos besoin spécifiques.
Alors que les grands comptes utilisent depuis longtemps les nouvelles technologies pour gérer leurs déplacements professionnels, les PME et ETI ont commencé sérieusement à intégrer ces outils pour mieux maitriser leurs coûts voyages. Des pratiques que les acteurs du marché du voyage d’affaires ont bien accompagné et même anticipé en ajustant leurs solutions aux besoins des entreprises. Par Eric Orsini En effet, le segment de marché PME/ETI intéresse à juste titre les agences de voyages, les éditeurs de solutions de gestion de déplacement professionnel et de notes de frais ou encore les opérateurs de cartes qui font tout pour simplifier leurs offres en cumulant dans celles-ci le suivi et la gestion des dépenses avec les services apportés aux voyageurs de ces entreprises. La data au cœur de l’offre voyage La data va permettre aux entreprises de veiller au respect des politiques voyages d’affaires qu’elles ont instaurées pour maîtriser leurs coûts. Celle-ci va assurer une visibilité maximale aux responsables de la gestion des déplacements professionnels qui pourront alors intégrer toutes ces informations dans leur processus de décision. Les services proposés par les différents prestataires comprennent par conséquent l’ensemble de ces technologies. Il est recommandé de passer régulièrement par la même agence de voyages pour effectuer les réservations car celle-ci sera alors en mesure d’apporter à l’entreprise une visibilité plus grande par la transmission de données précieuses sur les déplacements des collaborateurs et sur les frais engendrés. Ces informations deviennent alors un outil de respect et de contrôle de la politique voyages. L’agence de voyage devient donc ce qu’on appelle un TMC (Travel Management Compagny) qui propose une offre de prestations exhaustive et centralisée (aérien, ferroviaire, hôtellerie, taxis ou autres loueurs de véhicules courte durée) ainsi que des tarifs compétitifs et négociés en donnant, par exemple, aux collaborateurs le choix entre l’hôtellerie classique et les modes alternatifs d’hébergement. Centraliser et automatiser les données pour mieux contrôler Reste, bien sur, à maîtriser également les frais réalisés en dehors de ces circuits de réservation. Là aussi, les prestataires ont du répondant en proposant des services d’automatisation de la chaîne de valeur qui, grâce à l’intégration d’une ou plusieurs solutions d’approbation du voyage ou d’intégration des notes de frais dans le système comptable vont représenter un atout clé dans l’efficacité des programmes voyages d’affaires. En effet, ces technologies automatisées et intégrées de gestion des déplacements et frais professionnels permettent de réaliser des économies substancielles sur le traitement de chaque note de frais qui peuvent aller jusqu’à 70%. Les collaborateurs peuvent ainsi réserver en ligne et gérer leurs dépenses depuis une interface unique, un gain temps interessant que permet la pré-saisie des notes de frais provenant des itinéraires réservés. La connexion établie entre l’outil de gestion des dépenses et le système du fournisseur de cartes corporate va permettre, en plus, de compléter ces notes de frais en important automatiquement les dépenses cartes. Il est même possible grâce à certains outils d’intégrer les justificatifs numérisés ou photographiés dans l’outil de gestion de notes de frais pour avoir une maitrise des dépenses hors cartes et hors outils de réservation. Optimiser les workflows de validation Ces systèmes répondent à une volonté constante de nos PME et ETI de toujours mieux gérer les leviers permettant l’évaluation de la dépense en amont. Ils contribuent à renforcer les workflows de validation et par là même de rendre le processus plus rapide tout en augmentant la visibilité sur les dépenses des collaborateurs. L’avantage étant qu’avant même la réservation, ces solutions vont permettre de contrôler les dépenses avant qu’elles soient effectuées via le circuit de réservation préconisé par l’entreprise. Ces workflows favorisent également la réduction des tâches de traitement pour les services financiers et comptables dans la mesure où des contrôles en amont sont automatiquement réalisés par l’intégration des règles de dépenses dans l’outil, ce qui réduit les erreurs de saisie et supprime les re-saisies et tout est intégré dans le même système depuis la dépense et la réservation initiale du voyage. Par ailleurs, le gain de temps dans le traitement des ordres de missions et des réservations est considérable. Le contrôle est ainsi optimisé et le risque de fraude sur les notes de frais ou de non-conformité est largement minimisé. En effet, la politique voyages, qui est à présent intégrée dans la solution, garantit que la conformité des réservations et des dépenses est en adéquation avec les règles établies. De plus, la visibilité sur le processus et les dépenses que cet outil procure permet de prévoir et de mesurer les ressources nécessaires, ce qui représente un vrai facteur de croissance pour l’entreprise. Centraliser le paiement Les cartes logées et des cartes virtuelles permettent un paiement centralisé qui a beaucoup d’avantages: il permet déjà une meilleure maîtrise des coûts mais aussi une amelioration du confort des voyageurs, une optimisation des processus et de la politique interne ainsi qu’une amélioration du pouvoir de négociation auprès des fournisseurs. La carte logée pour les réservations avant le déplacement devient de plus en plus fréquente mais c’est surtout le paiement virtuel qui s’impose comme outil ideal puisqu’il est utilisable sur toutes les familles d’achats et permet d’eviter les notes de frais en couvrant des dépenses qui ne le seraient pas par la carte logée .Il devient donc possible d’anticiper un maximum de dépenses avant le déplacement de leurs collaborateurs. Certaines de ces solutions permettent également de mieux gérer les dépenses réalisées hors des circuits de réservation préconisés par l’entreprise comme, par exemple, l’open booking qui est pratiqué par beaucoup de start-ups et d’entreprises dont la politique voyages n’est pas strictement établie. Toutes ses solutions sont proposées par les grands acteurs du voyages d’affaires (American express GBT, Egencia France, Concur France ou encore airPlus International) et la concurrence est vive ! A vous de comparer et de choisir le prestataire qui convient le mieux à vos besoin spécifiques.
En Côte d’Ivoire, la crise post-électorale de 2010 et ses conflits ethnico-religieux paraissent déjà bien loin. La stabilité politique, sous la présidence d’Alassane Ouattara, permet de renouer avec une image pacifiée et sécurisée et de rendre à Abidjan sa place d’eldorado de l’afrique de l’ouest. Les investisseurs étrangers, et notamment les PME et ETI françaises, sont au rendez-vous pour profiter des nombreux avantages qu’offre ce pays qui allie si bien business et bien-être. Par Eric Orsini Le pays a su entreprendre les réformes nécessaires pour favoriser un climat économique et social favorable aux affaires: procédures bureaucratiques allégées, fiscalité adaptée, protection renforcée des investissements, guichet unique de création d’entreprises… Les autorités ivoiriennes ont également fait du développement des infrastructures une de leur priorité absolue. La Côte d’Ivoire investit dans les infrastructures Un programme de grands travaux a ainsi été mis en route, notamment dans le secteur des transports : privatisation de la ligne de chemin de fer Abidjan-Ouagadougou, pont sur le fleuve Comoé, ou encore construction d’une route reliant la Côte d’Ivoire au Mali et au Burkina Faso. Autant d’efforts qui répondent de façon pragmatique aux besoins logistiques du pays. Conscients de ces avancées, les bailleurs de fonds réagissent positivement. La France a consentis à deux milliards d’euros de crédits à taux privilégiés, notamment pour financer le métro d’Abidjan. Côté americain, les États-Unis ont octroyé une aide de 500 millions de dollars afin de combattre la pauvreté et de stimuler la croissance. La Côte d’Ivoire a ainsi collecté facilement 1,25 milliard de dollars et 625 millions d’euros en euro-obligations (eurobonds). Le FMI continue pour sa part à débourser par tranches les 899,2 millions de dollars prévus au titre de ses programmes de crédit. Les investisseurs de retour en Côte d’Ivoire Affichant un insolent taux de croissance de 8,5 % en moyenne depuis 2012, la Côte d’Ivoire mise sur ses atouts pour attirer les investisseurs étrangers : au dynamisme de son économie s’ajoutent des ressources naturelles fécondes (agriculture, minerais) et la disponibilité d’une main-d’œuvre qualifiée et francophone. Des atouts mis en avant pour séduire le secteur privé, sur lequel reposent tous les espoirs et vers lequel les investissements des fonds publics sont de plus en plus dirigés. Le Fonds monétaire international (FMI) a ainsi récemment conclu un accord tri-annuel avec le gouvernement ivoirien afin de soutenir le Plan national de développement (PND 2016-2020), afin de soutenir le secteur privé en investissant dans les infrastructures et les secteurs sociaux, mais aussi à accompagner la transformation structurelle et l’industrialisation de l’économie ivoirienne. Le FMI devrait mettre sur la table pas moins de 300 milliards de FCFA (soit plus de 600 millions d’euros), pour un programme qui « aidera le gouvernement à poursuivre les grands succès atteints durant les quatre dernières années et renforcer les fondations d’une croissance forte et inclusive qui favorisera la réduction de la pauvreté  », selon un rapport de l’institution monétaire. Les institutions financières internationales ont donc confiance en la Côte d’Ivoire  ; et elles le prouvent. Non contente de figurer parmi les premières places financières d’Afrique de l’Ouest, Abidjan accueille désormais le siège régional de la Banque européenne d’investissement (BEI). Lors de l’inauguration du bureau, le président de la BEI, Werner Hoyer, a affirmé que le choix d’Abidjan « reflète le partenariat de confiance qui lie désormais la BEI à la Côte d’Ivoire pour une action accrue notamment en faveur des infrastructures durables et du soutien au secteur privé ». Signe de cette confiance réciproque, le pays sera le premier d’Afrique à recevoir un prêt de l’institution européenne. Le tourisme d’affaire Le pays se repositionne comme l’une des trois destinations business les plus attractives en Afrique. La Côte d’Ivoire séduit un nombre croissant de voyageurs depuis 2014. La contribution du secteur a atteint plus de 7,5 % du PIB en 2016 et devrait se poursuivre sereinement ces prochaines années. La capacité hôtelière des deux grandes villes du pays – Abidjan, sa principale porte d’entrée, et Yamoussoukro, sa capitale – est estimée à plus de 3500 chambres (3 étoiles et plus), mais devrait doubler de taille d’ici 2025. De nouveaux projets hôteliers – Sheraton, Ritz Carlton, Novotel entre autres – sont en train de voir le jour à Abidjan. Pour canaliser les investissements du secteur, le ministère du tourisme a annoncé la création de deux fonds, dont un souverain qui fonctionnera comme une garantie des prêts ou emprunts destinés aux projets d’infrastructures touristiques. D’ores et déjà, Abidjan a remporté une première palme : l’organisation, en novembre 2017, du cinquième sommet Union Africaine-Union Européenne. Des assises auxquelles ont pris part plus de 80 chefs d’États et de gouvernement et plus de 5 000 participants, tous logés dans les complexes hôteliers de la ville. Renseignez-vous ! Ce lien vous dirigera vers le service économique de l’ambassade de France sur place. CCI France-Côte d’Ivoire 18 BP 189 Abidjan 18 Côte d’Ivoire Tél. : (+225) 21 25 82 06 Fax : (+225) 21 24 10 00 Email : ccifci(at)ccifci.org Egalement sur CCI-International    
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