Bpifrance université vous donne rendez-vous devant vos écrans le mardi 28 mai à 11h pour un webinaire qui vous permettra de bien saisir l’impact de la loi PACTE et ses innovations pour les PME et ETI.
La loi PACTE (Plan d’Action pour la Croissance et la Transformation des Entreprises) qui a été adoptée par le Parlement de façon définitive le 11 avril 2019 a pour but de donner aux entreprises les moyens d’innover, de se transformer, de grandir et de créer des emplois. Le gouvernement a mis en oeuvre un véritable chantier qui a finalement permis de lever un certain nombre de verrous qui empêchent certaines PME françaises de se transformer en ETI.
Cette loi, portée par le ministre de l’Économie et des Finances, Bruno Le Maire, comporte plusieurs mesures qui vont considérablement simplifier la vie des PME et ETI. A travers ce webinaire, Bpifrance Université va permettre aux dirigeants de mieux connaitre les principales innovations de la loi PACTE comme par exemple :
Le nouveau positionnement du commissariat aux comptes dans les PME et ETI.
Le partage de valeur avec les salariés.
Où situer votre entreprise dans le triptyque intérêt social élargi/ raison d’être/ société à mission ?
Le fonds de pérennité est-il intéressant pour vous ?
Le rebond facilité : une nouveauté du droit des entreprises en difficulté.
L’EXPERT
Ce webinaire de Bpifrance Université sera animé par Bruno Dondero, spécialiste en droit des affaires, droit des sociétés et des marchés financiers. Agrégé des Facultés de droit, professeur à l’Ecole de droit de la Sorbonne (Université Paris 1), Bruno Dondero est également avocat associé de CMS Francis Lefebvre Avocats, en charge du département Doctrine juridique.
La France fait son entrée dans le top 5 des pays les plus attractifs pour les investissements étrangers, selon le cabinet A.T. Kearney. Cette étude très sérieuse menée par le célèbre cabinet de conseil américain montre clairement que la confiance des investisseurs dans l’économie française a connu une forte augmentation depuis l’élection d’Emmanuel Macron. Plus étonnant, cette attractivité n’a pas été impactée par le mouvement des gilets jaunes.
Par Serge de Cluny
Ces chiffres encourageants viennent confirmer le recensement effectué par Business France en avril qui indique qu’en 2018, 1.323 décisions d’investissements étrangers ont été prises contre 1.298 en 2017. Ce qui représente une moyenne d’environ 25 projets par semaine. Ces investissements ont permis de créer ou de maintenir 30.302 emplois en 2018 contre 33.489 en 2017 qui fut une année record pour la dernière décennie.
La confiance dans la bonne santé de l’économie française, qui « a fortement augmenté depuis l’élection d’Emmanuel Macron en 2017 », n’a pas été « affectée par le mouvement des gilets jaunes », souligne le cabinet qui estime que la France « reste compétitive ».
D’après ce même indice publié lundi par A.T. Kearney , 77% des entreprises prévoient d’augmenter leur niveau d’investissement pour les trois années à venir.
Les Etats-Unis toujours en tête
Pour la 7ème année consécutive, les Etats-Unis gardent leur place de leader du classement des pays les plus attractifs pour les investissements étrangers. Ce succès s’explique par son vaste marché domestique, sa fiscalité avantageuse et ses capacités technologiques, toujours d’après A.T. Kerney. Viennent ensuite l’Allemagne, le Canada et le Royaume Uni qui garde sa quatrième place en dépit de la perspective du Brexit. La France est la nouvelle venue dans ce « top 5 » avec une attractivité qui passe devant celle de la Chine.
Perte de vitesse de la Chine
La Chine, qui tenait la tête de ce classement entre 2002 et 2012, chute à la 7ème place, ce qui amène son classement au plus bas depuis l’existence de cet indice voilà 20 ans. Les principales raisons apportées par le cabinet de conseil pour comprendre cette dégringolade sont le ralentissement de la demande intérieure, le recul des exportations, les inquiétudes croissantes sur le niveau d’endettement des entreprises chinoises ainsi que l’impact de la guerre commerciale avec les Etats-Unis.
L’autre éclairage interessant que nous fournit A.T. Kerney dans ce classement est que « 22 des 25 premières places sont occupées par des pays développés ». L’explication, selon le cabinet de conseil, tient dans l’importance que les investisseurs accordent à la question « de la gouvernance et de la régulation ».
Vivatech 2019 a ouvert les portes de sa 4e édition ce matin à Paris Expo sous les auspices d’Emmanuel Macron. L’évènement, qui monte en gamme cette année, va voir défiler dans ses allées des stars de la tech et de la politique.
Par Franck Boccara
Vivatech 2019 va s’étendre cette année sur 56.000 m² et deux halls (1 et 2.2) avec 21 labs et 19 pavillons pays implantés dans ses allées. La tendance du salon 2019 sera de montrer les liens forts qui existent entre les grands groupes et les startups. Ces dernières ont d’ailleurs relevé plus de 100 challenges Open Innovation pour montrer l’étendue de leurs capacités.
Le casting des intervenants qui étaient ou seront présents sur la scène du Dôme de Paris est assez impressionnant: Tout d’abord, Le chef de l’Etat Emmanuel Macron a commencé sa visite par le stand de Bpifrance. « C’est le capital humain et le capital financier qui sont la clé de cette réussite », a-t-il déclaré. Par la suite, après une rencontre avec Ja Ma, le PDG d’Alibaba Group, le président a prononcé son discours et participé pendant près d’une heure à un échange de questions-réponses avec les créateurs de cinq start-ups françaises et européennes.
D’autres invités de marque ont marqué leur présence au salon Vivatech 2019 comme le Premier ministre canadien Justin Trudeau et Paul Kagame, président du Rwanda, qui dispose également d’un pavillon sur place. François Hollande, ancien président qui dirige aujourd’hui la fondation La France S’engage, sera sur place ainsi que le mathématicien Cédric Villani, député de l’Essonne. Plus surprenant, on verra aussi Usain Bolt, ancien champion olympique du sprint (qui vient presenter son service de trottinettes électriques) ou la légende des échecs Garry Kasparov, à présent ambassadeur de la solution antivirus Avast.
« Une des signatures de VivaTech, c’est la possibilité d’avoir des orateurs parmi les grandes stars de l’économie numérique, et parmi ceux qui feront l’économie numérique de demain », s’était félicité ce mois-ci Maurice Levy, le président du conseil de surveillance de Publicis et instigateur du salon. Encore une fois, il a réussi le pari d’attirer des noms prestigieux parmi lesquels nous pouvons compter Stéphane Richard (Orange), Ginni Rometty (IBM), Jimmy Wales (Wikipedia) mais également Mickey Mikitani (Rakuten) et Börje Ekholm (Ericsson).
Le président du géant chinois Alibaba, Jack Ma, a pris la parole lors d’une intervention de 45 min conjointe avec Maurice Lévy, sur l’apport d’internet dans la transformation de son groupe en leader de la tech mondiale. Jack Ma a encouragé les entrepreneurs à « penser au futur ». « J’ai passé mon temps à penser au futur et à écouter les plaintes », a-t-il déclaré. Pour lui, c’est le refus qui fait avancer un entrepreneur ; quand tout le monde vous dit non, c’est donc une chance pour réussir. A bon entendeur !
INFORMATIONS PRATIQUES
Horaires : Jeudi 16 mai : de 8h à 19h Vendredi 17 mai : de 8h à 19h Samedi 18 mai : de 9h à 18h
Comment y aller : Métro : ligne 12, Porte de Versailles, ou ligne 8, Balard. Tramway : T2 et T3a. Bus : 39 et 80 Vélib : station n°15049 – 2 rue Ernest Renand, station n°15107 – 42, boulevard Victor, station n°15061 – 12, square Desnouettes.
La réglementation sur l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes dans les entreprises évolue très rapidement ces derniers temps. Cet évènement de la CCI Paris Ile-de-France vous permettra de faire le point sur les obligations juridiques qui existent déjà selon vos effectifs et de connaitre les nouvelles obligations.
Afin de rendre plus effective l’égalité entre les hommes et les femmes dans le monde du travail, la loi interdit désormais l’accès à la commande publique aux entreprises qui ne respectent pas un certain nombre d’obligations en termes d’égalité professionnelle. Dans le même esprit, la loi impose désormais aux entreprises de prendre en compte l’égalité professionnelle dans un certain nombre de domaines, tel que la sécurité et la santé ou le dialogue social.
LE PROGRAMME
LE CADRE ET LES OBLIGATIONS EXISTANTES
Présentation de l’enjeu : évolution de la réglementation sur l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes intégrée dans un cadre plus large d’interdiction de discrimination / obligation d’égalité salariale etc.
Entreprises de plus ou moins 50 salariés : quelles obligations ?
LES NOUVELLES OBLIGATIONS
Calcul de l’index :
* Présentation de la méthode ;
* Eléments à prendre en considération ;
* Méthodologie qui permet de calculer l’index à partir du tableur ;
* Cas particulier (salariés absents ou arrivés en cours d’année, arrêts maladie, aménagements conventionnels).
Publication des résultats :
* Publication des résultats dans l’entreprise (méthode, éléments à publier, comment publier les résultats bons ou mauvais) ;
* Publication auprès des élus ;
* Publication auprès de l’administration ;
* Saction à défaut de publication.
Engagement d’atteindre l’égalité sous 3 ans :
* Négocier un accord collectif ou établir un plan d’action : enjeux, objectifs, modalités ;
* Sanction à défaut de négociation.
Durée :
4 heures
Session(s)
21 mai 2019
Intervenants
Anne LELEU-ETE, Lawyer, Avocate en droit du travail
Public
Dirigeants d’entreprise, responsables RH ou toute personne ayant en charge la gestion des RH dans l’entreprise, responsables juridiques.
Informations pratiques
CCI Paris 2 place de la Bourse 75002 PARIS Le mardi 21 mai de 9h00 à 13h
La réglementation sur l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes dans les entreprises évolue très rapidement ces derniers temps. Cet évènement de la CCI Paris Ile-de-France vous permettra de faire le point sur les obligations juridiques qui existent déjà selon vos effectifs et de connaitre les nouvelles obligations.
Afin de rendre plus effective l’égalité entre les hommes et les femmes dans le monde du travail, la loi interdit désormais l’accès à la commande publique aux entreprises qui ne respectent pas un certain nombre d’obligations en termes d’égalité professionnelle. Dans le même esprit, la loi impose désormais aux entreprises de prendre en compte l’égalité professionnelle dans un certain nombre de domaines, tel que la sécurité et la santé ou le dialogue social.
LE PROGRAMME
LE CADRE ET LES OBLIGATIONS EXISTANTES
Présentation de l’enjeu : évolution de la réglementation sur l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes intégrée dans un cadre plus large d’interdiction de discrimination / obligation d’égalité salariale etc.
Entreprises de plus ou moins 50 salariés : quelles obligations ?
LES NOUVELLES OBLIGATIONS
Calcul de l’index :
* Présentation de la méthode ;
* Eléments à prendre en considération ;
* Méthodologie qui permet de calculer l’index à partir du tableur ;
* Cas particulier (salariés absents ou arrivés en cours d’année, arrêts maladie, aménagements conventionnels).
Publication des résultats :
* Publication des résultats dans l’entreprise (méthode, éléments à publier, comment publier les résultats bons ou mauvais) ;
* Publication auprès des élus ;
* Publication auprès de l’administration ;
* Saction à défaut de publication.
Engagement d’atteindre l’égalité sous 3 ans :
* Négocier un accord collectif ou établir un plan d’action : enjeux, objectifs, modalités ;
* Sanction à défaut de négociation.
Durée :
4 heures
Session(s)
21 mai 2019
Intervenants
Anne LELEU-ETE, Lawyer, Avocate en droit du travail
Public
Dirigeants d’entreprise, responsables RH ou toute personne ayant en charge la gestion des RH dans l’entreprise, responsables juridiques.
Informations pratiques
CCI Paris 2 place de la Bourse 75002 PARIS Le mardi 21 mai de 9h00 à 13h
Comment protéger nos applications métier ? Les PME et ETI sont en plein dans l’ère de la transformation digitale : la virtualisation, le cloud et la conteneurisation se démocratisent. Les acteurs traditionnels de la finance ou de la santé voient l’émergence de jeunes concurrents plus agiles. Ces derniers offrent des nouvelles technologies qui leur permettent d’obtenir un avantage sérieux grâce à leur rapidité de mise sur le marché, leur flexibilité et leur résilience. Cette nouvelle donne oblige les entreprises établies à proposer elle aussi ces nouvelles technologies afin répondre à ce nouveau défi qui leur est lancé. Petit tour d’horizon…
Par Franck Boccara
Nous avons la chance de vivre un moment passionnant pour les technologies B2B mais qu’en est-il du moteur de l’entreprise, à savoir les applications métier critiques ? La valeur ajoutée d’applications cloud et SaaS n’est plus à prouver mais leur sécurité doit être réellement prise au sérieux sous peine de menacer la sécurité de l’organisation de façon plus générale.
Pour commencer, Il est primordial que le Directeur des Services Informatiques (DSI) puisse avoir l’oeil sur la totalité des informations qui circulent et sur les différentes applications installées sur les terminaux et machines des collaborateurs. De fait, en fonction du service et du secteur d’activité de la structure, chaque employé a sa propre liste d’applications critiques et de données associées qui sont susceptibles, en cas de compromission ou de perte, d’entrainer une interruption de l’activité plus ou moins longue. Cela peut être, par exemple, des applications de transaction financière contenant des données client sensibles, des ERP qui permettent de gérer les stocks d’entreprises ou d’hôpitaux ou même des transactions relatives à des dossiers de santé électroniques, qui renferment des informations personnelles de santé primordiales pour les prestataires de soins, les hôpitaux ou les compagnies d’assurance. Dans tous les cas, aucune application ne doit être utilisée à l’insu de l’entreprise ou de l’organisation.
Cependant, trop de responsables ne pensent pas à sécuriser leurs applications métier et continuent à prendre des risques. Ces imprudences peuvent nuire à leurs investissements financiers dans ces applications et à la pérennité de leur relation clients. En dépit de ces dangers, 70 % des entreprises interrogées ne pensent pas que la sécurité de ces applications soit une priorité. Il existe pourtant quelques actions simples qui renforceraient leur sécurité :
Cerner les applications les plus critiques : Le DSI doit avoir une visibilité totale sur les applications métiers utilisées et sur leur usage par les différents services pour définir précisément ce qui doit être sécurisé dans son réseau. Cela peut être des applications SaaS ou des applications personnalisées mises en place par le biais d’outils et de méthodologies DevOps.
Connaitre et sécuriser le cloud : Il faut absolument créer une stratégie cloud, un plan de migration et un planning avant toute opération de transfert des applications locales vers le cloud ou vers de nouvelles applications SaaS. De la sorte, une entreprise voulant effectuer ce basculement devra s’assurer de la collaboration avec les services concernés de façon transversale afin de garantir la sécurité des accès à privilèges.
Sécuriser l’accès des administrateurs qui gèrent les applications métier critiques : il faudra pour cela rassembler toutes les informations d’identification des administrateurs qui sont en charge des applications critiques identifiées et de définir un système de rotation des mots de passe. Ainsi, le DSI garanti leur renouvellement ainsi qu’une meilleure protection des compte. Il devra également isoler les sessions pour prévenir le vol de données d’identification. Cependant, bien souvent, les administrateurs de ces applications n’appartiennent pas à l’équipe informatique mais plutôt aux services des finances, du marketing ou des ressources humaines.
Pensez aux machines ! : En plus de la protection des comptes gérés par des membres de l’organisation, il ne faut pas oublier de sécuriser les informations d’identification et les comptes de service à privilèges que les machines et applications utilisent. Les informations d’identification codées en dur sont un facteur de risque conséquent pour les applications critiques et devront donc être éliminées.
La négligence des mesures de sécurité dans ce domaine peut avoir des conséquences amères : Effet négatif sur le chiffre d’affaires, dégradation de la relation client et risques commerciaux liés aux données compromises. Pour combler ces lacunes, les solutions de sécurité d’accès à privilèges permettent une vision globale de la protection de ces applications, elles aident le DSI à hiérarchiser et à protéger les applications et les données les plus importantes de son organisation et donc à en assurer le succès.
Chers entrepreneurs, vous voulez tout savoir sur l’instrument PME ? Venez assister au petit-déjeuner organisé par Bpifrance pour comprendre le fonctionnement de cet instrument et vous inspirer de l’expérience du lauréat 2018. Voici, en avant-goût, quelques éclairages sur le concept.
Par la rédaction
Cet instrument est destiné à tous les types de PME innovantes présentant une forte ambition de se développer, croître et s’internationaliser. Il sera dédié à tous les types d’innovation, y compris les innovations non-technologiques et de services. L’instrument PME. est conçu comme un « outil » de croissance qui pourra être porté par une seule PME.
La Commission propose pour la première fois d’accorder des financements à des projets portés par une seule PME qui devrait se traduire pour l’entreprise par la mise en œuvre de projets plus stratégiques (pas de concurrence et prise en compte uniquement des besoins des PME).
Pour son financement, tous les défis sociétaux et technologies génériques et industrielles doivent appliquer l’instrument consacré aux PME et allouer un montant à celui-ci, à hauteur de 7% sur l’ensemble de la durée du programme cadre.
L’instrument P.M.E. pourra soutenir l’entreprise par étape en fonction de la maturité du projet et accorder une subvention dans les deux premières étapes :
Phase 1 : évaluation du concept et de la faisabilité jusqu’à50000 euros, à partir d’un business plan démontrant la viabilité de développement d’un marché potentiel ;
Phase 2 : R&D, première application commerciale – démonstration de 0,5 million à 2,5 millions d’euros en subvention ;
Phase 3 : accord de prêts ou fonds propres pour la phase de commercialisation, avec un accompagnement dans cette démarche, par un réseau de professionnels européens financés par la Commission.
La PME peut bénéficier d’un accompagnement (« monitoring » et « coaching ») dans les trois phases du projet financé par la Commission européenne :
le réseau Entreprise Europe (EEN) présent dans l’ensemble des régions européennes dans les phases 1 et 2 de leur projet ;
une plate-forme d’experts sélectionnés au niveau européen pour la phase 3 du projet ainsi que le P.C.N. « soutien au financement à risques » ;
les P.C.N. thématiques et notamment le PCN PME et « soutien au financement à risques », consortium qui réunissent plusieurs structures ayant des relations avec les PME chargés de répondre aux questions des porteurs de projets sur la teneur des appels à propositions, de les conseiller sur l’ingénierie des projets européens (connaissance des règles de participation et différents instruments de financement d’Horizon 2020).
Venez vous inspirer du témoignage de Naim Kosayyer, Fondateur et PDG d’ANASEN, société lauréate de l’Instrument PME Phase 2 en 2018 : programme dédié aux PME innovantes avec un fort potentiel de croissance, leur permettant d’obtenir jusqu’à 2,5M€.
Programme de la rencontre
08h30 Accueil petit-déjeuner
09h00 Intervention Interview de Naim Kosayyer, fondateur et PDG d’Anasen par Laurence Faigenbaume, responsable de projets européens chez Bpifrance, point de contact national PME et membre du réseau enterprise europe
10h00 Questions-Réponses
Pour ceux qui le souhaitent, vous pourrez assister au lancement du projet Anasen et profiter d’un cocktail networking de 12h30 à 14h00
Les permanences INPI vous sont destinées ! Que vous soyez une entreprise ou un porteur de projet, vous avez certainement des questions concernant la protection de vos inventions, de vos noms de produits ou commerciaux.
Les permanences INPI sont à votre disposition pour un entretien individuel de 45 minutes avec un expert de l’INPI qui viendra répondre à vos questions en matière de propriété industrielle(brevets d’invention, marques, dessins et modèles…). L’INPI (Institut National de la Propriété Industrielle) propose un pré-diagnostic vous permet d’évaluer l’intérêt de la mise en place d’une politique de Propriété Industrielle dans votre entreprise et de détecter d’éventuels facteurs de risque, notamment en matière de contrefaçon.
Ces permanences ont pour but de fournir un premier niveau d’information.
La dernière édition du guide « Chefs d’entreprise, osez la commande publique » est désormais disponible. Cette version nous présente, entre autre, les dernières évolutions réglementaires.
Par Franck Boccara
Selon l’Observatoire économique de la commande publique, le montant total de la commande publique représente chaque année 75 milliards d’euro mais force est de constater que cette somme énorme ne profite malheureusement que trop peu aux PME. Pierre Pelouzet, médiateur des entreprises, estime que cette manne « devrait irriguer les territoires et profiter aux petites moyennes entreprises » et précise que « la part des PME dans la commande publique a chuté en trois ans, passant de 33 % à 29,4%des montants globaux ».
La principale raison de ce constat est très simple : les PME souffrent d’une méconnaissance des marchés publics. C’est précisément sous cet angle que le guide « Chefs d’entreprise, osez la commande publique » va éclairer les dirigeants de PME à travers sa nouvelle version. Ce livret clair et précis d’environ 30 pages a été réalisé en concertation avec la CPME et le Medef. Il répond à des problématiques concrètes que peuvent rencontrer les PME qui souhaitent s’intéresser davantage à ces marchés : où se renseigner sur les marchés publics, comprendre les documents d’un marché public, comment candidater etc… Pierre Pelouzet nous explique que « souvent, le dirigeant a du mal à comprendre ces marchés. Il y a donc beaucoup de termes à démystifier pour qu’il ait moins peur. De plus, plusieurs nouvelles mesures ont été récemment décidées pour aider les dirigeants de PME à aller vers la commande publique, mais elles restent méconnues » .
Le nouveau CCP (Code de la Commande Publique) qui est entré en vigueur le 1er avril 2019 apporte, parmis ses 1747 articles, quelques avantages réglementaires souvent décisifs pour les PME comme, par exemple, le fait que chaque donneur d’ordre public devra verser une avance de 20 %, au lieu des 5 % instaurés depuis longtemps. Bien sur, toutes ces incitations à l’implication des PME dans ces marchés ne seront réellement efficaces que lorsque celles-ci auront dépassé les obstacles et freins qui résident parfois dans leurs habitudes et leur culture d’entreprise.
Pour consulter et télécharger le guide « Chefs d’entreprise, osez la commande publique » CLIQUEZ ICI
Patronat et entreprises n’ont pas tardé à se mobiliser pour la reconstruction de Notre-Dame de Paris. Quelques heures après l’incendie, les fleurons de l’économie française ont déjà relevé le défi et réuni plusieurs centaines de millions d’euros pour la reconstruction de l’édifice.
Par Franck Boccara
Le Medef et CPME ont exhorté, ce mardi 16 avril, les entreprises françaises à participer à la reconstruction de Notre-Dame de Paris, partiellement détruite la veille par ce terrible incendie, grâce à leurs dons et leurs savoir-faire. « Si l’édifice est sauvé, la réparation des dégâts demandera des années de travaux et des moyens considérables. Le Medef appelle les entrepreneurs à se mobiliser pour contribuer à la reconstruction d’un des joyaux du patrimoine mondial à travers la collecte nationale de dons lancée par la Fondation du patrimoine », écrit le syndicat dans un communiqué.
« Le formidable élan de solidarité devra se traduire d’une part par la recherche de moyens financiers et d’autre part par la mobilisation de tous les talents présents dans de très nombreux corps de métiers » déclare la CPME.
L’AFEP (Association Française des Entreprises Privées) a, de son côté, appelé toutes ses 110 entreprises adhérentes à contribuer, en plus des initiatives de chacune d’entre elles, à la reconstruction de Notre-Dame de Paris, à hauteur d’une année de cotisation à l’association.
Les entreprises au rendez-vous
La famille Pinault, via sa société d’investissement Artemis, va contribuer à la reconstruction de la cathédrale à hauteur de 100 millions d’euros. « J’ai vu ma fille de 17 ans pleurer. Cela nous a pris aux tripes. C’est un défi incroyable, et dans les temps qui courent un geste symbolique. On sera beaucoup à participer, chacun en fonction de ses capacités » a déclaré le président François-Henri Pinault sur Europe 1 mardi matin.
L’Oréal, et la famille héritière Bettencourt Meyers, se sont engagé sur un don de 200 millions d’euros pour la cathédrale, dont 100 millions d’euros par la fondation Bettencourt Schueller.
Le groupe LVMH et la famille Arnault ont aussi annoncé ce mardi qu’ils contribueraient à la reconstruction de Notre-Dame de Paris à hauteur de 200 millions d’euros en écrivant dans un communiqué « La famille Arnault et le groupe LVMH, solidaires de cette tragédie nationale, s’associent à la reconstruction de cette extraordinaire cathédrale, symbole de la France, de son patrimoine et de son unité »
Total, par la voix de son PDG Patrick Pouyanné, s’engage pour sa part à une contribution de 100 millions d’euros pour la reconstruction de la cathédrale.
Le groupe Bouygues va faire un don de 10 millions d’euros et ses dirigeants Martin et Olivier Bouygues ont annoncé que le géant du batiment va s’engager dans un mécénat de compétences en prenant part aux rénovations de l’édifice.
La famille Decaux se dit, dans un communiqué, prète à poser 20 millions d’euros via JCDecaux Holding, pour participer à la restauration du monument.
Marc Ladreit de Lacharrière, homme d’affaires milliardaire à la tête de la société d’investissement Fimalac, a également déclaré vouloir s’associer à «l’effort national de reconstruction» par un don de 10 millions d’euros «pour la restauration de la flèche, symbole de la cathédrale».
Les banques ont aussi répondu présentes à l’appel : Le Crédit Agricole Île-de-France annonce 5 millions d’euros, la Société générale et BPCE donneront chacune 10 millions et le Crédit Mutuel ainsi que BNP Paribas ont également fait des promesses de dons sans préciser le montant.
CapGemini, le géant informatique tricolore s’est dit «solidaire de l’effort national» et a annoncé une participation d’un million d’euros pour contribuer à la reconstruction de Notre-Dame. Michelin, Vinci, et Air Liquide ont également déclaré leur volonté de participer à l’effort de financement, mais sans indiquer pour l’instant le montant tout comme le groupe immobilier Duval.
Unir les forces pour accompagner le développement des entreprises et créer des opportunités de business : telle est la vision partagée par la CCI Pari…
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