...

SME-ETI

L’industrie du futur s’oriente vers l’intelligence artificielle, la robotisation, la réalité virtuelle, l’impression 3D… l’industrie du XXIe siècle est au cœur d’une véritable révolution technologique. Comment se préparer à ces mutations ? Quelles seront les solutions incontournables de l’entreprise connectée de demain ? Pour échanger sur ces thématiques et découvrir les nouveaux visages de l’industrie du futur, la CCI Paris Île-de-France vous invite à participer, le 17 décembre, à une grande rencontre sur le thème : Industrie du futur, une réalité d’aujourd’hui.
En Ile-de-France, tous les dirigeants de PME et ETI industrielle ont à relever les mêmes enjeux : améliorer leur performance opérationnelle, intégrer des technologies numériques… afin de garder une longueur d’avance sur les autres acteurs du marché. La CCI Paris Ile-de-France met donc en oeuvre plusieurs actions Industrie du futur auprès des entreprises franciliennes. Avec l’opération Offreurs de solutions, initiée par l’Alliance Industrie du Futur, l’objectif est de recenser les offreurs de solutions d’Ile-de-France afin d’alimenter le répertoire national permettant aux PME d’identifier des partenaires pour les accompagner dans leur projet de transformation industrielle. 134 offreurs de solutions franciliens sont à ce jour répertoriés. Cofinancé par l’Union européenne (Feder), le programme Usine Numérique Ile-de-France permet à des entreprises d’expérimenter des logiciels (les utilisateurs étant accompagnés par une formation) ou des technologies par la réalisation de démonstrateurs. Le Comité Industrie du Futur Ile-de-France, lancé en mars 2018, fédère quant à lui 9 organisations professionnelles, 3 centres techniques et les CCI d’Ile-de-France, afin de favoriser la transversalité interprofessionnelle dans l’intérêt des PME industrielles. Enfin, pour permettre aux entreprises de se projeter vers l’industrie du futur et d’en découvrir les nouveaux visages, la CCI Paris Ile-de-France organise, en partenariat avec la Région Ile-de-France, une grande rencontre à Paris, le 17 décembre prochain de 13h30 à 20h. Tous les acteurs de l’industrie du futur ainsi que les industriels franciliens y sont attendus. Au programme :
  • 9 ateliers de 20 minutes sur des thèmes tels que : formation aux métiers du futur, intelligence artificielle, fabrication additive, cybersécurité, robotisation, parcours d’accompagnement & aides financières…
  • 16 démonstrations proposées par 37 offreurs de solutions,
  • une table-ronde sur les enjeux et perspectives de l’industrie du futur,
  • des stands animés par les partenaires de la manifestation : AIF, Direccte/BPI, Région IDF, pôles de compétitivité, Comité industrie du futur IDF, CCI Paris Ile-de-France et ses écoles.
Pour consulter le programme détaillé et s’inscrire
Adresse : 27, avenue de Friedland, 75008 PARIS
Accès : Métro/RER Charles de Gaulle-Etoile
CONTACT
L'épargne salariale en temps d'inflation
L’épargne salariale va voir ses règles modifiées par la loi Pacte qui, bien que pas encore votée, va dans le bon sens pour les salariés. Ceux-ci peuvent considérer cette loi comme une bonne nouvelle car elle apporte des choses extraordinaires pour doper l’épargne salariale dans les entreprises. Petit tour d’horizon rapide…. Par Eric Orsini De fait, le Plan d’action pour la croissance et la transformation des entreprises (Pacte) est un projet de loi du Gouvernement d’Édouard Philippe qui a pour but de booster la croissance des entreprises françaises et dont un volet va réformer les mécanismes d’épargne salariale. L’épargne salariale, on le sait, est un système d’épargne collectif qui est mis en place au sein de certaines entreprises. Ce système va consister à verser à chaque salarié une prime liée à la performance de l’entreprise (intéressement) ou qui représente une quote-part de ses bénéfices (participation). Ces sommes attribuées peuvent être versées directement au salarié si il le désire ou être déposées sur un plan d’épargne salariale (abondement dans un PEE ou PERCO).
Le projet de loi Pacte, qui a été présenté en juin et voté en septembre, affiche un objectif majeur : celui de favoriser l’épargne salariale. À condition d’être appliquée, cette réforme prévoit de moins taxer les TPE et les PME si elles reversent une partie de leurs bénéfices aux salariés qui pourront ainsi toucher un intéressement ou une participation. Cette exonération du forfait social va concerner aussi l’abondement. de ce fait, les entreprises de moins de 50 salariés vont être incitées à augmenter les versements sur les plans d’épargne salariale ou sur les Perco (Plan d’épargne retraite collectif).
De plus, la loi Pacte pourrait avoir un effet sur d’autres éléments. Elle est destinée tout d’abord à inciter au développement de la gestion pilotée de l’épargne retraite, afin de la rendre plus productive. Le projet de loi prévoit par ailleurs un meilleur transfert entre les différents produits, notamment si le salarié change d’employeur. On peut y voir également une plus grande liberté de sortie qui sera accordée aux salariés. En effet, ces derniers pourront, une fois à la retraite, toucher leur épargne plus facilement et sous la forme qu’ils choisiront : capital, rente viagère ou mixte.
HALLES PRESTIGE fournit les restaurants, hôtels, traiteurs et boulangeries en fruits et légumes en leur apportant un service adapté précisément à leurs besoins. Basé au M.I.N de Rungis, HALLES PRESTIGE fait partie des leaders dans ce domaine en France avec plus d’un millier de clients sur la région parisienne. Success story d’une PME et de son dirigeant, Michael SARFATI
 
Comment obtenir une labellisation Medicen Paris Région avec à la clé de 100 000 à 500 000 euros d’aides qui sont destinées au développement d’innovations dans les PME et ETI d’Île-de-France ? L’appel à projets s’adresse en priorité aux PME et ETI qui souhaitent déposer des projets d’innovation en santé et dans le numérique. Voici toutes les conditions pour présenter une demande de labellisation.
Pour profiter de l’accompagnement du pôle, il faudra déposer votre lettre d’intention avant le 21 novembre 2018 à 12h00. Voici les documents nécessaires pour le faire :
Téléchargez le texte d’appel à projet Téléchargez la lettre d’intention à envoyer à Medicen Téléchargez la fiche synthétique à envoyer à Medicen

DEPOSEZ votre demande de labellisation Medicen

Innov’up Leader PIA est un appel à projets lancé par l’État et la Région Île-de-France pour soutenir l’innovation dans 7 filières stratégiques franciliennes. Opéré par Bpifrance, il est ouvert à compter du 20 mars. Les filières éligibles L’appel à projets s’adresse prioritairement aux PME dont les projets d’innovation contribuent au développement des filières stratégiques de la Région Île-de-France :
  • Santé (dont biotechnologies, dispositifs médicaux, silver économie) ;
  • Numérique (dont big data, calcul haute performance, infrastructures numériques, intelligence artificielle, internet des objets, logiciels).
  Par ailleurs, des ETI pourront également être éligibles si leurs projets d’innovation s’inscrivent dans cinq thématiques spécifiquement ciblées :
  • l’industrie du futur,
  • l’intelligence artificielle,
  • la robotique.
  Des dates cruciales à retenir et à ne pas manquer
  • 21 novembre 2018 12h : Date limite de réception des lettres d’intention (en pièce jointe à ce mail)
  • Du 22 novembre au 14 décembre 2018 : Rencontre avec un référent pour donner avis + recommandations d’amélioration
  • 14 décembre 2018  14h : Date limite de réception de la fiche synthétique
  • 17 décembre & 18 décembre 14h-19h00 : Audition de labellisation devant le comité d’évaluation des projets de Medicen

Pour plus d’information, n’hésitez pas à contacter l’Equipe Projets R&D:
De notre côté, nous souhaitons bonne chance à tous les entreprises qui présenteront leur candidature !
Le Lab Santé Île-de-France organisera son grand événement annuel le 7 décembre 2018 de 8h30 à 12h30 à la CCI Paris Île-de-France. Ce grand rendez-vous aura pour fonction de faire le point sur les dernières avancées en matière d’innovation dans tous les secteurs de la santé. L’événement, qui est organisé en partenariat avec l’ARS Île-de-France, la CCI Paris Île-de-France et Medicen Paris Région, s’adresse aux établissements de Santé, aux opérateurs médico-sociaux, aux professionnels de Santé, aux entrepreneurs et aux investisseurs. 

Au Programme

Le programme de cette matinée exceptionnelle, prévue de 9h00 à 12h30, s’articulera autour de plusieurs thèmes Animatrice : Linda Labidi, Journaliste économique, Forbes

8h30 Accueil café

9h00 Ouverture

  • Didier Kling, Président de la CCI Paris Île-de-France
  • Aurélien Rousseau, Directeur général de l’ARS Île-de-France

Pitchs

  • Pr Ronan Roussel, Chef de service de diabétologie-endocrinologie et nutrition de l’hôpital Bichat
  • Serge Picaud, Directeur de recherche à l’Inserm, Hôpital Saint-Antoine
  • Jacques Léglise, Directeur général de l’hôpital Foch
  • Samir Medjebar, Directeur du développement de Bioserenity
  • Pierre Lebon, Directeur du centre de ressources et d’expertise du RESAH
  • Marylène Vicari, Co-fondatrice du Liberté Living Lab
  • Guillaume Wasmer, Directeur du Groupe hospitalier Nord Essonnes
  • Échanges avec la salle

Table ronde : Article 51, vers des expérimentations innovantes en santé

  • Natacha Lemaire, Rapporteure générale du comité technique et du conseil stratégique de l’innovation en santé
  • Yannick Le Guen, Directeur de la stratégie, ARS Île-de-France
  • Daniel Szeftel, Co-fondateur de SEMEIA
  • Jean Bourhis, Directeur des opérations institutionnelles et économiques, Novartis
  • Porteur du Projet Epidaure-CDS

12h15 Clôture – Trois questions à…

  • Pr Jean-François Dhainaut, Directeur du Lab Santé Île-de-France
  • Christian Lajoux, Président de Medicen Paris Region
  Pour toutes les PME et ETI dant l’activité fait partie de ce secteur ou qui sont intéressées par ces marchés et qui souhaitent assister au plus grand événement sur l’innovation en Santé de cette fin d’année ?Inscrivez-vous vite !
Adresse : 27 avenue de Friedland 75008 Paris
Investir au Nigéria….pourquoi pas ! Avec plus de 190 millions d’habitants et l’émergence d’une classe moyenne à fort pouvoir d’achat, Le Nigéria est la première économie du continent africain. Le pays regorge d’opportunités pour les PME et ETI françaises. Bpifrance vous propose de venir les découvrir le 14 novembre prochain. Un rendez-vous à ne pas manquer pour mieux connaitre l’Afrique anglophone. Le programme
  • Mot d’introduction
Paul-François Fournier, Directeur de l’Innovation Bpifrance
  • Table-ronde 1 : Panorama de la culture des affaires au Nigéria
Pierre-Ange Savelli, Adjoint au Chef du bureau « Afrique-AFD » – Direction générale du Trésor, Ministère de l’économie et des finances Wilfrid Lauriano da Rego, Associé – KPMG Abimbola Akeredolu, Associée – Cabinet Banwo-Ighodalo
  • Table-ronde 2 : Expériences et Opportunités de marché au Nigéria
Sébastien Etcheverry, Responsable MOAD Shipping & Manutention Conventionnelle – BOLLORE, Maxime Boadji, CEO et Cofondateur – Yellow Relay Marcel Hochet, Président et Fondateur – Greenelec
  • Table ronde 3 : Accompagnement/financement pour les entreprises françaises
Pedro Novo, Directeur des financements export – Bpifrance, Hakim Khelifa, Directeur Associé – Africinvest Jonathan Sinivassane, Directeur Business Development India, Middle East and Africa, International Investment Promotion – Paris&co

Informations pratiques

  • Événement  Visez le Nigeria
  • Date : 14 novembre 2018
  • Lieu : Bpifrance le Hub
  • Adresse : 6-8 bd Haussmann 75009 Paris
  • Horaires : 8h45 -14h
  • Inscription obligatoire 
Les relations économiques France-Nigéria Avec 3,6 Mds€ d’échanges bilatéraux en 2017, le Nigéria demeure le premier partenaire commercial de la France en Afrique subsaharienne (soit 20% de nos parts de marché en Afrique sub-saharienne en 2017). Nos exportations (1,07 Md€ en 2017) sont diversifiées : produits pétroliers raffinés, préparations pharmaceutiques, équipements mécaniques, matériel électrique, électronique et informatique et produits des industries agroalimentaires. Nos importations (2,48 Mds€ en 2017) sont principalement composées de produits pétroliers. Le Nigéria maintient son rang de 5e fournisseur d’hydrocarbures naturels de la France et le 1er d’Afrique subsaharienne. 
Le stock d’IDE français au Nigéria est de 6,5 Mds€ en 2016 (Banque de France) soit le 2ème stock d’IDE français en Afrique derrière le Maroc.
Le service économique régional, qui est basé à Abuja et Lagos (http://www.ambafrance-ng.org/La-Mission-economique), accompagne les entreprises françaises voulant investir au Nigéria avec l’aide du bureau Business France (http://export.businessfrance.fr/nigeria/export-nigeria-avec-notre-bureau.html), qui a ouvert à Lagos en janvier 2016. Environ 120 entreprises françaises sont actives au Nigéria.
La bonne santé des dirigeants et cadres de PME et ETI est indéniablement fonction de certaines caractéristiques inhérentes à leur statut et à leur personnalité comme l’optimisme, la passion, l’endurance, la sensation de maîtriser son destin ou celle de l’auto-efficacité. Ces éléments dits « salutogènes » sont forcéments accompagnés de faces et de phases plus délicates qui impactent la santé physique et mentales de nos chefs d’entreprises et cadres. Ces pathologies sont-elles différentes de celles du reste de la population ? Voyons cela de plus près. Par Franck Boccara Tout d’abord, le premier constat concerne la santé mentale. Il désigne, sans surprise, le stress en tête des maux qui touchent les dirigeants. En effet, selon une étude publiée en avril par MMA fondation entrepreneurs et OpinionWay réalisée sur sur 1504 chefs d’entreprises, 58% d’entre eux estiment que le stress est responsable de la détérioration de leur état de santé. Pour ce qui est des raisons de ce stress, ceux-ci désignent le manque de trésorerie (59%), devant les incertitudes sur l’avenir (55%) et la surcharge de travail (56%). Même si la fréquence de ces maux est en baisse par rapport à l’année 2016, de nombreux chefs d’entreprises se plaignent notamment de sautes d’humeur (45%), de troubles du sommeil (44%) ou encore de fatigues inhabituelles (40%). En ce qui concerne la santé physique, les douleurs les plus fréquentes chez les dirigeants et cadres d’entreprises sont le mal de dos (57%) et les douleurs articulaires (48%), 27% se plaignent de migraines et 22% de troubles oculaires. Pour tempérer ces chiffres, il faut préciser que les deux derniers symptomes peuvent provenir du temps passé devant des écrans et que, surtout, 25% des dirigeants déclarent ne souffrir d’aucun de ces maux. En revanche, le sentiment de solitude allié à la fatigue constituent les principaux facteurs de risque pour la santé des entrepreneurs. Un chef d’entreprise dort en moyenne 6 h 30 par nuit (contre 7 h pour les salariés) et ne prend que 3 à 3,5 semaines de vacances par an. Il est clairement prouvé qu’un sommeil de mauvaise qualité impacte directement les performances des PME et ETI puisqu’il diminue les aptitudes entrepreneuriales des dirigeants et cadres telles que leur créativité ou leur capacité à saisir des opportunités. À trop se démener, sans compter les heures, ils vont négliger leur santé, voire se mettre en danger.

Pour conclure sur une note optimiste, force est de constater que les problèmes de santé des dirigeants et cadres d’entreprises ne diffèrent pas de manière significative du reste de leurs concitoyens, notamment par rapport à leur gravité. Si il fallait résumer la situation, on pourrait aisément arriver à la conclusion que ceux-ci font partie des personnes dont la santé est bonne. Cependant, les dirigeants exercent des activités dont le propre est de relever des défis et d’affronter des moments souvent anxiogènes, il est donc souhaitable d’effectuer régulièrement des check-ups pour prévenir et cerner les risques et pouvoir ainsi se consacrer sainement aux affaires.

Le bien-être au travail est devenu une notion fondamentale dans le monde des ressources humaines… et pour cause, nous passons en moyenne 39 heures chaque semaine dans nos bureaux ou usines, c’est à dire environ 12% de notre vie. Il devient évident de tout faire pour rendre ce quotidien agréable et supportable. Alors que le phénomène de « burn out » est de plus en plus fréquent, voyons comment l’éviter en conjugant bonheur et emploi dans nos PME et ETI.

Selon une étude récente réalisée par RegionsJob, 3 Français sur 4 seraient disposés à accepter un emploi près de chez eux, même si cela entrainait une baisse de revenu. Pourquoi ? Tout simplement pour trouver un équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle afin de mieux s’épanouir au quotidien. Concernant le temps de transport entre le lieu d’habitation et le travail, les salariés français sont prêts à faire entre 15 et 45 minutes de route si le poste répond à leurs attentes. Selon eux, ce trajet permet de relâcher la pression avant d’arriver chez soi et c’est l’occasion d’écouter la radio ou la musique, d’ouvrir un livre ou un journal pour se changer les idées. Finalement, le bien-être au travail influence nos journées même après avoir débauché !

La sieste sur le lieu de travail pour plus d’efficacité

Contrairement à ce qu’on pourrait croire , la sieste n’est pas seulement réservée aux enfants en bas âge, aux vacanciers ou aux personnes âgées. Plusieurs études ont prouvé qu’une sieste de 15 à 20 minutes à la pause du midi aurait des effets bénéfique pour les salariés et leur corps. Au niveau planétaire, un quart des habitants fait la sieste sur son lieu de travail. Qu’attend la France pour se reposer ? Et si nous instaurions la sieste collective comme à l’école maternelle ? Inutile de trouver l’excuse du lit et de la couette, il suffit d’un coin de table et d’une chaise confortable pour se laisser aller quelques instants. Que vous soyez peintre, soudeur, comptable ou conducteur de travaux, rien ne vous empêche de vous arrêter quelques instants, il suffit de vous organiser ! N’oubliez pas que le bien-être au travail n’est atteignable que si vous êtes en pleine forme. A tout âge, la sieste a des effets très positifs sur le corps et l’esprit ; clairvoyance, perspicacité, bonne humeur, calme, curiosité, concentration et facilité d’apprentisseage sont autant de bénéfices générés par quelques minutes de repos.

Le stress au travail, un défi de taille pour les dirigeants

D’après une récente étude réalisée par l’ADP, 20% des salariés français souffrent de stress lié à leur emploi et un tiers d’entre eux se questionnent sur un potentiel changement de société pour pallier ce mal-être. Plus inquiétant encore, 34% des personnes interrogées estiment que leurs employeurs ne portent pas assez d’intérêt à leur bien-être au travail. Si les angoisses professionnelles ne sont pas une maladie et permettent parfois de faire de grandes choses, il ne faut pas qu’elles deviennent incontrôlables, précise le président de l’ADP. De nombreux métiers à responsabilités ou à risques sont source d’angoisses, de frustration, d’un manque de concentration et de motivation. Par conséquent, on observe rapidement une baisse de productivité et une hausse de l’absentéisme qui impactent les performances d’une entreprise. Le mot « burn out » est au cœur de nombreux débats : s’agit-il oui ou non d’une maladie professionnelle ? A ce jour, les projets de loi allant dans ce sens ont été refusés mais cela ne veut pas dire qu’il n’existe aucune solution pour ressentir du bien-être au travail. C’est aux entreprises de mettre en place des mesures concrètes de bien-être au travail. Formations, moments d’échanges, ateliers de détente sont autant de réponses faciles et peu coûteuses à instaurer.

Etre heureux au travail grâce à un management efficace et dynamique

Les salariés ont de plus en plus besoin de se sentir utiles dans ce qu’ils font au quotidien. Un bon manager doit alors être reconnaissant auprès de ses équipes, parce qu’elles sont avant tout constituées d’êtres humains qui ont un cœur, une estime de soi et s’investissent dans des projets communs. D’ailleurs, féliciter un salarié n’a jamais fait de mal, bien au contraire. Alors, chers managers, pensez à remercier vos collègues pour leur engagement ! Sachez qu’un mauvais management impacte considérablement la productivité et la motivation des employés. Et si, finalement, il suffisait de se dire les choses pour trouver des solutions pérennes ? En France, la hiérarchie est encore un frein aux échanges, même si les choses commencent à changer petit à petit avec l’apparition des start up par exemple. Que vous soyez responsable d’équipe, chef de chantier ou encore ingénieur informatique, vous managez des équipes et devez prêter attention à leur bien-être au travail. Il est parfois difficile pour certains salariés de parler à son manager des difficultés rencontrées, notamment parce que cela peut être perçu comme un aveu de faiblesse. Prenez le temps de formuler vos besoins et vos préoccupations pour que votre manager vous aide à trouver des solutions.

Régler le problème des inégalités salariales entre hommes et femmes

Le Gouvernement d’Emmanuel Macron s’intéresse de près à l’égalité des salaires entre les femmes et les hommes. Si ce constat est loin d’être nouveau, il est certain que notre société a encore de gros efforts à fournir ! En moyenne, les travailleurs masculins touchent 9% de plus que leurs collègues féminines. L’objectif est donc de proposer le même salaire lorsque deux salariés de sexes différents occupent le même poste et ont les mêmes compétences professionnelles. Reste à savoir comment cela sera appliqué aux entreprises de façon à ce qu’elles soient obligées de jouer le jeu de la transparence et de l’égalité.

Proposer des perspectives d’évolution concrètes et atteignables au cours de sa carrière

Dès le plus jeune âge, on ne cesse de nous répéter « tu verras, on se forme tout au long de sa vie ». Oui, si les entreprises proposent des formation prfessionnelles répondant aux besoins de leurs salariés ! Misez sur l’épanouissement des équipes pour s’assurer qu’ils resteront longtemps à leur poste. Il est fréquent que le manque de perspectives d’évolutions internes soit très souvent un élément déclenchant une recherche active d’emploi. Pour éviter cela, les managers et dirigeants d’entreprises doivent ouvrir le dialogue afin d’analyser quelles sont les problématiques et quelles solutions peuvent être trouvées.

Le bien-être au travail réside-t-il dans l’aménagement des horaires ?

La question du bien-être au travail est de plus en plus liée au temps passé en entreprise. Du lundi au vendredi, le week-end voire les jours fériés, difficile de trouver un équilibre en vie professionnelle et vie personnelle. Face à ce constat qui impacte considérablement la motivation et l’investissement des salariés et intérimaires, le télétravail est au cœur des réflexions de nombreuses sociétés en France. Quelles sont ses conséquences sur le développement de l’entreprise ? Qui peut en faire la demande ? Pour faciliter les démarches des salariés, Muriel Pénicaud, ministre du Travail, a créé un « droit au télétravail ». Tous les salariés ont désormais la possibilité de demander à bénéficier de ce dispositif. En cas de refus, l’employeur a l’obligation de justifier son choix auprès du salarié et cette raison doit être suffisamment valable pour être recevable. Si ce sujet soulève de nombreuses interrogations auprès des dirigeants et managers, notamment au sujet de la protection des données, l’aménagement des horaires peut être une alternative intéressante. Finis les horaires fixes et le pointage, les salariés doivent simplement respecter des heures de présence et s’organisent à leur convenance tout en s’assurant que les missions confiées sont réalisées dans les délais.

Les « responsables du bonheur » sont-ils l’avenir de l’épanouissement au travail ?

Depuis deux ans, on entend parler de « chief happiness officer », de « responsable de l’expérience salarié », ou encore de « feel good managers ». Mais concrètement, en quoi consiste ce nouvel emploi et quelles sont ses missions ? Ces responsables du bonheur en entreprise ne convainquent pas uniquement les start up. Par exemple, le groupe pharmaceutique Boiron est le premier à avoir recruté un collaborateur chargé de s’assurer du bien-être des salariés. Au total, 200 personnes occuperaient officiellement ce poste à plein temps en France et la majorité d’entre elles seraient devenues CHO grâce à une évolution interne, parce qu’elles connaissent parfaitement leur société. Les missions confiées à ces « feel good managers » varient en fonction des domaines d’activité et des besoins exprimés. Les cours de yoga et de sport, la distribution de fruits, l’ouverture d’une crèche interne ou encore l’organisation de petits déjeuners conviviaux sont autant d’actions mises en place pour améliorer les conditions de travail des employés. Les CHO jouent également un rôle important dans les décisions prises concernant les espaces de travail, l’organisation de challenges internes et d’ateliers thématiques pour donner la parole aux collaborateurs. Après avoir fait la liste des améliorations possibles, toute la difficulté réside dans l’acceptation des propositions auprès des dirigeants. Montrer l’utilité et les impacts positifs des changements souhaités reste une épreuve pendant laquelle pédagogie et conviction seront essentielles.
Montréal a fété ses 375 ans ! Et elle garde toute sa jeunesse avec une énergie débordante et un dynamisme que l’on ressent partout ; dans son quartier d’affaire où fleurissent les start-ups, dans la mentalité décomplexée de ses habitants et bien sur dans son économie ouverte qui font d’elle une belle porte d’entrée sur le marché américain pour nos PME et ETI… bref une destination affaires incontournable ! Par Franck  Boccara Elégante par nature, énergique par tempérament, cosmopolite par choix, Montréal se situe sur une île. Cette ville séculaire a rassemblé tous les contraires : ici se côtoient dans l’harmonie le charme du Vieux Continent et l’innovation haute technologie, ainsi que le français et l’anglais. La grande variété de solutions d’hébergement et de sites intéressants ainsi que le moderne Palais des congrès qui se trouve au cœur de ce carrefour culturel séduiront sans peine les voyageurs d’affaires et les organisateurs d’évènements. La joie de vivre et la fraicheur qui se dégage de la ville sont contagieux, la cuisine est délicieuse, la vie artistique et les spectacles avant-gardistes donnent à la ville une atmosphère festive toute l’année : rien d’étonnant à ce que Montréal soit en tête de toutes les listes des destinations favorites pour les congrès et les voyages incentive. Bien connue pour ses nombreux festivals, Montréal et ses habitants ont saisi l’opportunité pour rebondir sur une nouvelle dynamique. Le quartier d’affaires, coincé entre le Mont Royal et le fleuve, a vu naitre une multitude de nouveaux hôtels et de tables branchées. En allant plus au nord, on rencontre le pont Jacques-Cartier qui s’est offert le titre de premier “pont connecté” au monde en s’illuminant de façon interactive chaque soir pour refléter en temps réel “l’état d’esprit” de  Montréal. Et l’état d’esprit est au beau fixe car Montréal est une ville rayonnante en pleine effervescence où les idées bouillonnent. Les voyageurs d’affaires y viennent du monde entier, à la recherche de la matière première locale : la matière grise. En effet, la ville est connue pour ses nombreuses universités et écoles qui accueillent d’ailleurs beaucoup d’étudiants de France et multiplient les partenariats entreprises, telles McGill, HEC Montréal, l’école Polytechnique de Montréal ou encore les différents Cegep. Derrière chaque projet, il y a toujours un « petit quelque chose » d’originalité qui fait la “Montréal touch”, à l’image du Cirque du Soleil qui a réussi le pari de réinventer une tradition millénaire. Le quartier d’affaires abrite derrière ses buildings studieux une culture business Inventive et décalée, Montréal est devenu une référence mondiale en matiere de la créativité. Par exemple, Ubisoft prenait ses quartiers dans le Mile End, accolé au quartier d’affaires Il y a vingt ans. Aujourd’hui, il est tout simplement le grand développeur de jeux vidéo au monde. Pour l’événementiel, le studio de divertissement multimédia Moment Factory se démarque très nettement en comptant parmi ses clients Madonna, l’aéroport de Los Angeles ou la Sagrada Família. Les exemples sont là pour servir d’exemple aux jeunes pousses qui fleurissent dans le Mile End, ou dans le bien-nommé “Quartier de l’Innovation” (QI) installé à Griffintown. Aujourd’hui, Montréal a des airs de ville start-up…. avec 375 ans d’expérience. Adresses utiles Chambre de Commerce et d’Industrie Française au Canada 1455, rue Drummond, bureau 2B Montréal, Québec, H3G 1W3 (métro Peel) Tél : (001) 514 281-1246 / Fax : (001) 514 289-9594 info@ccifcmtl.ca www.ccifcmtl.ca Consulat Général de France à Montréal
bureau 1000
10ème étage
1501 Mc Gill Collège
Montréal (Qc) H3A 3M8 Tel : 514.878.4385 https://montreal.consulfrance.org/
Dans le cadre du dispositif CCI Business Grand Paris, La CCI Paris organise une journée de formation dédiée aux marchés publics du Grand Paris à destination des PME et PMI d’Île-de-France qui comptent développer leurs activités en participant activement à ces fameux marchés publics. Participation fortement conseillée pour les entreprises concernées…
Par la rédaction
Cette formation s’est fixée les objectifs suivants:
  • Améliorer sa performance commerciale sur les marchés publics
  • Affiner sa perception des besoins des maitres d’ouvrage du Grand Paris
  • Etre capable de répondre aux appels d’offre efficacement seul et en groupement
  • Sécuriser sa réponse aux appels d’offre
  Cette formation s’adresse à tous les postes de direction des PME franciliennes : chef d’entreprise, gérant, responsable commercial, commercial, chargé d’affaires, technico-commercial. Le programme comprend une session de formation collective et un accompagnement individuel en entreprise. La formation collective , qui durera une journée, aura pour but d’apporter des réponses aux enjeux suivants :
  • Fonctionnement des marchés publics
  • Détection efficace des marchés publics
  • Se faire connaitre en amont de la publication
  • Posture et processus à adopter
  • Construire un mémoire technique
  • Les différentes formes de réponse à apporter
  • Etablir un dossier de réponse
  • Le cadre juridique
  • Les pièges et risques à éviter
  • Identifier les organismes publics à cibler…
  • Accompagnement individuel : 1 journée en entreprise
  L’accompagnement individuel, quant à lui, se fera sur la base de l’expérience des candidats et de leurs besoins. L’expert marchés publics des la CCI Paris les accompagnera dans l’analyse des réponses à leurs appels d’offre. Cette formation offre de nombreux points forts :
  • Une formation collective sur mesure
  • Un accès à des fiches-outils pratiques
  • Un partage d’expériences entre entreprises d’un même secteur d’activités
  • Une formation-action pour favoriser le passage de la théorie à la pratique
  Pour accéder à plus d’information sur la CCI Business Grand Paris, cliquez ici
Ce programme co-financé par l’EUROPE est réservé aux PME-PMI d’Ile-de-France au sens européen : entreprises de moins 250 salariés dont le chiffre d’affaires n’excède pas 50 M€ ou dont le total du bilan annuel n’excède pas 45 M€, et n’étant pas détenu à plus de 25% par un grand groupe et hors perception sur les trois derniers exercices fiscaux, d’une aide du Fond Européen n’excédant pas 200K€. Ce programme est finançable par votre OPCA.
 
PLAN D’ACCÈS
CCI Paris
2, place de la Bourse , 75002 PARIS
Métro Bourse
Tarif
1020 € (TVA non récupérable)
INSCRIVEZ-VOUS À NOTRE NEWSLETTER
AUX DERNIÈRES NOUVELLES
×

Vous êtes dirigeant ou cadre ?
Vous avez une question ou besoin d'une information ?

Le respect de votre vie privée est notre priorité

L’accès au site implique l’utilisation de cookies mais celle-ci est subordonnée à votre consentement.