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SME-ETI

La gouvernance d’entreprise est parfois considérée par les PME et ETI comme un ensemble de règles et d’obligations contraignantes alors qu’au contraire, elle doit être appréhendée comme un facteur de performance globale et de pérennité. Ce comité, crée par le Medef, a précisément pour objectif d’éveiller les consciences et d’inciter l’ensembles de entreprises à adopter les bonnes pratiques.

Par la rédaction

Le Medef, qui était déjà à l’origine, avec l’AFEP en 1995, du Code de gouvernement d’entreprise des sociétés cotées (sociétés du CAC40 et plus largement des sociétés du SBF120) se donne aujourd’hui pour mission de promouvoir la gouvernance d’entreprise auprès de toutes les sociétés qu’il représente, quelle que soit leur taille.

Ce nouveau Comité sur la gouvernance des entreprises, crée à l’initiative de Geoffroy Roux de Bézieux et Patrick Martin a pour président Patrick Bertrand (Ex CEO de Cegid Group et Directeur Général « Opérations » d’Holnest). Le comité part du principe que les bonnes pratiques de la gouvernance d’entreprise ne doivent pas être perçues comme des freins mais comme de véritables leviers de croissance pour les entreprises dans une perspective à long terme,

L’idée est de convaincre les chefs d’entreprise que c’est à travers une bonne gouvernance qu’ils pourront bénéficier d’un accès facilité au financement et inscrire leur action dans le nouvel objet social de l’entreprise tel que le défini la loi Pacte en prenant en compte les intérêts de toutes les parties prenantes de l’entreprise, notamment les enjeux sociaux et environnementaux de leur activité et oeuvrer ensemble dans le sens d’une croissance responsable. Un engagement dont le Medef a fait sa raison d’être.
 
Le comité sur la gouvernance des entreprises a opté pour une composition plurielle qui se veut mixte, intergénérationnelle et transversale quant à la taille des entreprises, la structuration de leur actionnariat ainsi que leur secteurs d’activité. Il est ainsi composé de représentants de grands comptes, d’ETI, de PME, de startups, de sociétés familiales, industrielles et de services, cotées et non cotées. On y trouve également des investisseurs et représentants du monde académique et juridique.
 
Les objectifs 
 
• Être un lieu d’échanges sur la gouvernance et une force de propositions en vue d’améliorer les pratiques de gouvernance
• Promouvoir les bonnes pratiques de gouvernance en soulignant leur contribution à la performance de l’entreprise
• Adapter et transmettre les propositions de bonnes pratiques de gouvernement d’entreprise auprès de toutes les typologies d’entreprises, de la startup aux PME/ETI et grands groupes
• Définir la position du Medef lors des révisions du code Afep-Medef et d’interventions législatives sur le sujet
 
Composition du comité sur la gouvernance des entreprises
 
• Patrick Bertrand, Directeur Général “Opérations”, Holnest
• Dominique Ceolin, Chairman of the Board, ABC Arbitrage
• Anne-Laure Constanza, Fondatrice, Envie de Fraises
• Dominique de La Garanderie, ancienne Bâtonnière de l’ordre des avocats du barreau de Paris, Cabinet La Garanderie avocats
• Laurent Fiard, CoFondateur et Président Directeur général, Visiativ
• Delphine Gieux, Secrétaire du conseil, Schneider Electric
• Sophie L’Hélias, Administrateur, Kering, Fondatrice et présidente, LeaderXXchange
• Philippe Louis-Dreyfus, Président, Louis-Dreyfus Armateurs
• Emmanuel Lulin, Directeur général de l’éthique, délégué du président, L’Oréal
• Olivier Millet, Membre du directoire, Eurazeo
• Jean-Louis Petithuguenin, Président Directeur général, Groupe Paprec
• Fanny Picard, Associée fondatrice, Alter Equity
• Alain Pietrancosta, Professeur de droit des sociétés, droit financier et gouvernance, École du droit de la Sorbonne
• Carol Xueref, ancienne Secrétaire générale d’Essilor, Administrateur, Ipsen et Eiffage.

Cette composition a pour objectif de s’élargir prochainement à d’autres personnalités.

L’IFI (Impôt sur la Fortune Immobilière) représente la nouvelle version de l’ISF (Impôt sur la Fortune). La différence majeure réside dans le fait que l’IFI tient compte seulement des biens immobiliers dans le mode de calcul de l’impôt. Voyons comment celui-ci impacte les détenteurs de parts dans des SCPI et quelle solutions s’offre à eux.

Par Franck Boccara

Depuis le début de l’année 2018, l’IFI a remplacé le fameux ISF qui prenait en compte les biens immobiliers, mais également les autres valeurs mobilières telles que les placements financiers et portefeuilles d’actions. L’IFI, pour sa part, taxe exclusivement les contribuables dont le patrimoine immobilier dépasse 1,3 million d’euros net.

l’ISF a été remplacé car il était estimé contre-productif pour la croissance économique. l’IFI, contrairement à l’ISF, devrait à terme orienter l’épargne des Français vers les entreprises, ce qui permettrait de soutenir leurs fonds propres et de les doter d’une assise financière plus forte pour évoluer sur leurs marchés et devenir ainsi plus compétitives. Cependant, depuis la mise en application du nouvel impôt, les français restent assez confus sur son fonctionnement. Les biens immobiliers qui sont inclus dans l’assiette taxable sont des biens classés « immeubles » au sens juridique, c’est à dire non affectés à l’activité professionnelle. Cela vise donc les résidences principales, mais également les investissements locatifs ou les biens utilisés comme résidence secondaire.

Les SCPI

Dans cette nouvelle configuration, l’IFI concerne donc les biens immobiliers détenus de facon directe ou indirecte via des Sociétés Civiles de Placements Immobiliers (SCPI). Les parts de SCPI sont donc pleinement inclues dans le champs d’application de l’IFI et les revenus tirés de ces parts doivent être obligatoirement déclarés au titre de l’IFI. Cela devient, de ce fait, la responsabilité de la société de gestion en charge du fonctionnement de la SCPI de communiquer l’information à l’administration, en la reportant clairement dans l’Imprimé Fiscal Unique (IFU).

Par contre, il est possible pour les contribuables d’atténuer le montant de l’IFI grâce à la SCPI, notamment par un moyen interessant qui est l’achat de parts de SCPI en démembrement. Ce démembrement de propriété va offrir la possibilité de faire la différence entre l’usufruit et la nue-propriété. En effet, Le nu-propriétaire jouit uniquement de la possession d’un bien à la différence de l’usufruitier qui bénéficie de l’usage du bien, mais aussi de ses « fruits » qui sont représentés par les loyers qu’il perçoit.

Le montant de l’IFI pourra être légèrement diminué pour les contribuables fortement imposées grâce au système de nue-propriété dans la mesure où le nu-propriétaire ne perçoit pas de revenus fonciers (loyers) qui entrent dans l’assiette fiscale de l’IFI. De plus, le nu-propriétaire n’aura pas l’obligation de déclarer les parts de SCPI qu’il possède. De cette facon, détenir des parts de SCPI reste toujours une solution d’optimisation fiscale pour les contribuables qui auront la possibilité de choisir un montage financier faisant la part belle au démembrement.

Bpifrance université vous donne rendez-vous devant vos écrans le mardi 28 mai à 11h pour un webinaire qui vous permettra de bien saisir l’impact de la loi PACTE et ses innovations pour les PME et ETI.

La loi PACTE (Plan d’Action pour la Croissance et la Transformation des Entreprises) qui a été adoptée par le Parlement de façon définitive le 11 avril 2019 a pour but de donner aux entreprises les moyens d’innover, de se transformer, de grandir et de créer des emplois. Le gouvernement a mis en oeuvre un véritable chantier qui a finalement permis de lever un certain nombre de verrous qui empêchent certaines PME françaises de se transformer en ETI.

Cette loi, portée par le ministre de l’Économie et des Finances, Bruno Le Maire, comporte plusieurs mesures qui vont considérablement simplifier la vie des PME et ETI. A travers ce webinaire, Bpifrance Université va permettre aux dirigeants de mieux connaitre les principales innovations de la loi PACTE comme par exemple :

  • Le nouveau positionnement du commissariat aux comptes dans les PME et ETI.
  • Le partage de valeur avec les salariés.
  • Où situer votre entreprise dans le triptyque intérêt social élargi/ raison d’être/ société à mission ?
  • Le fonds de pérennité est-il intéressant pour vous ?
  • Le rebond facilité : une nouveauté du droit des entreprises en difficulté.

L’EXPERT

Ce webinaire de Bpifrance Université sera animé par Bruno Dondero, spécialiste en droit des affaires, droit des sociétés et des marchés financiers. Agrégé des Facultés de droit, professeur à l’Ecole de droit de la Sorbonne (Université Paris 1), Bruno Dondero est également avocat associé de CMS Francis Lefebvre Avocats, en charge du département Doctrine juridique.

INFORMATIONS PRATIQUES

Bpifrance université vous donne rendez-vous devant vos écrans le mardi 28 mai à 11h pour un webinaire qui vous permettra de bien saisir l’impact de la loi PACTE et ses innovations pour les PME et ETI.

La loi PACTE (Plan d’Action pour la Croissance et la Transformation des Entreprises) qui a été adoptée par le Parlement de façon définitive le 11 avril 2019 a pour but de donner aux entreprises les moyens d’innover, de se transformer, de grandir et de créer des emplois. Le gouvernement a mis en oeuvre un véritable chantier qui a finalement permis de lever un certain nombre de verrous qui empêchent certaines PME françaises de se transformer en ETI.

Cette loi, portée par le ministre de l’Économie et des Finances, Bruno Le Maire, comporte plusieurs mesures qui vont considérablement simplifier la vie des PME et ETI. A travers ce webinaire, Bpifrance Université va permettre aux dirigeants de mieux connaitre les principales innovations de la loi PACTE comme par exemple :

  • Le nouveau positionnement du commissariat aux comptes dans les PME et ETI.
  • Le partage de valeur avec les salariés.
  • Où situer votre entreprise dans le triptyque intérêt social élargi/ raison d’être/ société à mission ?
  • Le fonds de pérennité est-il intéressant pour vous ?
  • Le rebond facilité : une nouveauté du droit des entreprises en difficulté.

L’EXPERT

Ce webinaire de Bpifrance Université sera animé par Bruno Dondero, spécialiste en droit des affaires, droit des sociétés et des marchés financiers. Agrégé des Facultés de droit, professeur à l’Ecole de droit de la Sorbonne (Université Paris 1), Bruno Dondero est également avocat associé de CMS Francis Lefebvre Avocats, en charge du département Doctrine juridique.

INFORMATIONS PRATIQUES

La France fait son entrée dans le top 5 des pays les plus attractifs pour les investissements étrangers, selon le cabinet A.T. Kearney. Cette étude très sérieuse menée par le célèbre cabinet de conseil américain montre clairement que la confiance des investisseurs dans l’économie française a connu une forte augmentation depuis l’élection d’Emmanuel Macron. Plus étonnant, cette attractivité n’a pas été impactée par le mouvement des gilets jaunes.

Par Serge de Cluny

Ces chiffres encourageants viennent confirmer le recensement effectué par Business France en avril qui indique qu’en 2018, 1.323 décisions d’investissements étrangers ont été prises contre 1.298 en 2017. Ce qui représente une moyenne d’environ 25 projets par semaine. Ces investissements ont permis de créer ou de maintenir 30.302 emplois en 2018 contre 33.489 en 2017 qui fut une année record pour la dernière décennie.

La confiance dans la bonne santé de l’économie française, qui « a fortement augmenté depuis l’élection d’Emmanuel Macron en 2017 », n’a pas été « affectée par le mouvement des gilets jaunes », souligne le cabinet qui estime que la France « reste compétitive ».

D’après ce même indice publié lundi par A.T. Kearney , 77% des entreprises prévoient d’augmenter leur niveau d’investissement pour les trois années à venir.

Infographie: La France séduit les investisseurs étrangers | Statista

Les Etats-Unis toujours en tête

Pour la 7ème année consécutive, les Etats-Unis gardent leur place de leader du classement des pays les plus attractifs pour les investissements étrangers. Ce succès s’explique par son vaste marché domestique, sa fiscalité avantageuse et ses capacités technologiques, toujours d’après A.T. Kerney. Viennent ensuite l’Allemagne, le Canada et le Royaume Uni qui garde sa quatrième place en dépit de la perspective du Brexit. La France est la nouvelle venue dans ce « top 5 » avec une attractivité qui passe devant celle de la Chine.

Perte de vitesse de la Chine

La Chine, qui tenait la tête de ce classement entre 2002 et 2012, chute à la 7ème place, ce qui amène son classement au plus bas depuis l’existence de cet indice voilà 20 ans. Les principales raisons apportées par le cabinet de conseil pour comprendre cette dégringolade sont le ralentissement de la demande intérieure, le recul des exportations, les inquiétudes croissantes sur le niveau d’endettement des entreprises chinoises ainsi que l’impact de la guerre commerciale avec les Etats-Unis.

L’autre éclairage interessant que nous fournit A.T. Kerney dans ce classement est que « 22 des 25 premières places sont occupées par des pays développés ». L’explication, selon le cabinet de conseil, tient dans l’importance que les investisseurs accordent à la question « de la gouvernance et de la régulation ».

Vivatech 2019 a ouvert les portes de sa 4e édition ce matin à Paris Expo sous les auspices d’Emmanuel Macron. L’évènement, qui monte en gamme cette année, va voir défiler dans ses allées des stars de la tech et de la politique.

Par Franck Boccara

Vivatech 2019 va s’étendre cette année sur 56.000 m² et deux halls (1 et 2.2) avec 21 labs et 19 pavillons pays implantés dans ses allées. La tendance du salon 2019 sera de montrer les liens forts qui existent entre les grands groupes et les startups. Ces dernières ont d’ailleurs relevé plus de 100 challenges Open Innovation pour montrer l’étendue de leurs capacités.

Le casting des intervenants qui étaient ou seront présents sur la scène du Dôme de Paris est assez impressionnant:
Tout d’abord, Le chef de l’Etat Emmanuel Macron a commencé sa visite par le stand de Bpifrance. « C’est le capital humain et le capital financier qui sont la clé de cette réussite », a-t-il déclaré. Par la suite, après une rencontre avec Ja Ma, le PDG d’Alibaba Group, le président a prononcé son discours et participé pendant près d’une heure à un échange de questions-réponses avec les créateurs de cinq start-ups françaises et européennes.

D’autres invités de marque ont marqué leur présence au salon Vivatech 2019 comme le Premier ministre canadien Justin Trudeau et Paul Kagame, président du Rwanda, qui dispose également d’un pavillon sur place. François Hollande, ancien président qui dirige aujourd’hui la fondation La France S’engage, sera sur place ainsi que le mathématicien Cédric Villani, député de l’Essonne. Plus surprenant, on verra aussi Usain Bolt, ancien champion olympique du sprint (qui vient presenter son service de trottinettes électriques) ou la légende des échecs Garry Kasparov, à présent ambassadeur de la solution antivirus Avast.

« Une des signatures de VivaTech, c’est la possibilité d’avoir des orateurs parmi les grandes stars de l’économie numérique, et parmi ceux qui feront l’économie numérique de demain », s’était félicité ce mois-ci Maurice Levy, le président du conseil de surveillance de Publicis et instigateur du salon. Encore une fois, il a réussi le pari d’attirer des noms prestigieux parmi lesquels nous pouvons compter Stéphane Richard (Orange), Ginni Rometty (IBM), Jimmy Wales (Wikipedia) mais également Mickey Mikitani (Rakuten) et Börje Ekholm (Ericsson).

Le président du géant chinois Alibaba, Jack Ma, a pris la parole lors d’une intervention de 45 min conjointe avec Maurice Lévy, sur l’apport d’internet dans la transformation de son groupe en leader de la tech mondiale. Jack Ma a encouragé les entrepreneurs à « penser au futur ». « J’ai passé mon temps à penser au futur et à écouter les plaintes », a-t-il déclaré. Pour lui, c’est le refus qui fait avancer un entrepreneur ; quand tout le monde vous dit non, c’est donc une chance pour réussir.  A bon entendeur !

INFORMATIONS PRATIQUES

Horaires : 
Jeudi 16 mai : de 8h à 19h
Vendredi 17 mai : de 8h à 19h
Samedi 18 mai : de 9h à 18h

Tarifs des journées professionnelles (jeudi et vendredi) : 
tarif étudiant : 25€ 
tarif startup : 245 €
tarif exec : 490 € 
tarif investisseurs : 690 €

Les billets sont en vente sur le site de VivaTechnology.

Tarifs journée grand public (samedi) :
tarif 20 €
tarif réduit 10 €

Viva Technology, Paris Expo Porte de Versailles, 1 place de la Porte de Versailles, 75015, Paris.

Comment y aller : 
Métro : ligne 12, Porte de Versailles, ou ligne 8, Balard. 
Tramway : T2 et T3a.
Bus : 39 et 80
Vélib : station n°15049 – 2 rue Ernest Renand, station n°15107 – 42, boulevard Victor, station n°15061 – 12, square Desnouettes.


La réglementation sur l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes dans les entreprises évolue très rapidement ces derniers temps. Cet évènement de la CCI Paris Ile-de-France vous permettra de faire le point sur les obligations juridiques qui existent déjà selon vos effectifs et de connaitre les nouvelles obligations.

Afin de rendre plus effective l’égalité entre les hommes et les femmes dans le monde du travail, la loi interdit désormais l’accès à la commande publique aux entreprises qui ne respectent pas un certain nombre d’obligations en termes d’égalité professionnelle. Dans le même esprit, la loi impose désormais aux entreprises de prendre en compte l’égalité professionnelle dans un certain nombre de domaines, tel que la sécurité et la santé ou le dialogue social.

LE PROGRAMME

  • LE CADRE ET LES OBLIGATIONS EXISTANTES

Présentation de l’enjeu : évolution de la réglementation sur l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes intégrée dans un cadre plus large d’interdiction de discrimination / obligation d’égalité salariale etc.

Entreprises de plus ou moins 50 salariés : quelles obligations ?

  • LES NOUVELLES OBLIGATIONS 

Calcul de l’index :

* Présentation de la méthode ;

* Eléments à prendre en considération ;

* Méthodologie qui permet de calculer l’index à partir du tableur ;

* Cas particulier (salariés absents ou arrivés en cours d’année, arrêts maladie, aménagements conventionnels).

Publication des résultats :

* Publication des résultats dans l’entreprise (méthode, éléments à publier, comment publier les résultats bons ou mauvais) ;

* Publication auprès des élus ;

* Publication auprès de l’administration ;

* Saction à défaut de publication.

Engagement d’atteindre l’égalité sous 3 ans :

* Négocier un accord collectif ou établir un plan d’action : enjeux, objectifs, modalités ;

* Sanction à défaut de négociation.

Durée :

4 heures

Session(s)

  •  21 mai 2019

Intervenants

Anne LELEU-ETE, Lawyer, Avocate en droit du travail

Public

Dirigeants d’entreprise, responsables RH ou toute personne ayant en charge la gestion des RH dans l’entreprise, responsables juridiques.

Informations pratiques

CCI Paris 
2 place de la Bourse 75002 PARIS
Le mardi 21 mai de 9h00 à 13h

La réglementation sur l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes dans les entreprises évolue très rapidement ces derniers temps. Cet évènement de la CCI Paris Ile-de-France vous permettra de faire le point sur les obligations juridiques qui existent déjà selon vos effectifs et de connaitre les nouvelles obligations.

Afin de rendre plus effective l’égalité entre les hommes et les femmes dans le monde du travail, la loi interdit désormais l’accès à la commande publique aux entreprises qui ne respectent pas un certain nombre d’obligations en termes d’égalité professionnelle. Dans le même esprit, la loi impose désormais aux entreprises de prendre en compte l’égalité professionnelle dans un certain nombre de domaines, tel que la sécurité et la santé ou le dialogue social.

LE PROGRAMME

  • LE CADRE ET LES OBLIGATIONS EXISTANTES

Présentation de l’enjeu : évolution de la réglementation sur l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes intégrée dans un cadre plus large d’interdiction de discrimination / obligation d’égalité salariale etc.

Entreprises de plus ou moins 50 salariés : quelles obligations ?

  • LES NOUVELLES OBLIGATIONS 

Calcul de l’index :

* Présentation de la méthode ;

* Eléments à prendre en considération ;

* Méthodologie qui permet de calculer l’index à partir du tableur ;

* Cas particulier (salariés absents ou arrivés en cours d’année, arrêts maladie, aménagements conventionnels).

Publication des résultats :

* Publication des résultats dans l’entreprise (méthode, éléments à publier, comment publier les résultats bons ou mauvais) ;

* Publication auprès des élus ;

* Publication auprès de l’administration ;

* Saction à défaut de publication.

Engagement d’atteindre l’égalité sous 3 ans :

* Négocier un accord collectif ou établir un plan d’action : enjeux, objectifs, modalités ;

* Sanction à défaut de négociation.

Durée :

4 heures

Session(s)

  •  21 mai 2019

Intervenants

Anne LELEU-ETE, Lawyer, Avocate en droit du travail

Public

Dirigeants d’entreprise, responsables RH ou toute personne ayant en charge la gestion des RH dans l’entreprise, responsables juridiques.

Informations pratiques

CCI Paris 
2 place de la Bourse 75002 PARIS
Le mardi 21 mai de 9h00 à 13h

Comment protéger nos applications métier ? Les PME et ETI sont en plein dans l’ère de la transformation digitale : la virtualisation, le cloud et la conteneurisation se démocratisent. Les acteurs traditionnels de la finance ou de la santé voient l’émergence de jeunes concurrents plus agiles. Ces derniers offrent des nouvelles technologies qui leur permettent d’obtenir un avantage sérieux grâce à leur rapidité de mise sur le marché, leur flexibilité et leur résilience. Cette nouvelle donne oblige les entreprises établies à proposer elle aussi ces nouvelles technologies afin répondre à ce nouveau défi qui leur est lancé. Petit tour d’horizon…

Par Franck Boccara

Nous avons la chance de vivre un moment passionnant pour les technologies B2B mais qu’en est-il du moteur de l’entreprise, à savoir les applications métier critiques ? La valeur ajoutée d’applications cloud et SaaS n’est plus à prouver mais leur sécurité doit être réellement prise au sérieux sous peine de menacer la sécurité de l’organisation de façon plus générale.

Pour commencer, Il est primordial que le Directeur des Services Informatiques (DSI) puisse avoir l’oeil sur la totalité des informations qui circulent et sur les différentes applications installées sur les terminaux et machines des collaborateurs. De fait, en fonction du service et du secteur d’activité de la structure, chaque employé a sa propre liste d’applications critiques et de données associées qui sont susceptibles, en cas de compromission ou de perte, d’entrainer une interruption de l’activité plus ou moins longue. Cela peut être, par exemple, des applications de transaction financière contenant des données client sensibles, des ERP qui permettent de gérer les stocks d’entreprises ou d’hôpitaux ou même des transactions relatives à des dossiers de santé électroniques, qui renferment des informations personnelles de santé primordiales pour les prestataires de soins, les hôpitaux ou les compagnies d’assurance. Dans tous les cas, aucune application ne doit être utilisée à l’insu de l’entreprise ou de l’organisation.

Cependant, trop de responsables ne pensent pas à sécuriser leurs applications métier et continuent à prendre des risques. Ces imprudences peuvent nuire à leurs investissements financiers dans ces applications et à la pérennité de leur relation clients. En dépit de ces dangers, 70 % des entreprises interrogées ne pensent pas que la sécurité de ces applications soit une priorité. Il existe pourtant quelques actions simples qui renforceraient leur sécurité :

  • Cerner les applications les plus critiques : Le DSI doit avoir une visibilité totale sur les applications métiers utilisées et sur leur usage par les différents services pour définir précisément ce qui doit être sécurisé dans son réseau. Cela peut être des applications SaaS ou des applications personnalisées mises en place par le biais d’outils et de méthodologies DevOps.
  • Connaitre et sécuriser le cloud : Il faut absolument créer une stratégie cloud, un plan de migration et un planning avant toute opération de transfert des applications locales vers le cloud ou vers de nouvelles applications SaaS. De la sorte, une entreprise voulant effectuer ce basculement devra s’assurer de la collaboration avec les services concernés de façon transversale afin de garantir la sécurité des accès à privilèges.
  • Sécuriser l’accès des administrateurs qui gèrent les applications métier critiques : il faudra pour cela rassembler toutes les informations d’identification des administrateurs qui sont en charge des applications critiques identifiées et de définir un système de rotation des mots de passe. Ainsi, le DSI garanti leur renouvellement ainsi qu’une meilleure protection des compte. Il devra également isoler les sessions pour prévenir le vol de données d’identification. Cependant, bien souvent, les administrateurs de ces applications n’appartiennent pas à l’équipe informatique mais plutôt aux services des finances, du marketing ou des ressources humaines.
  • Pensez aux machines ! : En plus de la protection des comptes gérés par des membres de l’organisation, il ne faut pas oublier de sécuriser les informations d’identification et les comptes de service à privilèges que les machines et applications utilisent. Les informations d’identification codées en dur sont un facteur de risque conséquent pour les applications critiques et devront donc être éliminées.

La négligence des mesures de sécurité dans ce domaine peut avoir des conséquences amères : Effet négatif sur le chiffre d’affaires, dégradation de la relation client et risques commerciaux liés aux données compromises. Pour combler ces lacunes, les solutions de sécurité d’accès à privilèges permettent une vision globale de la protection de ces applications, elles aident le DSI à hiérarchiser et à protéger les applications et les données les plus importantes de son organisation et donc à en assurer le succès.

Chers entrepreneurs, vous voulez tout savoir sur l’instrument PME ? Venez assister au petit-déjeuner organisé par Bpifrance pour comprendre le fonctionnement de cet instrument et vous inspirer de l’expérience du lauréat 2018. Voici, en avant-goût, quelques éclairages sur le concept. 

Par la rédaction

Cet instrument est destiné à tous les types de PME innovantes présentant une forte ambition de se développer, croître et s’internationaliser. Il sera dédié à tous les types d’innovation, y compris les innovations non-technologiques et de services. L’instrument PME. est conçu comme un « outil » de croissance qui pourra être porté par une seule PME.

La Commission propose pour la première fois d’accorder des financements à des projets portés par une seule PME qui devrait se traduire pour l’entreprise par la mise en œuvre de projets plus stratégiques (pas de concurrence et prise en compte uniquement des besoins des PME).

Pour son financement, tous les défis sociétaux et technologies génériques et industrielles doivent appliquer l’instrument consacré aux PME et allouer un montant à celui-ci, à hauteur de 7% sur l’ensemble de la durée du programme cadre.

L’instrument P.M.E. pourra soutenir l’entreprise par étape en fonction de la maturité du projet et accorder une subvention dans les deux premières étapes :

  • Phase 1 : évaluation du concept et de la faisabilité jusqu’à 50000 euros, à partir d’un business plan démontrant la viabilité de développement d’un marché potentiel ;
  • Phase 2 : R&D, première application commerciale – démonstration de 0,5 million à 2,5 millions d’euros en subvention ;
  • Phase 3 : accord de prêts ou fonds propres pour la phase de commercialisation, avec un accompagnement dans cette démarche, par un réseau de professionnels européens financés par la Commission.

La PME peut bénéficier d’un accompagnement (« monitoring » et « coaching ») dans les trois phases du projet financé par la Commission européenne :

  • le réseau Entreprise Europe (EEN) présent dans l’ensemble des régions européennes dans les phases 1 et 2 de leur projet ;
  • une plate-forme d’experts sélectionnés au niveau européen pour la phase 3 du projet ainsi que le P.C.N. « soutien au financement à risques » ;
  • les P.C.N. thématiques et notamment le PCN PME et « soutien au financement à risques », consortium qui réunissent plusieurs structures ayant des relations avec les PME chargés de répondre aux questions des porteurs de projets sur la teneur des appels à propositions, de les conseiller sur l’ingénierie des projets européens (connaissance des règles de participation et différents instruments de financement d’Horizon 2020).

Venez vous inspirer du témoignage de Naim Kosayyer, Fondateur et PDG d’ANASEN, société lauréate de l’Instrument PME Phase 2 en 2018 : programme dédié aux PME innovantes avec un fort potentiel de croissance, leur permettant d’obtenir jusqu’à 2,5M€.

Programme de la rencontre

  • 08h30 Accueil petit-déjeuner
  • 09h00 Intervention
    Interview de Naim Kosayyer, fondateur et PDG d’Anasen par Laurence Faigenbaume, responsable de projets européens chez Bpifrance, point de contact national PME et membre du réseau enterprise europe 
  • 10h00 Questions-Réponses

Pour ceux qui le souhaitent, vous pourrez assister au lancement du projet Anasen et profiter d’un cocktail networking de 12h30 à 14h00

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