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SME-ETI

Vos collaborateurs attendent-ils impatiemment leurs entretiens annuels ?

Pour 70 % des responsables RH et des managers, et pour 95 % des employés, les entretiens annuels d’évaluation ne sont ni utiles ni constructifs. Surtout, dans un monde changeant et imprévisible, évaluer en fin d’année des objectifs fixés en début d’année n’a plus aucun sens !

Lors de ce webinar jeudi 23 septembre de 11h30 à 12h15, nous vous montrerons comment des entreprises de toute taille, telles que Decathlon, EDF mais aussi Staffmatch ou Hardloop, ont modernisé leurs entretiens annuels et augmenté l’engagement de leurs collaborateurs via :

  • un dialogue continu entre managers et équipes, même à distance
  • des points réguliers pour lever les difficultés au fil de l’eau
  • un accès à l’historique des points réguliers pour préparer les entretiens annuels
  • une trame prédéfinie pour aller à l’essentiel le jour de l’entretien
  • un tableau de bord intuitif pour piloter l’état d’avancement des entretiens

N’hésitez pas à vous inscrire ici !

Et si vous n’êtes pas disponible mais que ce sujet vous intéresse, nous vous invitons à vous inscrire quand même et nous vous enverrons le replay du webinaire par mail.

Aborder la rentrée avec une touche d’élégance dans un évènement où Business et Pleasure se conjuguent à merveille. C’est le moment de vous joindre à la soirée des présidents du 21 septembre 2021 ! Vous y serez reçu directement par la chaleureuse et incontournable organisatrice, Catherine Marascia.

Le “TIVANO” vous attendra aux pieds de la Tour Eiffel pour une soirée au fil de l’eau et un cocktail dînatoire au cours duquel, vous pourrez :

• Déguster différents mélanges exotiques, vins et Champagne ;
•  Participer à un périple séquanais ;
•  
Faire des rencontres favorisées entre dirigeant(e)s ;
•  Assister à la conférence d’un intervenant au top !

En bref, une synergie forte dont vous serez, vous aussi, les acteurs
(et plus seulement une solution à la recherche d’une problématique 😉)


Le “TIVANO”

AU PROGRAMME

  • 18h45/20h : Coupe d’accueil

Dégustation de cocktails sans alcool et avec alcool proposé par Can Elie agrémenté d’un sirop de canne à sucre sélectionnée avec rigueur.

Dégustation de Champagne haut de gamme Alain Edouard

  • 20h/21h :Conférence de Nouhad Ellafi, 

Présidente de Ellafi Consulting, Experte en Développement Commercial, Spécialiste de LinkedIn (plus de 90 000 sur ce réseau).


Nouhad Ellafi
Présidente de Ellafi Consulting

Experte de la prospection et de la vente aux Grands Comptes, Nouhad Ellafi accompagne des clients qui souhaitent mettre en place une machine de guerre commerciale d’acquisition de nouveaux clients.

Nouhad a évolué pendant plus de 20 ans dans des rôles commerciaux au sein de grands groupes tels que General Electric, Xerox, American Express et DHL. Elle a géré des clients tels que BNP Paribas ou le groupe Richemont à l’international et parle pas moins de six langues.

Nouhad permet à ses clients de trouver des solutions simples pour attirer, convaincre et fidéliser des clients en France et à l’International en utilisant la puissance du digital. L’humain n’en reste pas moins au centre de sa démarche.

Elle forme ainsi régulièrement des commerciaux à la négociation, à la vente aux grands comptes ou encore à la réponse à appel d’offres.

CONSTRUIRE SA MACHINE DE GUERRE COMMERCIALE GRÂCE À LINKEDIN AUJOURD’HUI

Thème : Croissance et réseaux sociaux

LinkedIn aujourd’hui :
20 millions d’utilisateurs français
45,6 % des décideurs B2B ont découvert un contenu qui a mené à un achat.

Un espace d’influence incontournable pour les dirigeants et les managers :
– Un formidable accélérateur de croissance pour l’acquisition    
– Un outil de fidélisation permet de garder contact avec les clients au quotidien
– Les tactiques et bonnes pratiques pour transformer le virtuel en réel

  • 21h/23h : Départ du Tivano et Cocktail dînatoire avec vin, Champagne et boissons non alcoolisées.

Cette soirée des présidents du 21 septembre 2021 s’annonce comme un moment privilégié de rencontres et un havre de paix après les secousses auxquelles nous fûmes confrontés. Tel est notre engagement pour vous faire vivre un moment unique et inoubliable.

En attendant de vous retrouver à bord, prenez soin de vous.

Le port du masque sera obligatoire lors de la conférence etle pass sanitaire sera à présenter. Toute l’équipe se conforme aux demandes des autorités afin de pouvoir vous accueillir en toute sécurité.
Même si nous sommes dans une configuration différente liée aux nouvelles réglementations sanitaires, l’esprit de la soirée des Présidents vous promet une belle soirée séquanaise, et le plaisir de découvrir Paris.

Merci de votre compréhension
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Tarif : 109 €

Je réserve

Le baromètre Banque Populaire-Pramex International consacre sa quatrième édition à un sujet qui nous est cher, celui de limplantation à l’international des PME et ETI françaises ainsi que des start-up. Cette étude montre clairement que le Covid-19 et la crise sanitaire n’ont pas vraiment calmer la soif de développement international de nos entreprises… le détail ci-dessous.

Par Serge de Cluny

la première constatation de ce baromètre est que la tendance est à l’investissement en Europe avec 52 % de part de marché. Le vieux continent remplit ainsi un rôle de marché refuge pour les PME et ETI françaises qui semblent se désengager quelque peu des États-Unis. Voici les six pays qui attirent à l’heure actuelle environ la moitié des investissements français :

L’Espagne

Les entreprises françaises représentent 11% du total des entreprises étrangères présentes en Espagne et rapportent 19% du revenu total des entreprises espagnoles, devant les Etats-Unis avec 11%.
Sur 52.000 emplois créés, environ 10.200 le sont par des grands groupes français tels que Carrefour, Leroy Merlin, Orange, PSA ou Capgemini

Cependant, l’Espagne se démarque comme une destination idéale pour les primo-exportateurs avec 26 % des investissements. En effet, le pays a mis en place des mesure particulièrement accueillantes pour les PME et ETI françaises ainsi que pour les start-up.

Le Royaume-Uni

En dépit de la crise sanitaire et du Brexit, les entreprises françaises sont les troisièmes à s’implanter au Royaume-Uni et celles déjà présentes dans le pays sont bien décidées à y continuer leur développement, même dans le secteur du commerce très touché par la crise sanitaire.
Le dynamisme économique du Royaume-Uni a toujours attiré les entreprises françaises et la conjoncture actuelle n’a pas pu démentir cette attirance.

L’Italie

Les entreprises françaises représentent 6,2 % de parts de marché dans le pays et parmi celles-ci 30 % sont des PME. On constate également une belle tendance d’ETI françaises qui nouent depuis quelques années des partenariats et réalisent des acquisitions dans le nord du pays, moteur économique du pays.

La consommation des ménages italiens et le fameux tissu de PME du pays ont bien résisté à la crise sanitaire. De plus, l’Italie devrait recevoir la plus belle part du plan de relance européen; ces indicateurs ne font que renforcer l’attractivité de notre voisin meridional pour les PME et ETI françaises.

L’Allemagne

On connait la forte présence des PME et ETI françaises sur le marché allemand avec ses 83 millions de consommateurs et une économie puissante et innovante qui attirent nos start-up. L’allemagne est devenu plus que jamais un marché refuge pour les entreprises qui ont revu leurs projets au grand export et veulent bénéficier de la solidité économique allemande… à juste titre.

Les États-Unis

Avec la crise sanitaire et ces mesures de restriction (fermeture des frontières, réduction drastique des vols internationaux, mesures de confinement), les États-Unis ont vu leur expansion économique ralentir fortement.

Ayant accusé un recul de 3,8 % de leur part de marché, les États-Unis parviennent encore à attirer environ 12% des projets d’investissements français à l’étranger du fait de la taille du marché, de son dynamisme, de la culture entrepreneuriale américaine et de la simplicité à y lever des fonds.
La côte Est reste la destination favorite des nos entreprises avec New-York et Boston qui rassemblent 40% des implantations françaises, en majorité représentées par les acteurs de la french tech (49% des entreprises).

La Chine et L’Asie

La Chine, première grande économie mondiale à sortir de la crise sanitaire attire naturellement les entreprises tricolores en quête de développement sur ce marché émergent où le pouvoir d’achat explose littéralement. A noter qu’en plus de la Chine, on peut compter l’Inde, Taïwan et le Vietnam où les implantations et les investissements français restent constants et solides.



Le passe sanitaire franchit une nouvelle étape et devient obligatoire à partir de ce lundi 30 août pour les personnes travaillant en contact avec le public. Cette mesure concerne en premier lieu les restaurants, cinémas, musées et trains grandes lignes.

Par Eric Orsini

Les employeurs auront jusqu’au 15 novembre pour s’assurer de la validité du passe sanitaire de leur salariés et bénévoles dans tous « les lieux, établissements, services ou évènements » que le ministère du Travail a listé, c’est à dire les bars, théâtres, cars ou avions interrégionaux, parcs d’attractions, zoos, foires et certains centres commerciaux.

« Si vous êtes le responsable d’un établissement et que manifestement vous ne voulez pas contrôler le passe sanitaire et l’appliquer, vous vous exposez d’abord à un avertissement, une mise en demeure, et potentiellement une fermeture administrative », a expliqué Gabriel Attal, le porte-parole du gouvernement.

Le contrat de travail pourrait être suspendu

Les salariés dépourvus du fameux passe sanitaire auront la possibilité de prendre des congés, d’opter pour le télétravail, de se voir affectés à un poste ne nécessitant pas de passe sanitaire ou même être suspendus sans solde.

« Comme il y a beaucoup de Français vaccinés, vous avez une proportion à peu près équivalente dans les entreprises », précise Benoît Serre, vice-président de l’Association nationale des directeurs des ressources humaines (ANDRH). « Si au bout de plusieurs semaines », les salariés récalcitrants « ne sont toujours pas sous passe sanitaire », l’entreprise « rentrera dans un système de suspension du contrat de travail », ce qui est « une décision lourde », a-t-il déclaré sur Franceinfo.

Cette mesure de passe sanitaire obligatoire pour certains salariés entrera en vigueur notamment à la SNCF et s’appliquera aux contrôleurs et agents de la sûreté ferroviaire en fonction dans les TGV, les trains Intercités et trains internationaux au départ de la France mais également aux salariés des entreprises sous-traitantes de nettoyage et de la restauration à bord des trains, ce qui représente plus de 5 000 salariés concernés, selon la SNCF.

L’entreprise déclare qu’elle assurera « 100 % du plan de transport dans les prochaines semaines » avec « 70 % des salariés vaccinés » selon une porte-parole de la SNCF.

Les syndicats sont fort partagés sur cette nouvelle mesure. La CFDT avait approuvé pendant l’été le texte issu des débats parlementaires sur la loi sanitaire mais la CGT avait critiqué la possible suspension de contrats de travail, dénonçant une « santion totalement inédite et disproportionnée ». De son côté, FO parle de « sanction lourde ».

Une réunion intersyndicale nationale aura lieu aujourd’hui lundi 30 août. Elle rassemblera la CGT, FO, CFE-CGC, FSU, Solidaires, ainsi qu’Unef, MNL et UNL, à l’exception de la CFDT. Ces syndicats envisagent une journée de mobilisation le 5 octobre contre la réforme de l’assurance chômage mais la question du passe sanitaire viendra s’inviter sans aucun doute à ces discussions, alors que des manifestation d’opposants se tiennent tous les samedis depuis le 17 juillet.

Une semaine de souplesse

Gabriel Attal a cependant promis ce dimanche , « une semaine de souplesse, de pédagogie, de rodage, de tolérance ». Au-delà de cette semaine, des sanctions seront appliquées contre les récalcitrants, annonce-t-il dans la même foulée au micro du Grand Jury LCI-RTL-Le Figaro.

Les sanctions en question commenceront par une amende de 135 euros pour la premiere infraction tandis que la deuxième pourra atteindre 1500 euros. En cas de récidive de plus de 3 fois en 30 jours, la sanction sera de 6 mois d’emprisonnement et de 3750 euros d’amende. Si une entreprise refuse délibérement de contrôler ses employés, elle risque dans un premier temps une fermeture administrative de sept jours et l’employeur pourra se voir infliger une amende de 9000 euros s’il récidive.

Pour les salariés n’ayant pas de passe sanitaire, ils se verront proposer un autre poste de travail à l’écart du public ou seront mis en télétravail. Si ces solutions ne sont pas possibles, on peut leur proposer de poser des congés, ou éventuellement même leur imposer une suspension de leur contrat de travail ainsi que du versement de leur salaire.

Par contre, Ils ne pourront pas être licenciés…

L’Université d’été du Medef 2021 a servi de tribune à Bruno Le Maire pour annoncer officiellement aux patrons la fin des mesures de soutien à l’ensemble des secteurs économiques. Xavier Bertrand et Valérie Pecresse ont, pour leur part, profité discrètement de l’évènement pour aller à la rencontre des dirigeants d’entreprises.

Par Serge de Cluny

Le ministre de l’économie a montré la volonté du gouvernement d’essayer de tourner la page du Covid-19 pour se concentrer sur la relance économique et se projeter vers l’avenir en actant la fin du « quoi qu’il en coûte ». Durant la crise sanitaire, «nous n’avons pas compté l’argent public parce que c’était responsable de le faire. Mais maintenant que l’économie française redémarre, que nous avons des perspectives de croissance à 6%, le quoi qu’il en coûte c’est fini», a-t-il déclaré de manière frontale aux patrons présents ce mercredi 25 aout à l’université d’été du Medef 2021.

Pour les entreprises encore soumises aux restrictions sanitaires (culture, hôtellerie-restauration…), elles seront le centre des discussions prévues lors de la réunion du lundi 30 août à Bercy ayant pour but de mesurer l’ampleur des préjudices subis et d’envisager le maintien de certaines aides au-delà du 31 août. « Nous regarderons ceux qui ont perdu du chiffre d’affaires pendant cette crise sanitaire, pendant ce mois de passe sanitaire, et nous aiderons ceux qui ont perdu de l’argent à cause des réglementations sanitaires, a promis le ministre. 

Les propos du ministre s’inscrivent dans la même ligne que celle de Geoffroy Roux de Bézieux, le président du Medef qui déclarait : « Le passe sanitaire n’est pas une dictature sanitaire, nous y sommes favorables », mais « pas partout, pas tout le temps, et le moins longtemps possible, car son impact peut être très pénalisant ». De plus, « il faut arrêter le “quoi qu’il en coûte” », mais « continuer à aider les secteurs qui en ont besoin, de manière pointilliste » déclarait-il dans le discours inaugural de l’université d’été du Medef 2021 .

Le ministre de l’économie a profité de l’occasion pour afficher un optimisme volontariste en exprimant ses souhaits. «Que l’économie soit libre, qu’elle crée des emplois et de la richesse sans le soutien de l’Etat !», a-t-il lancé. Cet optimisme se ressentait déjà lors de ces récentes déclaration dans les médias : «L’économie tourne à 99% de ses capacités par rapport à 2019» assurait-il jeudi 19 aout dans une interview à Sud-Ouest. Ou encore : «L’économie française se porte bien», confirmait-il lors de son intervention à l’émission les Quatre Vérités sur France 2 le lundi 23 aout.

Cet optimisme de rigueur dans le gouvernement pourrait cependant se heurter à situation sanitaire imprévisible qui pourrait encore venir pertuber ces belles prévisions…

À la crise sanitaire et économique est venue s’ajouter une crise psychologique majeure avec une forte augmentation des risques psychosociaux. Depuis l’arrêt de la Cour de cassation du 6 janvier 2021, l’employeur a d’ailleurs l’obligation légale de prendre des mesures de prévention de la santé mentale de ses salariés.

Lors de notre prochain webinaire jeudi 9 septembre de 11h30 à 12h15, Zest et son partenaire Qualisocial, acteur majeur dans la prévention des RPS et de l’amélioration de la QVT, vous présenteront des approches et solutions simples pour :

  • détecter rapidement les signaux faibles et les situations à risque
  • identifier les leviers de satisfaction et de motivation de vos collaborateurs
  • respecter les obligations légales en prévenant et gérant les RPS en temps réel

N’hésitez pas à vous inscrire ici !

Et si vous n’êtes pas disponible mais que ce sujet vous intéresse, nous vous invitons à vous inscrire quand même et nous vous enverrons le replay du webinaire par mail.

Nombre de PME et ETI industrielles françaises ont été impactées par la crise sanitaire et le gouvernement a répondu à cette situation par des mesures d’aides conjoncturelles fortes. Cependant il existe un moyen supplémentaire pour ces entreprises de renforcer leur trésorerie… celui de demander le remboursement partiel des taxes énergétiques supportées.

Par Franck Boccara

Le principe est simple ; une entreprise qui paie sa consommation d’énergie (gaz ou électricité) s’acquitte par la même occasion de taxes énergétiques qui atteignent environ 1/3 de la facture. La loi offre la possibilité aux entreprises ayant une activité « énergivore » de bénéficier de tarifs réduits et quelquefois d’exonérations.

Pour obtenir ces allègements, les entreprises concernées doivent bien sur effectuer des formalités administratives mais la bonne nouvelle est que ces démarches ont un aspect rétroactif et peuvent donc s’appliquer au remboursement des taxes supportées par le passé.

Comment fonctionnent les taxes énergétiques ?

Les taxes énergétiques sont facturées par les fournisseurs d’énergie auprès des consommateurs (particuliers, entreprises et collectivités) pour être ensuite reversées à l’administration des douanes en charge de cette taxation.

Lorsqu’une entreprise paye sa consommation d’électricité, elle règle en même temps la TICFE (Taxe Intérieure sur la Consommation Finale d’Electricité) avec un tarif de 22,50 € par mégawattheure. Cette taxe équivaut à 25 % du prix vente.

Pour le gaz, il s’agit de la TICGN (Taxe Intérieure de Consommation sur le Gaz Naturel) qui est tarifée à 5,23€ par mégawattheure lorsque le gaz est utilisé comme carburant et de 8,43€ par mégawattheure lorsqu’il est consommé comme combustible.

Ces taxes restent une source de revenus considérable pour l’Etat car elle représentent aujourd’hui sa quatrième recette fiscale.

Heureusement, le législateur a prévu des mesures d’optimisation fiscale par le biais de nombreux taux réduits et exonérations permettant de soutenir la compétitivité des secteurs les plus énergivores. Cependant la plupart des PME et ETI industrielles sont éligibles, notamment celles dont l’activité est considérée comme exposée à un risque de fuite de carbone (et donc en proie à la concurrence internationale).

Pour bénéficier de ces aides, l’entreprise devra fournir à l’administration des douanes et à son fournisseur d’énergie une attestation prouvant qu’elle répond aux critères d’éligibilité. Cette attestation sera valable pour toute la durée du contrat de fourniture.

Le remboursement des taxes énergétiques

Si les démarches administratives n’ont pas été effectuées, les fournisseurs d’énergie se réfèrent par défaut au taux plein des taxes énergétiques dans leur facturation.

Pour pallier au manque d’information ou à la négligence de certaines entreprises, la règlementation leur donne la possibilité d’obtenir un remboursement des montants payés au cours des deux dernières années ainsi que pour l’année en cours (2019, 2020 et 2021).

Les entreprises concernées devront soumettre un dossier de demande de remboursement à l’administration des douanes témoignant du fait que leur activité est considérée comme industrielle selon le droit douanier et qu’elle est l’énergo-intensive. Ce dossier de demande est composé de l’ensemble des factures énergétiques, d’un état récapitulatif des consommations, d’un formulaire de détermination de la valeur ajoutée et du RIB de l’entreprise. L’administration douanière s’engage à traiter ces dossier dans un délai maximum de quatre mois.



L’activité de la plateforme d’hébergement Airbnb a vu son activité augmenter très fortement pendant le deuxième trimestre. L’assouplissement de certaines restrictions liées à la crise du Covid-19 et la reprise des voyages d’affaires expliquent en grande partie ce redemarrage en trombe.

Par Eric Orsini

Les résultats d’Airbnb au deuxième trimestre ont déjoué toutes les prévisions des spécialistes qui annoncaient le prolongement de la morosité pour la plateforme de réservation en ligne.

Entre les mois d’avril et de juin 2021, le chiffre d’affaire d’Airbnb a atteint 1,34 milliard de dollars et ainsi multiplié par quatre les résultats de la même période en 2020. Cette activité inattendue a même dépassé de 10 % celle d’avril à juin 2019, avant le Covid-19.
Ce deuxième trimestre 2020 a permis à Airbnb de dégager un Ebitda ajusté de 217 millions de dollars et de limiter ainsi sa perte nette à 68 millions de dollars alors que le marché et les spécialistes annoncaient une perte quatre fois plus importante.

On parle de 83,1 millions de nuitées et expériences réservées pendant cette période, ce qui équivaut à une hausse de 200 % par rapport à 2020 et à une baisse d’1% par rapport à 2019, avant la crise sanitaire. Les investisseurs, de leur côté, n’ont pas accompagné cette envolée de l’activité puisque le titre Airbnb a connu une chute d’envoiron 5 % dans les échanges après-Bourse du jeudi 12 aout.

Concernant le troisième trimestre, tout dépendra évidemment des variants du Covid-19 et de la façon dont les pays vont réagir avec la probable mise en place de nouvelles politiques de restrictions sanitaires. « Nous commençons à sentir un impact sur les annulations et l’évolution des réservations », a déclaré Airbnb à ses actionnaires. 

Par contre, dans son communiqué, le leader de l’hébergement entre particuliers se montre bien plus optimiste : « Alors que la pandémie de Covid-19 crée une incertitude continue pour nos résultats futurs, nous prévoyons que le chiffre d’affaires du troisième trimestre 2021 sera notre chiffre d’affaires trimestriel le plus élevé jamais enregistré et qu’il fournira les dollars d’Ebitda ajusté et la marge les plus élevés jamais enregistrés »…. qui vivra verra !

Le gouvernement continue sa politique de soutien à destination des entreprises impactées par la crise du Covid-19. Dans le cadre de la loi du 31 mai 2021, un dispositif de redressement judiciaire simplifié sous forme de procédure collective vient d’être crée pour accompagner les PME en cessation de paiements.

Par Franck Boccara

Grâce à cette mesure, les entreprises en état de cessation de paiements auront droit à une « procédure de traitement de sortie de crise » qui leur permettra de bénéficier d’un plan d’apurement du passif à l’issue d’une brève période d’observation.

Une forme de redressement judiciaire simplifié

A l’instar du redressement judiciaire, cette nouvelle mesure a été mise en place afin de permettre aux PME qui connaissent des difficultés de remboursement de leurs dettes de présenter, sous l’égide du Tribunal, un plan d’apurement du passif.

Accompagnée par un spécialiste des procédures collectives, la PME en question pourra, après une courte période d’observation de 3 mois maximum, prétendre à un étalement de son passif sur une durée pouvant atteindre 10 ans. Ainsi, ce redressement judiciaire simplifié permet au dirigeant de ne pas s’exposer au dépôt d’une offre de reprise par un tiers.

Créer un plan de continuation par l’apurement du passif

La PME, à la condition qu’elle ait une comptabilité fiable et à jour, pourra inclure l’ensemble de ses dettes (fiscales, sociales, bancaires, fournisseurs) dans son plan d’apurement. Cette solution va ainsi lui permettre de mettre en place un plan de remboursement précisément adaptés à ces besoins.

La loi prévoit le remboursement de 8 % du passif au minimum dans les trois années suivant la procédure et les créanciers se verront donc proposer plusieurs modèles de remboursement du passif. Le plan va permettre d’étaler le paiement du passif sur un maximum de 10 ans, mais également d’opter pour d’autres possibilités comme par exemple l’abandon partiel de créances ou la conversion de créances en capital.

Cette procédure simplifiée et souple semble pouvoir convenir aux entreprises qui recherchent une solution maîtrisée à leurs difficultés mais il n’est pas certain que les dirigeants fortement endettés par la crise sanitaire opteront pour ce dispositif qui remet en question le mode traditionnel de gestion de passifs.

Le Dubai World Trade Centre vous attend du 17 au 21 octobre pour l’édition du GITEX 2021, le plus grand évènement Tech & Startups de la zone Moyen-Orient, Afrique & Asie Sud-Est. Un rendez-vous à ne pas manquer pour les start-ups innovantes de la French Tech.

Dirigeants de PME et ETI innovantes, voici quelques raisons pour ne pas hésiter à confirmer votre présence au GITEX 2021

  • GITEX est le plus grand salon technologique de la région MEASA (Moyen-Orient, Afrique et Asie du Sud). Vous aurez donc l’occasion d’y rencontrer les principaux acteurs de toutes ces régions du monde.
  • Dubaï se positionne comme « LE HUB » des TIC au Moyen-Orient
  • La 39ème édition du GITEX en 2019 a reçu pas moins de 150.000 visiteurs en provenance de 140 pays et 4500 exposants issus de 97 pays différents
  • L’édition 2020 a, dans le contexte sanitaire Covid19, eu lieu sous forme hybride, live et virtuel. Bien qu’ayant accueilli moins d’exposants et de visiteurs, cet évènement, le premier à avoir été organisé « Live » après le début de la pandémie, a rencontré un succès inespéré
  • Cette année, GITEX est organisé pendant l’Exposition Universelle Dubaï 2020
  • Vous y rencontrerez tous les grands joueurs du secteur: Microsoft, LG, Amazon, Dell, SAP, HP, Intel, Panasonic…
  • Beaucoup de stands nationaux y sont également présents, notamment Israël (depuis 2020) ainsi que l’Inde, la Chine, la France, la Roumanie, le Nigéria, la Suisse, les pays du Golfe, l’Allemagne, le Royaume-Uni et la Russie.
  • GITEX, de par sa dimension régionale et internationale et la multiplicité des secteurs représentés, reste le salon incontournable pour toute entreprise des TIC qui désire se développer dans la zone MEASA.
Benefices-Gitex

Voici les 19 secteurs mis en avant au GITEX 2021 :

  • Agro-Tech
  • Artificial Intelligence
  • Blockchain
  • Creative Economy
  • Consumer Tech
  • Digital & Social Media
  • Software
  • Tourism & Hospitality
  • Women in Tech
  • Education
  • Mobility
  • Fintech & E-commerce
  • Healthcare
  • Immersive AR / VR
  • Environmental & Social Impact
  • Robotics
  • Smart Cities & IoT
  • Space Tech
  • Sports Tech

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