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International

PME-ETI.fr et la CCI Paris Ile-de-France : Ensemble pour vous ouvrir les portes de l'international
PME-ETI.fr et la CCI Paris Ile-de-France sont fiers de vous présenter ce partenariat qui a pour ambition de démystifier l’export et d’inciter plus de PME et ETI à se tourner vers l’international. Les raisons qui freinent l’internationalisation des entreprises à fort potentiel sont nombreuses et le dispositif Team France Export, dont la CCI fait partie, offre des solutions concrètes pour surmonter chacun de ces obstacles. Et puisque tout commence par l’information, PME-ETI.fr s’engage à vous connecter en temps réel aux principaux évènements et aux dernières actualités de la CCI. Pierre Mongrué, DGA CCI Paris Ile-de-France International et Franck Boccara, Président de PME-ETI.fr, partagent dans ce film leur témoignages respectifs et vous transmettent l’optimisme nécessaire pour conquérir de nouveaux marchés à l’export.
Visite d'Emmanuel Macron au Maroc : Les perspectives pour les PME et ETI
La récente visite d’Emmanuel Macron au Maroc a marqué une étape importante dans les relations entre les deux pays, ouvrant de nouvelles perspectives pour les entreprises françaises. Ce déplacement, où le président était accompagné de nombreux chefs d’entreprise, témoigne d’un engagement commun pour renforcer la coopération économique. Cette visite est riche en opportunités pour les PME et ETI françaises, leur offrant des possibilités d’implantation et de développement sur le marché marocain, en s’appuyant sur des partenariats solides et de futurs projets communs. Par Franck Boccara
Présence des entreprises françaises au Maroc : une collaboration de longue date
Depuis plusieurs décennies, les entreprises françaises sont implantées au Maroc, jouant un rôle majeur dans l’économie du pays. Environ 1 000 filiales d’entreprises françaises y sont présentes, avec des noms bien connus tels que Renault, Orange, TotalEnergies, et Danone, qui investissent dans des secteurs stratégiques comme l’industrie, les télécommunications, l’énergie et l’agroalimentaire. Ces grands groupes contribuent à la modernisation de l’économie marocaine et à la création d’emplois. Pour les PME et ETI françaises, le Maroc est également un marché privilégié. La langue commune, la proximité géographique et les liens culturels facilitent leur développement, tandis que des zones franches et des avantages fiscaux, comme dans la zone de Tanger Med, favorisent l’implantation de nouvelles entreprises. La visite de Macron a permis de confirmer le soutien des deux gouvernements aux projets d’investissement, consolidant les partenariats déjà existants et offrant des perspectives pour les nouvelles entreprises françaises souhaitant pénétrer ce marché.
Une délégation d’entreprises françaises : des projets concrets pour le développement au Maroc
Parmi les entreprises qui se sont jointes à la visite d’Emmanuel Macron au Maroc, plusieurs PME et ETI, ainsi que des grands groupes, reflètent la diversité des secteurs d’intérêt pour les deux pays. Par exemple, EDF Renouvelables et Engie ont participé à cette visite avec un objectif commun de développer des projets dans les énergies renouvelables. Le Maroc est un pays pionnier en Afrique dans ce domaine, avec l’ambition d’atteindre 52 % d’énergies renouvelables d’ici 2030, et cette visite a été l’occasion de poser les bases de nouveaux partenariats franco-marocains dans les infrastructures énergétiques. Les entreprises comme Vinci et Eiffage, leaders dans les infrastructures et la construction, étaient également présentes. Leur expertise dans les grands travaux et leur expérience au Maroc depuis plusieurs années les placent en position idéale pour répondre aux futurs appels d’offres pour des projets d’infrastructure, notamment dans les transports et le bâtiment. Le développement d’infrastructures telles que les routes, les ponts et les ports fait partie des priorités du gouvernement marocain pour soutenir la croissance économique. Par exemple, le projet de ligne de train à grande vitesse reliant Casablanca à Agadir pourrait être une opportunité pour ces entreprises françaises, qui ont déjà contribué au premier TGV africain entre Tanger et Casablanca. Les ambitions économiques derrière la visite d'Emmanuel Macron au Maroc
Opportunités pour les PME et ETI françaises : secteurs clés et projets envisagés
Les PME et ETI françaises peuvent également bénéficier des perspectives ouvertes par cette visite, notamment dans des secteurs en forte croissance : 1. Les énergies renouvelables : Avec des entreprises comme EDF Renouvelables et Engie, les PME spécialisées dans les solutions de gestion de l’énergie, les panneaux photovoltaïques, et l’efficacité énergétique pourront tirer parti des projets d’infrastructures écologiques au Maroc. Un projet de développement de parcs éoliens dans la région de Laâyoune, dans le sud du Maroc, pourrait également impliquer des entreprises françaises, offrant des opportunités aux PME françaises dans les composants technologiques ou les services de maintenance. 2. Les nouvelles technologies et la transformation numérique : La demande en solutions numériques et cybersécurité est en pleine croissance au Maroc. Atos et Capgemini, présents dans la délégation, visent à renforcer leur présence en proposant des solutions de transformation numérique et de cybersécurité, notamment pour le secteur public marocain. Des PME françaises innovantes dans l’intelligence artificielle, les plateformes de gestion des données, ou encore la cybersécurité peuvent aussi trouver leur place sur ce marché dynamique. Le gouvernement marocain prévoit également de lancer un programme pour digitaliser plusieurs services administratifs, créant ainsi des appels d’offres pour des entreprises françaises de technologies de l’information. 3. L’agroalimentaire et la transformation alimentaire : Les entreprises françaises du secteur agroalimentaire, comme Danone et Bel, renforcent leur collaboration avec des partenaires marocains pour le développement de produits adaptés aux consommateurs locaux. Les PME spécialisées dans les équipements de transformation alimentaire et les technologies agricoles peuvent participer à ce mouvement, en introduisant par exemple des solutions de traitement durable des aliments ou d’irrigation intelligente. Un projet récent de modernisation des chaînes de production dans la région de Souss-Massa, une zone clé pour l’agriculture marocaine, est une opportunité pour les entreprises françaises d’apporter leur savoir-faire. 4. Les infrastructures et le transport durable : Avec des projets d’infrastructure en pleine expansion, notamment pour moderniser les systèmes de transport et les installations portuaires, le Maroc offre des perspectives solides aux entreprises françaises. Des projets tels que l’expansion du port de Tanger Med, un des plus importants en Afrique, nécessitent des investissements en infrastructures et en logistique, dans lesquels les entreprises françaises, comme Vinci et Eiffage, et même des PME de l’ingénierie ou de la maintenance, pourraient jouer un rôle majeur. 5. La santé et la biotechnologie : La pandémie a accéléré le besoin de moderniser les infrastructures de santé au Maroc, et des entreprises comme Sanofi étaient présentes dans la délégation pour envisager des collaborations. Des PME et ETI françaises innovantes dans le secteur de la santé, comme Medtech et Biomerieux, pourraient ainsi introduire des solutions en télémédecine, en diagnostic rapide ou en équipements médicaux. Le gouvernement marocain prévoit de renforcer le réseau hospitalier et les équipements de santé, notamment en partenariat avec des entreprises étrangères, ce qui pourrait mener à des contrats intéressants pour les entreprises françaises.
Perspectives pour les entreprises françaises : un climat d’affaires propice
Le Maroc est aujourd’hui l’un des pays les plus stables et attractifs pour les investisseurs étrangers en Afrique, avec une fiscalité avantageuse dans certaines zones et un soutien fort aux projets d’investissement. En s’appuyant sur les zones franches, comme celles de Tanger Med ou de Casablanca Finance City, les entreprises françaises peuvent facilement exporter leurs produits vers d’autres marchés africains. Lors de cette visite, Emmanuel Macron a souligné l’importance de ces infrastructures pour favoriser le développement de nouvelles activités. Les entreprises françaises, en particulier les PME et ETI, pourraient bénéficier de nouvelles incitations pour s’installer au Maroc ou développer des partenariats avec des acteurs locaux. Des programmes d’incubation et des dispositifs de financement ont été discutés entre les deux gouvernements pour faciliter l’accès des entreprises françaises à des projets stratégiques. La visite d’Emmanuel Macron au Maroc représente une étape importante pour les relations franco-marocaines. Elle ouvre des opportunités concrètes pour les entreprises françaises, notamment dans les secteurs des énergies renouvelables, des technologies numériques, des infrastructures, de la santé et de l’agroalimentaire. Les PME et ETI françaises bénéficient d’un climat favorable pour investir, en s’appuyant sur le soutien des deux gouvernements pour faciliter leur implantation et leur accès aux marchés marocains et africains. Les perspectives de croissance sont particulièrement prometteuses, et cette visite pourrait bien marquer le début d’une nouvelle ère de coopération économique entre les deux pays. Pour les PME et ETI françaises, le Maroc constitue aujourd’hui une porte d’entrée privilégiée vers l’Afrique et un marché de choix pour des projets à fort potentiel de croissance. La CCI France Maroc peut vous y accompagner, renseignez-vous!
 
Road to export : l'export ça s'apprend et ça marche avec la CCI Paris Ile-de-France
Vous fabriquez et commercialisez des biens et souhaitez vous lancer à l’international ? Road to export est un programme CCI de Paris Île-de-France, financé par la Région Île-de-France, conçu pour accompagner les entreprises dans leur développement à l’international. Saisissez cette opportunité d’aborder le monde de l’export avec des acteurs clés pour l’essor de votre activité. Experts des enjeux de l’internationalisation des entreprises, notamment des PME et ETI, ils connaissent et maitrisent les problématiques d’une réussite à l’export. Votre besoin Vous ne savez pas par où commencer, quel marché prioriser, quel partenaire consulter ? Vous manquez de connaissances pour évaluer les risques et réussir vos opérations d’exportation sereinement ? Nos actions concrètes
  • Bénéficiez d’un programme d’accélération sur mesure qui répondra à toutes vos questions ;
  • Faites de l’international un levier durable de votre croissance ;
  • Soyez entouré et suivi par les experts et les conseillers export de la CCI Paris Île-de-France.
Parcours complet de 6 mois Parcours Road To Export Coût  Tarif du programme : 2000 € HT (coût réel du programme : 12 000 € HT dont 10 000 € HT pris en charge par la Région Île-de-France) Appel à candidature : Jusqu’au 22 novembre 2024
Vous êtes : une TPE/PME avec chaine de production en IDF avec un CA export < 10% du CA global, dans un de ces secteurs – Numérique, Industrie de la donnée et industries créatives – Écoconstruction, ville durable et intelligente – Energies vertes et décarbonées – Aéronautique – Spatial – Défense – Mobilité durable et intelligente (dont automobile) – Santé et soins – Luxe et cosmétique – Agriculture, agro-alimentaire et nutrition
Action financée par la Région Ile-de-france

Bénéfices de Road to export

Rapidité et efficacité 6 mois pour structurer votre projet incluant toutes les étapes de l’internationalisation Innovation et expertise Programme associant coaching, contenus techniques et mise en pratique encadré par une équipe d’experts
Reconnaissance des acteurs publics La CCI paris Ile-de-France accompagne les TPE et PME franciliennes sur + de 1000 actions par an

Contacter Road to Export

Space Tech Expo Europe 2024 avec la CCI Paris Ile-de-France
Exposez sur l’espace collectif France de la CCI Paris Ile-de-France en plein cœur du HALL 6 du salon Space Tech Expo Europe rassemblant les leaders de l’industrie spatiale de plus de 40 pays. L’évènement se tiendra du 19 au 21 novembre 2024 à Brême en Allemagne avec plus de 6500 visiteurs, 3500 rendez-vous BtoB et 700 exposants venus des 40 pays représentés. A ne pas manquer pour les entreprises du secteur spatial! 

Qu’est-ce que le Salon Space Tech Expo Europe ?

Evénement majeur dans le domaine du spatial en Europe, la 7e édition du salon Space Tech Expo se déroulera à Brême, en Allemagne, du 19 au 21 novembre 2024. Cet événement, en pleine croissance, réunit chaque année les leaders de l’industrie spatiale venant de plus de 40 pays. Premier budget européen pour la filière, la France finance de nombreuses missions scientifiques dans ce secteur, contribue au développement des programmes européens en renforçant une autonomie stratégique nationale. Le secteur spatial est l’un des objectifs prioritaires du plan France 2030 : 9 milliards d’euros seront investis sur les prochaines années. Dans ce contexte porteur, la CCI Paris Île-de-France fédère et accompagne les entreprises françaises. Rejoignez le Pavillon France de Space Tech Expo !

Pourquoi exposer au sein du Pavillon France de la CCI Paris Ile-de-France ?

Un stand clé en main et un appui logistique  :
  • Livraison d’un stand clé en main à partir de 6 m2
  • Appui technique pendant les jours de montage et pendant toute la durée du salon,
  • 2 chefs de projet dédiés et présents sur l’événement,
Une visibilité accrue, du networking et des conférences :
  • Emplacement stratégique dans le Hall 6, un des 3 halls majeurs d’exposition de Space Tech
  • Organisation d’un « Business Tour » : rencontres avec les grands comptes, les clusters, les institutionnels et les acteurs du secteur spatial, en partenariat avec le réseau Europe Entreprise Network (EEN)
  • Participation à la soirée France en partenariat avec la CCI Occitanie : 1 invitation par exposant + 2 accompagnateurs
  • Visibilité avec une signalétique haute chartée aux couleurs de la France
  • Invitations aux soirées Networking proposées par l’organisateur
  • Accès gratuits aux conférences
  • Contacts privilégiés avec les interlocuteurs d’EEN, qui organisent les rendez-vous B2B.
  • Tarifs avantageux sur l’Elevator Pitch en amont du salon

Nous contacter pour exposer sur l’espace collectif France du salon Space Tech Expo 2024

Complétez le formulaire ci-dessous, un conseiller prendra rapidement contact avec vous

 
Fondamentaux macroéconomiques relativement solides, nearshoring, taux d’intérêt attractifs : il n’est pas nécessaire de regarder bien loin pour bénéficier du potentiel émergent. À l’instar de l’Asie et de l’Amérique latinela région émergente Europe, Moyen-Orient et Afrique (EMEA) abrite des opportunités intéressantes pour les investisseurs. Composée de territoires riches en matières premières, guidés par leur industrie agricole ou manufacturière, la région révèle des économies diversifiées. Elle se distingue cependant par les disparités fortes entre les différents pays qui la constituent. S’intéresser aux particularités de chacun se révèle nécessaire pour identifier les marchés et les actifs prometteurs, et ce, en prenant en compte les risques associés. Alors que l’Europe de l’Est est au cœur de la crise ukrainienne, ses répercussions résonnent différemment selon les pays, et certains d’entre eux offrent aujourd’hui un potentiel de rendement intéressant, notamment pour les investisseurs obligataires en quête de diversification.

Europe de l’Est : le potentiel émergent à proximité

Plus d’un an après la première offensive russe en Ukraine, les multiples conséquences humanitaires, politiques et économiques qui en découlent sont toujours manifestes à l’échelle mondiale et ont à plus forte raison ébranlé les pays d’Europe de l’Est. Les tensions engendrées par le conflit et les sanctions infligées à la Russie par les pays occidentaux ont mené à une crise énergétique majeure, notamment en Europe, fortement dépendante des combustibles fossiles russes. Cette crise énergétique couplée aux retombées de la pandémie de Covid-19 et aux politiques monétaires en résultant a ainsi mené le monde dans un nouvel environnement inflationniste tel que nous n’en avions pas connu depuis des décennies. Pour autant, certains pays d’Europe de l’Est, en amorçant un cycle de hausse des taux d’intérêt peu après la crise sanitaire, ont su dans une certaine mesure contenir cette hausse généralisée des prix, et ce, malgré la détérioration marquée de leurs relations commerciales avec la Russie. Cela leur a permis de disposer d’une plus grande marge de manœuvre que les pays développés dans la mise en œuvre de leur politique monétaire. Ainsi, après avoir vu l’inflation atteindre des niveaux très élevés, certains pays, à l’image de la Hongrie, de la Pologne ou de la République tchèque, devraient faire partie des premiers à enclencher un cycle de baisse des taux, à partir de niveaux actuellement très attractifs. En parallèle, les tensions provoquées par la crise ukrainienne ont incité certaines entreprises au sein de l’Union européenne à rechercher des solutions alternatives pour pallier les incertitudes liées aux chaînes d’approvisionnement, notamment en relocalisant une partie de leurs activités de production en Europe de l’Est, qui offre une main-d’œuvre qualifiée à un coût plus compétitif. Dans ce nouvel ordre géopolitique, certains pays de la région, bénéficiant de cette dynamique et justifiant de fondamentaux plus solides, offrent des opportunités à long terme attractives, par exemple au sein des marchés obligataires hongrois et roumains. Compte tenu du contexte toujours incertain, une gestion active et flexible se montre cependant essentielle pour en tirer parti tout en en évitant les écueils.

Hongrie : un émetteur prometteur

Carmignac Alors que la hausse des prix de l’énergie ralentit globalement, ses répercussions sur les prix des denrées alimentaires se révèlent considérables. La Hongrie a été plus particulièrement touchée par le phénomène, ayant enregistré en mars un taux d’inflation alimentaire record de 25,6% sur un an – plus de trois fois le taux de l’ensemble de l’Union européenne, dont la moyenne s’élevait à 8,3%1Cependant, la tendance à la baisse de l’inflation alimentaire mondiale devrait influencer le comportement de l’inflation hongroise, comme le confirment les chiffres en régression sur ces deux derniers mois. Dans ses efforts pour contenir la progression de l’inflation, la Hongrie a ainsi débuté, bien avant la plupart des pays développés, un cycle de hausse des taux, et affiche depuis septembre 2022 un taux directeur s’élevant à 13%2. En outre, la relative solidité de ses fondamentaux macro-économiques fait de la Hongrie un émetteur intéressant à long terme. La rigueur de sa politique budgétaire et le durcissement de cette dernière en 2022 pour parer à la dégradation de son déficit ont contribué à maintenir sa dette à un niveau peu élevé, minimisant ainsi son risque de défaut de paiement. Enfin, la Hongrie cherche activement à s’améliorer sur les aspects environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG). Le pays s’est notamment engagé à honorer l’objectif européen de neutralité carbone, et prévoit de fermer sa dernière centrale à charbon dès 2025, tout en investissant dans les énergies renouvelables3. Dans ce contexte, la Hongrie peut être un émetteur clé pour diversifier son portefeuille et permettre potentiellement de bénéficier de rendements attrayants :
  • La dette souveraine locale offre des taux d’intérêt réels très attractifs pour les investisseurs, qui pourraient également bénéficier de manière tactique d’une revalorisation de sa devise.

  • Les perspectives d’une récession économique à l’échelle mondiale pourraient également profiter à la dette souveraine externe hongroise, qui offrirait un potentiel de performance à long terme.

LE SAVIEZ-VOUS ?

Experts de la dette émergente depuis 2015, nous avons créé un Fonds dédié à cette classe d’actifs en 2017, Carmignac Portfolio EM Debt.

Visitez la page du Fonds

La diversité de la Roumanie

Carmignac Grâce à son économie diversifiée, ses différentes sources d’approvisionnement en gaz naturel et sa production d’énergies renouvelables, la Roumanie limite l’impact commercial direct de la guerre en Ukraine sur son territoire. En effet, la Roumanie est la septième plus grande économie de l’Union européenne4, opérant au sein de secteurs clés tels que l’industrie manufacturière, l’agriculture, l’énergie, l’automobile ou les services. Le pays a pu compter sur ses propres ressources de charbon, de pétrole et de gaz, sa production d’énergies renouvelables, et se tourner vers d’autres fournisseurs lorsque le conflit russo-ukrainien a éclaté et que les sanctions vis-à-vis de la Russie se sont intensifiées. La dégradation des relations commerciales entre les pays occidentaux et la Russie ont également renforcé le phénomène de nearshoring au profit de la Roumanie. Les incertitudes liées à la guerre et la hausse des coûts de production résultant de la crise énergétique ont ainsi conduit de nombreux pays frontaliers à externaliser certaines de leurs activités en Roumanie, où les coûts sont compétitifs et la main-d’œuvre, qualifiée. Le retour global de l’inflation n’a pas épargné la Roumanie, qui a cependant su réagir rapidement pour tenter de la contrer. La Banque centrale roumaine a ainsi remonté ses taux d’intérêt directeurs jusqu’à atteindre 7% en janvier 20235. Son économie montre ainsi déjà des signes de ralentissement, plaidant en faveur d’une politique plus accommodante prochainement. La relative stabilité politique du pays, sa dette publique maintenue à un niveau faible par rapport à son produit intérieur brut (PIB) et ses efforts pour renforcer sa réponse à l’aspect environnemental des critères ESG sont autant de facteurs contribuant à l’attractivité de la Roumanie, notamment sur sa dette souveraine externe.

LE SAVIEZ-VOUS ?

Nous avons développé un système propriétaire de notation ESG de la dette souveraine nous permettant d’évaluer les objectifs et tendances des pays émergents sur les aspects environnementaux, sociaux et de gouvernance. Notre modèle est fondé sur 12 critères en ligne avec les principes pour l’investissement responsable (UNPRI) et couvre plus de 70 pays émergents. Au-delà de l’Europe de l’Est, certains pays d’Afrique peuvent également proposer des rendements attractifs au sein du spectre obligataire, à l’image du Bénin ou de la Côte d’Ivoire. Ces pays riches en matières premières investissent pour se développer et ainsi améliorer leurs fondamentaux macro-économiques. Au travers de notre série d’articles dédiés aux marchés émergents, nous avons découvert le potentiel de cet univers, que ce soit en Asie, en Amérique latine ou au sein de la région Europe, Moyen-Orient et Afrique, à la fois sur les marchés d’actions et sur les marchés obligataires. Le monde émergent recèle d’opportunités mais il est nécessaire de disposer de la flexibilité permettant de les saisir, où qu’elles soient, tout en faisant preuve d’une grande sélectivité et d’une gestion active des risques : c’est ce qui caractérise l’approche Carmignac. 1Eurostat, 19/04/2023. 2Magyar Nemzeti Bank, Base rate history. 3« La Hongrie prévoit sa sortie du charbon d’ici à 2025 », Euractiv : https://www.euractiv.fr/section/energie/news/hungary-brings-coal-exit-forward-by-five-years-to-2025/ 4Fonds monétaire international, 2021. 5Banca Națională a României, https://www.bnr.ro/Monetary-Policy–3318-Mobile.aspx. COMMUNICATION PUBLICITAIRE. Veuillez vous référer au KID et au prospectus avant de prendre toute décision finale d’investissement.
Les Rencontres d'Affaires Francophones et Africaines le 3 ocobre 2024 à la CCI Paris Ile-de-France
Dans le cadre du partenariat qui nous lie à la CCI Paris Ile-de-France, PME-ETI.fr vous tient informés en priorité des principaux évènements qui peuvent vous permettre de booster votre croissance et de rencontrer des acteurs-clés de l’économie. Développez votre activité en participant aux Rencontres d’Affaires Francophones et Africaines (RAFA), qui se dérouleront le 3 octobre,  27 avenue de Friedland à Paris 8eme. La CCI Paris Ile-de-France, membre de la CPCCAF*, vous propose ces rendez-vous d’affaires qui auront lieu à l’occasion des Ateliers de la Coopération Consulaire et Economique (ACCE) des 2 au 3 octobre 2024. 
Les RAFA sont un véritable tremplin pour encourager les partenaires et les relations d’affaires entre entreprises, facilités par la pratique d’une langue commune.

Pourquoi participer à ces rencontres ?

L’espace économique de la francophonie représente 88 états et gouvernements membres, 320 millions d’habitants, 20% du commerce mondial de marchandises, 16% du PIB mondial et un taux de croissance de 7% (Forbes Février 2022). Dans ce contexte, le partage de la langue française est un atout qui favorise les relations économiques et commerciales entre les pays membres. Les RAFA sont spécialement organisées pour vous aider à établir des contacts avec vos pairs venus de ces pays, majoritairement d’Afrique francophone. Plus de 400 participants attendus, en provenance de 20 pays africains et francophones tels que Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Guinée, Mali Niger, Sénégal, Togo, Cameroun, Centrafrique, Congo, Gabon, RD Congo, Tchad, Comores, Djibouti, Madagascar, Maroc, Mauritanie, Tunisie, Belgique, France, Haïti, Canada (Québec), Suisse… Que vous soyez une PME ou une grande entreprise, quel que soit votre secteur d’activité, les RAFA vous permettront de rencontrer des partenaires potentiels, d’explorer de nouvelles opportunités commerciales et de renforcer vos réseaux internationaux.

Programme du 3 octobre :

  • 9h00 à 10h30 : Atelier «  Marchés francophones : Réussir ses partenariats commerciaux » 

Animateur : Zoubir RABIA, Chef de projets internationaux – CCI Paris Ile-de-France 1 – Le Financement de projets à l’international Antoine AUSHANA, Adjoint au chef de bureau sur les crédits à l’exportation et garanties internationales et Thomas DELEMOTTE, Responsable des financements directs à l’export dans le secteur des transports en Afrique, Moyen-Orient et Europe de l’Est et du sport – Ministère de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique 2 – Comment identifier et valider des partenaires commerciaux ? Benoit MAILLE, Chargé de mission intelligence économique internationale – CCI Paris Ile-de-France 3 – Les contrats commerciaux internationaux : points de vigilances et obligations partagées Me Bahar BASSIRI-BARROIS, Avocate associée fondateur – BBP Avocats Associés 4 – La Protection industrielle et intellectuelle dans l’espace francophone Julie ZERBIB, Responsable du pôle actions partenariales -INPI 5 – Témoignage d’une entreprise française Véronique KELLER, Dirigeante Société S3A, solutions pour l’agro-alimentaire en Afrique, spécialisée dans les solutions pour la découpe et la transformation des viandes

  • 10h45 à 13h00 : Rendez-vous B to B avec plus de 20 pays représentés
  • 13h00 à 14h00 : Cocktail déjeunatoire de réseautage
  • 14h00 à 17h30 : Reprise des rendez-vous B to B
Un Dîner de gala est organisé le 2 octobre à 19h30 en présence des représentants des Chambres consulaires et des organisations intermédiaires et internationales membres de la CPCCAF*. Ces événéments s’inscrivent dans le programme du « Festival de la Francophonie » à l’occasion de l’accueil du Sommet de la Francophonie les 4 et 5 octobre 2024 en France.  Tarifs :
  • Rencontres d’affaires francophones et africaines (RAFA) du 3 octobre : 120 euros HT
  • Dîner de gala – networking du 2 octobre : 210 euros HT
  • Pack Dîner de gala + RAFA : 320 euros HT
*CPCCAF : la Conférence Permanente des Chambres Consulaires et organisations intermédiaires Africaines et Francophones est une association reconnue d’utilité publique, avec le statut d’OING accréditée par l’OIF. Elle rassemble 82 membres de 24 pays francophones, dont 20 pays africains. Elle a pour objet de favoriser la coopération institutionnelle et le développement économique par la mise en œuvre d’actions visant, d’une part, à renforcer les organismes de représentation et d’appui des entreprises africaines et francophones et, d’autre part, à mener des projets et programmes pour appuyer la croissance du secteur privé africain et francophone, ainsi que le développement des relations économiques entre les entreprises de ces pays.
« Faites de l’International » 2024 : la CCI Paris Ile-de-France vous accompagne à l’export
Dans le cadre de son partenariat avec la CCI Paris Ile-de-France, PME-ETI.fr s’engage à vous informer des évènements et initiatives majeurs de l’écosystème entrepreneurial de la région. Ce partenariat nous permet de vous offrir un accès privilégié aux opportunités de développement et aux ressources proposées par la Chambre de Commerce et d’Industrie, renforçant ainsi notre mission d’accompagnement et de soutien à la croissance des PME et ETI. Voici « Faites de l’International 2024 », un évènement à ne pas manquer pour vous positionner à l’international. Organisé par la CCI Paris Ile-de-France, « Faites de l’International » est un rendez-vous majeur des acteurs de l’accompagnement export des PME. L’événement est décliné tout au long de l’année dans chaque département francilien et se termine par un événement régional le 11 décembre 2024. Les prochaines éditions départementales : Hauts-de-Seine (92) – Lundi 14 octobre Boostez vos performances à l’international https://www.entreprises.cci-paris-idf.fr/web/international/faitesdelinternational/cci-92 Seine-Saint-Denis (93) – Mardi 12 novembre L’Afrique : Comment conquérir de nouveaux marchés ? https://www.entreprises.cci-paris-idf.fr/web/international/faitesdelinternational/cci-93 Val d’Oise (95) – Mercredi 20 novembre Made in France et réindustrialisation : 2 leviers de croissance à l’international https://www.entreprises.cci-paris-idf.fr/web/international/faitesdelinternational/cci-95 Yvelines (78) – Jeudi 28 novembre Stratégies d’exportation gagnantes en Asie et en Amérique https://www.entreprises.cci-paris-idf.fr/web/international/faitesdelinternational/cci-78  
French Infrastructure Tour 2024 Gabon et cameroun
Team France Export et Business France vous propose de participer à  l’évènement French Infrastructure Tour 2024 au Cameroun et au Gabon. Venez à la rencontre des acteurs majeurs du secteur des travaux publics et infrastructures (projets routiers, autoroutiers, ouvrages d’art, etc.) à l’occasion d’un événement business de 2 jours sur chaque pays. Cette mission a pour objectif de renforcer les relations commerciales et d’ouvrir de nouveaux marchés aux PME et ETI françaises en Afrique centrale. Ces rencontres stratégiques seront une occasion précieuse de se connecter davantage à une région en pleine croissance économique. L’Afrique Centrale constituée de 6 pays : le Cameroun, le Gabon, le Congo Brazzaville, la Guinée Equatoriale, la République Centrafricaine et le Tchad. Les six pays constituent la CEMAC (Communauté Economique et Monétaire des Etats de l’Afrique centrale). Le secteur des infrastructures est prioritaire sur les deux marchés et reçoit l’appui de plusieurs bailleurs de fonds internationaux. Le Cameroun est un marché de 25,5 millions d’habitants et représente plus d’un 1/3 du PIB et 50% de la population de la zone CEMAC. Plus de 2 636 km de projets routiers et 2 374 ml (mètres linéaires) de projets d’ouvrages d’art importants sont en cours de réalisation sur la période 2020 -2030. Parmi les projets majeurs en cours, on peut citer :
  • Autoroutes (Yaoundé-Douala, Edea-Kribi, Bafoussam-Bamenda),
  • Corridors autoroutiers sous-régionaux de la zone CEMAC (dont la tronçon Yaoundé-Brazzaville financé à 382 M EUR par la BAD)
  • Ouvrages d’art (pont sur le Logone, pont sur le Ntem) et ponts métalliques,
  • Travaux de génie civil sur barrages hydroélectriques,
  • Projets d’extension des ports Douala et Kribi,
  • Programme de réhabilitation des aéroports,
  • Projet d’extension de la ligne ferroviaire vers le Tchad (financement BEI, UE et AFD à 249 M EUR)
  • Aménagement urbain et voies de contournement (dont le projet de mobilite Move financé par l’AFD à 64 M EUR)
  • Projet de BRT (Yaoundé, Douala) et de Tramway (Douala),
  • Péages automatiques (partenariat public privé Razel/Egis/Etat du Cameroun à 64 M EUR)
  • Infrastructures sportives (dont le projet SPORCAP financé par l’AFD à 10 M EUR), hôtelières et hospitalières,
  • Nouveaux sièges d’institutions (dont la Banque Centrale BEAC), nouvelles agences commerciales, projets résidentiels, etc.
Le Gabon représente un marché de 2,1 millions d’habitants et la 2ème économie d’Afrique Centrale en terme de PIB. Près de 76 M € d’investissement ont été mobilisés pour les projets routiers en 2023. Parmi les projets en cours et à venir :
  • Le projet de rénovation de la TransGabonaise (780 km)
  • Le projet d’appui au secteur des infrastructures au Gabon (PASIG-1) suivi et financé par la BAD pour près de 140 M EUR
  • Réhabilitation des voiries urbaines
  • Projets portuaires : ports secs de Ndende et Nkok
  • Nouveau terminal de l’aéroport de Libreville et voie de contournement
  • Projets de nouvelles constructions : 400 logements sociaux, projets hospitaliers, privatisation des hôtels publics, etc.

Des besoins identifiés

💡 Vous êtes une entreprise française proposant :
  • des équipements
  • du matériel de construction
  • et des services aux donneurs d’ordre des projets d’infrastructures : études, ingénierie, expertise, contrôle, audit
🎯Venez rencontrer des donneurs d’ordres ciblés lors du French Infrastructure Tour 2024 :
  • Au Cameroun : Ministère des Travaux Publics, Port Autonome de Douala, Mairies, Razel/Fayat, Vinci, Egis, grandes entreprises (industrie, retail), bailleurs de fonds (AFD, AFD, Banque Mondiale, Proparco, BEI, Banque Mondiale, etc.
  • Au Gabon : Ministère des Travaux Publics, SETRAG (société du chemin de fer Le TransGabonais), OPRAG (Offices des Ports et Rades du Gabon), grandes entreprises (industrie, retail etc.), bailleurs de fonds (AFD, Banque Mondiale, BEI, BAD) etc.
🏗️  Sur des projets clairement identifiés : Au Cameroun :
  • Conception, études de faisabilité
  • Audit, contrôle technique et géotechnique, surveillance de travaux
  • Travaux de terrassement, construction de routes, ouvrages d’art
  • Aménagement de dessertes et VRD (Voirie et Réseaux Divers)
  • Equipements de manutention
  • Maintenance du réseau
  • Ingénierie et Innovation etc.
Au Gabon :
  • Conception, études d’avant-projet
  • Audit, contrôle technique et géotechnique, surveillance de travaux
  • Travaux de terrassement, construction de routes, ouvrages d’art
  • Equipements et matériel (Bourreuse, Draisine, etc.)
  • Expertise en maintenance d’équipements ferroviaires
  • Ingénierie et Innovation etc.
Pour toute information complémentaire sur French Infrastructure Tour 2024, veuillez contacter 
Tiphaine BUGNO – Business France Paris : +33 1 40 73 31 74 tiphaine.bugno@businessfrance.fr
Patricia KAHAM – Business France Cameroun & Gabon

patricia.kaham@businessfrance.fr

Au programme de French Infrastructure Tour 2024

🌍 Au Cameroun Lundi 23 septembre 2024 – Douala
  • Réunion d’accueil et d’information pays Cameroun
  • Programme de rendez-vous B2B ciblés avec des donneurs d’ordres du secteur infrastructures
  • Pitch des entreprises françaises participantes et cocktail de networking avec l’écosystème local
Mardi 24 septembre 2024 – Yaoundé
  • Départ pour Yaoundé – Vol* de 30mn
  • Visite de site (à définir)
  • Suite des rendez-vous B2B ciblés
Mercredi 25 septembre 2024 – Yaoundé
  • Suite et fin des rendez-vous B2B ciblés
✈️ Transfert au Gabon :
Yaoundé pour Libreville à 19h00 par le vol Afrijet
  🌍Au Gabon Jeudi 26 septembre 2024 – Libreville
  • Réunion d’accueil et d’information pays Gabon
Programme de rendez-vous B2B ciblés avec des donneurs d’ordres du secteur infrastructures
  • Pitch des entreprises françaises participantes et cocktail de networking
Vendredi 27 septembre 2024 – Libreville
  • Poursuite des rendez-vous B2B ciblés à Libreville

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Jeux Olympiques Paris 2024 : de belles perspectives pour les entreprises
Les Jeux Olympiques de Paris 2024, qui se sont clôturés ce dimanche 11 août, ont laissé des impressions mitigées parmi les acteurs économiques locaux, notamment les restaurateurs et hôteliers, qui ont  exprimé leur déception quant aux chiffres d’affaires enregistrés durant l’événement. Cependant, Olivia Grégoire, la ministre déléguée des Entreprises et du Tourisme, s’est montrée rassurante en soulignant que les véritables retombées économiques de cette grand-messe sportive se feront sentir sur le moyen et long terme, ouvrant la voie à des bénéfices durables pour les entreprises françaises. Par Franck Boccara Si de nombreux observateurs et analystes ont montré du scepticisme sur le coût des JO et leur impact sur certains secteurs de l’économie française, la ministre déléguée chargée des Entreprises, du Tourisme et de la Consommation dresse un bilan tout à fait différent, explique Le Parisien. Dans un premier temps, Olivia Grégoire avait affirmé dimanche dans La Tribune que les retombées à moyen et long terme seraient importantes. «N’en déplaise aux esprits chagrins, ces Jeux, qui ont coûté 8,8 milliards d’euros constitués en grande partie d’investissements privés, rentreront largement dans leurs frais», dit-elle, estimant les retombées à neuf milliards d’ici quinze ans. Malgré les coups de gueule d’hôteliers et restaurateurs, Olivia Grégoire a assuré qu’«au terme de ces deux semaines», le nombre de nuitées «sur l’ensemble des villes hôtes» a augmenté de 16 % «dont 20 % en Île-de-France».

L’impact des jeux olympiques à moyen terme : renforcement de l’Attractivité Touristique

L’un des premiers effets positifs des Jeux Olympiques concerne le renforcement de l’attractivité touristique de la France, et plus particulièrement de Paris. L’événement a offert une vitrine mondiale exceptionnelle à la capitale française, diffusant des images spectaculaires de la ville et de ses sites emblématiques à des milliards de téléspectateurs. Cet engouement pourrait stimuler une augmentation significative des flux touristiques dans les années à venir. Les visiteurs internationaux, séduits par la beauté et l’effervescence de Paris, pourraient être incités à revenir, générant ainsi des recettes importantes pour les secteurs de l’hôtellerie, de la restauration, du commerce de détail et des services. De plus, les infrastructures modernisées pour l’événement, telles que les transports et les installations sportives, continueront à bénéficier aux touristes et aux résidents, améliorant la qualité de vie et l’expérience des visiteurs. Des Infrastructures Modernisées au Service de l’Économie Les Jeux Olympiques de Paris 2024 ont également laissé en héritage un ensemble d’infrastructures modernisées, qui joueront un rôle crucial dans la dynamisation de l’économie à moyen et long terme. Les entreprises du BTP et de l’ingénierie, qui ont participé à la construction et à la rénovation des infrastructures olympiques, ont non seulement profité d’une activité intense pendant la préparation des Jeux, mais elles bénéficieront aussi d’une expertise renforcée et d’une meilleure visibilité sur la scène internationale. De plus, ces infrastructures, conçues pour être durables et adaptables, peuvent être réutilisées pour d’autres événements sportifs, culturels et commerciaux, renforçant ainsi la capacité de la France à accueillir de grands rassemblements internationaux. Cela ouvre des perspectives intéressantes pour les entreprises françaises spécialisées dans l’organisation d’événements, le tourisme d’affaires, et les services connexes.

Une Dynamique Économique de Long Terme : Innovation et Exportation

Les Jeux Olympiques ont aussi stimulé l’innovation et la transformation digitale dans de nombreux secteurs, créant un environnement propice à l’émergence de nouvelles opportunités économiques. Les entreprises françaises, confrontées à des exigences élevées en matière de durabilité et de technologie, ont dû innover pour répondre aux besoins de l’événement, que ce soit dans le domaine des énergies renouvelables, de la mobilité intelligente, ou des technologies de l’information. Ces avancées technologiques et ce savoir-faire acquis pourront être exportés vers d’autres marchés à l’international, offrant ainsi de nouvelles perspectives de croissance pour les entreprises françaises. La France pourrait ainsi renforcer sa position de leader dans des secteurs clés, tels que l’écologie urbaine, la gestion des événements et les technologies vertes, contribuant à une croissance économique durable. Un Héritage Social et Économique Durable Enfin, au-delà des retombées purement économiques, les Jeux Olympiques de Paris 2024 laisseront un héritage social positif, en renforçant le lien entre les entreprises et la communauté. De nombreuses initiatives ont été mises en place pour promouvoir l’inclusion sociale et l’accès à l’emploi, notamment à travers des partenariats entre les entreprises et les associations locales. Cet engagement social peut créer un cercle vertueux, où les entreprises bénéficient d’une meilleure image et d’une plus grande fidélité de la part de leurs clients et de leurs employés. En conclusion, si les Jeux Olympiques de Paris 2024 ont pu décevoir certains secteurs à court terme, leur véritable impact économique se révélera à moyen et long terme. Les entreprises françaises, en particulier dans les domaines du tourisme, des infrastructures, de l’innovation, et de l’exportation, ont toutes les raisons d’espérer des retombées positives durables, renforçant ainsi la compétitivité et l’attractivité de la France sur la scène mondiale.
Mission d'entreprises au Tchad du 16 au 18 septembre 2024
Cette mission d’entreprises au Tchad, qui se tiendra à N’Djamena du 16 au 18 septembre, sera conduite par Philippe Labonne, Président d’AGL et vice-président du Comité Afrique de MEDEF International. Cet évènement sera l’occasion pour les dirigeants de PME et ETI intéressés par les marchés francophones africains de rencontrer les décideurs tchadiens ainsi que les entreprises françaises déjà présentes sur place. Alors que le pays était engagé dans une transition politique depuis le décès du Président M. Idriss Déby Itno en 2021, les élections présidentielles du 6 mai 2024 ont permis au Tchad d’entrer dans une nouvelle phase politique. Avec un PIB estimé à 11 Mds € en 2022, le Tchad est la cinquième économie de la CEMAC (11,3 % du PIB régional). Largement dépendant de la production de pétrole qu’il exporte depuis 2003, le pays a connu une période de croissance importante (13,7% en moyenne) pour atteindre un pic en 2014. L’accord de restructuration de dette, conclu le 9 janvier 2023 avec ses créanciers au titre du Cadre commun, offre au Tchad de nouvelles perspectives d’emprunt pour soutenir sa croissance (5% en 2023) et impulser la nécessaire diversification de son économie. Pour ce faire, les autorités tchadiennes entendent œuvrer à l’amélioration du climat des affaires. La priorité est mise sur :
  • Le secteur agricole et agroalimentaire : l’élevage – deuxième poste d’exportation du pays – mais également la culture de céréales, du coton et de la gomme arabique). Ce secteur représente près de 50 % de l’économie tchadienne qui a le potentiel pour développer des produits agricoles à plus forte valeur ajoutée.
  • Les projets d’énergie verte en particulier solaires pour renforcer son mix énergétique.
  • Les Infrastructures de transports et de logistiques
Pour ce faire, les autorités tchadiennes entendent œuvrer à l’amélioration du climat des affaires. Cette mission d’entreprises au Tchad sera ainsi l’occasion de :
  • Rencontrer le nouveau gouvernement tchadien pour mieux comprendre ses attentes et ses priorités ;
  • Rencontrer les principaux bailleurs de fonds du pays (Banque mondiale, AFD, Union européenne, BAD) ;
  • Échanger avec le secteur privé français local : une vingtaine d’entreprises françaises sont déjà présentes dans les secteurs de l’agroalimentaire, du BTP, du commerce, de la distribution de produits pétroliers, des banques ou encore de la logistique.
  • Rencontrer le secteur privé tchadien et échanger sur le climat des affaires
INFORMATIONS Merci de nous faire parvenir avant le vendredi 30 août à 18h :
  • La fiche profil entreprise complétée – Word & EN
  • Une photo en version JPEG
  • Un scan du passeport
  • Vos plans de vols (n° vol + dates + horaires)
  • Votre numéro de mobile (important en cas d’annulations/modifications)
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