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Speed Meeting Business à la CCI Seine-Saint-Denis

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mutualisation des ressources : une solution pour les PME face aux défis de la durabilité
La CCI Seine-Saint-Denis organise le Speed Meeting Business des entrepreneurs dynamiques du Grand Paris dans ses locaux à Bobigny le mardi 16 octobre 2018 à partir de 18h. Une occasion de venir échanger et rencontrer tous les acteurs du grand Paris.
Par Franck Boccara
Le but de cette soirée conviviale et totalement gratuite est de rassembler le maximum de chefs d’entreprise du grand Paris, notamment situés en territoires prioritaires, afin d’identifier de nouveaux marchés, de valoriser et d’élargir leur réseau professionnel.
Cette initiative de la CCI Seine-Saint-Denis va s’articuler autour d’un concept que les entrepreneurs aiment beaucoup, celui du Speed Meeting Business. Ce modèle de rencontre rapide, efficace et même amusant va permettre aux entreprises du grand Paris d’échanger, de mutualiser les compétences en nouant des contacts utiles pouvant générer de nouvelles opportunités d’affaires.

Très apprécié par les chefs d’entreprise pour son efficacité, le Speed Meeting Business leur permet d’identifier de nouveaux marchés, de valoriser et d’élargir leur réseau professionnel.

Sanjeri-IStock-GettyImages

Le programme

La soirée sera ouverte par une présentation du dispositif des emplois francs. Le but de celui-ci est de promouvoir l’embauche des demandeurs d’emploi résidant en quartier prioritaire par le biais d’une aide financière, ce dispositif est à ce stade un outil expérimental.

Par la suite, chaque chef d’entreprise bénéficiera d’une minute pour convaincre en effectuant une présentantation de son activité, de ses offres commerciales et de son savoir-faire aux autres dirigeants d’entreprise présents qui sont susceptibles de devenir ses futurs clients, fournisseurs, prescripteurs ou encore des partenaires potentiels.

De nombreux dirigeants de PME et ETI à fort potentiel seront au rendez vous pour y échanger leur cartes de visite et rencontrer précisément les entrepreneurs installés en territoires prioritaires afin, pourquoi pas, d’y déceler la perle rare

Alors, n’hésitez plus ! vous pouvez vous inscrire dès maintenant au 0820 012 112 (service 0,12 €/min + prix appel) ou par mail : zfu93@cci-paris-idf.fr.

 

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Trophées Numériques CPME 2025 : les candidatures sont ouvertes !
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Candidatez jusqu’au 15 septembre pour tenter de reporter 7000€ pour votre entreprise ! 

L’appel à candidatures est ouvert du 16 juillet au 15 septembre 2025

Entrepreneurs, déposez votre dossier en ligne et tentez de faire partie des 18 finalistes de cette nouvelle édition. Toute PME ayant engagé une transformation numérique est éligible, quel que soit son secteur. 42 000 € sont en jeu, soit 7 000 € par lauréat. Les entreprises gagnantes bénéficieront également d’une visibilité nationale à travers une campagne de valorisation, des interviews et un relais sur les réseaux sociaux de la CPME.

Comment candidater aux Trophées Numériques CPME 2025?

Pour candidater c’est très simple :
  • Sélectionnez le prix dans lequel vous souhaitez concourir parmi les 6 suivants :
  1. Le prix Croissance récompensera celle ou celui qui a mis à profit le numérique pour développer son activité, conquérir de nouveaux clients ou de nouveaux marchés.
  2. Le prix Cybersécurité couronnera celle ou celui qui a renforcé ses systèmes pour anticiper les cybermenaces, sensibilisé ses équipes et pris des mesures pour assurer la continuité de ses activités dans un environnement numérique toujours plus complexe
  3. Le prix Emploi & Inclusion récompensera un entrepreneur qui s’est servi d’outils numériques pour recruter, améliorer les compétences, les conditions de travail ou encore le fonctionnement de ses équipes.
  4. Le prix Notoriété sera décerné à un dirigeant de TPE/PME qui a utilisé la communication digitale pour se faire connaître de nouveaux publics, par exemple via les réseaux sociaux, une plateforme ou tout support numérique.
  5. Le prix Site internet en .fr récompensera un entrepreneur ayant créé et attiré une fréquentation ciblée sur son site vitrine ou de e-commerce, avec un nom de domaine en .fr pour valoriser son savoir-faire made in France et/ou sa présence sur le territoire français.
  6. Et le tout nouveau prix pour cette 7ème édition : Le prix IA qui sera attribué à l’entrepreneur ayant fait preuve d’innovation, de rigueur ou d’originalité, après avoir intégré l’intelligence artificielle dans son processus de développement.
  • Téléchargez le règlement du concours et le dossier de candidature du prix choisi (voir lien en début d’article), et renvoyez-le rempli avant le lundi 15 septembre 2025, minuit !
  • Le jury pré-sélectionnera jusqu’à 18 candidats pour la qualité de leur dossier.. Ils remporteront deux premiers gains et pas des moindres : une vidéo va être tournée dans leur entreprise pour qu’ils partagent leur démarche au plus grand nombre. Ces 18 vidéos de format court seront diffusées de manière sponsorisée et massive sur les réseaux sociaux, pendant 1 mois. En 2024 cette campagne vidéo a généré 3 millions d’impressions sur les réseaux sociaux.
  • Un vote du public en ligne à partir de ces vidéos, sera organisé pour compléter la note du jury et désigner les 6 lauréats 2025, pendant le mois qui précédera la remise des prix.
  • Une campagne de relations presse permettra de faire connaître le talent de ces finalistes

Soirée de remise des prix mardi 2 décembre à Paris

Save the date ! Les 6 lauréats des Trophées numériques CPME 2025 seront révélés mardi 2 décembre 2025, à la soirée de remise des prix, à Paris La Défense. Chacun d’entre eux décrochera la somme de 7 000 € et sera à nouveau mis sous les feux des projecteurs. A savoir : pour faciliter la venue des 18 finalistes, la nuit d’hôtel du 2 décembre à Paris leur sera offerte.
Coordonnées
Campus Cyber 5-7, Rue Bellini, 92800 Puteaux Métro : Esplanade de la Défense – Ligne 1
Amir Reza-Tofighi, président de la CPME, vous explique tout en vidéo et vous invite à candidater avant le 15 septembre.
Accord Europe‑États‑Unis : un compromis évite la guerre commerciale
Le 27 juillet 2025, l’Union européenne et les États‑Unis ont signé un accord majeur visant à réduire les tensions commerciales imminentes. L’administration américaine a abandonné son projet de tarif global à 30 % contre l’Europe pour le remplacer par une taxe standard de 15 % sur la majorité des biens européens exportés. Cet accord Europe‑États‑Unis vient à la suite de plusieurs mois de négociations tendues entre le président américain Donald Trump et la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen. Par Serge de Cluny Ce dispositif comporte plusieurs exceptions notables. Certains secteurs jugés stratégiques bénéficient d’un régime « zéro‑tarif » réciproque : c’est le cas notamment des pièces aéronautiques, des produits pharmaceutiques génériques, des équipements pour semi‑conducteurs, de certaines matières premières agricoles. Par contre, le tarif de 50 % sur l’acier et l’aluminium reste en vigueur, même s’il sera remplacé par un système de quotas dans les mois à venir. Globalement, cet accord Europe‑États‑Unis protège certains pans de l’économie européenne tout en maintenant une pression tarifaire modérée sur les autres secteurs. Il pacifie la relation transatlantique sans céder totalement aux exigences américaines.

L’automobile européenne : le secteur le plus fragilisé

En imposant un tarif de 15 % sur les véhicules européens, l’accord réduit certes le risque de sanction, mais il constitue tout de même une hausse significative par rapport à l’ancien taux moyen de 4,8 % européen. Pour les constructeurs comme Mercedes‑Benz, BMW ou Stellantis, l’impact est double : des marges réduites et une perte de compétitivité face aux producteurs nord américains ou mexicains. De plus, l’incertitude juridique et économique plane toujours chez les fabricants dépendants des exportations transatlantiques. À l’inverse, les groupes européens qui ont implanté des usines aux États‑Unis, comme BMW en Caroline du Sud ou Stellantis, sont mieux armés pour compenser ces effets et demeurent compétitifs sur le marché américain.

L’aéronautique et la pharmacie : des gagnants de l’ombre

Le secteur aéronautique bénéficie d’une exemption totale de tarifs, ce qui représente un avantage considérable pour Airbus et ses fournisseurs européens. Cette clause protège une industrie fortement intégrée transatlantique et positionne Airbus comme un acteur privilégié pour capter des parts de marché aux États‑Unis. De même, les médicaments génériques et certains équipements pharmaceutiques sont exclus des droits de douane, une mesure qui favorise les exportateurs européens en stabilisant leur position internationale concurrentielle face aux acteurs américains.

L’industrie du luxe et les biens de consommation : frémissement perceptible

Si certains produits de luxe échappent à la taxation, l’ensemble des biens de consommation comme les voitures haut de gamme, les cosmétiques, les alcool raffinés (cognacs, whiskies européens) restent soumis à la taxe de 15 %. Cette situation pèse sur la compétitivité des marques françaises et italiennes, même si certaines boissons alcoolisées bénéficient d’exceptions spécifiques.

Les semi‑conducteurs et les technologies stratégiques : un terrain glissant

Les équipements de production de semi‑conducteurs et certaines technologies avancées sont exemptés de droits – une bonne nouvelle pour des acteurs comme ASML. Cependant, les phases d’investigation américaine, notamment sous la section 232, et les mesures de représailles européennes via l’« anti-coercition instrument » créent un niveau d’incertitude persistant. Les entreprises de technologies doivent donc continuer à surveiller l’évolution des règlementations.

Conséquences pour les PME et ETI françaises : entre vigilance et opportunités

Pour les exportateurs transatlantiques, cet accord Europe‑États‑Unis impose une vigilance renforcée sur les produits exportés : les entreprises concernées doivent clarifier si leur offre est concernée par les exemptions ou non. Les PME du secteur industriel, automobile, pharmaceutique ou aéronautique doivent réévaluer leur coût de revient à l’export, ajuster leur plan tarifaire ou songer à localiser une partie de leur chaîne dans la zone américaine. À l’inverse, les PME dans des secteurs exemptés peuvent profiter d’une opportunité stratégique de visibilité sur le marché US sans coût supplémentaire. Ce cadre favorise également les projets de partenariat industriel ou d’investissement transatlantiques, notamment dans l’aéronautique ou les équipements d’énergie et semiconducteurs.

Impact global : stabilité retrouvée, perspectives à moyen terme

En réduisant la menace d’un conflit commercial majeur, l’accord stabilise les marchés. L’annonce a entraîné une légère hausse des principaux indices européens et un renforcement de l’euro face au dollar . Toutefois, certains secteurs comme l’automobile restent exposés et l’équilibre du pacte repose sur des engagements économiques massifs : notamment 750 Md en achats d’énergie et 600 Md en investissement européen aux États‑Unis . Par ailleurs, la désignation de certains secteurs comme exemptés reste évolutive : plusieurs domaines comme les spiritueux, la pharmacie de marque ou certaines matières premières font encore l’objet de négociations.

Un tournant mesuré mais porteur de défis

Cet accord du 27 juillet 2025 amorce une réorientation profonde des échanges transatlantiques. Pour les PME et ETI françaises, il représente à la fois des risques à anticiper dans les secteurs soumis à une taxation, et des opportunités de visibilité inédite dans les segments exemptés. Au-delà de l’exonération tarifaire, il s’agit maintenant d’aborder ce nouveau contexte avec stratégie, en adaptant ses modèles export, en envisageant des implantations locales ou des alliances technologiques avec des partenaires européens ou américains.  
Anticipation de crise : un levier stratégique indispensable pour les PME-ETI
L’anticipation de la crise est souvent perçue comme une simple mesure de protection, visant à éviter les impacts financiers, humains ou réputationnels d’un événement imprévu. Pourtant elle offre bien plus que cela; une stratégie bien pensée et des exercices de simulation peuvent non seulement protéger l’entreprise, mais aussi constituer un puissant levier stratégique, renforçant la compétitivité, la résilience et la confiance. Par Christel Bertrand – consultante indépendante en communication de crise

Renforcer la confiance des parties prenantes

L’une des conséquences indirectes d’une préparation efficace à la crise est le renforcement de la confiance des clients, des partenaires, des investisseurs et des employés. Lorsqu’une crise survient, la manière dont l’entreprise réagit est déterminante pour conserver et renforcer cette confiance. En anticipant la crise, une entreprise envoie un message fort : elle est préparée, elle prend ses responsabilités, et elle est capable de faire face aux imprévus. Ce message résonne fortement auprès de toutes les parties prenantes. Pour les clients, la transparence est cruciale en temps de crise. Lorsqu’une entreprise est préparée, elle est capable de communiquer rapidement et efficacement, de rassurer sur les mesures prises, et de démontrer que la situation est sous contrôle. Les consommateurs sont plus enclins à acheter des produits d’une entreprise qui gère une crise de manière transparente et responsable. Les partenaires commerciaux et les fournisseurs ont besoin de savoir que l’entreprise avec laquelle ils collaborent est stable et capable de surmonter les épreuves sans que cela n’affecte leur propre activité. Une entreprise qui anticipe les crises est capable de minimiser les interruptions dans la chaîne d’approvisionnement et de donner des garanties sur la continuité de ses activités. Les investisseurs sont particulièrement sensibles à la capacité de l’entreprise à gérer les risques. Une entreprise qui dispose d’un plan de gestion de crise montre qu’elle prend au sérieux la préservation de sa valeur. Cela est particulièrement important pour les entreprises cotées en bourse, où la perception d’une crise non maîtrisée peut entraîner une chute significative du cours des actions. Les employés constituent souvent les premiers ambassadeurs de l’entreprise. Une crise mal gérée peut affecter la motivation, l’engagement et la productivité des équipes. En anticipant les crises, l’entreprise démontre qu’elle se soucie de la sécurité et du bien-être de ses employés, ce qui renforce leur sentiment de sécurité et d’appartenance. Cela a pour effet d’augmenter l’engagement des employés et de réduire le turnover. Les autorités et régulateurs attendent des entreprises qu’elles respectent les règles et qu’elles gèrent de manière responsable les crises susceptibles d’affecter la société ou l’environnement. En anticipant les crises, l’entreprise montre qu’elle est proactive, respecte les normes, et prend des mesures pour éviter des conséquences plus graves. Cela peut également faciliter les relations avec les autorités, notamment lorsqu’il s’agit de demander des licences, des autorisations ou de négocier des sanctions. Aujourd’hui, les consommateurs n’hésitent plus à appeler au boycott d’une entreprise sur les réseaux sociaux si elle gère mal une crise. À l’inverse, une gestion transparente et efficace améliore la perception de l’entreprise, démontrant sa capacité à surmonter les défis. Cela peut se traduire par une fidélisation accrue des clients et une plus grande attractivité pour les investisseurs.

Créer une culture de résilience

Une entreprise qui anticipe les crises développe une culture interne résiliente. Cela passe par la formation des équipes, la création de scénarios de crise, et des exercices réguliers. Cette approche proactive permet à l’organisation de mieux gérer l’imprévu et de ne pas être prise de court lors de situations de stress intense. La préparation à la crise sensibilise les équipes. Toutes les entreprises, quel que soit leur taille, on intérêt à s’entraîner.

Accélérer la prise de décision

Lorsqu’une entreprise est bien préparée, elle est capable de prendre des décisions plus rapidement et plus efficacement pendant une crise. Une anticipation de la crise implique une identification claire des rôles, des responsabilités et des processus décisionnels. Cela permet de limiter les hésitations et d’éviter les erreurs dans des moments critiques. Une étude du BCI (Business Continuity Institute) a révélé que les entreprises ayant mis en place un plan de gestion de crise prenaient des décisions 25 % plus rapidement que celles sans plan. Cela peut faire la différence entre contenir une crise en interne ou laisser la situation s’aggraver et devenir publique.

Optimiser les ressources et réduire les coûts à long terme

Un autre avantage souvent négligé est l’optimisation des ressources et la réduction des coûts. Une entreprise qui investit dans l’anticipation de la crise est capable de réduire les coûts liés à une mauvaise gestion de la crise. Les entreprises ayant déjà un plan en place économisent non seulement sur le temps de réponse, mais aussi sur les coûts financiers (avocats, communication de crise, perte de chiffre d’affaires). Les entreprises sans plan de gestion de crise voient leurs coûts opérationnels augmenter de 10 à 15 % en moyenne lors d’une crise, en raison de la perte d’opportunités et des frais supplémentaires pour restaurer leur image.

Améliorer la compétitivité et gagner en part de marché

L’anticipation de crise ne se limite pas à la protection contre les conséquences négatives d’un événement imprévu ; elle peut aussi devenir un avantage compétitif majeur. En montrant aux clients, aux partenaires et aux investisseurs que l’entreprise est capable de faire face à l’adversité, elle peut se positionner en tant qu’acteur fiable et responsable sur le marché. De plus, une réaction rapide et efficace à une crise peut permettre de se démarquer des concurrents moins préparés, voire de prendre l’avantage sur eux. Lorsqu’une crise survient, toutes les entreprises d’un même secteur sont potentiellement impactées, mais celles qui sont mieux préparées sont capables de réagir plus rapidement, de minimiser les perturbations et de reprendre leurs opérations plus vite. Cela permet de prendre l’avantage sur les concurrents moins bien préparés et de capter leurs parts de marché pendant qu’ils sont encore en difficulté.

Une opportunité de différenciation sur le marché

L’anticipation de crise peut être utilisée comme un argument de différenciation vis-à-vis des concurrents. Communiquer sur le fait qu’une entreprise est prête à faire face à l’imprévu renforce la perception de fiabilité. Cela peut aussi être un argument de vente pour convaincre les clients et partenaires qu’ils peuvent compter sur une gestion stable en toutes circonstances. Certaines entreprises mettent en avant leur préparation aux crises comme argument commercial. Le géant du e-commerce Amazon, par exemple, est connu pour ses tests de résilience en logistique et en gestion des stocks. Cette stratégie a permis à Amazon de gérer les pics d’activité pendant la pandémie de Covid-19, attirant encore plus de clients et consolidant sa position de leader.

Encourager l’innovation dans la gestion des risques

L’anticipation des crises pousse également les entreprises à innover. Les simulations de crise, les nouveaux outils de surveillance et les technologies de gestion des risques sont autant de domaines où les entreprises peuvent investir pour mieux anticiper les menaces. Cela permet non seulement d’améliorer la gestion de crise, mais aussi d’optimiser d’autres aspects de l’entreprise. De plus en plus d’entreprises adoptent des technologies de surveillance des réseaux sociaux pour anticiper une crise réputationnelle. Les entreprises utilisent aujourd’hui des outils d’analyse de données pour identifier les signaux faibles d’une crise avant qu’elle ne devienne incontrôlable. L’anticipation de la crise va bien au-delà de la protection immédiate de l’entreprise. Elle devient un véritable levier stratégique, qui renforce la résilience, améliore la prise de décision, optimise les ressources, et permet même de gagner en compétitivité. Pour les ETI, investir dans la préparation à la crise est non seulement une mesure préventive, mais aussi un moyen de se positionner comme une entreprise fiable, innovante et tournée vers l’avenir.  
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