Les décisionnaires RH sondés sur les nouveaux enjeux de santé au travail

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Le baromètre prévention santé des salariés a été réalisé récemment par l’IFOP pour Back Office Santé auprès de 605 décisionnaires RH (dont 64 DRH) travaillant dans une entreprise de plus de 20 salariés. Ce baromètre donne des indications intéressantes sur les effets de la crise sanitaire sur la santé au travail, notamment concernant la hausse des risques psychosociaux (RPS) et troubles musculosquelettiques (TMS) en entreprise. 

Par Nicolas Destang, entrepreneur de santé publique.

A première vue, aux yeux des décisionnaires RH, la prise en compte de la santé des collaborateurs représente un enjeu plutôt secondaire en matière de qualité de vie au travail. 

Interrogés sur les enjeux les plus importants pour la qualité de vie au travail dans leur entreprise, la prise en compte de la santé des collaborateurs par la proposition d’actions de prévention n’est évoquées que par 15% des décisionnaires RH travaillant dans une entreprise de plus de 20 salariés, loin derrière les autres enjeux testés. Qualité des relations humaines, valorisation des compétences de chacun et équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle sont ainsi cités par une proportion trois fois supérieure de répondant (respectivement 49%, 46% et 43%).

Les managers sont identifiés comme principaux responsables de la santé des salariés, suivis par les dirigeants.

Bien que les répondants se montrent partagés sur la question de la responsabilité en matière de santé, les deux acteurs ayant la proximité hiérarchique avec les collaborateurs la plus importante sont quand même les plus souvent cités : pour 23% ce sont les managers/encadrants qui ont la responsabilité la plus importante, et pour une proportion proche, ce sont les dirigeants eux-mêmes (22%).

Les responsables RH et la médecine du travail arrivent ensuite, cités par 14% dans les deux cas, loin devant les autres acteurs. 

Au-delà du virus, la crise sanitaire a indéniablement eu un impact sur des problèmes de santé plus larges, physiques et psychologiques.

Deux tiers (66%) des décisionnaires RH déclarent ainsi que leur entreprise a subi au moins une augmentation de RPS, de TMS ou de maladies ordinaires depuis le début de la crise sanitaire.

L’impact le plus visible concerne les risques psychosociaux  (comme le stress, les burn-out), une majorité d’interviewés (52%) ayant constaté une augmentation de ces symptômes. Et plus d’un quart des décisionnaires RH ont constaté une progression des TMS au sein de leur entreprise.

La mise en place massive du télétravail depuis un an a eu un effet négatif sur la santé des salariés.

En effet, 45% des décisionnaires RH considèrent l’impact du télétravail sur la santé des salariés comme négatif. Elle atteint notamment 54% chez les responsables RH du secteur du commerce travaillant dans une structure de 50 à moins de 100 salariés. Or ce sont précisément 2 types d’entreprises où le télétravail était peu développé avant le début de la crise sanitaire. Il a souvent été mis en place en urgence, sans les adaptations humaines et matérielles nécessaires que requiert cette organisation. 

Face à cette crise sanitaire et à ses conséquences sur la santé, les entreprises se montrent pour la plupart réactives. 

Plus des deux tiers des interviewés reconnaissent que leur entreprise met actuellement en place des actions de prévention afin d’aider les collaborateurs à rester en bonne santé durant cette période et que les enjeux de santé sont devenus plus importants. Mais la démarche employée s’inscrit plus dans une logique de réaction à un contexte de crise qu’elle ne semble destinée à se pérenniser. Ainsi, seule une moitié des décisionnaires RH affirme qu’à l’issue de cette crise, leur entreprise prévoit de mettre en place davantage d’actions de prévention.

Pourtant, sur le principe, la mise en place d’actions de prévention après la fin de la crise sanitaire fait consensus auprès des décisionnaires RH. Ce type d’action est donc fortement présent à l’esprit mais pas encore forcément décidé. 

Source : https://www.ifop.com/publication/les-decisionnaires-rh-et-les-enjeux-de-sante-au-travail/

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Le plan France 2030 fait de la réindustrialisation française un objectif national prioritaire afin de préserver notre souveraineté industrielle et technologique. Parfait exemple de cette effort lancé par l’Etat : la société Soitec, positionnée sur les secteurs hautement stratégiques des composants pour véhicules électriques et pour smartphones. Pierre Barnabé, son président, nous parle du développement de sa production en France. L’instabilité économique et géopolitique mondiale nous rappelle encore une fois l’importance des enjeux de souveraineté industrielle et technologique auxquels la France fait face aujourd’hui. Dans ce contexte, accélérer la réindustrialisation française apparaît plus que jamais comme une nécessité. Mais cette réindustrialisation n’est pas l’apanage des grands groupes, les PME et ETI ont également leur rôle à jouer et elles sont d’ailleurs de plus en plus nombreuses à choisir de produire en France… voyons pourquoi Selon une récente étude de Bpifrance Le Lab, les premières motivations des PME et ETI qui relocalisent sont les ruptures d’approvisionnement ainsi que la réduction des délais et des coûts de transport (58 % des répondants). 52 % des sondés choisissent aussi de produire en France par conviction et 46 % d’entre eux évoquent des raisons environnementales et climatiques. Parmi ces entreprises ayant fait le choix de renforcer leur production en France, on trouve Soitec, membre de la communauté de La French Fab et spécialiste de la fabrication de matériaux pour semi-conducteurs. Au mois de septembre dernier, cette ETI de près de 2 500 salariés (dont 1 600 en France) a inauguré une nouvelle usine sur son site de Bernin, près de Grenoble. Cette unité va produire des composants à destination des véhicules électriques, diversifiant ainsi l’activité historique de l’entreprise sur le secteur des smartphones. Cette nouvelle usine devrait permettre le recrutement de 400 personnes sur 5 ans. « Le choix de continuer à nous développer en France était évident », indique Pierre Barnabé, CEO. « Soitec est un fleuron industriel français né il y a plus de 30 ans à Bernin, en Isère, dans la vallée du Grésivaudan que l’on appelle aussi parfois la « Silicon Valley française » », précise-t-il. « Ce surnom illustre parfaitement la réalité de ce territoire qui rassemble des centres de recherche d’excellence comme le CEA-Leti, des établissements universitaires réputés, notamment Grenoble INP-Phelma-Université Grenoble-Alpes, et plusieurs de nos partenaires stratégiques et clients de longue date ». Outre cette proximité avec des partenaires et des « talents » locaux, notamment scientifiques, Soitec évoque aussi un soutien des autorités nationales, notamment au travers de Bpifrance. « Bpifrance est actionnaire de Soitec, mais c’est surtout un partenaire stratégique, avec qui nous avons toujours eu d’excellentes relations. C’est une chance pour nous de pouvoir travailler main dans la main avec Bpifrance, un acteur parfaitement au fait des grands enjeux auxquels les entreprises font face et qui œuvre quotidiennement à l’accélération de leur développement ». Soitec incarne la réindustrialisation dans deux secteurs stratégiques pour la souveraineté technologique de la France et même de l’Europe : les véhicules électriques et les smartphones. Son dirigeant confirme que cette réindustrialisation est en marche. Mais il évoque un point de vigilance. « Il faut veiller à ce que la réindustrialisation se fasse dans le respect de l’environnement », estime Pierre Barnabé. « Nous travaillons activement à gérer efficacement les ressources et à maximiser l’efficacité énergétique de nos installations et de nos solutions. La réindustrialisation de la France ne sera réussie que si elle permet à notre pays de devenir une puissance économique exemplaire sur le plan environnemental », conclut-il.
On le sait, les PME sont au cœur de l’économie française : elles sont implantées sur l’ensemble du territoire et représentent un important vivier de créativité, d’innovation et d’emplois. Cependant elles doivent faire face à des défis importants pour passer à l’échelle supérieure et devenir des ETI. Avec le programme « ETIncelles », l’État accompagne des petites et moyennes entreprises (PME) de croissance dans leur développement pour devenir des entreprises de taille intermédiaire (ETI). Devant de nombreux dirigeants de PME, Emmanuel Macron a lancé le programme ETIncelles, visant à accélérer la croissance ces entreprises et à multiplier les entreprises de taille intermédiaire (ETI) en France en levant les « freins administratifs » contrariant la croissance des petites et moyennes entreprises (PME). « Tout le temps passé sur l’administratif, c’est du temps qu’on vous fait perdre », a-t-il déclaré devant une centaine de chefs d’entreprises invités à l’Élysée. Pour Olivia Grégoire, la ministre chargée des PME présente également pour l’évènement de lancement, « Il n’y a pas de petits soucis, il n’y a que des vrais petits problèmes qui sont parfois autant de cailloux dans votre développement. Alors la mission d’ETIncelles est simple : vous accompagner pour lever ces cailloux sur le chemin de votre développement »

QU’EST-CE QUE LE PROGRAMME « ETINCELLES » ?

Créé en 2023, le programme « ETIncelles » est une initiative de l’État destinée aux PME qui ont l’ambition et la volonté de devenir des ETI. Il a pour objectif d’accompagner les PME de croissance dans leur développement, de les aider à lever les freins administratifs et ainsi maximiser leur potentiel. Les PME du programme bénéficient d’un accompagnement personnalisé par un interlocuteur unique dont le but est de fluidifier au maximum leurs échanges avec l’ensemble des services de l’État. Le dispositif s’appuie sur un large réseau de correspondants ETIncelles, dans les organismes publics et les principales administrations, qui déploient leur expertise auprès des entreprises du programme et les accompagnent dans la résolution des problématiques qu’elles rencontrent. Enfin, le programme vise au partage d’informations et à la création d’une communauté des PME de croissance : organisation de webinaires et événements entre pairs pour favoriser le partage d’expérience et de bonnes pratiques.

POURQUOI DÉVELOPPER ET RENFORCER LA PRÉSENCE DES ETI EN FRANCE ?

À mi-chemin entre les PME et les grands groupes, les ETI comptent entre 250 et 4 999 salariés. Actif stratégique pour la France, elles emploient plus de 3,24 millions de personnes, représentent environ 25% de l’emploi salarié et génèrent 30 % du chiffre d’affaires de l’ensemble des entreprises nationales. Les ETI sont implantées dans l’ensemble du territoire : ce sont les « grandes entreprises » de nos territoires (60% sont situées hors Île-de-France). Elles produisent de manière importante en France et et œuvrent donc à la réindustrialisation de notre pays. Enfin, les ETI couvrent de nombreux secteurs d’activités favorisant l’emploi, direct et indirect, au sein des écosystèmes locaux des PME et des très petites entreprises (TPE). En France, le nombre d’ETI croît mais reste inférieur (environ 5 600) à celui de nos voisins européens dont l’Allemagne, le Royaume-Uni et l’Italie. Le programme « ETIncelles » est né de ce constat mais vise plus largement à renforcer le tissu économique français, à favoriser la croissance et la création de nouvelles opportunités dans l’ensemble des territoires. D’ici 2027, l’objectif est d’accompagner 500 PME présentant un fort potentiel de croissance, les soutenir dans leur trajectoire et les transformer en ETI.

COMMENT FONCTIONNE LE PROGRAMME « ETINCELLES » ?

L’équipe ETIncelles est composée de référents au sein des Services économiques de l’État en région (SEER) et d’une équipe centrale au sein de la Direction générale des Entreprises (DGE). L’ensemble de l’équipe a pour mission d’accompagner individuellement les entreprises du programme. Elle joue un rôle de liaison entre les PME et les différents organismes publics qui détiennent les compétences nécessaires. Le programme comprend :
  • Un suivi individualisé par un interlocuteur unique. Il réalise un entretien de diagnostic avec la PME, lors de son entrée dans le programme, pour lui proposer des solutions opérationnelles répondant à ses besoins. Il effectue les actions nécessaires pour faire avancer les demandes et assure leur suivi dans le temps.
  • Une mobilisation d’un large réseau de correspondants ETIncelles dans les organismes et administrations publics. Ils apportent des solutions aux PME et déploient une offre de services dédiés auprès d’entreprises.
  • Un partage d’informations et des temps d’échange entre pairs. Ces rencontres, organisées au niveau régional entre les PME du programme, ont pour objectif de fédérer les communautés régionales ETIncelles et de favoriser le partage d’expérience et de bonnes pratiques.
L’accompagnement dure un an. À l’issue de celui-ci, un bilan des problèmes rencontrés et des actions menées est réalisé avec l’entreprise. Si besoin, elle peut bénéficier d’un accompagnement supplémentaire. Au bout de 18 mois, un second bilan est effectué. Suivant cette échéance, l’équipe ETIncelles demeure à disposition des PME du programme. En identifiant les problèmes rencontrés par les entreprises, le programme « ETIncelles » permet également d’améliorer et d’enrichir les services d’accompagnement de l’administration pour l’ensemble des PME ainsi que de mieux adapter les politiques publiques.

QUELS CRITÈRES POUR INTÉGRER LE PROGRAMME « ETINCELLES » ?

Les PME qui ont rejoint le programme ont été rigoureusement sélectionnées selon quatre critères :
  • Connaître une forte croissance et continuer à se développer pour devenir une ETI ;
  • Avoir un effectif compris entre 60 et 220 salariés ;
  • Être présent ou avoir la volonté de se développer sur les marchés à l’export ;
  • Consacrer une part importante des dépenses à la recherche et au développement (R&D).

PME et ETI: LES CHIFFRES CLÉS

  • Les ETI emploient plus de 3,24 millions de personnes (environ 25 % de l’emploi salarié) dont 34 % dans l’industrie et 21 % dans les autres catégories d’entreprises.
  • Elles génèrent 30 % du chiffre d’affaires, 26 % des investissements et 27 % de la valeur ajoutée de l’ensemble des entreprises françaises.
  • Les ETI ont une taille leur permettant d’être exportatrices à l’international (33% du chiffre d’affaires des ETI est réalisé à l’export, contre 12% pour les PME).
  • Les ETI françaises investissent significativement en R&D et sont plus productives que les PME (avec une valeur ajoutée par salarié ETP de 99 000 € en moyenne contre 73 000 € pour les PME).

LA STRATÉGIE NATION ETI

Le programme ETIncelles s’inscrit dans la continuité de la Stratégie nation ETI initiée en janvier 2020 par le Gouvernement et qui vise à mieux faire connaître le rôle central des ETI dans l’économie française, soutenir leur développement et renforcer la prise en compte de leurs spécificités dans la conception de la politique économique.

QUEL EST LE RÔLE DE LA DIRECTION GÉNÉRALE DES ENTREPRISES DANS LE PROGRAMME ETINCELLES ?

Le programme « ETIncelles » a été élaboré par les équipes de la DGE. Parmi elles, les Services économiques de l’État en région (SEER) sont les interlocuteurs uniques des entreprises du programme. L’équipe ETIncelles de la DGE conçoit la méthodologie d’accompagnement, développe les outils nécessaires et appuie les référents dans la résolution des problèmes non-spécifiques à leur territoire nécessitant un relais national.
Les attentes des  collaborateurs ont changé ! Désormais en quête de sens et d’équilibre, les salariés ont besoin de faire partie d’un projet dans lequel ils se sentent utiles, stimulés et pris en compte. Pour recruter et fidéliser les candidats, il est donc crucial d’intégrer ces changements dans l’organisation et le management de l’entreprise, notamment en comprenant le principe de pyramide des tâches. Par Aude GueiConsultante indépendante AG Conseil Pour fidéliser ses collaborateurs et être performant, l’enjeu majeur du management est de mettre les salariés sur des missions dans lesquelles ils apporteront le plus de valeur tout en préservant leur motivation et bien-être. Cette pyramide des tâches du travail est un moyen de répondre à cette problématique. => On parle beaucoup d’énergie environnementale/empreinte écologique, mais je n’ai jamais entendu parlé de « l’énergie structurelle » ou de « l’empreinte énergétique » que génère une entreprise sur les collaborateurs malgré la hausse des burnouts. Pourtant, il y a bien une énergie/dynamique/impulsion qui est insufflée par l’environnement de travail (Poste, management, climat social…). Celle-ci va fortement influencer la motivation, créativité, productivité (Impulsion positive) des collaborateurs ou bien leur désengagement, stress et mal-être (Impulsion négative). LES MISSIONS ET TÂCHES du collaborateur représentent 80% DU TEMPS DE TRAVAIL. Pour renforcer l’implication des salariés et les fidéliser, il est donc primordial de 𝐝𝐨𝐧𝐧𝐞𝐫 𝐝𝐮 𝐬𝐞𝐧𝐬 et de veiller à l’intérêt du poste. ▶ Lorsque nous travaillons sur des tâches stimulantes, nous sommes plus productifs et créatifs. Cela nous connecte à un espace de plaisir et d’inspiration où la créativité et les idées foisonnent de manière naturelle et fluide. La confiance du collaborateur est renforcée et son travail apporte une valeur ajoutée à l’entreprise créant ainsi une dynamique gagnant/gagnant.
D’UN POINT DE VUE HUMAIN
  =>L’homme a besoin d’être stimulé et d’avoir de nouveaux challenges pour être épanoui. Au 𝐧𝐢𝐯𝐞𝐚𝐮 𝐩𝐡𝐲𝐬𝐢𝐨𝐥𝐨𝐠𝐢𝐪𝐮𝐞, mettre son attention sur des tâches perçues comme « désagréables » ou « sans intérêt » sur une longue période, demande une quantité d’énergie importante à l’être humain. Même si la tâche doit et sera accomplie, celle-ci sera effectuée à reculons et donc avec une productivité et qualité moindre. =>  Si ces tâches « énergivores« représentent une part importante du poste, elles pourront impacter le moral, la motivation et/ou la 𝐬𝐚𝐧𝐭é du collaborateur. En effet, de plus en plus d’entreprises ne remplacent pas les partants, créant ainsi beaucoup de frustration et d’amertume chez de nombreux collaborateurs. Un certain nombre d’entre eux ne se retrouvent plus dans l’évolution de leur poste contraints de reprendre des tâches ou missions qui ne répondent pas à leurs attentes (ex :70% de tâches non désirées et 30% stimulantes). ▶ Pour éviter tous ces écueils et des départs inattendus, il est donc nécessaire de réaliser un véritable état des lieux des missions et tâches du collaborateur pour évaluer son niveau d’intérêt et de performance par rapport à son poste. Ce premier entretien permettra de mieux identifier les leviers de motivation du collaborateur ainsi que les freins individuels et organisationnels qui l’empêchent d’effectuer efficacement son travail (ex: problème d’accès à l’information, procédures non écrites, difficultés spécifiques…). Pour que cet échange s’inscrive dans une démarche d’amélioration continue et de fidélisation, des points semestriels de suivi devront être organisés avec le salarié. Intégrer cette démarche dans le management apportera les bénéfices suivants :
  • Créer de nouveaux indicateurs de suivi de performance et de motivation
  • Prévenir les risques psychosociaux et les départs
  • Mieux cibler les besoins en formation et accompagner le collaborateur dans son évolution
  • Développer une intelligence collective en s’appuyant sur les forces de chacun
  • Améliorer l’adaptabilité des équipes et leur productivité
  • Favoriser l’engagement et la fidélisation des collaborateurs
  • Renforcer la marque employeur
Et si vous adaptiez le contenu des postes aux appétences des collaborateurs en appliquant le principe de pyramide des tâches afin de libérer leur CRÉATIVITÉ, créer de L’ENGAGEMENT et favoriser la PERFORMANCE ?
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