...

Ces pays qui attirent les PME et ETI françaises

PARTAGER

Facebook
Email
WhatsApp

Le baromètre Banque Populaire-Pramex International consacre sa quatrième édition à un sujet qui nous est cher, celui de limplantation à l’international des PME et ETI françaises ainsi que des start-up. Cette étude montre clairement que le Covid-19 et la crise sanitaire n’ont pas vraiment calmer la soif de développement international de nos entreprises… le détail ci-dessous.

Par Serge de Cluny

la première constatation de ce baromètre est que la tendance est à l’investissement en Europe avec 52 % de part de marché. Le vieux continent remplit ainsi un rôle de marché refuge pour les PME et ETI françaises qui semblent se désengager quelque peu des États-Unis. Voici les six pays qui attirent à l’heure actuelle environ la moitié des investissements français :

L’Espagne

Les entreprises françaises représentent 11% du total des entreprises étrangères présentes en Espagne et rapportent 19% du revenu total des entreprises espagnoles, devant les Etats-Unis avec 11%.
Sur 52.000 emplois créés, environ 10.200 le sont par des grands groupes français tels que Carrefour, Leroy Merlin, Orange, PSA ou Capgemini

Cependant, l’Espagne se démarque comme une destination idéale pour les primo-exportateurs avec 26 % des investissements. En effet, le pays a mis en place des mesure particulièrement accueillantes pour les PME et ETI françaises ainsi que pour les start-up.

Le Royaume-Uni

En dépit de la crise sanitaire et du Brexit, les entreprises françaises sont les troisièmes à s’implanter au Royaume-Uni et celles déjà présentes dans le pays sont bien décidées à y continuer leur développement, même dans le secteur du commerce très touché par la crise sanitaire.
Le dynamisme économique du Royaume-Uni a toujours attiré les entreprises françaises et la conjoncture actuelle n’a pas pu démentir cette attirance.

L’Italie

Les entreprises françaises représentent 6,2 % de parts de marché dans le pays et parmi celles-ci 30 % sont des PME. On constate également une belle tendance d’ETI françaises qui nouent depuis quelques années des partenariats et réalisent des acquisitions dans le nord du pays, moteur économique du pays.

La consommation des ménages italiens et le fameux tissu de PME du pays ont bien résisté à la crise sanitaire. De plus, l’Italie devrait recevoir la plus belle part du plan de relance européen; ces indicateurs ne font que renforcer l’attractivité de notre voisin meridional pour les PME et ETI françaises.

L’Allemagne

On connait la forte présence des PME et ETI françaises sur le marché allemand avec ses 83 millions de consommateurs et une économie puissante et innovante qui attirent nos start-up. L’allemagne est devenu plus que jamais un marché refuge pour les entreprises qui ont revu leurs projets au grand export et veulent bénéficier de la solidité économique allemande… à juste titre.

Les États-Unis

Avec la crise sanitaire et ces mesures de restriction (fermeture des frontières, réduction drastique des vols internationaux, mesures de confinement), les États-Unis ont vu leur expansion économique ralentir fortement.

Ayant accusé un recul de 3,8 % de leur part de marché, les États-Unis parviennent encore à attirer environ 12% des projets d’investissements français à l’étranger du fait de la taille du marché, de son dynamisme, de la culture entrepreneuriale américaine et de la simplicité à y lever des fonds.
La côte Est reste la destination favorite des nos entreprises avec New-York et Boston qui rassemblent 40% des implantations françaises, en majorité représentées par les acteurs de la french tech (49% des entreprises).

La Chine et L’Asie

La Chine, première grande économie mondiale à sortir de la crise sanitaire attire naturellement les entreprises tricolores en quête de développement sur ce marché émergent où le pouvoir d’achat explose littéralement. A noter qu’en plus de la Chine, on peut compter l’Inde, Taïwan et le Vietnam où les implantations et les investissements français restent constants et solides.



PARTAGER

Facebook
Twitter
LinkedIn
Email
LinkedIn
WhatsApp
PLUS D'ARTICLES
vous trouverez des réponses pour vos études lors de la Journée Portes Ouvertes des écoles de la CCI Paris Ile-de-France le 8 février.
Vous allez devoir choisir votre formation pour la rentrée prochaine. Mais les questions se bousculent ! Quelle formation pour quel métier ? Alternance ou temps plein ? Combien d’années d’études ? Quelles filières recrutent ? Quelles poursuites d’études possibles après tel diplôme ? A toutes ces questions et bien d’autres, vous trouverez des réponses lors de la Journée Portes Ouvertes des écoles de la CCI Paris Ile-de-France le 8 février. Une journée pour découvrir, vous informer et tracer votre avenir !

Des filières créatrices d’emplois et porteuses d’avenir

Gestion, informatique, énergies, vente, restauration, parfumerie, éco-activités, bâtiment, industries créatives, mode… nos écoles proposent 545 formations du CAP au Master, en temps plein ou en apprentissage. Intégrer une école de la CCI Paris Ile-de-France, c’est miser sur la qualité de l’enseignement et l’adéquation des formations avec les besoins des entreprises. Ouvertes à tous, nos écoles forment à des métiers d’avenir dans des secteurs porteurs. Objectif : obtenir un emploi à l’issue de ses études ! Profitez de la Journée Portes Ouvertes des écoles de la CCI Paris Ile-de-France pour vous faire une idée précise.

Chiffres clés

545 formations – dont 375 en apprentissage
89,60 % Taux d’insertion professionnelle de nos étudiants à 7 mois
44 150 jeunes en formation – dont 16 630 apprentis

Nos écoles et filières de formation

Automobile – BTP – Énergie – Paysage/Agrobusiness

LEA-CFILÉA-CFI forme aux métiers de l’énergie (chauffage, ventilation, froid), BIM du bâtiment, électricité, électrotechnique, maintenance des véhicules, TP, valorisation des espaces, agrobusiness… En savoir plus et s’inscrire

Ingénierie – Numérique – Robotique – Data

ESIEE-ITESIEE-IT propose des formations en informatique, cybersécurité, intelligence artificielle, ingénierie logicielle, robotique, Business Analyse, Smart & Green Building, domotique… En savoir plus et s’inscrire

Commerce/Vente – Management/Gestion/RH

Sup de VSUP de V forme aux métiers de la vente et ingénierie d’affaires, marketing, digital -à l’international- et management, RH, développement durable (QSSE), comptabilité/gestion, immobilier…

En savoir plus et s’inscrire

Parfums – Cosmétiques – Arômes

ISIPCAISIPCA propose des formations en parfumerie, aromatique et cosmétique : création, formulation chimique & matières premières naturelles, analyse sensorielle, management, marketing, international et développement commercial.

En savoir plus et s’inscrire

Gastronomie – Management hôtelier

FERRANDI-ParisFERRANDI Paris forme aux métiers de la cuisine & traiteur, de la boulangerie, de la pâtisserie & chocolatier-confiseur, de la sommellerie & barman, du service en salle & arts de la table, de la gestion et du management en hôtellerie restauration.

En savoir plus et s’inscrire

Industries créatives – Métiers de l’image & du son

GOBELINSGOBELINS Paris propose tout un panel de formations en cinéma d’animation, design graphique et motion design, design interactif web et mobile, jeu vidéo, ainsi qu’en photographie et vidéo, musique et son.

En savoir plus et s’inscrire

Grande école de management

ESCPESCP Business School propose, sur ses 5 campus à Paris, Berlin, Londres, Madrid et Turin, des formations en management général (finance, marketing, stratégie…) et spécialisé (entrepreneuriat, industries culturelle et technologique…)

En savoir plus et s’inscrire

Ingénierie – Informatique – Electronique – Robotique

ESIEE ParisESIEE Paris, l’école de l’innovation technologique, forme des ingénieurs (au sein de 21 filières dont 11 en apprentissage) capables de répondre aux enjeux des transitions numériques et environnementales.

En savoir plus et s’inscrire

Comment s’orienter ? Découvrez notre dossier

A noter

Deux de nos écoles organisent leurs Portes ouvertes à une autre date

La Faculté Des Métiers de l’Essonne (FDME) :

HEC Paris : 15 mars 2025
 
Gcollect : solution de recouvrement de factures impayées
Si dans les années 80, le candidat à un entretien de recrutement devait d’abord écrire une lettre de motivation, manuscrite bien sûr, pour laisser les graphologues deviner ses traits de psychologie les plus profonds grâce à sa façon de faire des barres sur les « T ». Puis, se faire intimider par un ou plusieurs recruteurs essayant délibérément de le sortir de ses gonds en mettant le plus de pression possible lors d’entretiens interminables, voire embarrassants ou hostiles. Les entretiens d’aujourd’hui, sont souvent très différents de ces stéréotypes où le recruteur se mettait sur un piédestal. Par Céline Cherqui – Fondatrice de OneWay Quel est le défaut principal de Bernard ? Il est égoïste ! ça, tout le monde le sait 😉 Ou alors, … quels sont vos 3 défauts ? Qu’en est-il de vos candidats, est-ce encore des questions à poser en entretien de recrutement ? Bien évidemment que ces questions sont dépassées par le seul fait que le candidat s’y attend et les a préparées depuis qu’il est entré sur le marché du travail. Il vous apportera une réponse cohérente avec le poste visé et surtout la réponse que vous attendez c’est-à-dire des défauts qui n’en sont pas.
Céline Cherqui – Fondatrice de OneWay
Qui a déjà entendu un candidat répondre, je suis nonchalant, colérique et menteur ? En apprenant à connaitre votre candidat, nul besoin qu’il vous le dise, vous le découvrirez spontanément au détour de vos échanges. Pour cela, il faut savoir écouter, orienter, questionner subtilement, lui permettre d’être créatif, spontané, agile, authentique et lui donner la possibilité d’exprimer pleinement son potentiel. Cette approche différente repose uniquement sur votre façon de mener vos entretiens car, près de 50 ans plus tard, les fondamentaux ne changent pas. La trame de questions reste similaire :
  • Quelles sont les compétences acquises et celles qui lui restent à développer ?
  • Quels sont les drivers qui le pousseraient au changement ?
  • Quels seront ses critères de sélection s’il hésite entre plusieurs entreprises, plusieurs propositions ?
  • Et l’ultime question, sommes-nous prêts à collaborer ?
Aujourd’hui, nous attachons une importance particulière à mettre en confiance notre candidat, à comprendre ses attentes, à savoir sur quel poste il pourra s’épanouir le plus, pour lui proposer celui qui lui correspond vraiment. Nous avons besoin de connaitre notre candidat, pour savoir s’il s’adaptera à notre ADN et au poste visé. Nous avons besoin d’être rassuré sur ses compétences et d’une manière générale, d’évaluer ses savoir-faire et ses savoir-être. On teste, on évalue, on met en situation, on sélectionne, on recrute le candidat qui correspond à l’ensemble des critères de départ, en proposant à tous, de vivre une expérience positive. Qu’il soit retenu ou non, vous serez garant de l’expérience vécue par votre candidat lors de vos échanges. Passer du rôle de recruteur, à un rôle de facilitateur par le biais d’une approche plus créative, plus agile et plus collaborative lors des rencontres avec votre candidat ne tient qu’à l’expérience que vous lui ferez vivre. Une expérience positive permettra à un candidat de se sentir valorisé, d’être un potentiel ambassadeur de votre marque employeur. Elle ne vous empêchera pas de l’évaluer correctement. Elle vous permettra, en revanche, d’en déduire plus facilement les contours de sa personnalité et pas seulement un discours préparé qu’il vous servira à chacune de vos questions qu’il aura anticipées. Vous l’aurez compris, les techniques sont différentes, les approches s’adaptent au contexte sociétal et la finalité reste toujours la même : savoir si nous sommes faits pour travailler ensemble. 📞 Si cet article vous a donné des idées pour construire un entretien de recrutement mais que tout reste encore un peu flou…Pas de panique, je vous accompagne pas à pas sur toutes les problématiques recrutement que vous pourrez rencontrer. Céline Cherqui – Directrice Recrutement – OneWay
Affacturage en temps réel : les interventions décisives de Bibby Factor
En tant que pure player sur le marché de l’affacturage, Bibby Factor représente une véritable alternative aux grands groupes bancaires. Grâce à son agilité et sa réactivité, il est capable d’intervenir lors de situations financières délicates ou requérant une mise en place rapide de ligne d’affacturage. Charles Bonduelle, Responsable Relation Clientèle, nous raconte deux histoires inspirantes de cas clients qui illustrent parfaitement comment l’expertise et la relation humaine exceptionnelle de Bibby Factor ont permis de dénouer des situations critiques et d’apporter en temps réel les solutions adéquates de financement du poste clients.
INSCRIVEZ-VOUS À NOTRE NEWSLETTER
AUX DERNIÈRES NOUVELLES
×

Vous êtes dirigeant ou cadre ?
Vous avez une question ou besoin d'une information ?

Le respect de votre vie privée est notre priorité

L’accès au site implique l’utilisation de cookies mais celle-ci est subordonnée à votre consentement.