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STRATÉGIES

procédure de sauvegarde judiciaire : une procédure pas assez utilisée

L’ouverture d’une procédure de sauvegarde judiciaire demeure une mesure ultime pour les dirigeants de PME et ETI qui attendent en général le dernier moment pout l’activer, et c’est souvent déjà trop tard. Voici quelques éclairages sur une procédure qui se situe en amont de la cessation des paiements.

Par Franck Boccara

la procédure collective est une démarche préventive pour une entreprise qui rencontre une situation financière insurmontable. Elle est censée éviter la cessation des paiements ainsi qu’un redressement ou une liquidation judiciaire. Il ne faut donc surtout pas confondre la sauvegarde judiciaire dont nous parlons et le redressement judiciaire qui est prononcé lorsque que l’entreprise est déjà en cessation de paiements.

A quel moment solliciter une mesure de sauvegarde judiciaire ?

Avant tout, il faut que la société soit en mesure de faire face à ses dettes exigibles de par son actif disponible et ensuite qu’elle se trouve dans une situation de difficultés jugées  » insurmontables » comme par exemple la perte de son client principal ou l’indisponibilité d’un dirigeant sans lequel l’entreprise ne peut fonctionner normalement. Ces difficultés doivent, si elles persistent, menacer l’activité de l’entreprise et aboutir à la cessation des paiements.

La procédure de sauvegarde

Tout commence par ce qu’on appelle une période d’observation d’une durée de 6 mois renouvelables une fois qui va permettre de comprendre les difficultés et les besoins de l’entreprise pour mettre en place un plan de sauvegarde. Le tribunal désignera un administrateur judiciaire pour cette procédure collective dont le but est d’élaborer un plan de règlement des dettes, après concertation avec les créanciers.

Cette procédure débute par l’ouverture d’une période d’observation et la désignation d’un administrateur judiciaire par le tribunal. La période d’observation est de 6 mois renouvelables une fois et va servir à analyser les problèmes et les besoins de l’entreprise afin d’élaborer un plan de sauvegarde.

C’est au terme de cette période d’observation que le tribunal jugera si le plan de sauvegarde est en mesure de sauver l’entreprise. Si c’est le cas, cette période d’observation sera terminée et le plan sera mis en oeuvre, sinon il faudra placer l’entreprise en redressement ou en liquidation judiciaire.

Quels sont les avantages d’une procédure de sauvegarde ?

Le principal atout de cette procédure est le traitement des difficultés de l’entreprise dès leur apparition, ce qui permet au dirigeant d’agir avant le placement en situation de redressement judiciaire. Il faut noter que dans 62% des cas, cette procédure permet d’aboutir à un plan de redressement. A titre de comparaison, 67% des procédures de redressement judiciaire se transforment en liquidation judiciaire. Autrement dit, si l’action est engagée à temps, elle a toutes les chances de sauver l’entreprise.

L’autre atout considérable dans l’ouverture de cette procédure est la suspension des poursuites individuelles à l’encontre de la société.
Si le plan de sauvegarde/redressement est validé, cela va permettre d’étaler les dettes sur 10 ans, ce qui équivaut à un crédit gratuit qui va donner à l’entreprise l’occasion d’assurer sa réorganisation et de repartir sur de bonnes bases.

La défiance des dirigeants à l’égard de la sauvegarde : pourquoi ?

En 2018, on a dénombre 834 procédures de sauvegarde contre 13 667 procédures de redressement judiciaires.

Les facteurs qui freinent les dirigeants sont la crainte des frais de procédure (honoraires de l’administrateur judiciaire, de l’avocat, frais de greffe, etc.) ainsi que le fait que leur société serait alors fichée au RCS comme étant en procédure de sauvegarde. Cette situation est souvent mal perçue par les clients et les fournisseurs alors que l’entreprise n’est absolument pas en état de cessation des paiements. De plus, les banques sont également susceptibles de revoir leur politique vis-à-vis de l’entreprise et de ne plus lui faire confiance. Ce qui pourrait avoir pour conséquence de compromettre la situation de l’entreprise en sauvegarde et donc d’arriver à un résultat inverse à celui souhaité.

La sauvegarde comme vaccin contre les difficultés de remboursement des PGE ?

La crise sanitaire et économique et le recours aux PGE ont multiplié le nombre de PME et ETI en difficulté qui peuvent condidérer la sauvegarde comme la solution adéquate permettant à celles qui sont encore sauvables, de gagner du temps et d’étaler leurs dettes sur de longues échéances. Les ordonnances du 27 mars et du 27 mai 2020 sont d’ailleurs venues soutenir le pouvoir d’attraction de la procédure de sauvegarde.

On espère que les PME et ETI qui en ont besoin opteront pour cette mesure préventive et qu’elle permettra de sauver certaine entreprises du dépôt de bilan.

Jeux Olympiques Paris 2024 : de belles perspectives pour les entreprises
Les Jeux Olympiques de Paris 2024, qui se sont clôturés ce dimanche 11 août, ont laissé des impressions mitigées parmi les acteurs économiques locaux, notamment les restaurateurs et hôteliers, qui ont  exprimé leur déception quant aux chiffres d’affaires enregistrés durant l’événement. Cependant, Olivia Grégoire, la ministre déléguée des Entreprises et du Tourisme, s’est montrée rassurante en soulignant que les véritables retombées économiques de cette grand-messe sportive se feront sentir sur le moyen et long terme, ouvrant la voie à des bénéfices durables pour les entreprises françaises. Par Franck Boccara Si de nombreux observateurs et analystes ont montré du scepticisme sur le coût des JO et leur impact sur certains secteurs de l’économie française, la ministre déléguée chargée des Entreprises, du Tourisme et de la Consommation dresse un bilan tout à fait différent, explique Le Parisien. Dans un premier temps, Olivia Grégoire avait affirmé dimanche dans La Tribune que les retombées à moyen et long terme seraient importantes. «N’en déplaise aux esprits chagrins, ces Jeux, qui ont coûté 8,8 milliards d’euros constitués en grande partie d’investissements privés, rentreront largement dans leurs frais», dit-elle, estimant les retombées à neuf milliards d’ici quinze ans. Malgré les coups de gueule d’hôteliers et restaurateurs, Olivia Grégoire a assuré qu’«au terme de ces deux semaines», le nombre de nuitées «sur l’ensemble des villes hôtes» a augmenté de 16 % «dont 20 % en Île-de-France».

L’impact des jeux olympiques à moyen terme : renforcement de l’Attractivité Touristique

L’un des premiers effets positifs des Jeux Olympiques concerne le renforcement de l’attractivité touristique de la France, et plus particulièrement de Paris. L’événement a offert une vitrine mondiale exceptionnelle à la capitale française, diffusant des images spectaculaires de la ville et de ses sites emblématiques à des milliards de téléspectateurs. Cet engouement pourrait stimuler une augmentation significative des flux touristiques dans les années à venir. Les visiteurs internationaux, séduits par la beauté et l’effervescence de Paris, pourraient être incités à revenir, générant ainsi des recettes importantes pour les secteurs de l’hôtellerie, de la restauration, du commerce de détail et des services. De plus, les infrastructures modernisées pour l’événement, telles que les transports et les installations sportives, continueront à bénéficier aux touristes et aux résidents, améliorant la qualité de vie et l’expérience des visiteurs. Des Infrastructures Modernisées au Service de l’Économie Les Jeux Olympiques de Paris 2024 ont également laissé en héritage un ensemble d’infrastructures modernisées, qui joueront un rôle crucial dans la dynamisation de l’économie à moyen et long terme. Les entreprises du BTP et de l’ingénierie, qui ont participé à la construction et à la rénovation des infrastructures olympiques, ont non seulement profité d’une activité intense pendant la préparation des Jeux, mais elles bénéficieront aussi d’une expertise renforcée et d’une meilleure visibilité sur la scène internationale. De plus, ces infrastructures, conçues pour être durables et adaptables, peuvent être réutilisées pour d’autres événements sportifs, culturels et commerciaux, renforçant ainsi la capacité de la France à accueillir de grands rassemblements internationaux. Cela ouvre des perspectives intéressantes pour les entreprises françaises spécialisées dans l’organisation d’événements, le tourisme d’affaires, et les services connexes.

Une Dynamique Économique de Long Terme : Innovation et Exportation

Les Jeux Olympiques ont aussi stimulé l’innovation et la transformation digitale dans de nombreux secteurs, créant un environnement propice à l’émergence de nouvelles opportunités économiques. Les entreprises françaises, confrontées à des exigences élevées en matière de durabilité et de technologie, ont dû innover pour répondre aux besoins de l’événement, que ce soit dans le domaine des énergies renouvelables, de la mobilité intelligente, ou des technologies de l’information. Ces avancées technologiques et ce savoir-faire acquis pourront être exportés vers d’autres marchés à l’international, offrant ainsi de nouvelles perspectives de croissance pour les entreprises françaises. La France pourrait ainsi renforcer sa position de leader dans des secteurs clés, tels que l’écologie urbaine, la gestion des événements et les technologies vertes, contribuant à une croissance économique durable. Un Héritage Social et Économique Durable Enfin, au-delà des retombées purement économiques, les Jeux Olympiques de Paris 2024 laisseront un héritage social positif, en renforçant le lien entre les entreprises et la communauté. De nombreuses initiatives ont été mises en place pour promouvoir l’inclusion sociale et l’accès à l’emploi, notamment à travers des partenariats entre les entreprises et les associations locales. Cet engagement social peut créer un cercle vertueux, où les entreprises bénéficient d’une meilleure image et d’une plus grande fidélité de la part de leurs clients et de leurs employés. En conclusion, si les Jeux Olympiques de Paris 2024 ont pu décevoir certains secteurs à court terme, leur véritable impact économique se révélera à moyen et long terme. Les entreprises françaises, en particulier dans les domaines du tourisme, des infrastructures, de l’innovation, et de l’exportation, ont toutes les raisons d’espérer des retombées positives durables, renforçant ainsi la compétitivité et l’attractivité de la France sur la scène mondiale.
Analyse de données pour optimiser les stratégies marketing et communication des PME et ETI
En tirant parti des données collectées à partir de diverses sources, les entreprises peuvent affiner efficacement leurs stratégies de communication et de marketing, améliorer leur conduite opérationnelle et augmenter leur rentabilité. Mais comment cette analyse de données peut être utilisée pour optimiser les stratégies de communication et de marketing des PME et ETI ? La réponse dans cet article. Par Sandrine Leroy – Fondatrice d’Un café et une chaise Pour la comprendre il faut savoir qu’elle consiste à examiner, nettoyer et modéliser des données afin de découvrir des informations utiles, tirer des conclusions et soutenir la prise de décision. Pour les PME et les ETI, cela peut impliquer l’utilisation de diverses sources telles que les ventes, les interactions clients, les campagnes de marketing, et même les données des réseaux sociaux. Les outils d’analyse de données peuvent varier des logiciels simples comme Excel aux plateformes plus complexes comme Google Analytics, Tableau, ou des solutions de Business Intelligence (BI) comme Power BI ou QlikView récemment devenu Qlik Sense. Ces nouveaux logiciels tous droits déclinés de l’IA permettent aux entreprises d’identifier et d’extraire des informations précieuses des grands volumes de données qu’elles stockent. Ils permettent d’en tirer des informations tels que des veilles concurrentielles et les tendances du marché, ainsi que les raisons d’opportunités perdues. La clé est de choisir les outils adaptés aux besoins et aux ressources de l’entreprise. Avant de pouvoir analyser les données, il est essentiel de les collecter de manière efficace. Les PME et les ETI doivent s’assurer qu’elles sont pertinentes et de haute qualité. Cela implique de :
  • Définir les objectifs en identifiant clairement ce que l’on souhaite mesurer et pourquoi. Cela peut inclure l’analyse du comportement des clients, l’efficacité des campagnes publicitaires, ou le suivi des ventes.
  • D’utiliser des données multiples qui peuvent provenir de différentes sources telles que les systèmes de gestion de la relation client (CRM), les plateformes de réseaux sociaux, les enquêtes de satisfaction, et les données de vente.
  • D’assurer la qualité des données. Elles doivent être précises, complètes et actualisées. L’utilisation de processus de nettoyage peut aider à éliminer les erreurs et les doublons.
Une fois les données collectées, l’étape suivante est l’analyse, on transforme l’information en insight. Voici quelques approches courantes comme : L’analyse descriptive qui permet de comprendre ce qui s’est passé dans le passé. Par exemple, les PME et ETI peuvent l’utiliser pour examiner les tendances de vente, le comportement des clients, et les performances des campagnes marketing. Les outils de visualisation comme Tableau ou Power BI sont particulièrement utiles pour cette tâche, car ils permettent de créer des tableaux de bord interactifs et des graphiques détaillés. L’analyse diagnostique, elle, va plus loin en essayant de comprendre pourquoi certains événements se sont produits. Par exemple, si une campagne marketing n’a pas atteint ses objectifs, l’analyse diagnostique peut aider à identifier les raisons de cet échec. Cela peut impliquer l’examen des taux d’ouverture des emails, des taux de clics, et des feedbacks des clients. L’analyse prédictive utilise des modèles statistiques et des algorithmes de machine learning pour prévoir les résultats futurs. Par exemple, les PME et ETI peuvent l’utiliser pour prédire les comportements d’achat des clients, estimer les ventes futures, ou identifier les tendances de marché émergentes. Des outils comme Google Analytics, R, ou Python sont souvent utilisés pour l’analyse prédictive. Et enfin l’analyse prescriptive va au-delà de la prédiction en recommandant des actions spécifiques à entreprendre. Par exemple, si l’analyse prédictive indique une baisse des ventes pour un produit spécifique, l’analyse prescriptive pourrait recommander des stratégies marketing pour contrer cette tendance. Des outils de Business Intelligence avancés et des algorithmes de machine learning sont souvent utilisés pour cette forme d’analyse. On applique de plus en plus ce système d’analyse de données aux stratégies de communication et de marketing. Cela permet de segmenter les clients en groupes homogènes en fonction de divers critères tels que le comportement d’achat, la démographie, ou les préférences et de personnaliser leurs messages marketing pour chaque segment, augmentant ainsi l’efficacité des campagnes. En analysant les données des précédentes, les entreprises peuvent identifier les éléments qui ont le mieux fonctionné et ceux qui doivent être améliorés. Cela peut inclure l’analyse des taux d’ouverture des emails, des taux de clics, des conversions, et bien entendu du retour sur investissement (ROI). Ces données offrent une meilleure compréhension des préférences et des comportements des clients, ce qui permet de personnaliser davantage les interactions avec eux. Par exemple, en utilisant les données de navigation et d’achat, une entreprise peut recommander des produits pertinents à chaque client, améliorant ainsi leur expérience (le buyer’s journey) et augmentant les chances de vente. L’analyse des données permet de mesurer précisément l’efficacité des stratégies de communication et de marketing. Les KPI (Key Performance Indicators) tels que le taux de conversion, le coût par acquisition, et le taux de rétention peuvent être suivis et analysés pour évaluer la performance et ajuster les stratégies en conséquence. Prenons l’exemple d’une PME spécialisée dans la vente de produits bio en ligne. Cette entreprise a utilisé l’analyse des données pour transformer sa stratégie marketing selon la chronologie des étapes suivantes. La PME a collecté des données à partir de son site web, de ses campagnes email, et de ses réseaux sociaux. Elle a également utilisé des enquêtes de satisfaction pour recueillir des feedbacks clients. En examinant les données de vente, elle a identifié que ses clients les plus fidèles étaient principalement des femmes âgées de 25 à 45 ans vivant en milieu urbain, leur buyer persona. En utilisant des modèles de machine learning, la PME a pu prédire les périodes de l’année où les ventes étaient les plus élevées et identifier les produits les plus populaires, c’est l’analyse prédictive. Elle a segmenté ses clients et a personnalisé ses campagnes email, elle a ainsi pu augmenter le taux d’ouverture des emails de 20% et le taux de conversion de 15%. En recommandant des produits en fonction des achats précédents et en envoyant des offres personnalisées, l’entreprise a amélioré la satisfaction client et augmenté la rétention de 10%. Ce système d’analyses de données est un outil ultra puissant. L’exemple de cette PME spécialisée dans la vente de produits bio illustre bien cette dynamique. En adoptant une approche structurée et analytique, cette entreprise a pu non seulement identifier et comprendre ses clients cibles, mais aussi personnaliser ses interactions et optimiser ses campagnes marketing, ce qui a conduit à une augmentation notable de ses taux d’ouverture d’emails, de conversion et de rétention clients. Aujourd’hui l’analyse de données n’est plus une option mais une nécessité pour les PME et les ETI souhaitant rester compétitives dans un environnement commercial en constante évolution. En investissant dans des outils d’analyse performants et en développant une culture axée sur les données, ces entreprises peuvent non seulement améliorer leur performance actuelle mais aussi se préparer à relever les défis futurs avec agilité. L’avenir du marketing et de la communication repose indéniablement sur la capacité à exploiter pleinement le potentiel des données.    
Vous connaissez AIDA ? Non pas ce fameux opéra de Verdi, ni cette voisine du 3ème. AIDA, la méthode marketing pour rédiger des mails de prospection efficaces. Et si vous vous en serviez pour rédiger des offres d’emploi attractives ? Par Céline Cherqui – Fondatrice de OneWay Avant de vous lancer dans la rédaction d’une offre d’emploi, assurez-vous de savoir qui vous cherchez vraiment et pour quoi faire. Vous pouvez aussi échanger avec vos collaborateurs ayant le même profil, pour être certains d’avoir un maximum d’informations et de mots clés pertinents, d’avoir le bon vocabulaire et d’utiliser le ton adapté. Une fois que vous avez votre persona, le portrait-robot du candidat que vous cherchez et une fiche de poste détaillée, il est temps de passer à l’écriture proprement dite de votre offre d’emploi.
Céline Cherqui – Fondatrice de OneWay
C’est à ce moment précis qu’intervient AIDA. Petit rappel de cette méthode issue du marketing : Son acronyme AIDA signifie Attention, Intérêt, Désir et Action. Son but, retracer le chemin psychologique d’un prospect pour le convertir en client. Initialement utilisée dans la publicité, elle est l’une des plus anciennes méthodes de marketing. Il s’agit d’un modèle qui permet d’organiser la rédaction d’un contenu de manière à capter l’attention d’une cible pour la mener à un objectif précis. Cette méthode est aujourd’hui largement reconnue pour son utilité dans toute démarche de vente ou de communication. Et si vous vous en serviez pour rédiger des offres d’emploi attractives ? Quelques astuces pour :
  • – Capter l’attention des candidats
  • – Susciter l’intérêt de vos futurs collaborateurs
  • – Attiser le désir de votre cible
  • – Inciter votre candidat à passer à l’action
  1. Capter l’attention des candidats
Vous n’avez que quelques secondes pour attirer l’attention de votre candidat. Vous devez donc vous démarquer nettement. Pour cela, votre première attention doit se porter sur le titre de votre offre d’emploi. Choisissiez-le accrocheur, car c’est lui qui vous permettra de sortir du lot de la longue liste des offres en ligne.  Optez pour les bons mots clés, car ce sont eux qui vous rendront visibles. Mettez-vous dans la peau de votre candidat et demandez-vous ce qui ferait la différence et ce qu’il serait susceptible de chercher. Attention à ne pas vous enfermer dans une nomenclature interne.
  1. Susciter l’intérêt de vos futurs collaborateurs
Une fois que votre candidat s’est arrêté sur votre offre d’emploi, il est primordial qu’il s’y attarde. Pour cela, il doit se sentir concerné. Donnez-lui l’impression que vous vous adressez à lui personnellement en adaptant votre contenu à ses attentes. Il est donc indispensable de bien le connaître, de comprendre ses besoins, ses attentes et ses interrogations. Il faut l’amener à se reconnaître dans le message qui est délivré. Attention, ce n’est pas encore le moment de vendre votre entreprise.
  1. Attiser le désir de votre cible 
Maintenant que vous avez gagné l’attention et l’intérêt de votre candidat, à vous d’exposer vos meilleurs arguments, susceptibles de provoquer un sentiment de « désir ». À ce stade, il sait pourquoi il doit continuer à vous écouter, mais il n’a pas encore LA bonne raison d’aller plus loin. C’est donc le moment d’expliquer en quoi votre marque employeur est différente, répond à ses attentes et comment elle peut changer son quotidien. Il faut faire preuve d’empathie pour mettre en avant les bons arguments. Vous pouvez également influencer sa décision en utilisant la « preuve sociale », cette tendance à être guidés par le comportement des autres. En partageant l’avis de vos collaborateurs qui lui ressemblent, vous insufflerez en lui une perception positive vis-à-vis de votre marque employeur. Leurs témoignages, anecdotes ou retours d’expérience prendront donc toute leur importance.
  1. Inciter votre candidat à passer à l’action
Donnez-lui la possibilité d’aller au bout de sa prise de décision, facilement et immédiatement. Persuadez-le qu’il doit passer à l’acte maintenant et postuler à votre offre d’emploi. Grâce à cette méthode et une excellente connaissance de ce qui intéresse votre candidat idéal, vous serez en mesure d’écrire une offre d’emploi efficace, qui l’attire et qui résonne véritablement chez lui. 📞  Si cet article vous a donné des idées pour rédiger une offre d’emploi attractive mais que tout reste encore un peu flou, … Pas de panique, je vous accompagne pas à pas sur toutes les problématiques recrutement que vous pourrez rencontrer. Céline Cherqui – Directrice Recrutement – OneWay  

La sauvegarde des données est un élément primordial de l’arsenal que les entreprises, même les plus petites, doivent déployer pour se prémunir des dégâts colossaux que peuvent causer une cyberattaque ou une simple panne matérielle. L’ANSSI et la CPME, lui consacrent même un chapitre dans leur guide des bonnes pratiques de l’informatique. Quelques connaissances élémentaires permettent d’aborder cette question sereinement et de se prémunir du pire, y compris des attaques de ransomware.

Christophe Lambert, Directeur Technique EMEA, Cohesity

Personne n’est à l’abri d’une panne, mais tous les spécialistes vous le diront : une erreur humaine (de manipulation ou de jugement) ou une volonté de nuire est presque toujours la cause du succès d’une attaque informatique ou de la destruction des données d’une entreprise. La technologie peut éradiquer de nombreux risques et anticiper les défaillances, mais seule la sauvegarde des données permet de réparer les dégâts en cas d’erreur humaine. Partez du principe que même dans le château le mieux fortifié, quelqu’un peut, par négligence, par malveillance, ou par erreur, abaisser le pont-levis.

Sauvegarder et … restaurer

Le dictionnaire Larousse définit la sauvegarde informatique comme la “Procédure de protection des informations contenues dans un système informatique, par copie de ces informations sur disque ou bande magnétique.” Sur le plan technique, c’est une définition incomplète. Gardez à l’esprit que d’un point de vue opérationnel, l’objectif d’une solution de sauvegarde est, avant tout, la restauration d’un système informatique à un état fonctionnel. Mettre en place une procédure de sauvegarde efficace, c’est s’assurer de pouvoir rapidement et complètement remettre les ordinateurs ou les serveurs en état de marche. Pour cela, il faut s’assurer d’avoir à disposition sur des supports externes tous les logiciels, les licences et les outils dont vous aurez besoin pour rétablir les données bien-sûr, mais aussi le fonctionnement. Enfin, disposer des compétences et du savoir-faire nécessaire n’est pas accessoire.

La stratégie 3-2-1 : l’approche élémentaire

Même si elle peut être adaptée au fil du temps pour mieux correspondre aux impératifs de l’entreprise, la stratégie 3-2-1 est toujours un excellent point de départ pour mettre en place en système de sauvegarde résistant et résilient. Largement plébiscitée par les spécialistes, elle consiste simplement à s’organiser de manière à avoir en permanence 3 copies de vos données sur au moins deux supports différents de l’original, dont un, hors site. Idéalement, les copies sur site sont conservées hors ligne pour être protégées contre les attaques.

Un exemple, pour une petite entreprise : vos données sont sur un ordinateur. Vous faites en plus une copie sur un disque externe que vous débranchez ensuite pour ne pas qu’il soit victime en cas d’attaque et une autre sur un service internet dédié.

Cette stratégie présente deux qualités importantes : elle permet de rétablir les données, le plus souvent rapidement, tout en protégeant contre les dégâts matériels qui peuvent survenir sur le site de votre activité (incendies, vols, etc.). Elle est applicable aussi bien aux travailleurs indépendants qu’aux plus grandes PME, même si les supports, les logiciels et les services utilisés pour le faire peuvent varier. Bien entendu les copies en question – incrémentales ou complètes – doivent être effectuées selon une régularité qui dépend de la criticité des changements effectués.

Automatiser et externaliser

La stratégie 3-2-1 n’est pertinente que si, une fois mise en place, elle continue d’être appliquée. Pour cela, l’idéal est d’utiliser des logiciels et/ou des services externes qui automatisent la copie des données et même leur restauration. Les entreprises les plus modestes peuvent se référer aux instructions données par le site officiel du jour européen de la sauvegarde et la section dédiée de cybermalveillance.gouv.fr. L’ANSSI propose aussi des recommandations de logiciels pour les particuliers, applicables aux plus petites entreprises.

Les entreprises qui comptent plus d’employés (dès quelques dizaines) et dont les installations informatiques sont plus étendues et/ou plus complexes peuvent faire appel à des sociétés spécialistes de la gestion et de la protection des données.

Ne jamais remettre à demain

La sauvegarde des données d’une entreprise est souvent perçue comme une assurance. Une procédure qui ne servira jamais vraiment si aucun sinistre ne survient. Avec une différence majeure tout de même, statistiquement, les sinistres informatiques s’abattent plus fréquemment que les incendies. L’actualité des derniers mois a prouvé que personne n’est à l’abri d’une attaque informatique dévastatrice avec à la clé, de longs jours d’interruption de l’activité.

Enfin, vos sauvegardes ne sont pas nécessairement une masse inerte. Selon votre activité, elles peuvent participer à la création de valeur. L’analyse de l’historique de vos données peut jeter un éclairage supplémentaire sur votre activité et vous aider à dégager de la valeur ou a minima une économie de temps.

 

Le développement de la concurrence pousse les entreprises à déployer des stratégies plus innovantes pour convaincre leurs candidats cibles et gagner leur confiance. Les attentes des candidats devenues de plus en plus exigeantes et les entreprises n’ont plus d’autres choix que de relever le défi en affinant leur proposition d’embauche. Par Céline Cherqui – Fondatrice de OneWay Ces stratégies doivent se baser sur une approche nouvelle, différente et personnalisée pour rendre l’expérience candidat meilleure. Si l’expérience candidat débute parfois, avant même la première interaction avec l’entreprise, l’expérience collaborateur débute, elle, dès la réalisation de la proposition d’embauche. La question se pose alors : comment transformer la proposition d’embauche en véritable expérience collaborateur ?
Céline Cherqui – Fondatrice de OneWay
Dans la phase de recherche de candidats, l’entreprise a besoin de connaître sa cible : sa tranche d’âge, ses besoins, ses attentes et ses comportements. Le facteur « connaissance » joue un rôle important dans l’élaboration de l’expérience candidat et il représente une source incontournable pour extraire des informations nécessaires à l’optimisation du parcours candidat. Cette expérience doit donc se prolonger, lors de la proposition d’embauche en une expérience collaborateur réussie. S’il existe plusieurs entreprises pouvant offrir le même poste à un candidat, ce dernier sera sensible à la valeur ajoutée apportée lors de son parcours candidat et celle espérée dans son parcours collaborateur. Ainsi, pour se démarquer de ses concurrents, l’entreprise doit viser la meilleure approche possible pour cet événement marquant de la vie d’un nouveau collaborateur. Et si vous tentiez un processus d’amélioration continue pour remettre en question vos pratiques ? Vous pourriez vous demander : « Est-ce que l’expérience candidat est satisfaisante pour ma cible ? Quel a été le niveau des interactions avec les collaborateurs de mon entreprise ? Sont-ils les bonnes références pour ma cible, ont-ils répondu à toutes ses attentes : questions, précisions, appréhensions ? Est-ce que mon candidat vit une expérience positive ? A-t-il envie de devenir un de mes collaborateurs ? Se sent-il engagé ? Aura-t-il envie de diffuser un message positif sur son expérience ? sur ma marque employeur ? Adhère-t-il à nos valeurs d’entreprise ? Deviendra-t-il un collaborateur fidèle ? Suis-je en mesure de pouvoir répondre à ces questions et d’avoir envie de faire bouger les lignes ? » Vous l’aurez compris, avant d’accepter votre offre de collaboration, vos candidats auront sans doute l’occasion de la comparer et choisiront l’entreprise qui saura les combler. L’enjeu sera donc d’identifier les moments clés de leur parcours, ceux où ils seront le plus réceptifs et où l’impact de vos actions aura le plus de sens pour eux. A vous de faire la différence et de marquer vos candidats de façon positive.Vous pourrez ainsi construire une stratégie cohérente, qui inspire confiance et qui est ultra-personnalisée. Pour cela, vous pouvez commencer par faire de chaque interaction, une rencontre. Individualisez les approches pour capter l’attention de vos candidats et instaurez une relation de confiance dès le début. Minimisez le temps entre chaque interaction, prenez des décisions rapides et cohérentes. Minimisez également les efforts que devront fournir vos candidats, soulagez-les avec des process fluides. Répondez à leurs besoins et à leurs attentes. Plus vous connaitrez vos cibles, plus vous pourrez aller au-delà des attentes exprimées et plus vous les surprendrez positivement. Prédire plutôt que réagir, anticipez leur craintes, leurs doutes, les difficultés qu’ils pourraient rencontrer et proposez-leur des solutions avant qu’ils ne vous en parlent. Construisez une histoire basée sur l’empathie, mettez en valeur tout ce qui a de l’importance pour vos cibles. Faites preuve de constance, tenez vos promesses et instaurez ainsi la confiance d’une relation saine. N’oubliez pas qu’ils seront, peut-être un jour, vos collaborateurs. Dans ce contexte de concurrence et de complexité à recruter les « bons profils », le besoin de rassurer, simplifier, et de proposer une expérience unique devient essentiel. Ainsi, la stratégie d’acquisition et de fidélisation la plus rentable est le ré-enchantement continu de l’expérience. 📞 Si cet article vous a donné des idées pour rendre vos propositions d’embauche plus attractives mais que tout reste encore un peu flou, …Pas de panique, je vous accompagne pas à pas sur toutes les problématiques recrutement que vous pourrez rencontrer. Céline Cherqui – Directrice Recrutement – OneWay

La rentabilité responsable souffre malheureusement de beaucoup de préjugés. « On peut s’enrichir sans rien faire en achetant des appartements et en les louant très chers » ou « Les propriétaires exploitent les locataires ». Ces idées reçues relèvent d’une vision court-termiste et repose sur une mauvaise adéquation entre deux éléments qui constituent l’investissement locatif : le service rendu et le profit.

Par Mathieu Darras – Co-fondateur Brickmeup

Il existe pourtant une façon éthique d’investir pour arriver à une rentabilité responsable. Nous allons vous donner les clés de ce type de placement.

La quête de la rentabilité à court terme dans l’investissement immobilier locatif 

Nombreuses sont les offres alléchantes proposées par des entreprises spécialisées en investissement locatif. Elles proposent d’aider les particuliers à réaliser un investissement rentable clé en main. Sur le principe, ces offres de services sont intéressantes car elles permettent de simplifier la vie d’investisseurs intéressés par l’immobilier. Mais certaines de ces entreprises exercent une sorte de « surenchère immobilière » qui, à terme, risque de « boucher » le marché immobilier.

Comment influer sur sa rentabilité ?

Les deux paramètres qui impactent directement la rentabilité d’un investissement en immobilier locatif sont l’augmentation de la valeur du bien et le montant des loyers collectés.

Pour augmenter la valeur du bien, il faut la créer. Pour cela vous pouvez :

  • Optimiser les espaces
  • Améliorer l’habitat
  • Cibler une zone, objet d’une politique de revitalisation.

Si on suit le principe de rentabilité responsable, il est possible d’investir de façon rentable mais aussi plus éthique vis-à-vis de l’environnement et de la société. Mais comment, dans ce cas, augmenter la valeur du bien et agir sur le paramètre des loyers de façon responsable ?

Augmenter la valeur du bien de manière responsable

Le meilleur moyen de créer de la valeur, c’est de faire de travaux en optimisant les espaces ou en rénovant les biens.

En revanche, vous avez deux façons de faire les travaux : soit vous réduisez au maximum les coûts liés à la rénovation du bien en utilisant des matériaux de qualité médiocre, soit vous êtes plus attentif à la qualité en pensant au confort de vos futurs locataires et à la durabilité.

La deuxième solution est de loin la meilleure et la plus responsable. Vous pourrez revendre plus facilement votre bien et réduirez les tentatives de négociation du prix. Vous avez alors trois gagnants : le locataire, vous le propriétaire et le futur acquéreur.

D’un point de vue environnemental, faire des travaux d’isolation thermique et phonique permet de réaliser des économies d’énergie. Les charges de fonctionnement pour le locataire sont aussi réduites ce qui favorisera son maintien dans le logement.

L’impact de la rentabilité responsable est indirect mais se mesure à long terme :

  • Moins de coûts de maintenance ou de réparation,
  • Moins de vacance locative,
  • Plus de bien être pour le locataire
  • Meilleure valorisation à la revente.

Agir sur le paramètre loyer de façon responsable

Pour fixer votre loyer, il faut avoir en tête deux éléments fondamentaux : Vous positionnez votre bien sur un marché concurrentiel et la valeur du loyer doit vous permettre sélectionner les meilleurs candidats.

Un trop grand nombre d’investisseurs n’ont qu’un seul objectif : la rentabilité à court-terme. Ils omettent d’intégrer que leur locataire n’a peut-être pas d’autre alternative de logement que le vôtre. Dans ce cas, lui proposer un bien avec un loyer élevé ou mal aménagé risque d’influer sur son état esprit. Il sera moins enclin à l’entretenir comme il se devrait et voudra quitter le logement dès que possible. Quant aux risques d’impayés…

Dans un bien de qualité, au contraire, avec un loyer qui correspond au marché il sera plus enclin à rester quelques années. N’oubliez jamais qu’un locataire heureux est un locataire rentable !

Réaliser un investissement responsable sans devoir renoncer à une bonne rentabilité c’est tout à fait possible. Ce type de placements éthiques suit le principe de l’ISR, l’Investissement Socialement Responsable, fortement encouragé par les pouvoirs publics. Cette tendance est en pleine évolution et vise à assainir le marché immobilier de demain.

Adopter une stratégie climatique ambitieuse et cohérente est un acte fort pour l’environnement mais pas seulement, c’est aussi un véritable cercle vertueux pour votre PME ; maitrise des coûts, fidélisation des clients et des collaborateurs, recrutement de nouveaux talents, image de marque, accès à des marchés etc… Pour vous accompagner dans cette transition, South Pole a crée un programme de stratégie climatique dédié aux PME qui vous permettra de façon pragmatique d’évaluer votre empreinte carbone et d’élaborer une stratégie réellement en phase avec les besoins de votre entreprise… on vous laisser regarder comment ça marche !
Si Cristina Cordula donne des conseils vestimentaires aux femmes selon leur morphologie – A, H, O, V – mieux vaut les suivre à la lettre…« Ma chérie tu es un H, non mais là, ça va pas du tout ! tu es complètement à côté de la pompe ! Il faut tout changer ! » Pourtant, elle ne nous parle pas des profils en T, et pour cause …Il s’agit d’une métaphore utilisée dans le recrutement pour décrire les capacités des candidats. Un profil en « T » possède à la fois une très bonne expertise de son domaine (la barre verticale du T) et de bonnes compétences transverses (la barre horizontale du T). Par Céline Cherqui – Fondatrice de OneWay C’est dans les années 90 que Tim Brown, PDG du cabinet de conseil IDEO, popularise ce concept pour recruter ses collaborateurs. Dans un écosystème en perpétuelle mutation, les entreprises commencent à être confrontées à l’impératif de développer des compétences hybrides pour créer de la valeur. Le succès passe alors par le développement de synergies entre des disciplines indépendantes, et briser les silos devient impératif pour répondre de manière agile aux besoins spécifiques.
Profils en T
Céline Cherqui – Fondatrice de OneWay
Cette approche différente de sélection des candidats s’avère être idéale pour constituer des équipes interdisciplinaires permettant d’améliorer le travail collaboratif et la co-construction de nouvelles solutions. Ainsi, les compétences développées par les profils en « T », où la barre verticale représente sa spécialisation dans un domaine d’expertise et la barre horizontale sa capacité à collaborer efficacement avec d’autres experts, ont favorisé la créativité au sein des équipes et la recherche de personnalisation dans les réponses fournies. Dans le contexte actuel de mutation rapide des métiers l’acquisition de compétences multiples est devenue cruciale pour conserver son employabilité. Avoir des collaborateurs qui pensent « out of the box » est un avantage stratégique pour se démarquer et répondre aux problématiques clients de façon innovante. Ces profils en « T », capables de prendre de la hauteur et de s’adapter naturellement aux changements, sont de véritables « couteaux-suisses » indispensables au sein d’une équipe. Pourquoi recruter un profil en « T » dans une équipe recrutement ? Un recruteur s’appuie sur ses connaissances et son savoir-être : technicité, écoute, capacité à communiquer, adaptabilité, humilité, objectivité, sens de l’analyse, esprit de synthèse, calme, discernement, pragmatisme. Pour attirer et séduire les candidats, un recruteur doit également avoir des compétences de : – Marketeur, pour dresser le portrait des persona et concevoir une stratégie d’approche adaptée à leurs caractéristiques comportementales – Développeur, pour traduire la demande d’un client, en requête – Chasseur, pour dénicher l’oiseau rare – Rédacteur, pour donner le ton, définir les contenus et élaborer une ligne éditoriale pertinente – Speaker, pour créer des storytelling efficaces et authentiques – Vendeur, pour bâtir une argumentation solide – Evaluateur, pour jauger la capacité d’un candidat à poursuivre le process – Négociateur, pour proposer au bon candidat la meilleure offre possible – Influenceur, pour diffuser les messages et créer du lien autour de la marque employeur. Pour conserver sa crédibilité, au gré des révolutions technologiques et des nouvelles générations de candidats, le recruteur doit donc impérativement se remodeler et se réinventer. Un profil en « T » comprendra à la fois les défis du business et ceux des opérationnels, aura une vision transverse des postes à pourvoir et la capacité d’échanger avec chacun des candidats de façon privilégiée. Sa culture du partage et sa capacité d’apprentissage feront de lui un élément inestimable dans une équipe. Il saura s’adapter à un environnement changeant et en constante évolution. Sera capable de proposer des solutions innovantes et de se différencier de la concurrence. Il sera suffisamment flexible et coopératif pour atteindre ses objectifs et participer à la réussite globale de l’équipe recrutement. Il pourra également contribuer au rayonnement de la marque employeur grâce à sa capacité de réseautage et à son empathie. Vous l’aurez compris : il est temps que Mister T rejoigne votre équipe 😊
L’IFAG, avec ses 27 campus en France et à l’étranger, se démarque en tant qu’école de management qui parvient à allier avec succès une pertinence globale et un solide ancrage dans les territoires où elle est implantée. Forte d’un savoir-faire reconnu dans la formation au management à destination des entreprises de retail, l’IFAG a établi des partenariats stratégiques avec les entreprises de la région nord, à l’instar de Norauto, un acteur économique qui rayonne fortement dans la région. Emmanuelle Godfrin, Responsable des formations Alternance & Relations Ecoles pour Norauto France et Secrétaire Générale de l’AFMD, répond à nos questions et nous livre sa vision de ce partenariat en décrivant de façon précise les avantages uniques qu’offre l’IFAG en matière d’apprentissage et d’alternance.
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