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STRATÉGIES

« Paris pour l’emploi » organise sa 17e édition les 3 et 4 octobre 2019 sur la place de la Concorde. La CCI Paris permet aux TPE et PME de diffuser leurs offres d’emploi de façon gratuite sur son stand pendant l’événement.

Ce sont au total 2 000 responsables des ressources humaines opérant au sein de 500 entreprises et collectivités qui ont répondu à l’appel de cette rencontre destinée à faciliter la mise en relation entre recruteurs et candidats à l’emploi.
Ce rendez-vous s’adresse à tous les profils quelque soit leur qualification, leur niveau de compétence ou leur expérience pour leur proposer des emplois en CDD, en CDI, des missions à l’international, des stages ainsi que des formations en alternance…

Organisé par l’association « Carrefours pour l’emploi« , l’évènement est le résultat d’un partenariat étroit entre la Région, la Ville de Paris, la CCI Paris, Pôle emploi, et l’Armée de terre principalement. Près de 1000 m² seront entièrement consacrés aux travailleurs handicapés, 300 m² réservé à l’économie sociale et solidaire et 500 m² pour les candidats qui souhaitent partir à l’assaut de l’international, en partenariat avec Pôle Emploi International.

L’édition 2018 a permis de proposer environ 800 postes de TPE et PME à plus de 600 candidats qui ont été reçus en entretien sur le stand CCI Paris. Pour cette année, c’est près de 50 000 candidats qui sont attendus !


Pour diffuser votre offre sur le stand CCI Paris

> Remplir le formulaire en ligne en détaillant votre offre d’emploi 
> Vous avez des questions ? Contactez la CCI Paris
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Afin de recruter de manière rapide, efficace et différente, réservez dès maintenant votre stand sur « Paris pour l’Emploi » ! Information au 01 53 95 15 10 ou en cliquant ici.
 

Le salon est ouvert à tous et l’entrée est libre et gratuite de 9 à 18h sans préinscription
Plus d’information : 
parisemploi.org
#PARISEMPLOI

Adresse complète

Place de la Concorde, 75008 Paris

« Paris pour l’emploi » organise sa 17e édition les 3 et 4 octobre 2019 sur la place de la Concorde. La CCI Paris permet aux TPE et PME de diffuser leurs offres d’emploi de façon gratuite sur son stand pendant l’événement.

Ce sont au total 2 000 responsables des ressources humaines opérant au sein de 500 entreprises et collectivités qui ont répondu à l’appel de cette rencontre destinée à faciliter la mise en relation entre recruteurs et candidats à l’emploi.
Ce rendez-vous s’adresse à tous les profils quelque soit leur qualification, leur niveau de compétence ou leur expérience pour leur proposer des emplois en CDD, en CDI, des missions à l’international, des stages ainsi que des formations en alternance…

Organisé par l’association « Carrefours pour l’emploi« , l’évènement est le résultat d’un partenariat étroit entre la Région, la Ville de Paris, la CCI Paris, Pôle emploi, et l’Armée de terre principalement. Près de 1000 m² seront entièrement consacrés aux travailleurs handicapés, 300 m² réservé à l’économie sociale et solidaire et 500 m² pour les candidats qui souhaitent partir à l’assaut de l’international, en partenariat avec Pôle Emploi International.

L’édition 2018 a permis de proposer environ 800 postes de TPE et PME à plus de 600 candidats qui ont été reçus en entretien sur le stand CCI Paris. Pour cette année, c’est près de 50 000 candidats qui sont attendus !


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Le développement international reste un enjeu majeur pour les PME et ETI et, à travers elles, pour l’économie française dans son ensemble. Les dirigeants de ces entreprises qui se sentent souvent à l’étroit sur le marché national perçoivent bien le potentiel de l’export mais ne connaissent pas toujours les mesures mises en place pour les aider dans conquête de ces marchés, notamment par Bpifrance.

Par Franck Boccara

Le Baromètre export 2018 Euler Hermes indique que 84 % des PME et ETI françaises veulent augmenter leur chiffre d’affaires à l’international en 2018, contre seulement 79 % en 2016. Pour profiter de ce relai de croissance qu’est le développement international, il faudra tout d’abord en avoir le potentiel structurel, puis faire preuve de beaucoup d’audace et de pugnacité. Mais en plus de ces conditions sinéquanones, une petite dose d’aide et d’accompagnement par Bpifrance sera forcément de bonne augure.

Les aides Bpifrance

« Le contexte mondial est favorable à la France », se réjouit Pedro Novo, directeur exécutif en charge de l’Export chez Bpifrance, qui a mis en place toute une série d’aides pour les PME et ETI. Parmi les plus marquantes, Bpifrance a créée le Fond Build-Up International dans le cadre du PIA (Programme d’Investissements d’Avenir) visant à accompagner les PME et ETI françaises indépendantes dans leurs stratégies d’acquisition d’entreprises à l’étranger.

Cet outil vise les PME ayant un chiffre d’affaires d’au moins 20 millions d’euros jusqu’aux ETI dont le chiffre d’affaires peut atteindre 1,5 milliard d’euros, indépendantes et à fort potentiel de développement international, pour des opérations de croissance externe d’une valeur de 10 à 150 millions d’euros. Le Fond Build-Up International participe à l’acquisition de sociétés par investissement direct dans leur capital, aux côtés de la PME ou ETI française, de montants allant de 3 à 30 millions d’euros. Les entreprises bénéficiant de cette aide se doivent d’investir un montant au moins équivalent à celui du fonds. 

De plus, Bpifrance accompagne les PME à travers plusieurs dispositifs de prêts, d’assurance, de prise de capital, mais également de formation, de conseil et de mise en relation. L’assurance prospection reste la plus répandue de ces aides avec environ 1 500 bénéficaires par an, celle-ci offre un soutien en trésorerie immédiat, par le biais d’une avance de 50 % du budget engagé. L’entreprise ne devra rembourser cette somme qu’après une période de franchise de deux ans minimum, selon le chiffre d’affaires réalisé sur la zone. En cas d’échec, l’entreprise ne devra que 30 % de l’avance en question.

D’autres dispositifs sont à la disposition des PME et ETI, tels que le « Prêt croissance internationale » (de 30 000 à 5 millions d’euros sans garantie, prêt à taux fixe sur 7 ans avec remboursement différé), le « Crédit export » qui offre aux entreprises françaises la possibilité de proposer un financement à leurs clients (jusqu’à 85 % du contrat commercial), ou encore l’assurance « change ». 

La banque publique d’investissement soutient aussi les entrepreneurs avec ses accélérateurs depuis déjà cinq ans, avec un module dédié, et lance cette année un accélérateur spécifique avec un programme de dix-huit mois qui permet aux PME de parfaire leur stratégie globale. « La première promotion devrait compter 30 entreprises, notre ambition étant d’en accompagner 200 sur les 4 000 accélérées d’ici 2021 », précise Pedro Novo.

 

SOCIÉTÉ GÉNÉRALE PRIVATE BANKING est un acteur international de référence de l’accompagnement des dirigeants et cadres d’entreprises dans leur réflexion et leur stratégie patrimoniale.
Présents dans tout l’hexagone, les ingénieurs patrimoniaux de SOCIÉTÉ GÉNÉRALE PRIVATE BANKING France conjuguent expertise pointue et proximité afin de répondre par des solutions complètes et innovantes à toutes les problématiques d’investissement, de cession, de transmission, de financement ou de philanthropie que rencontrent les dirigeants et cadres dans leur vie professionnelle et privée.
Frédéric Poilpré, Directeur de l’ingénierie patrimoniale et Franklin Wernert, Directeur de l’offre de produits et services nous parlent de l’approche globale d’une banque universelle.

La protection des données ne peut être solutionnée uniquement par la sécurité informatique. En effet, les données sensibles sur papier ou supports numériques, également soumis à la RGPD européenne, doivent être sécurisées et systématiquement détruites.
HSM France, dont le siège social est en Allemagne, propose toute une gamme de destructeurs de documents avec différents niveaux de sécurité qui répondent à l’ensemble des enjeux qu’une entreprise peut rencontrer dans ce domaine.
Pascal Lux, Directeur Commercial HSM France, nous en fait la démonstration.

Les performances et processus financiers d’une entreprise forment un domaine complexe qui doit être confié à de véritables experts. AC&S permet aux directions générales et financières de rester maîtres de leurs comptes grâce à des solutions de proximité, transversales et collaboratives.
Jean-Marie Philips, fondateur et dirigeant, nous présente l’approche d’AC&S pour répondre à ces enjeux.

Les performances et processus financiers d’une entreprise forment un domaine complexe qui doit être confié à de véritables experts. AC&S permet aux directions générales et financières de rester maîtres de leurs comptes grâce à des solutions de proximité, transversales et collaboratives.
Jean-Marie Philips, fondateur et dirigeant, nous présente l’approche d’AC&S pour répondre à ces enjeux.

Le prototypage virtuel représente pour les PME et ETI industrielles un formidable outil innovant pour optimiser les moyens de production et les process et répondre aux défis d’un marché fort concurrentiel et en constante évolution. Rendez-vous devant vos écrans le 11 juillet pour tout comprendre sur le prototypage virtuel.

Le prototypage virtuel offre la possibilité aux concepteurs et ingénieurs de concevoir des modèles virtuels et de procéder aux tests dans un environnement virtuel qui regroupe toutes les informations nécessaires pour modéliser la manière dont les matériaux du produit réagiront dans l’environnement réel. Il permet également de visualiser comment le processus de production va affecter le produit final. Le logiciel offre aussi aux concepteurs l’occasion d’effectuer des modifications et de voir les effets qu’auront ces modifications sur le produit fini. Cette innovation dans la conception de produit veut dire que l’ingénieur peut créer des produits qui vont répondre aux spécifications de conception, plus rapidement et à moindre coût que les méthodes de prototypage traditionnelles.

L’utilisation d’une application de prototypage virtuel peut impacter considérablement les performances d’une entreprise en lui permettant de réduire ses coûts de production et de réagir aux opportunités du marché en lançant de nouveaux produits innovants beaucoup plus rapidement et de rester compétitives dans un monde bouleversé par les nouvelles exigences des clients, les réglementations environnementales et l’apparition de nouveaux acteurs.

Augmenter les cadences, réduire les taux de rebuts, accélérer les cycles de développement tout en les sécurisant… tous ces défis peuvent être relevés par le prototypage virtuel !

L’expert :

Ce webinaire sera animé par Dominique Lefebvre, vice-président exécutif Opérations Produits d’ESI Group, qui démystifiera les solutions de prototypage virtuel et vous présentera des cas d’usage concrets.

Infos pratiques :

Rendez-vous sur vos écrans le 11 juillet 2019 de 11h à 12h
La participation à ce webinaire est gratuite et ouverte à tous !


Les PME françaises ont démarré leur tranformation digitale pour affronter un marché globalisé très concurrentiel. En effet, les 3 millions de PME françaises voient l’incroyable potentiel de développement que représentent les 38.8 millions consommateurs en ligne présents dans l’héxagone. Cependant, nos PME accusent un retard sur leur transformation digitale en comparaison de nos voisins européens.

Par Franck Boccara

En France 2 PME sur 3 France possèdent un site internet contre 3 sur 4 dans le reste de l’UE. Les ventes réalisées via le e-commerce ne représentent, en moyenne que 3% du chiffre d’affaires de nos PME.

Le retard de celles-ci dans leur tranformation digitale se manifeste principalement en terme d’adoption de solutions digitales comme la présence sur le net et sur les réseaux sociaux, la vente en ligne ou encore la mise en place d’outils digitaux permettant d’améliorer la productivité. Naturellement, ce sont parmi les PME les plus petites que le retard est le plus significatif.

De fait, il y a un décalage entre le niveau de maturité des consommateurs français et celui de leurs entreprises. Par exemple, une PME sur huit propose des ventes en ligne alors que sept français sur dix consomment sur internet. Cette différence profite donc directement aux entreprises étrangères et à l’import alors que nos PME peuvent récupérer jusqu’à 1.5 millions de consommateurs en rattrapant leur retard.

Les PME françaises qui ont déjà amorcer ou finaliser leur transformation digitale ont quatre fois plus de chance d’exporter que le reste des PME françaises dans la mesure où cette capacité numérique leur offre la possibilité d’accéder à des places de marché mondialisées. Les ventes en ligne représentent 40% de la croissance totale des ventes sur l’héxagone ces dernières années, notamment dans les domaines du tourisme et voyage, de la distribution ou encore de la restauration.

Il existe bel et bien une prise de conscience de nos PME pour la tranformation digitale et beaucoup d’efforts y sont déjà engagés, ce qui a permis la naissance et le développement d’un véritable marché de la transformation digitale pour les années qui viennent. Il reste juste quelques barrières à faire tomber telles que certaines lacunes dans les compétences techniques digitales, dans l’investissement dans cette voie ou encore dans la méconnaissance des outils digitaux existants. A bon entendeur !

L’inactivité physique est l’une des principales causes des maladies chroniques du XXIème siècle. Un fléau qui touche aussi les entreprises et leurs salariés avec des enjeux forts en termes d’absentéisme, de capital santé et de productivité.

Par Samuel Oudin

Et vous, combien de pas avez-vous fait hier ? Quelle est votre dose d’activité physique modérée hebdomadaire ? Etes-vous sédentaire, moyennement actif ou très actif ?

“En dix ans, nous sommes passés de 3h à 5h quotidiennes devant les écrans chez les adultes. Beaucoup de maladies sont des maladies du mode de vie. Les combattre représentent un vrai enjeu de société”, explique Claire Mounier-Vehier, présidente de la FFC (fédération française de cardiologie) et chef du service de médecine vasculaire et hypertension artérielle au CHRU de Lille.

Un nouveau défi pour les dirigeants des entreprises

Face à ce constat, les dirigeants d’entreprise cherchent des solutions pour préserver le capital santé de leurs collaborateurs. D’autant que les enjeux restent forts : 12% de gain de productivité pour le salarié pratiquant au moins 30 minutes d’activité physique par jour par rapport aux collègues sédentaires (étude Santé Canada) et 7 à 9 % d’économies réalisées par l’entreprise sur les frais de santés annuels d’un employé si celui-ci a une activité physique régulière (source : Goodwill).

Certaines organisations tentent alors d’aménager des salles de sport dans leur établissement, de proposer des abonnements à tarifs réduits aux salles de Fitness ou d’organiser des séances avec un coach sportif dans les couloirs ou sur le parking. Mais l’adhésion à ces programmes reste parfois faible au regard des investissements consentis. La grande majorité des salariés ne sont pas marathoniens ni même adeptes de quelque sport que ce soit.

Maximiser l’engagement de tous les collaborateurs

Pour répondre à cette problématique de prévention santé, de nouvelles solutions émergent. Parmi celles-ci, la start-up Kiplin propose une recette simple : inciter les salariés à changer leurs modes de déplacements quotidiens en misant sur le jeu et l’esprit de groupe. Plus de 200 entreprises et 20 000 salariés ont déjà adopté cette solution parmi lesquelles : Caisse d’Epargne, Generali, EDF, Harmonie Mutuelle, Texas Instrument, Dassault System, Total, Orange…

Comment ça marche ? L’entreprise invite ses salariés à télécharger l’application mobile Kiplin (pour compter les pas) et à se mettre en équipe pour vivre une animation connectée sur plusieurs semaines.

De la même manière que PokemonGo a réussi à faire gambader des millions d’adolescents dans les rues et dans les parcs, Kiplin embarque les salariés dans des aventures dont ils sont les héros. Chaque participant cumule des pas lors de ses trajets quotidiens et gagne des points bonus en répondant à des quiz ou des énigmes.

Sans s’en rendre compte, les participants commencent à adopter de nouveaux réflexes dans leur vie de tous les jours : descendre un arrêt de bus plus tôt, monter les escaliers plutôt que d’emprunter l’ascenseur, organiser une réunion sous forme de marche active…

Du jeu et des données pour mesurer l’impact

Vincent Tharreau, fondateur de Kiplin « Le jeu est un puissant levier pour faire changer les habitudes de vie. Nos clients peuvent choisir entre un challenge, une aventure, une enquête ou un jeu de plateau. Des histoires qui se vivent en équipes. Cette notion collective est fondamentale pour faire bouger les lignes. Il y a toujours un participant prêt à motiver ses équipiers. Résultats : 70 % des participants sortent du seul de sédentarité à l’issue d’une animation Kiplin »

Les données – anonymisées et traitées de manière collective – sont corrélées à des indicateurs précis pour mesurer l’impact de la solution au sein de chaque entreprise.

Au-delà des objectifs de prévention du capital santé affichés dès le départ, certaines entreprises en profitent même pour faire marcher leurs équipes à des fins solidaires.

Faire bouger-marcher ses collaborateurs à des fins solidaires

Chaque année, une douzaine d’entreprises regroupant près de 1000 collaborateurs s’engagent ainsi au profit de l’association Apprentis d’Auteuil. Chaque pas se transforme alors en dons au profit des maisons des familles d’Apprentis d’Auteuil. Dans la même logique, plus de 3 600 collaborateurs de la fondation Ramsay Générale de Santé viennent de participer à un challenge au profit du Secours Populaire Français.

A l’aube des Jeux Olympiques de Paris 2024, et depuis l’amendement du sport sur ordonnance, les entreprises françaises accélèrent le mouvement sur le terrain du sport santé

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