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ÉVÈNEMENTS

Le salon Paris pour l’Emploi tiendra sa 16e édition les 4 et 5 octobre 2018 sur la place de la Concorde (Paris 8e) avec plus de 50 000 candidats et 2000 recruteurs présents à cet événement dont la fonction est de simplifier la mise en relation entre les employeurs et demandeurs d’emploi. La CCI Paris Île-de-France se mobilise pour l’occasion en mettant à la disposition des entreprises du territoire un service en ligne destiné à diffuser leurs offres d’emploi.
L’événement convient à tous les profils, quel que soit leur niveau de qualification, de compétence ou leur expérience. Les quelques 2 000 responsables des ressources humaines issus de 500 entreprises et collectivités seront présents au salon Paris pour l’emploi avec tous les types d’offres qu’une entreprise peut proposer : postes en CDD, CDI,  missions à l’international, stages, contrats en alternance… Diffusez vos offres sur le stand de la CCI Paris Île-de-France Pour les TPE et PME qui  souhaitent recruter :  la CCI Paris Île-de-France, Partenaire de la 16e édition de Paris pour l’emploi vous accompagne en vous permettant de diffuser vos offres d’emploi gratuitement sur son stand pendant les deux jours du salon à partir d’un formulaire en ligne. Les offres qui seront déposées avant le 3 septembre pourront être éditées dans le guide print le Jour J, les autres seront consultables sur le site web de l’événement. Vous souhaitez en savoir plus ? Contactez la CCI. Vous êtes une entreprise et vous souhaitez participer au salon ? Il est souvent difficile de bien recruter et c’est souvent à l’entreprise de séduire les bons candidats… c’est une problématique que tous les employeurs connaissent bien. Vous avez là un rendez-vous majeur qui vous permettra de rencontrer énormément de candidats dans un délais record. Vous souhaitez déceler rapidement les meilleurs potentiels et soigner votre marque employeur ? Pour participer au salon, plusieurs solutions vous sont proposées (stands, conférence, job dating …). Contact :  Carrefour pour l’Emploi au 01 53 95 15 15 (lun/ven 9-18h) ou info@carrefoursemploi.org
Le Conseil de l’innovation a tenu sa séance inaugurale le 18 juillet sous la présidence de Bruno Le Maire, ministre de l’économie et des Finances et de Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation. Florence Parly, ministre des Armées, et Mounir Mahjoubi, secrétaire d’État auprès du Premier ministre, chargé du Numérique étaient également présents pendant la cérémonie de lancement de cette structure qui devra injecter 250 millions d’euros par an vers les start-ups innovantes. Par Franck Boccara Le Conseil de l’innovation, annonce depuis quelques mois est désormais une réalité qui aura pour fonction de coordonner les investissements qui vont découler du Fonds pour l’innovation et l’industrie, ex-Fonds pour l’innovation de rupture. L’état s’est engagé à investir 4,5 milliards d’euros sur le quinquennat, tous dispositifs confondus à travers ce fonds qui est doté de 10 milliards d’euros dont l’origine provient des récentes cessions d’actifs de l’état dans différentes grandes entreprises. 1.6 milliards sont d’ores et déjà disponibles après les cessions d’actifs de Renault et Engie, ainsi que 8.4 milliards provenants des apports de titres de Thales et EDF. Viendront s’ajouter par la suite les cessions d’actifs provenants de la privatisation partielle d’ADP, de la Française de jeux et à nouveau d’Engie. La répartion du fonds Le rendement estimé de ce fonds étant de 2,5 %, cela devrait générer 250 millions d’euros par an et cette somme sera répartie comme suit:
  • 70 millions d’aides seront dédiés à la « deep tech » dont la coordination sera assurée par Bpifrance. Des bourses allant jusqu’à 90.000 euros par entreprise seront prises en charge par ce volet et 40 millions d’euros sur les 70 seront destinés à des prêts pour les entreprises innovantes
  • De plus, 150 millions d’euros seront consacrés à des « grands défis » technologiques dont les deux premiers ont été choisies lors de la séance inaugurale du Conseil de l’innovation : le premier consiste à améliorer les diagnostics médicaux par le biais de l’Intelligence artificielle (IA), le second porte sur la certification et la fiabilisation des systèmes ayant recours à l’IA.
  • 25 millions d’euros sont orientés vers le plan Nano 2022.
  • Enfin, Les 5 derniers millions d’euros seront alloués selon les besoins, selon l’appréciation du Conseil de l’innovation.
Le Conseil de l’innovation aura pour principal role d’indentifier et de sélectionner les secteurs les plus prometteurs et d’y attribuer les moyens du fonds. Des personnalités telles que Bruno Potier, le PDG d’Air Liquide, Eric Careel, fondateur de la start-up Withings et meme Isabelle Ryl, directrice générale déléguée à l’Inria siègeront au conseil. Le rapport sur les aides à l’innovation Celui-ci a été remis même jour à Bruno Le Maire et Frédérique Vidal, la ministre de l’Enseignement supérieur. Le rapport reste sur les bases acquises dans la mesure où les auteurs estiment que toutes ces aides ont leur raison d’être et représentent même un « facteur clef de performance ». Un avis que ne partage pas vraiment Bruno Le Maire qui y voit plutot « un maquis d’aides à l’innovation dans lequel personne ne peut se retrouver ». Les auteurs du rapport soulignent que les différents acteurs ont davantage besoin de stabilité que de simplification et pointent du doigt la nécessité de fluidifier les transferts de technologies, surtout des laboratoires vers les entreprises. Ce manque de fluidité avait été pris en compte dans le projet de loi Pacte qui souhaite le résoudre en simplifiant par exemple le passage des chercheurs publics vers le privé, notamment de manière à leur permettre de profiter davantage du bénéfice de leurs découvertes.
Le Conseil de l’innovation a tenu sa séance inaugurale le 18 juillet sous la présidence de Bruno Le Maire, ministre de l’économie et des Finances et de Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation. Florence Parly, ministre des Armées, et Mounir Mahjoubi, secrétaire d’État auprès du Premier ministre, chargé du Numérique étaient également présents pendant la cérémonie de lancement de cette structure qui devra injecter 250 millions d’euros par an vers les start-ups innovantes. Par Franck Boccara Le Conseil de l’innovation, annonce depuis quelques mois est désormais une réalité qui aura pour fonction de coordonner les investissements qui vont découler du Fonds pour l’innovation et l’industrie, ex-Fonds pour l’innovation de rupture. L’état s’est engagé à investir 4,5 milliards d’euros sur le quinquennat, tous dispositifs confondus à travers ce fonds qui est doté de 10 milliards d’euros dont l’origine provient des récentes cessions d’actifs de l’état dans différentes grandes entreprises. 1.6 milliards sont d’ores et déjà disponibles après les cessions d’actifs de Renault et Engie, ainsi que 8.4 milliards provenants des apports de titres de Thales et EDF. Viendront s’ajouter par la suite les cessions d’actifs provenants de la privatisation partielle d’ADP, de la Française de jeux et à nouveau d’Engie. La répartion du fonds Le rendement estimé de ce fonds étant de 2,5 %, cela devrait générer 250 millions d’euros par an et cette somme sera répartie comme suit:
  • 70 millions d’aides seront dédiés à la « deep tech » dont la coordination sera assurée par Bpifrance. Des bourses allant jusqu’à 90.000 euros par entreprise seront prises en charge par ce volet et 40 millions d’euros sur les 70 seront destinés à des prêts pour les entreprises innovantes
  • De plus, 150 millions d’euros seront consacrés à des « grands défis » technologiques dont les deux premiers ont été choisies lors de la séance inaugurale du Conseil de l’innovation : le premier consiste à améliorer les diagnostics médicaux par le biais de l’Intelligence artificielle (IA), le second porte sur la certification et la fiabilisation des systèmes ayant recours à l’IA.
  • 25 millions d’euros sont orientés vers le plan Nano 2022.
  • Enfin, Les 5 derniers millions d’euros seront alloués selon les besoins, selon l’appréciation du Conseil de l’innovation.
Le Conseil de l’innovation aura pour principal role d’indentifier et de sélectionner les secteurs les plus prometteurs et d’y attribuer les moyens du fonds. Des personnalités telles que Bruno Potier, le PDG d’Air Liquide, Eric Careel, fondateur de la start-up Withings et meme Isabelle Ryl, directrice générale déléguée à l’Inria siègeront au conseil. Le rapport sur les aides à l’innovation Celui-ci a été remis même jour à Bruno Le Maire et Frédérique Vidal, la ministre de l’Enseignement supérieur. Le rapport reste sur les bases acquises dans la mesure où les auteurs estiment que toutes ces aides ont leur raison d’être et représentent même un « facteur clef de performance ». Un avis que ne partage pas vraiment Bruno Le Maire qui y voit plutot « un maquis d’aides à l’innovation dans lequel personne ne peut se retrouver ». Les auteurs du rapport soulignent que les différents acteurs ont davantage besoin de stabilité que de simplification et pointent du doigt la nécessité de fluidifier les transferts de technologies, surtout des laboratoires vers les entreprises. Ce manque de fluidité avait été pris en compte dans le projet de loi Pacte qui souhaite le résoudre en simplifiant par exemple le passage des chercheurs publics vers le privé, notamment de manière à leur permettre de profiter davantage du bénéfice de leurs découvertes.
Business France organise le 28 septembre 2018 à Paris, un atelier sur le thème suivant : « Les financements et projets du secteur agricole dans les pays en développement : quelles opportunités pour les entreprises françaises ? Le secteur agricole dans les pays en développement fait l’objet de nombreux marchés dans le monde qui sont financés par les bailleurs de fonds internationaux.  L’agriculture est un facteur essentiel de croissance économique et représentait encore un tiers du produit intérieur brut mondial ces dernières années. Sous forme de prêts et de dons alloués aux gouvernements des pays sous-développés, émergents ou en transition économique, l’aide publique dans l’agriculture permet d’améliorer le niveau de vie des populations et de favoriser la croissance économique via des projets de modernisation des systèmes alimentaires, de rénovation des infrastructures d’irrigation, etc. Les sommes allouées par les bailleurs de fonds représentent des marchés potentiels considérables pour les PME et ETI françaises. A titre d’exemple, les financements de la Banque internationale pour la reconstruction et le développement (BIRD) et de l’International Development Association (IDA) (Groupe Banque Mondiale) alloués en 2016 à l’agriculture et autres secteurs connexes se sont chiffrés à 2,9 Mds de dollars. La Banque Européenne pour la Reconstruction et le Développement (BERD) a un portefeuille d’investissements qui s’élève à 11 M EUR. La Banque africaine de développement (BAfD) a mis au point une stratégie pour la transformation agricole en Afrique sur la période 2016-2025 ; le secteur agricole représentait 13% des engagements de la BAfD en 2017. Cet atelier d’information vous permettra de vous familiariser avec le fonctionnement des organisations internationales et bailleurs de fonds qui sont actifs sur le secteur agricole ou de l’agro-industrie, les marchés qui en découlent, ainsi que les instruments de financements des investissements du secteur privé. Vous pourrez ainsi non seulement identifier de nouvelles opportunités de marchés sur lesquelles vous positionner tout en bénéficiant des informations clés pour réussir. Frais de participation à partir de 220,00€ HT – Inscrivez vous
  • Vendredi 28 septembre 2018 – France, Paris
  • Organisateur(s) : Service organisations internationales et bailleurs de fonds
  • Contact : Julien PAGNAC
  • Téléphone : +33 (0)1 40 73 39 91
  • Adresse : 77 Boulevard Saint Jacques 75998 Cedex 14 PARIS
Bpifrance Inno Génération vous attend le 11 octobre à l’AccorHotels Arena de Paris pour sa 4e édition. Après le succès des trois précédents événements, le plus grand rassemblement d’entrepreneurs d’Europe revient pour propulser votre entreprise dans le monde de demain !  A ne pas manquez pour tous les dirigeants et cadres de PME et ETI  !! le 11 octobre 2018 à l’AccorHotels Arena de Paris, 40 000 personnes de l’écosystème entrepreneurial se rassembleront sur le thème du « monde de demain » dans le but de grandir ensemble. Au programme : plus de 1000 speakers de tous les pays attendus, 250 ateliers et conférences, des milliers de rencontres business entre entrepreneurs et des démonstrations d’innovations venant de tous les horizons. Networking, ateliers pratiques, rendez-vous en one-to-one… Bpifrance Inno Génération , c’est une journée pour rencontrer ses pairs, trouver des partenaires de développement ou encore explorer de nouveaux leviers de croissance, bref accélérer votre business. Investisseurs, acheteurs, conseillers export vous attendront dans un gigantesque espace de networking pour vous accompagner dans vos projets. Xavier Niel, Agnès b, Frédéric Mazzella ont déjà confirmé présence… et vous ? Entrepreneurs de tout le pays unissez-vous ! Inscrivez-vous dès maintenant     .

A l’honneur de ces 7ème Matinales de la Disruption : Les télécoms qui, comme toute les nouvelles technologies, évoluent très rapidement et se trouvent à l’aube de nouveaux bouleversements. Investissements dans la fibre et le très haut débit, création de nouveaux services (banque, contenus), 5G, intelligence artificielle sont autant de défis qui attendant le marché des télécoms pour la prochaine décennie. Les Matinales de la Disruption vous attendent pour y réfléchir ensemble. Fabienne DULAC, directrice générale France d’Orange, sera présente aux « matinales de la disruption » organisées en partenariat avec La Tribune, pour apporter des éléments de réponse sur l’avenir des télécoms en France. Mardi 17 juillet 2018 de 8h30 à 10h00 CCI Paris Ile-de-France 27 avenue de Friedland , 75008 Paris
Accès
Metro L1 : George V
Inscrivez-vous sur le lien ci-dessous ! https://www.latribune.fr/economie/inscription/inscrivez-vous-a-la-7eme-matinale-de-la-disruption Disruption® est une marque enregistrée par le groupe TBWA dans 55 pays pour des services de communication publicitaire et de consulting (www.disruption.com). La méthodologie de la Disruption a été créée et conceptualisée dès le début des années 1990 par Jean-Marie Dru, à l’origine de l’emploi de ce mot de façon positive.
Geoffroy Roux de Bézieux a été élu président du Medef en battant Alexandre Saubot avec 55.8% des voix. Le nouveau patron des patrons pour les cinq prochaines années a une vision précise des différents chantiers qui l’attendent. Par Franck Boccara Diplômé de l’Essec, ex-commando marine, patron du fonds d’investissement Notus Technologies et passionné de sport, l’homme est bien décidé à rassembler : « Le MEDEF que je veux bâtir avec vous, ce n’est pas celui des oppositions, des divisions factices. Car vous savez bien que derrière la pluralité des candidatures qui se sont exprimées, nous sommes évidemment tous d’accord sur l’essentiel. Nous travaillons tous pour un même but : garantir la prospérité de nos entreprises et s’assurer que le développement de celles-ci profite à la société française tout entière dans un monde en totale mutation« . déclare-t-il lors de son discous d’investiture. Bien qu’ayant été le profil le moins traditionnel de l’élection, Geoffroy Roux de Bézieux représente un patronat moderne et audacieux, capable selon lui de renouveler l’organisation. Il avait d’ailleurs précisé, lors de son discours, juste avant son élection, qu’il fallait transformer le Medef pour aider à transformer le pays. Photo Eric Piermont / AFP Cet entrepreneur, multi-récidiviste, qui a ti sa fortune dans les télécoms est donc naturellement conscient des défis de demain.. Il a beaucoup parlé, dans son discours, de la révolution numérique ainsi que du rôle des robots et de l’intelligence artificielle dans la transformation de l’entreprise et du monde du travail. Il occupait d’ailleurs,depuis 2013, les fonctions de vice-président de l’organisation chargé du pôle économie, et en particulier de la fiscalité et du numérique. « Nous sommes à un moment où il faut de nouveau réinventer le Medef pour le mettre en phase avec ce monde qui change », a déclaré Geoffroy Roux de Bézieux après son élection. Il a également parlé des chantiers auxquels il comptait s’attaquer comme le combat pour la compétitivité des entreprises, l’accroissement des efforts sur la formation des salariés et la transformation du paritarisme pour obtenir une véritable autonomie de décision et de gestion. Le nouveau président a également réclamé » de l’Etat un changement de méthode. « Pas de négociation-alibi où l’ombre tutélaire de l’Etat plane au-dessus des partenaires sociaux », dit-il en référence aux négociations sur la réforme de la formation professionnelle et de l’assurance chômage, où l’Etat s’est affranchi de l’accord négocié entre partenaires sociaux. « [Les Français] veulent un état protecteur et régalien qui assure la justice, l’éducation et la sécurité de tous. Mais ils ont compris que c’est nous, les entrepreneurs, qui allons construire l’avenir avec eux ». Bonne chance à vous Geoffroy !!  
« Le filet d’eau se transforme en ruisseau, mais, en France, nous sommes encore loin du fleuve d’ETI » déclare Jean-François Lécole, PDG du cabinet Katalyse, qui constate une évolution dans ce sens parmis les entreprises de l’hexagone. tout en restant loin derrière de modèle de nos voisins allemands dans ce domaine. Cependant, le nombre de PME qui se constituent en ETI, souvent par croissance externe, augmente de facon régulière. Par Eric Orsini L’action de l’écosystème financier et du gouvernement commence sérieusement à porter ses fruits. « Les fonds d’investissement, Bpifrance en tête, jouent un grand rôle dans ce phénomène. Bpifrance a notamment lancé des accélérateurs destinés aux PME et aux ETI, analyse le PDG de Katalyse, cabinet qui a été choisi par la banque publique d’investissement pour conseiller les entreprises accélérées par Bpifrance. Tout ceci commence à produire un effet : les fonds, quand ils investissent dans une entreprise, poussent – parfois un peu trop d’ailleurs – les entreprises à s’internationaliser et à faire des acquisitions à l’étranger. »
Avis à nos internautes du Grand-Est !! La CCI de Champagne-Ardenne, CCI International Grand Est et leurs partenaires lancent un appel à candidature auprès des entreprises de la région. En effet, le 27 novembre 2018, Les Trophées International Industrie vont mettre à l’honneur et récompenser les entreprises du territoire qui réussissent. Par Franck Boccara Avis à nos internautes du Grand-Est !! La CCI de Champagne-Ardenne, CCI International Grand Est et leurs partenaires lancent un appel à candidature auprès des entreprises de la région. En effet, le 27 novembre 2018, Les Trophées International Industrie vont mettre à l’honneur et récompenser les entreprises du territoire qui réussissent. 7 trophées vont être décerner durant cette soirée événement : – 3 pour l’industrie : Développement technologique, Mutation industrielle et Ressources humaines. – 3 pour l’international : Export, Grand export et Volontariat international en entreprise (VIE). – 1 trophée Coup de Cœur décidé par le jury. Bien plus qu’une distribution de récompense, cette cérémonie sera l’occasion pour les PME et ETI de la région de faire connaitre leur talent et leur particularité en valorisant leurs initiatives auprès de tous les acteurs presents. Les Trophées International Industrie se tiendront sous les auspices de nombreux et prestigieux partenaires tels que Business France, Euler Hermes, Air France, entreprise europe network, Harmonie Mutuelle, Caisse d’Epargne, EDF, IUT, Canal 32 et GPO Magazine. Une date à réserver pour les dirigeants et leurs équipes ! Toutes les informations : www.weezevent.com/trophee-industrie-international Contact

CCI International Grand Est

Adresse : 10 RUE DE CHASTILLON

51000 CHALONS EN CHAMPAGNE

Téléphone : 03 25 43 70 05

trophees-international-industrie@grandest.cci.fr

Les retards de paiement n’ont jamais été aussi bas en France et la tendance se confirme !!Cette bonne nouvelle est a tempérer par le fait qu’ils restent cependant la raison d’un dépot de bilan sur trois. Cette problématique qui touche essentiellement les PME bénéficie d’une attention particulière du Medef qui a accueilli la 5e édition des Assises des délais de paiement ce jeudi 31 mai au siège de l’organisation. L’événement, qui a été ouvert en présence de Delphine Gény-Stephann, secrétaire d’État auprès du ministre de l’Économie et des Finances, a permis de récompenser certaines entreprises et organismes publics pour les efforts accomplis dans l’amélioration des délais de paiement de leurs fournisseurs. Voici les meilleurs élèves… Par Serge De Cluny
  • Prix PME : le groupe Equity est une société d’intermédiation RSE entre clients grands comptes et prestataires de services numérique et digital. Grâce à un suivi en temps réel, à l’identification des interlocuteurs dédiés à chaque étape, à la formation des équipes et notamment à une écoute active des fournisseurs, le groupe arrive à réduire ses délais de paiement fournisseurs pour atteindre 5,25 jours de paiement avant l’échéance contractuelle (4,4 millions d’euros de CA facturés pour le compte de ses 65 fournisseurs).  Son objectif pour 2018 est de parvenir à un délais de traitement de 2 jours.
  • Prix Territoire : Toulouse Métropole. Sous l’impulsion d’une charte des marchés publics, la métropole toulousaine qui regroupe 37 communes, un budget de 1,13 Md€ et 10 000 fournisseurs, a réduit de moitié en deux ans ses délais de paiement (18,76 jours en 2017) et propose 30 % d’avances aux fournisseurs entreprises du BTP. La collectivité locale qui regroupe 37 communes compte 10 000 fournisseurs (budget traité de 1,13 milliard d’euros).
  • Prix Organisme public : le ministère de la Culture. Pour le ministère de la Culture, la réduction des délais de paiement est devenue un objectif prioritaire du Plan de modernisation de la chaîne de la dépense, adopté fin 2014. En deux ans, il a réduit les délais de paiement de 60 %, soit en 2017 une moyenne de 20,2 jours. Le ministère compte plus de 8 000 fournisseurs actifs pour un budget traité de 3,51 milliards d’euros.
  • Prix ETI/Grand groupe : Crédit Agricole Centre-est. La caisse régionale qui gère 1 800 fournisseurs et 20 000 factures par an est en effet parvenu à réduire ses délais de paiement de 6 jours en 2 ans grâce à un plan d’action très efficace. De nouveaux dispositifs de dématérialisation avec lecture automatique des factures et refonte des circuits de validation internes ont été adoptés. Par ailleurs, un portail de dépose des factures digitales sera déployé pour le 2e trimestre 2018.
  • Prix coup de coeur organisme public : le centre de services partagés des dépenses du service santé des Armées. Le ministère des Armées avait déjà été primé organisme public l’an dernier. Cette entité du ministère illustre parfaitement les efforts accomplis sur les délais de paiement. Le centre de services partagés a, par exemple, effectué un énorme travail de centralisation des factures et de rationalisation des contrôles par l’optimisation de ses circuits de validation et la généralisation de la signature électronique
 
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