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Carmignac Portfolio Grandchildren fête son troisième anniversaire

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Investir dans l’innovation qui se soucie de demain ! Carmignac Portfolio Grandchildren est conçu pour traverser les générations en investissant dans des « sociétés de qualité », c’est-à-dire celles dont les finances sont saines et la rentabilité durable. Ces sociétés sont souvent moins endettées et ont des marges stables élevées, ce qui leur permet de générer plus de trésorerie[1]. Cette liquidité peut être réinvestie en interne et ainsi alimenter l’innovation afin de créer des moteurs de croissance supplémentaires.

Qu’entendons-nous par des « sociétés de qualité » ?

Le Fonds adopte un processus d’investissement unique et robuste évaluant la qualité des sociétés à travers des paramètres clés. Notre processus de sélection nous permet de présenter un portefeuille de 35-45 convictions à partir d’un univers d’investissement de 1 500 valeurs. L’optimisation de la cyclicité du marché, réalisée via une gestion active de nos positions, est également un atout important de notre approche.

Un Fonds pour les générations futures

Des études montrent que 84,4 billions de dollars de patrimoine seront transmis d’ici 2045 : 72,6 billions de dollars d’actifs seront transmis aux héritiers, tandis que 11,9 billions de dollars seront donnés à des organismes de bienfaisance[2].

Les « sociétés de qualité » dans lesquelles nous investissons ont été choisies en raison de leur véritable potentiel de croissance à long terme. En investissant dans ces sociétés, Carmignac Portfolio Grandchildren vise à obtenir des résultats sur le long terme et ainsi construire un capital pour les investisseurs eux-mêmes, mais également un héritage qui pourra être transmis de génération en génération.

Avec cet objectif de transmission, nous sommes convaincus qu’en tant qu’investisseurs, il est de notre responsabilité de créer de la valeur pour nos clients à travers une approche durable, et

ainsi préserver notre monde pour les générations futures. Nous prenons en compte la contribution environnementale et sociale des entreprises au travers des priorités définies par les Objectifs de Développement Durable (ODD) des Nations Unies. Chez Carmignac, nous avons identifié neuf ODD comme « investissables », ce qui signifie que les entreprises dans lesquelles nos Fonds peuvent investir sont capables de soutenir les avancées vers l’atteinte de ces objectifs à travers leurs produits et services. En ce sens, Carmignac Portfolio Grandchildren a pour objectif durable d’investir plus de 50% de ses encours dans des sociétés dont plus de 50% des revenus proviennent de biens et de services alignés positivement sur au moins un des neuf ODD « investissables » par Carmignac : (1) Pas de pauvreté ; (2) Faim « zéro » ; (3) Bonne santé et bien-être ; (4) Éducation de qualité ; (6) Eau propre et assainissement ; (7) Énergie propre et d’un coût abordable ; (9) Industrie, innovation et infrastructure ; (11) Villes et communautés durables ; et (12) Consommation et production durables.

La qualité est source d’innovation

Carmignac Portfolio Grandchildren sélectionne des « sociétés de qualité » qui réinvestissent leurs bénéfices pour l’avenir en visant une croissance durable. Nous nous entretenons avec les sociétés afin de comprendre comment elles identifient les nouveaux besoins qui émergent d’un environnement en perpétuel évolution afin d’adapter leur stratégie. Les sociétés qui s’efforcent d’anticiper les changements en investissant dans la recherche et le développement seront en mesure de proposer aux consommateurs des produits innovants.

En se concentrant sur des sociétés qui réinvestissent leurs bénéfices, Carmignac Portfolio Grandchildren offre des opportunités à travers des acteurs qui savent rester rentables en s’adaptant continuellement à son environnement.

Carmignac Portfolio Grandchildren

Principaux risques du fonds

Action

Les variations du prix des actions dont l’amplitude dépend de facteurs économiques externes, du volume de titres échangés et du niveau de capitalisation de la société peuvent impacter la performance du Fonds.

Risque de change

Le risque de change est lié à l’exposition, via les investissements directs ou l’utilisation d’instruments financiers à terme, à une devise autre que celle de valorisation du Fonds.

Gestion discrétionnaire

L’anticipation de l’évolution des marchés financiers faite par la société de gestion a un impact direct sur la performance du Fonds qui dépend des titres sélectionnés.

[1] Source : Carmignac, Bloomberg

[2] Source : Cerulli, janvier 2022

Le Fonds présente un risque de perte en capital.

* Echelle de risque du DICI (Document d’Informations Clés pour l’Investisseur). Le risque 1 ne signifie pas un investissement sans risque. Cet indicateur pourra évoluer dans le temps.

** Le Règlement SFDR (Sustainable Finance Disclosure Regulation) 2019/2088 est un règlement européen qui demande aux gestionnaires d’actifs de classer leurs fonds parmi notamment ceux dits : « Article 8 » qui promeuvent les caractéristiques environnementales et sociales, « Article 9 » qui font de l’investissement durable avec des objectifs mesurables, ou « Article 6 » qui n’ont pas nécessairement d’objectif de durabilité. Pour plus d’informations, visitez : https://eur-lex.europa.eu/eli/reg/2019/2088/oj?locale=fr.

Ceci est une communication publicitaire destinée à des clients professionnels. Veuillez vous référer au KIID/prospectus  avant de prendre toute décision finale d’investissement.

Le présent document ne peut être reproduit en tout ou partie, sans autorisation préalable de la Société de gestion. Il ne constitue ni une offre de souscription ni un conseil en investissement. Ce document n’est pas destiné à fournir, et ne devrait pas être utilisé pour des conseils comptables, juridiques ou fiscaux. Il vous est fourni uniquement à titre d’information et ne peut être utilisé par vous comme base pour évaluer les avantages d’un investissement dans des titres ou participations décrits dans ce document ni à aucune autre fin. Les informations contenues dans ce document peuvent être partielles et sont susceptibles d’être modifiées sans préavis. Elles se rapportent à la situation à la date de rédaction et proviennent de sources internes et externes considérées comme fiables par Carmignac, ne sont pas nécessairement exhaustives et ne sont pas garanties quant à leur exactitude. À ce titre, aucune garantie d’exactitude ou de fiabilité n’est donnée et aucune responsabilité découlant de quelque autre façon pour des erreurs et omissions (y compris la responsabilité envers toute personne pour cause de négligence) n’est acceptée par Carmignac, ses dirigeants, employés ou agents.

La durée minimum de placement recommandée équivaut à une durée minimale et ne constitue pas une recommandation de vente à la fin de ladite période.

L’accès au Fonds peut faire l’objet de restriction à l’égard de certaines personnes ou de certains pays. Le présent document ne s’adresse pas aux personnes relevant d’une quelconque juridiction où (en raison de la nationalité ou du domicile de la personne ou pour toute autre raison) ce document ou sa mise à disposition est interdit(e). Les personnes auxquelles s’appliquent de telles restrictions ne doivent pas accéder à ce document. La fiscalité dépend de la situation de chaque personne. Les fonds ne sont pas enregistrés à des fins de distribution en Asie, au Japon, en Amérique du Nord et ne sont pas non plus enregistrés en Amérique du Sud. Les Fonds Carmignac sont immatriculés à Singapour sous la forme d’un fonds de placement de droit étranger réservé aux seuls clients professionnels. Les Fonds ne font l’objet d’aucune immatriculation en vertu du US Securities Act de 1933. Le fonds ne peut être proposé ou vendu, directement ou indirectement, au bénéfice ou pour le compte d’une « US person » au sens de la réglementation S américaine et du FATCA. Les risques et frais relatifs aux Fonds sont décrits dans le DICI/KIID (Document d’informations clés pour l’investisseur). Le DICI/KIID doit être tenu à disposition du souscripteur préalablement à la souscription. Le souscripteur doit prendre connaissance du DICI/KIID. Les investisseurs peuvent perdre tout ou partie de leur capital, attendu que les Fonds n’offrent pas de garantie de capital. Tout investissement dans les Fonds comporte un risque de perte de capital.

Le prospectus, les DICI/KIID, la VL et les rapports annuels des Fonds sont disponibles sur www.carmignac.com, ou sur demande auprès de la Société de gestion. Carmignac Portfolio désigne les compartiments de la SICAV Carmignac Portfolio, société d’investissement de droit luxembourgeois conforme à la directive OPCVM.

Les Fonds sont des fonds communs de placement de droit français conformes à la directive OPCVM ou AIFM. La société de gestion peut décider à tout moment de cesser la commercialisation dans votre pays. Les investisseurs peuvent avoir accès à un résumé de leurs droits en français sur le lien suivant à la section 6 intitulée « Résumé des droits des investisseurs » : https://www.carmignac.fr/fr_FR/article-page/informations-reglementaires-3862 

En Suisse : Le prospectus, KIID, et les rapports annuels des Fonds sont disponibles sur le site www.carmignac.ch et auprès de notre représentant en Suisse (Switzerland) S.A., Route de Signy 35, P.O. Box 2259, CH-1260 Nyon. Le Service de Paiement est CACEIS Bank, Paris, succursale de Nyon / Suisse Route de Signy 35, 1260 Nyon.Les investisseurs peuvent avoir accès à un résumé de leurs droits en français sur le lien suivant à la section 6 intitulée « Résumé des droits des investisseurs » : https://www.carmignac.ch/fr_CH/article-page/informations-reglementaires-1789

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CARMIGNAC GESTION, 24, place Vendôme – F – 75001 Paris – Tél : (+33) 01 42 86 53 35  Société de gestion de portefeuille agréée par l’AMF.  SA au capital de 15,000,000 € – RCS Paris B 349 501 676 

CARMIGNAC GESTION Luxembourg, City Link – 7, rue de la Chapelle – L-1325 Luxembourg – Tel : (+352) 46 70 60 1  Filiale de Carmignac Gestion.  Société de gestion de fonds d’investissement agréée par la CSSF.  SA au capital de 23 000 000 € – RC Luxembourg B67549

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Fonds Défense de Bpifrance : tout savoir avant d'investir
Annoncé au printemps dernier, le fonds Défense de Bpifrance est désormais lancé. Accessible à partir de 500 €, ce nouveau véhicule d’investissement s’adresse à tous les Français – particuliers comme professionnels – souhaitant placer leur argent au service de l’industrie de défense française et européenne. Par Franck Boccara Mais concrètement, de quoi s’agit-il ? Comment ça fonctionne ? Et pourquoi envisager d’y investir aujourd’hui ?

Un placement simple pour une cause stratégique

Le fonds Défense a été lancé le mardi 14 octobre par la banque publique d’investissement. Sa mission : soutenir financièrement les entreprises du secteur de la défense – qu’il s’agisse de PME innovantes, de startups technologiques ou de groupes industriels plus établis. Ce soutien financier doit leur permettre de développer des technologies, d’innover, de produire, et au final de contribuer à l’autonomie stratégique de la France dans un contexte international incertain. Bpifrance précise qu’il s’agit d’un fonds commun de placement à risque (FCPR). Ce type de produit permet d’investir dans des entreprises non cotées en Bourse, à fort potentiel, mais aussi plus risquées que des sociétés du CAC 40.

À qui s’adresse ce fonds ?

À tout investisseur français, particulier ou professionnel, souhaitant diversifier son épargne tout en contribuant à une cause d’intérêt national. Le ticket d’entrée est fixé à 500 €, ce qui rend ce placement relativement accessible, même pour les investisseurs non initiés. D’après Nicolas Dufourcq, directeur général de Bpifrance, “le ticket moyen que les Français avaient placé dans ce fonds tourne autour des 1000 €”. En quelques jours seulement, plus de 3 millions d’euros ont déjà été collectés.

Quelles sont les conditions à connaître ?

– Durée de blocage : Les fonds investis sont bloqués pendant au moins 5 ans, comme souvent avec les FCPR. – Rendement estimé : Bpifrance évoque un rendement cible de 5 % par an, tout en rappelant qu’il existe un risque de perte en capital. Ce n’est pas un livret A. – Fiscalité : Ce type de placement peut bénéficier d’avantages fiscaux en fonction du montage choisi (à vérifier avec un conseiller ou via la documentation officielle).

Comment investir ?

L’investissement peut se faire en ligne, via la plateforme bpifrance.fr ou par l’intermédiaire de certains conseillers financiers ou gestionnaires de patrimoine. Il est également possible d’y souscrire via des produits comme un PEA-PME ou un compte-titres selon les conditions proposées.

Pourquoi s’y intéresser ?

Ce fonds permet : – De soutenir concrètement l’industrie de défense française et européenne. – D’accéder à des opportunités d’investissement en private equity, généralement réservées à des investisseurs plus avertis. – De donner un sens stratégique à son épargne, en lien avec les enjeux de souveraineté, d’innovation et de sécurité. Et comme le résume Nicolas Dufourcq : “Tout indique que la performance sera bonne, voire très bonne.”

Un placement patriotique et prometteur

Ce fonds de défense ne s’adresse pas uniquement aux spécialistes du secteur. Il ambitionne aussi de sensibiliser les épargnants français à l’importance de soutenir les entreprises qui œuvrent pour la sécurité et la souveraineté du pays. Une manière d’allier conviction et investissement, dans un contexte où la résilience industrielle devient un sujet central. Afin que le lecteur ne voie pas uniquement dans ce produit un simple outil de placement, mais bien un engagement citoyen, Bpifrance mise sur la transparence, la pédagogie… et un brin de fierté nationale. Car investir dans la défense aujourd’hui, c’est contribuer à bâtir une économie plus robuste, plus autonome, et plus en phase avec les enjeux géopolitiques de demain.

Votre client vous envoie un questionnaire d’intégrité à compléter ? Votre banque vous demande de déclarer vos possibles interactions avec des pays sous embargo ? Vous avez dû constituer un registre de vos traitements de données ? Toutes ses obligations relèvent de la compliance. Mais qu’est-ce que c’est que la compliance ? Cet anglicisme, parfois traduit par le mot « conformité », peut être défini comme : le « mode d’emploi de la loi ».

Par Cécilia Fellouse

En effet, la compliance est une méthodologie qui vient donner les moyens aux sociétés et aux individus de respecter en pratique leurs obligations juridiques.

Si l’on devait faire un parallèle avec la circulation routière, le Code de la Route (la loi) vient poser les principes juridiques alors que la signalisation, les feux, les marquages au sol (la compliance) assistent l’usager dans le respect de la règle.

En France, la loi Sapin 2 du 9 décembre 2016 est bien connue pour avoir imposé aux dirigeants de sociétés de plus de 500 salariés et plus de 100 millions d’euros de chiffre d’affaires l’obligation de déployer un programme de lutte contre la corruption.

Elle constitue un parfait exemple de ce qu’est la compliance. En effet, la corruption, en elle-même, est prohibée et sanctionnée par le Code Pénal depuis 1810. La loi Sapin 2, elle, vient lister les outils qui doivent être concrètement mis en place afin de prévenir, détecter, et enfin remédier à la corruption.

Ces outils, tous typiques des programmes de conformité, sont : une cartographie des risques, un code de conduite anticorruption, un système d’alerte, des formations pour les personnes exposées, un système d’évaluation des tiers, des contrôles spécifiques…

Classiquement, les domaines du droit qui font l’objet de règles de compliance sont les suivants :

  • la lutte contre la corruption,
  • la protection de la libre concurrence,
  • la lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme,
  • le respect des programmes de sanctions internationales et embargo,
  • la protection des données,
  • la protection des droits humains.

Que faire alors face à toutes ses règles et face aux demandes de plus en plus fréquentes, précises et techniques venant de votre écosystème ?

Il convient, évidemment, tout d’abord de faire le tri entre les obligations qui sont les vôtres d’un point de vue légal (par exemple certaines dispositions de la loi Sapin 2 s’appliquent à toutes sociétés privées et collectivités publiques de plus de 50 salariés) et celles qui viennent de vos partenaires d’affaires (ex. vous n’entrez pas dans les seuils de la loi Sapin 2 mais recevez de plus en plus de questionnaires avec demande de documentation de la part de vos donneurs d’ordres).

En toute hypothèses, les grands principes sont les mêmes. Nous pouvons en identifier deux ici :

1. La compliance est une approche pragmatique et opérationnelle.

Première conséquence de ce premier principe.

Les outils et mesures instaurés en interne doivent être adaptés à la société, ses activités et ses risques. C’est cette approche par les risques qui gouverne la stratégie compliance de toute société, quelle que soit sa taille.

Deuxième conséquence de ce premier principe.

Les règles de compliance doivent être, le plus possible, intégrées à l’existant. Il y a le plus souvent dans les entreprises beaucoup de très bonnes pratiques déjà en place ; utilisons-les ! Par exemple, vous faites déjà une vérification de solvabilité de vos partenaires d’affaires ? Certains prestataires de solution offrent également des vérifications sur l’intégrité de ces derniers.

Le fait d’intégrer des éléments de sécurisation compliance dans les systèmes existants est plus efficace et plus facile à mettre en œuvre.

Troisième conséquence de ce premier principe.

Les règles que l’on pose en interne doivent être appliquées en pratique. La situation à éviter est celle où l’on impose des règles, on clame des valeurs et des principes et que ces derniers n’aient pas de réalité. Ce type de situation comporte des dangers pour les entreprises vis-à-vis de leurs salariés, actionnaires, clients et de la société civile.

2. La compliance est au service de votre stratégie

Certes, l’existence de programmes de conformité va venir rassurer vos donneurs d’ordre, donner le ton vis-à-vis de vos fournisseurs, vous permettre de remporter des appels d’offres et répondre aux attentes de vos actionnaires ou acquéreurs potentiels.

Au-delà des chartes éthiques, des codes de conduite, des questionnaires et des modules de formation, l’intégrité dans la conduite des affaires doit s’intégrer à votre stratégie d’entreprise. Par exemple, une analyse des pays dans lesquels vous êtes implantés peut révéler que les pays qui représentent pour votre société les plus grands risques de corruption sont également ceux où les délais de paiement voire la solvabilité de vos partenaires sont les plus mauvais.

Une compliance sans culture de l’intégrité s’essouffle. A l’heure de la recherche de la preuve de l’efficacité des programmes de conformité, il importe que tout effort de compliance qu’il soit petit ou grand, soit soutenu par cette culture d’entreprise.

No Code : les PME doivent s'en servir
Popularisé pour sa promesse d’accessibilité, le No Code permet de mettre en place rapidement des outils « clé-en-main », sans partir de zéro. Utilisateurs et entreprises piochent dans une vaste bibliothèque de services pour assembler des solutions, comme des interfaces de paiement ou des CRM. Par Guillaume Pliszczak, Co-fondateur du collectif Neodelta Cette opportunité « d’assembler et de désassembler » des blocs de logiciels offre une véritable flexibilité grâce à des outils “clé-en-main”. C’est pourquoi ces nouveaux outils et connecteurs No Code ont longtemps été la chasse gardée des startups, leur assurant une entrée sur le marché rapide pour ces entreprises innovantes. Cependant, il serait maladroit de cantonner ces outils au monde des start-ups. Être flexible face à un marché toujours plus exigeant et concurrentiel Les PME ont un intérêt grandissant à s’armer d’outils numériques flexibles. Face à l’apparition massive de nouvelles technologies et une compétition accrue des entreprises pour se différencier sur leur marché, les outils nocode répondent à deux besoins :
  • Rapidité d’exécution : Dans un marché dynamique, la rapidité est essentielle. Le No Code permet de déployer des solutions en un temps record, réduisant ainsi le délai entre la conception et la mise en production.
  • Maintenance simplifiée : Une fois les équipes formées, la maintenance des solutions No Code devient plus simple et peut être gérée en interne, ce qui réduit la dépendance vis-à-vis des prestataires externes. 
Cependant, le No Code présente des limitations qui peuvent être critiques pour certaines entreprises :
  • Personnalisations limitées : Pour des besoins très spécifiques, le nocode peut montrer ses limites. Les personnalisations poussées nécessitent souvent une intervention en code.
  • Croissance restreinte : Les capacités de croissance offertes par le nocode sont souvent limitées par les fonctionnalités prédéfinies des plateformes utilisées. En revanche, le développement sur mesure via le code offre des possibilités infinies, les seules limites étant les budgets et les délais.
Embrasser le potentiel des solutions hybrides Le véritable défi pour les entreprises réside dans l’intégration optimale du No Code et du code au sein de leurs équipes. Les entreprises qui réussiront dans les dix prochaines années seront celles qui sauront quand et comment utiliser le code et le nocode de manière complémentaire. Voici pourquoi l’alliance des deux est gagnante :
  • Tester rapidement des idées : En utilisant le No Code pour des prototypes et le code pour des développements plus robustes, les entreprises peuvent innover plus rapidement et de manière plus flexible.
  • Libérer du temps pour des tâches à forte valeur ajoutée : Les développeurs peuvent se concentrer sur des tâches complexes et stratégiques, tandis que les solutions No Code gèrent les opérations plus routinières.
  • Réduire les coûts et les risques : Une approche hybride permet de maintenir un équilibre entre efficacité et contrôle des coûts, tout en minimisant les risques liés aux erreurs de calcul dans les investissements technologiques.
3 points clés pour intégrer une solution hybride au sein de son entreprise : Pour intégrer efficacement des solutions hybrides, les entreprises doivent :
  1. Penser à l’écosystème global : Les différents départements doivent utiliser des outils spécialisés tout en assurant leur interopérabilité. Une approche macro permet de rationaliser les choix technologiques.
  2. Offrir un support technique solide : Les équipes doivent bénéficier d’un appui opérationnel, technique et sécurisé pour optimiser l’utilisation des outils hybrides.
  3. Impliquer les équipes : Les utilisateurs finaux doivent être inclus dès le début du projet et formés adéquatement pour s’assurer qu’ils utiliseront ces nouveaux outils à leur plein potentiel.
En 2024 et au-delà, les entreprises qui sauront allier code et No Code seront celles qui réussiront à prendre de l’avance sur leurs concurrents. Cette flexibilité technologique est la clé pour naviguer dans un environnement économique en perpétuelle évolution. Les dirigeants de PME et ETI doivent donc envisager l’avenir non pas en termes de choix exclusif entre code et No Code, mais en exploitant la puissance des deux de manière synergique.
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