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Booster vos ventes : les 6 outils incontournables

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Mettre en place une stratégie de communication efficace demande du temps, une certaine expertise et un coût financier non négligeable pour les annonceurs. Beaucoup de dirigeants de TPE et PME rencontrent ces obstacles et ne parviennent pas à se démarquer de la concurrence. Chaque étape est importante pour parvenir à augmenter votre notoriété, transformer vos prospects en clients fidèles et rester présent dans leur esprit. De la mise en œuvre des outils digitaux à l’organisation d’un événement, découvrez ci-dessous des conseils pour élaborer une stratégie de communication pertinente et booster vos ventes.

Par Walaa Slaoui – Fondatrice de RUBIKOM

Les réseaux sociaux pour gagner en visibilité

L’activité de l’entreprise sur les réseaux est le fondement de son e-réputation. Pour améliorer votre image tout en mettant en avant vos expertises, il est nécessaire d’élaborer une stratégie digitale créative. Inutile d’être visible sur tous les réseaux sociaux, ce qui est essentiel c’est d’être actif sur ceux qui sont le plus adaptés à votre activité et à votre cible.

Le développement de votre stratégie social media passe par l’élaboration d’une stratégie de Community Management. Que ce soit sur Facebook, Instagram ou Twitter, il est primordial de créer un planning éditorial et de définir une fréquence de publication. Pour créer de l’engagement auprès des communautés, il est vivement conseillé de créer du contenu pertinent afin d’être crédible en apportant des conseils et de l’actualité à votre communauté.

Un blog pour asseoir votre expertise

La création d’un blog et la rédaction d’articles pour l’alimenter, permettent à l’entreprise de se placer comme un expert dans son domaine. De plus, un blog est une source de notoriété pour l’entreprise car cela lui permet de gagner en visibilité. En effet, les articles qui bénéficient d’un référencement naturel optimisé, grâce à une sélection de mots-clés, permettront d’améliorer le référencement SEO de l’entreprise. Il faut tout de même prendre en compte que l’animation d’un blog demande un certain investissement en matière de temps. Effectivement, la fréquence de diffusion des articles doit être régulière. Il est également très important de faire un suivi des performances et d’analyser les statistiques pour définir les sujets les plus pertinents pour vos clients. Tous les articles doivent être relayés sur les réseaux sociaux pour générer un maximum de visites sur le site internet. Petite astuce, offrez aux lecteurs la possibilité de commenter l’article pour engager une discussion et créer un lien avec les prospects.

Des vidéos pour créer de l’engagement

La vidéo est un outil incontournable pour générer de l’engagement. Attractive et divertissante, la vidéo est très appréciée des internautes. D’ailleurs, 37% du trafic mondial sur mobile se fait sur YouTube. La vidéo s’utilise de différentes manières : pour mettre en avant un témoignage, mettre en scène son savoir-faire, mettre en valeur un évènement, mettre en lumière votre marque employer ou encore pour faire une interview. Quel que soit la forme que prend votre vidéo, la créativité doit être au cœur de vos réalisations pour susciter de l’intérêt auprès de votre cible et ainsi booster vos ventes.

Des newsletters pour apporter de la valeur

La newsletter apporte de la valeur ajoutée à l’entreprise et à son site e-commerce. En communiquant régulièrement, votre clientèle s’attachera à votre marque. Cet outil permet d’apporter des conseils à vos clients et prospects, de les tenir informés de l’actualité de l’entreprise et de présenter les nouveaux produits et services. Accompagnée d’une création graphique pertinente, votre newsletter obtiendra un taux de conversion élevé. Pour augmenter votre base de données de prospects, il suffit d’ajouter la possibilité de s’inscrire à la newsletter sur votre site internet.

Les évènements pour créer un lien de confiance

La mise en place d’événements est indispensable pour faire du relationnel avec les prospects et la clientèle. De l’organisation à la communication, il y a plusieurs étapes à respecter pour qu’une action événementielle se déroule comme souhaité. La réservation de la salle, la création d’invitations, la gestion des réservations, les publications pré et post évènementielles, la diffusion d’une vidéo de l’événement, et la mise en œuvre et l’organisation le jour J, sont des étapes primordiales pour que votre événement soit un réel succès qui contribuera à booster vos ventes.

Les supports papier pour se distinguer de la concurrence

Les supports de communication print ne sont pas à négliger, ils sont toujours utiles pour se démarquer de la concurrence. Ils se déclinent en de multiples formes, de la carte de visite originale, au catalogue pour faire découvrir vos produits, en passant par la plaquette qui présente votre offre. N’oubliez pas, lors d’une participation à un salon, il est essentiel de prévoir la création et l’impression d’un kakémono et/ou d’un roll-up pour présenter votre entreprise. Le petit plus, pensez à offrir des blocs-notes personnalisés à vos clients, un goodies toujours pratique pour garder votre marque en tête !

Vous avez désormais toutes les clés en main pour booster vos ventes et développer votre chiffre d’affaires. Comme vous l’avez constaté, le digital n’est pas la seule option, bien qu’il soit très important. Pour vous aider à mettre en place ces différents outils de communication, vous pouvez profiter de conseils en communication en collaborant avec notre agence de communication. Rubikom vous offre l’expertise d’une agence au prix d’un freelance ! Les packs de communication prposes par www.rubikom.fr vous permettent d’activer ces divers leviers de communication au meilleur moment et en fonction de votre besoin.

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Burn-out : Comment le prévenir quand on dirige une entreprise ou une équipe
Diriger, c’est porter. Porter une vision, des responsabilités, des hommes et des femmes, parfois un marché entier. Ce poids, bien qu’accepté et souvent choisi, n’en est pas moins réel. Et il arrive un moment où l’énergie s’effrite, où les signaux d’alerte se multiplient, mais restent ignorés au nom de la mission. Le burn-out ne prévient pas toujours. Il s’installe par paliers, dans les silences prolongés, les nuits courtes, les tensions sourdes. Chez les dirigeants, il est souvent masqué par le devoir, la pudeur, ou la peur de faillir. Pourtant, il est possible de l’anticiper, de le prévenir, en prenant la pleine mesure de ce qu’il révèle : une dissociation entre la charge assumée et les ressources internes. Par Camille Perbost : Médecin-Expert en Performance et Longévité, dirigeant d’ÉLITE SANTÉ

Comprendre la nature du burn-out

Le burn-out n’est pas une simple fatigue. Il est une forme d’effondrement adaptatif du système, un arrêt brutal ou insidieux du corps et de l’esprit, incapables de faire face à une charge devenue chronique. Chez le dirigeant, il peut surgir après une période d’hyper-engagement, de stimulation constante, de prises de décisions rapides et permanentes. L’équation est simple : plus l’intensité est grande, plus les temps de récupération doivent être à la hauteur. Mais ces temps sont souvent rognés, perçus comme des pertes de productivité, voire comme des signes de faiblesse.

Le cerveau en surrégime

Il faut d’abord comprendre que le cerveau dirigeant fonctionne en mode haute-fréquence. Sollicité par des décisions stratégiques, des responsabilités financières, humaines et émotionnelles, il opère dans un environnement où l’incertitude est constante. Cette hyper-stimulation favorise la sécrétion chronique de cortisol, l’hormone du stress, qui en excès altère les fonctions immunitaires, le sommeil, la concentration, et même la mémoire. Progressivement, le système nerveux perd sa flexibilité, et l’équilibre entre activation et récupération se rompt. Le dirigeant continue d’avancer, mais avec un moteur interne en surrégime.

Les signaux faibles de burn-out à ne pas ignorer

Ce déséquilibre se manifeste souvent par des signaux faibles, que l’on banalise. Une fatigue persistante non soulagée par le repos, une perte d’envie, une irritabilité croissante, des troubles du sommeil, des douleurs physiques récurrentes ou encore une perte de sens. Autant de messages que le corps envoie et que l’esprit dirigeant, habitué à maîtriser, à surmonter, rejette ou minimise. Or, prévenir le burn-out, c’est avant tout reconnaître ces messages comme pertinents et non comme des défaillances.

Repenser la performance

Il s’agit ensuite d’interroger le rapport personnel à la performance. Car le dirigeant est souvent celui qui donne le tempo, qui impulse la cadence. Mais entre exigence et surmenage, la frontière est mince. Si la réussite repose sur l’engagement, elle ne peut exister durablement sans l’énergie vitale qui la soutient. Préserver cette énergie suppose d’intégrer, dans l’agenda, des temps de déconnexion réguliers, des espaces non-négociables pour le sommeil, l’activité physique, la nutrition et la respiration. Il ne s’agit pas de tout faire parfaitement, mais de penser sa performance comme un équilibre dynamique entre tension et récupération.

Ralentir pour mieux diriger

Au niveau symbolique, cela implique souvent de revoir les croyances. Beaucoup de dirigeants associent la disponibilité permanente à l’efficacité, l’abnégation à la valeur, l’intensité à la réussite. Or, c’est en se rendant indisponible à certains moments que l’on devient pleinement présent aux instants clés. C’est en se retirant parfois de l’action qu’on retrouve la clarté nécessaire pour la stratégie. Ralentir, c’est aussi diriger. Faire une pause, ce n’est pas s’arrêter, c’est recharger les conditions de la lucidité.

Ne pas rester seul face à la charge

La prévention passe aussi par l’environnement. L’isolement du dirigeant est un facteur aggravant du burn-out. Il est essentiel de pouvoir partager les tensions, confronter les idées, faire circuler les émotions. S’entourer de personnes de confiance, échanger avec des pairs, ou être accompagné par un coach ou un professionnel de santé permet de remettre du lien là où la charge enferme. Il ne s’agit pas de se plaindre, mais de mettre en mots ce qui, sinon, agit en silence.

Piloter sa santé comme son entreprise

Enfin, prévenir le burn-out, c’est choisir de piloter aussi sa santé. De la même manière que l’on suit des KPIs pour son entreprise, il est possible de suivre des indicateurs de vitalité : qualité du sommeil, niveau d’énergie, capacité à récupérer, stabilité émotionnelle. C’est en objectivant ces données qu’on peut anticiper les dérives, ajuster les charges, et maintenir le cap sans s’épuiser.

Durer, une nouvelle forme de leadership

Prévenir le burn-out quand on dirige, ce n’est pas renoncer à l’ambition, c’est apprendre à durer. C’est transformer l’exigence en intelligence de soi. C’est reconnaître que la vraie force n’est pas dans le surpassement constant, mais dans la capacité à se réguler, à s’écouter, à s’adapter. Dans un monde où les repères bougent vite, la seule vraie ressource renouvelable du dirigeant, c’est lui-même.

Le Laboratoire COTRAL, basé en Normandie et présent dans 7 pays, développe, commercialise et exporte des produits sur mesure pour les métiers exposés aux nuisances sonores. Les process de fabrication COTRAL associent les technologies numériques les plus avancées pour toujours offrir aux utilisateurs les meilleurs niveaux de confort, de communication, d’hygiène et d’économie.

Laurent Capillari, président du laboratoire COTRAL, nous parle des technologies et de l’innovation qui se cachent derrière ses bouchons antibruit.

La vidéosurveillance dans l’entreprise, portée par les progrès technologiques dans ce domaine, se développe considérablement dans les PME et ETI. Cette pratique est parfaitement légale mais elle est forcément encadrée par respect des droits et libertés fondamentales du salarié. Voyons quelles sont les règles imposées par le législateur.

Par Franck Boccara

Les conditions applicables à la vidéosurveillance dans l’entreprise comme moyen de contrôle des salariés découlent essentiellement du fait que le lieu d’installation du matériel soit public ou pas.

Les lieux de travail ouverts au public

Concernant les lieux largement ouverts au public tels que les restaurants, cinémas ou supermarchés, l’utilisation de la vidéosurveillance est soumise à la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d’orientation et de programmation relative à la sécurité. L’article 10 de la dite loi autorise la vidéosurveillance dans le but de veiller à la sécurité des personnes et des biens face à des risques de délinquance de droit commun ou des risques terroristes. Cependant, la mise en place du système de télésurveillance sera subordonnée à une autorisation du préfet (ou du préfet de police pour la ville de Paris) accordée après avis d’une commission départementale présidée par un magistrat du siège ou un magistrat honoraire.

Dans ce cas, le public devra être informé clairement et de façon permanente de l’existence du système de vidéosurveillance ainsi que de l’autorité ou de la personne responsable. Parallèlement, il faudra également consulter au préalable le comité social et économique (CSE) de l’entreprise dans la mesure où la présence des caméras représente un contrôle de l’activité des salariés. Enfin, chaque salarié devra en être informé individuellement, comme l’impose l’article L. 1222-4 du Code du travail selon lequel  » aucune information concernant personnellement un salarié ne peut être collectée par un dispositif qui n’a pas été porté préalablement à sa connaissance. « 

Les lieux de travail fermés au public

« Nul ne peut apporter aux droits des personnes et aux libertés individuelles et collectives des restrictions qui ne seraient pas justifiées par la nature de la tâche à accomplir ni proportionnées au but recherché » précise l’article L. 1121-1 du Code du travail. Autrement dit, la vidéosurveillance dans l’entreprise est censée s’effectuer de manière adéquate, pertinente, non excessive et strictement nécessaire à l’objectif poursuivi. Elle ne pourra donc pas avoir pour unique fonction de surveiller l’activité professionnelle des salariés et devra poursuivre un but supplémentaire tel que l’amélioration des process par exemple. Evidemment, comme pour les lieux publics, il faudra consulter le CSE en amont et informer les salariés de facon individuelle.

Les lieux fermés aux salariés

S’il s’agit de pièces ou de locaux qui ne sont pas accessibles aux salariés, il n’y aura aucune condition particulière à l’installation d’un dispositif de vidéosurveillance, notamment pour assurer la protection de lieux tels que des entrepôts ou autre locaux de stockage.

Au cas ou un salarié pénètre malgré tout dans un local qui lui est interdit, l’employeur pourra alors se servir du système de vidéosurveillance pour fournir les éléments de preuve des faits reprochés au salarié, comme par exemple un vol ou une dégradation de matériel.

Pour cette catégorie de lieu, l’employeur n’aura donc aucune obligation à informer ou consulter les représentants du personnel ou les salariés.

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