Le CES de Las Vegas (Consumer Electronic Show) est le plus grand salon au monde dans le domaine de l’innovation technologique et de l’électronique. Il rassemblera cette année environ 4 000 exposants du monde entier. La CPME vous propose de vous y rendre afin de vous familiariser avec les évolutions qui feront très rapidement le quotidien de nos PME et ETI.
Le Consumer Electronic Show (CES) est un évènement incontournable pour toutes les PME et ETI françaises qui souhaitent lancer leurs produits et pénétrer le marché américain. Le moment et l’endroit sont propices pour rencontrer des distributeurs et investisseurs venus du monde entier, et bien sûr se pour se faire repérer par les médias internationaux…
Le CES se déroule sur 3 sites géographiques différents dans Las Vegas :
Le Las Vegas Convention Center (LVCC) qui est situé au nord-est du Strip (Las Vegas Boulevard) comprend trois halls : le South Hall (divisé en deux), le Central Hall et le North Hall. C’est le cœur historique du CES, où seront présents essentiellement les géants de l’électronique : photo, vidéo, télévision, processeurs informatiques, ainsi que les produits domotiques et les voitures connectées.
Le Sands Expo & Convention Center qui est en plein cœur du Strip : c’est le rendez-vous des start-ups et le vrai centre névralgique de l’innovation : c’est là que s’invente le monde futur, avec les applications liées à l’intelligence artificielle, la robotique, les objets connectés, le sport, le bien-être, la santé…
La première opération qui a eu lieu en janvier 2018 fut un succès avec une délégation française regroupant 80 chefs d’entreprises et décideurs économiques qui s’était rendue au CES de Las Vegas , la CPME organise la saison 2 qui s’annonce exceptionnelle et vous convie à vous y associer.
Dirigeants de PME, la CPME nationale et la CPME 31 vous proposent une formule sur mesure avec un nombre de places limité à 100, alors pourquoi pas se laisser tenter et joindre l’utile à l’agréable ?
Contacts et informations :
Nicolas Poux – nicolas.poux@cpme31.fr
Béatrice Brisson – bbrisson@cpme.fr
S’inscrireProgramme du déplacement 7 – 11 janvier 2019
Le salon du travail et de la mobilité professionnelle est sans aucune doute une des manifestations à ne pas manquer en ce début d’année ! Il sera consacré à tout l’univers du travail et s’adresse aux porteurs de projets, salariés, cadres, jeunes diplômés, fonctionnaires, personnes en recherche d’emploi. L’évènement a pour fonction de permettre à tous ces acteurs de s’informer, d’orienter leurs carrières, de rebondir, d’organiser, gérer et consolider leur parcours professionnel.
Le salon du travail et de la mobilité professionnelle, avec près de 180 exposants, propose aux visiteurs 6 villages thématiques en phase avec les problématiques liées au monde du travail : la mobilité, l’entrepreneuriat, la recherche d’emploi, le secteur public, la formation et l’expatriation.
Les visiteurs pourront bénéficier de nombreux conseils pratiques et échanger avec les experts présents.
DATES PROFESSIONNELS ET GRAND PUBLIC
Jeudi 17 janvier 2019 : 10h – 18h
Vendredi 18 janvier 2019 : 10h – 18h
LIEU
Grande Halle de la Villette
211 avenue Jean Jaurès
75019 Paris
TARIFS
Entrée gratuite sur inscription en ligne : Inscrivez-vous !
ACCÈS
En métro : Porte de Pantin
En tram : Porte de Pantin
En bus : Lignes 75, 151, PC2, PC3 – Porte de Pantin
En voiture : Sortie périphérique Porte de la Villette
Bus et véhicules utilitaires
PARKING
Parking Est “cité de la musique”
348 places, dont 10 places pour personnes à mobilité réduite.
Ouvert tous les jours 24h/24h,
Stationnement bus : 1 heure, 3,40 € TTC / 24 heures, 28,20 €
Pré-réservation possible sur vincipark.com
Porte de Pantin, accès par le 211 avenue Jean Jaurès, sous la cité de la musique.
Contact : Vinci Parc. Tél : + 33 810 26 3000
Parking Est “Philharmonie”
564 places dont 15 pour personnes à mobilité réduite et 90 emplacements motos.
Ouvert tous les jours de 7h à 2h en entrée, sortie 24h/24
Un système de pré-réservation sur internet est disponible qui permettra de réserver jusqu’à 6 mois à l’avance.
Porte de la Villette/Porte de Pantin, 185 boulevard Serrurier 75019
Stationnement : 1 heure, 3,40 € / Forfait soirée (18h30 – 3h) 9,80 €
Contact: M. Alexis Fayot. Tél: 06 65 75 34 49 – mail: alexis.fayaud@q-park.fr
Parking Nord « cité des Sciences »
1400 places pour véhicules individuels dont 29 places pour personnes à mobilité réduite
Ouvert tous les jours 24h/24h – pré-réservation possible sur vincipark.com
Stationnement : 1 heure, 3,20 € TTC / 24 h, 25 € TTC
Porte de la Villette, direction Parking Parc de la Villette, entrée par le 59 bd Mc Donald ou 30 avenue Corentin Cariou.
Contact : Vinci parc, M. Rais. Tél : 01 40 05 79 90 / p751908@vinciparc.com
VOYAGECompagnie Aérienne
Des réductions sont appliquées sur une très large gamme de tarifs dans toutes les classes de transport (Espace Affaires, Tempo) sur l’ensemble des vols Air France du monde.
Pour obtenir les tarifs préférentiels consentis pour le salon du travail et de la mobilité professionnelle connectez vous sur : www.airfrance-globalmeetings.com ou contactez le 36 54 (0.34 €/min) ou votre agence Air France.
Numéro d’agrément : 28650AF
Pour connaître votre agence Air France la plus proche, consultez : www.airfrance.com
SERVICES
Vestiaire
Distributeur bancaire
Kiosque à journaux
Poste de Police, premier secours
Café Paul dans le Hall
Les revenus immobiliers des expatriés français (hors Europe) tirés sur des biens situés dans l’Hexagone vont se voir pénalisés par deux mesures votées en fin d’année qui vont modifier les règles en place.
Par Franck Boccara
Mauvaise nouvelle fiscale pour nos compatriotes qui vivent hors d’Europe et beneficient de revenus immobiliers en france. En effet, le gouvernement a adopté un amendement dans le cadre du projet de loi de finances qui va rehausser de 20 à 30% l’imposition des revenus de source française.
Il faut savoir que les revenus immobiliers des expatriés français tirés sur des biens situés dans l’Hexagone ne sont pas indexés au barème progressif de l’impôt sur le revenu (tranches de 0 à 45%). Ceux-ci sont soumis à un taux moyen minimal de façon à ce que ces gains n’échappent pas à l’impôt ou ne soient pas imposés trop faiblement. La seule manière de contourner ce taux minimal est de prouver que la taxation française sur la totalité de vos revenus mondiaux aboutirait à un taux d’imposition inférieur mais cette solution reste très rarement utilisée.
Ce qui est sûr, c’est que cette imposition à 30% qui va toucher les revenus perçus dès 2018 ne va pas être neutre pour les expatriés qui tirent des revenus locatifs sur le sol français. Par exemple, un propriétaire qui bénéficie de 20.000 euros de revenus locatifs sera dorénavant imposé à 6.000 euros, contre 4.000 euros avec l’imposition actuelle à 20%, ou même 1.427 euros si celui-ci était soumis au barème progressif de l’impôt sur le revenu (avec un taux moyen équivalent à 6,5%) . Pour atteindre un taux d’imposition moyen de 30% en suivant le barème progressif classique, un célibataire doit engranger 125.000 euros de revenus nets imposables…
Cependant, cette mauvaise nouvelle va toutefois être compensée pour certains de nos expatriés par un autre amendement adopté, cette fois-ci, dans le cadre du projet de loi de financement de la sécurité sociale. En effet, celui-ci devrait réduire de 17,2% à 7,5% le taux de prélèvements sociaux appliqué sur ces mêmes revenus de source française. Le seul bémol étant que ce cadeau s’appliquera uniquement aux résidents de l’espace économique européen et suisses.
Les revenus immobiliers des expatriés français hors d’Europe seront donc les plus fortement touchés par cette double mesure fiscale dans la mesure où d’un côté, il vont voir leur imposition sur le revenu augmenter et de l’autre ils ne pourrons pas profiter de la diminution des prélèvements sociaux accordée en contrepartie.
Investir au Nigéria….pourquoi pas ! Avec plus de 190 millions d’habitants et l’émergence d’une classe moyenne à fort pouvoir d’achat, Le Nigéria est la première économie du continent africain. Le pays regorge d’opportunités pour les PME et ETI françaises. Bpifrance vous propose de venir les découvrir le 14 novembre prochain. Un rendez-vous à ne pas manquer pour mieux connaitre l’Afrique anglophone.Le programme
Mot d’introduction
Paul-François Fournier, Directeur de l’Innovation Bpifrance
Table-ronde 1 : Panorama de la culture des affaires au Nigéria
Pierre-Ange Savelli, Adjoint au Chef du bureau « Afrique-AFD » – Direction générale du Trésor, Ministère de l’économie et des finances
Wilfrid Lauriano da Rego, Associé – KPMG
Abimbola Akeredolu, Associée – Cabinet Banwo-Ighodalo
Table-ronde 2 : Expériences et Opportunités de marché au Nigéria
Sébastien Etcheverry, Responsable MOAD Shipping & Manutention Conventionnelle – BOLLORE,
Maxime Boadji, CEO et Cofondateur – Yellow Relay
Marcel Hochet, Président et Fondateur – Greenelec
Table ronde 3 : Accompagnement/financement pour les entreprises françaises
Pedro Novo, Directeur des financements export – Bpifrance,
Hakim Khelifa, Directeur Associé – Africinvest
Jonathan Sinivassane, Directeur Business Development India, Middle East and Africa, International Investment Promotion – Paris&co
Les relations économiques France-Nigéria
Avec 3,6 Mds€ d’échanges bilatéraux en 2017, le Nigéria demeure le premier partenaire commercial de la France en Afrique subsaharienne (soit 20% de nos parts de marché en Afrique sub-saharienne en 2017). Nos exportations (1,07 Md€ en 2017) sont diversifiées : produits pétroliers raffinés, préparations pharmaceutiques, équipements mécaniques, matériel électrique, électronique et informatique et produits des industries agroalimentaires. Nos importations (2,48 Mds€ en 2017) sont principalement composées de produits pétroliers. Le Nigéria maintient son rang de 5e fournisseur d’hydrocarbures naturels de la France et le 1er d’Afrique subsaharienne. Le stock d’IDE français au Nigéria est de 6,5 Mds€ en 2016 (Banque de France) soit le 2ème stock d’IDE français en Afrique derrière le Maroc. Le service économique régional, qui est basé à Abuja et Lagos (http://www.ambafrance-ng.org/La-Mission-economique), accompagne les entreprises françaises voulant investir au Nigéria avec l’aide du bureau Business France (http://export.businessfrance.fr/nigeria/export-nigeria-avec-notre-bureau.html), qui a ouvert à Lagos en janvier 2016. Environ 120 entreprises françaises sont actives au Nigéria.
Montréal a fété ses 375 ans ! Et elle garde toute sa jeunesse avec une énergie débordante et un dynamisme que l’on ressent partout ; dans son quartier d’affaire où fleurissent les start-ups, dans la mentalité décomplexée de ses habitants et bien sur dans son économie ouverte qui font d’elle une belle porte d’entrée sur le marché américain pour nos PME et ETI… bref une destination affaires incontournable !
Par Franck Boccara
Elégante par nature, énergique par tempérament, cosmopolite par choix, Montréal se situe sur une île. Cette ville séculaire a rassemblé tous les contraires : ici se côtoient dans l’harmonie le charme du Vieux Continent et l’innovation haute technologie, ainsi que le français et l’anglais. La grande variété de solutions d’hébergement et de sites intéressants ainsi que le moderne Palais des congrès qui se trouve au cœur de ce carrefour culturel séduiront sans peine les voyageurs d’affaires et les organisateurs d’évènements. La joie de vivre et la fraicheur qui se dégage de la ville sont contagieux, la cuisine est délicieuse, la vie artistique et les spectacles avant-gardistes donnent à la ville une atmosphère festive toute l’année : rien d’étonnant à ce que Montréal soit en tête de toutes les listes des destinations favorites pour les congrès et les voyages incentive.
Bien connue pour ses nombreux festivals, Montréal et ses habitants ont saisi l’opportunité pour rebondir sur une nouvelle dynamique. Le quartier d’affaires, coincé entre le Mont Royal et le fleuve, a vu naitre une multitude de nouveaux hôtels et de tables branchées. En allant plus au nord, on rencontre le pont Jacques-Cartier qui s’est offert le titre de premier “pont connecté” au monde en s’illuminant de façon interactive chaque soir pour refléter en temps réel “l’état d’esprit” de Montréal.
Et l’état d’esprit est au beau fixe car Montréal est une ville rayonnante en pleine effervescence où les idées bouillonnent. Les voyageurs d’affaires y viennent du monde entier, à la recherche de la matière première locale : la matière grise. En effet, la ville est connue pour ses nombreuses universités et écoles qui accueillent d’ailleurs beaucoup d’étudiants de France et multiplient les partenariats entreprises, telles McGill, HEC Montréal, l’école Polytechnique de Montréal ou encore les différents Cegep.
Derrière chaque projet, il y a toujours un « petit quelque chose » d’originalité qui fait la “Montréal touch”, à l’image du Cirque du Soleil qui a réussi le pari de réinventer une tradition millénaire. Le quartier d’affaires abrite derrière ses buildings studieux une culture business Inventive et décalée, Montréal est devenu une référence mondiale en matiere de la créativité. Par exemple, Ubisoft prenait ses quartiers dans le Mile End, accolé au quartier d’affaires Il y a vingt ans. Aujourd’hui, il est tout simplement le grand développeur de jeux vidéo au monde. Pour l’événementiel, le studio de divertissement multimédia Moment Factory se démarque très nettement en comptant parmi ses clients Madonna, l’aéroport de Los Angeles ou la Sagrada Família. Les exemples sont là pour servir d’exemple aux jeunes pousses qui fleurissent dans le Mile End, ou dans le bien-nommé “Quartier de l’Innovation” (QI) installé à Griffintown. Aujourd’hui, Montréal a des airs de ville start-up…. avec 375 ans d’expérience.
Adresses utilesChambre de Commerce et d’Industrie Française au Canada
1455, rue Drummond, bureau 2B
Montréal, Québec, H3G 1W3 (métro Peel)
Tél : (001) 514 281-1246 / Fax : (001) 514 289-9594
info@ccifcmtl.cawww.ccifcmtl.caConsulat Général de France à Montréal bureau 1000 10ème étage 1501 Mc Gill Collège Montréal (Qc) H3A 3M8
Tel : 514.878.4385
https://montreal.consulfrance.org/
Bpifrance crée une Direction de l’Export qui va regrouper l’ensemble des activités d’assurance et de financement de l’export, ainsi que les actions de développement et d’accompagnement à l’export. “Ce continuum de solutions offre aux entreprises une gamme unique et complète d’outils financiers, pour simplifier leur accès aux marchés internationaux et les accompagner dans leurs ambitions d’implantations à l’étranger”, lit-on dans un communiqué daté du 10 octobre 2018.
Par la rédaction
Bpifrance offre un panel de solutions à l’export qui couvre l’ensemble des besoins d’une entreprise souhaitant se développer à l’international : Prêt Croissance International, Crédit Export, Accompagnement au développement ou à l’implantation (en partenariat avec la Team France Export, dont le chef de file est Business France). A ces dispositifs, s’ajoute l’offre de Bpifrance Assurance Export, l’Agence de Crédit Export française, chargée de la gestion des garanties publiques à l’export.
Opérée au nom, pour le compte et sous le contrôle de l’Etat par Bpifrance, la gestion des garanties publiques offre des perspectives d’accompagnement simplifiées aux entreprises exportatrices. Bpifrance Assurance Export propose par exemple des produits d’assurance-crédit, d’assurance prospection, de garanties des cautions et des préfinancements, d’assurance change ou encore d’assurance investissement.
En 2017, 22,7 milliards d’euros ont été mobilisés et garantis par Bpifrance pour accompagner l’internationalisation des entreprises françaises, dont 20,4 Md€ pour la seule activité Assurance Export, exercée au nom, pour le compte et sous le contrôle de l’Etat par Bpifrance. L’activité d’Assurance-Crédit a connu un niveau d’activité élevé tant en montants de garanties accordés (18,9 Md€, en croissance de 13% par rapport à 2016) que de nouvelles opérations prises en garantie (+36%), toutes tailles d’entreprises confondues.
Le Crédit Export, permettant aux entreprises françaises de proposer un financement à leurs clients étrangers, est monté en puissance en 2017 et la montée en charge de l’activité devrait se poursuivre en 2018.
En tant que Directeur exécutif en charge de l’Export, Pedro Novo supervisera l’ensemble des activités d’assurance et financement de l’export, ainsi que les actions de développement et d’accompagnement à l’export, afin de soutenir l’internationalisation des entrepreneurs français. Il intègre le Comité Exécutif de Bpifrance.
Pedro Novo a commencé sa carrière en tant que Chargé d’Affaires Financement crédit moyen et long terme pour une clientèle de PME et ETI à la Direction régionale Provence-Alpes-Côte-d’Azur de la Banque du Développement des PME (BDPME). En 2007, il est nommé Délégué régional Hauts-de-Seine de la banque, devenue Oseo, avant de prendre, en juillet 2008, le poste de Directeur régional Bpifrance Paris. En février 2016 il est nommé Directeur des Financements Export de Bpifrance, en charge de la promotion de l’offre Internationale de Bpifrance et plus particulièrement du développement de l’offre de crédit acheteur – rachat de crédit fournisseur ainsi que sa commercialisation et structuration au bénéfice de l’ensemble des entreprises françaises. Pedro Novo est âgé de 40 ans. Il est diplômé de Kedge Business School à Marseille.
Qu’il s’agisse d’une simple escale sur un vol transatlantique, ou d’un séjour plus abouti à la découverte des trésors de l’île, l’Islande a beaucoup à offrir aux voyageurs étrangers. Guide to Iceland, la plus grande plateforme de voyage en « terre de glace », propose différentes options pour explorer le pays le temps d’un séjour MICE pour les PME et ETI ou d’une simple escale.
Si proche, et déjà si loin… A 3h30 de Paris, l’Islande n’a pas encore livré tous ses secrets aux voyageurs français, invités aujourd’hui à découvrir cette destination unique le temps d’une escale pendant un déplacement professionnel, ou dans le cadre d’un événement MICE. Car contrairement aux apparences, la « terre de glace » n’est pas si isolée. Au contraire : l’aéroport de Keflavik est même devenu une étape courante sur les liaisons transatlantiques fréquentées par les voyageurs d’affaires. Et justement, la destination est capable de charmer cette clientèle pressée le temps d’une simple escale… En quelques heures à peine, le voyageur peut en effet partir à la découverte du Blue Lagoon, célèbre source d’eau chaude située seulement à 20 minutes de l’aéroport international. Une parenthèse idéale pour se détendre entre deux vols, dans un décor surnaturel… D’autres sources chaudes sont d’ailleurs accessibles non loin de Reykjavik, à l’instar du Secret Lagoon ou du spa géothermal Laugarvatn, comme l’explique Guide to Iceland sur son site dédié.
En s’accordant davantage de temps, les voyageurs sont justement invités à rallier Reykjavik, la capitale la plus septentrionale du monde, installée à 45 minutes à peine de l’aéroport. De la surprenante église Hallgrímskirkja à l’ultramoderne palais des congrès, « Harpa », en passant par Laugavegur, cette artère commerçante aux façades bariolées : cette capitale à taille humaine se prête parfaitement à une visite express… pour mieux convaincre le visiteur de s’accorder une véritable parenthèse islandaise !
Car si l’Islande se prête aisément à une découverte express, la destination mérite à n’en pas douter une exploration plus aboutie. En quelques jours, le voyageur est donc invité à partir à la conquête du bien nommé « Cercle d’Or » et de sa célèbre trilogie : le parc national de Thingvellir – classé au patrimoine mondial de l’UNESCO – le bouillonnant site de Geysir, et la cascade de Gullfoss. Ce parcours en terre d’Islande, réalisable en une journée, offre de multiples options au voyageur, comme le détaille la plateforme Guide to Iceland : session motoneige sur glacier, balade à cheval ou même plongée dans la faille de Silfra…
Guide to Iceland : demandez le programme
Guide to Iceland, la plus grande plateforme de voyage en Islande, permet de comparer et de réserver ses activités directement en ligne, tout comme l’hébergement ou la location de voiture sur place, et ce en français.
Qu’il s’agisse d’une simple escale sur un vol transatlantique, ou d’un séjour plus abouti à la découverte des trésors de l’île, l’Islande a beaucoup à offrir aux voyageurs étrangers. Guide to Iceland, la plus grande plateforme de voyage en « terre de glace », propose différentes options pour explorer le pays le temps d’un séjour MICE pour les PME et ETI ou d’une simple escale.
Si proche, et déjà si loin… A 3h30 de Paris, l’Islande n’a pas encore livré tous ses secrets aux voyageurs français, invités aujourd’hui à découvrir cette destination unique le temps d’une escale pendant un déplacement professionnel, ou dans le cadre d’un événement MICE. Car contrairement aux apparences, la « terre de glace » n’est pas si isolée. Au contraire : l’aéroport de Keflavik est même devenu une étape courante sur les liaisons transatlantiques fréquentées par les voyageurs d’affaires. Et justement, la destination est capable de charmer cette clientèle pressée le temps d’une simple escale… En quelques heures à peine, le voyageur peut en effet partir à la découverte du Blue Lagoon, célèbre source d’eau chaude située seulement à 20 minutes de l’aéroport international. Une parenthèse idéale pour se détendre entre deux vols, dans un décor surnaturel… D’autres sources chaudes sont d’ailleurs accessibles non loin de Reykjavik, à l’instar du Secret Lagoon ou du spa géothermal Laugarvatn, comme l’explique Guide to Iceland sur son site dédié.
En s’accordant davantage de temps, les voyageurs sont justement invités à rallier Reykjavik, la capitale la plus septentrionale du monde, installée à 45 minutes à peine de l’aéroport. De la surprenante église Hallgrímskirkja à l’ultramoderne palais des congrès, « Harpa », en passant par Laugavegur, cette artère commerçante aux façades bariolées : cette capitale à taille humaine se prête parfaitement à une visite express… pour mieux convaincre le visiteur de s’accorder une véritable parenthèse islandaise !
Car si l’Islande se prête aisément à une découverte express, la destination mérite à n’en pas douter une exploration plus aboutie. En quelques jours, le voyageur est donc invité à partir à la conquête du bien nommé « Cercle d’Or » et de sa célèbre trilogie : le parc national de Thingvellir – classé au patrimoine mondial de l’UNESCO – le bouillonnant site de Geysir, et la cascade de Gullfoss. Ce parcours en terre d’Islande, réalisable en une journée, offre de multiples options au voyageur, comme le détaille la plateforme Guide to Iceland : session motoneige sur glacier, balade à cheval ou même plongée dans la faille de Silfra…
Guide to Iceland : demandez le programme
Guide to Iceland, la plus grande plateforme de voyage en Islande, permet de comparer et de réserver ses activités directement en ligne, tout comme l’hébergement ou la location de voiture sur place, et ce en français.
Un petit- déjeuner sera organisé par Business France le jeudi 4 octobre 2018 à Paris dont le thème portera sur les financements de l’AFD (Agence Française de Développement en Chine). Un rendez-vous à ne pas manquer pour les PME et ETI des secteurs du développement durable et de la protection de l’environnement.
Par la rédaction
La Chine connaît une urbanisation accélérée qui entraîne une forte augmentation de l’empreinte énergétique des villes, de la pollution locale et des émissions de gaz à effet de serre. L’enjeu environnemental se trouve au coeur du dialogue stratégique entre la France et la Chine.
Présente en Chine depuis 2004, l’AFD développe des actions de coopération en matière de développement durable, de protection de l’environnement et de lutte contre le changement climatique, s’inscrivant dans le cadre des différents accords intergouvernementaux signés entre la France et la Chine.
Plus spécifiquement, les interventions de l’AFD en Chine répondent aux objectifs suivants :
– accompagner la transition du pays vers une économie sobre en carbone et respectueuse de l’environnement;
– nourrir les partenariats France-Chine en matière de promotion du développement durable, en soutenant des opérations pilotes, porteuses de changement, qui participent à l’amélioration des pratiques locales et à l’introduction de nouvelles technologies. Au travers des projets qu’elle finance, l’AFD vise ainsi à mobiliser et valoriser l’expertise et les acteurs français de la filière verte.
Jeudi 4 octobre 2018 – France, Business France (77 boulevard Saint Jacques – 75014 Paris)
Organisateur(s) : Business France – Service organisations internationales et bailleurs de fonds
Les relations économiques France-Chine en bref
La Chine est le 6e partenaire commercial de la France, son 8e client, son 2e fournisseur, Plus de 1100 entreprises françaises présentes en Chine, représentant 570 000 emplois.
Au plan économique, le rééquilibrage de nos échanges « par le haut » constitue un objectif prioritaire, rappelé à l’occasion de la visite présidentielle. La Chine est le 6e partenaire commercial de la France, son 8e client (la part de marché française en Chine est de 1,6%) et son 2e fournisseur (la part de marché chinoise en France est de 9%). Nos échanges commerciaux restent marqués par un fort déséquilibre : la Chine est le 1er déficit commercial bilatéral de la France (30,2 Mds EUR en 2017) devant l’Allemagne. Les investissements croisés sont en plein essor. La présence française en Chine est ancienne (33 Mds EUR d’IDE en stock) et concerne tous les secteurs : agroalimentaire, industrie, transports, développement urbain, grande distribution, services financiers. Plus de 1100 entreprises sont présentes en Chine représentant 570 000 emplois. Les investissements chinois en France ont connu une forte croissance ces dernières années (6 Mds EUR en stock). 700 filiales d’entreprises chinoises et hongkongaises y sont établies employant 45 000 personnes. La France soutient les investissements chinois créateurs d’emplois et s’inscrivant dans des partenariats équilibrés de long terme. Le partenariat économique se traduit par la consolidation de coopérations industrielles structurantes dans le nucléaire civil et l’aéronautique (Hinkley Point C, EPR de Taishan qui entrera en service en 2018, coopération en matière de retraitement-recyclage des déchets nucléaires ; chaîne d’assemblage de l’A320 et de finition de l’A330 à Tianjin) et leur élargissement à de nouveaux secteurs (développement durable, santé, économie du vieillissement, innovation, services financiers notamment). Dans l’agroalimentaire, les deux parties se sont accordées, lors de la visite présidentielle, à favoriser les échanges de façon prioritaire dans les six mois en matière d’exportation de viande bovine.
L’ouverture à l’international est une étape incontournable dans le développement de la plupart des PME et ETI mais beaucoup hésitent encore à franchir le pas du fait de la complexité des démarches et des risques inhérents à la chose, notamment le risque clients à l’export. Pourtant, de nombreux dispositifs ont été mis en place pour accompagner les entreprises dans l’aventure export en optimisant les risques.
Par Justine Delmas
Il faut tout d’abord préciser que la conjoncture économique n’a jamais été aussi favorable à l’export. Euler Hermes prévoit pour cette année, dans son Baromètre Export 2018, une nouvelle croissance du commerce mondial aussi bien en valeur (+8,4%) qu’en volume (+4,4%). « Ce dynamisme renouvelé, malgré un léger ralentissement par rapport à l’an passé, laisse augurer de belles opportunités à saisir pour les entreprises françaises à l’export », explique Stéphane Colliac, économiste en charge de la France chez Euler Hermes. L’assureur crédit estime par ailleurs que la demande additionnelle de biens adressée à la France devrait ainsi croître de 21,5 Mds d’euros en 2018 et de 18,2 Mds d’euros en 2019 (après 20,3 Mds d’euros en 2017).
Stéphane Colliac désigne également les pays vers lesquels les perspectives sont propices aux exportateurs français. « Cette année, les débouchés supplémentaires à capter à l’export pour les entreprises françaises proviendront en grande partie de l’Union Européenne, avec plus de 4 Mds d’euros à saisir en Allemagne, plus de 2,2 Mds d’euros en Italie, plus de 1,7 Mds d’euros en Espagne ou encore plus de 1,6 Mds d’euros en Belgique ». « Hors de l’Europe, ce sont essentiellement les États-Unis et la Chine qui offriront des débouchés aux exportateurs français ». Les secteurs de l’agroalimentaire, des biens de consommation et de la chimie sont les plus concernés mais les entreprises françaises pourront continuer de miser sur leurs leadership dans les secteurs de l’automobile, la pharmacie, l’aéronautique, l’aérospatiale, le luxe, les technologies de l’information et de la communication.
Le risque clients à l’export
Malgré ces tendances optimistes, il serait imprudent de ne pas mesurer l’existence de certains risques clients à l’export, notamment les impayés. Ceux-ci représentent d’ailleurs, selon 58 % des entreprises interrogées dans le cadre du Baromètre Euler Hermes, la principale menace à l’export . Il est à noter que malgré le contexte macroéconomique et financier favorable, le délai moyen de paiement des clients dans le monde a augmenté de deux jours (66 jours) en 2017 et devrait même atteindre les 67 jours en 2018. « Certes, l’allongement du DSO moyen à l’échelle mondiale reflète avant tout un relâchement des bonnes pratiques de paiement entre les entreprises, indique Stéphane Colliac. Il en résulte cependant une moindre appréhension du risque de non-paiement de la part des entreprises, malgré la poussée des défaillances des grandes entreprises ». Il est clair, de ce fait, que le risque clients à l’export reste le défi majeur pour les PME et ETI qui souhaiteraient profiter de ce climat positif.
Miser sur les bons partenaires
Le risque pays et les opportunités de marché devront, dès le début, faire l’objet d’une étude approfondie. Pour se faire. l’entreprise pourra se servir des études économiques qu’elles trouveront chez les assureurs crédits, les banques ou certaines administrations telles que l’OCDE. Il est ensuite indispensable de bien se renseigner sur les us et coutumes du pays dans le domaine commercial, les obligations légales, etc., auprès par exemple d’établissements publics, tels que Business France ou la Chambre de commerce internationale. Après avoir intégrer ces éléments macro-économiques, l’entreprise pourra alors entamer la phase « business » de sa stratégie export en choisissant et en ciblant les prospects les plus fiables et les zones géographiques les plus stables (elles peuvent varier à l’intérieur même d’un pays). Pour cela, elle trouvera toutes ces informations chez les mêmes partenaires (CCI, Business France, banques, OCDE etc…) ou elle pourra trouver des listes de clients et prospects selon l’activité et la zone géographique avec une analyse de leurs potentiel commercial.
Les solutions pour prévenir ce risque
Après avoir cerné et contacté les partenaires commerciaux, il sera nécessaire de se prémunir contre les risques d’impayés, en faisant appel notamment aux assureurs crédit qui offrent des solutions qui prennent en compte la prévention, le recouvrement et l’indemnisation. L’entreprise pourra aussi utiliser les services que les banques proposent, pour la gestion du risque client, tels que le crédit documentaire ou les « Stand By Letter of Credit », garanties bancaires de paiement à première demande dès lors que chacune des parties a rempli ses obligations. Ces garanties bancaires sont spécialement adaptées lors d’opérations commerciales avec les pays plus « exotiques » ou lointains dans la mesure où elles permettent de s’affranchir des risques pays ou politiques.
Optimiser les délais de paiement
« Tout l’enjeu pour l’exportateur français consiste également à se faire payer dans les meilleurs délais. Si en France, le processus de recouvrement des créances impayées est clair et juridiquement établi (tribunaux de commerce, huissiers ou avocats), à l’export il est souvent plus complexe pour l’entreprise de connaître les possibilités légales de recouvrement, les outils disponibles, les dispositifs à mettre en place, les interlocuteurs à contacter, les délais à respecter, etc… » , explique Stéphane Colliac. Il sera donc particulièrement judicieux de se faire assister dans cette démarche par une banque, un assureur crédit ou un factor qui gèrera l’ensemble du processus pour l’entreprise, depuis les relances amiables jusqu’aux recours judiciaires. D’autant que si ces prestataires n’arrivent pas à récupérer, même partiellement, une créance, alors ils indemniseront l’entreprise.
Une démarche va permettre,d’une part, de sécuriser le risque clients à l’export et d’autre part, de préserver leur trésorerie car bien souvent les PME et ETI ont tendance à puiser dans leur fonds propres. Pourtant, les solutions ne manquent pas puisque les acteurs privés tels que les banques et les factors mais aussi l’administration française ne lésinent pas sur les moyens financiers destinés à accompagner ou soutenir les entreprises qui tentent un développement à l’international. Le gouvernement en a fait la démonstration avec sa nouvelle stratégie en matière de commerce extérieur annoncée en février dernier et les nouveaux dispositifs qu’il a mis en place.
Le Gouvernement réforme pour mieux accompagner les exportateurs
Cette année, le gouvernement a clairement affiché sa volonté de transformer le modèle d’accompagnement des PME à l’export, afin que l’International constitue maintenant le débouché naturel de l’économie française. À l’issu des différentes consultations menées notamment dans le cadre de son plan d’action pour la croissance et la transformation des entreprises (PACTE), le gouvernement propose désormais d’avancer dans trois directions :
– Une plus large diffusion d’une culture de l’export et de l’internationale, par le renforcement de la formation aux langues étrangères et au commerce international ;
– Une réforme de l’accompagnement à l’export par un partenariat approfondi entre l’État et les régions en la matière et une plus grande simplification ;
– Une réforme des financements export notamment pour les rendre plus lisibles pour les entreprises françaises et plus compétitifs vis-à-vis de la concurrence internationale.
Évolution des dispositifs publicsLe gouvernement va créer « un guichet unique » de l’export dans chaque région qui regroupera autour des opérateurs publics, CCI et Business France, tous les acteurs de l’export (agences régionales de développement, sociétés d’accompagnement et de commerce international, acteurs du financement export autour de Bpifrance). De même, Bpifrance devient le point d’entrée unique pour les financements exports publics. Il assure désormais la diffusion des garanties publiques à l’export, gérées au nom de l’État par sa filiale « Assurance Export ». Parmi ces différents outils figurent notamment une nouvelle mouture de l’assurance prospection, un Pass Export (partenariat de confiance sur mesure négocié entre l’État et un exportateur pour une durée de 3 à 5 ans), une nouvelle garantie pour les projets stratégiques à l’international, une garantie pour les filiales étrangères françaises, un outil de soutien financier à l’export pour soutenir les sous-traitants d’entreprises exportatrices, etc.
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