...

International

Les rencontres Russie de Business France sont un rendez-vous d’affaires à ne pas manquer pour aborder le marché russe ou renforcer votre présence sur place. La Russie, 11ème économie mondiale, connait une reprise de croissance depuis 2018 et met en place une statégie d’investissement pour doper sa compétitivité et diversifier son économie. Cet effort s’oriente notamment vers les secteurs de la santé, de l’agriculture, de la transformation agroalimentaire, des infrastructures de transports ou encore des services innovants. Les grandes entreprises françaises sont déjà bien présentes sur ces secteurs et leur image est bonne, ce qui offre à nos PME et ETI de réelles opportunités.

En effet, la France est le 6ème fournisseur mondial de la Russie et premier employeur étranger sur place. Cette présence tricolore offre des opportunités énormes pour les PME et ETI ayant des produits et services innovants et adaptés à ce marché de 146 M d’habitants.
De plus, la création de l’Union Economique Eurasiatique dont sont membres la Russie, le Kazakhstan, la Biélorussie, l’Arménie et le Kirghizstan ouvre des horizons supplémentaires pour nos entreprises.

Un nouveau dispositif d’accompagnement de la Team France Export en Russie vient d’être lancé le 1er juillet 2019 et vous sera présenté lors de cette journée des rencontres Russie.

Le programme des rencontres Russie

Programme provisoire et susceptible de modification 

Débats animés par Arnaud FLEURY, journaliste économique

Mercredi 16 octobre
08h00 – Accueil des participants
09h00 – Allocutions d’ouverture en séance plénière
  • Christophe LECOURTIER, Directeur Général de Business France 
  • Sylvie BERMANN, Ambassadeur de France en Russie (à confirmer)
  • Mikhail MAKAROV, Représentant de l’Ambassade de Russie ou de la Représentation commerciale de la Russie 
09h30 – La situation macro-économique et l’environnement des affaires en Russie
  • Patrick ERBS, chef du service économique Russie et CEI
  • David LASFARGUE, Président de la section CCE Russie
10h30 – Ecosystème d’appui aux entreprises – nouveau dispositif Business France en Russie
  • Hélène BURIEV, Conseillère Appui aux entreprises, Service économique régional de Moscou
11h00 – Pause-café / Networking
11h15 – Tables rondes sectorielles

Industries et Cleantech – Projets industriels en Russie

Transformation agroalimentaire – opportunités pour des entreprises françaises

  • Nicolas LESYK, directeur du bureau de la représentation CLEXTRAL en Russie, CCE 
  • Nicolas DUCRET, CCIFR 

Santé et biens de consommation. (Marché des dispositifs médicaux, services de santé et produits pharmaceutiques. Bien de consommation, cosmétiques, habillement, luxe…)

  • Sophie LANFRANCHI, DUALEST
  • Jérôme GAVET, directeur SERVIER Russie et Eurasie, Président du Club Santé Russie, CCE
13h15 – Point V.I.E.
13h30 – Déjeuner de réseau / Networking
14h30 – 17h00 – Rendez-vous d’affaires individuels avec les experts et la délégation des entreprises russes. 

19h00 – Cocktail networking (à confirmer)

Les partenaires des rencontres Russie

Le G7 de Biarritz 2019, sous la présidence de la France, a choisi pour thématique et pour objectif la lutte contre les inégalités. C’est un vaste chantier qui ne pourra voir le jour qu’avec l’engagement des acteurs majeurs de l’économie mondiale que sont les grandes entreprises. Trente-quatre multinationales, représentant au total un chiffre d’affaires annuel de plus de 1.000 milliards de dollars, ont répondu à l’appel en rejoignant une coalition visant à regrouper et renforcer les efforts déployés pour lutter contre les inégalités.

Par Franck Boccara

B41G (Business for Inclusive Growth) ! C’est le nom de cette initiative soutenue par le président français Emmanuel Macron qui sera présentée ce vendredi à l’Elysée, en amont du Sommet du G7 de Biarritz. Le B41G sera dirigé par Emmanuel Faber, le PDG du groupe Danone et appuyé par l’OCDE.

« Dans beaucoup des pays du G7, l’effritement des classes moyennes, qui sont la fondation de l’économie de marché, doit être une alerte car il est démontré qu’au delà d’un certain seuil, les inégalités pèsent sur l’économie », a déclaré Emmanuel Faber jeudi 22 aout en précisant que ce n’était pas « une question d’idéologie », mais « de réalisme », qui « appelle à une action collective et inclusive, de la part des gouvernements et des entreprises ».

Les 34 multinationales qui forment le B41G et qui emploient plus de 3,5 millions de personnes au niveau international, s’engagent dans une charte à « intensifier leur action pour faire progresser les droits humains à tous les stades de leurs chaînes de valeur (…) et à renforcer l’inclusion dans leurs écosystèmes internes et externes », selon le communiqué qui souligne également que ces multinationales consacrent plus « d’un milliard de dollars dans des projets au bénéfice de plus de 100 millions de personnes » et qu’elles comptent échanger sur ces initiatives afin de les optimiser, les accélérer et les dupliquer dans d’autres pays.

Mathias Vicherat, secrétaire général du groupe Danone, explique à l’AFP que ce manifeste est « extrêmement engageant » et « rédigé au mot près avec les entreprises concernées, car ce texte est opposable ».

« Quand il est écrit que les entreprises s’engagent en matière de travail décent sur toute la chaîne de production, y compris la chaîne d’approvisionnement, quand les entreprises disent qu’elles combattent le travail forcé et qu’elles veulent respecter la liberté d’association, ce sont des termes très forts parce que ça veut dire qu’elles prennent ces engagements dans tous les pays du monde où elles opèrent », rajoute-t-il.

Les membres actuels du B41G sont (par ordre alphabetique) : Accenture, Agropur, AXA, BASF, BNP Paribas, BPCE, CareCentrix, Cogeco, Crédit Agricole, Danone, Edelman, Engie, GINgroup, Goldman Sachs, Henkel, Ingka Group, JPMorgan, Keurig Dr Pepper, Johnson&Johnson, Kering, Legal&General, L’Oréal, Mars, Renault, Ricoh, Schneider Electric, Sodexo, Suez, TIAA, Unilever, Veolia, Virgin et Ylva.

Le programme du G7 de Biarritz

Le programme du G7 de Biarritz

« Paris pour l’emploi » organise sa 17e édition les 3 et 4 octobre 2019 sur la place de la Concorde. La CCI Paris permet aux TPE et PME de diffuser leurs offres d’emploi de façon gratuite sur son stand pendant l’événement.

Ce sont au total 2 000 responsables des ressources humaines opérant au sein de 500 entreprises et collectivités qui ont répondu à l’appel de cette rencontre destinée à faciliter la mise en relation entre recruteurs et candidats à l’emploi.
Ce rendez-vous s’adresse à tous les profils quelque soit leur qualification, leur niveau de compétence ou leur expérience pour leur proposer des emplois en CDD, en CDI, des missions à l’international, des stages ainsi que des formations en alternance…

Organisé par l’association « Carrefours pour l’emploi« , l’évènement est le résultat d’un partenariat étroit entre la Région, la Ville de Paris, la CCI Paris, Pôle emploi, et l’Armée de terre principalement. Près de 1000 m² seront entièrement consacrés aux travailleurs handicapés, 300 m² réservé à l’économie sociale et solidaire et 500 m² pour les candidats qui souhaitent partir à l’assaut de l’international, en partenariat avec Pôle Emploi International.

L’édition 2018 a permis de proposer environ 800 postes de TPE et PME à plus de 600 candidats qui ont été reçus en entretien sur le stand CCI Paris. Pour cette année, c’est près de 50 000 candidats qui sont attendus !


Pour diffuser votre offre sur le stand CCI Paris

> Remplir le formulaire en ligne en détaillant votre offre d’emploi 
> Vous avez des questions ? Contactez la CCI Paris
Recruter sur le salon

Pour recruter sur le salon

Afin de recruter de manière rapide, efficace et différente, réservez dès maintenant votre stand sur « Paris pour l’Emploi » ! Information au 01 53 95 15 10 ou en cliquant ici.
 

Le salon est ouvert à tous et l’entrée est libre et gratuite de 9 à 18h sans préinscription
Plus d’information : 
parisemploi.org
#PARISEMPLOI

Adresse complète

Place de la Concorde, 75008 Paris

« Paris pour l’emploi » organise sa 17e édition les 3 et 4 octobre 2019 sur la place de la Concorde. La CCI Paris permet aux TPE et PME de diffuser leurs offres d’emploi de façon gratuite sur son stand pendant l’événement.

Ce sont au total 2 000 responsables des ressources humaines opérant au sein de 500 entreprises et collectivités qui ont répondu à l’appel de cette rencontre destinée à faciliter la mise en relation entre recruteurs et candidats à l’emploi.
Ce rendez-vous s’adresse à tous les profils quelque soit leur qualification, leur niveau de compétence ou leur expérience pour leur proposer des emplois en CDD, en CDI, des missions à l’international, des stages ainsi que des formations en alternance…

Organisé par l’association « Carrefours pour l’emploi« , l’évènement est le résultat d’un partenariat étroit entre la Région, la Ville de Paris, la CCI Paris, Pôle emploi, et l’Armée de terre principalement. Près de 1000 m² seront entièrement consacrés aux travailleurs handicapés, 300 m² réservé à l’économie sociale et solidaire et 500 m² pour les candidats qui souhaitent partir à l’assaut de l’international, en partenariat avec Pôle Emploi International.

L’édition 2018 a permis de proposer environ 800 postes de TPE et PME à plus de 600 candidats qui ont été reçus en entretien sur le stand CCI Paris. Pour cette année, c’est près de 50 000 candidats qui sont attendus !


Pour diffuser votre offre sur le stand CCI Paris

> Remplir le formulaire en ligne en détaillant votre offre d’emploi 
> Vous avez des questions ? Contactez la CCI Paris
Recruter sur le salon

Pour recruter sur le salon

Afin de recruter de manière rapide, efficace et différente, réservez dès maintenant votre stand sur « Paris pour l’Emploi » ! Information au 01 53 95 15 10 ou en cliquant ici.
 

Le salon est ouvert à tous et l’entrée est libre et gratuite de 9 à 18h sans préinscription
Plus d’information : 
parisemploi.org
#PARISEMPLOI

Adresse complète

Place de la Concorde, 75008 Paris

Le développement international reste un enjeu majeur pour les PME et ETI et, à travers elles, pour l’économie française dans son ensemble. Les dirigeants de ces entreprises qui se sentent souvent à l’étroit sur le marché national perçoivent bien le potentiel de l’export mais ne connaissent pas toujours les mesures mises en place pour les aider dans conquête de ces marchés, notamment par Bpifrance.

Par Franck Boccara

Le Baromètre export 2018 Euler Hermes indique que 84 % des PME et ETI françaises veulent augmenter leur chiffre d’affaires à l’international en 2018, contre seulement 79 % en 2016. Pour profiter de ce relai de croissance qu’est le développement international, il faudra tout d’abord en avoir le potentiel structurel, puis faire preuve de beaucoup d’audace et de pugnacité. Mais en plus de ces conditions sinéquanones, une petite dose d’aide et d’accompagnement par Bpifrance sera forcément de bonne augure.

Les aides Bpifrance

« Le contexte mondial est favorable à la France », se réjouit Pedro Novo, directeur exécutif en charge de l’Export chez Bpifrance, qui a mis en place toute une série d’aides pour les PME et ETI. Parmi les plus marquantes, Bpifrance a créée le Fond Build-Up International dans le cadre du PIA (Programme d’Investissements d’Avenir) visant à accompagner les PME et ETI françaises indépendantes dans leurs stratégies d’acquisition d’entreprises à l’étranger.

Cet outil vise les PME ayant un chiffre d’affaires d’au moins 20 millions d’euros jusqu’aux ETI dont le chiffre d’affaires peut atteindre 1,5 milliard d’euros, indépendantes et à fort potentiel de développement international, pour des opérations de croissance externe d’une valeur de 10 à 150 millions d’euros. Le Fond Build-Up International participe à l’acquisition de sociétés par investissement direct dans leur capital, aux côtés de la PME ou ETI française, de montants allant de 3 à 30 millions d’euros. Les entreprises bénéficiant de cette aide se doivent d’investir un montant au moins équivalent à celui du fonds. 

De plus, Bpifrance accompagne les PME à travers plusieurs dispositifs de prêts, d’assurance, de prise de capital, mais également de formation, de conseil et de mise en relation. L’assurance prospection reste la plus répandue de ces aides avec environ 1 500 bénéficaires par an, celle-ci offre un soutien en trésorerie immédiat, par le biais d’une avance de 50 % du budget engagé. L’entreprise ne devra rembourser cette somme qu’après une période de franchise de deux ans minimum, selon le chiffre d’affaires réalisé sur la zone. En cas d’échec, l’entreprise ne devra que 30 % de l’avance en question.

D’autres dispositifs sont à la disposition des PME et ETI, tels que le « Prêt croissance internationale » (de 30 000 à 5 millions d’euros sans garantie, prêt à taux fixe sur 7 ans avec remboursement différé), le « Crédit export » qui offre aux entreprises françaises la possibilité de proposer un financement à leurs clients (jusqu’à 85 % du contrat commercial), ou encore l’assurance « change ». 

La banque publique d’investissement soutient aussi les entrepreneurs avec ses accélérateurs depuis déjà cinq ans, avec un module dédié, et lance cette année un accélérateur spécifique avec un programme de dix-huit mois qui permet aux PME de parfaire leur stratégie globale. « La première promotion devrait compter 30 entreprises, notre ambition étant d’en accompagner 200 sur les 4 000 accélérées d’ici 2021 », précise Pedro Novo.

 

SOCIÉTÉ GÉNÉRALE PRIVATE BANKING est un acteur international de référence de l’accompagnement des dirigeants et cadres d’entreprises dans leur réflexion et leur stratégie patrimoniale.
Présents dans tout l’hexagone, les ingénieurs patrimoniaux de SOCIÉTÉ GÉNÉRALE PRIVATE BANKING France conjuguent expertise pointue et proximité afin de répondre par des solutions complètes et innovantes à toutes les problématiques d’investissement, de cession, de transmission, de financement ou de philanthropie que rencontrent les dirigeants et cadres dans leur vie professionnelle et privée.
Frédéric Poilpré, Directeur de l’ingénierie patrimoniale et Franklin Wernert, Directeur de l’offre de produits et services nous parlent de l’approche globale d’une banque universelle.

Le B7 s’est réuni les 4 et 5 juillet sous la présidence du MEDEF à Aix en provence. Accueilli par « the camp« , l’évènement a eu pour thème cette année « Inclusive, Sustainable Economic Growth and Governance for the 21st Century » (Croissance économique et gouvernance inclusives pour le 21e siècle). Pour la première fois, un accord semble se dessiner avec le L7 qui représente les syndicats.  

Les délégations du B7 ont d’abord été reçues à l’Elysée le 3 juillet par le président de la République Emmanuel Macron avant l’ouverture officielle du sommet par Geoffroy Roux de Bézieux et ses homologues étrangers.
Plusieurs représantants du gouvernement étaient également présents comme Muriel Pénicaud ou Jean-Baptiste Lemoyne.
Enfin, les débat ont été clôturés par Christine Lagarde, l’actuelle directrice générale du FMI et future présidente de la BCE.

The Camp - B7

Les chefs d’entreprise et experts internationaux des pays membres du G7 (Allemagne, Canada, États-Unis, France, Italie, Japon et Royaume-Uni) se sont réuni pour le B7 en lien direct avec l’agenda du G7 qui aura lieu à Biarritz en août prochain autour de la lutte contre les inégalités.

Le B7 est la plateforme officielle du monde économique en lien avec le G7. En effet, l’évènement rassemble les principales fédérations patronales des pays du G7 et a pour fonction de formuler des recommandations sur des thématiques en rapport avec l’activité des entreprises et le commerce international.
Le sommet a abordé cette année des thèmes aussi variés que la transition numérique et la cybersécurité, le commerce et les investissements internationaux, le climat et la biodiversité ou encore les inégalités.

Il est à noter que pour la première fois de l’histoire des sommets Business 7, les représentants des syndicats (L7) et des entrepreneurs (B7) s’accordent sur un agenda social en vue du G7.
Cet accord donne un élan inédit à la question de la croissance durable, de même que les Accords de Paris ont marqué un tournant pour la question climatique. Le G7 devrait mettre le sujet à l’ordre du jour afin que soit proposé un accord sur une réforme globale de la gouvernance internationale replaçant le social au cœur du projet. 





Le French Fintech Tour 2019 se tiendra, pour sa troisième édition à Londres et à Dublin du 2 au 4 juillet 2019. Organisé par Business France, l’évènement vise à accélérer, à travers un roadshow de 3 jours, le développement de Fintechs françaises au Royaume-Uni et en Irlande. Les entrepreneurs français pourront interagir avec les écosystèmes financiers britanniques et irlandais par le biais de conférences, d’évènements de networking et et de rencontres B2B.

Londres reste la capitale mondiale de la Fintech malgré quelques incertitudes liées à la situation politique actuelle et au Brexit. En 2018, plus de 50% des « deals » d’investissements Européens dans ce domaine ont été signé au Royaume-Uni avec un revenu annuel total estimé à 26 milliards dollars.

Le French Fintech Tour 2019 se tiendra, pour sa troisième édition à Londres et à Dublin du 2 au 4 juillet 2019. Organisé par Business France, l’évènement vise à accélérer, à travers un roadshow de 3 jours, le développement de Fintechs françaises au Royaume-Uni et en Irlande. Les entrepreneurs français pourront interagir avec les écosystèmes financiers britanniques et irlandais par le biais de conférences, d’évènements de networking et et de rencontres B2B.

Avec un gouvernement en soutien actif, un cadre réglementaire d’avant-garde et une culture économique axeé vers l’innovation, le Royaume-Uni repésente une terre d’accueil propice au développement des jeunes pousses de la Fintech et d’attire des entrepreneurs venus du monde entier.
« Au Royaume-Uni, une startup sur deux est lancée par un étranger. Ça fait une énorme différence, et ce côté très international permet aux Fintechs d’attirer des très bons profils, les poids lourds du secteur », explique Philippe Gelis, co-fondateur et CEO de Kantox, Fintech multinationale spécialisée dans la gestion du change.
Le pays compte d’ailleurs nombre de programmes d’accélération et incubateurs de pointe dans la Fintech, comme le Startup Bootcamp FintechLevel 39 ou encore l’incubateur de Barclays, Rise.

L’objectif du French Fintech Tour 2019 sera donc clairement de connecter chaque Fintech à de potentiels clients, partenaires, mentors ou investisseurs.

⇒ Tout savoir sur le French Fintech Tour UK : https://events-export.businessfrance.fr/frenchfintech/
⇒ Votre contact connaitre les opportunités du marché anglais et l’accompagnement de Business France pour les fintech : Emmanuelle DROUINEAU – emmanuelle.drouineau@businessfrance.fr

Les PME françaises ont démarré leur tranformation digitale pour affronter un marché globalisé très concurrentiel. En effet, les 3 millions de PME françaises voient l’incroyable potentiel de développement que représentent les 38.8 millions consommateurs en ligne présents dans l’héxagone. Cependant, nos PME accusent un retard sur leur transformation digitale en comparaison de nos voisins européens.

Par Franck Boccara

En France 2 PME sur 3 France possèdent un site internet contre 3 sur 4 dans le reste de l’UE. Les ventes réalisées via le e-commerce ne représentent, en moyenne que 3% du chiffre d’affaires de nos PME.

Le retard de celles-ci dans leur tranformation digitale se manifeste principalement en terme d’adoption de solutions digitales comme la présence sur le net et sur les réseaux sociaux, la vente en ligne ou encore la mise en place d’outils digitaux permettant d’améliorer la productivité. Naturellement, ce sont parmi les PME les plus petites que le retard est le plus significatif.

De fait, il y a un décalage entre le niveau de maturité des consommateurs français et celui de leurs entreprises. Par exemple, une PME sur huit propose des ventes en ligne alors que sept français sur dix consomment sur internet. Cette différence profite donc directement aux entreprises étrangères et à l’import alors que nos PME peuvent récupérer jusqu’à 1.5 millions de consommateurs en rattrapant leur retard.

Les PME françaises qui ont déjà amorcer ou finaliser leur transformation digitale ont quatre fois plus de chance d’exporter que le reste des PME françaises dans la mesure où cette capacité numérique leur offre la possibilité d’accéder à des places de marché mondialisées. Les ventes en ligne représentent 40% de la croissance totale des ventes sur l’héxagone ces dernières années, notamment dans les domaines du tourisme et voyage, de la distribution ou encore de la restauration.

Il existe bel et bien une prise de conscience de nos PME pour la tranformation digitale et beaucoup d’efforts y sont déjà engagés, ce qui a permis la naissance et le développement d’un véritable marché de la transformation digitale pour les années qui viennent. Il reste juste quelques barrières à faire tomber telles que certaines lacunes dans les compétences techniques digitales, dans l’investissement dans cette voie ou encore dans la méconnaissance des outils digitaux existants. A bon entendeur !

Les entreprises françaises sont déjà bien présentes outre-atlantique et leurs réseaux et relais sont nombreux. Si vous êtes dirigeants ou cadres de PME ou ETI et que vous pensez que votre entreprise a une carte à jouer sur ces marchés, alors venez participer à ces entretiens experts Etats-Unis et Canada à la CCI haut-de-Seine le mardi 3 juillet de 9h30 à 17h15.

Les raisons d’y participer

  • Identifier les opportunités des marchés
  • Collecter des informations sectorielles et réglementaires
  • Comprendre les particularités culturelles qui influencent les relations d’affaires
  • Identifier des partenaires commerciaux ou industriels qualifiés
  • Être appuyé dans votre prospection et dans l’implantation locale de votre entreprise.

Pourquoi Les États-Unis et le Canada ?

  • Les États-Unis et le Canada sont deux grands marchés avec respectivement 326 millions et 36 millions d’habitants en 2017.
  • Leur économie reste stable : Le Canada a eu une croissance économique solide de 3,1 % en 2017 contre 1,7 % en 2016. Le PIB américain devrait atteindre 2,8% en 2018, soit la meilleure performance depuis des années. 
  • Une économie américaine plus forte, ainsi que la mise en œuvre de l’Accord économique et commercial global (CETA) entre le Canada et l’Union européenne, devraient avoir des répercussions positives pour les entreprises du Canada.
  • Pour les entreprises françaises tous les secteurs peuvent être porteurs aux États-Unis et au Canada : produits agroalimentaires, design et art de la table, cosmétiques fashion, industrie pharmaceutique, biotechnologies, informatique, services à forte valeur ajoutée…
  • L’image de la « French Touch » est forte auprès des consommateurs haut de gamme des grandes villes (New York, San Francisco, etc.).
  • Les États-Unis et le Canada apparaissent comme les champions des nouvelles technologies et abritent de grands évènements axés sur l’innovation : Consumer Electronic Show (CES), Nabshow, SXSV, Wanteddesign, ITS World Congress etc.
  • À noter également : l’anglais, langue commune, et la présence de 24 bureaux de la CCI Française en Amérique du Nord favorisent également l’implantation des entreprises françaises.

Entretiens experts États-Unis et Canada de la CCI individuels gratuits et personnalisés de 45 minutes sur rendez-vous.

Les infos pratiques

Lieu :

CCI Hauts-de-Seine
55 place Nelson Mandela
92000 Nanterre

Contact :
Urszula Perzanowska

INSCRIVEZ-VOUS À NOTRE NEWSLETTER
AUX DERNIÈRES NOUVELLES
×

Vous êtes dirigeant ou cadre ?
Vous avez une question ou besoin d'une information ?

Le respect de votre vie privée est notre priorité

L’accès au site implique l’utilisation de cookies mais celle-ci est subordonnée à votre consentement.