...

Elon Musk : un modèle de communication inspirant ou maladroit ?

PARTAGER

Facebook
Email
WhatsApp
Doit-on s'inspirer du modèle de communication d'Elon Musk ?

Elon Musk n’est pas qu’un entrepreneur à succès ; il est devenu un phénomène global. Ses prises de parole, qu’il s’agisse de tweets polémiques, de déclarations politiques ou d’interventions sur des sujets sociétaux, ne laissent personne indifférent. En jouant avec les codes de la communication directe sur X (anciennement Twitter), qu’il possède, Musk redéfinit le rôle du dirigeant. Mais son omniprésence soulève une question cruciale : jusqu’à quel point une telle communication est-elle soutenable pour une entreprise ?

Par Christel Bertrand – consultante indépendante en communication de crise

Dans un monde où les incertitudes économiques, géopolitiques et climatiques pèsent lourdement, la parole des dirigeants est une arme à double tranchant. Elle peut renforcer l’image de marque autant qu’elle peut causer des dommages irréversibles. L’effet boomerang, lorsqu’une déclaration se retourne contre son émetteur, est une réalité bien documentée, et Musk en incarne à la fois le risque et les leçons.

Un modèle de communication directe : avantage ou dérive ?

Elon Musk a choisi de contourner les médias traditionnels pour s’exprimer directement auprès du public via X. Cette stratégie lui permet de maîtriser son narratif, d’entretenir une relation de
proximité avec son audience et de rester omniprésent dans les débats publics.

Le multimilliardaire peut tirer de cette communication directe des bénéfices apparents.

Il possède un contrôle total sur le message : Musk ne dépend pas des journalistes pour transmettre ses idées. Il s’adresse directement à ses millions de followers, créant un lien quasi personnel.
Il génère une attention constante : En intervenant régulièrement, il s’assure que ses déclarations soient relayées et discutées, renforçant son rôle de figure incontournable.
Ses messages valorisent sa vision : En abordant des sujets comme l’intelligence artificielle ou la transition énergétique, il se positionne comme un leader éclairé, voire prophétique.

Mais les dérives sont nombreuses :

• Un mélange des genres dangereux : Musk ne fait pas toujours la distinction entre ses opinions personnelles et la stratégie de ses entreprises. Résultat : les controverses le concernant rejaillissent sur Tesla, SpaceX ou X.
• Un risque de sur communication : En intervenant sur tout et n’importe quoi, Musk banalise sa propre parole et expose son entreprise à des critiques permanentes.

Les risques pour l’entreprise : une vulnérabilité croissante

Elon Musk n’est pas le seul dirigeant dont les déclarations peuvent provoquer des remous. Mark Zuckerberg, à la tête de Meta, a récemment suscité une vive polémique en déclarant : « Je veux plus d’énergie masculine et moins de politique de diversité. » Cette phrase, largement relayée et critiquée, met en lumière un autre aspect des risques liés à la communication des dirigeants : les implications sociétales et culturelles.

Meta s’expose au risque de boycott

Dans un contexte où les enjeux de diversité et d’inclusion sont devenus cruciaux pour les entreprises, ces propos risquent d’aliéner une partie des utilisateurs et des partenaires de Meta, en particulier dans les secteurs les plus sensibles à ces questions.

L’impact interne est difficilement maîtrisable. De tels commentaires peuvent provoquer un malaise au sein des équipes, notamment chez les collaborateurs qui s’identifient aux politiques d’inclusion ou qui les soutiennent. Cela peut affecter la motivation, voire provoquer des départs, affaiblissant ainsi l’attractivité de Meta en tant qu’employeur.

Ces déclarations renforcent l’idée que certains dirigeants sont déconnectés des enjeux sociaux contemporains, ce qui peut éroder la confiance des parties prenantes, notamment les jeunes générations qui attachent une grande importance aux valeurs de diversité et d’inclusion.

Comme Elon Musk, Zuckerberg montre qu’une déclaration intempestive peut rapidement devenir un point de fixation pour les médias et le public. Même si elle reflète une opinion personnelle, elle est perçue comme un message émis par l’entreprise elle-même, ce qui peut avoir des répercussions profondes sur la réputation de la marque et son positionnement stratégique.
L’expression sans filtre d’un dirigeant comporte plusieurs dangers.

Une exposition accrue aux crises de réputation

Les propos d’un dirigeant peuvent polariser l’opinion publique. Lorsque Musk s’associe publiquement à des figures politiques comme Donald Trump, soutient des partis d’extrême droite ou qu’il critique ouvertement des gouvernements, il expose Tesla et SpaceX à des risques de boycott, de sanctions réglementaires ou de critiques internationales.

L’explosion d’un Cybertruck Tesla devant le Trump Hotel Las Vegas n’était peut-être qu’un incident, mais son contexte a suffi à relancer les polémiques sur les liens entre Musk et l’ancien président américain. En quelques heures, cet événement a généré une couverture médiatique mondiale, associant Tesla à un débat politique clivant.

Une fragilité accrue des relations commerciales

Les partenaires et investisseurs n’apprécient pas les zones de turbulences. Une entreprise perçue comme instable, en raison des déclarations de son dirigeant, peut voir ses relations commerciales fragilisées. Les clients, eux aussi, peuvent hésiter à s’associer à une marque qui porte une image controversée.

Une instabilité sur les marchés financiers

Les marchés financiers réagissent de manière émotionnelle aux controverses. Une déclaration mal interprétée peut provoquer des fluctuations boursières, affectant la valeur des actions et la confiance des investisseurs.

Une forte pression sur les équipes internes

Les employés peuvent eux aussi souffrir des déclarations intempestives de leur dirigeant. Une polémique peut entraîner une perte de sens, une démotivation ou même des départs. Les collaborateurs se retrouvent parfois à devoir justifier les propos de leur leader, au détriment de leur travail quotidien. Sans compter qu’en interne, les prises de parole du dirigeant peuvent susciter des « vocations ».

Un impact à long terme sur la stratégie d’entreprise

Lorsqu’une entreprise est constamment en gestion de crise, elle ne peut pas se concentrer sur sa stratégie de développement. Le temps, l’énergie et les ressources alloués à la gestion des polémiques ralentissent les projets à long terme.

Les médias : une autre source de risque

En choisissant de monopoliser sa communication via X, Elon Musk s’est aliéné une partie des médias traditionnels. Ce contournement, s’il semble efficace à court terme, a également déclenché une dynamique de contre-enquête. Les journalistes, exclus du processus, intensifient leurs investigations sur les conséquences de cette stratégie. De son côté, Mark Zuckerberg est devenu le dirigeant qui change de stratégie comme de chemise.

Les médias, loin de se contenter de relayer les messages, se posent en contre-pouvoir. En enquêtant sur l’impact des déclarations sur la société, ils ajoutent une nouvelle couche de complexité à la gestion de crise pour ces entreprises.

Leçons pour les PME et ETI : anticiper pour mieux protéger

Pour les PME et ETI, qui n’ont ni la taille ni les ressources pour absorber de telles controverses, les prises de parole intempestives d’un dirigeant peuvent être catastrophiques. Voici quelques recommandations pour éviter de tomber dans le piège :

1. Adopter une communication alignée sur les valeurs : Toute intervention publique doit refléter les valeurs et les objectifs de l’entreprise, sans interférences personnelles.
2. Impliquer les experts en communication de crise : Préparer des scénarios et des réponses aux polémiques potentielles peut éviter des dégâts à long terme.
3. Maîtriser les canaux de communication : Bien que les réseaux sociaux soient incontournables, ils ne doivent pas remplacer une stratégie globale incluant les médias traditionnels.
4. Gérer la fréquence des prises de parole : Trop communiquer dilue le message et augmente les risques de faux pas.

Entre leadership visionnaire et prudence stratégique

Elon Musk fascine autant qu’il inquiète. Si son style de communication audacieux et omniprésent peut sembler inspirant, il est loin d’être un modèle à suivre pour la majorité des dirigeants. L’effet boomerang de ses déclarations met en lumière les limites d’une communication non maîtrisée, particulièrement dans un monde rempli d’incertitudes.

Pour les dirigeants de PME et ETI, la communication n’est pas un outil à prendre à la légère. Elledoit être pensée, anticipée et alignée avec une vision stratégique claire. Dans cet équilibre entre audace et prudence réside la clé d’un leadership qui s’inscrit sur le long terme

PARTAGER

Facebook
Twitter
LinkedIn
Email
LinkedIn
WhatsApp
PLUS D'ARTICLES
Alors qu’il n’a jamais été aussi compliqué de recruter, les entreprises s’interrogent sur les moyens existants pour renforcer leur attractivité et engager durablement leurs collaborateurs. Comment se démarquer de ses concurrents quand le dynamisme du marché et l’inflation poussent les salariés à tenter leur chance ailleurs ?

Un demi-million, c’est le nombre de salariés qui ont claqué la porte de leur entreprise au premier trimestre 2022. La raison ? Une embellie sur le marché du travail post-Covid qui a poussé les salariés à aller chercher de nouvelles opportunités d’emploi. S’il ne s’agit pas d’un record, selon la DARES qui rappelle qu’un phénomène similaire avait été constaté lors de la crise financière de 2008-2009, ce chiffre particulièrement élevé de départs volontaires met en difficultés les entreprises qui s’inquiètent de voir leurs salariés les quitter.

Dans le même temps, 86% des dirigeants estiment que recruter n’a jamais été aussi difficile, d’après une enquête The Boson Project . Il faut dire que depuis quelques mois, le rapport de force s’est inversé en faveur des salariés. Résultat, les entreprises sont désormais en concurrence face aux talents qu’elles souhaitent attirer. Savoir se démarquer et améliorer son attractivité est donc indispensable pour pouvoir débaucher ou conserver les professionnels les plus courtisés.

Les facteurs d’attractivité

Quels sont les facteurs d’attractivité qui font mouche auprès des salariés ? Les avantages qui pourraient les pousser à quitter leur entreprise pour en rejoindre une autre ? C’est la question que s’est posé le cabinet de recrutement spécialisé Robert Half dans une grande enquête publiée au mois de mars 2022 sur les aspirations des employés. Les résultats sont sans appel : en période d’inflation et alors que la baisse du pouvoir d’achat inquiète les Français, le salaire constitue, pour 77% des sondés, le premier facteur d’attractivité. Il est suivi par la recherche d’un meilleur équilibre vie pro-vie perso (44%) et la situation géographique (40%). Outre le fait qu’ils souhaitent bénéficier de jours de télétravail, les travailleurs sont sensibles à la proximité entre leur lieu de travail et leur lieu de vie : la localisation est fréquemment citée comme un motif de refus d’une offre d’emploi.

Le logement, nerf de la guerre

Le logement apparaît comme un des leviers à ne surtout pas négliger dans la politique d’avantages sociaux de l’entreprise. En effet, celui-ci pèse lourd dans le budget des Français. Ils y consacrent en moyenne 662 euros par mois, que ce soit en loyer (sans les charges) ou en remboursement d’emprunt, selon Opinion Way . Avec de fortes disparités en fonction des situations : pour les Franciliens, le budget moyen s’élève à 819 euros contre 770 euros en moyenne pour les propriétaires.

En cette période de flambée des prix, un quart des Français estime que son logement lui coûte trop cher par rapport à ses revenus. Pire, 33% éprouve des difficultés pour faire face à cette dépense. Cette situation concerne davantage les locataires (49%) que les propriétaires (24%). La moitié d’entre eux dit craindre de ne pouvoir faire face à la prochaine révision de loyer. Dans ce contexte, l’acquisition d’un bien peut apparaître comme un moyen de figer son budget logement et de se sécuriser. « Il existe un lien très direct entre le fait d’être propriétaire de son logement et l’impression de se mettre à l’abri, explique Laurent Permasse, Président de Sofiap et spécialiste du crédit immobilier. Avoir un logement, c’est une sécurité. Si vous avez un accident de la vie, et dans certains cas si vous perdez votre emploi, vous n’êtes pas menacé parce que vous êtes couvert par votre assurance emprunteur ».

L’aspiration à la propriété, une spécificité française

L’accession à la propriété demeure une aspiration largement partagée. Plusieurs raisons à celà : d’abord parce qu’elle offre la possibilité de se constituer un patrimoine, l’acquisition d’un bien permettant de réaliser de l’épargne forcée. Mais si les Français veulent posséder leurs murs, c’est avant tout pour pouvoir les transmettre à leurs enfants. « L’habitat est au cœur des aspirations des Français, car il s’intègre dans un schéma de transmission de patrimoine profondément ancré dans l’inconscient collectif », expose Laurent Permasse. Bien loin de la location, qui est souvent perçue comme de l’argent jeté par les fenêtres. Enfin, l’attachement des Français à la propriété s’explique par la volonté de préparer leurs vieux jours. Grâce à l’achat, ils espèrent aborder la retraite plus sereinement en se libèrant des mensualités qui pourraient peser sur leur budget.

Une accession compliquée par la remontée des taux

Mais alors que le marché de l’immobilier se grippe et que les taux d’emprunt repartent brusquement à la hausse, de nombreux salariés – majoritairement jeunes et primo-accédents – voient leur rêve d’acquisition voler en éclat. Dans ce contexte, ils se tournent vers leur employeur. 78% des salariés estiment que leur entreprise devrait les aider à devenir propriétaire selon un sondage OpinionWay. 69% des 25-40 ans seraient même prêts à changer d’entreprise pour pouvoir bénéficier d’un tel avantage. Une exigence que Laurent Permasse explique par un brouillage des frontières entre le logement, qui relève de la vie privé, et la sphère professionnelle : « Avec la pandémie et le recours massif au télétravail, les salariés ont accepté que le travail rentre chez eux. Cela a permis aux entreprises de faire des économies en réduisant les mètres carrés de bureau. Faut-il imaginer une contrepartie pour les salariés qui travaillent chaque semaine de chez eux ? ».

S’appuyer sur son employeur pour améliorer son habitat

Au-delà de l’aménagement de leur espace de travail personnel avec du mobilier de bureau et du matériel informatique ou de la prise en charge des frais générés par le travail à domicile (internet, électricité…), un autre dispositif existe pour permettre à l’entreprise de rétrocéder les mètres carrés qui ont été enlevés au bureau : le prêt subventionné. Proposé par Sofiap, filiale de la SNCF et de la Banque Postale, ce dispositif prolonge l’engagement pris par l’entreprise ferroviaire il y a plus de 100 ans envers ses cheminots pour leur permettre d’accéder plus facilement à la propriété. Aujourd’hui, Sofiap permet aux entreprises qui le souhaitent d’accompagner leurs collaborateurs dans l’achat de leur logement en prenant en charge une partie du taux d’intérêt de leur crédit.

« Aider ses salariés à se loger, ça n’a rien de nouveau. En revanche, leur permettre d’accéder à la propriété, c’est une mesure extrêmement structurante. Beaucoup plus que le versement d’une prime ou le subventionnement de l’essence qui est une mesure éphémère » estime Laurent Permasse qui voit dans les entreprises un régulateur d’inégalités et le dernier rempart pour protéger les salariés de l’inflation. Il rappelle par ailleurs que depuis l’entrée en vigueur de la loi PACTE, celles-ci sont tenues de prendre en considération les enjeux sociaux de leur activité. « Notre offre innovante et inclusive leur permet de jouer pleinement leur rôle. »

Proposé par Sofiap

Transition écologique : transformez les défis en action !
Accélérez la transition écologique de votre entreprise en découvrant les leviers d’action pour agir dès maintenant ! Rendez-vous le Mardi 20 mai 2025 à la CCI Paris Ile-de-France, 27 avenue de Friedland, 75008 Paris. Face à l’urgence climatique, la transition écologique est une priorité pour toutes les entreprises, y compris les TPE/PME. Adopter des pratiques durables est essentiel. Souvent perçues comme une contrainte, elles sont pourtant un atout (réduction des coûts, différentiation des concurrents, obtention des marchés publics,..). Entreprendre une transition écologique est nécessaire pour limiter les impacts du changement climatique (hausse des températures, inondations,..). Savez-vous que 2/3 des PME sous-estiment les risques liés au changement climatique sur leur activité ?  S’adapter aux conséquences de celui-ci permettrait d’assurer la pérennité de votre entreprise. La CCI Paris Ile-de-France vous convie à une soirée avec des experts et des entrepreneurs engagés. Venez découvrir comment transformer les défis en action. Agissez aujourd’hui pour demain.

Programme de la soirée

17h00 : Accueil des participants

17h30 : Mot d’ouverture

Quels sont les enjeux et les perspectives de la transition écologique en Europe ?

Pourquoi agir maintenant ? Quelles sont les conséquences de l’inaction ?

Quelle est la stratégie nationale pour la transition écologique ? Quels sont les enjeux pour les entreprises franciliennes ?

Comment engager votre transition écologique ? Quels financements pour accompagner votre entreprise ?

Témoignages inspirants de deux chefs d’entreprises engagés dans la transition écologique

20h00 : Conclusion

Rencontre networking

Partenaires

Le Forum Europe est organisé par la CCI Paris Ile-de-France, membre d’Enterprise Europe NetworkEnterprise Europe Network est le plus grand réseau d’appui européen aux entreprises, financé par la Commission européenne et présent dans plus de 40 pays.
Santé mentale au travail : repenser l’inclusion en entreprise
Dans un contexte où la santé mentale est déclarée Grande Cause Nationale 2025, Efficience Santé au Travail, service de prévention et de santé au travail, met en lumière les réalités vécues par des personnes atteintes de troubles psychiques à travers une série d’interviews vidéo. Cette initiative vise à ouvrir le dialogue sur l’inclusion en entreprise et à faire évoluer les pratiques managériales. Mieux comprendre les réalités vécues Bipolarité, trouble borderline, schizophrénie, burn-out… Derrière ces troubles, il y a des personnes, des parcours, des espoirs. Selon Santé publique France, 13 millions de personnes sont concernées chaque année par un trouble psychique, dont 3 millions de manière sévère. Dans cette mini-série documentaire, quatre personnes – Abigaïl, Fanny, Éric et Nicolas – partagent leur vécu professionnel, leurs attentes et les leviers qui pourraient faciliter leur maintien ou leur retour en emploi. Ces vidéos de cinq minutes offrent un éclairage sur les impacts de ces troubles au quotidien et invitent à réfléchir à des environnements de travail plus adaptés. ▶️ Voir les vidéos : https://www.efficience-santeautravail.org/sante-mentale/ Favoriser des pratiques managériales inclusives À la suite de ces témoignages, le Dr Hervé Baudelocque, médecin du travail et directeur médical d’Efficience Santé au travail, propose des pistes concrètes pour les entreprises : sensibilisation des équipes, accompagnement personnalisé, adaptation des situations de travail… L’objectif est de créer un environnement où chacun peut trouver sa place, avec ses forces et ses fragilités. « Ces témoignages nous éclairent sur les actions à mettre en œuvre pour un environnement de travail plus inclusif et bienveillant. Car le travail est avant tout un levier de reconnaissance et d’épanouissement. » – Dr Hervé Baudelocque Sensibiliser pour mieux accompagner Bien que la santé mentale soit de plus en plus reconnue dans l’espace public, elle reste un sujet tabou dans le monde professionnel. Pourtant, on estime que 35 à 45 % de l’absentéisme au travail serait lié à un trouble psychique. Stigmatisation, manque de connaissance, peur du jugement : autant d’obstacles qui freinent la mise en place d’actions de prévention efficaces. En donnant la parole aux personnes concernées, Efficience Santé au Travail souhaite contribuer à faire évoluer les mentalités et encourager des politiques RH plus ouvertes et plus justes.
INSCRIVEZ-VOUS À NOTRE NEWSLETTER
AUX DERNIÈRES NOUVELLES
×

Vous êtes dirigeant ou cadre ?
Vous avez une question ou besoin d'une information ?

Le respect de votre vie privée est notre priorité

L’accès au site implique l’utilisation de cookies mais celle-ci est subordonnée à votre consentement.