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STRATÉGIES

SOCIÉTÉ GÉNÉRALE PRIVATE BANKING est un acteur international de référence de l’accompagnement des dirigeants et cadres d’entreprises dans leur réflexion et leur stratégie patrimoniale.
Présents dans tout l’hexagone, les ingénieurs patrimoniaux de SOCIÉTÉ GÉNÉRALE PRIVATE BANKING France conjuguent expertise pointue et proximité afin de répondre par des solutions complètes et innovantes à toutes les problématiques d’investissement, de cession, de transmission, de financement ou de philanthropie que rencontrent les dirigeants et cadres dans leur vie professionnelle et privée.
Frédéric Poilpré, Directeur de l’ingénierie patrimoniale et Franklin Wernert, Directeur de l’offre de produits et services nous parlent de l’approche globale d’une banque universelle.

La protection des données ne peut être solutionnée uniquement par la sécurité informatique. En effet, les données sensibles sur papier ou supports numériques, également soumis à la RGPD européenne, doivent être sécurisées et systématiquement détruites.
HSM France, dont le siège social est en Allemagne, propose toute une gamme de destructeurs de documents avec différents niveaux de sécurité qui répondent à l’ensemble des enjeux qu’une entreprise peut rencontrer dans ce domaine.
Pascal Lux, Directeur Commercial HSM France, nous en fait la démonstration.

Les performances et processus financiers d’une entreprise forment un domaine complexe qui doit être confié à de véritables experts. AC&S permet aux directions générales et financières de rester maîtres de leurs comptes grâce à des solutions de proximité, transversales et collaboratives.
Jean-Marie Philips, fondateur et dirigeant, nous présente l’approche d’AC&S pour répondre à ces enjeux.

Les performances et processus financiers d’une entreprise forment un domaine complexe qui doit être confié à de véritables experts. AC&S permet aux directions générales et financières de rester maîtres de leurs comptes grâce à des solutions de proximité, transversales et collaboratives.
Jean-Marie Philips, fondateur et dirigeant, nous présente l’approche d’AC&S pour répondre à ces enjeux.

Le prototypage virtuel représente pour les PME et ETI industrielles un formidable outil innovant pour optimiser les moyens de production et les process et répondre aux défis d’un marché fort concurrentiel et en constante évolution. Rendez-vous devant vos écrans le 11 juillet pour tout comprendre sur le prototypage virtuel.

Le prototypage virtuel offre la possibilité aux concepteurs et ingénieurs de concevoir des modèles virtuels et de procéder aux tests dans un environnement virtuel qui regroupe toutes les informations nécessaires pour modéliser la manière dont les matériaux du produit réagiront dans l’environnement réel. Il permet également de visualiser comment le processus de production va affecter le produit final. Le logiciel offre aussi aux concepteurs l’occasion d’effectuer des modifications et de voir les effets qu’auront ces modifications sur le produit fini. Cette innovation dans la conception de produit veut dire que l’ingénieur peut créer des produits qui vont répondre aux spécifications de conception, plus rapidement et à moindre coût que les méthodes de prototypage traditionnelles.

L’utilisation d’une application de prototypage virtuel peut impacter considérablement les performances d’une entreprise en lui permettant de réduire ses coûts de production et de réagir aux opportunités du marché en lançant de nouveaux produits innovants beaucoup plus rapidement et de rester compétitives dans un monde bouleversé par les nouvelles exigences des clients, les réglementations environnementales et l’apparition de nouveaux acteurs.

Augmenter les cadences, réduire les taux de rebuts, accélérer les cycles de développement tout en les sécurisant… tous ces défis peuvent être relevés par le prototypage virtuel !

L’expert :

Ce webinaire sera animé par Dominique Lefebvre, vice-président exécutif Opérations Produits d’ESI Group, qui démystifiera les solutions de prototypage virtuel et vous présentera des cas d’usage concrets.

Infos pratiques :

Rendez-vous sur vos écrans le 11 juillet 2019 de 11h à 12h
La participation à ce webinaire est gratuite et ouverte à tous !


Les PME françaises ont démarré leur tranformation digitale pour affronter un marché globalisé très concurrentiel. En effet, les 3 millions de PME françaises voient l’incroyable potentiel de développement que représentent les 38.8 millions consommateurs en ligne présents dans l’héxagone. Cependant, nos PME accusent un retard sur leur transformation digitale en comparaison de nos voisins européens.

Par Franck Boccara

En France 2 PME sur 3 France possèdent un site internet contre 3 sur 4 dans le reste de l’UE. Les ventes réalisées via le e-commerce ne représentent, en moyenne que 3% du chiffre d’affaires de nos PME.

Le retard de celles-ci dans leur tranformation digitale se manifeste principalement en terme d’adoption de solutions digitales comme la présence sur le net et sur les réseaux sociaux, la vente en ligne ou encore la mise en place d’outils digitaux permettant d’améliorer la productivité. Naturellement, ce sont parmi les PME les plus petites que le retard est le plus significatif.

De fait, il y a un décalage entre le niveau de maturité des consommateurs français et celui de leurs entreprises. Par exemple, une PME sur huit propose des ventes en ligne alors que sept français sur dix consomment sur internet. Cette différence profite donc directement aux entreprises étrangères et à l’import alors que nos PME peuvent récupérer jusqu’à 1.5 millions de consommateurs en rattrapant leur retard.

Les PME françaises qui ont déjà amorcer ou finaliser leur transformation digitale ont quatre fois plus de chance d’exporter que le reste des PME françaises dans la mesure où cette capacité numérique leur offre la possibilité d’accéder à des places de marché mondialisées. Les ventes en ligne représentent 40% de la croissance totale des ventes sur l’héxagone ces dernières années, notamment dans les domaines du tourisme et voyage, de la distribution ou encore de la restauration.

Il existe bel et bien une prise de conscience de nos PME pour la tranformation digitale et beaucoup d’efforts y sont déjà engagés, ce qui a permis la naissance et le développement d’un véritable marché de la transformation digitale pour les années qui viennent. Il reste juste quelques barrières à faire tomber telles que certaines lacunes dans les compétences techniques digitales, dans l’investissement dans cette voie ou encore dans la méconnaissance des outils digitaux existants. A bon entendeur !

L’inactivité physique est l’une des principales causes des maladies chroniques du XXIème siècle. Un fléau qui touche aussi les entreprises et leurs salariés avec des enjeux forts en termes d’absentéisme, de capital santé et de productivité.

Par Samuel Oudin

Et vous, combien de pas avez-vous fait hier ? Quelle est votre dose d’activité physique modérée hebdomadaire ? Etes-vous sédentaire, moyennement actif ou très actif ?

“En dix ans, nous sommes passés de 3h à 5h quotidiennes devant les écrans chez les adultes. Beaucoup de maladies sont des maladies du mode de vie. Les combattre représentent un vrai enjeu de société”, explique Claire Mounier-Vehier, présidente de la FFC (fédération française de cardiologie) et chef du service de médecine vasculaire et hypertension artérielle au CHRU de Lille.

Un nouveau défi pour les dirigeants des entreprises

Face à ce constat, les dirigeants d’entreprise cherchent des solutions pour préserver le capital santé de leurs collaborateurs. D’autant que les enjeux restent forts : 12% de gain de productivité pour le salarié pratiquant au moins 30 minutes d’activité physique par jour par rapport aux collègues sédentaires (étude Santé Canada) et 7 à 9 % d’économies réalisées par l’entreprise sur les frais de santés annuels d’un employé si celui-ci a une activité physique régulière (source : Goodwill).

Certaines organisations tentent alors d’aménager des salles de sport dans leur établissement, de proposer des abonnements à tarifs réduits aux salles de Fitness ou d’organiser des séances avec un coach sportif dans les couloirs ou sur le parking. Mais l’adhésion à ces programmes reste parfois faible au regard des investissements consentis. La grande majorité des salariés ne sont pas marathoniens ni même adeptes de quelque sport que ce soit.

Maximiser l’engagement de tous les collaborateurs

Pour répondre à cette problématique de prévention santé, de nouvelles solutions émergent. Parmi celles-ci, la start-up Kiplin propose une recette simple : inciter les salariés à changer leurs modes de déplacements quotidiens en misant sur le jeu et l’esprit de groupe. Plus de 200 entreprises et 20 000 salariés ont déjà adopté cette solution parmi lesquelles : Caisse d’Epargne, Generali, EDF, Harmonie Mutuelle, Texas Instrument, Dassault System, Total, Orange…

Comment ça marche ? L’entreprise invite ses salariés à télécharger l’application mobile Kiplin (pour compter les pas) et à se mettre en équipe pour vivre une animation connectée sur plusieurs semaines.

De la même manière que PokemonGo a réussi à faire gambader des millions d’adolescents dans les rues et dans les parcs, Kiplin embarque les salariés dans des aventures dont ils sont les héros. Chaque participant cumule des pas lors de ses trajets quotidiens et gagne des points bonus en répondant à des quiz ou des énigmes.

Sans s’en rendre compte, les participants commencent à adopter de nouveaux réflexes dans leur vie de tous les jours : descendre un arrêt de bus plus tôt, monter les escaliers plutôt que d’emprunter l’ascenseur, organiser une réunion sous forme de marche active…

Du jeu et des données pour mesurer l’impact

Vincent Tharreau, fondateur de Kiplin « Le jeu est un puissant levier pour faire changer les habitudes de vie. Nos clients peuvent choisir entre un challenge, une aventure, une enquête ou un jeu de plateau. Des histoires qui se vivent en équipes. Cette notion collective est fondamentale pour faire bouger les lignes. Il y a toujours un participant prêt à motiver ses équipiers. Résultats : 70 % des participants sortent du seul de sédentarité à l’issue d’une animation Kiplin »

Les données – anonymisées et traitées de manière collective – sont corrélées à des indicateurs précis pour mesurer l’impact de la solution au sein de chaque entreprise.

Au-delà des objectifs de prévention du capital santé affichés dès le départ, certaines entreprises en profitent même pour faire marcher leurs équipes à des fins solidaires.

Faire bouger-marcher ses collaborateurs à des fins solidaires

Chaque année, une douzaine d’entreprises regroupant près de 1000 collaborateurs s’engagent ainsi au profit de l’association Apprentis d’Auteuil. Chaque pas se transforme alors en dons au profit des maisons des familles d’Apprentis d’Auteuil. Dans la même logique, plus de 3 600 collaborateurs de la fondation Ramsay Générale de Santé viennent de participer à un challenge au profit du Secours Populaire Français.

A l’aube des Jeux Olympiques de Paris 2024, et depuis l’amendement du sport sur ordonnance, les entreprises françaises accélèrent le mouvement sur le terrain du sport santé

1083 est le nombre de kilomètres qui sépare les 2 villes les plus éloignées de France.
Mais pas seulement ! C’est aussi le pari fou de fabriquer un jean 100% français. En quelques années, la marque 1083 est devenue une success story qui s’inscrit dans un concept d’économie circulaire qui conjugue éco-conception et traçabilité des jeans.
Laissons Thomas Huriez, fondateur et gérant, nous raconter cette belle aventure.

L’Université du numérique 2019 du Medef, en partenariat avec France digitale, aura lieu pour la première fois à la Station F, le plus grand incubateur de start-up au monde. Un rendez-vous à ne pas manquer le 20 juin pour participer à cette journée de pitchs et d’échanges destinée à encourager l’innovation croisée entre PME, ETI et start-up.

Université du numérique 2019 : «Se transformer : mode d’emploi»

Beaucoup d’entreprises françaises n’ont pas encore digitalisé leurs process (de production, de commercialisation, d’approvisionnement …) et peinent à opérer leur transformation digitale. La principale raison réside dans un manque d’information sur l’accompagnement de la démarche et l’identification des acteurs à solliciter pour y parvenir (qui fait quoi, à qui je m’adresse ?).

L’objectif de l’université numérique de Medef 2019 est d’apporter aux PME et ETI des solutions concrètes pour permettre leur transformation numérique en misant sur la complémentarité des expertises. La collaboration entre PME-ETI et start-up n’est encore assez répandue, alors que cela peut constituer des équipes gagnantes ! Cette édition sera l’occasion de se rencontrer de s’informer et d’échanger sur les solutions qui peuvent répondre aux problématiques des entreprises.

Au programme :

Des pitchs, autour de 7 thématiques transverses, pour présenter des solutions concrètes et applicables :

  • Transformer son business model
  • Digitalisation de l’offre et relation partenaires
  • Digitalisation de la relation clients / fournisseurs
  • Organisation interne
  • Transactions et traçabilité
  • Formation et compétences
  • Cybersécurité et protection des données

Des ateliers « mode d’emploi » pour cerner les enjeux et comprendre comment transformer son entreprise : comment recruter à l’heure du numérique ? de quelles compétences a t-on besoin pour une transformation réussie ? comment penser sa cybersécurité ?

  • Une séquence consacrée aux premiers enseignements du baromètre de la digitalisation des entreprises françaises que le BCG développe avec le MEDEF.
  • Une table-ronde présentant les dispositifs d’accompagnement dont peuvent disposer les entreprises traditionnelles qui souhaitent se transformer.
  • Un espace BtoB et une application de matchmaking by France Digitale, pour rencontrer de nouveaux partenaires.
  • La remise des Prix MEDEF – Siparex de la transformation numérique, mis en place pour valoriser les bonnes pratiques de coopération entre start-up et PME/ETI dans leur transformation numérique.


Les intervenants :

  • Geoffroy Roux de Bézieux, président du MEDEF
  • Cédric O, secrétaire d’Etat en charge du numérique
  • Frédéric Mazzella, coprésident de France Digitale
  • Marie-Anne Barbat-Layani, directrice générale de la Fédération bancaire française
  • Vanessa Lyon, directrice associée au BCG, responsable du business development et du digital en France
  • Christian Poyau, président du comité Transformation numérique du MEDEF
  • Laurent Fiard, PDG de Visiativ
  • Laurence Devillers, professeur en Intelligence Artificielle au LIMSI-CNRS

La gouvernance d’entreprise est parfois considérée par les PME et ETI comme un ensemble de règles et d’obligations contraignantes alors qu’au contraire, elle doit être appréhendée comme un facteur de performance globale et de pérennité. Ce comité, crée par le Medef, a précisément pour objectif d’éveiller les consciences et d’inciter l’ensembles de entreprises à adopter les bonnes pratiques.

Par la rédaction

Le Medef, qui était déjà à l’origine, avec l’AFEP en 1995, du Code de gouvernement d’entreprise des sociétés cotées (sociétés du CAC40 et plus largement des sociétés du SBF120) se donne aujourd’hui pour mission de promouvoir la gouvernance d’entreprise auprès de toutes les sociétés qu’il représente, quelle que soit leur taille.

Ce nouveau Comité sur la gouvernance des entreprises, crée à l’initiative de Geoffroy Roux de Bézieux et Patrick Martin a pour président Patrick Bertrand (Ex CEO de Cegid Group et Directeur Général « Opérations » d’Holnest). Le comité part du principe que les bonnes pratiques de la gouvernance d’entreprise ne doivent pas être perçues comme des freins mais comme de véritables leviers de croissance pour les entreprises dans une perspective à long terme,

L’idée est de convaincre les chefs d’entreprise que c’est à travers une bonne gouvernance qu’ils pourront bénéficier d’un accès facilité au financement et inscrire leur action dans le nouvel objet social de l’entreprise tel que le défini la loi Pacte en prenant en compte les intérêts de toutes les parties prenantes de l’entreprise, notamment les enjeux sociaux et environnementaux de leur activité et oeuvrer ensemble dans le sens d’une croissance responsable. Un engagement dont le Medef a fait sa raison d’être.
 
Le comité sur la gouvernance des entreprises a opté pour une composition plurielle qui se veut mixte, intergénérationnelle et transversale quant à la taille des entreprises, la structuration de leur actionnariat ainsi que leur secteurs d’activité. Il est ainsi composé de représentants de grands comptes, d’ETI, de PME, de startups, de sociétés familiales, industrielles et de services, cotées et non cotées. On y trouve également des investisseurs et représentants du monde académique et juridique.
 
Les objectifs 
 
• Être un lieu d’échanges sur la gouvernance et une force de propositions en vue d’améliorer les pratiques de gouvernance
• Promouvoir les bonnes pratiques de gouvernance en soulignant leur contribution à la performance de l’entreprise
• Adapter et transmettre les propositions de bonnes pratiques de gouvernement d’entreprise auprès de toutes les typologies d’entreprises, de la startup aux PME/ETI et grands groupes
• Définir la position du Medef lors des révisions du code Afep-Medef et d’interventions législatives sur le sujet
 
Composition du comité sur la gouvernance des entreprises
 
• Patrick Bertrand, Directeur Général “Opérations”, Holnest
• Dominique Ceolin, Chairman of the Board, ABC Arbitrage
• Anne-Laure Constanza, Fondatrice, Envie de Fraises
• Dominique de La Garanderie, ancienne Bâtonnière de l’ordre des avocats du barreau de Paris, Cabinet La Garanderie avocats
• Laurent Fiard, CoFondateur et Président Directeur général, Visiativ
• Delphine Gieux, Secrétaire du conseil, Schneider Electric
• Sophie L’Hélias, Administrateur, Kering, Fondatrice et présidente, LeaderXXchange
• Philippe Louis-Dreyfus, Président, Louis-Dreyfus Armateurs
• Emmanuel Lulin, Directeur général de l’éthique, délégué du président, L’Oréal
• Olivier Millet, Membre du directoire, Eurazeo
• Jean-Louis Petithuguenin, Président Directeur général, Groupe Paprec
• Fanny Picard, Associée fondatrice, Alter Equity
• Alain Pietrancosta, Professeur de droit des sociétés, droit financier et gouvernance, École du droit de la Sorbonne
• Carol Xueref, ancienne Secrétaire générale d’Essilor, Administrateur, Ipsen et Eiffage.

Cette composition a pour objectif de s’élargir prochainement à d’autres personnalités.

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